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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

INFORMATION ET SOCIÉTÉ

Ferdinard Sourou

(2)

Avant-propos

L’Université Virtuelle Africaine (UVA) est fière de participer à accès à l’éducation dans les pays africains en produisant du matériel d’apprentissage de qualité. Nous sommes également fiers de contribuer à la connaissance globale, pour nos ressources éducatives sont principalement accessibles de l’extérieur du continent africain.

Ce module a été développé dans le cadre d’un programme de diplôme et diplôme en

informatique appliquée, en collaboration avec 18 institutions partenaires dans 16 pays africains.

Un total de 156 modules ont été développés ou traduits pour assurer la disponibilité en anglais, français et portugais. Ces modules sont également disponibles en tant que ressources éducatives ouvertes (OER) à oer.avu.org.

Au nom de l’Université Virtuelle Africaine et notre patron, nos institutions partenaires, la Banque africaine de développement, je vous invite à utiliser ce module dans votre

établissement, pour leur propre éducation, partager aussi largement que possible et participer activement aux communautés AVU de pratique d’intérêt. Nous nous engageons à être à l’avant-garde du développement et de partage ouvert de ressources pédagogiques.

L’Université Virtuelle Africaine (UVA) est une organisation intergouvernementale

panafricaine mis en place par lettre recommandée avec un mandat d’augmenter l’accès à l’enseignement supérieur et de formation de qualité grâce à l’utilisation novatrice des technologies de communication de l’information. Une charte instituant la UVA Organisation intergouvernementale, signée à ce jour par dix-neuf (19) Les gouvernements africains - Kenya, Sénégal, Mauritanie, Mali, Côte d’Ivoire, Tanzanie, Mozambique, République démocratique du Congo, Bénin, Ghana, République de Guinée, le Burkina Faso, le Niger, le Soudan du Sud, le Soudan, la Gambie, la Guinée-Bissau, l’Ethiopie et le Cap-Vert.

Les institutions suivantes ont participé au programme informatique appliquée: (1) Université d’Abomey Calavi au Bénin; (2) University of Ougagadougou au Burkina Faso; (3) Université Lumière Bujumbura Burundi; (4) Université de Douala au Cameroun; (5) Université de

Nouakchott en Mauritanie; (6) Université Gaston Berger Sénégal; (7) Université des Sciences, Techniques et Technologies de Bamako au Mali (8) Institut de la gestion et de l’administration

publique du Ghana; (9) Université des sciences et de la technologie Kwame Nkrumah au Ghana; (10) Université Kenyatta au Kenya; (11) Université Egerton au Kenya; (12) Université d’Addis-Abeba en Ethiopie (13) Université du Rwanda; (14) University of Salaam en Tanzanie Dar; (15) Université Abdou Moumouni Niamey Niger; (16) Université Cheikh Anta Diop au Sénégal; (17) Université pédagogique au Mozambique; E (18) L’Université de la Gambie en Gambie.

Bakary Diallo le Recteur

Université Virtuelle Africaine

(3)

Auteur

Ferdinard Sourou

Pair Réviseur

Romaric Sagbo

UVA – Coordination Académique

Dr. Marilena Cabral

Coordinateur global Sciences Informatiques Apliquées

Prof Tim Mwololo Waema

Coordinateur du module

Karen Ferreira

Concepteurs pédagogiques

Elizabeth Mbasu Benta Ochola Diana Tuel

Equipe Média

Sidney McGregor Michal Abigael Koyier

Barry Savala Mercy Tabi Ojwang

Edwin Kiprono Josiah Mutsogu

Kelvin Muriithi Kefa Murimi

Victor Oluoch Otieno Gerisson Mulongo

(4)

Droits d’auteur

Ce document est publié dans les conditions de la Creative Commons Http://fr.wikipedia.org/wiki/Creative_Commons

Attribution http://creativecommons.org/licenses/by/2.5/

Le gabarit est copyright African Virtual University sous licence Creative Commons Attribution- ShareAlike 4.0 International License. CC-BY, SA

Supporté par

Projet Multinational II de l’UVA financé par la Banque africaine de développement.

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Avant-propos 2

Crédits de production 3

Droits d’auteur 4

Supporté par 4

Aperçu du cours 6

Bienvenue à Information et société 6

Prérequis 6

Matériaux 6

Objectifs du cours 6

Unités 6

Évaluation 7

Lectures et autres ressources 8

Unité 0: Évaluation Diagnostique 12

Pré-évaluation 12

Données et informations 12 Connaissance 13 Systèmes d’information 13 Systèmes de gestion de bases de données 14 Traitement de l’information 14 Gouvernance des données 15 Gouvernance de l’information 15 Principes de confidentialité de l’information 15

Unité 1: Un Peu D’histoire 17

Introduction 17

I. Information sur le stockage, récupération et la transmission dans la

société 17

II. Recherche d’information Systèmes et la société 25 Systèmes de Communication information et société 28

(6)

Résumé 30 Les références 31 Évaluation 31

Unit 2: Société de L’information : Fondements, Mutations et Défis 33

Objectifs de l’unité 33 Introduction 33

I - Fondements 33

II - Mutations. 37

III – Défis 39

Évaluation de l’unité 42 Conclusion 42 Références 42

Unités 3: Le Numérique et Économie du Savoir 43

Objectifs de l’unité 43

I. L’économie numérique 43

II. Transformation numérique de services 44

Impôts et administratives défis dans l’économie numérique 48

IV. L’économie du savoir 49

Résumé de l’unité 54 Somme des activités d’évaluation 54 Références: 55

Unité 4: Le rôle de la Gestion des Connaissances Libraires à l’ère de

Numérique 56

Objectifs de l’unité 56 I. Le rôle des bibliothèques dans la société moderne 56 II. Vue d’ensemble des évolutions de bibliothèques numériques 57

III.Les bibliothèques à l’ère numérique 57

IV. Caractéristiques des bibliothèques numériques 58 V . Gestion des connaissances à l’ère numérique 59 VI. Mise en œuvre des systèmes de gestion des connaissances 60

(7)

IX. Connaissances Capture et création Outils 64

X. Résumé de l’unité 65

XI. Activité d’évaluation finale 66

Références: 66

Unité 5. La Société de Réseau 68

Objectifs de l’unité 68 Introduction 68

I. Compréhension de la Société de Réseau 69

II. La Transition à Société de Réseau 70

III. E-Learning et la transformation de l’éducation pour une économie de la

connaissance 71

IV. eGovernment : Repenser l’Etat et sa relation avec les citoyens 73 V. Médias, communication sans fil et politiques dans la société de réseau 76 Résumé de l’unité 77 Les références: 78 Évaluation de l’unité 78

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Aperçu du cours

Bienvenue à Information et société

Les apprenants doivent s’informer des perspectives historiques de la relation entre société et technologie, la société de l’information et la révolution de l’information, les économies du savoir de l’information, le déterminisme technologique et les choix de société, l’accès et les inégalités, la censure et la nécessité d’un accès sans restriction; le contrôle et la surveillance; le soi virtuel et la société ; les aspects professionnels de l’informatique: propriété intellectuelle , vie privée, criminalité informatique et éthique.

Prérequis

Il n’y a pas de conditions préalables à ce cours.

Matériaux

Les matériaux nécessaires pour compléter ce cours comprennent:

1. Manuels et livres 2. Ordinateur

3. Connexion internet

Objectifs du cours

À la fin de ce cours, l’étudiant devrait être en mesure de :

1. Comprendre la relation entre information et société

2. Comprendre l’impact de la technologie informatique dans le domaine des affaires et la société

Unités

Unité 0: Évaluation diagnostique

Cette unité, passe en revue certains concepts dont les apprenants ont besoin pour bien comprendre ce module sur information et société

Unité 1 Un peu d’histoire

Dans cette unité, l’apprenant, sera renseigné sur l’importance de l’information et sa position émergente comme un trait distinctif de la société contemporaine.

