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La Conférence des statistiques dans le cadre de la

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La Chaux-de-Fonds, Samedi 22 Décembre 1928. Bureaux: rue de ia Serre, 58. Quarante-troisième Année — N° 101

IA T M M T I O N HORLOGÈRE

S U I S S E -

ORGRME DE LB CHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHRMBRE5 DE COMMERCE, DES BURERUJC DE CONTROLE, DES flSSOCIRTIONS PRTR0MRLE3

ET DE L* INFORMATION HORLOQÈRE SUISSE i ~ • FftHAISSANT LE 1ERCHEDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-OE-FOKDS f . . . i . . . . „ , / ? N ? .N C E®

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La Conférence des statistiques dans le cadre de la

restauration économique mondiale

L a Conférence internationale pour les statistiques économiques groupe, à Genève, les représentants de quarante-deux Etats. Son président M . William Rappard, professeur à l'Université de Genève, di- recteur de l'Institut universitaire des Hautes études internationales, délégué de la Suisse à l'Assemblée, la situe ainsi dans le cadre de la restauration éco- nomique du monde :

L a Sociéét des Nations a été créée pour prévenir le retour de catastrophes semblables à celle dont elle est née. A première vue, il n'existe pas de rapports immédiats entre la guerre et la statistique. Mais on ne répétera jamais trop que, dans les relations inter- nationales, comme dans la pathologie, mieux vaut prévenir que guérir. L a guerre est toujours la ma- nifestation d'un désordre international. Pour la pré- venir, il n'est de meilleur moyen que de substituer l'ordre au désordre, en permettant à la raison hu- maine de diriger l'aveugle destin qui toujours tend vers le cataclysme.

O r , de tous les désordres internationaux, il n'en est aucun qui soit plus menaçant que le désordre économique. Il est d'autant plus réconfortant de constater que c'est dans le domaine de la colla- boration économique que la Société des Nations a inscrit ses plus grands succès. Mais si une bonne politique économique est la condition d'une bonne politique internationale, tous les hommes d'Etat et tous les économistes savent que d e . bonnes statis- tiques économiques sont la condition d'une bonne

politique économique. Quels que soient les progrès, que la statistique économique a réalisés au cours du siècle dernier, il est incontestable que la situation actuelle est encore loin d'être satisfaisante, cela par- ticulièrement pour la statistique relative au commerce international.

« P a x », qui interviewa M . Rappard, en donne cet exemple. Si l'on consulte les statistiques offi- cielles des Etats-Unis, on constatera qu'en 1926, ce pays grand protecteur de céréales, a exporte au Canada plus de 26,000,000 de bushels de blé.

Mais, si l'on se reporte aux statistiques du Canada, on constatera qu'au cours de la même année, ce pays n'a importé des Etats-Unis, que 130,000 bus- hels. Les chiffres correspondants pour 1927 sont encore plus frappants: exportation de blé des Etats- Unis au Canada, presque 48i000,000 de bushels.

Importation au Canada des Etats-Unis, 155,000.

E t pour montrer qu'il ne s'agit pas d'un mal propre au Nouveau Monde, voici les chiffres relatifs à une marchandise qui intéresse ses producteurs portugais autant que ses consommateurs britanniques, le vin de Porto. Selon les statistiques portugaises, l'ex- portation de cette denrée à destination du Royaume- Uni s'est montée, en 1926, à 388,000 hectolitres représentant une valeur de 1,550,000 livres sterling.

Mais la statistique britannique accuse comme impor- tation de vin du- Portugal, pour la même année, 356,000 hectolitres représentant une valeur de 2 millions 670,000 livres sterling.

D e pareils écarts entre des chiffres qui devaient être, sinon identiques, du moins presque les mêmes, se retrouvent dans toutes les statistiques nationales, et dans l'horlogerie également. Ils ne permettent) nullement de taxer d'incurie les administrations res-

Feuilleton

L ' a c t i v i t é é c o n o m i q u e d e s P o u v o i r s p u b l i c s e n S u i s s e .

3. Les Chemins de fer fédéraux.

a) Organisation. — Le domaine total des CFF fut divisé en cinq directions d'arrondissements, chacun d'eux comprenant un conseil d'administra- tion composé de représentants des gouvernements cantonaux et de divers groupements économiques, et une direction d'arrondissement et trois mem- bres. A la tête de l'organisation se trouvait la Direction générale de 5 à 7 membres et un Conseil d'administration de 55 membres. La créa- tion d'un état-major aussi formidable n'avait pu être évitée, à cause des nombreux intérêts locaux nés du système décentralisé des chemins de fer; il a fallu en tenir compte pour assurer l'œuvre d'étatisation.

