TRANSPLANTATION
Renal transplantation in children 15 kg or less:
The British Columbia Children's Hospital experience.
J. J. MICKELSON, A. E. MACNEILY, J. LEBLANC, C. WHITE AND W. A. GOURLAY.
Pediatric Urology, British Columbia Children S Hospital, Universi@ ofBritish Columbia, Vancouver, British Columbia, Canada.
J . Urol., 2006, 176: 1797-800.
Purpose
Small infants are the most challenging group of patients to undergo renal transplantation. We reviewed the transplantation experience at Our institution with children less than 15 kg at transplantation.
Materials and Methods
We retrospectively reviewed the records of 24 recipients in a 20- year period. Technical and
allograft outcomes were compared to those in the North Ameri- can Pediatric Renal Transplant Cooperative Study database.
Results
Since the inception of our program 24 recipients weighing 15 kg or less who were 6 years or younger have undergone transplanta- tion. Seven grafts (29%) were from living donors. At transplan- tation mean age was 3.1 years (range 1.8 to 5.7) and mean weight was 13.4 kg (range 9.0 to 15.7). Average cold and warrn ischemic times were 14.1 hours (range 3.4 to 37.2) and 23.1 minutes (range 2 1 to 41), respectively. Early complications were ureteral stricture requinng pyeloureterostomy in 1 case, reversi- ble acute tubular necrosis in 2 and early arterial thrombosis sal- vaged by immediate thrombectomy in 1. Delayed complications were arterial stenosis requiring angioplasty in 2 cases, and 3 delayed deaths related to malignant hypertension in 2 and sepsis in 1. No grafts were lost due to thrombosis. Mean serum creati- nine at years 1 to 3 and 5 were 48.5,67.5, 79.1 and 84.4 and 5 years. Overall results compare favorably to those in the North American Pediatric Renal Transplant Cooperative Study.
Conclusions
With a multidisciplinary team effort successful results can be achieved in this challenging group of patients.
Commentaires
moins de 15Kg au moment de la transplantation. L 'IRT était dans 80% des cas due à une uropathie malfarmative.
Remarques sur le plan technique:
Il n'a pas été retrouvé de précisions concernant l'âge des don- neurs, mais l'utilisation fréquente de l'artère iliaque interne ou externe par voie extra-péritonéale laisse supposer des donneurs jeunes.
Une sonde JJ a été utilisée dans 50% des cas, mais aucunepré- cision n 'a été donnée sur son éventuelle utilisation systématique actuellement.
Les sutures vasculaires étaient réaliséespar un chirurgien car- diaque etpar surjet defil monobrin 6/0 et non par points sépa- rés sans bolus systématique d'héparine en per-opératoire. Par contre un contrôle Doppler en per-opératoire est devenu systé- matique depuis 2000.
96% des enfants avaient des corticoïdes mais pas de précision sur la durée en sachant que la plupart des équipes privilégient l'arrêt total des corticoïdes chaque fois que c'est possible.
Le remplissage per etpost-opératoire joue un rôle important mais ses modalités restent à définir surtout en ce qui concerne la surveillance 'Ipression veineuse centrale" et/ou '>ression arté- rielle sanglante".
Il est important d'avoir des vaisseaux "sans coudure" et il ne faut pas hésiter à les raccourcir et supprimer lepatch si néces-
saire pour éviter la thrombose.
Les résultats sont remarquables avec une survie du transplant de 88% a 2 ans et une clairance à 72ml/mn à 5 ans, conjhvant la transplantation pédiatrique comme le traitement depréféren- ce de 1 'IRT de 1 'enfant.
G. KARAM.
Urologie, CHU Hôtel Dieu, Nantes Les auteurs rappellent dans cet article que la transplantation
rénale chez les enfants de moins de 15kg est le meilleur traite- ment de 1'insufJisance rénale terminale (IRT) malgré les risques chirurgicaux surtout vasculaires. Cette frange de population est plus que rare puisque 24 sur les 163 enfants transplantés entre 1984 et 2003 soit (I5%), avaient moins de 6 ans etpesaient