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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

S OMMAIRE

Sigles – Tableaux

Prologue - La petite histoire 1

Introduction 6

1. Le Chili 8

2. L’institutionnalisation du féminisme 10

3. Étudier les organisations féministes « institutionnalisées » 12 4. Mon apport à la discussion sur la représentation politique 14

5. Plan de la thèse 16

D’un vécu à une position construite et située.

Science politique et féminisme 20

1. L’effort de la subjectivité maîtrisée 21

2. Une thèse en science politique 24

2.1. Posture ontologique et épistémologique 25 2.2. Discipline hybride et transdisciplinarité 30 2.3. Sociologie (historique du) politique et représentation politique 34 2.4 Une approche néo-institutionnaliste ? 38

3. Une thèse féministe 40

3.1. Le(s) féminisme(s) 41

3.2. Du privé, du public et de la science politique 49 3.3. Des femmes et du genre 53 3.4. Des savoirs partiels et situés 61

4. Une démarche inductive et un travail de terrain 71

4.1. Le recueil de matériaux de « deuxième main » 72

4.2. L’enquête 74

4.2.1. Entretiens sur l’action politico-institutionnelle en faveur des femmes 77 4.2.2. Entretiens sur l’interaction entre les organisations féministes et l’État 78

4.3. L’observation 79

4.3.1. Observation à prétention ethnographique 80 4.3.2. Observation à prétention participante 81

4.3.2.1. Mission d’expertise auprès de la Communauté française 81

4.3.2.2. Mission d’appui technique et scientifique au SERNAM 82

4.3.2.3. Accueil de délégations du SERNAM 83

5. Le féminisme et le Chili, entre fascination et désenchantement 84

(2)

PREMIÈRE PARTIE

P OUR UNE APPROCHE ALTERNATIVE DE LA REPRESENTATION POLITIQUE 92 Chapitre 1. Approches classiques de la représentation politique 97

1. La représentation politique et ses penseurs 99

1.1. Les parlementaristes ou la représentation au service

de la souveraineté du peuple 99 1.2. Hobbes ou la représentation au service de l’absolutisme 102

1.2.1. Personnifier et représenter 102 1.2.2. Léviathan et représentation politique 104 1.3. Locke et les Fédéralistes ou la représentation comme

expression du libre consentement 106

1.3.1. Locke et le consentement 107

1.3.2. Les Fédéralistes et la République 109 1.4. Montesquieu ou la représentation à défaut de mieux 111 1.5. Rousseau ou l’impossibilité de la représentation 113 1.6. Mill et Marx ou la représentation au service du peuple 117

1.6.1. Mill et le gouvernement représentatif 117

1.6.2. Marx et l’auto-gouvernement 118

1.7. Manin ou la représentation comme dispositif institutionnel 123 1.8. Pitkin ou la représentation comme activité « substantive » 125

2. Les représentés et leurs intérêts 130

2.1. Des représentés absents mais néanmoins présents 130 2.2. Nature des objets à représenter 132

2.2.1. Des intérêts collectifs 132

2.2.2. Des individus et leurs intérêts particuliers 134 2.3. Connaissance des intérêts à représenter 136

2.3.1. Connaissance des intérêts 136

2.3.2. Formulation et sélection des intérêts 137 2.4. Modèles d’interaction entre les citoyens, leurs groupes et l’Etat 141

2.4.1. Pluralisme 142

2.4.2. Néo-corporatisme 145

2.4.3. Néo-pluralisme 148

2.5. La représentation par les sous-systèmes intermédiaires 150 3. Légitimité de la représentation politique 154 3.1. Le critère descriptif : ressemblance ou distinction 156

3.1.1. Le principe de distinction 156

3.1.2. L’espérance de ressemblance 157

3.2. Le critère procédural : le consentement. 160 3.2.1. Consentement (à l’absolutisme) et responsabilité 160 3.2.2. Consentement au gouvernement représentatif 163

3.2.3. L’élection 164

3.2.3.1. Le sort ou l’élection ? 164

3.2.3.2. L’élection sans la représentation politique 165 3.2.3.3. La représentation politique par l’élection 166

3.2.4. Unanimité et majorité 167

3.3. Le critère substantif : réactivité et imputabilité 169

3.3.1. La double signification du processus électoral 170

(3)

