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La nature du « chaperon » rouge se formant à la frontière de la zone colorée dans les cristaux des halogénures alcalins

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(1)

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La nature du “ chaperon ” rouge se formant à la

frontière de la zone colorée dans les cristaux des

halogénures alcalins

S. Arzibysev, A. Toporec

To cite this version:

(2)

LA NATURE DU « CHAPERON » ROUGE SE FORMANT A LA

FRONTIÈRE

DE LA ZONE

COLORÉE

DANS LES CRISTAUX DES

HALOGÉNURES

ALCALINS

Par S. ARZIBYSEV et A. TOPOREC.

Institut de

Physique

de l’Académie des Sciences de l’U. R. S. S.

Le

présent

travail

a9

pour

objet

l’étude de la couche rouge intense

qui

se forme à la frontière de la

partie

du cristal coloré par addition. En cas de coloration sans

courant

électrique

elle a la forme d’un

chaperon, séparé

de la

partie

colorée par une

région

à peu

près

ou

tota-lement incolore. On trouve de nombreuses

épreuves

représentant

de

pareils

chaperons

dans l’article de

Rexer (’ ).

Il est

significatif

qu’ils

se forment

habiluel-lement

là,

où la coloration touche de

près

à la surface du cristal.

Lorsque

la coloration se fait sous l’action du

courant,

il se forme

moins d’un millimètre de distance de

l’anode)

une couche d’un rouge rubis que par

analogie

nous

appelons également chaperon.

De

pareilles

for-mations se voient sur la

figure

4,

cristal numéro 1.

C’est donc ces

chaperons

et la zone y attenant

qui

ont fait

l’objet

de nos recherches.

La coloration se faisait

d’après

le

procédé

de Rexer. Pour cela un orifice était

percé

à la vrille dans la

partie supérieure

du cristal. La cavité était à moitié

remplie

de sodium et fermée par

un couvercle fait d’une

plaque

de sel gemme

polie.

Après

cela le cristal était serré dans un

petit

étau

spécial,

représenté

à la

fig.

i

et chauffé au four

électrique.

Dans

ces conditions il se

répand

à

partir

du sodium

métallique

une teinte t. violette dans le sel gemme

laquelle

" ’

par un refroidissement

rapide

à

la

température

de la chambre se

transforme en la coloration

jaune typique

pour le

so-dium à distribution

atomique.

Dans le cas d’un refroi-dissement lent il se forme des colloïdes du sodium de

toutes les couleurs

possibles,

selon le traitement

ther-mique. Si,

pendant

l’échauffement du cristal on fait

passer un courant

électrique

en réservant à la

partie

supérieure, qui

renferme le

sodium,

le rôle de

cathode,

la coloration se

répand

avec une

rapidité

plusieurs

fois

plus grande.

C’est ainsi

qu’un

cristal de sel gemme de

près

de

2,5

cm de

longueur

se colore à 7nüo et sous une

tension de ~0

IV

sur toute sa

longueur

en un

temps

de 3 à 4 minutes.

Suivant les vues actuellement en cours, le processus de la coloration consiste en ce que des électrons

quit-tant le sodium

métallique

pénètrent

dans le sel gemme

et

s’y

répandent.

Les

charges

de volume

qui

se forment

à cette occasion sont neutralisées par le mouvement

des ions du réseau.

i

Chaperons

de cristaux colorés sans courant

électrique. -

D’un cristal de sel gemme on

extrayait

par

sciage

une mince tranche renfermant le

chaperon ;

-,

quelquefois

le cristal était

auparavant

décoloré par

chauffage

à haute

teml)é-rature

(la

coloration du cha-peron

n’y

subit pas

d’altération).

La

pièce

extraite était

polie

et ensuite examinée

pholomélriquement

au

moyen d’une cellule de sélénium. Des courbes

typiques

étaient

obtenues,

dont l’une est

reproduite

figure 2,

numéro 2. Le

premier

maximum est situé

près

de Le deuxième maximum est situé entre 565 et 570 IntJ..

Fig.2.

