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infos Deux centres de santé à votre service! Clamart N 196 FÉVRIER 2021 le magazine de la ville et de ses habitant-e-s

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Clamart

infos

le magazine de la ville et de ses habitant-e-s

• Clamart soutient ses jeunes

• Clamart centre de vaccination Covid

• Celsius Energy, entreprise innovante

N°196 • FÉVRIER • 2021

Deux centres

de santé à votre

service !

(2)

CLAMART INFOS • FÉVRIER 2021 • N° 196 • le magazine de la Ville et de ses habitant-e-s • N° ISSN : 1241-6487 • Directeur de la publication : François Le Got • Comité de rédaction : Emmanuelle Silve-Tardy directrice de la Communication, services municipaux et JP2 Conseil • Photographes : Dusan Bekcic, Antonio Pedalino, Guillaume Ramdane, Adobe Stock, Getty • Rédaction, conception et réalisation : JP2 Conseil • Impression : Le Réveil de la Marne • Imprimé sur papier provenant de forêts éco-gérées, avec des encres végétales • Publicité : Micro 5, Thierry Cohen au 06 25 23 65 66 • Distribution : PRIVILEGE • Consultez le site de votre Ville : www.clamart.fr • Courriel : mairie@clamart.fr

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SOMMAIRE

Clamart aime ses jeunes p.4

Les Arcades réhabilitées Bourse aux projets p.8

p.7

ACTUALITÉS

Des transports qui s’adaptent p.13

Former les jeunes p.14

Une journée pédagogique p.16

SANTÉ

Clamart mobilisée p.17

Un centre de vaccination

efficace p.18

Se soigner à Clamart p.19

ZOOM

Des lycéens solidaires p.20

SPORT

Vive le handisport p.21

CULTURE

La science se livre p.23

BRÈVES

Les échos de Clamart p.25

RENCONTRE

Dorothée Lulic soutient

les malvoyants p.27

GRAND ANGLE

Les temps forts de décembre

et janvier p.28

CLAMART AVANCE

Clamart aime ses jeunes p.4

Paroles de jeunes p.6

Clamart nous a soutenus p.7

DÉCRYPTAGE

Les Arcades réhabilitées p.8

ÉCO

Un campus impressionnant p.10 Celsius Energy, start-up innovante p.11

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Jean-Didier BERGER Votre Maire

Réussir la vaccination ///

Au moment d’écrire ces lignes, je suis partagé entre deux responsabilités de ma mission d’élu : ne pas mettre d’huile sur le feu dans un moment bien assez difficile pour tous les Français, et vous rendre compte de façon transparente de la situation par rapport à l’absolue priorité du moment, la vaccination contre la Covid.

J’ai pour ma part demandé et obtenu que Clamart soit centre de vaccination. Avec l’équipe municipale, nous avons trouvé et équipé les locaux d’accueil, mobilisé les personnels compétents, et mis en place le système de réservation en nous calant sur les informations fournies par l’Etat, en particulier pour ce qui concerne le nombre de doses qui seraient à notre disposition.

Force est de constater que la montée en puissance qui nous est annoncée par le Gouvernement ne se concrétise pas sur le terrain. Chacun peut comprendre et reconnaître les difficultés pour l’Etat d’y parvenir, à deux conditions. D’une part, que toute la transparence soit faite sur ces difficultés et sur les doses vraiment disponibles. D’autre part, que le gouvernement n’essaye pas de rejeter la faute sur les maires qui lui tendent la main.

La vérité des chiffres, la voilà. On nous a demandé de créer des centres capables de vacciner entre 1300 et 7800 personnes par semaine : Clamart est ainsi capable de vacciner 5000 personnes par semaine. Or, l’État nous donne un maximum de 420 vaccins par semaine. Il y a en ce début du mois de février plus de 5000 personnes en liste d’attente pour notre centre. On sait déjà qu’à partir de la mi-février, seules les secondes injections pourront être réalisées jusqu’à nouvel ordre. Je vous dis la vérité, parce qu’il n’y a pas de confiance sans transparence.

Soyez certains que je fais le maximum pour dépasser les blocages et pour que l’accélération que le Président de la République a lui-même appelée de ses vœux ne soit pas une vaine promesse. Nous avons tous le même objectif : vacciner toutes celles et ceux qui le souhaitent le plus vite possible pour pouvoir reprendre une vie normale, celle que nous aimons.

