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Annexes au rapport des GUO Cellulite infectieuse chez l'adulte et l'enfant

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Academic year: 2022

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(1)

Cellulite infectieuse chez l’adulte et l’enfant

Annexes complémentaires du rapport en soutien au guide d’usage optimal

OCTOBRE 2017

GUIDES ET NORMES

Une production de l ’Institut national d’excellence en santé

et en services sociaux (INESSS)

(2)

Cellulite infectieuse chez l’adulte et l’enfant

Annexes complémentaires du rapport en soutien au guide d’usage optimal

(3)

Le présent document contient les annexes complémentaires au rapport Cellulite infectieuse chez l’adulte et l’enfant.

Le contenu de cette publication a été rédigé et édité par l’INESSS.

Ces annexes et le rapport final sont accessibles en ligne dans la section Publications de notre site Web.

Renseignements

Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) 2535, boulevard Laurier, 5e étage

Québec (Québec) G1V 4M3 Téléphone : 418 643-1339 Télécopieur : 418 646-8349

2021, avenue Union, bureau 10.083 Montréal (Québec) H3A 2S9 Téléphone : 514 873-2563 Télécopieur : 514 873-1369

inesss@inesss.qc.ca www.inesss.qc.ca

Responsabilité

L’Institut rend accessibles les principales informations qui ont servi à la préparation du rapport Cellulite infectieuse chez l’adulte et l’enfant aux lecteurs qui désirent plus de détails sur sa démarche scientifique.

Ce document n’a pas fait l’objet d’une révision linguistique. Il ne reflète pas forcément les opinions

des autres personnes consultées aux fins du présent dossier.

(4)
(5)

TABLE DES MATIÈRES

ANNEXE A CRITÈRES ET MODÈLES DE RECHERCHE ... 1

ANNEXE B STRATÉGIE DE RECHERCHE D’INFORMATION POUR LES QUESTIONS DE RECHERCHE 1 À 9 .... 2

ANNEXE C SÉLECTION DES DOCUMENTS POUR LES QUESTIONS DE RECHERCHE 1 À 9... 5

ANNEXE D LISTE ET CARACTÉRISTIQUES DES ÉTUDES INCLUSES POUR LES QUESTIONS DE RECHERCHE 1 À 9 ... 6

ANNEXE E ÉVALUATION DE LA QUALITÉ MÉTHODOLOGIQUE DES GPC ET DES RS ... 10

ANNEXE F SOURCE DES PHOTOS PRÉSENTES DANS L’OUTIL D’AIDE AU DIAGNOSTIC (CHEZ L’ADULTE) 15 ANNEXE G SOURCE DES PHOTOS PRÉSENTES DANS L’OUTIL D’AIDE AU DIAGNOSTIC (CHEZ L’ENFANT) 16 ANNEXE H TABLEAUX D’EXTRACTION DES DONNÉES... 17

RÉFÉRENCES ... 91

LISTE DES TABLEAUX Tableau A-1 : Modèle de recherche PIPOH – Questions de recherche 1 à 9 ... 1

Tableau B-1 : Mots clés pour la recherche d’information ... 2

Tableau E-1 : Critères d’évaluation de la grille AGREE II ... 10

Tableau E-2 : Résultats individuels de la qualité des 8 GPC évalués avec la grille AGREE II (évaluateurs 1 [FSP] et 2 [SG]) ... 11

Tableau E-3 : Qualité globale des GPC selon la grille AGREE II ... 13

Tableau E-4 : Évaluation de la RS - Grille R-AMSTAR détaillée (évaluateurs 1 [FSP] et 2 [FK]) ... 14

Tableau H-1 : Extraction des données ... 17

LISTE DES FIGURES

Figure C-1 : Diagramme de flux ... 5

(6)
(7)

ANNEXE A

Critères et modèles de recherche

Tableau A-1 : Modèle de recherche PIPOH – Questions de recherche 1 à 9

PIPOH Description GUO 2016 – Cellulites infectieuses

Population

La population ciblée et les caractéristiques de la maladie, de la condition ou de l’intervention faisant l’objet du GUO.

Population adulte et pédiatrique avec une cellulite infectieuse.

Intervention L’intervention sur laquelle porte le GUO.

L’établissement du diagnostic,

l’antibiothérapie, la prévention et le suivi des cas de cellulite infectieuse chez l’adulte et l’enfant

Professionnels/

Personnes

Les professionnels, les

intervenants ou les patients ou usagers à qui s’adressera le GUO (utilisateurs du guide).

Les médecins de première ligne (cliniques externes et urgences) ainsi que les pharmaciens et les infirmières.

Objectifs (Outcomes)

Les résultats attendus pour le patient ou l’usager, pour la pratique ou pour la communauté (les objectifs du GUO).

Établir des recommandations quant à la prise en charge et au traitement des cellulites infectieuses chez l’adulte et l’enfant dans le but d’obtenir un usage optimal des antibiotiques.

Healthcare setting and context

Le lieu de l’intervention et le contexte dans lequel le GUO sera implanté.

Dans les cliniques externes, cliniques

médicales, cabinets, groupes de médecine

familiale, unités de médecine familiale,

supercliniques et dans les urgences pour

un traitement du patient à domicile ou en

centre de jour

(8)

Annexe B

Stratégie de recherche d’information pour les questions de recherche 1 à 9

Tableau B-1 : Mots clés pour la recherche d’information

Base de données : PubMed (NLM)

Date de la recherche : 5 décembre 2016 Limites : 2011-2016; anglais et français

#1 exp *cellulitis/ OR exp *erysipelas/

#2 (cellulitis OR erysipelas).ti,ab

#3 (((skin OR soft tissue) ADJ infection*) OR skin structure infection* OR SSTI*).ti,ab

#4 (exp guidelines as topic/ OR exp practice guidelines as topic/ OR guideline.pt OR exp health planning guidelines/ OR practice guideline.pt OR exp consensus/ OR consensus development conference, NIH.pt OR consensus development conference.pt OR exp consensus development conferences, NIH as topic/ OR exp consensus development conferences as topic/ OR exp critical pathways/ OR clinical conference.pt OR exp algorithms/ OR exp review literature as topic/ OR exp meta-analysis as topic/ OR exp meta-analysis/ OR meta- analysis.pt OR exp technology assessment,biomedical/ OR (guideline* OR guide line* OR CPG OR CPGs OR guidance OR practical guide* OR practice parameter* OR (best ADJ3 practice*) OR evidence base* OR consensus OR algorithm* OR (clinical ADJ3 pathway*) OR (critical ADJ3 pathway*) OR recommendation* OR committee opinion* OR policy statement* OR position statement* OR standard OR standards OR (systematic*