Dans un petit Etat démocratique, un intérêt lésé, fut-il de minime importance, peut devenir dangereux pour la réalisation d'une grande entreprise.

Tant que les chemins de fer fédéraux se dévelop)- pèrent d'une façon réjouissante, l'administration ne se ressentit guère de la lourdeur de l'appareil, mais, après la guerre, une fois la situation financière des CFF ébranlée, une simplification de l'organisation s'imposa d'une façon impérieuse. La loi du 1er fé- vrier 1923 consacre cette réorganisation; elle conser- ve aux CFF leur personnalité juridique indépendante en ce sens que s'ils forment une. partie de l'adminis- tration fédérale, ils sont organisés cependant d'une fa-

çon absolument libre. C'est une disposition très heu- reuse destinée à écarter des influences incompatibles avec une exploitation commerciale, mais qui, malheu- reusement, se trouve bien affaiblie, du fait que la Confédération possède un droit de surveillance sur les CFF et que le Parlement a le droit de légiférer sur les tarifs, de fixer les salaires, de voter le budget d'approuver les comptes et les rapports annuels et enfin, d'autoriser les emprunts nécessaires à l'ex- ploitation.

La compétence donnée au Parlement, en tant qu'au- torité de se prononcer sur les recettes et les dépenses et plus particulièrement de fixer les salaires, est singulièrement délicate; l'expérience acquise nous dé- montre qu'il y a là un danger; on peut craindre, en effet, que le vote des Chambres ne soit pas toujours guidé par des principes purement objectifs tenant compte essentiellement des capacités économiques de l'entreprise.

Si l'on constate qu'en 1927, les salaires des CFF formaient à eux seuls le 81 °'o des dépenses, et qu'ils absorbaient le 55 °/u des recettes, on peut se rendre, compte du rôle que la politique des salaires joue dans la stabilité financière de l'exploitation. Une adminis- tration, si elle veut agir véritablement selon des principes commerciaux, doit posséder la faculté de fixer ou, pour le moins, d'exercer une influence décisive, d'une part sur les principales dépen- ses, y compris les salaires et, d'autre part, sur le niveau des tarifs. Comme cette faculté n'existe pas pour les CFF elle subit de ce fait les désavantages inhérents à toute exploitation étatisée.

ponsables. Mais ils attestent clairement la diversité des méthodes. L a Conférence de Genève apparaît comme un épizode important dans le mouvement vers une conduite plus rationnelle des affaires interna- tionales et dans l'effort tenté en vue de fonder la politique sur une connaissance réelle des faits.

Aucune administration nationale ne saurait Se résoudre de gaîté de coeur à modifier ses méthodes en matière de statistique, même si elle arrivait à la conviction qu'une modification serait un progrès.

Une telle attitude, essentiellement conservatric, ne s'explique pas seulement par le goût de la routine, étrangère à aucune administration publique, mais elle se justifie aussi par le souci légitime de la continuité nécessaire.

Il est évident, d'autre part, qu'aucun progrès ne serait possible si on était à tel point attaché à des méthodes diverses qu'on écarterait, d'emblée, toute proposition destinée à les améliorer, à les com- pléter, à les rendre comparables avec celles d: au- tres pays.

L'époque actuelle paraît favorable à la réorga- nisation de l a statistique économique. Plus on éufc- die l'évolution économique des dernières années, notamment dans les pays européens, et mieux on se rend compte des difficultés qui s'opposent aux com- paraisons avec l'avant-guerre. Non seulement beau- coup d'unités nationales ne sont plus les mêmes, mais encore les méthodes de la production, la na- ture des produits consommés, la direction générale du mouvement commercial, en un mot, l'organisation économique de la société se sont modifiées à tel point que les comparaisons fragiles et superficielles que l'on peut être tenté d'établir entre le présent et le passé sont souvent plus trompeuses qu ins)-

La haute surveillance du Conseil fédéral sur la gestion des CFF et les instructions qu'il peut juger utile de lui donner dans l'intérêt du pays, peuvent présenter aussi un certain danger. Il est à craindre que le pouvoir exécutif, obligé de céder, à certains moments, à des pressions politiques, donne à l'ad- ministration de l'entreprise d'Etat des instructions incompatibles avec une exploitation purement com- merciale. A ce point de vue, les manifestation^

régionalistes suisses sont caractéristiques, surtout dans le domaine des horaires et des constructions de gares.