ÉDITORIAL

Clamart mobilisée contre la Covid 19 p.17

CONTACTS MAIRIE

• Hôtel de Ville et accueil téléphonique - 01 46 62 35 35 Place Maurice Gunsbourg - Lundi, mercredi, et jeudi : 8h30 - 12h30 / 13h30 - 18h. Mardi : 13h30 - 19h.

Vendredi : 8h30 - 12h30 / 13h30 - 17h. Samedi 8h30 - 12h.

• Centre la Fourche - 01 41 46 05 90

216 av. Jean Jaurès - Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h sauf vacances scolaires

• Mairie annexe du Pavé Blanc - 01 46 62 35 35 5 rue d’Auvergne - Lundi, jeudi : 8h30 - 12h30 / 13h30 - 17h.

Mardi : 14h - 17h. Mercredi : 9h - 12h30 / 13h30 - 18h.

Vendredi : 8h30 - 12h30 / 13h30 - 17h. Samedi : 8h30 - 12h

ENTREPRENDRE

De nouveaux commerces p.31

EXPRESSION

Tribunes des groupes p.33

BLOC-NOTES

État civil p.35

Collecte des déchets et

Urgences médicales p.37

Menus des écoles p.39

(4)

Pour se détendre ou se former, tous les jeunes Clamartois peuvent bénéficier de soutien, d’animations et de coups de pouce financiers.

Panorama de ce que la municipalité propose.

tion et de gestion de leur emploi du temps. Des conférences sur la parentalité permettent aussi aux parents de mieux appréhender les études de leurs enfants pour les aider au quotidien. Parallèlement, pendant les vacances, la muni- AIDER POUR LES ÉTUDES

Tous les enfants du CE1 à la termi- nale peuvent recourir, tout au long de l’année, à un accompagnement scolaire gratuit. Actuellement 82 jeunes profitent d’apports sur leurs méthodes de révision, d’organisa-

cipalité propose des stages de confiance scolaire. Autour d’une thématique spécifique, ceux-ci invitent les jeunes de 11 à 17 ans à travailler et réviser autrement les mathématiques, l’anglais… tout en découvrant des méthodes pour retenir les leçons plus facilement.

Par ailleurs, juste avant les exa- mens de fin d’année du Brevet et du Bac, des stages particuliers sont organisés.

DE NOMBREUX LOISIRS

Pendant les vacances scolaires, la mairie programme de nom- breux stages. Ceux-ci permettent aux jeunes de pratiquer des acti- vités sportives, artistiques (cus- tomisation, construction avec de la récupération) ou ludiques et de profiter de sorties variées

Clamart aime ses jeunes

CLAMART AVANCE

Pendant les vacances scolaires l’École Municipale des Sports propose des stages très intéressants qui permettent de pratiquer une discipline différente chaque demi-journée. Au-delà de la diversité des activités organisées, le sport est aussi un levier éducatif qui permet de véhiculer des valeurs citoyennes. A Clamart, l’offre sportive participe à l’accompagnement éducatif des jeunes. Respect des autres, tolérance, mixité, estime de soi, dépassement de soi, entraide collective ou encore esprit critique sont autant de valeurs proposées et partagées tant au niveau associatif qu’au niveau de la collectivité. Ces valeurs éducatives sont facilement mobilisables pour accompagner le projet professionnel de certains jeunes grâce à des stages en alternance, des formations fédérales…

LE SPORT EN AVANT

Sortie à Fontainebleau

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pour assister à des expositions, se rendre au cinéma, à la patinoire ou encore pratiquer le laser game, l’ac- crobranche…

Le reste de l’année, les mercredis et vendredis de 14h à 19h, les anima- teurs de la Maison de la Jeunesse organisent de nombreuses activités (débats, tournoi de babyfoot, ate- liers décorations, fresque décora- tive, détente avec de la lecture…).

Le dimanche se veut plus sportif avec un tournoi hebdomadaire de futsal au gymnase Léo Lagrange de 16h à 18h30. Cette activité est aussi proposée pendant les vacances du lundi au vendredi.

Clamart aime ses jeunes

INCITER À L’AUTONOMIE Située au 17 avenue Jean-Baptiste Clément, la Maison de la Jeunesse organise régulièrement des actions d’insertion, de sensibilisation, de prévention. Clamart a aussi mis en place des dispositifs permettant aux jeunes d’apprendre et de mon- ter des projets. Ainsi, depuis 2018, ils peuvent se former au baby-sit- ting. Autre exemple, en échange d’heures consacrées à la collectivité, ils peuvent bénéficier d’une forma- tion au Brevet d’aptitude aux fonc- tions d’animateur (BAFA). Ils peuvent aussi profiter de la Bourse aux pro- jets. Celle-ci leur donne un coup de pouce pour financer une action cari- tative, un projet de voyage…

Des séjours pour les jeunes

Chaque année la commune organise des séjours de vacances.