3.3.2. Réactivité (Responsiveness) 172 3.3.2.1. Autonomie et mandat impératif 172 3.3.2.2. Consultation et délibération 174 3.3.3 Responsabilité et imputabilité (accountability) 175 3.3.3.1. La responsabilité des représentants et des représentés 175 3.3.3.2. Contrôle et reddition des comptes 178 3.3.3.2.1. L’accountability électorale 179 3.3.3.2.2. L’accountability verticale et horizontale 181 3.3.3.2.3. L’accountability politique 183 3.3.3.2.4. L’accountability sociétale 184 Chapitre 2. Approches performatives de la représentation politique 187

1. L’approche performative de la représentation 189

1.1. Hanna Pitkin, Nancy Schwartz et le caractère constitutif de la représentation 189 1.2. John Austin, Judith Butler : deux influences pour une théorie

de la performativité 191

1.3. Frank Ankersmit et la politique de l’esthétique 192 1.4. Andrew Rehfeld et la reconnaissance de la représentation 195 1.5. Michael Saward et la déclaration de représentation 198 1.6. John Street et la représentativité des célébrités 201

2. L’élargissement du lien de représentation 205

2.1. Des représentants et des représentés « co-construits » 205

2.2. Le public 206

2.2.1. Rehfeld et les « faiseurs » de représentation 207 2.2.2. Saward et les « faiseurs » de déclaration 208 2.2.3. Street et les « relais » de la représentation 209 3. La représentation au-delà de la démocratie électorale 210 4. Critères alternatifs de légitimité de la représentation 212 4.1. L’autorisation à travers la reconnaissance 212 4.2. L’autorisation à travers la non-objection 214 4.3. L’accountability à travers la démonstration de la représentativité 216

4.3.1. La représentativité démontrable du « bon représentant » 217 4.3.2. La référence aux codes légaux et culturels 218 4.3.3. Les figures « prêtes à l’emploi » des candidats 219

4.3.3.1. La voix autorisée 220

4.3.3.2. La voix de la rue 222

4.3.3.3. Le « champion » d’une cause 223

4.3.3.4. Le miroir 223

4.3.3.5. L’initiateur et le facilitateur du débat public 225

4.3.3.6. L’expert 225

4.3.4. Le poids politique de la candidature 226

Chapitre 3. Approches féministes/de genre de la représentation politique 230

1. Critiques féministes/de genre aux études sur la citoyenneté 233

1.1. Les critiques au modèle de Marshall 233

1.2. Individuation, agency et régime de citoyenneté 236

(4)

2. La représentation descriptive des femmes 243 2.1. Intérêts ou besoins ? Féminins ou féministes ? 243 2.2. La sous-représentation descriptive des femmes 247 2.3. Remèdes théoriques et pratiques 249

2.3.1. Idées versus présence 249

2.3.2. De la « masse critique » aux actes et aux « acteurs critiques » 251 2.3.3. Modifier les freins et obstacles structurels, culturels et conjoncturels 253 3. La représentation substantive des femmes par le féminisme d’État 257 3.1. Un nouveau champ d’études, un objet diversifié 258 3.2. Généalogie des approches du féminisme d’État 262 3.2.1. L’approche interpersonnelle : les coalitions stratégiques et leurs critiques 266 3.2.2. L’approche institutionnelle : l’État et les institutions publiques d’égalité 271 3.2.3. L’approche « interactionniste » : les associations féministes et les institutions 277

3.2.3.1. La représentation substantive à travers l’interaction de deux

types d’acteurs 278

3.2.3.2. La représentation substantive dans l’action politique

« au jour le jour » 281

3.2.3.3. La contextualisation des enjeux et des débats 284 4. Quelles perspectives pour penser la représentation politique des femmes ? 290 4.1. Le lien entre la représentation descriptive et substantive des femmes 291 4.2. Perspectives féministes pour la représentation politique « en général » 293 4.3. Pour une approche performative de la représentation substantive des femmes 295

DEUXIÈME PARTIE

R EPENSER LA REPRESENTATION POLITIQUE A PARTIR DE L INSTITUTIONNALISATION

DU FEMINISME AU C HILI 299

Chapitre 1. Les acteurs de la représentation 305

1. Les « Chiliennes » et leurs enjeux 306

1.1. Indicateurs, rôles et enjeux d’égalité 307 1.2. Métissage et catholicisme 309 1.3. La famille, más que nada 310 1.4. Droits humains et citoyenneté 312

1.4.1. Trame patriarcale du droit 313

1.4.2. Des droits humains aux droits des femmes 314 1.4.3. L’enjeu de la citoyenneté des femmes 316 1.4.4. Engagements internationaux et contrôle citoyen 320

2. Les publics 322

2.1. L’État et les partis politiques 322 2.1.1. De la « démocratie dirigée » à la « démocratie pactée » 322 2.1.2. De la « transition pactée » à la « démocratie sous surveillance » 326 2.1.3. De 1973 à 2008 : continuisme ou rupture ? 328 2.2. L’alliance conservatrice de droite 332