1. Courbe théorique pour les colloïdes de Cu les plus fins dans le sel gemme.

2. Chaperon latéral d’un cristal coloré additivement à i60°. 3. Chaperon anodique. Les ions de cuivre étaient introduits par du courant électrique a ’i41>° et 4 volts.

4. Courbe d’absorption d’un cristal chauffé à 760Q dans un

creuset ouvert pendant six heures.

Nous avons examiné

également

la zone incolore

comprise

entre la

région

colorée et le

chaperon.

D’après

les mesures de E. Rexer

(1)

il est connu que l’alcalinité

est dans cette zone même

quelque

peu

plus

élevée

qu’à

la frontière de la

partie

colorée du cristal,

Selon nos observations de l’année dernière

(2),

cette

région

se «

déveluppe

» à la lumière d’une étincelle d’aluminiurn, c’est-à-dire

prend

une teinte

jaune

in-tense. Sur la

figure 3

nous voyons une

plaque

mince extraite par

sciage

d’un cristal coloré additivement dont la

partie

droite est «

développée

». Nous en avons

examiné

l’absorption

dans la

partie

ultraviolette du

spectre

à l’aide d’un

petit spectrographe

de

,quartz,

(3)

620

devant la fente

duquel

on faisait successivement défiler les

parties

de la lamelle

marquées

de numéros. Dans

chaque

position

deux

épreuves

étaient

faites,

dont la deuxième était à

chaque

fois

précédée

d’exposition

de la

partie

correspondante

de la

plaque pendant

une

mi-nute et demie à la lumière d’une

puissante

étincelle d’aluminium. Les résultats sont donnés au tableau 1.

~. :;. - La

partie droite du cristal est développée. On voit t

au haut t du dessin le claperon sous forme d’nne raie noire nettement accusée.

TABLEAU I.

Comme l’on

voit,

il existe dans le sel coloré une très forte

absorption

dans la

région

ultraviolette,

croissant à mesure du

rapprochement

vers l’endroit où était

déposé

le sodium

(point A).

Dans la

proximité

immé-diate de la zone colorée

(position

2)

on observe

égale-ment une

absorption

accentuée dans l’ultraviolet.

Mal-heureusement,

à défaut d’une installation de

photon-métrie

photoélectrique,

nous n’avons pu déterminer

que le commencement de

l’absorption

et cela encore à titre

approximatif.

En tout cas il ressort des observations que dans la

zone incolore attenant à la zone colorée il y a aussi des

« centres colorants »

produisant l’absorption

dans

l’ultraviolet. Il est très vraisemblable que ce sont les électrons

disposés

dans la bande des niveaux

U,

récem-ment découverts par Hilsch et Pohl

(3).

L’action de l’étincelle de

l’aluminium,

diminuant

l’absorption

dans la

région

ultraviolette. se réduit à faire passer les électrons de la bande U à la bande

F, provoquant

la

coloration

jaune typique

du sel.

Ainsi,

l’on

peut

admettre que les électrons émanant du sodium viennent de

prime

abord

remplir

la bande U et ensuite

seule-ment la bande F

plus

haut située.

Ces observations se trouvent en contradiction avec

celles de Hilsch et Pohl

(’~),

qui

affirment que les

cen-tres U ne se forment que dans la zone extérieure d

cristal additivement coloré, tandis

qu’à

l’intérieur d cristal ils

pénètrent

seulement par voie de diffusio

après qu’il

a été fortement chauffé. Il

paraît

que cet contradiction tient au fait que nous colorions les cri

taux du

dedans,

tandis que les auteurs sus-nommés l coloraient du

dehors,

en les

plaçant

dans les vapeur

du sodium.

2.

Chaperons

de cristaux colorés sous l’actio du courant

électrique. -Ces

chaperons,

ainsi

qu’

a été dit

déjà

plus

haut. se forment

près

de

l’anod

à des fractions de millimètre ~le distance. En

changea

la direction du courant on

peut

entièrement décolor

le

cristal,

mais la couleur rouge

près

de l’anode

gar

sa

place.

Une des courbes

d’absorption

des

chaperons

obten

avec les anodes de cuivre est

représentée

sur la

figure

numéro 3.