En 2020, malgré le contexte difficile, 15 jeunes ont pu partir à Ercé en Ariège. En 2021, sous réserve de la situation sanitaire, plusieurs séjours seront proposés.

Le premier est un séjour linguistique en Angleterre pour les 11-14 ans. Le second emmènera les 14-17 ans en Irlande. Un séjour multi activités en Haute-Savoie sera aussi proposé aux 12-15 ans et un séjour itinérant en Europe devrait se dérouler pour les 15-17 ans cet été. L’offre complète comprenant les détails des séjours et leur coût sera disponible à partir de mi-février dans un guide qui sera publié sur le site de la Ville et disponible à la Maison de la Jeunesse.

Pour en savoir plus sur les dispositifs pour la jeunesse : clamart.fr et à la Maison de la jeunesse, 17 avenue Jean-Baptiste Clément 01 71 16 75 40

Prochainement, ouverture d’un compte Instagram

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Paroles de jeunes

AYA ZAARANE 18 ANS

J’ai pu bénéficier de la formation baby-sitting et de l’accompagnement à la scolarité proposés par la Ville.

Clamart nous offre pas mal d’oppor- tunités pour nous perfectionner et le service jeunesse organise de nom- breuses activités. Je vis ici depuis que je suis toute petite et les choses avancent bien. Dernièrement j’ai découvert le quartier Panorama qui est très joli et agréable. C’est sympa d’être jeune à Clamart.

CLAMART AVANCE

Je suis né à Clamart et y ai vécu toute ma vie. Je viens de créer l’entreprise Razo (razo.fr) pour proposer des vêtements éthiques et fabriqués localement sans sacrifier l’originalité et le design. Clamart est une ville très sympathique, mais je regrette que les loyers y soient assez chers. Du coup ce n’est pas facile de se loger quand on est jeune. En revanche, la ville est dynamique avec tout le centre-ville qui est en train d’être refait. Elle a aussi l’avantage d’être proche de Paris et j’aime son ambiance campagnarde avec ses espaces verts.

ARSÈNE RASOAMANANA 25 ANS

LOUIS CORNE 19 ANS

Je suis en alternance au club de Clamart Rugby 92 car je suis les cours d’une école de commerce du sport à Jean Bouin. Le stade de la Plaine est un très bon complexe où nous pouvons nous amuser. Les centres de loisirs proposent aussi des activités variées. C’est très agréable de vivre à Clamart car la commune est calme et a beaucoup de parcs et jardins où on peut se retrouver. Par ailleurs, beaucoup d’animations comme la fête des Petits Pois y ont lieu tout au long de l’année et montrent que Clamart s’investit pour sa jeunesse et pour divertir les Clamartois.

CASSANDRA GAFFÉ, 24 ANS Née à Clamart, je n’y ai vécu que des bons moments. J’ai pu découvrir le multisports et le vélo qui m’a donné envie de m’inscrire au CSM Clamart Cyclisme. Je fais partie de son équipe d’encadrement et du comité directeur du CSM Clamart cyclisme.

J’apprécie que la Ville propose de nombreuses activités associatives et sportives aux jeunes. D’ailleurs, les parents du club de vélo me disent que leurs enfants sont très heureux et bien accueillis partout.

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Paroles de jeunes

Clamart Infos : Pourquoi avez-vous eu envie de servir des repas au personnel de l’hôpital Béclère ? Titouan Hennequin : Avec mon amie Coralie Garcia, nous sommes étudiants à l’école de gastronomie française Ferrandi. Nous devions effectuer un stage dans un restaurant 3 étoiles mais malheureusement le confinement nous en a empêché.

Nous nous sommes dit qu’au lieu de ne rien faire, nous pourrions essayer de réconforter les soignants de l’hôpital Béclère en leur apportant des repas.

C. I. : Quel a été le rôle de Clamart ? T. H. : Nous avons commencé par solliciter la municipalité qui nous a bien aidés à travers un don de 1 000 euros. Elle nous a aussi beaucoup soutenus pour monter notre dossier et démarcher l’hôpital. Ensuite, nous avons demandé aux commerçants du marché du Trosy et de la Fourche de nous donner des aliments pour préparer des repas.

