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Résultats de mesures de temps de relaxation transverse T 2 par échos de spins

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236140

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236140

Submitted on 1 Jan 1959

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Résultats de mesures de temps de relaxation transverse T 2 par échos de spins

Ionel Solomon

To cite this version:

Ionel Solomon. Résultats de mesures de temps de relaxation transverse T 2 par échos de spins. J.

Phys. Radium, 1959, 20 (8-9), pp.768-768. �10.1051/jphysrad:01959002008-9076801�. �jpa-00236140�

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768

lations stables obtenues à partir de conditions initiales

correspondant à une tension de grande amplitude ;

-

entre le point singulier et le cycle stable, il

existe un cycle instable séparant les oscillations stables des oscillations amorties.

En prenant une lampe dont la zone de « freinage » (passive), due à l’existence du courant de grille, est

relativement faible, on peut mettre ce résultat en évi- dence sur l’écran d’un oscillographe cathodique repré-

sentant le plan de phases « fig. 4).

-

Lettre reçue le 14 juin 1959.

-

RÉFÉRENCES

[1] SIDERIADES (L.), «( Sur la stabilité des oscillations d’une triode ». L’Onde électrique, janvier 1954, 48-54.

[2] POINCARÉ (H.), « Sur les courbes définies par une équa-

tion différentielle ». 0152uvres, Gauthier-Villars, Paris, 1892, vol. I.

RÉSULTATS DE MESURES DE TEMPS DE RELAXATION TRANSVERSE T2

PAR ÉCHOS DE SPINS Par Ionel SOLOMON,

C. E. N. de Saclay, Gif-sur-Yvette (Seine-et-Oise).

Nous’avons mesuré le temps de relaxation trans-

verse T2 de l’eau à 28 MHz, à une température de 24°C

par la méthode des Échos de Spins [1, 2], perfec-

tionnée par Meiboom et Gill [3].

Pour éprouver les possibilités de l’appareillage dans

la mesure des temps de relaxation longs, n’ous avons mesuré les temps de relaxation d’un échantillon de ben- zène désoxygéné

Ces résultats montrent que les inhomogénéités du champ magnétique, ainsi que la diffusion sont complè-

tement compensées. Les défauts auxquels la méthode

reste sensible sont les fluctuations rapides du champ qui, dans notre cas, obligent à faire des séquences

d’échos très rapprochées (300 à 2 000 échos par

seconde).

Les résultats des mesures pour un échantillon d’eau contenu dans un tube de plexiglass sont :

Eau non dégazée :

Eau désoxygénée :

Ces valeurs ont été trouvées indépendantes du pH.

Ces résultats ne concordent pas avec les mesures de Meiboom et coll. [4].

L’explication proposée est l’influence des parois de

verre dans un échantillon de petite taille. En effet, si

l’on introduit dans le tube de plexigl!lss des billes de

verre de 2 mm de diamètre, la valeur de T2 de l’eau

non dégazée passe de 2,2 sec à 1,9 sec, alors que Tl ne

varie pas, aux erreurs d’expérience près. De plus cette

diminution de T2 dépend du pH de l’eau employée,

de la nature du verre et du temps pendant lequel l’eau

reste en contact avec la surface du verre, et l’influence de ces différents paramètrés rend les mesures peu repro- ductibles. Nous n’avons fait aucune tentative d’étude

systématique de cette interaction surface de verre-eau

qui doit être un phénomène très complexe.

.

Lettre reçue le 9 juin 1959.

BIBLLOGRAPHIE

[1] HAHN (E. L.), Phys. Rev., 1950, 80, 580.

[2] CARR (H. Y.) et PURCELL (E. M.), Phys. Rev., 1954, 94, 630.

[3] MEIBOOM (S.) et GILL (D.), Rev. Sc. Instr., 1958, 29, 688.

[4] MEIBOOM (S.), Luz (Z.) et GILL (D.), J. Chem. Phys., 1957, 27, 1411.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01959002008-9076801

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