D’après

leur caractère elles sont

identiqu

avec la courbe numéro 2 et donnent le même maximu à 440 m,,j. et des maxima

près

de 565 m;u. Sur la mêm

figure

nous donnons la courbe numéro

4,

qui

repr

sente

l’absorption

dans le colloïde rouge rubis

qui

s’o tient sous l’influence du courant

électrique

dans d cristaux fortement chauffés. Ces cristaux se colore

assez facilement par le

courant,

de la même

façon

q

ceux non

chauffés,

à cela

près

que la coloration s’

fectue

quelque

peu

plus

lentement.

Toutefois,

la tei obtenue est différente. En

changeant

la direction

courant il

n’y

a que la couleur

qui

change,

passant

rouge violacé au rouge

rubis,

sans qu il y ait auc

déplacement

de la

région

colorée à

signaler.

,

TABLEAU II.

On a

également

exécuté ayec un

spectrograph

quartz

quetques

observations sur

l’absorption

dans

cristaux colorés sous l’action du courant

électri

Les résultats sont donnés au tableau II.

(4)

courant

électrique

de même force et de même durée. Il

se trouve que c’est le cristal bleu

qui

absorbe le

plus

fortement la

partie

ultraviolette du

spectre

et à un

de-gré quelque

peu moindre le cristal d’abord coloré et

ensuite décoloré. Dans le cristal

ayant

subi l’action du courant

électrique

sans se colorer

l’absorption

ne

paraît

pas avoir

changé

du tout. Ainsi donc le

mouve-ment des ions de chlore et de sodium ne fait t pas de

tort au réseau cristallin comme il fallait du reste

s’y

attendre Le sel chauffé d’autre

part

donne une

absorp-tion très

grande, plus grande

que celle dans le cristal décoloré.

3. Cause de la formation des

chaperons

anodiques. -

L’apparition

de la coloration rouge

près

de l’anode

suggère

la

supposition

qu’elle peut

être due à des ions de cuivre

pénétrant

dans le sel gemme.

Pour vérifier cette

supposition,

nous avons

procédé

comme suit : nous

prenions

trois cristaux

égaux,

fai-sions passer à travers un courant

électrique

dans des conditions

identiques

sous 50 V de tension et à une

température

de î00°. Les électrodes étaient de cuivre.

On faisait passer le courant

pendant

20 minutes pour le

premier,

li 0 minutes pour le second et 60 minutes pour

le troisième cristal

(*)

Cela

fait,

la cathode de cuivre était

remplacée

par une cathode de soude et le courant

lancé de nouveau dans l’ancienne direction. On

pouvait

observer comment le bord inférieur de la coloration

qui

se

répandait

à

partir

de la cathode

ayant

une fois atteint une zone déterminée du

cristal,

interrompait

sa marche

progressive

pour aller

s’étaler

en largeur.

Un

chaperon

rouge se formait là

qui

conservait sa

place lorsque

le courant

changeait

de direction.

Fig. 4.

Ces trois cristaux sont

représentés figure

4,

nu-méros

2,

3 et 4. Leurs

chaperons

se sont formés à des distances de

2,5 ;

5,0

et

7,5

mm environ de l’anode.

l’) Dans cette durée sont comprises les quelques minutes que prenait la coloration subséquente.

Ainsi donc les

rapports

reliant le

chaperon

aux ions émanant de l’anode ont été démontrés en même

temps

qu’une

méthode nouvelle était obtenue pour déter-miner immédiatement les

degrés

de mobilité des ions

étrangers

dans le sel gemme, ainsi que naturellement dans bien d’autres cristaux alcalins haloïdes. De ces

expériences préalables,

on a déduit pour la mobilité de l’ion du cuivre à 750° une valeur

égale

à

2,5.10-5.

cm2

sec. volt"

Il a été fait

également

plusieurs

expériences

avec des anodes de métaux différents.

Ainsi,

l’on voit sur la

même

figure 4

des

chaperons

formés sur des anodes de

nickel,

de fer et

d’argent.

Mais ces

chaperons

sont bien moins

intenses,

moins nettement détachés et donnent des courbes

d’absorption

identiques

à celles des

chape-rons

provenant

d’anodes de cuivre. Les recherches

spectroscopiques

ont

signalé

dans les trois cas la

pré-sence de cuivre dans les

chaperons.