C. I. : Quel est votre bilan ?

T. H. : Du 6 novembre au 6 décembre 2020 nous avons servi entre 30

Clamart nous a soutenus

et 40 personnes quatre fois par semaine. C’est une expérience très enrichissante et manifestement le personnel soignant était content.

C. I. : Quel regard portez-vous sur Clamart ?

T. H. : J’y suis né et c’est une ville que j’aime énormément. J’apprécie qu’elle soit proche des jeunes et qu’elle les aide.

Avec Titouan Hennequin, retour sur une action caritative remarquable,

dans le cadre de la Bourse aux projets.

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Pour entretenir son patrimoine, Clamart Habitat met en œuvre un programme conséquent de travaux. Une réno- vation de grande ampleur vient de commencer dans la résidence des Arcades.

UNE SITUATION DÉGRADÉE

Il suffit de se promener au sein de la résidence des Arcades pour constater que celle-ci est vieillissante. Au fil du temps, les bâtiments se sont dégradés et la gale- rie commerçante est devenue moins attrayante. Autre constat : les logements sont particulièrement éner- givores, ce qui n’est pas écologique. Afin de remédier à l’ensemble de ces problèmes, Clamart Habitat et la muni- cipalité ont décidé d’offrir une véritable remise à neuf à ce lieu important de la ville qui se situe à proximité du centre culturel Jean Arp, du marché du Trosy et du futur Monoprix. Les travaux vont aussi permettre d’embellir le quartier en transformant la qualité architecturale de cet ensemble et d’améliorer la qualité des commerces grâce à la fermeture des arcades.

DES AMÉLIORATIONS PROFONDES

La résidence abrite à la fois des particuliers locataires de Clamart Habitat et des commerces. Les travaux concernent tout le monde. La première phase consiste en un ravalement des façades. Afin d’améliorer la per- formance énergétique, il comprendra une isolation par l’extérieur qui permettra de diminuer la consommation d’énergie pour chauffer les bâtiments. Dans un second temps, certaines menuiseries vont être remplacées, la toiture révisée et les étanchéités de nombreuses ter- rasses revues. Pour améliorer l’esthétique et le cadre

Bien connue des Clamartois, la résidence des Arcades va profiter d’une rénovation complète, qui devrait s’achever d’ici la fin de l’année.

Les Arcades réhabilitées

DÉCRYPTAGE

de vie des habitants, les gardes corps des balcons et terrasses vont être modifiés, et certains balcons seront transformés en loggias. Afin de rendre le lieu plus attrac- tif pour les magasins et les Clamartois, les arcades vont être fermées. Au-delà de l’intérêt esthétique, cela per- mettra aussi aux commerçants de disposer de plus de surface, de vitrines toutes neuves et d’être plus visibles.

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Respecter

commerçants et locataires

Si ces travaux engendrent des coûts pour Clamart Habitat, il n’en sera pas de même pour les occupants de la résidence. Les loyers des locataires ne seront pas augmentés. Par ailleurs, pour compenser le préjudice subi par les commerçants, ceux-ci profiteront d’un loyer gratuit pendant la fermeture de leur commerce pour la réalisation des travaux.

Pendant toute cette période, ils recevront également une indemnité pour perte d’exploitation calculée sur leur chiffre d’affaires.

3 QUESTIONS À YVES COSCAS, VICE-PRÉSIDENT DE CLAMART HABITAT ET ADJOINT AU MAIRE DÉLÉGUÉ AU LOGEMENT.

Clamart Infos : Depuis quand songez-vous à rénover la résidence des Arcades ?

Yves Coscas : Elle date de 1984. Depuis, Clamart Habitat y entreprend régulièrement des travaux dans les parties communes et les logements. Cette résidence étant devenue trop énergivore, nous avons décidé de régler l’ensemble des problèmes qu’elle rencontre. Notre réflexion a commencé en 2015. Il nous a fallu du temps pour mener à bien ce projet car il est complexe.

Avant d’entreprendre ce grand chantier il a fallu échanger avec les commerçants, discuter avec les locataires et parallèlement réfléchir à l’aspect esthétique, à l’intégration du bâtiment dans le quartier, etc.

C. I. : Quel est le rôle de Clamart Habitat ?

Y. C. : L’office est propriétaire et donc bailleur de nombreux bâtiments à Clamart. Outre la résidence des Arcades, nous sommes en charge de 4 600 logements et présents dans tous les quartiers de la commune.