(9)

Unité 2: Société de l’information : fondements, mutations et défis

Dans cette unité, l’apprenant sera présenté à l’apprenant les fondements de la société de l’information, les quelques mutations que cela engendre et comment relever les défis de la société de réseaux.

Unité 3: Le numérique et économie du savoir

Dans cette unité, l’apprenant, sera initié à la puissance transformatrice des technologies de l’information dans les sociétés en progression économique et va comprendre ainsi les implications socio-économiques du progrès des technologies de l’information et de la communication (TIC)

Unité 4: Le rôle de la gestion des connaissances libraires à l’ère de numérique Dans cette unité, il sera présenté à l’apprenant le rôle des opérations de gestion des bibliothèques, des archives, des dossiers dans le stockage et l’accès à l’information à l’ère numérique, les grandes phases dans les stades de développement ou des cycles de gestion des connaissances et les phases de mise en œuvre ou les étapes de la gestion des connaissances.

Unité 5: La Société de Réseau

Dans cette unité, sera présentée la société de réseau comme structure sociale de l’information.

On décrira le cadre de la société de réseau et mettra en évidence les transformations principales ayant lieu dans des structures sociales et dans le monde entier dans l’ère de l’information.

Évaluation

Les évaluations formatives (vérification de progrès) sont incluses dans chaque unité.

Les évaluations sommatives (tests et travaux finaux) sont fournies à la fin de chaque module et traitent des connaissances et compétences du module.

Les évaluations sommatives sont gérées à la discrétion de l’établissement qui offre le cours. Le plan d’évaluation proposé est le suivant:

1 Évaluation de l’unité 1 20%

2 Évaluation de l’unité 2 20%

3 Évaluation de l’unité 3 20%

4 Évaluation de l’unité 4 20%

5 Évaluation de l’unité 5 20%

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Plan

Unité Sujets et Activités Durée

estimée Unité 0 : Évaluation

diagnostique

Cours et évaluation 10 heures

Unité 1 Un peu d’histoire

Cours et évaluation 25 heures

Unité 2: Société de l’information : fondements, mutations et défis

Cours et évaluation 25 heures

Unité 3: Le numérique et économie du savoir

Cours et évaluation 20 heures

Unité 4: Le rôle de la gestion des connaissances libraires à l’ère de numérique

Cours et évaluation 20 heures

Unité 5: La Société de Réseau

Cours et évaluation 20 heures

Lectures et autres ressources

Les lectures et autres ressources dans ce cours sont indiquées ci-dessous.

Unité 0

Lectures et autres ressources obligatoires:

• Aucun.

Unité 1

Lectures et autres ressources optionnelles:

• http://legacy.earlham.edu/~seidti/iam/papyrus.html, Date accessed- Novembre 2014.

• http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/storage/storage_350.html, Date accessed- Novembre 2014.

• http://mashable.com/2012/06/22/data-created-every-minute/, page consultée le-Novembre 2014.

(11)

• http://en.wikipedia.org/wiki/Holographic_data_storage, Date accessed- Novembre 2014.

• L’histoire de l’informatique SOTRAGE innovation de 1928 à aujourd’hui, http://

www.zetta.net/history-of-computer-storage/, Date accessed- Novembre 2014.

• Société américaine pour l’indexation, http://www.asindexing.org/about-indexing/

history-of-information-retrieval/, Date accessed- Novembre 2014.

• Daly, Lloyd. Contributions à l’histoire de l’Alphabétisation dans l’Antiquité et le Moyen Age Bruxelles, 1967. p. 25

• NISO Rapport technique 2- NISO-TR02-1997, Lignes directrices pour les index et les informations connexes dispositifs de récupération,http://www.niso.org/

publications/tr/tr02.pdf.

• Série Tutorial Générateur National Instruments Signal, Introduction et historique des systèmes de communication, http://www.ni.com/white-paper/14797/en/, date accessed- Novembre 2014.

• Bref historique de l’Internet, http://www.internetsociety.org/internet/what- internet/history-internet/brief-history-internet, Date accessed- Novembre 2014.

Unité 2

Lectures et autres ressources optionnelles:

• Lévy P. L’intelligence collective, La découverte, Paris, 1997

• Debray R. Cours de méthodologie générale, NRF, GallimardParis, 1991

• Rapport OCDE (2015): www.oecd.org/fr/appropos/SG-Rapport

• www.editionquartmonde.org/rqml

Unité 3

Lectures et autres ressources optionnelles:

• Définition de l’économie de la connaissance, la WorkFoundation, http://www.

theworkfoundation.com/assets/docs/publications/65_defining%20knowledge%20 economy.pdf.

• L’économie fondée sur le savoir, le général Distribution- OCDE / GD (96) 102, http://www.oecd.org/sti/sci-tech/1913021.pdf.

• Liste des pays africains par indice de développement humain, http://en.wikipedia.

org/wiki/List_of_African_countries_by_Human_Development_Index, Date accessed- Décembre 2014.

• pour le développement Porgramme- ressources des Nations Unies pour le développement, les droits de http://hdr.undp.org/en/countries, date accessed- Décembre 2014.

• Sustaining l’éducation et la dynamique économique en Afrique, la Banque mondiale, http://siteresources.worldbank.org/EDUCATION/

Resources/278200-1099079877269/Sustaining_edu_econ_momentum_Africa.pdf

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Unité 4

Lectures et autres ressources optionnelles:

• EncyclopaediaBritannica,http://www.britannica.com/EBchecked/topic/339421/

library/62006/The-history-of-libraries, Date accessed- Novembre 2014.

• Histoire Magazine, http://www.history-magazine.com/libraries.html, Date accessed- Novembre 2014.

• CLIR (Council on Library and Information Resources) questions, http://www.clir.

org/pubs/issues/issues04.html, Date accessed- Novembre 2014.

• Michael Agresta, Que deviendra une bibliothèque ?, http://www.slate.com/

articles/life/design/2014/04/the_future_of_the_library_how_they_ll_evolve_for_

the_digital_age.single.html, Date accessed- Avril 2015.

• Howard Besser, la forme de la bibliothèque du 21e siècle, http://besser.tsoa.nyu.

edu/howard/Papers/peters.html, Date accessed- Avril à 2015.

• CLIR (Council on Library and Information Resources) Enjeux, rôles bibliothèque à l’ère numérique, http://www.clir.org/pubs/reports/pub108/digital.html, Date accessed- Avril 2015.

• Les sept étapes à mettre en œuvre la gestion des connaissances dans votre http://www.systems-thinking.org/kmgmt/km7steps.pdf d’Organisation, Dataware Technologies.

• M. Max Evans, Kimiz D, Catalin B, une vue globale de la cycle de vie des connaissances: le cycle de gestion des connaissances (KMC) Modèle, www.ejkm.

com/issue/download.html?idArticle=563.

• Bill Wolf, Introduction à https://mitpress.mit.edu/sites/default/files/titles/

content/9780262015080_sch_0001.pdf gestion des connaissances.

• Michael E. D. Koenig, Qu’est-ce que KM? Explication de gestion des

connaissances, http://www.kmworld.com/Articles/Editorial/What-Is-.../What-is- KM-Knowledge-Management-Explained-82405.aspx.

Unité 5

Lectures et autres ressources optionnelles:

• Manuel C., informationnalisme, Réseaux, et société en réseau: un plan théorique, http://annenberg.usc.edu/Faculty/Communication/~/media/Faculty/Facpdfs/

Informationalism%20pdf.ashx, date d’accès - Avril 2015.

• Manuel C., Gustavo C., La Société du réseau De la connaissance à la politique, http://www.umass.edu/digitalcenter/research/pdfs/JF_NetworkSociety.pdf

• Recommandation UIT, Measuring the Information Society, https://www.itu.int/en/

ITU-D/Statistics/Documents/publications/mis2014/MIS2014_without_Annex_4.

pdf.

