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University of Groningen

Etude sur les sources de la passion du Palatinus Maas, Paul Marie

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Publication date:

1942

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Citation for published version (APA):

Maas, P. M. (1942). Etude sur les sources de la passion du Palatinus. Groningen: St. Maarten.

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(2)

CHAPITRE XXVN.

Conclusions.

Notre étude sur la Possiozr, duPalatíruts étant terminée, nous voudrions ajouter un apergu des principaux résultats obtenus.

Quelque modestes qu'ils soient, nous espérons que ces résul- tats pouront contribuer à faire mieux comprendre les rapports obscurs qui existent entre notre Passion et ses sources et entre les différents jeux apparentés. Commengons par l'influence exercée par la liturgie.

A. La Lifurgie et la Passion du Palatinus.

1') Le róle que donne I'auteur de P aux enfants pendant I'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, a été sans doute inspiré par la Processian du Dimanch'e des Rameaur. Con- trairement au jeu de Benediktbeuern et aux Passions du ms.

Ste Geneaiàse et d.e Semur qui suivent de très près les textes liturgiques, il n'est pas s0r que ceux-ci soient en rapport avec l'épisode dt Palatinus. Les vers 5í-59 semblent avoir subi I'influence de la iiturgie de I'Avent, mais peuvent aussi se rapporter à la Descente aux Enfers.

2") L'acte dévot de Muri,e Ma.d,eleíne, oignant les pieds du Christ, était commémoré dans les h5rmnes et les antiennes;

I'EgIise avait même réservé un jour spécial pour rappeler cette action,le sabbaturn uacuns. La scène dans P ne montre aucune influence de la liturgie: tout au plus les vers qui sui- vent P 122, rappellent la formule du prêtre après la rémission des péchés.

3') Les paroles prononcées par Jésus pendant I'institution de I'Eucharistie (13S-136) sont dues à I'influence de la liturgie.

4") Une des cérémonies les plus en vogue au moyen àge c.à.d. le mandatum n'a pas trouvé d'écho dans P, qui ne connait même pas la scène.

5") Les vers 233-234 ont été empruntés d'un répons du jeudi saint.

6") I1 est très probable que les Plnintes de lnVierge ont

fait, à I'origine, partie de I dans P est apparenté à la p ractère est vraisemblablerr Lamentations de Ia Víerge, aient aussi servi de sourcer

Il est probable que I'aut vers 1158-1164, a été inf tandis que les vers L131-1 textes liturgiques qui parl Marie.

7'l Nous croyons que 1' che d,es Rameaur etla Dédi la scène du Desceasas dans cérémonies ont contribué i portas plus populaire. Le fa des Pères, porte sa croix, e ou de I'iconographie.

8') La mise au tombe:

Depositio.

9') Les premiers vers (1716-1?18) ont été empn la Seragésàme.

10") L'idée d'insérer da trois Maries et une visite è L'auteur de P. contrairemet servi des textes accompagn le v. 1856 lui a été connu pa:

de Tours. Le boniment, prr sans doute par quelque ,,he

11') Les vers P 1964-:

de la Vásitatio, tandis que 72') la formule finale ( du moyen àge.

B. Les rapports enhe P, I sources.

Bien que souvent P (ou s Jongleurs, les cas oi le te;

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IuPalatinlÉ étant terminée, nous des principaux résultats obtenus.

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r du Palatinus.

ruteur de P aux enfants pendant i à Jérusalem, a été sans doute ', Dimanch,e des Rameaur. Con- lctbeuern et aux Passions du ms.

1ui suivent de très près les textes le ceux-ci soient en rapport avec vers 5í-59 semblent avoir subi

I'Avent, mais peuvent aussi se lnlers.

e Madeleine, oignant les pieds du ns les hlrmnes et les antiennes;

i un jour spécial pour rappeler cons. La scène dans P ne montre gie: tout au plus les vers qui sui- mule du prêtre après la rémission les par Jésus pendant l'institution

sont dues à l'influence de la les plus en vogue au moyen àge i trouvé d'écho dans P, qui ne rt été empruntés d'un répons du 1ue les Plaintes d,e ln Vierge onit

fait, à I'origine, partie de l'Adora.ti,o. Sans doute le Planctus dans P est apparenté à la plainte catalane íI'Ager, dont le ca- ractère est vraisemblablement liturgigue, bien que d'autres Lam,entations de Ia Vierge, en latin et peut-être en frangais, aient aussi servi de sources à P.