C. I. : Quels projets urbains allez- vous mener en 2021 ?

Y. C. : Ils sont très nombreux et visent à développer et améliorer le cadre de vie des Clamartois. Nous allons lancer la rénovation de bâtiments anciens comme le 3, avenue René Samuel mais aussi le 17, rue Paul- Vaillant Couturier ou le 19 avenue des Frères Vigouroux. Et nous allons aussi poursuivre l’acquisition de logements dans le nouveau quartier du Panorama, à la Gare, finir la construction de notre deuxième opération de promotion sociale avec la résidence Les Balcons de Normandie, à la Plaine... Clamart Habitat s’implique constamment dans l’urbanisme de la commune pour transformer des logements et des commerces anciens et parfois dégradés, en biens de qualité.

390 787

1 046 908

Au total Clamart Habitat dépensera

1 437 695 HT

pour rénover la résidence des Arcades.

pour la réhabilitation de logements.

pour les travaux des surfaces commerciales.

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Schlumberger est l’un des leaders mondiaux dans le domaine des éner- gies. Créée en 1926 par Marcel et Conrad Schlumberger, la société n’a cessé de se développer. En 1955 elle acquiert 48 000 mètres carrés de ter- rain à Clamart pour y implanter un nouveau centre de technologie. Quatre ans plus tard, le 25 septembre 1959, Jean-Marcel Jeanneney, ministre de l’Industrie et du Commerce, l’inau- gure. Au fil du temps le site évolue pour

finalement devenir un lieu embléma- tique de la société Schlumberger et son plus grand centre de technologie en Europe.

UN LIEU UNIQUE

Aujourd’hui, le centre, aussi appelé Schlumberger Riboud Product Center, réunit de très nombreux ingé- nieurs, scientifiques et techniciens.

Pendant que certaines équipes tra- vaillent sur la recherche, d’autres développent et produisent des solutions pour les besoins en éner- gie de sociétés du monde entier, ou apportent un support opérationnel.

L’activité est si intense que le site reste ouvert 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Schlumberger Clamart a aussi

Depuis plus de soixante ans la société Schlumberger s ’est implantée à Clamart. Elle y a créé un campus à la pointe de l’innovation technologique.

Un campus

impressionnant

Éco

vocation à s’ouvrir à l’innovation. Le centre accueille des projets promet- teurs ainsi que des start-up comme Celsius Energy (voir Page ci-contre).

Manifestement satisfait, Sebastien Lemmet, directeur du centre explique :

« L’organisation Schlumberger réu- nit plus de 80 000 personnes dans le monde. Le campus de Clamart est l’une de ses pépites. Fort de ses compétences, son écosystème, ses infrastructures et son empla- cement au cœur des futures lignes de tramway, il dispose d’un statut unique. D’ailleurs Schlumberger a décidé de continuer à y investir en y transférant prochainement de nombreuses activités ». De quoi pro- mettre encore de beaux jours à ce campus pas comme les autres…

La petite histoire

Schlumberger s’est d’abord développée en implantant son siège rue Saint- Dominique à Paris. Celui-ci manquant de place, il fallait trouver un lieu plus grand qui ait aussi un accès parfait au réseau téléphonique. A l’époque, la ligne qui permettait de transmettre des données n’était pas installée sur l’ensemble de la France et s’arrêtait à Clamart. Cet atout a donc incité Schlumberger à s’y installer pour bénéficier d’une liaison téléphonique directe avec le monde entier.

800 personnes

de 40 nationalités différentes travaillent sur le campus clamartois.

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Si la France ne manque pas de talents, Clamart n’est pas en reste ! La preuve avec Celsius Energy. Cette start-up est née de la volonté de Cindy Demichel, Matthieu Simon et Sylvain Thierry. En 2017 ces employés de Schlumberger commencent à en lancer les fondations. Convaincus qu’il est possible d’utiliser l’énergie contenue dans le sol pour chauffer et refroidir les immeubles, ils com- mencent une étude de marché. En 2018 Schlumberger accepte de les détacher de leur travail à plein temps pour qu’ils puissent approfondir leur technologie. Leurs recherches évoluant positivement, Celsius Energy voit le jour au sein du campus Schlumberger en 2019.