• M. Castells, La Galaxie Internet: Réflexions sur l’Internet, entreprises et société, OUP 2001.

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• Betty C, E-Learning et la transformation de l’éducation pour une économie de la connaissance http://www.cies.iscte-iul.pt/linhas/linha2/sociedade_rede/pr_htdocs_

network/apps/collis.pdf.

• M. A. Thomas, que font les Indicateurs de gouvernance dans le monde mesure ?, http://cityindicators.org/deliverables/measuring%20 governance_1-2-2007-836890.pdf

• M. Alshehri, S. Drew, la mise en œuvre de l’e-gouvernement: Avantages et Challengeshttp: //www98.griffith.edu.au/dspace/bitstream/

handle/10072/40620/72631_1.pdf séquence = 1

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Unité 0: Évaluation Diagnostique

Cette unité, passe en revue certains concepts dont les apprenants ont besoin pour bien comprendre ce module sur information et société

À la fin de cette unité l’apprenant devrait être capable de :

1. Expliquer les données, l’information et la chaîne de la connaissance;

2. Distinguer une variété de terminologies qui se rapportent à des données, des informations et des connaissances;

3. Expliquer l’évolution des données et des cycles de traitement de l’information en ce qui concerne l’histoire de la société;

4. Expliquer comment le choix, l’utilisation et le développement des systèmes d’information peuvent influer sur la société; et

5. Analyser l’utilisation stratégique des systèmes d’information.

Pré-évaluation

Avant de plonger dans les questions fondamentales de l’information en tant que produit, que vous allez faire dans les unités suivantes, dans cette unité, terminologies ou vocabulaires de domaine qui se rapportent à l’information en tant que produit sont discutées. Comprendre les terminologies associées à des données, des informations, des connaissances, des systèmes d’information et d’outils technologiques disponibles pour la gestion de petites ainsi que de grands ensembles de données à grande échelle vous permettra d’avoir une compréhension claire des propriétés uniques de l’information en tant que produit, ainsi que son impact sur la société.

Différences et similitudes entre les données, l’information et du savoir Définitions : données, information et savoir

Données et informations

Les données sont définies comme des faits bruts exprimés en chiffres, textes, images et sons sans contexte, alors que l’information est tirée des données et peut être définie comme des données avec le contexte ou les données traitées ou de données à valeur ajoutée. En d’autres termes, pondération, somme, graphique avec leur contexte ou valeur, ou la sélection d’une partie des données constituent l’information. Par conséquent, il y a une différence subtile entre les données et l’information et ils ne sont donc pas synonymes.

(15)

Connaissance

Dans le langage courant, nous utilisons la connaissance tout le temps et parfois nous l’utilisons pour remplacer le savoir-faire et à d’autres moments pour remplacer la sagesse. Dans

certains cas, nous utilisons aussi comme information. Une partie de la difficulté de définir la connaissance découle de ses relations étroites avec les deux autres concepts : données et informations. Les mots données et informations sont plus souvent considérées comme des dénomination inférieures de connaissances, mais leurs degrés de relation à la connaissance varie selon les disciplines. Par exemple, dans les disciplines axées sur la technologie de l’information, en particulier dans les systèmes d’information, plus souvent la connaissance est utilisée comme synonyme de l’information. A la fin de ce module la définition donnée par (Gamble et Blackwell, 2001 Page 3) a été adopté. Par conséquent, la connaissance est définie comme suit:

“Un mélange fluide d’expérience encadrée, des valeurs, des informations contextuelles, l’aperçu d’expert, et l’intuition fondée qui fournissent un environnement et un cadre pour l’évaluation et l’intégration de nouvelles expériences et d’informations. Elle est originale et est appliquée dans l’esprit des connaisseurs. Dans les organisations, elle est souvent intégrée non seulement à des documents, mais aussi dans les routines organisationnelles, les pratiques et les normes “.

La connaissance est le facteur qui connecte les fragments d’information ensemble ce qui contribue à créer une carte mentale ou une image à la compréhension des choses ou des phénomènes. En d’autres termes des formes de connaissances qui signifient morceaux d’information et en tant que tel, ce sont en grande partie des faits et des informations.

Cependant, l’information est inexistante sans la connaissance et la connaissance est inexistante sans information. Le schéma suivant illustre la relation entre les trois concepts, données, informations et connaissances, avec l’information définie en termes de données et la connaissance en termes d’information

Figure 1- Relations entre données, information et connaissance

Systèmes d’information

Il existe une définition plus ou moins universelle des systèmes d’information à travers de nombreux livres et d’autres formes de ressources disponibles sur le web. Dans ce module, nous avons pris la définition donnée par l’Information Systems Journal, Elsevier. Les systèmes d’information sont définis comme les systèmes logiciels et matériels qui prennent en charge les applications de données intensives. Les systèmes d’information en général ont cinq composants plus spécifiques tels que les personnes, les données, le matériel, le logiciel et le réseau de communication de données. Le matériel et le logiciel sont utilisés pour traiter les données et les personnes prennent le rôle d’interpréter les données traitées qui est connu

(16)

Les réseaux de communication de données sont utilisés pour transporter des données ou des informations provenant d’une source à un consommateur. Le terme des systèmes d’information est également parfois utilisé dans des sens plus restreint pour désigner uniquement le logiciel utilisé pour gérer une base de données informatisée ou pour se référer seulement à un système informatique.

Systèmes de gestion de bases de données

Un système de gestion de base de données est un outil logiciel qui vous permet de créer, stocker, modifier et récupérer des données à partir d’une base de données. Le cœur d’un système d’information est une base de données ou des données brutes et des systèmes d’information permettent la saisie des données via des composants logiciels tels que les systèmes de transaction de traitement (TPS) et Process Control Systems (PCS), qui sont également connus comme les systèmes de traitement de l’information. Une transaction est une unité d’exploitation sur la base de données telle que l’insertion de nouveaux éléments de données, la mise à jour ou la suppression de celles qui existent déjà.

Traitement de l’information

Le traitement des données a subi sa propre évolution depuis qu’elle a été effectuée

manuellement depuis des millénaires. Les méthodes de traitement manuel des données ont été et sont encore augmentées avec l’utilisation ou l’application de calculatrices mécaniques ou électroniques.

Le traitement des données dans les temps modernes se réfère à l’analyse, l’organisation, le stockage, la récupération et la manipulation des données, grâce à l’utilisation d’ordinateurs.

Le traitement des données est, d’une manière générale, «la collecte et la manipulation des éléments de données pour produire des informations significatives.” Sur la base de cette définition, le traitement de données peut être considéré comme un sous-ensemble ou synonyme de traitement de l’information. Cependant, dans un sens large, le traitement de données peut désigner tout ce que les ordinateurs font. Dans ce contexte, certains préfèrent utiliser le traitement de l’information plutôt que le traitement des données, car les «informations» ne portent pas la connotation de «numéros» dont les données sont naturellement.

Figure 2- Traitement des données.

(17)

Gouvernance des données

Des données de qualité sont nécessaires à tous les niveaux de l’information qui est vitale pour la prise de décision. Ainsi, les mécanismes d’assurance qualité pour maintenir l’intégrité des données à partir desquelles l’information est générée sont indispensables. C’est de là qu’est née la notion de gouvernance des données.

la gouvernance des données se réfère à un ensemble de processus qui garantit que l’ensembles de données importantes sont officiellement gérées dans toute l’entreprise. Elle englobe la technologie, des personnes, les processus et les informations requises pour créer une manipulation correcte et systématique des données d’une organisation à travers l’entreprise.

