• Aucun résultat trouvé

l/i3 Habitat. Confluent du Kassai, Congo. Altitude : 3oo mètres.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "l/i3 Habitat. Confluent du Kassai, Congo. Altitude : 3oo mètres."

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

— l/i3 —

Alt. , 0,0 1 a5 à 0,01 f\ 5 ; diam. , o,oo3 ù o,oo35 ; ail. apert. , o,oo3 ; diam. , 0,003 à 0,0035.

Habitat. — Confluent du Kassai, Congo. Altitude : 3oo mètres.

Trochonanina Bonhouri Rochbr. et Germ.

Testa mediocriter pcrforata, elevalo lonticulari, subdepressa, lecliformi, soii- dula, opaca^ subnitida, cornea aut ciaerea, eleganler et mediocriter slriala (striœ regulares, obliqua} et satundulatœ); spira tectiformi subdepressa; anfractibus 5 i/a, 6, subconvexiusculis; re(julariter crescenlibus, ultitno majore, carinato (cariua acuta), stipra subconvexo, iufra convexiore; apertura obliqua, irregulariter Irans- verse snbrotundala , ad carinam subangulala; perislomate recto, subincrassatulo;

niargine columellari supra reflexo ac triangulatim dilalato.

Alt. , 0,010 à 0,01 1 ; diam. , 0,01 65 à 0,01 7 ; ail. apert. , 0,007 ' diam., 0,0075 à 0,008.

Habitat. — Bords du lac Abbay.

Trochonanina Zeltneri Rochbr. et Geim.

Testa large perforatissima , acule cariiiala, subconoidea , nilida, subpellu- cida, supra subtilissime striatula (striai regulares), corneo fursco zoiiata, infra uniformiter coffeo lactescente; spira conoidea, ad summum acuta (apex exiguus proeminens); anfractibus 6, convexiusculis , regulariter crescentibus, sutura impressula separatis; ultimo majore, acute carinato, superne subcompresso, interne convexiore; apertura obliqua, transverse irregulariter oblonga, perislomate recto, aculo, margino columellari, superne breviter triangulatim dilatato.

Alt., 0,008; diam., 0,01 3; ait. apert., o,oo55 à 0,006; diam., 0,006.

Habitat. — Tumbo, pays Oualamo. Altitude : 1,902 mètres.

Vitrina Bozasi Rocbbr. et Germ.

Testa subcompîanata , imperforata, transverse ovato elongata, pellucida, tenuis- sima, transversim concentrice plicala, plicis crassis, undulatis, coriieobrunnea;

nitidissima; spira brevissima, subdemissa, anfractibus 3,5, ultimo testam fere totam eflformante, sutura profunda interne separato; apertura late ovata, margine columellari depresso, abbreviato, membranaceo, labi um subcrassum, cultratum,

Alt., 0,01 3; diam., 0,018; ait. apert,, 0,008; diam., 0,006.

Habitat. — Bords de i'Ouellé, affluent de TOubang-ui.

Limax Sidamoensis Rocbbr. et Germ.

Corpus crassum, cylindricum, postice altenuatum, subcarinatum ; cauda obtusa;

luteo cinereum, maculis pallide cœrulescentibus, nubeculis, passim obductum, rugosum, rugis obliquiis, paululum reliculatis, ornalum; clypeus magnus, tume- scens,antice regulariter angulatus, obtuse apiculalus, postice rotundatus, concen-

trice granulosus; pes luteolus, marginibus circulariter effusis ; tenlaticuli luteoli.

Long., o,o53; lat. max., 0,013; long. clyp. , 0,022; lat., o,oi4.

10.

(2)

— ]àà ~

Habitat. — Pays des Sidamo, au voisinage du Mont Abar. Aititude : 1,890 mètres.

Corbîcula Doufilei Roclibr. et Germ.

Concha minuta, trigona, crassa, subsolida, striis concentricis minulis regula- riter iinpressa, nilida olivaceo lutea, ad urabones pallidiore ac flammuHs castaneis elongafis ornata; anlice pauhilum compressa, subangulala, poslice subatteniiata , rotundata; umbonibus tumidls; ligamentum validum, brève, brunneum; dentés cardinales parvi; lamelliB robustae, minutissime lenticulatœ; impressio antica rotunda, subprofimda, postica superficialis ; pagina interna valvarum violacea, sub- nitida.

Long., 0,008; lat., 0,007; crass., o,oo5.

Habitat. — Doufilë, sur les bords du Nil blanc.

Spathella Bozasî Rochbi*. et Germ. ^^K

Concha transverse oblongo eloiigata, inœquilatera, subsolida, pallide olivaceo- fusca; striis incrementi regularibus, ad partem inferiorem laminosis; umbones minuti, vixerosi, contigui; marge dorsalis subelliplicus, ventralis fere rectus, medio sat profunde sinuatus; anterior rotundata elongatus; posterior in rostrum longum subacutum productus; ligamentum longum; impressio muscularis anterior profunde impressa, longe elliptica; posterior ovafa, lacrimaeformi ; intus pallide rosea, marginibus caeruleonitidis.