UNE BELLE HISTOIRE

« De trois employés, nous sommes rapi- dement devenus plus nombreux. En ce début 2021, nous sommes désormais 26 et comptons bien être plus nom- breux d’ici la fin de l’année. Nous allons renforcer notre équipe avec des ingé- nieurs du bâtiment, des spécialistes du chauffage, de la climatisation...

car manifestement notre concept séduit de plus en plus » explique ravie Cindy Demichel, présidente de Celsius Energy. En effet, un nombre croissant d’entreprises, de bureaux d’études, de collectivités locales, dont celle de Clamart, viennent se renseigner sur la technologie déve- loppée par Celsius Energy car elles souhaitent utiliser la géo-énergie pour améliorer leur bilan carbone.

Un bonheur n’arrivant jamais seul, Celsius Energy vient d’être lauréate du club industriel Sekoya créé par de grandes entreprises dont Eiffage.

Celsius Energy peut aussi se targuer d’être labellisée par la fondation Solar impulse de Bertrand Piccard et d’avoir été sélectionnée par un

Créée en 2019 et située à Clamart, Celsius Energy ambitionne

d’améliorer la performance énergétique des bâtiments. Elle vient d’être récompensée par le club industriel Sekoya.

Une start-up innovante

Éco

programme des Nations Unies et la plate-forme Bloomberg. La start-up clamartoise peut donc s’attendre à un avenir radieux…

Une technologie innovante

Grâce à un système innovant de forage qui permet de connecter les bâtiments neufs ou existants à l’énergie de leur sous-sol, la technologie de Celsius Energy permet de récupérer la chaleur de la terre. Associée à une pompe à chaleur, cette dernière peut réchauffer les bâtiments en hiver et les refroidir en été.

Selon Cindy Demichel, cela permettrait de réduire de 60 % les besoins énergétiques des bâtiments existants et la facture énergétique d’environ 50 % tout en divisant les émissions carbone par 10 !

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PUBLICITÉ

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Consciente que les attentes des Clamartois en matière de trans- port ont évolué, la Ville vient de décider avec le territoire Vallée Sud-Grand Paris de rendre le Clam’Express encore plus flexible.

Pour faciliter l’accès aux collèges, de nouveaux points d’arrêts seront prochainement installés. Pour le collège des Petits Ponts, l’arrêt se situera dans la zone « Plateau » du Clam’Express. Pour le collège Alain Fournier, deux points d’ar- rêts supplémentaires dans la zone

« Centre Sud » seront installés à proximité immédiate de l’établis- sement. Enfin, un arrêt est éga- lement prévu en face du collège Maison Blanche.

LE CLAM EXPRESS APPRÉCIÉ Le Clam’Express séduit de plus en plus. S’il faut noter une baisse du nombre de voyageurs liée au contexte sanitaire en décembre dernier, les chiffres montrent une forte augmentation des personnes souhaitant bénéfi- cier de ce service. En septembre 2019, il comptait 759 inscrits. En décembre 2019, ce chiffre passait à 1 408 Clamartois. Un an plus tard, en décembre 2020, ce sont 2 286 habitants qui ont décidé d’en profiter régulièrement. Autre fait remarquable, les utilisateurs du Clam’Express le réservent à 90 % en utilisant l’application mobile Clam’Express.

Le Clamibus et le Clam’Express facilitent les déplacements des Clamartois.

De nouveaux arrêts vont permettre d’en profiter mieux encore.

Des transports qui s’adaptent

Actualités

Voir la vidéo Voir la vidéo sur clamart.fr sur clamart.fr

Un nouvel arrêt pour le Clamibus

De nombreux Clamartois souhaitaient que le Clamibus effectue un stop supplémentaire dans le quartier du Jardin parisien. Depuis le 18 janvier c’est chose faite. Le Clamibus s’arrête désormais devant le 7 rue du Parc pour prendre des voyageurs et laisser descendre ceux qui le souhaitent.

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UNE EXPÉRIENCE CONCRÈTE ET UTILE

Après avoir été reçus pour un entre- tien afin de mieux comprendre leurs attentes, leurs études et leur projet professionnel, les lycéens peuvent suivre un stage d’une à deux semaines au sein de la police muni- cipale. Afin que celui-ci soit vrai- ment utile, les différents services leur sont présentés. En fonction de leur âge (un mineur ne peut travail- ler la nuit) un planning précis est défini. Celui-ci établi, ils participent activement à presque toutes les

missions. A commencer par celle du centre de supervision urbaine qui permet de découvrir les différentes techniques de surveillance et les installations de vidéoprotection de la commune. Au cours de leur stage ils interviendront de manière active au sein du centre de supervision urbaine en y prenant connaissance des consignes particulières, des événements qui sont survenus, des

Si la police municipale assure la sécurité des Clamartois, elle remplit aussi de nombreuses autres missions. Chaque année elle accueille des étudiants dans le cadre de leur parcours de formation. Cette démarche leur permet de découvrir son univers et de leur donner envie de

protéger et servir les autres.