Les autres simplifications apportées à l'organisa- tion des CFF réside, suivant la loi de février 1923, dans la réduction des membres du Conseil d'adf ministration à 15 membres au lieu de 55, et dans celle de la direction générale de 5 à 3 membres ; les Conseils d'arrondissement furent réduits également de 5 à 3 et le nombre des membres de chacun d'eux réduit à 6.

b) Etendue et forme de l'exploitation des CFF.

— Sur les 2882 km. de réseau des CFF en 1927, 1490 km. étaient electrifies.

Le trafic depuis l'étatisation s'est développé comme suit:

Recette nioveDiio Année

Nombre Marchandises Recette voyageurs en millions movenne

millions tonnes par vyageùr par tonne fr«. frs.

1903... 50,9 9,7 0,88 6,07 1913... 91,6 14,6 0.92 8.15 1920... 86,1 15,9 1,43 16,29 1927... 111,0 17,8 1.29 12.75

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<92 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE N° 101. — 22 décembre 1928

tructives. Il en est presque de même des compa- raisons établies entre le présent et les années de guerre et d'après-guerre pendant lesquelles les fluc- tuations monétaires et les crises ont faussé le cours normal des choses.

Ce n'est que ces tout derniers temps que 1 Eu- rope semble avoir regagné une stabilité relative.

Nous nous trouvons donc sur le seuil d'une ère éco- nomique nouvelle, à un moment particulièrement favorable à l'adaptation de certaines de nos an- ciennes méthodes de statistique à des besoins nou- veaux, ceci pour le plus grand bénéfiec de la re- prise économique. Ch. B .

Une bonne action

i-fcb Les lecteurs de la Fédération Horlogère nous- pardonneront sans doute de les entretenir d'un sujet' qui reste généralement en dehors du champ d'actif vite de cet organe. Il les intéressera cependant^

nous en sommes convaincus, car il n'est pas un industriel qui n'ait eu à s'occuper du sort malheur reux de l'un ou l'autre de ses ouvriers atteint de la terrible tuberculose, qui fait tant de ravages parmi les jeunes.

La lutte contre la tuberculose se poursuit dans notre pays avec une ténacité qui a déjà permis un recul sensible de la maladie. Partout des ligues s'efforcent de la combattre, les cantons et la Con- fédération elle-même ont pris ou prennent des me- sures tendant à accentuer les effets heureux de cette bataille. Celle-ci se présente sous deux aspects esseii' fiels, mesures de précaution pour empêcher la mala- die d'atteindre les sujets menacés, soins à donner aux malades.

Notre pays, particulièrement favorisé quant au cli- mat, a vu éclore les stations climatériques où les malades viennent chercher la guérison qu'ils ne recouvrent qu'après de longs mois d'isolement, voire même des années. On ne sait peut-être pas assez à quels tourments moraux sont livrés les malheu- reux reclus, qui doivent abandonner leur travail et qui se trouvent seuls à seuls avec leurs pensées, leur impartience à se guérir et parfois leur déses- poir. La guérison est affaire de temps, mais encore faut-il avoir les moyens pécuniaires à sa disposi- tion. Or, c'est là que gît la question. Le malade est souvent obligé d'abréger un séjour nécessaire parce qu'il a épuisé ses fonds ou ceux de sa famille;

la situation devient alors tragique.

C'est le côté éminemment social du problème, qup de pouvoir soigner ceux que le sort n'a pas favorisé de ressources suffisantes. Il préoccupe quantité àr gens de cœur, il préoccupe naturellement les méde eins des stations qui touchent chaque jour à des drames intimes qu'ils pourraient raconter avec toutes leurs tristes péripéties.

Un des savants dont le nom honore notre pay?

par tous les progrès qu'il a fait faire à la connais;

sance de la tuberculose, le professeur Dr. Auguste Rollier, qu'il n'est pas besoin de présenter ici, le

La diminution en recette moyenne par voyageur et par tonne, "s'explique par la réduction des taxes et tarifs, imposée par la concurrence des automobiles,1. La Direction générale évalue, pour 1927, à 24 millions environ les recettes enlevées aux CFF par les camions-automobiles, dont le nombre peut être évalué, à la même époque, à 11,184, alors qu'on en comptait 3331 en 1920.