ADJ3 (review* OR overview* OR literature OR search* OR research*)) OR meta-analy* OR metaanaly* OR met analy* OR metanaly* OR HTA OR HTAs OR technology assessment* OR technology overview* OR technology appraisal*).ti,ab OR (review.pt AND ((medline OR pubmed) AND (cochrane OR embase OR cinahl OR

psycinfo)).ti,ab)) NOT (case reports.pt OR comment.pt OR editorial.pt OR letter.pt)

#5 randomized controlled trial.pt OR pragmatic clinical trial.pt OR exp randomized controlled trials as topic/ OR randomized controlled trial/ OR random allocation/ OR double-blind method/ OR single-blind method/ OR placebos/ OR (random* OR sham OR placebo* OR ((singl* OR doubl* OR tripl* OR trebl*) ADJ (blind* OR dumm* OR mask*))).ti,ab

#6 exp cohort studies/ OR cohort*.ti,ab OR controlled clinical trial.pt

#7 (1 OR 2 OR 3) AND (4 OR 5 OR 6)

(9)

Base de données : Embase (OvidSP) Date de la recherche : 5 décembre 2016 Limites : 2011-2016; anglais et français

#1 exp *cellulitis/ OR exp *erysipelas/

#2 (cellulitis OR erysipelas).ti,ab

#3 (((skin OR soft tissue) ADJ infection*) OR skin structure infection* OR SSTI*).ti,ab

#4 (exp practice guideline/ OR health care planning/ OR consensus/ OR algorithm/ OR systematic review/ OR

"systematic review (topic)"/ OR meta-analysis/ OR "meta analysis (topic)"/ OR biomedical technology assessment/ OR (guideline* OR guide line* OR CPG OR CPGs OR guidance OR practical guide* OR practice parameter* OR (best ADJ3 practice*) OR evidence base* OR consensus OR algorithm* OR (clinical ADJ3 pathway*) OR (critical ADJ3 pathway*) OR recommendation* OR committee opinion* OR policy statement*

OR position statement* OR standard OR standards OR (systematic* ADJ3 (review* OR overview* OR literature OR search* OR research*)) OR meta-analy* OR metaanaly* OR met analy* OR metanaly* OR HTA OR HTAs OR technology assessment* OR technology overview* OR technology appraisal*).ti,ab.) NOT (case report/ OR editorial/ OR letter/)

#5 randomized controlled trial/ OR "randomized controlled trial (topic)"/ OR randomization/ OR double blind procedure/ OR single blind procedure/ OR placebo/ OR (random* OR sham OR placebo* OR ((singl* OR doubl* OR tripl* OR trebl*) ADJ (blind* OR dumm* OR mask*))).ti,ab

#6 exp cohort analysis/ OR exp longitudinal study/ OR exp prospective study/ OR exp follow up/ OR cohort*.ti,ab

#7 (1 OR 2 OR 3) AND (4 OR 5 OR 6)

Base de données : EBM Reviews (OvidSP) Date de la recherche : 5 décembre 2016 Limites : 2011-2016; anglais et français

#1 (cellulitis OR erysipelas).ti,ab,hw,kw

#2 (((skin OR soft tissue) ADJ infection*) OR skin structure infection* OR SSTI*).ti,ab

#3 1 OR 2

Autres sources

Les autres sources consultées sont les suivantes :

• Guidelines International Network (G-I-N)

• National Guideline Clearinghouse (NGC)

• Haute Autorité de Santé (HAS)

• National Institute for Health and Care Excellence (NICE) « Evidence search »

• American Academy of Otorhinolaryngology – Head and Neck Surgery

• Société Française d'ORL et de Chirurgie de la Face et du Cou

• Société canadienne d’otolaryngologie et de chirurgie cervico-faciale

• American Academy of Dermatology

• Association canadienne de dermatologie

(10)

• British Association of Dermatology (BAD)

• European Dermatology Forum

• Société Française de Dermatologie

• Canadian Ophthalmological Society

• American Academy of Ophthalmology

• Association dentaire canadienne

• American Dental Association

• Scottish Dental Clinical Effectiveness Programme

Les monographies canadiennes des différents antibiotiques ont été consultées, de même qu’une recherche de la littérature grise a été effectuée afin d’identifier des documents contenant des informations sur les taux de résistances des différents pathogènes impliqués dans les cellulites infectieuses au Québec et au Canada. Les sites Web des agences et organismes suivants ont été visités :

• Système canadien de surveillance de la résistance aux antimicrobiens

• Institut national de santé publique du Québec/Laboratoire de santé publique du Québec

(INSPQ/LSPQ)

(11)

ANNEXE C

Sélection des documents pour les questions de recherche 1 à 9

Figure C-1 : Diagramme de flux

Documents repérés dans

les bases de données (n = 2214)

Documents repérés dans d’autres sources

(n = 25)

Documents repérés (n = 2239)

Documents sélectionnés (n = 63)

Documents exclus :

• Type de document autre que GPC : n = 43

• Hors-sujet : n = 7

• Document inaccessible : n = 4

• Faible qualité et non canadien : n = 3

Documents inclus dans la synthèse qualitative

(n = 6)

Re ra ge le ct ion In clu sio n

Documents exclus :

 Doublon : n = 4

 Après lecture des titres et résumés : n = 2172

(12)

ANNEXE D

Liste et caractéristiques des études incluses pour les questions de recherche 1 à 9

Type Guide de pratique clinique

Organisme Infectious Diseases Society of America (IDSA)

Auteurs Dennis L. Stevens, Alan L. Bisno, Henry F. Chambers, E. Patchen Dellinger, Ellie J. C. Goldstein, Sherwood L. Gorbach, Jan V. Hirschmann, Sheldon L.

Kaplan, Jose G. Montoya, James C. Wade.

Pays États-Unis

Titre Practice guidelines for the diagnosis and management of skin and soft tissue infections: 2014 update by the Infectious Diseases Society of America

Année 2014 Objectif

Ce guide traite du diagnostic et du traitement approprié de diverses infections de la peau et des tissus mous, allant des infections superficielles mineures aux infections potentiellement léthales telles que la fasciite nécrosante. (mise à jour)

Période de la recherche

documentaire Aucune restriction de date

Sources d’information Banques de données Library of Congress, LISTA (EBSCO) et PubMed.