Former les jeunes

Actualités

secteurs sur lesquels il faut porter une vigilance particulière comme les écoles à certains horaires, les commerces, les lieux de culte... Leur apprentissage leur permet aussi de découvrir comment répondre à la radio, aux appels téléphoniques des Clamartois signalant un pro- blème ainsi qu’à ceux des services, à savoir quelles informations trans- mettre en cas de problème...

Un partenariat bénéfique

Lorsque le groupe scolaire Lasalle Saint-Nicolas d’Issy-les-Moulineaux a démarché la municipalité pour que celle-ci accepte des stagiaires au sein de la Police municipale, la mairie a décidé de répondre favorablement.

Sabine Boutin, enseignante des métiers de la sécurité au sein du lycée Saint-Nicolas en est ravie et explique : « Les professeurs de la filière sécurité sont tous des professionnels et nous voulons permettre aux jeunes de découvrir toutes les facettes des métiers. Ce partenariat fonctionne très bien. Nous avons vraiment des retours positifs tant du côté des jeunes que de la Police municipale ».

Jean-Marc Legrand, chef de la police municipale de Clamart

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UNE IMMERSION PROTÉGÉE Pour des raisons de sécurité, les jeunes ne peuvent pas par- ticiper aux interventions et aux patrouilles. En revanche, pour qu’ils connaissent mieux les diffé- rents secteurs de la commune, ils sont accompagnés dans des véhi- cules de liaison qui permettent de ne pas les exposer en public. Ils assistent également à des réunions non confidentielles pour mieux sai- sir le rôle de la police municipale

au sein de la collectivité. Ils ren- contrent des partenaires tels que les sapeurs pompiers, l’hôpital Percy, les bailleurs sociaux... Si les jeunes sont ravis de cette expé- rience, la police municipale l’est aussi. Encore mieux, elle lui permet de recruter de futurs agents. Ainsi, l’un d’eux vient d’être engagé en tant qu’opérateur vidéo et contri- bue désormais à la sécurité des Clamartois.

« J’ai demandé ce stage car il me permettait d’apprendre une nouvelle fonction de la police à savoir celle que remplit la police municipale tout en découvrant aussi la sécurité et les lois qui encadrent son fonctionnement. Les différents agents de la sécurité m’ont très bien accueilli et m’ont appris beaucoup de choses sur le fonctionnement de la police et leur matériel. Ils m’ont donné de nombreuses informations pour m’améliorer en tant qu’agent. Ils m’ont aussi donné des contacts si je veux devenir gendarme. Au lycée on apprend beaucoup la théorie et le stage permet de la mettre en pratique. Je trouve que j’ai fait un bon stage et que j’ai beaucoup appris ».

ALEXANDRE

EN STAGE DU 7 AU 18

DÉCEMBRE 2020

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Le 27 novembre dernier, toutes les équipes des crèches clamartoises ont mené une réflexion globale sur leurs pratiques pour les harmoniser et ainsi mieux répondre aux besoins des enfants et des parents !

UN PROGRAMME TRÈS RICHE Les personnels de chaque crèche ont pu suivre des formations et mener des réflexions différentes. Ainsi, le person- nel de la crèche Jaurès s’est interrogé sur la mise en place de la langue des signes associée à la parole avec les enfants. Ce langage leur permet de communiquer, de se sentir compris,

écoutés, de renforcer leur confiance en eux, d’exprimer leurs émotions, leurs ressentis… De son côté, avec l’aide d’une psychologue, la crèche Fourche a réfléchi au développement des sens à travers la manipulation des différentes textures et matières, ce qui a permis l’élaboration d’une affiche sensorielle à destination des enfants.

A la crèche Normandie, une formatrice est intervenue sur l’importance de la qualité du « bien porter » et les consé- quences dans le vécu de l’enfant.