Il est probable que I'auteur du Palatinus, en écrivant les vers 1158-1164, a été influencé par I'OJfice d,es Ténèbres, tandis que les vers 1131-1L33 et 1136-1141 sont un écho de textes liturgiques qui parlent de la maternité virginale de Marie.

?') Nous croyons que I'Eleuatío,la Procession du Diman- che d,es Rarneaur etla Dédrcace des Eglises n'ont pas influencé la scène du Descensus dans P; tout au plus les deux dernières cérémonies ont contribué à rendre la formule de l'Attollite portas plus populaire. Le fait que Jésus, en entrant au Limbe des Pères, porte sa croix, est emprunté de textes liturgiques ou de I'iconographie.

8') La mise au tombeau n'a pas été influencée par la Depositio.

9') Les premiers vers de la scène de la Rásunection (1716-1718) ont été empruntés à L'lntroït du Dimanch,e de la Seragésíme.

10") L'idée d'insérer dans le texte de P une Plainte des trois Maries et une visite à l'épicier sera due à la Visitotio.

L'auteur de P, contrairement à la Possiort Did,ot, ne s'est pas servi des textes accompagnant cette cérémonie: tout au plus le v. 1856 lui a été connu par une Vuitatio ou par le jeu pascal de Tours. Le boniment, prononcé par I'épicier, a été inspiré sans doute par quelque ,,herberie".

11') Les vers P 1964-1986 ont subi en partie f inÍluence de la VisiÍatio, tandis que

12') la formule finale (198$-1996) remonte à une prière du moyen àge.

B. Les rapports entre P, la Passion des Jongleurs et d'autres sources.

Bien que souvent P (ou sa source) remonte à la Passion des Jongleurs, les cas oir le texte de P est indépendant de celui

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de J (cf. les chapitres I B, II, III, VII 3 et 4, XI, XIV, XVI, XVII, XX, XXI B, XXUI, XXIV, XXV, XXVI) et oir les correspondances sont partielles (ch. XXIÏ) ou vagues (ch. IX, X 1, X 3, XVI[, XIX, XXI A) sont beaucoup plus nombreux.

En outre I'ordre chronologique dans P est souvent fautif, contrairement à J (ch. II, IV, V, VII, VIII, IX, X, XI, XU).

Comment faut-il expliquer cette confusion des faits?

L'auteur de P, ou plutót son modèle, a connu sans doute la Passioro des Jongleurs, quoique celle-ci n'ait pas été sa sour- ce unique et que le nombre des vers originaux ou empruntés d'autres textes soit beaucoup plus grand que ceux tirés de J.

Si cependant I'auteur de la Passion originale avait eu devant lui le texte écrit de J dont il aurait emprunté ce que bon lui semblait, il n'aurait pas confondu les événements dans la mesure qu'il l'a fait, parce que J donne un texte beaucoup plus logique que P et qu'il suit assez fidèlement le récit évangélique. Nous croyons qu'il est probable que notre auteur savait par c@ur quelques passages du poème narratif et qu'il s'en est rappelé vaguement d'autres, ce qui expliquerait aussi le fait que de temps en temps il oublie d'en suivre des parties importantes coÍune p.e. le lavement des pieds et la légende du poisson. Il avait, du reste, des notions vagues des Evangiles qu'il a combinés sans aucun sens critique, vraisemblablement sans en avoir le texte sous les yeux au moment of il composait son €euvre, ou il a consulté quelque harmonie évangélique peu sérieuse. La faute dans I'ordre des faits peut s'expliquer aussi si I'on admet I'influence des an- tiennes et des répons des jours qui précédaient le Jour de Pàques et oà I'ordre chronologique n'était pas observé du tout.