Gouvernance de l’information

De nouvelles façons de gestion des dossiers n’ont jamais été aussi importantes comme il l’est devenu au cours des dernières années en raison des énormes volumes de données. Ainsi, la façon traditionnelle de la gestion des dossiers qui est uniquement axé sur la création, la conservation, le stockage et l’élimination des dossiers est devenue insuffisante et nécessite d’autres éléments tels que la confidentialité, les contrôles d’accès et d’autres éléments liés à la conformité. C’est ainsi qu’entre en jeu la notion de gouvernance de l’information.

La gouvernance de l’information se rapporte aux règles et règlements qui assurent toutes les informations au sein d’une organisation et est utilisée de façon éthique en conformité avec le cadre juridique de la loi.

Principes de confidentialité de l’information

Les principes de confidentialité de l’information concernent la protection des données personnelles par des mécanismes pour assurer que les pratiques de l’information sont justes et fournissent une protection adéquate des données de la vie privée. Ils fournissent des lignes directrices qui représentent des concepts largement acceptés concernant la manière et le but de la collecte de renseignements personnels, le stockage et la sécurité des renseignements personnels, l’accès et la modification de documents contenant des renseignements personnels et d’autres questions connexes.

Évaluation initiale

Cette évaluation initiale permet d’apprécier les connaissances antérieures de l’apprenant des diverses notions associées à l’information en tant que produit. Afin de répondre à certaines des questions d’évaluation, vous pouvez être amené à lire des ressources supplémentaires au-delà de cette unité.

1. Lequel de la déclaration suivante est correcte sur les données, informations et connaissances?

A. Information ne peut jamais être incorrecte B. Les données ne peuvent jamais être incorrectes

(18)

C. La connaissance ne peut jamais être incorrecte

D. Données et informations ne peuvent jamais être incorrectes 2. Donnez deux exemples de systèmes d’information.

3. Donnez deux exemples de systèmes de gestion de base de données.

4. Décrivez les différences et les similitudes entre le traitement des données et de traitement de l’information.

5. Comment les pays peuvent-ils assurer la protection des données personnelles?

(19)

Unité 1: Un Peu D’histoire

Dans cette unité, l’apprenant, sera renseigné sur l’importance de l’information et sa position émergente comme un trait distinctif de la société contemporaine.

À la fin de cette unité, vous devriez être capable de :

1. Expliquer comment les technologies sont utilisées pour créer, manipuler et diffuser l’information;

2. Explorer l’évolution technologique et des changements dans les outils de communication de l’information dans une perspective historique;

3. Retracer l’évolution historique de dispositifs de stockage de l’information;

4. Retrace le développement historique des techniques de recherche d’information;

5. Prédire la tendance de l’évolution du dispositif de stockage;

6. Différencier la société contemporaine;

Introduction

L’information est le nom pour le contenu qui pourrait être sous la forme de texte, audio, image et vidéo que les gens créent, de manipuler et d’échange ou de diffuser en utilisant différents types de médias avec technologie de l’information ceci étant le principal moyen de la société contemporaine. Le point de cette unité de base est la discussion sur l’évolution du rôle de l’information en tant que produit à l’ère numérique.

I. Information sur le stockage, récupération et la transmission dans la société

Information sur le stockage et la société

Les gens ont stocker des informations depuis l’âge de pierre; depuis le début de l’humanité, l’homme a utilisé divers mécanismes pour stocker des informations pour les générations suivantes. Avant que les technologies de stockage n’atteignent le niveau où elles sont aujourd’hui, les gens étaient capables d’utiliser différents mécanismes tels que l’hématite, oxyde de manganèse et de charbon de bois à peindre des informations sur leur vie sur des parois rocheuses, des grottes et des plafonds.

Dans l’Egypte ancienne, Papyrus, qui est un mince papier comme matériau fabriqué à partir de la moelle de la plante de papyrus, a été utilisée pour stocker des informations

(20)

1. Les Chinois habituellement écrivent des documents sur le bambou. Il y avait plusieurs autres mécanismes et dispositifs de stockage du genre dans le passé utilisées pour stocker des informations et, en général, avant l’avènement de l’ère moderne des systèmes de stockage numérique, l’humanité a utilisé ces matériaux pour stocker et conserver les informations.

Cependant, la percée en informations des mécanismes de stockage de l’histoire de l’humanité a eu lieu en 1956.IBM a inventé un disque dur d’une capacité de 5 Mo pour 305 RAMAC ordinateur de l’IBM

2. Aussi, dans les années 1950 à 1980, plusieurs autres dispositifs de stockage essentiels pour le développement de l’industrie de l’informatique ont été construits. Entre 1980 et aujourd’hui, plusieurs périphériques de stockage comme les CD-ROM, DVD, clé USB ou Memory Stick, HD-DVD ont été introduites. Tout au long de l’histoire, les humains ont été à l’affût de moyens disponibles non seulement d’acquérir, mais aussi pour préserver les connaissances. Dans le monde contemporain, les ordinateurs et d’autres technologies ont fondamentalement changé l’accès à l’information et les paysages de stockage. Internet et d’autres technologies émergentes telles que les médias sociaux (par exemple Facebook et Twitter) ont fait ainsi que l’accès à l’information devienne beaucoup plus facile. À la suite sont créés des dispositifs de stockage de capacités croissantes sans précédent, de nouvelles notions et des développements tels que l’utilisation de grands volumes de données (structurées sous la forme d’enregistrements de base de données et non structurées sous forme de Facebook ou les messages Tweeter de texte, image, audio et vidéo) pour le bien social ou le développement de la société.

La révolution des données sociales qui se caractérisent par un partage accru des renseignements personnels sont devenus des réalités communes.

Les derniers développements de périphériques de stockage ont beaucoup contribué à la capacité de l’humanité à créer, traiter, stocker et rappeler l’information et, par conséquent, on peut dire que la société contemporaine est à des années lumières en avance sur les jours de peintures et gravures rupestres sur des tablettes de pierre. De grandes quantités d’informations peuvent être stockées sur des périphériques qui sont beaucoup plus petits que les disques optiques et l’amélioration constante de la taille devraient se poursuivre. Le volume de données créées ou générées atteint un nouveau sommet à chaque minute

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3. Avec le rythme auquel les périphériques de stockage évoluent, il serait naturel de poser des questions comme: Quel sera l’avenir de stockage de données? Quand allons-nous devenir beaucoup plus proches de la réalisation de la technique de stockage de données holographiques? Le stockage de données holographiques est une technologie de stockage de masse qui utilise trois images holographiques tridimensionnelles pour permettre plus d’informations à stocker dans un espace beaucoup plus petit.

Dans stockage holographique, on peut stocker les données sous la forme de bits magnétiques et lire simultanément des images holographiques, permettant ainsi la performance de dispositifs de stockage, en particulier le transfert de données, l’amélioration des taux

4. Le tableau suivant présente un sommaire de l’évolution historique de dispositifs de stockage de l’information: il représente l’innovation de dispositif de stockage qui a eu lieu de 1929 à aujourd’hui.

Tableau : L’évolution des dispositifs de stockage Depuis 1929

Années Technologie de Stockage et l’année dans laquelle on a commencé l’utilisation

Description

1920 Bande Magnétique en 1928

Fritz Pfleumer, un ingénieur allemand, crée la bande magnétique brevetée en 1928. Il a basé son invention du fil magnétique de VlademarPoulsen

1930 Tambour Magnétique en 1932

G. Taushek, un innovateur autrichien, a inventé le tambour magnétique en 1932. Il a basé son invention d’une découverte créditée à Fritz Pfleumer.

1940 Williams Tube en 1946 Professeur Fredrick C. Williams et ses

collègues ont développé la première mémoire d’ordinateur d’accès aléatoire à l’Université de Manchester situé au Royaume-Uni. Il a utilisé une série de tubes cathodiques électrostatiques pour le stockage numérique. Un stockage de 1024 morceaux (de bits) d’informations a été avec succès mis en œuvre en 1948

Selectron Tube en 1948 La Société de Radio de l’Amérique (RCA) a développé le tube Selectron, une première forme de mémoire informatique, qui a ressemblé au design (à la conception) de Williams-Kilburn.