Long., o,o85; lat., o,o38; crass., 0,02/1.

Habitat. — Lit de la rivière Bass, apporté par les crues du lac Rodolphe.

Spathella Brumpti Rochbr. et Germ.

Concha oblongo ovala, compressa, inœquilatera, solida, subponderosa , corneo- brunnea, nitida; striis incrementi latis, distantibus, antice prœsertimque postice, late laminosis; umbones erosi, prominuli, subinflexi, contigui; margo dorsalis fere rectus; venlralis convexus, subundulatus ; anterior ovatus, posterior dilatatus, in rostrum subcompressum , subdecurvatumque productus; ligamentum longum, prominulum; impressio muscularis anterior, biplex, trapezoidalis , antice solum profunde impressa; posterior subquadrata; intus sordide rosea, cretacea, vix nitida.

Long., 0,080; lat., 0,062; crass., 0,026.

Habitat. — Lit de la rivière Bass, apporté par les crues du lac Rodolphe.

Nous inscrivons sous toutes réserves le genre Spathella, proposé d'une part par Bourguignat, en i885, pour des types démembrés des Spatha, de Tautrc par J. Hall, également en i885, pour un Lamellibranche du Dévonien d'Amérique;

nous aurons à examiner plus tard la valeur de ces genres et à préciser l'auteur qui doit bénéficier des droits de priorité.

(3)

— U5 —

Sur le genbe WallâgÉe,

considÉbé comme type d'une famille nouvelle, les WallacÉacÉes , PAR M. Ph. van Tieghem.

Spruce a récoité aux confins nord-ouest du Brésil et de la province de Amazonas, au hord du Rio Uaupès, près de Panuré, en 1 859-1 853, une plante remanpiable (n° aAyo), dont il a fait le type d'un genre nouveau, sons le nom de Wallace'e (Wailacea) et qu'il a nommée W. insigne {W.

hmgnis Spruce). Ce genre a été décrit pour la première fois en 1862 par Bentliam et Hooker, qui l'ont classé à côté des Cespédésies ( Cespedesîa Gou- dot) dans la tribu des Luxembourgiées , tribu qu'à l'exemple de Planchon ils rangeaient dans la famille des Ochnacées Plus tard, en 1876, il a été décrit à nouveau et, en outre, figuré par M. Engler, qui lui a conservé cette place , où il a été maintenu depuis par tous les botanistes ^^K

Au cours d'une série de recherches sur la famille nouvelle des Luxem- bourgiacées, dont les résultats seront publiés prochainement dans un autre Recueil, j'ai été conduit à étudier à mon tour cette espèce, qui est encore aujourd'hui le seul représentant du genre, et j'ai pu me convaincre que, par l'ensemble de ses caractères , elle diffère trop profondément de toutes les Luxembourgiacées pour pouvoir demeurer comprise avec elles dans une même famille. Elle doit donc en être exclue, pour devenir le type d'une famille distincte, les Wallacéacées. La présente petite Note a pour objet d'exposer les motifs qui justifient cette conclusion.

1. Sti'uclure de la tige et de la feuille. — La Wallacée insigne est un petit arbre à feuilles caduques, isolées suivant 2/5, pétiolées, à grandes stipules promptement caduques dont les bords sont reployés en dedans, mesurant jusqu'à /i et 5 centimètres de longueur et dépourvus de cils à leur base. Le limbe est coriace, ovale, atténué à la base, arrondi au som- met, à bord entier et ourlé, penninerve à nervure médiane saillante sur les deux faces, à nervures latérales obliques et parallèles, très fines et très serrées, formant une striation visible sur les deux faces. Par ce dernier caractère, la feuille ressemble, il est vrai, à celle des Blastémanthes [Blast - manthus Planchon) et de la Pécilandre (Pœcilandra Tulasne) parmi les Luxembourgiacées, mais tout autant à celle des Rhabdophylles {Rhabdo- phylluîn van Tieghem) et des Elvasies [Elvasia A.-P. de Candolle) pai'mi les Ochnacées, à celle des Galophylles {Calophyllum Linné) parmi les Glu- siacées, etc.

Bentham et HooîCER, Gênera plant., I, p. 820, 1862.

Engler, Flora bras., XII, 2, p. 862, pl. LXXVI, 1876. — Voir aussi Gilg dans Natûrl. Pfanzenfam. , III, 6, p. 1/17, 1898.