Les recettes d'exploitation ont passé de 134,3 mil- itons en 1900 à 396 millions en 1927.

Quant aux dépenses, qui se chiffraient en 1903 à 85,9 millions, elles ont atteint, en 1927, 267,1 mil*

lions, et, comme point culminant, l'année 1920, avec 358 millions.

La tendance à l'économie du personnel ressort;

clairement du tableau suivant:

Longueur Parcours Personnel Dépense des voies kiiomélr. nombre pour le

Année exploitées des locomot. personnel km. (millions de frs.) (millionsdefrs.)

grand serviteur du soleil et de la lumière, se fait aujourd'hui l'apôtre de la lutte contre la tuberculosr envisagée sous son aspect social. Sa grande expé rience de la souffrance humaine l'a convaincu d^

tenter quelque chose de grand aussi, qui sera le cou- ronnement de sa féconde carrière, quelque chose d'u tile aux malheureux qui, par centaines, peuplent les cliniques.

Les malades de la tuberculose, s'est-il dit, souf frent dans leur grand nombre de deux maux: le désœuvrement et la pénurie des moyens financiers Donnons-leur une occupation rémunérée et leurs soui frances morales et physiques en seront diminuées d'autant. Tout le problème est là. Et c'est alors que, mû par son cœur et par sa volonté, il a abordé l'étude du problème de la clinique-manufacture ei que cette étude faite, il a passé à la réalisation.

Ainsi donc, aux flancs ensoleillés de cette mon- tagne où s'accroche Leysin, une grande bâtisse, un monde par toutes ses salles, ses chambres, ses labo- ratoires, ses ateliers, est sorti de terre et s'apprê- tera à recevoir cent-vingt malades, jeunes gens?, jeunes filles, pères de famille, gens modestes sur- tout qui reprendront contact avec la vie qu'ils) ont quittée et qui resteront confiants dans leurs destinées. Dès qu'ils seront en état de travailler, une machine sera mise à leur disposition, sur la galerie de cure, ils s'initieront à un travail nouveau ou re- trouveront le genre d'occupation qu'ils avaient quit- tée.

Installation de machines, transmissions, moteurs, système pour transporter les lits afin que chacun soit bien à sa place, organisation du travail d'usine adapté aux besoins spéciaux du personnel, voilà le problème tel qu'il se pose. Cette énorme tâche est dévolue à un homme qui a déjà fait des preuves en matière d'organisation, M. Pierre Junod, qui fabri- quait de l'horlogerie à Corgémont, dont le génie inventif est bien connu des nombreux soldats suisses hospitalisés dans les cliniques militaires pendant \?

guerre. Monsieur Junod, en effet, de son lit d t malade, a organisé et dirigé complètement le travail de nos soldats, créant l'activité et la joie de revivre là où semblait ne devoir régner que le silence avef le désœuvrement et la tristesse.

Tout est à créer. Mais la seule chose qu'il soit quasi impossible d'obtenir si Monsieur Junod reste seul, ce sont les occasions de travail. Installer des machines, cela va. Mais les faire travailler et que le travail rapporte quelques francs à l'ouvrier c'est une autre question. Il faut donc que l'aide vienne de l'extérieur. Une des industries qui se prêtent le mieux au travail immobile, c'est Phorlogerie certai- nement, machines petites, travail propre. Messieurs les industriels, nous savons que nous pouvons comp ter sur votre aide effective. Il s'agit d'assurer du travail à la clinique-manufacture de Leysin. Telle usine pourrait le faire pour un ouvrier, telle autre pour deux, pour trois, peut-être plus. Toutes ces unités additionnées font quelques dizaines et voilà la clinique assurée d'occuper son monde. Certaines;

de nos grandes usines ont déjà promis de s'inté- resser à cette expérience sociale et ont assuré du travail. Nous ne vous demandons qu'une chose:

Messieurs les industriels, consentez, s'il vous plaît, à

1903...

1913...

1920...

1927...