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Mémoire de Ligne de Retard en 1949

La mémoire de ligne de retard consiste a communiquer un modèle de l’information dans un chemin de retard. Une boucle fermée se forme pour tenir compte de la recirculation d’informations si la fin du chemin de retard se connecte au commencement par des circuits de temps et l’amplification. Une mémoire de ligne de retard semblable fonctionne à l’introduction d’un numéro de téléphone se répétant jusqu’à ce qu’un individu compose le numéro du répertoire.

1950 Cœur Magnétique Mémoire principal magnétique, aussi connue comme une mémoire de noyau de ferrite, utilise des petits anneaux magnétiques faits de céramique pour stocker des informations de la polarité au champ magnétique qu’il contient.

Disque dur en 1956 Un disque dur met en œuvre des plateaux

tournants, qui stockent et récupèrent les morceaux (bits) d’informations numériques d’une surface magnétique plate.

1960 Bande de musique en 1963 Philips a présenté la cassette audio compacte en 1963. Philips a à l’origine eu l’intention d’utiliser

la cassette audio pour des machines de dictée;

cependant, c’est devenu une méthode populaire pour distribuer la musique préenregistrée. En 1979, le Baladeur de Sony a aidé a transformé l’utilisation de la bande pour magnétophone audio, qui est devenue largement utilisée et populaire.

DRAM en 1966 En 1966, Robert H. Dennard a inventé des cellules de DRAM. La technologie de Mémoire vive Dynamique (la DRAM), ou les cellules de mémoire qui ont contenu dans un transistor. Les cellules de DRAM stockent les morceaux (bits) d’informations comme une charge électrique dans un circuit. Les cellules de DRAM ont augmenté la densité de mémoire globale.

Twistor Mémoire en 1968 Les Bell Labs ont développé la mémoire Twistor en enveloppant la bande magnétique autour d’un fil qui conduit le courant électrique. Les Bell Labs ont utilisé la bande de Twistor entre 1968 au milieu des années 1970 avant qu’il n’ait été totalement remplacé par des puces de RAM.

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1970 Mémoire de Bulle en 1970 8 “Disquette en 1971

En 1970, Andrew Bobeck a inventé la

Mémoire de Bulle, un film magnétique mince a eu l’habitude de stocker un morceau (bit) de données dans les petites zones magnétisées qui ressemblent aux bulles. Le développement de la mémoire Twistor lui a permis de créer la Mémoire de Bulle.

5.25”Disquette en 1976 IBM a commencé son développement d’un système peu coûteux adapté vers le chargement du microcode dans les unités centrales de Système/370. En conséquence, la disquette de 8 pouces est apparue. Une disquette, un dispositif de stockage portable fait de film magnétique emballé dans le plastique, l’a fait plus facile et plus rapidement stocker des données.

CD en 1980 Allan Shugart a développé la disquette

5.25-pouces en 1976. Shugart a développé une disquette plus petite, parce que la disquette de 8 pouces était trop grande pour des ordinateurs de bureau standard. La disquette 5.25-pouces avait une capacité de stockage de 110 kilo-octets. Les disquettes 5.25-pouces étaient une alternative moins chère et plus rapide à son prédécesseur.

Twistor Mémoire en 1968 Pendant les années 1960, James T. Russel a pensé à utiliser la lumière pour enregistrer et rejouer de la musique. En conséquence, il a inventé l’enregistrement de télévision numérique optique et la télévision de lecture en 1970. En 1975, les représentants de Philips ont rendu

visite à Russel à son laboratoire. Ils ont payé des millions à Russel pour lui faire développer le disque compact (le CD). En 1980, Russel a achevé le projet et l’a présenté à Sony.

3.5 “Disquette en 1981 La disquette 3.5-pouces avait des avantages significatifs sur ses prédécesseurs. Il avait une couverture métallique rigide qui a rendu plus difficile d’endommager le film magnétique à l’intérieur.

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CD Rom en 1984 Le CD-ROM, aussi connu comme la Mémoire morte de Disque compact, a utilisé le même format physique que les disques compacts audio pour stocker des données numériques.

Le CD-ROM code les fosses minuscules de données numériques dans la surface inférieure du disque en plastique, qui a tenu compte des plus grandes quantités de données à être stockées.

DAT en 1987 En 1987, Sony a présenté la Bande audio numérique (DAT), un enregistrement de signal et une machine de lecture. Il a ressemblé à la bande pour magnétophone audio sur la surface avec une bande magnétique de 4 millimètres ci-jointe dans une coquille protectrice.

DDS en 1989 En 1989, Sony et Hewlett-Packard ont présenté le Stockage de Données Numérique (DDS) le format pour stocker et sauvegarder(soutenir) des données informatiques sur la bande magnétique.

Le Stockage de Données Numérique (DDS) format développé de Bande audio numérique (DAT) technologie

1990 MOD en 1990 Le Disque optique de magnéto est apparu

sur le champ de technologie de l’information en 1990. Ce format de disque optique a utilisé une combinaison de technologies optiques et magnétiques pour stocker et récupérer des données numériques. Une énergie optique de magnéto spéciale est nécessaire pour récupérer les données stockées sur ces 3.5 aux disques 5.25-pouces.

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Minidisque en 1992 Le Minidisque a stocké n’importe quelle sorte de données numériques; cependant, il a été principalement utilisé pour audio. Sony a présenté la technologie de Minidisque en 1991. En 1992, Philip présenta le Système de Cassette compacte Diigtal (DCC). Le minidisque a été destiné pour remplacer la bande pour magnétophone audio avant qu’il n’ait finalement éliminé progressivement en 1996.

DLT en 1993 Digital Equipment a inventé la Bande

Linéaire Numérique (DLT), une alternative à la technologie de bande magnétique utilisée pour le stockage informatique.

Flash Compact en 1994 CompactFlash (CF), aussi connu comme “des disques flash,” la mémoire flash utilisée dans un disque ci-joint pour sauvegarder des données numériques. CF des dispositifs sont utilisés dans des appareils photos numériques et des ordinateurs pour stocker des informations numériques.

Zip/Fermer L’énergie se Fermant est devenue généralement utilisée en 1994 pour stocker des fichiers numériques. C’était un système de stockage de disque amovible présenté par Iomega.

DVD en 1995 Le DVD est devenu la génération suivante de stockage de disque numérique. Le DVD, une alternative plus grande et plus rapide au disque compact, sert pour stocker des données multimédia.

SmartMedia Toshiba a lancé le SmartMedia, une carte de mémoire flash, en été de 1995 pour rivaliser avec la Minicarte et SanDisk.

Phasewriter Double Le Phasewriter Double était le premier dispositif qui a utilisé la technologie de changement de phase pour stocker des données numériques.

Panasonic a présenté le dispositif Double Phasewriter en 1995. Il a été remplacé par le CD-ROM et le DVD.

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CD-RW Le Disque compact le disque Réà affichage, une version réà affichage du CD-ROM, permet aux utilisateurs d’enregistrer des données numériques sur des données précédentes.

Carte Multimédia en 1997 La Carte Multimédia (MMC) utilise une norme de carte de mémoire flash pour loger des données numériques. Il a été présenté par Siemen et SanDisk en 1997.

Microénergie en 1999 Un Disque flash USB utilise une mémoire flash NAND-TYPE pour stocker des données numériques. Un Disque flash USB branche dans l’interface USP sur des ordinateurs standard 2000 SD Carte Le format de mémoire flash (SD) Numérique

Sécurisé(Sûr) incorpore les caractéristiques de chiffrage DRM qui tiennent compte de transferts de fichier plus rapides. La norme SD des cartes mesure 32 millimètres de 32 millimètres de 2.1 millimètres. Magasins de cartes SD typiques médias numériques pour un dispositif portable.