Conflit d’intérêts

D. L. S. a aucun conflit d’intérêt actuellement et reçoit présentement du soutien à la recherche du « Department of Veterans Affairs » et des

« National Institutes of Health ».

A. L. B. a reçu des honoraires de UpToDate.

H. F. C. a agit à titre de consultant pour Pfizer, AstraZeneca, Theravance et Trius, et a reçu des actions/obligations de Merck et Trius.

E. P. D. a agit à titre de consultant; a reçu des subventions de recherche clinique et/ou des honoraires de conférence de Bayer, Merck, Wyeth- Ayerst, AstraZeneca, Pfizer, Ortho-McNeil, Cubist, Vicuron, InterMune, Peninsula, Johnson & Johnson, Cepheid, Replidyne, Kimberley-Clark, Targanta, Schering-Plough, Enturia, Optimer Pharmaceuticals, Cadence, Implicit, Cardinal, Durata, 3M, Applied Medical et BD-GeneOhm; et a reçu une subvention pour un essai clinique de Tetraphase.

E. J. C. G. a agit à titre de consultant pour Schering-Plough, ViraPharm, Replidyne, Occulus Innovative Sciences, Theravance, Cerexa, Merck et Optimer Pharmaceuticals; a reçu des honoraires de Merck, Johnson &

Johnson; et a reçu des subventions de recherche de Replidyne, Occulus Innovative Sciences, Cubist, Theravance, Pfizer, Cerexa, Johnson &

Johnson, Merck et Optimer Pharmaceuticals.

S. L. G. a reçu des actions/obligations d’Optimer Pharmaceuticals, Cubist

Pharmaceuticals et Cempra Pharmaceuticals; a reçu des honoraires de

l’IDSA (Éditeur, Clinical Infectious Diseases); a agit à titre de consultant

(13)

pour Cempra Pharmaceuticals; a reçu des subventions des « National Institutes of Health ».

S. L. K. a agit à titre de consultant pour Novartis, Pfizer et Wyeth;

a été chercheur principal pour Cubist, Cerexa et Optimer; et a reçu des honoraires de UpToDate et Merck.

Tous les autres auteurs n’ont rapporté aucun conflit d’intérêts potentiel.

Type Guide de pratique clinique

Organisme Infectious Diseases Society of America (IDSA) Auteurs

Catherine Liu, Arnold Bayer, Sara E. Cosgrove, Robert S. Daum, Scott K.

Fridkin, Rachel J. Gorwitz, Sheldon L. Kaplan, Adolf W. Karchmer, Donald P. Levine, Barbara E. Murray, Michael J. Rybak, David A. Talan, Henry F.

Chambers.

Pays États-Unis

Titre Clinical practice guidelines by the Infectious Diseases Society of America for the treatment of methicillin-resistant Staphylococcus aureus infections in adults and children

Année 2011

Objectif Ce guide traite du diagnostic et du traitement approprié des infections causées par les souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méthicilline.

Période de la recherche

documentaire 1961 à 2010

Sources d’information Banque de données PubMed.

Conflit d’intérêts

H.F.C. a reçu des honoraires et des subventions de recherche et a agi à titre de consultant pour Cubist, Ortho-McNeil, Pfizer, Theravance, and Targanta.

S. E. C. a reçu des honoraires de Forest et RibX, a agi à titre de consultant pour Merck et a reçu un soutien à la recherche d’Astellas, Cubist et AdvanDx.

R.D. a reçu des subventions de recherché de Pfizer, Clorox, Sanofi Pasteur, Sage, and GeneOhm.

S.L.K. a reçu des subventions de recherché de Pfizer, a agi à titre de conseiller en leadership SARM pour Pfizer, et participe dans une étude pédiatrique dur la daptomycine.

A.W.K. a reçu des honoraires et des subventions de Cubist

Pharmaceuticals, Merck, Wyeth et Pfizer et a agi à titre de consultant pour Cubist Pharmaceuticals, Theravance, Astellas, Pfizer, Merck et Ortho- McNeil et a posséder des actions de Cubist Pharmaceutical, Pfizer et Johnson and Johnson.

D.P.L. a reçu un soutien à la recherche de Cubist, Johnson & Johnson et Theravance et a agi à titre de conférencier pour Cubist.

B.E.M. a agi à titre de consultant et a reçu du soutien à la recherche de

Johnson & Johnson, Astellas, Pfizer, Cubist, Theravance, Targanta, Sanofi-

(14)

Aventis, Vicuron Pharmaceuticals et Wyeth-Ayerst.

M.R. a reçu des subventions et/ou a agi à titre de conférencier consultant pour Pfizer, Cubist, Theravance/Astellas, Targanta et Johnson & Johnson.

D.A.T. a siégé sur le conseil consultatif de Pfizer, Ortho-McNeil, Astellas, Schering-Plough et Replidyne.

Tous les autres auteurs n’ont rapporté aucun conflit d’intérêts potentiel.

Type Guide de pratique clinique Organisme Seattle Children’s Hospital

Auteurs Lauren Wilson et Derya Caglar.

Pays États-Unis

Titre Cellulitis and abscess Année 2013

Objectif Ce guide traite du diagnostic et du traitement approprié des infections de la peau de type cellulite ou abcès chez les enfants.

Période de la recherche

documentaire 2004-novembre 2012

Sources d’information Banque de données MEDLINE, Cochrane Database of Systematic Reviews, Embase, Clinical Evidence, National Guideline Clearinghouse et TRIP.

Conflit d’intérêts Non-rapporté

Type Guide de pratique clinique Organisme Ne s’applique pas

Auteurs Denise Nassisi et Marisa L. Oishi.

Pays États-Unis

Titre Evidence-based guidelines for evaluation and antimicrobial therapy for common emergency department infections

Année 2012

Objectif Ce guide traite de l’évaluation et du traitement antibiotique approprié des infections communément rencontrées à l’urgence (incluant la cellulite infectieuse).

Période de la recherche

documentaire Non-rapporté

Sources d’information Banque de données PubMed, Ovid MEDLINE®, Cochrane Database of Systematic Reviews, Agency for Healthcare Research and Quality, National Guideline Clearinghouse.

Conflit d’intérêts Les auteurs n’ont rapporté aucun conflit d’intérêts significatif.

(15)

Type Guide de pratique clinique Organisme Ne s’applique pas

Auteurs The Provincial Antibiotic Advisory Team, Health PEI.