2,709 2,781 2,882 2,942

34,4 48,3 31,2 43,9

28,100 37,626 39,410 34,383

47,2 101,5 239,5 215,7 On constate que l'effectif du personnel a augmenté depuis 1903 dans la même proportion environ que le parcours kilométrique. L'effectif du personnel en 1927 est inférieur de 3000 unités à 1913, ce qui est d'autant plus remarquable qu'en 1913 la durée journalière du travail variait entre 10 et 10 Vi heures, j

tandis qu'en 1927, elle n'atteignit en règle générale que 8 heures.

La réduction est due, avant tout, à la rationalisa- tion énergiquement entreprise, ainsi qu'à l'introduc- tion de la traction électrique.

D'autre part, on doit signaler la forte augmen- tation des salaires. Tandis qu'en 1903, les salaires formaient le 71 o/0 des dépenses totales, ils en forment le 81 i/o en 1927. Les dépenses totales pour le personnel s'élevaient en 1913 à fr. 2718 par homme et en 1926 à fr. 6038. En calculant le salaire sur les heures légales de travail, on obtient, en 1912, un salaire-horaire moyen de 66 à 69 centimes, contre fr. 2,04 à fr. 2,44 en 1924.

La nouvelle loi sur lès traitements, entrée en vi- gueur le 1er janvier 1928, entraînera encore pour les CFF une nouvelle augmentation de dépenses de 3 millions environ.

Les progrès de ^electrification ont une grande importance pour l'économie des C. F. F. Les dépenses pour le charbon ont diminué en Î927 de 2,02 mil- lions, pour atteindre 12,7 millions, tandis que les dépenses pour l'énergie électrique n'ont augmenté seulement que de 1,99 millions, malgré une aug- mentation du parcours des locomotives, pour atteindre 14,9 millions de francs.

Tandis qu'en 1921, le Kwh. revenait aux CFF à 11,1 centimes, son prix n'atteignit en 1927 que 5,3 centimes et ne dépassera pas, fort probablement, en 1928, 4,9 centimes.

L'économie réalisée en 1927, grâce à l'électrifi- catoin, est évaluée à 20,3 millions.

recevoir Monsieur Junod, quand il viendra frapper à votre porte. Merci pour les braves gens que votre compréhension soutiendra.

Chronique des Associations patronales

Union des Branches a n n e x e s d e l'horlogerie

(UBAH)

Les délégués de l'Union des branches annexes de l'Horlogerie (UBAH( ont eu le 20 décembre courant une importante assemblée. Deux décisions particuliè- rement essentielles ont été prises: A la suite de la démission de M. César Schild, de Granges, qui quitte par opportunité son poste de président, le premier vice-président en charge, M. Charles-Albert Vuille, de La Chaux-de-Fonds, a été proclamé pré- sident à l'unanimité par l'assemblée. D'autre part, également à l'unanimité, l'assemblée a décidé de créer un secrétariat permanent, dont le siège sera à La Chauxrde-Fonds.

L'UBAH est actuellement composée des groupe- ments suivants :

1) Association syndicale des fabricants d'assortiments à ancre ;

2) Groupement des fabricants suisses de spiraux;

3) Société des fabricants de balanciers;

4) Association suisse des fabricants de cadrans émail ; 5) Association suisse des fabricants de cadrans métal ; 6) Société suisse des fabricants de ressorts;

7) Association des fabricants de pivotages;

8) Fédération des fabricants de boîtes argent:

9) Groupement des fabricants de boîtes métal;

10) Groupement des polissages de vis, aciers, ra- quettes ;

11) Groupement des dorage, nickelage, polissage;

12) Groupement des bijoutiers, graveurs, décorateurs;

13) Groupement des fabricants de pignons;

14) Groupement des fabricants d'aiguilles;

15) Groupement des pierristes.

P l a q u é o r .

Dans une assemblée qui s'est tenue le 19 décem- bre, à Bienne, les fabricants suisses de plaqué laminé se sont constitués en un Groupement professionnel, qui se rattachera à l'Association Cantonale Bernoise des Branches Annexes de l'Horlogerie.

A s s o c i a t i o n c a n t o n a l e b e r n o i s e d e s B r a n c h e s a n n e x e s d e l ' h o r l o g e r i e . Cette association a tenu son assemblée générale le 19 courant, à Bienne.

Sous la présidence de M. Charles Monfrini, in- dustriel à Neuveville, l'assemblée, très revêt le, a entendu lecture d'un rapport de son Secrétaire géné- ral, passant en revue les derniers événements. Puis, elle a adopté à l'unanimité le budget présenté par le Comité, pour l'année 1929.