On est donc

entiè-rement fondé pour affirmer que les

chaperons

indiqués

doivent leur

origine

au cuivre contenu à titre

d’impu-reté dans les métaux

sus-indiqués.

Les

expériences

avec diverses anodes sont continuées sans avoir conduit à ce

jour

à des résultats

conciuants.

4. Diffusion du cuivre dans le sel gemme.

-Si l’on serre une

pièce

de sel gemme dans un étau entre

deux

plaques

de cuivre

polies,

en chauffant

pendant

quelques

heures à une

température élevée,

le cuivre se

diffuse dans le sel.

La limite de la zone

occupée

par le cuivre

peut

être mise en évidence en colorant le sel sous l’action du courant et en observant la formation du

chaperon

rouge. Il se trouve que la diffusion du cuivre dans le

sel gemme s’effectue très

rapidement.

Ainsi en trois

heures,

à

i50°,

le cuivre

pénètre

dans le sel gemme à

une

profondeur

de

près

de foi mm.

Tout ce que nous exposons dans ces deux derniers

paragraphes

ne

représente

que des données

provisoires,

basées sur un nombre fort restreint

d’expériences.

Le

travail,

interrompu

pour cette

partie

par le

départ

de l’un des

auteurs,

A.

Toporec,

va être

repris

tout

prochainement.

On se propose en

premier

lieu de me-surer les mobilités des ions de différents métaux et

aussi d’élucider les altérations

qui

se

produisent

dans

le

réseau au passage d’ions

étrangers,

5.

Phosphorescence

des cristaux décrits au

paragraphe précédent. -

Il est connu que les

cris-taux contenant des ions

étrangers

sont de bons

phos-phores.

Cela nous a

engagé

à

voir

comment les

cris-taux décrits au

précédent

paragraphe

se

comportent

au

point

de vue de la

phosphorescence.

Il était naturel de s’attendre à la

plus grande

émission lumineuse de la

part

des

régions anodiques

contenant des ions

étran-gers, comme cela a été

observé,

par

exemple,

par Bandow

(~).

Or,

en

fait,

il n’en a pas été ainsi. La

figure 5

donne des

épreuves

de contact obtenues

après

éclairage

avec l’étincelle d’aluminium. Il est visible que

(5)

622

près

inactives,

tandis que les

chaperons

sont

absolu-ment inactifs

(numéros

t et

~).

Les

régions anodiques

renfermant les ions

étrangers présentent

une émis-sion lumineuse assez faible à

l’exception

du cristal à l’anode

d’argent

t Le

plus

fort effet de

phosphorescence

est fourni par les

parlies

du cristal attenant à la zone

centrale inactive.

Sous les numéros 3 et 4, lnèrrne

figure,

sont

repré-~sentés un cristal incolore ordinaire et un cristal chauffé,

photographiés

dans des conditions

identiques.

Le cristal non chauffé est

inactif,

tandis que

l’exemplaire

chaiifféémeltail une radiation as·ez intense

pour voiler

la moitié de la

plaque.

’ _ _

6. Nature de la coloration rouge. - Il dérive

due ce

qui précède

que la cause

première

donnant lieu

.à la formation de tous les

chaperons

sus-indiqués,

ainsi que de la coloration rouge dans les cristaux

chauffés,

doit être la même. La

supposition

la

plus

naturelle serait que le

chaperon

formé

près

de l’anode de cuivre est un colloïde de cuivre se

déposant

à la suite de la neutralisation des ions du cuivre par des électrons émanant t de la cathode

sodique.

Pour vérifier cette

suppo,ition,

nous avons

prié

un des collaborateurs de notre Institut de calculer,

d’après

la théorie de

Mie,

l’absorption

pour un colloïde très fin de cuivre dans le

sel gemme. Cette courbe est donnée sous le numéro 1 dans la

figure

2. En la

comparant

avec la courbe N° 11 donnant

l’absorption

du

chaperon

an dessus de l’anode de

cuivre,

on

s’aperçoit

que I~

supposition

émise

plus

haut se confirme

pleinement.