Pays Canada

Titre Provincial Antibiotic Advisory Team skin and soft tissue infection empiric treatment guidelines

Année 2014

Objectif Ce guide décrit les différents traitements antibiotiques recommandés pour le traitement des cellulites infectieuses et des érysipèles.

Période de la recherche

documentaire Non-rapporté Sources d’information Non-rapporté Conflit d’intérêts Non-rapporté

Type : Revue systématique Organisme : Ne s’applique pas

Auteurs : Thomas R. Flynn Pays : États-Unis

Titre : What are the antibiotics of choice for odontogenic infections, and how long should the treatment course last?

Année : 2011

Objectifs : Évaluer quels sont les meilleurs choix d’antibiothérapie empirique pour le traitement des infections odontogènes et quelle est la durée de

traitement optimale pour ce type d’infections.

Période de la recherche

documentaire : Essais cliniques : de la création de la base de donnée jusqu’au 27 décembre 2010.

Études en laboratoire : du 1

er

janvier 2000 au 27 décembre 2010.

Sources d’information : PubMed, DARE (Database of Abstracts of Reviews of Effects) et le

« Controlled Trials Register » de la « Cochrane Library »

Conflits d’intérêts : L’auteur n’a rapporté aucun conflit d’intérêts potentiel.

(16)

ANNEXE E

Évaluation de la qualité méthodologique des GPC et des RS

Tableau E-1 : Critères d’évaluation de la grille AGREE II

Domaine 1. Champ et objectifs (score 1 à 7)

1. Le ou les objectifs de la RPC sont décrits explicitement.

2. La ou les questions de santé couvertes par la RPC sont décrites explicitement.

3. La population à laquelle la RPC doit s'appliquer est décrite explicitement.

Domaine 2. Participation des groupes concernés (score 1 à 7)

4. Le groupe de travail ayant élaboré la RPC inclut des représentants de tous les groupes professionnels concernés.

5. Les opinions et leurs préférences de la population cible ont été identifiées.

6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont clairement définis.

Domaine 3. Rigueur d’élaboration de la RPC (score 1 à 7)

7. Des méthodes systématiques ont été utilisées pour rechercher les preuves scientifiques.

8. Les critères de sélection des preuves sont clairement décrits.

9. Les forces et les limites des preuves scientifiques sont clairement définies.

10. Les méthodes utilisées pour formuler les recommandations sont clairement décrites.

11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en termes de santé ont été pris en considération dans la formulation des recommandations.

12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les preuves scientifiques sur lesquelles elles reposent.

13. La RPC a été revue par des experts externes avant sa publication.

14. Une procédure d'actualisation de la RPC est décrite.

Domaine 4. Clarté et présentation (score 1 à 7)

15. Les recommandations sont précises et sans ambiguïté.

16. Les différentes options de prise en charge de l'état ou du problème de santé sont clairement présentées.

17. Les recommandations clés sont facilement identifiables.

Domaine 5. Applicabilité (score 1 à 7)

18. La RPC décrit les éléments facilitant son application et les obstacles

19. La RPC offre des conseils et/ou des outils sur les façons de mettre les recommandations en pratique.

20. Les répercussions potentielles sur les ressources de l'application des recommandations ont été examinées.

21. La RPC propose des critères de suivi et de vérification.

Domaine 6. Indépendance éditoriale (score 1 à 7)

22. Le point de vue des organismes de financement n'a pas influencé le contenu de la RPC.

23. Les intérêts divergents des membres du groupe ayant élaboré la RPC ont été pris en charge et documentés.

Appréciation générale de la qualité du guide (score de 1 à 7) Recommandation de l'utilisation du guide (oui ou non)

(17)

Tableau E-2 : Résultats individuels de la qualité des 8 GPC évalués avec la grille AGREE II (évaluateurs 1 [FSP] et 2 [SG])

IDSA, 2014 [Stevens et al., 2014]

IDSA, 2011 [Liu et al.,

2011]

Seattle, 2013 [Wilson et

Caglar, 2013]

[Nassisi et

Oishi, 2012] [Esposito et

al., 2011] [Atfeh et

Khalil, 2015] [Sartelli et al., 2014]

Évaluateurs 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2

Domaines de la grille AGREE II Domaine 1. Champ et objectifs 1. Le ou les objectifs de la RPC sont

décrits explicitement. 5 7 7 7 7 7 7 7 6 3 6 4 1 1

2. La ou les questions de santé couvertes

par la RPC sont décrites explicitement. 7 7 7 7 5 7 7 7 6 2 5 1 2 2

3. La population à laquelle la RPC doit

s'appliquer est décrite explicitement. 7 7 7 7 7 7 5 5 6 4 5 1 4 4

Domaine 2. Participation des groupes concernés 4. Le groupe de travail qui a élaboré la

RPC inclut des représentants de tous les

groupes professionnels concernés. 5 6 5 5 4 6 5 5 4 5 6 6 6 6

5. Les opinions et les préférences de la

population cible ont été précisées. 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont

clairement définis. 7 7 6 7 5 6 7 7 1 1 1 1 1 1

Domaine 3. Rigueur d’élaboration de la RPC 7. Des méthodes systématiques ont été appliquées pour rechercher les preuves

scientifiques. 5 5 5 7 5 7 2 2 3 2 6 7 1 1

8. Les critères de sélection des preuves

sont clairement décrits. 5 1 7 7 7 7 1 1 1 1 7 4 1 1

9. Les forces et les limites des preuves

scientifiques sont clairement définies. 6 7 7 7 4 7 6 6 7 6 1 1 3 2

10. Les méthodes appliquées pour formuler les recommandations sont

clairement décrites. 3 5 4 5 1 2 3 3 4 4 1 4 3 3

11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en termes de santé ont été pris en considération dans la formulation des recommandations.

5 5 7 7 3 3 5 5 3 5 1 1 4 4

12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les preuves scientifiques sur lesquelles elles reposent.