L'entrée en vigueur des conventions qui doivent lier entre eux les différents groupes de producteurs de l'industrie horlogère, sous l'égide de l'UBAH st de la F .H., a fait l'objet d'une discussion approfondie).

La plus grande confiance a été témoignée par les assistants dans les Comités qui ont su mener à bien la tâche entreprise.

Chronique financière et fiscale

R o u m a n i e . — T a x e d e l u x e e t i m p ô t s u r l e c h i f f r e d ' a f f a i r e s .

La Légation de Suisse à Bucarest communique que le Ministère roumain des finances a décidé de maintenir, pour le prélèvement de la taxe de luxe et de l'impôt sur le chiffre d'affaires, pendant le premier trimestre de 1929, les mêmes valeurs de base que celles appliquées durant l'année 1928.

S o c i é t é d e B a n q u e S u i s s e .

A l'assemblée générale extraordinaire du 19 dé- cembre, à laquelle 146,383 actions étaient repré- sentées, le second vice-président, M. Schlumberger- Vischer, qui, le 1er vice-président, M. Zahn-Geigy, étant empêché, fonctionna comme président, rendit nommage à la mémoire de M. Leopold Dubois, Président, décédé le 13 octobre, et de M. F. Frey- Bourquin, membre du Conseil d'administration et Président d'honneur de l'Association Suisse des Ban- quiers, décédé le matin même de l'assemblée géné- rale. Il rappela les grands mérites des deux dé- funts. L'assemblée s'est levée en leur honneur.

Ensuite, M. Max Staehelin, Dr. en droit, à Bâle, a été, à l'unanimité, élu administrateur.

Le Conseil d'administration réuni à l'issue de l'assemblée générale extraordinaire a appelé à' sa

(3)

N° 101. — 22 décembre 1928 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE 993

présidence: M. Max Staehelin, Dr. en droit, et désigné comme nouveau vice-président M. Armand Dreyfus, AdministrateuMiélégué, à Zurich.

U n i o n d e B a n q u e s S u i s s e s .

Dans sa séance du 20 décembre 1928, le Conseil d'administration de l'Union de Banques Suisses a décidé de faire usage des pouvoirs qui lui ont été conférés par l'assemblée générale extraordinaire des actionnaires du 15 décembre 1927 et d'émettre^

dans les premiers jours de janvier prochain, au cours de fr. 600 l'une les fr. 20,000,000 d'actions de fr. 500 valeur nominale chacune encore à la souche.

Les actions nouvelles auront droit au dividende inté- gral à partir du 1er janvier 1929 et seront offertes;

exclusivement aux anciens actionnaires.

Informations

Renseignements consulaires.

Les intéressés sont informés du séjour en Suisste des consuls suisses suivants:

M. Henri Borel, de Danzig, dès la mi-décembre, jusqu'à la mi-janvier prochain, au Département politique suisse, Service consulaire, Berne.

M. A. D. Sutter, de Dresde, dès la mi-décembre jus- qu'à la mi-janvier prochain, à l'Hôtel Concordia, Zuoz (Engadine, Grisons).

M. Walter Röthlisberger, de Bogota, dès janvier à mars avril 1929, à Berne, Nischenweg 3.

Toutes communications concernant la circonscrip- tion consulaire en question peuvent leur être adres- sées directement.

Douanes

A c c o r d c o m m e r c i a l p r o v i s o i r e e n t r e l a S u i s s e e t l ' E g y p t e .

Suivant un télégramme du Président de la Com- mission commerciale suisse au Caire, les instruments de ratification de l'accord commercial conclu entre la Suisse et l'Egypte le 9 juin dernier, ont été échangés le 11 décembre. L'accord entrera en vigueur quinze jours après l'échange des ratifications, soit le 26 décembre courant.

E q u a t e u r .

R é d a c t i o n d e s f a c t u r e s c o n s u l a i r e s . Ensuite de nouvelles instructions très strictes re- çues de son gouvernement, le oonsulat de l'Equa- teur, à Genève, attire l'attention des exportateurs sur l'importance qu'attache l'Administration des doua- nes de ce pays au sujet de l'établissement des fac- tures consulaires.

Par exemple, il est expressément défendu d'utiliser des guillemets (») et d'employer les termes: «.dito»

et « idem ».