Mme G. Frank ') en parlant de la méthode que notre auteur aurait suivie en composant son poème, s'exprime ainsi: ,,On a demandé un mystère de la Passion, peut-être au XIII" siècle. Quelque clerc, chargé de le composer, s'est mis à l'ceuvre. Il a feuilleté sa Bible, des drames liturgiques, des complaintes de Marig quelques pages des théologiens,

1) Gr. Frank, La Pas{wn ilu PolaAnus, outs. cit,, p. Yl,

surtout la Possioru rvnée d propre objet ces différents notre jeu achevé". Quant à.

et la Possion des Jongl,eur peut être vraie à condition ces différents textes, I'autet composé ensuite son poème;

étude a prouvé que P, et s emprunté tout au plus I'idé, Malies qui entonnent des

Quant aux théologiens, iJ influence exercée p. e. par Scolnstique de Pierre le I\

fixion et de la description plut6t à I'esprit de l'époqu de S. Bernard ou plus &

lecture des traités et des L'Euangile d.e Ni.codèmt Passíon d,u PaLatinus. San Descervsus ad Interos A et.

b. l-a8) et la mention dt ans à bàtir le temple (p. , loi (e.a. p. 42) sont dus aux qui se trouvent aussi dans Des scènes pittoresques de celle oir les étendards s'in P, de sorte qu'il est très

|'Eoangile de Nicodème sc C. Les Passions apparen

L'examen des textes de du fragment de Sion a dér (ou B seul au cas of R nr même source que P (cf. ler XII, XVI B, XIX, XXI A, J ou un autre texte.

Dans d'autres cas ils ont une partie un modèle diÍft

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plus grand que ceux tirés de J.

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Polnfi,nus, ouo. cit., p. VI.

surtout la Possion rimée des Jongleurs. Il a adapté à son propre.objet ces différents éléments et voilà I'archétype de notre jeu achevé". Quant à la Bible, les complaintes de Marie et la Passion des Jongleurs, la supposition de Mme Frank peut être vraie à condition qu'on admette qu'après avoir lu ces di-fférents textes, I'auteur ait fermé ses livres et qu'il ait composé ensuite son poème; pour les drames liturgiques notre étude a prouvé que P, et sans doute aussi sa source, en ont emprunté tout au plus I'idée de faire entrer en scène les trois Maries qui entonnent des plaintes et l'épicier.

Quant aux théologiens, il n'y a aucune trace dans P d'une influence exercée p. e. par la Glose ordinaire ou I'Histoire

Scolastique de Pierre le Mangeur; le réalisme de la cruci- fixion et de la description des souffrances de Jésus est dO plutót à I'esprit de l'époque, né sous f inÍluence des euvres de S. Bernard ou plus tard de S. Bonaventure qu'à une lecture des traités et des sermons de ces deux théologiens.

L'Euangile d.e Nicod,ème a laissé peu de traces dans la Passion du Palattnus. Sans doute I'auteur s'est souvenu du Descensus ad, Inferos A et B, tandis que le repentir de Pilate, (p. 1a8) et la mention du fait que Salomon mit quarante ans à bàtir le temple (p. G) et que Jésus veut détruire la loi (e.a. p. 42) sont dus aux Gesta Pil,att. Les vers J 859--861, qui se trouvent aussi dans P, remontent à la même source.

Des scènes pittoresques de I'apoeryphe pourtant, comme p.e.

celle oir les étendards s'inclinent devant Jésus, manquent à P, de sorte qu'il est très douteux qu'il ait eu le texte de l'Euangil,e de Nicodème sous les yeux.

C. Les Passions apparentées.

L'examen des textes de la Passion d'Autun (B et R) et du fragment de Sion, a démontré qu'en quelques cas B et R (ou B seul au cas oÈ R ne contient pas le texte) suivent la même source que P (cf. les chapitres II, III, V, X 1, X 2, XI, XII, XVI B, XIX, XXI A, XXII, XXIII), cette source étant J ou un autre texte.