5 7 7 7 6 1 5 6 7 7 1 1 5 7

13. La RPC a été revue par des experts

externes avant sa publication. 3 5 4 4 2 1 2 1 4 1 4 2 1 1

14. Une procédure d'actualisation de la

RPC est décrite. 5 5 6 4 6 7 1 1 1 1 1 1 1 1

Domaine 4. Clarté et présentation 15. Les recommandations sont précises

et sans ambiguïté. 6 7 6 7 6 7 6 7 6 5 5 5 7 7

16. Les différentes options de prise en charge de l'état ou du problème de santé

sont clairement présentées. 7 7 7 7 7 7 7 7 7 7 7 7 5 7

17. Les recommandations clés sont

facilement repérables. 7 7 7 7 7 7 7 7 7 4 6 4 7 5

Domaine 5. Applicabilité

18. La RPC décrit les éléments facilitant

son application ainsi que les obstacles. 1 1 1 7 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

19. La RPC offre des conseils ou des

outils sur les façons de mettre les 1 1 2 1 6 5 1 1 1 1 1 1 1 1

(18)

IDSA, 2014 [Stevens et al., 2014]

IDSA, 2011 [Liu et al.,

2011]

Seattle, 2013 [Wilson et

Caglar, 2013]

[Nassisi et

Oishi, 2012] [Esposito et

al., 2011] [Atfeh et

Khalil, 2015] [Sartelli et al., 2014]

Évaluateurs 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2

recommandations en pratique.

20. Les répercussions potentielles sur les ressources de l'application des

recommandations ont été examinées. 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

21. La RPC propose des critères de suivi

et de vérification. 1 1 1 1 7 5 1 1 1 1 1 1 1 1

Domaine 6. Indépendance éditoriale 22. Le point de vue des organismes de financement n'a pas influé sur le contenu

de la RPC. 4 4 4 4 1 1 7 7 1 1 1 1 1 1

23. Les intérêts divergents des membres du groupe qui a élaboré la RPC ont été

pris en charge et documentés. 7 7 7 7 1 1 5 6 1 1 3 3 3 6

Somme de la cotation pour les 23

critères 104 111 116 124 100 104 93 95 80 65 72 59 61 65

Qualité générale du guide (1 à 7) 5 5 5 5 4 5 4 4 3 2 3 2 3 4

Recommandation de l'utilisation du

guide Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Non Non Non Non Non Non

(19)

Tableau E-3 : Qualité globale des GPC selon la grille AGREE II

IDSA, 2014

[Stevens et al., 2014] IDSA, 2011

[Liu et al., 2011] Seattle, 2013

[Wilson et Caglar, 2013] [Nassisi et Oishi, 2012]

Évaluateurs 1 2 1 2 1 2 1 2

Dimensions T* % T* % T* % T* %

Champ d’application et objectifs 19 21 40 94,4 21 21 42 100 19 21 40 94,4 19 19 38 88,9

Participation des groupes concernés 13 14 27 58,3 12 13 25 52,8 10 13 23 47,2 13 13 26 55,6

Rigueur du proc. d’élaboration du guide 37 40 77 63,5 47 48 95 82,3 34 35 69 55,2 25 25 50 35.4

Clarté et présentation 20 21 41 97,2 20 21 41 97,2 20 21 41 97,2 20 21 41 97,2

Applicabilité 4 4 8 0,0 5 10 15 14,6 15 12 27 39,6 4 4 8 0,0

Indépendance éditoriale 11 11 22 75,0 11 11 22 75,0 2 2 4 8,3 12 13 25 87,5

Total 104 111 215 116 124 240 100 104 204 93 95 188

Score global 61,2 70,3 57,2 51,4

Recommandation - utilisation guide Oui Oui Oui Oui

[Esposito et al., 2011] [Atfeh et Khalil, 2015] [Sartelli et al., 2014]

Évaluateurs 1 2 1 2 1 2

Dimensions T* % T* % T* %

Champ d’application et objectifs 18 9 36 83,3 16 6 22 44,4 7 7 14 22,2

Participation des groupes concernés 6 7 13 19,4 8 8 16 27,8 8 8 16 27,8

Rigueur du proc. d’élaboration du guide 30 27 57 42,7 22 21 43 28,1 19 20 39 24,0

Clarté et présentation 20 16 36 83,3 18 16 34 77,8 19 19 38 88,9

Applicabilité 4 4 8 0,0 4 4 8 0,0 4 4 8 0,0

Indépendance éditoriale 2 2 4 0,0 4 4 8 16,7 4 7 11 29,2

Total 80 65 145 72 59 131 61 65 126

Score global 35,9 30,8 29,0

Recommandation - utilisation guide Non Non Non

*Somme des scores obtenus par domaine pour chaque évaluateur.

† Pourcentage des scores par domaine = [(Total – score minimal possible (46))/ (score maximal possible (322) -score minimal possible(46))] x 100.

** Score global = [(Total des scores pour l’ensemble des domaines – score minimal possible (46))/ (score maximal possible (322) - score minimal possible(46))] x 100.

(20)

Tableau E-4 : Évaluation de la RS - Grille R-AMSTAR détaillée (évaluateurs 1 [FSP] et 2 [FK])

[FLYNN, 2011]

Évaluateurs 1 2

1. Un plan de recherche établi a priori est-il fourni? 3 3

2. La sélection des études et l’extraction des données ont-ils

été confiés à au moins deux personnes? 1 1

3. La recherche documentaire était-elle exhaustive? 3 4

4. La nature de la publication (littérature grise, par exemple)

était-elle un critère d’inclusion? 2 2

5. Une liste des études (incluses et exclues) est-elle fournie? 4 4 6. Les caractéristiques des études incluses sont-elles

indiquées? 1 2

7. La qualité scientifique des études incluses a-t-elle été

évaluée et consignée? 2 2

8. La qualité scientifique des études incluses dans la revue a- t-elle été utilisée adéquatement dans la formulation des

conclusions? 3 4

9. Les méthodes utilisées pour combiner les résultats des

études sont-elles appropriées? 1 1

10. La probabilité d’un biais de publication a-t-elle été

évaluée? 1 2

11. Les conflits d’intérêts ont-ils été déclarés? 2 2

Total 23 27

Pourcentage moyen 56,8 %

Qualité méthodologique Moyenne

(21)

Annexe F

Source des photos présentes dans l’outil d’aide au diagnostic (chez l’adulte)

Cellulite infectieuse et signaux d’alarmes :

Les photos #1, 2 et 5 sont utilisées avec l’autorisation du D

re

Georgette Leclerc, Département de médecine spécialisée, Service de dermatologie, Centre de santé et de services sociaux de Chicoutimi.

La photo #3 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Julien Ghannoum, Service de médecine dentaire, Hôpital Notre-Dame du Centre Hospitalier Universitaire de Montréal.

La photo #4 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Stan L. Block et provient de : Block SL, Getting an eyeful of preseptal cellulitis. Pediatr Ann 2013;42(3):99-102.

La photo #6 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Marc Lebel, Service des maladies infectieuses, Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine de Montréal.