L'origine de la marcliandise doit être indiquée, datée et signée au bas des factures consulaires.

D'autre part, voici quels sont les termes exacts qui doivent être employés pour la déclaration d'origine:

« Declaramos que las Mercaderias contenidas en esta Factura consular son de Origen Suizo. » Il va de soit que, lorsque la marchandise est d'origine étrangère, il y a lieu de modifier le mot

«suizo» par la désignation du pays d'origine.

Dans la colonne « Clase de Bultos », il faut indiquer la nature de chaque colis; par exemple: Caisse, boîte, ballot, etc. Les mots « colis postaux » ou

« paquetes postales » n'indiquant pas la nature du colis, il ne faut par conséquent pas les employer

Registre du commerce

Raisons sociales.

Enregistrement:

13/XII/28. — Mario Falorsi-Kaenzig (de Florence, Italie), fabrication d'horlogerie, Faubourg du Lac 35. Bienne.

M o d i f i c a t i o n s :

21/XI/28 .— La soc. an. « H . Barbezat-Bôle, Société anonyme », Le Locle, modifie sa raison sociale en celle de Manufactures des montres Paul Buhré et H. Barbezat-Bôle, Société anonyme, fabrication.

achat et vente d'horlogerie soignée, montres sim- ples et compliquées, grandes et petites pièces, bijouterie, etc., reprend la suite des affaires de la

« Société anonyme Paul Buhré », à l'exclusion de l'actif et du passif de celfe-ci.

Radiations:

l l / X I I / 2 8 . — Armand Pochelon, fabrication et com- merce de joaillerie et bijouterie, Genève.

15/XII/28. — Fabrique de montres Ophir S. 'A. en liq. (Ophir Watch Co. Ltd. in Liq.), fabrication, achat et vente d'horlogerie, spécialement termi- nages, soc. act., Bienne.

13/XII/28. — Johann Wilhelm, horlogerie, orfèvrerie, bijouterie et optique, Samaden.

Faillites.

Clôture de faillite.

27/XI/28. — Durussel Armand, pierriste, Granges- Marnand.

Concordats.

Sursis concordataire et appel aux créanciers:

13/XII/28. — Graupmann et Cie, fabrique d'horlo- gerie « Siris », La Chaux-de-Fonds.

Commissaire au sursis: Me Alfred Aubert, avocat, La Chaux-de-Fonds.

Délai pour productions: 10 janvier 1929.

Assemblée des crénneiers: 4 février 1929.

Prolongation du sursis concordataire:

28/XI/28. — Le sursis accordé à Bourquin F. Edi.

Eglia Watch Co., Sonvilier, est prolongé jusqu'au 16 février 1929; l'assemblée des créanciers repor- tée au 6 février 1929.

Registre des régimes matrimoniaux.

21/XI/28. — La soc. an. « H . Barbezat-Bôle, Société anonyme », Le Locle, modifie sa raison sociale en celle de Manufactures des montres Paul Buhré et

H. Barbezat-Bôle, Société anonyme, fabrication, achat et vente d'horlogerie soignee, montres sim- ples et compliquées, grandes et petites pièces, bijouterie, etc., reprend la suite des affaires de la

« Société anonyme Paul Buhré », à l'exclusion de l'actif et du passif de celle-ci.

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Suisse 7 . 0 5 1 4 . 0 5 (francs suisses) Etranger 1 3 . — 2 6 . — » Les abonnés de Suisse voudront bien renouveler à temps leur abonnement pour l'année 1929, en versant au compte de chèques postaux I V b 4 2 6 le montant de leur abonnement au moyen du bul- letin de versement annexé au numéro du 12 dé- cembre.

Quant aux abonnés de /'Etranger, nous les in- vitons à s'acquitter le plus vile possible du mon- tant de leur nouvel abonnement, pour éviter une dans h dite rubrique. Etant donné que des factures | interruption dans le service de distribution du jour-

nal. Pour ceux domiciliés dans les pays ayant

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Argent en barres 26'/4 263/io 261A 268/,o New-York 15 déc. 17 déc. 18 déc 19 déc.

(Ces prix s'entendent en cents par once de 31 gr. 103).

Argent en barres 57 Va 57 57 V« 5"78/8

Cours de diamant brut.