2.2.1. Les médias 333

2.2.2. L’Église catholique 335

(5)

2.2.3. La société chilienne, une société conservatrice ? 338 3. Les mouvements de femmes et les ONG féministes 341 3.1. Les premières mobilisations féminines/féministes au 19

e

siècle 341 3.2. Du « silence féministe » au mouvement des femmes 344 3.3. L’institutionnalisation du mouvement féministe 349

3.3.1. L’« ONGéisation » du féminisme 349

3.3.2. Précisions quant à la terminologie liée à l’« institutionnalisation » 351

3.3.3. ONG et réseaux féministes 352

3.3.3.1. Corporación para el Desarrollo de la Mujer La Morada 354 3.3.3.2. Centro de Estudios de la Mujer (CEM) 354

3.3.3.3. Isis International 355

3.3.3.4. Centro de Desarrollo de la Mujer Domos 355 3.3.3.5. Fundación Instituto de la Mujer 356

3.3.3.6. Fundación Ideas 357

3.3.3.7. Con-spirando 357

3.3.3.8. Radio Tierra 357

3.3.3.9. Foro –Red de Salud y Derechos Sexuales y Reproductivos 357

3.3.3.10. Grupo Iniciativa Mujer (GIM) 358

3.3.3.11. Corporación Humanas/Centro Regional de Derechos

Humanos y Justicia de Género 358

3.3.4. Le féminisme autonome 359

4. Le SERNAM 361

Chapitre 2. Reconnaissance symbolique – La démonstration de représentativité 364 1. Bref résumé du débat sur les quotas de genre (1997-2003) 366 2. « L’héritière » : revendication d’un héritage et d’une lecture féministes 368 3. « L’interlocutrice productrice de discours » : reconnaissance

publique des ONG 373

3.1. Reconnaissance comme acteur social 373 3.2. Reconnaissance comme actrices de démocratie 376 3.3. Reconnaissance du discours féministe 378 4. « L’experte » : professionnalisation et expertise 382 4.1. « ONGéisation » et institutionnalisation 383 4.2. Expertise sur les quotas de genre 385 5. « L’interconnectée » : réseaux interpersonnels, transversaux et intersectoriels 390 5.1. Importance des relations interpersonnelles 391 5.2. Parcours personnels et transversalité intersectorielle 394 5.3. Transversalité partisane 400 5.3.1. La Concertation des Femmes pour la Démocratie 401 5.3.2. Transversalité partisane et intersectorielle 403

5.3.3. L’exemple des quotas de genre 407

5.4. Transversalité sectorielle à l’échelle nationale 410

5.4.1. Le Grupo Iniciativa Mujeres 410

5.4.2. Le Foro Salud 412

(6)

5.5. Transversalité sectorielle régionale 415 6. « La Chilienne » : miroir de la diversité des femmes 419

7. « La médiatique » : accès aux médias 422

8. Objection à la représentativité des ONG féministes 424 Chapitre 3. Reconnaissance matérielle – L’accès aux ressources financières 427

1. L’auto-financement 428

2. Le financement par la coopération internationale 429

3. Les subsides publics et le soutien du SERNAM 431

4. Le recours à la « responsabilité sociale » des entreprises privées 435

5. L’enjeu de l’autonomie financière 438

Chapitre 4. Reconnaissance politique – L’accès au débat

et à la négociation politique 440

1. Les féministes, entre partis politiques et SERNAM 441 2. Le SERNAM, entre féministes et conservateurs 444 2.1. Les questions qui ne fâchent pas… trop 451

2.1.1. Violence intrafamiliale 452

2.1.2. Participation politique et citoyenneté 452

2.1.3. Divorce 454

2.2. Droits sexuels et reproductifs 454 3. Quelle interaction entre les ONG féministes et le SERNAM ? 456 3.1. Demandes venant du SERNAM 457

3.1.1. Recours à l’expertise des ONG féministes 457 3.1.2. Organisation de services publics non étatiques 460

3.1.3. Conformation de la société civile 463

3.1.3.1. Formation à l’autonomie et au leadership 463 3.1.3.2. Construction d’un « agenda commun » et « caisse de résonance » 467

3.1.4. Une société civile sous contrôle ? 470

3.2. Initiatives des ONG féministes 473

3.2.1. Inspirer la loi. 474

3.2.2. Contrôler l’action publique 475

Pour ne pas conclure 480

Bibliographie 499

Annexes 524

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