Comparant

de

plus

la

courbe 1 avec les courbes 2 et 4, nous voyons que le

chaperon

à la surface du cristal coloré par voie

addi-tive sans courant aussi bien que la coloration rubis du

cristal

tempéré appartiennent égaielnent

au colloïde de cuivre. De

quelle façon

le ruivre

pénètre

t-il donc

dans ces cas à l’intérieur du ciislall

Evidemment,

par voie de diffusion. Nous nous sommes servis dans nos

expériences,tout

comme

petitsétflllxde

laiton. A la

température

de nos

expériences (6?)()- î 5(),),

le cuivre

se volatilise

sensiblement ;

se

déposant à

la surface du

cristal,

il

pénètre

par diffusion à l’intérieur et y amène

la formation dp

chaperons

à une certaine

profonde

Lorsque

le sel gemme est chauffé

pendant quelq

heures dans un four où

précédemment

les

expérien

ont été exécutées avec des cristaux serrés dans étaux de laiton, le cuivre

pénètre

de

part

en

part

t

le cristal et à la coloration

subséquente

forme le loïde couleur rubis. A titre de

contrôle,

nous faisi

l’expérience

suivante :

plusieurs

cristaux étaient cha fés dans un creuset, recouvert de sel

broyé

menu. A

roloration,

ils se

comportaient

tous comme du gemme

ordinaire,

donnant la coloration

atomique

colloïdale accoutumée. Dans un creuset ouvert

plac

cùté étaient chauffés des cristaux de même

grande

A la

coloration,

ils donnaient un colloïde d’un ro

éclatant

(f ig.

2,

courbe

Enfin,

des cristaux chau f

dans des conditions toutes

pareilles

placés

dans

creuset avec des morceaux de

cuivre,

donnaient

coloration cerise f xtrément

épaisse,

presque opa

que nous n’avons pas réussit à mesurer

(*).

L’absorption

d’une intensité anormale dans l’ul violet propre aux cristaux

chauffés,

ainsi

qu’une ph

phorescence

excessivement forte

paraissent

égalem

trouver une

explication

facile par la diffusion du cui

dans le sel gemme. La

phosphorescence

de crist

représentés figure 5,

est incontestablement

provoq

par la

pénétration

du cuivre et les intensités diverse l’émission lumineuse

s’expliquent

par les

concentrati

inégales

du cuivre dans différentes

régions

du cris 7. Observations dans le KCI. - Nous avons

plusieurs

observations sur des

chaperons

dans du K Dans ce cas s’obtiennent les mêmes colloïdes rou

que pour

NaCl,

mais d’une nuance

quelque

peu d

rente. Ils absorbent t tout le

spectre visible,

sauf la

pa

rouge-orange. La diffusion et

l’électrolyse

du cui

procèdent

encore bien

plus rapidement

dans le que dans le sel gemme, mais un examen immédiat

p

approfondi

de ces

phénomènes

off rait peu

d’inté

puisque

les matières initiales

disponibles

d’où les c

taux artificiels de KCI étaient

extraits,

présentai

notoirement des

impuretés

diverses. lïuus mettons train une

épuration

des sels de métaux

alcatins, es

rant

reprendre

ces

expériences

dès l’automne. Pour

terminer,

nous tenons à

exprimer

notre sinc

gratitude

à M. Savostianova et à A.

Filippuv

pour

précieux

conseils et concours au

tiavuil

A. Terenin pour l’autorisation de mettre à

profit

spectrographe

à

quarlz

et à 0. Pavlova pour le cal

due la courbe

d’absorption

des colloïdes de cuivre.

(*) Les chaperons en nombre considérables mesurés par n

n’ont pas tous à beaucoup près donné des courhes coïnci aussi bien avec la courhe théorique que celles i,rpioii>ite; fi La position des maximums était parloul la même, mais valeurs relatives eu variaient sensit-lement.

Manuscrit reçu le ter juillet 1~13L BIBLIOGRAPHIE

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(5) F. BANDOW. Die Ionene nwanderun

Steinsalzkristalle, untersucht mitte’s Phosphoreszenz. Ann.

Références

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