La photo #7 a été reproduite avec l'autorisation de John N. Harrington, MD, FACS, Baylor University Medical Center, publiée par Medscape Drugs & Diseases

(http://emedicine.medscape.com), 2017. Disponible à : http://emedicine.medscape.com/article/1217858-overview.

Diagnostic différentiel :

Les photos #1, 6 et 9 sont utilisées avec l’autorisation du D

re

Georgette Leclerc, Département de médecine spécialisée, Service de dermatologie, Centre de santé et de services sociaux de Chicoutimi.

Les photos #2, 5, 7 et 8 sont utilisées avec l’autorisation de shutterstock.com.

Les photos #3 et 11 sont utilisées avec l’autorisation du D

r

Afshin Hatami, Département de dermatologie, Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine de Montréal.

La photo #4 provient de : Primary Care Dermatology Society (PCDS). Figure 3 Gravitational eczema - Both legs affected. Dans : Eczema: Gravitational eczema (syn. varicose eczema or stasis dermatitis) [site Web]. 2016. Disponible à : http://www.pcds.org.uk/clinical-guidance/eczema- gravitational-eczema-syn.-varicose-eczema-or-stasis-dermatitis.

La photo #10 provient de : Primary Care Dermatology Society (PCDS). Figure 6 Erythema migrans.

Dans : Lyme disease (and erythema migrans) [site Web]. 2017. Disponible à :

http://www.pcds.org.uk/clinical-guidance/lyme-disease#images .

(22)

Annexe G

Source des photos présentes dans l’outil d’aide au diagnostic (chez l’enfant)

Cellulite infectieuse et signaux d’alarmes :

Les photos #1 et 2 sont utilisées avec l’autorisation du D

re

Georgette Leclerc, Département de médecine spécialisée, Service de dermatologie, Centre de santé et de services sociaux de Chicoutimi.

La photo #3 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Julien Ghannoum, Service de médecine dentaire, Hôpital Notre-Dame du Centre Hospitalier Universitaire de Montréal.

La photo #4 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Stan L. Block et provient de : Block SL, Getting an eyeful of preseptal cellulitis. Pediatr Ann 2013;42(3):99-102.

La photo #5 est utilisée avec l’autorisation du D

r

Marc Lebel, Service des maladies infectieuses, Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine de Montréal.

La photo #6 a été reproduite avec l'autorisation de John N. Harrington, MD, FACS, Baylor University Medical Center, publiée par Medscape Drugs & Diseases

(http://emedicine.medscape.com/), 2017. Disponible à:

http://emedicine.medscape.com/article/1217858-overview.

Diagnostic différentiel :

Les photos #1 et 7 sont utilisées avec l’autorisation du D

re

Georgette Leclerc, Département de médecine spécialisée, Service de dermatologie, Centre de santé et de services sociaux de Chicoutimi.

Les photos #2, 4 et 5 sont utilisées avec l’autorisation de shutterstock.com.

Les photos #3, 6 et 9 sont utilisées avec l’autorisation du D

r

Afshin Hatami, Département de dermatologie, Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine de Montréal.

La photo #8 provient de : Primary Care Dermatology Society (PCDS). Figure 6 Erythema migrans.

Dans : Lyme disease (and erythema migrans) [site Web]. 2017. Disponible à :

http://www.pcds.org.uk/clinical-guidance/lyme-disease#images.

(23)

ANNEXE H

Tableaux d’extraction des données

Tableau H-1 : Extraction des données

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

Populations cibles Otherwise healthy

hosts and compromised hosts of all age groups.

Methicillin- Resistant Staphylococcus aureus Infections in Adults and Children.

Suspected skin/soft tissue infection in children > 44 weeks CGA.

Management of common infectious diseases presenting to the ED.

Non-spécifié Chow 2012:

Children and Adults Desrosiers 2011:

Limited to the adult population

Rosenfeld 2015:

Adults Skye 2013:

Non-immune compromised adults Wald 2013:

Children Aged 1 to 18 Years

Généralités Pathogènes Combined data from

specimen cultures, serologic studies [41, 48–51], and other methods (eg,

immunohistochemical staining to detect antigens in skin

In the pre–CA MRSA era, microbiologic investigations using needle aspiration or punch biopsy cultures of

nonpurulent cellulitis

Nonpurulent cellulitis is usually due to group A streptococci (although studies are limited due to the difficulty culturing from these infections)

∅ Pathogens in typical cellulitis can include β- hemolytic

Streptococcus (Group A, B, C, and G) with Group B more common with diabetics, PVD, recurrent infections,

Rhinosinusites bactériennes (pouvant se compliquer en cellulite

périorbitaire/orbitaire:

Chow 2012, Desrosiers

Dumaresq 2016, CISSS Chaudière- Appalaches : Les streptocoques bêta-hémolytiques (groupes A, B, C et G) sont les

(24)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

biopsies [51, 52]), suggests that the vast majority of these infections arise from streptococci, often group A, but also from other groups, such as B, C, F, or G.

Staphylococcus aureus less frequently causes cellulitis, but cases due to this organism are typically associated with an open wound or previous penetrating trauma, including sites of illicit drug injection.

MRSA is an unusual cause of typical cellulitis. A prospective study of patients with cellulitis in a medical center with a high incidence of other MRSA-related SSTIs demonstrated that treatment with β- lactams, such as cefazolin or oxacillin, was successful in 96%

of patients, suggesting that cellulitis due to MRSA is uncommon

identified b- hemolytic

streptococci and S.

aureus as the main pathogens.

In the majority of cases, a bacterial etiology was not identified, but MSSA was the most common pathogen among those who were culture positive [128–133]. A retrospective case- control study in children with nonpurulent cellulitis found that,

compared with b- lactams, clindamycin provided no

additional benefit, whereas TMP-SMX was associated with a slightly higher failure rate [134].

The only prospective study of

nonculturable cellulitis among hospitalized inpatients found that b-hemolytic

streptococci (diagnosed by acute- and

Purulent cellulitis may be caused by MSSA, MRSA, or group A streptococci (GAS).

• Approximately 27%

of S. aureus isolates from wounds are MRSA at Seattle Children’s (2012-13 data)

trauma/excoriation, and lymphedema.

Staphylococcus aureus in non-

immunocompromised patients typically presents with folliculitis or trauma leading to an abscess. Community acquired MRSA can occasionally present as streptococcal disease above.

Outside of water exposure, bites, burns, or trauma (including through footwear), Gram-negatives do not have a significant role in an immunocompetent host.