(4)

— U6 —

Marquée de bonne heure à chaque nœud par les larges cicatrices en arc , presque annulaires , des stipules caduques et plus tard par les grandes cicatrices triangulaires des feuilles tombées , la tige a sa surface brune assez longtemps lisse et dépourvue de lenticelles. Sous l'épiderme glabre , forte- ment cutinisé et formé de petites cellules , l'écorce renferme des cellules à mâcles sphériques et contient des méristèles, au nombre de six vers le milieu de Tentre-nœud , munies d'un arc fibreux péridesmique et destinées toutes h la feuille prochaine. Le péricycle différencie de petits faisceaux fibreux , disposés en cercle et séparés par du parenchyme. Le liber secondaire ren- ferme de nombreux petits paquets de fibres, disposés en deux cercles un peu irréguliers dans une branche d'un an, en quatre cercles dans une branche de deux ans; en un mot, il est stratifié, à raison de deux couches fibreuses par année , comme dans le Tilleul , par exemple , avec cette diffé- rence toutefois qu'ici les rayons primaires ne se dilatent pas en éventail en traversant le liber secondaire. Le bois secondaire est normal , avec rayons unisériés ou bisériés et sans couches concentriques annuelles. La moelle lignifie les membranes de ses cellules dans sa zone périphérique et çà et là seulement par petits groupes dans sa région centrale. Elle renferme des cellules à mâcles sphériques. Elle est dépourvue de ces faisceaux sur- numéraires qu'on y rencontre constamment chez les Godoyées, parmi les Luxembourgiacées.

Le périderme se forme assez tardivement dans l'exoderme , en exfoliant l'épiderme, avec un hège à cellules carrées, dont les membranes s'épaissis- sent et se lignifient fortement sur les faces internes et latérales , en forme d'U , et sans phelloderme.

La feuille prend à la tige les six méristèles corticales présentes au nœud considéré, comme il a été dit plus haut, avec une méristèle mé- diane sortie de la stèle au nœud même. Dans le pétiole, elles affectent une disposition remarquable, qui ne se rencontre chez aucune Luxembour- giacée. Elles forment d'abord une courbe fermée , aplatie latéralement , plus haute que large, qui renferme dans son parenchyme central deux faisceaux libéroligneux superposés, l'inférieur orienté normalement, liber en bas, bois en haut , le supérieur inverse. Puis , de chaque côté de cette courbe , sur chaque flanc du pétiole , l'écoi ce contient quatre méristèles , distinctes et superposées, à section circulaire, formées chacune d'un anneau fibreux péridesmique, d'un anneau libérien et d'une plage ligneuse centrale. Pro- gressivement, de haut en bas, ces méristèles corticales fournissent au limbe ses premières nervures latérales ; elles disparaissent donc peu à peu et on ne les retrouve plus vers le milieu de la nervure médiane. Demeurée seule, la courbe fermée contient ici deux arcs superposés de faisceaux libéroligneux; l'inférieur, fortement concave vers le haut, a six faisceaux orientés normalement, liber en bas, bois en haut; le supérieur n'a que deux faisceaux inversement orientés.

(5)

Rochebrune, A-T De and Germain, Louis. 1904. "Diagnoses de Mollusques nouveaux provenant de la mission du Bourg de Bozas." Bulletin du

Muse

́

um d'histoire naturelle 10(3), 141–144.

View This Item Online: https://www.biodiversitylibrary.org/item/137056 Permalink: https://www.biodiversitylibrary.org/partpdf/327435

Holding Institution

University Library, University of Illinois Urbana Champaign

Sponsored by

University of Illinois Urbana-Champaign

Copyright & Reuse

Copyright Status: Not provided. Contact contributing library to verify copyright status.

This document was created from content at the Biodiversity Heritage Library, the world's largest open access digital library for biodiversity literature and archives. Visit BHL at https://www.biodiversitylibrary.org.

This file was generated 2 March 2022 at 05:49 UTC

Références

Documents relatifs

Trio en mi bémol , adapté de la pièce de théâtre d’Eric Rohmer, l’incommunicabilité entre deux être et la nécessité, l’envie toujours plus grande d’arriver à être

Fort de son expérience dans l’équipement des réseaux de données, TETRADIS s’associe avec des partenaires de renom pour vous proposer des produits de.. qualité, répondant à

: « …l’écueil contre lequel s’est heurtée constamment l’Administration, c’est l’impossibilité dans laquelle elle s’est trouvée d’avoir des terres alloties en

[r]

Les moulins ont d’abord été probablement situés à l’intérieur du château (12 ème siècle), puis au Nord de la rue Notre-Dame avant de les trouver sur l’actuelle place

Son exploitation en vert ne devrait pas se situer avant la 3 e ou la 4 e semaine suivant la floraison : plus riche en matière sèche, surtout si elle a été

pallide pulverulentie; apothecia innata, angulosa, plana et nuda, atra, margine tenui subindistincto atro cincta, lamina hyalina, epithecium olivaceo-nigricans, hypothe-

Entre 1999 et 2002, la situation est stabilisée dans le couloir mais la dégradation est très marquée dans la zone médiane du parc et elle s'intensifie dans le nord.. Enfin, de 2002