Dans d'autres cas ils ont suivi pour toute la scène ou pour une partie un modèle diÍférent de celui de P, quoique quel-

(6)

quefois apparenté (ch. IV, VI, VII 2, VII 3, VII 4, VIII, IX, x 3, x 4, xI B, xII, XIII, XIV, XV, XVI A, XVI B, XVII, XVIU, XIX, XXI B, XXIV, XXV, XXU); cette source est souvent, soit entièrement, soit en partie, différente pour B et pour R. (ch. VI, VII?, VII 3, VIII, IX, X 3, XII, XIV, XV,

xvII).

Le fragment de Sion, pour autant que le texte nous permet d'en juger, est plus intimement apparenté à B qu'à P (XVIII'

xxIII, XXVI).

Il nous semble que les tableaux donnés par Mme Frank ') pour expliquer les relations entre les différentes Passions du groupe P, n'éclaircissent pas suffisamment la question obscure des relations entre nos jeux. On se demande com- ment il est possible que pour une grande partie du texte, B et R aient emprunté des scènes à un modèle (des modèles) que P, à ce qu'il semble, n'a pas connu(s) et que ees sources pour B et R soient assez souvent différentes (I1 va de soi qu'il se peut aussi que pour telle ou telle scène différente dans P, B et R, Btard ou Roman suivent la source originale, tandis que P imite un autre modèle). Tout en admettant que les rédacteurs de B et R (ou P) aient ajouté à leurs sources des scènes et des passages qu'ils ont inventés eux-mêmes, nous sommes d'opinion que la méthode de travail des rédac- teurs des Passions du moyen àge exclut que tous les pas- sages de B et R qui diffèrent de ceux de P ou qui lui man- quent, ou inversement, soient des inventions des auteurs de ces pièces. C'est pour cela que nous croyons que' outre la pièce originale d'oir dérivent P, B, R et S(ion) et outre la Résurrection d,u Sauueur t\ y a eu d'autres Passions perdues indépendantes du groupe P et de la Résunectíon anglo-nor- munrdz qui ont influencé B, S, R ou P.

La filiation semble pouvoir s'établir ainsi:

2) cf. la page 18.

(1)

J et d'autres sources.

I

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P

Quant aux autres Passic nous croyons avoir démont en partie au groupe du Po bien qu'il semble que le te plutót de modèle que cel

xvl, xvIII, XXI, XXV)

Dans quelques rares ca!

consulté une source qui cornme p. e. la Possion, Ste I ou la Résurection du mêr

(7)

l, vil 2, vII 3, VII 4, VIII, IX, rv, xv, xvl A, xvl B, XVII, XXV, XXVI); cette source est

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entre les différentes Passions pas suffisamment la question Los jeux. On se demande com- r une grande partie du texte, rnes à un modèle (des modèles) ns connu(s) et que ces sources rvent différentes (Il va de soi

telle ou telle scène différente r.on suivent la source originale, rodèle). Tout en admettant que P) aient ajouté à leurs sources .u'ils ont inventés eux-mêmes, , méthode de travail des rédac- L àge exclut que tous les pas-

de ceux de P ou qui lui man- des inventions des auteurs de le nous croyons que, outre la P, B, R et S(ion) et outre la a eu d'autres Passions perdues

; de la Résurrection anglo-nor- R o u P .

' s'établir ainsi:

(1)

J .et d'autres sources.

(2)

et d'autres sources.

I

x I

'primilil

1ei.pn1,;t;f

B 5

P R P

ou

(etc.)

Quant aux autres Passions que nous avons comparées à P, nous croyons avoir démontré que le texte de Semur remonte en partie au groupe du Palatinus (P, B, R, S) ou à sa source, bien qu'il semble que le texte tel que nous I'offre P ait servi plutót de modèle que celui de B, R, ou S. (ch. XII, XV,

xvl, xvlll, xxl, xxv).

Dans quelques rares cas d'autres Passions semblent avoir consulté une source qui était aussi connue à P, B ou R comme p. e. la Passioro Ste Geneuièue (ch. XV, X\|I A, XXI A) ou la Résurrectíon du même manuscrit (ch. XX[I).

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