2011, Rosenfeld 2015, Skye 2013, Wald 2013:

Streptococcus pneumoniae,

Haemophilus influenza, Moraxella catarrhalis, Staphylococcus aureus,

Autres pathogènes Chow 2012, Desrosiers 2011, Skye 2013 : Streptococcus pyogenes (or other streptococcus), oral anaerobes Autres pathogènes Chow 2012, Desrosiers 2011 :

gram-negative bacilli

principaux agents étiologiques des cellulites /érysipèles.

Tétrault 2016, INSPQ/LSPQ : La proportion de souches de SARM parmi le nombre total de

Staphylococcus aureus isolés de pus superficiels et pus profonds de la peau et des tissus mous de patients provenant de la communauté est de 10 %. Ce taux varie de 4 à 15 % selon les régions, en excluant les régions

«Nunavik, Baie James»

(25)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

and treatment for that organism is usually unnecessary [50]

In nonpurulent cellulitis, the clinical isolation rate of a pathogen is <20%.

This leaves the modern clinician with an unconfirmed diagnosis 80% of the time.

Several other organisms can cause cellulitis, but usually only in special circumstances, such as animal bites, freshwater or saltwater immersion injuries, neutropenia, or severe cell-mediated

immunodeficiency.

(Animal bites) Purulent bite wounds and abscess are more likely to be polymicrobial (mixed aerobes and anaerobes), whereas nonpurulent wounds commonly yield staphylococci and streptococci [156, 157].

Pasteurella species are commonly isolated from both nonpurulent

convalescent-phase serological testing for anti-streptolysin- O and anti-DNase-B antibodies or positive blood culture results) accounted for 73%

of the cases; despite the lack of an identifiable etiology in 27% of cases, the overall clinical response rate to b- lactam therapy was 96% [135]. Although additional research is needed to characterize the microbiology of nonpurulent cellulitis, currently available data suggests that b- hemolytic

streptococci may be the primary

pathogen.

Among patients presenting with purulent SSTI to 11 emergency departments throughout the United States, CA- MRSA was the

(26)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

wounds with or without lymphangitis and from abscesses.

Additionally, nonpurulent wound infections may also be polymicrobial [156].

Human bites may occur from accidental injuries, purposeful biting, or closed-fist injuries. The bacteriologic

characteristics of these wounds are complex, but include aerobic bacteria, such as Streptococci, S. aureus, and Eikenella

corrodens, as well as with multiple anaerobic organisms, including Fusobacterium, Peptostreptococcus, Prevotella, and Porphyromonas species.

Compléments d’information tirés du GPC IDSA 2005:

Many other infectious agents can produce cellulitis, but usually only in special

circumstances. With cat or dog bites, for

dominant organism, isolated from 59% of patients, followed by MSSA (17%); b- hemolytic streptococci accounted for a much small

proportion (2.6%) of these infections [11].

(27)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

example, the organism responsible is typically Pasteurella species, especially P. multocida, or Capnocytophaga canimorsus. A.

hydrophila may cause cellulitis following immersion in fresh water, whereas infection after saltwater exposure can arise from Vibrio species, particularly V. vulnificus in warm climates.

Periorbital cellulitis due to Haemophilus influenza can occur in children. Diagnostic and therapeutic considerations of this infection have been reported by the Committee on Infectious Diseases, American Academy of Pediatrics [6]. In neutropenic hosts, infection may be due to Pseudomonas

aeruginosa or other gram-negative bacilli, and in patients infected with HIV, the

responsible organism may be Helicobacter cinaedi [71].

(28)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

Occasionally, Cryptococcus neoformans causes cellulitis in patients with deficient cell-mediated immunity.

The predominant pathogens in bite wounds are the normal oral flora of the biting animal, along with human skin organisms and occasional secondary invaders (e.g., S. aureus and S.

pyogenes).

The average wound yields 5 types of bacterial isolates (range, 0–16 types of bacterial isolates), with

∼60% yielding mixed aerobic and anaerobic bacteria. Pasteurella species are isolated from 50% of dog bite wounds and 75% of cat bite wounds.

Staphylococci and streptococci are found in ∼40% of bites from both types of animals.

Facultative gram- negative rods are uncommon.

Bacteroides species,

(29)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

fusobacteria, Porphyromonas species, Prevotella heparinolytica, proprionibacteria, and peptostreptococci are common anaerobes isolated from both dog bite wounds and cat bite wounds [113].

The bacteriologic characteristics of these [human bite] wounds reflect the normal oral flora of the biter, with streptococci (especially viridans streptococci) in 80% of wounds, as well as staphylococci, Haemophilus species, and Eikenella

corrodens as prominent aerobic pathogens [112, 115].

Définition

“Cellulitis” and

“erysipelas” refer to diffuse, superficial, spreading skin infections. The term

“cellulitis” is not appropriate for

cutaneous inflammation associated with collections of pus, such as in septic bursitis,

∅ Cellulitis is an infection of the skin and underlying soft tissue. It is

characterized by pain, erythema, edema and warmth.

- Purulent cellulitis is cellulitis associated with drainage or

∅ ∅ ∅ ∅

(30)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

furuncles, or skin abscesses. For example, when cutaneous redness, warmth, tenderness, and edema encircle a suppurative focus such as an infected bursa, the appropriate terminology is “septic bursitis with

surrounding

inflammation,” rather than “septic bursitis with surrounding cellulitis.” This distinction is clinically crucial, for the primary treatment of cellulitis is antimicrobial therapy, whereas for purulent collections the major component of management is drainage of the pus, with antimicrobial therapy either being unnecessary or having a subsidiary role (Figure 1 and Table 2).

exudate, currently or by history. A drainable abscess may or may not be present.

- Nonpurulent cellulitis has no drainage, exudate or abscess present.

Autres These infections arise

when microbes breach the cutaneous surface, especially in patients with fragile skin or diminished

∅ ∅ ∅ ∅ Desrosiers 2011:

Periorbital or orbital cellulitis is the most common complication of Acute Bacterial RhinoSinusitis and

(31)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

local host defenses from such conditions as obesity, previous cutaneous trauma (including surgery), prior episodes of cellulitis, and edema from venous insufficiency or lymphedema

[36, 37]. The origin of the disrupted skin surface may be obvious, such as trauma, ulceration, and preexisting cutaneous inflammation, but often the breaks in the skin are small and clinically unapparent.

These infections are most common on the lower legs.