Blu Raie (Rayon) en 2003 Le Blu-ray est la génération suivante de format de disque optique qui a eu l’habitude de stocker la vidéo haute définition (HD) et le haut stockage de densité. Le Blu-ray a reçu son nom pour le laser bleu qui cela permet de stocker plus de données qu’un DVD standard. Son concurrent est l’HD-DVD.

XD-figure L’Olympe et Fujifilm ont présenté la XD-figure en 2002, qui est exclusivement utilisé pour l’Olympe et des appareils photos numériques Fujifilm.

WMV-HD en 2004 La Vidéo de Haute définition de Médias de Fenêtres (WMV-HD) fait référence aux vidéos haute définition codées avec la Vidéo de Médias de Microsoft neuf codec. WMV-D est compatible pour des systèmes informatiques exécutant la Vue de Fenêtres, Microsoft Windows XP. De plus, WMV-D est compatible avec la Xbox 360 et la Playstation de Sony 3.

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HD-DVD Le disque Polyvalent Numérique Haute densité (l’HD-DVD), un format médiatique optique numérique, utilise la même taille de disque que le Blu-ray. Il est promu par Toshiba, NEC et Sanyo.

Holographique L’avenir de mémoire informatique réside dans la technologie holographique. La mémoire holographique peut stocker des données numériques à la haute densité à l’intérieur des cristaux et des photo-polymères. L’avantage de mémoire holographique se trouve dans sa capacité de stocker un volume d’enregistrer des médias, au lieu de juste les graver sur la surface de disques. De plus, il permet un aspect 3D qui permet un phénomène connu comme Bragg au volume d’arriver.

A ce jour Sauvegarde de Nuage ou Solutions de Stockage

Semblable comment les données sont stockées sur Internet, le stockage de nuage permet aux données d’être stockées sur des serveurs multiples, les tiers qui les hébergent généralement.

En résumé, avec la large diffusion de l’Internet et de nuages la demande de calcul pour les périphériques de stockage de l’information a été en augmentation exponentielle. Depuis leur invention, les disques durs sont restés le type dominant du dispositif de stockage de l’information, car ils ont maintenu leur avantage sur les autres types grâce à des améliorations progressives dans leur capacité de rétention d’informations pour les plus de 40 ans.

II. Recherche d’information Systèmes et la société

Bien que dans le monde contemporain les gens ont le luxe d’utiliser plusieurs moyens de récupération de l’information moderne à l’aide des techniques et des outils, la notion de recherche d’information ne constitue pas une nouvelle chose, quel que soit l’époque, elle encapsule la même activité d’obtention de ressources d’information pertinentes ou d’une collection de ressources d’information. Le sens de l’expression peut être très simplement obtenir une carte de crédit de votre portefeuille de sorte que vous pouvez taper le numéro d’identification personnel (NIP) afin d’authentifier (vérifiez que vous êtes qui vous prétendez être) pour trouver du matériel (documents habituellement) de nature non structurées (généralement du texte). La récupération d’informations générales nécessite deux entrées principales, la demande de l’utilisateur (qui est également connu comme requête) et les informations stockées qui tendent à être trop volumineux pour être examiné dans son

intégralité, et une sortie ultérieure, les informations fournies (qui est également connu sous le

(28)

Dans les paragraphes ci-dessous certains des mécanismes de recherche d’information qui ont été utilisés dans l’histoire de l’humanité sont présentés.

Papyrus Scroll

Le rouleau de papyrus utilisé par les Grecs et les Romains à bien des égards n’est pas le moyen le plus efficace de stocker des informations sous une forme écrite ainsi que récupérer. Bien que l’organisation de l’information en particulier le stockage et la récupération à l’époque était ainsi difficile par rapport à ce qu’elle est dans le monde contemporain, les grecs et les universitaires romains ont continué à écrire de grandes œuvres qui étaient les compilations de données de toutes sortes, qui les a conduit à concevoir divers moyens et matériel pour faire localiser certains passages plus facile pour le lecteur. Ainsi, le mécanisme de défilement de Papyrus, en raison de son incapacité à répondre aux exigences des savants de l’époque a cédé la place à d’autres mécanismes de récupération d’information décrits ci-dessous.

Table des matières

La table des matières était d’approche suivante systématique que les gens utilisaient pour récupérer des informations à partir de livres ou d’autres formes de ressources. Il a été utilisé par Pline l’Ancien (die 79 après Jésus-Christ) pour faire les 37 livres qu’il a écrit un peu plus convivial pour les lecteurs en termes de localisation d’un objet d’intérêt particulier. Dans sa préface, il a expliqué que l’utilisation de la table des matières pour rendre le contenu des livres plus consultable a été plus pratiquée dans la littérature latine [6].

Alphabétisation

L’alphabétisation, une autre méthode d’organisation de l’information que nous utilisons encore couramment aujourd’hui a été supposé d’abord être utilisée par les Hellénistes au troisième siècle av. J.-C. à la bibliothèque d’Alexandrie en Egypte. C’était la première utilisation effective de l’ordre alphabétique comme un dispositif de catalogage par les spécialistes pour l’organisation du nombre croissant des œuvres littéraires grecs de ce temps[7].

Hiérarchies

De cette façon, l’organisation de l’information est basée sur l’organisation des ressources d’information sous des rubriques afin de rendre l’écriture plus conviviale et plus facile à localiser. Il est à peu près similaire à la façon dont les documents modernes de traitement de texte permettent à un utilisateur d’organiser le contenu d’un écrit pour les titres et sous- titres. Par exemple les premiers chercheurs utilisent cette technique pour organiser leurs écrits en plusieurs livres, et chaque livre a été subdivisé en chapitres, et chaque chapitre avec sa propre position, et toutes les entrées au sein de chaque chapitre contiennent des histoires liées. Le style, puis l’organisation de l’information a considérablement amélioré la capacité les utilisateurs à rechercher un contenu dans un réservoir donné de ressources d’information.

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Indexation

L’utilisation d’indices va bien au-delà du 17e siècle. La plupart des premiers indices a été organisée seulement par la première lettre du premier mot, le reste étant laissé sans aucun ordre. Peu à peu, l’alphabétisation a procédé à un arrangement par la première syllabe, qui est, les deux ou trois premières lettres, le reste étant toujours laissé non ordonné. Seuls quelques rares indices compilés dans les 16e et début du 17e siècle avaient des entrées entièrement alphabétique, mais par le 18ème siècle alphabétisation complète était devenue la règle (Wellisch, indexation de A à Z, à la page 136).

Dans le monde contemporain, les index selon l’Organisation information sur les normes nationales (OCIN) Rapport technique (NISO-TR02-1997, page 8) sont définis comme un guide systématique visant à indiquer les sujets ou les caractéristiques de documents afin de faciliter la recherche de documents ou parties de documents. Ils sont composés de cinq éléments principaux:

• Termes représentant les sujets ou les caractéristiques des unités documentaires (segments ou parties de documents);

• Une syntaxe pour combiner les termes dans des positions ou des états de recherche afin de représenter ou composer des sujets complexes, les caractéristiques et / ou requêtes;

• Les références croisées ou d’autres dispositifs de liaison entre synonymes et d’autres termes connexes équivalents génériques ou spécifiques;

• Une procédure pour relier des positions ou des états de recherche avec certaines unités documentaires ou du document substituts;

• Une systématisation de rubriques ou d’une procédure de recherche.

Indexation selon le rapport technique NISO (NISO-TR02-197, page 8) est également définie comme l’opération de création d’un index de recherche d’information. Ça implique:

• La sélection et l’affectation des termes ou autre extraction des termes d’une unité documentaire afin d’indiquer les sujets, les fonctionnalités ou les utilisations possibles de l’unité;

• La combinaison de termes dans des positions ou le marquage des conditions de regroupement subséquent;

• La mise en relation des synonymes, équivalent, plus large, plus étroit, et d’autres termes ou rubriques connexes;

• La mise en relation des termes ou des titres des unités documentaires ou des substituts; et

• La disposition des rubriques dans un ordre systématique.