(Prix de Bourse au comptant pour grosses quantités) Diamant boart fr. 10.20 à 10.25

Qualités supérieures fr. 0.30 à 1.20 par carat en plus Eclats de diamants fr. 8.90 à 9.20

Cours communiqués par Lucien Baszanger, Genève.

Change sur Paris fr. 20.30 Escompte et change

Suisse: Taux d'escompte

» » avance s/nantissement

consulaires sont encore envoyées avec les colis, non | additionnées, il est rappelé qu'il est absolument néces- saire de remplir cette formalité.

Banque Nationale Suisse Situation au 1b Décembre 1928.

Actif.

Encaisse métallique :

or . . . 47*.841 .666,58 Fr.

argent . 47.884.205,— 520.395.871,55

Changements depuli la dernière situation

disponibilités or à L'étranger Portefeuille sur la Suisse . . Avances sur nantissements . Titres

Correspondants Autres actifs

263.985*000,- 127.4Ï6.482,01

58.98J.07i,—

8.549.514,05 40.0*7.289,05 17 798.675.61 1.IM7.462.903,27

+ 3.917.914,45 + 2.831.000,-

— 4.956.452,77

— 501.950,72 + 14 .67y,60 + 1.367.625,10

— 1.156.755,04 Passif.

Fouds propres 33.440.888,48 Billets en circulation . . . . 840.355.775,—

Autres engagements . . . . 127.804.434,11 Autres passifs 35.561.835 68

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— 94.625,84

adhéré à la Convention de Washington, nous leur rappelons que le paiement peut s'effectuer par man- dat international auprès des bureaux de poste, avec une notable économie de frais. Les abonnés domiciliés dans les autres pays, voudront bien nous faire parvenir le montant soit par chèque sur la Suisse, soit par l'intermédiaire d'un de leurs clients ou fournisseurs suisses.

Ce mode de faire est de beaucoup préférable en raison des pertes de change, des frais élevés de recouvrement, de l'impossibilité même de pren- dre remboursement.

mm~ Nous invitons instamment nos abonnés à vouloir bien payer leur abonnement avant le 5 janvier 1929; passé cette date les rembour- sements seront mis à la poste et auxquels ils voudront bien réserver bon accueil.

L'Administration du Journal.

France Or.Bretagne U. S. A.

Canada Belgique Italie Espagne Portugal Hollande Allemagne Autriche Hongrie Tchécoslov.

Russie Suède Norvège Danemark Bulgarie Roumanie Yougoslavie Grèce Pologne Turquie Finlande Argentine Brésil Indes Japon

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1 Dollar 1 Dollar 100 Belga 100 Lires 100 Pesetas 100 Escudos 100 Florins 100 Reichsmk 100 Schilling 100 Pengös 100 Cour.

100 Roubles 100 Cr. sk.

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100 Leva 100 Lei 100 Dinars 100 Drachm.

100 Zloty 1 Liv. turq.

100 Mksfinl.

100 Pesos 100 Mil reis 100 Roupies 100 Yens

Parité Escompte Demande

en francs suisses °/0

20.305 |3Va 25.2247a 5.181 5 5.18 72.05 27.27 100.—

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208.32 123.45 72.93 90.64 15.33 266.67 138.89 138.89 138.89 100.—

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58.13 22.78 100.—

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7 5 I0 4V.

5'/5

5 10

8 6 10

8 7 6 6

5,46

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Le groupement des fabriques d'ébauches ayant des contrats d'amitié avec E B A U C H E S S . A . informe son honorable clientèle que ses contrats ainsi que les conventions entre les divers groupements d'horlogerie stipulent d'une façon claire et absolue que les ( M a i s o n s A m i e s ) o n t l e s m ê m e s d r o i t s e t l e s m ê m e s o b l i g a t i o n s que le Holding E B A U C H E S S . A .

Nous prions donc nos estimés clients de signer les c o n v e n t i o n s - c l i e n t s avant fin décembre pour éviter que nous soyons obligés de facturer l'augmentation prévue pour non signataires.

Groupement des^ (Maisons Amies):

B u s e r F r è r e s & Cie, Niederdorf.

F a b r i q u e d ' E b a u c h e s d e F l e u r i e r S.A., F l e u r i e r . F a b r i q u e d ' E b a u c h e s d e P e s e u x S.A., P e s e u x . K u r t h F r è r e s , Grencheti.

G. & C. Manzoni & Fils S.A., A r o g n o . A. Reymond S.A., T r a m e l a t i .

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