Compléments d’information tirés du GPC IDSA 2005:

The origin of the disrupted cutaneous barrier may be trauma, preexisting skin infections such as impetigo or ecthyma, ulceration, fissured toe webs from maceration

most often caused by acute ethmoid and/or frontal disease [36,37].

Infection spreads from the sinuses to the orbit with relative ease [38,39].

(32)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

or fungal infection, and inflammatory

dermatoses, such as eczema.

Prévention

Facteurs de risque et mesures préventives Patients with a previous

attack of cellulitis, especially involving the legs, have annual recurrences rates of about 8%–20% [65–

67].

Edema, especially lymphedema and other local risk factors such as venous insufficiency, prior trauma (including surgery) to the area, and tinea pedis or other toe web abnormalities [65–71], increase the frequency of

recurrences. Other predisposing conditions include obesity, tobacco use, a history of cancer, and homelessness [66, 67, 71].

Addressing these factors might decrease the frequency of recurrences, but evidence for any such a

Recurrent SSTIs Preventive educational messages on personal hygiene and appropriate wound care are recommended for all patients with SSTI.

Instructions should be provided to:

i. Keep draining wounds covered with clean, dry bandages (A-III).

ii. Maintain good personal hygiene with regular bathing and cleaning of hands with soap and water or an alcohol- based hand gel, particularly after touching infected skin or an item that has directly

contacted a draining wound (A-III).

∅ ∅ Foot Care.

Treatment of tinea pedis.

Control of eczema.

MRSA decolonization (selective)

∅ ∅

(33)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

benefit is sparse.

Elevation of the affected area and treatment of

predisposing factors, such as edema or underlying cutaneous disorders, are

recommended (strong, moderate) In lower-extremity cellulitis, clinicians should carefully examine the interdigital toe spaces because treating fissuring, scaling, or maceration may eradicate colonization with pathogens and reduce the incidence of recurrent infection (strong, moderate).

The source of these pathogens is frequently unclear, but in many cases of leg cellulitis, the responsible streptococci reside in macerated, scaly, or fissured interdigital toe spaces [53, 54]. This observation

underscores the importance of detecting

iii. Avoid reusing or sharing personal items (eg,

disposable razors, linens, and towels) that have contacted infected skin (A-III).

Environmental hygiene measures should be

considered in patients with recurrent SSTI in the household or community setting:

Decolonization may be considered in selected cases if:

i. A patient develops a recurrent SSTI despite optimizing wound care and hygiene measures (C-III).

ii. Ongoing transmission is occurring among household members or other close contacts despite optimizing wound care and hygiene measures (C-III).

(34)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

and treating tinea pedis, erythrasma, and other causes of toe web abnormalities.

Identify and treat predisposing conditions such as edema, obesity, eczema, venous insufficiency, and toe web

abnormalities (strong, moderate).

These practices should be performed as part of routine patient care and certainly during the acute stage of cellulitis (strong, moderate).

Compléments d’information tirés du GPC IDSA 2005:

Surgical procedures that increase the risk for cellulitis,

presumably due to disruption of lymphatic drainage, include saphenous venectomy [49, 50], axillary node dissection for breast cancer [51, 52], and operations for gynecologic malignancies that

Decolonization strategies should be offered in

conjunction with ongoing reinforcement of hygiene measures.

Oral antimicrobial therapy is recommended for the treatment of active infection only and is not routinely recommended for decolonization (A- III). An oral agent in combination with rifampin, if the strain is susceptible, may be considered for decolonization if infections recur despite above measures (CIII).

In cases where household or interpersonal transmission is suspected:

i. Personal and environmental hygiene measures in the patient and contacts are recommended (A-

(35)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

involve lymph node dissection, especially when followed by radiation therapy, such as radical vulvectomy and radical

hysterectomy [53, 54].

III).

ii. Contacts should be evaluated for evidence of S.

aureus infection:

a. Symptomatic contacts should be evaluated and treated (A-III); nasal and topical body decolonization strategies may be considered following treatment of active infection

(C-III).

b. Nasal and topical body decolonization of asymptomatic household contacts may be considered (C-III).

Antibiotiques en prophylaxie Administration of

prophylactic antibiotics, such as oral penicillin or erythromycin bid for 4–52 weeks, or intramuscular benzathine penicillin every 2–4 weeks, should be considered in patients who have 3–4 episodes of cellulitis per year despite attempts to treat or control predisposing factors

∅ ∅ ∅ ∅ ∅ ∅

(36)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

(weak, moderate).

This program should be continued so long as the predisposing factors persist (strong,

moderate).

Two randomized trials using twice-daily oral penicillin or

erythromycin demonstrated a substantial reduction in recurrences among the antibiotic recipients compared to controls [72, 73]. An

observational trial of monthly intramuscular injections of 1.2 million units of benzathine penicillin found that this regimen was beneficial only in the subgroup of patients who had no identifiable

predisposing factors for recurrence [74]. In a study of patients with recurrent cellulitis involving arm

lymphedema caused by breast cancer

treatment, 2.4 million units of biweekly intramuscular

(37)

Stevens 2014 (Infectious Diseases

Society of America) États-Unis Qualité modérée (score

61)

Liu 2011 (Infectious Diseases Society

of America) États-Unis Qualité modérée

(score 70)

Wilson 2013 (Seattle Children’s

Hospital) États-Unis Qualité modérée

(score 57)

Nassisi 2012 États-Unis Qualité modérée

(score 51)

HPEI 2014 (Health Prince Edward Island)

Canada (N/A)

GPCs utilisés pour le GUO sur la

rhinosinusite Données contextuelles

benzathine penicillin seemed to reduce the frequency of episodes, but there was no control group [75]. The duration of therapy is indefinite, and infections may recur once prophylaxis is discontinued.

For example, a recent double-blind

comparative trial demonstrated that phenoxymethyl- penicillin given as 250 mg twice daily for 12 months increased the time to recurrence to 626 days compared with 532 days in the control group and decreased the

frequency of recurrence from 37% to 22% [76].

Symptômes These infections cause

rapidly spreading areas of erythema, swelling, tenderness, and warmth, sometimes accompanied by lymphangitis and inflammation of the regional lymph nodes.

∅ • Erythema, warmth,

edema universally present

• Induration or fluctuance (the latter diagnostic of fluid collection) may be present

∅ ∅ Rosenfeld 2015:

Patients with a reconfirmed diagnosis of ABRS who fail treatment, especially those with a worsening pattern of illness, should be examined for complications that include orbital or intracranial spread of

Références

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