(30)

Systèmes de Communication information et société

Il existe plusieurs façons dont les messages peuvent être transmis ou transportés, ils comprennent la langue écrite, langue parlée, symboles graphiques et images de

représentation. Les moyens de communication comprennent des livres ou des documents écrits, des films, la télévision et l’internet.

L’importance croissante des systèmes de communication de l’information dans le

développement de la société n’a jamais été plus apparente qu’elle l’est devenue au cours des deux dernières décennies. Au fil des ans, les systèmes de communication, en particulier les médias numériques, sont devenus extrêmement importants et ont gagné une position dominante dans le développement de la société. Leur effet se fait sentir dans tous les aspects de nos vies, tous les jours, nous entrons en contact et utilisons une variété de systèmes de communication modernes et des médias de communication. Dans les paragraphes qui suivent, un bref historique des développements majeurs en ce qui concerne les systèmes de communication de l’information est présenté.

Télégraphe et Téléphone

La première étape qui a jeté les bases pour les systèmes modernes de communication de ligne fixe est l’invention de la pile électrique par Alessandro Volta en 1799 [9]. C’était l’une des premières inventions de grande importance pour les communications. Cette invention a conduit Samuel Morse a développé le télégraphe électrique, qu’il a démontré en 1837. La téléphonie a vu le jour avec l’invention du téléphone dans les années 1870. Alexander Graham Bell fait breveter son invention du téléphone en 1876, et en 1877 a créé la Bell Telephone Company. Les premières versions de systèmes de communication téléphoniques étaient relativement simples et ont fourni le service sur plusieurs centaines de kilomètre. Des avancées significatives dans la qualité et la gamme de services au cours des deux premières décennies du XXe siècle ont permis l’invention du microphone de carbone et la bobine d’induction.

Communications sans fil

La deuxième étape dans le développement de systèmes de communication a été atteinte en 1894. En cette année, un dispositif sensible capable de détecter des signaux radio, appelé le

cohéreur, a été utilisé par son inventeur Oliver Lodge pour démontrer la communication sans fil sur une distance de 150 mètres à Oxford en Angleterre. Guglielmo Marconi est crédité avec le développement de la télégraphie sans fil. Marconi a démontré la transmission de signaux radio à une distance d’environ 2 km en 1895. Deux ans plus tard, en 1897, il a breveté un système télégraphique de radio et a créé le Wireless Telegraph and Signal Company. Le 12 Décembre 1901, Marconi a reçu un signal radio à Signal Hill à Terre-Neuve, qui a été transmis de Cornwall,

en Angleterre, une distance d’environ 1700 miles.

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L’invention du tube à vide a en particulier un rôle déterminant dans le développement des systèmes de radiocommunication. La modulation d’amplitude (AM) diffusion a été lancée en 1920. Depuis lors, l’AM radiodiffusion a augmenté rapidement dans le monde entier. Le récepteur radio superhétérodyne AM, comme nous le connaissons aujourd’hui, a été inventé par Edwin Armstrong pendant la première Guerre mondiale. Un autre développement important dans les communications radio a été l’invention de la modulation de fréquence (FM), aussi par Armstrong. En 1933, Armstrong a construit et démontré le premier système de communication FM. Cependant, l’utilisation de la FM a été lente à se développer par rapport à la bande AM. Il a fallu attendre la fin de la seconde guerre mondiale que la FM diffusion a gagné en popularité et développement commercial.

Le premier système de télévision a été construit aux Etats-Unis par V. K. Zworykin et montré en 1929. La télédiffusion commerciale a commencé à Londres en 1936 par la British Broadcasting

Corporation (BBC). Cinq ans plus tard, la Federal Communications Commission (FCC) a autorisé la télédiffusion aux États-Unis.

Les percées en communications numériques

Avec la montée de l’Internet sans doute l’outil le plus important dans l’histoire de l’humanité, les années 1990 ont vu d’énormes progrès dans les nouvelles techniques de transmission numérique. Ceux-ci comprennent l’émergence et l’utilisation généralisée de la ligne d’abonné numérique (DSL), ce qui augmente le taux maximum de données possibles sur les câbles en cuivre à faible bande passante, les normes MPEG pour la compression vidéo efficace et répartition dans le temps accès multiple (TDMA) et par répartition en code (accès multiple CDMA) dans les systèmes de communications mobiles cellulaires. Avec le lancement récent de systèmes cellulaires mobiles de quatrième génération qui supporte la voix et les transmissions de données, des systèmes de communication, des avancées passionnantes et évolutions vont se poursuivre sans limites.

L’internet est la technologie décisive de l’ère de l’information, il a révolutionné l’informatique et des communications du monde comme jamais auparavant. Avec l’explosion continue et l’omniprésence des communications sans fil, on peut dire que, dans un avenir assez proche, le potentiel que l’humanité soit entièrement connectée est élevé. L’invention du télégraphe, le téléphone, la radio et l’ordinateur a ouvert la voie à l’intégration sans précédent en cours des capacités de communication. L’internet est de plus en plus à la fois une capacité à l’échelle mondiale de radiodiffusion, un mécanisme de diffusion de l’information et un support pour la collaboration et l’interaction entre les individus et leurs ordinateurs sans tenir compte de l’emplacement géographique [10]. Il est en constante évolution pour devenir le tremplin de nombreux types de communication avec les sites de réseautage social, notamment Facebook et Twitter, permettant aux personnes tous les jours, dans leur travail ainsi que le temps de loisirs d’entrer en contact avec d’autres personnes et de construire des réseaux sociaux ou les relations sociales.

(32)

.L’internet est devenu le principal canal de communication pour les personnes à travers le monde. Les principaux avantages de l’utilisation de l’Internet comme un outil de

communication sont la flexibilité et la facilité qu’elle offre. Par e-mail, l’internet a remplacé dans une large mesure les services postaux en raison de la rapidité et de commodité par laquelle la communication est rendue possible et qui beaucoup préfèrent. En général, l’internet a transformé les communications traditionnelles verbales et sur papier par la communication en ligne. Il fournit des outils tels que l’e-mail, messagerie instantanée, skype, forums de discussion, lieux de rencontre et d’autres qui permettent aux gens de rester en contact ainsi que des informations de l’action en temps réel.

Résumé

Dans cette unité, les principales étapes qui caractérisent l’évolution des dispositifs de stockage, les techniques de recherche d’information et les systèmes de communication ont été discutés.

Avec la large diffusion de l’internet et de l’informatique dématérialisée, la demande pour les appareils de stockage de l’information a été exponentiellement augmentée. Le magnétique lecteur de disque dur (HDD) joue un rôle important dans tous les systèmes d’information; en fait, son rôle ne cesse de croître en raison de l’amélioration de la capacité, de performance et de prix. Depuis leur invention les disques durs ont été en mesure de rester le type dominant de dispositif de stockage de l’information, car ils ont maintenu leur avantage sur les autres types grâce à des améliorations progressives dans leurs capacités de rétention ainsi que la vitesse d’accès aux données pendant plus de 40 ans.

L’internet qui est considéré comme la technologie décisive de l’ère de l’information; il est le conducteur de nombreuses autres innovations ou des outils de l’époque moderne, y compris les médias sociaux et les technologies qui ont rendu, le traitement et la diffusion de l’information beaucoup plus facile. Le volume considérable de données tels que le texte, audio, vidéo, image et d’autres formes de documents sont produits par l’internet à tout moment. Les utilisateurs doivent pouvoir trouver des informations pertinentes à partir des référentiels pour satisfaire leur besoins particuliers d’information et pour que l’information soit efficace, des techniques de récupération sont nécessaires.

L’Internet permet aux gens de communiquer les uns avec les autres de façons plus rapides, plus efficaces et plus économiques. Il a transformé la société contemporaine de communications verbales et basées sur papier en une société de communication en ligne. Les outils internet tels que le courrier électronique, la messagerie instantanée, le skype, les forums de discussion, les lieux de rencontre et d’autres permettent aux gens de rester en contact et ainsi de partager des informations et des actions en temps réel.

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Activités

• Réaliser une analyse comparative de la façon dont les dispositifs de stockage ont évolué au cours des trois dernières décennies en matière de capacité et de la vitesse d’accès.

• Réaliser une analyse comparative des informations techniques de récupération présentées dans cette unité par rapport à la performance ou la vitesse de récupération des informations et facilité d’utilisation?

Évaluation

Les questions d’évaluation vous servent comme un rappel de ce qui a été présenté dans cette unité ainsi que pour déclencher de nouvelles lectures pour les concepts qui ne sont pas développés dans l’unité.

1. Qu’est-ce que la surcharge d’information?

2. Qu’est-ce que l’information référentielle?

3. Décrivez les deux développements importants qui ont conduit à la croissance sans précédent des dispositifs de stockage.

4. Dans cette unité, seulement quelques-uns des aspects positifs de l’internet sont présentés, quels sont les aspects négatifs de l’utilisation de l’Internet le cas échéant?

5. En quoi les informations techniques de récupération sont-elles nécessaires?

Les références

1. http://legacy.earlham.edu/~seidti/iam/papyrus.html, Date accessed- Novembre 2014.

2. http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/storage/storage_350.html, Date accessed- Novembre 2014.

3. http://mashable.com/2012/06/22/data-created-every-minute/, page consultée le-Novembre 2014.

4. http://en.wikipedia.org/wiki/Holographic_data_storage, Date accessed- Novembre 2014.

5. L’histoire de l’informatique SOTRAGE innovation de 1928 à aujourd’hui, http://www.zetta.net/history-of-computer-storage/, Date accessed- Novembre 2014.

6. Société américaine pour l’indexation, http://www.asindexing.org/about- indexing/history-of-information-retrieval/, Date accessed- Novembre 2014.

7. Daly, Lloyd. Contributions à l’histoire de l’Alphabétisation dans l’Antiquité et le Moyen Age Bruxelles, 1967. p. 25

(34)

8. NISO Rapport technique 2- NISO-TR02-1997, Lignes directrices pour les index et les informations connexes dispositifs de récupération,http://www.

niso.org/publications/tr/tr02.pdf.

9. Série Tutorial Générateur National Instruments Signal, Introduction et historique des systèmes de communication, http://www.ni.com/white- paper/14797/en/, date accessed- Novembre 2014.

10. Bref historique de l’Internet, http://www.internetsociety.org/internet/what- internet/history-internet/brief-history-internet, Date accessed- Novembre 2014.

(35)

Unit 2: Société de L’information : Fondements, Mutations et Défis

Objectifs de l’unité

Dans cette unité, l’apprenant sera présenté à l’apprenant les fondements de la société de l’information, les quelques mutations que cela engendre et comment relever les défis de la société de réseaux.

Ainsi à la fin de cette unité, il doit pouvoir entre autres connaissances acquises :

1. Expliquer les fondements qui caractérisent la société de l’information 2. Décrire les mutations engendrées par les nouvelles technologies 3. Identifier les défis de la société de réseauet comment les relevés

Introduction

La Société de l’information est société dominée par l’immatériel, où le savoir et la flexibilité seront des éléments déterminants, et entraîneront des mutations fondamentales qui sont autant de défis.

I - Fondements

La complexité de la notion de Société de l’Information nécessite qu’on enprécise quelques notions. Il est fréquentqu’un problème de vocabulaire surgisse lorsque l’on veut s’attaquer à un sujet assez neuf. Il vaut donc mieux définir sommairement les grilles d’analyse utilisées afin de ne pas tomber dans la confusion des termes.Ainsi, le fait de dire que le réseau est un nouvel espace oblige à définir cechamp. Pierre Lévy définit ce qu’il appelle des espaces anthropologiques, différentes conceptions partagées du monde : la Terre, le Territoire, l’espace des marchandises et enfin un dernier qu’il avoue être une utopie en formation, l’espace du savoir. L’opposition cyberespace/ biosphère est également utilisée pour définir la spécificité du cyberespace, en tant qu’immatérialité.

Nous utiliserons donc un triptyque fonctionnel Nature / Territoire / Réseau.

La Nature est l’espace des forces naturelles : tectonique, météorologique, lumière solaire, gravité terrestre, etc. bref, toutes les forces physiques qui façonne notre planète.

Le Territoire est l’espace physique approprié par l’homme. Cela peut bien entendu inclure des forces naturelles domestiquées (le feu de la cheminée) ou encore des créations propres à l’homme que l’on ne peut trouver dans la Nature (une BMW par exemple). Dans cette optique, l’histoire technique semble être une inexorable territorialisation de la Nature. Mais ces deux

“espaces “ peuvent se superposer. Le moulin à vent est une “territorialisation “ du vent, il n’empêche que le vent reste un attribut de la Nature même si dans certaines conditions (utilisé

(36)

Enfin le Réseau, ce dernier est ce que d’autres ont nommé cyberespace. C’est l’empire des signes numériques immatériels. Ce par quoi arrive la Société de l’Information. Si on devait représenter ce triptyque ce serait plutôt un continuum qu’une franche séparation entre ces trois espaces. La Nature ne rentre bien évidemment pas dans notre sujet.

La Société de l’Information semble être l’adaptation du Territoire au surgissement de ce nouvel espace qu’est le Réseau. Ce dernier dominant de plus en plus le Territoire comme jadis le Territoire a dominé la Nature quand l’homme s’est mis à défricher la terre et à dompter les

rivières.

Leurs relations réciproques entre Territoire et Réseau sont les règles façonnant cette Société dite de l’Information, comme les saisons de la Nature façonnèrent jadis la société agricole.

L’immatériel.

Le constat a été fait que la société de l’information reposera sur une grande convergence entre l’informatique, les télécommunications et l’audiovisuel. Cette convergence est elle-même rendue possible par la numérisation de l’information, quelle qu’elle soit : son, image, texte.

Grâce à la numérisation, c’est-à-dire la traduction en langage binaire, sous forme de + ou de - électroniques, de toute information, rien ne distingue plus sur les lignes téléphoniques reliant entre eux les ordinateurs du monde entier, une image télévisée d’un fichier informatique ou d’une conversation téléphonique. Chaque objet, chaque produit, livre, musée, monument, a ou aura son “double numérique “.

A la clef, il y a évidemment d’immenses enjeux économiques : dans un rapport d’octobre 1995, l’OCDE nous dit que pour chaque millier de dollars dépensés dans le monde, cinquante neuf concernent directement ou indirectement la sphère de “l’infocommunication “, c’est-à-dire la sphère de l’informatique, des télécommunications et de l’audiovisuel.

Le savoir.

Schématiquement, sont utilisés les termes de contenu pour décrire les enjeux industriels, celui d’information pour évoquer le micro-économique, c’est-à-dire la compétitivité des entreprises, et celui de savoir pour décrire les conséquences sociales et culturelles de la société de

l’information.

Sur le plan industriel, le rôle déterminant du contenu est constaté dans les grandes manœuvres d’intégration verticales ou horizontales existantes depuis 3 ou 4 ans.

Les interventions ont fait apparaître les fortes “synergies de portefeuille “ entre les différents acteurs du multimédia, certains finançant le développement du secteur alors que d’autres garantiront à terme un retour sur investissement. Les futurs acteurs industriels de la société de l’information ont ainsi des compétences complémentaires, mais aussi et surtout des besoins complémentaires qui expliquent la logique effrénée des grandes alliances ou d’intégration au sein de grands groupes allant du logiciel au domaine de l’électronique en général, en passant par les diffuseurs.

Références

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