Sans s’en rendre compte, la manière dont on porte un enfant a des consé- quences sur son bien-être et sa capa- cité à s’ouvrir à lui-même. La crèche Sainte-Emilie ainsi que la crèche Soleil Levant ont profité de cette journée pour faire une retransmission des for- mations suivies par leurs agents sur différents thèmes tels que celui du handicap. La crèche Soleil Levant a élaboré des fiches explicatives sur le

Deux fois par an, les 150 agents des structures municipales de la petite enfance se réunissent dans le cadre de journées pédagogiques.

Objectifs affichés et atteints : se former, échanger et réfléchir pour que les enfants profitent d’un accueil sécurisant et adapté qui favorise leur épanouissement et leur développement.

Journée pédagogique

Actualités

thème de la morsure à l’attention de chaque famille. La crèche Renaudin a, quant à elle, travaillé sur l’adap- tation et ses enjeux pendant que l’équipe de la crèche Boulard menait une réflexion et un travail sur le jeu en collectivité et sur la façon de réaména- ger les espaces avec l’aide d’une for- matrice. Enfin, les professionnels de la crèche Pavé Blanc ont travaillé sur la cohésion d’équipe ainsi que sur les difficultés et les impacts du contexte sanitaire actuel sur leur travail. Riches en enseignements, ces journées per- mettent d’ores et déjà au personnel des crèches de mieux prendre soin des petits Clamartois.

471 enfants

sont accueillis au sein des huit crèches clamartoises.

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« Ce centre est efficace parce qu’il est fluide et qu’il y a de l’espace. L’accueil est correct, les gens ne se bousculent pas, il n’y a pas d’attente. Je constate aussi que les gens qui viennent sont pressés de se faire vacciner. Ils ont compris que c’est important pour lutter contre l’épidémie ».

DOCTEUR ARMAND SEMERCIYAN, MÉDECIN GÉNÉRALISTE À CLAMART

Dès qu’il a appris qu’un vaccin serait mis sur le marché, Jean- Didier Berger a proposé de mettre à disposition les centres munici- paux de santé de Clamart, qui vac- cinent depuis longtemps contre la grippe. Malheureusement, l’Agence Régionale de Santé (ARS) a refusé en expliquant que les vaccinations ne se feraient que dans les hôpitaux. Puis elle a changé d’avis et accepté que certaines communes puissent ouvrir des centres de vaccination.

UNE ACTION DANS L’URGENCE Clamart s’est immédiatement portée candidate. Sur demande du Préfet, elle a constitué un dossier pour mon- trer sa capacité à vacciner plus de 5 000 personnes par semaine. Celui-ci a été déposé le 8 janvier. Vu son orga- nisation et sa capacité d’adaptation, Clamart avait bon espoir d’être rete- nue parmi les 30 villes du départe- ment qui candidataient. En atten- dant, afin d’être préparés lorsque la décision serait prise, les services

municipaux ont aménagé la salle des fêtes Hunebelle afin qu’elle puisse accueillir les personnes souhaitant se faire vacciner. En même temps, méde- cins et infirmières étaient sollicités pour connaître leurs disponibilités si la décision s’avérait positive. Lorsque la Ville a été retenue, le 12 janvier, tout était déjà prêt. La municipalité a immédiatement envoyé un courrier à toutes les personnes de plus de 75 ans pour qu’elles puissent s’inscrire.

Le lundi 18 janvier, les vaccinations ont démarré. Malheureusement, sur les 420 doses promises par l’Etat, seulement 170 ont été livrées le lundi.

De ce fait le centre de vaccination clamartois a dû fermer ses portes

jusqu’à ce qu’il rouvre le 22 janvier avec la livraison de nouvelles doses de vaccin. Depuis, les personnes sur liste d’attente sont rappelées pour être vaccinées dans l’ordre d’inscrip- tion, au fur et à mesure de l’arrivée des doses.

La municipalité vient de déployer d’importants efforts pour installer le centre de vaccination anti Covid-19 au stade Hunebelle. Retour sur une semaine particulièrement intense.

SANTÉ

Clamart mobilisée

Voir la vidéo Voir la vidéo sur clamart.fr sur clamart.fr

Inscriptions par tél. au 01 46 62 35 72

+ de 5 000

personnes

sur liste d’attente Environ

400 vaccins

livrés par semaine à Clamart

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Lundi, dès leur arrivée les personnes inscrites pour se faire vacciner sont prises en charge. Un questionnaire médical ainsi qu’un stylo à usage unique leur sont remis en main propre.

SANTÉ

Ici,

on vaccine !

Elles sont ensuite reçues par un médecin généraliste (ici le Docteur Hamon) qui vérifie qu’elles n’ont pas de contre-indication par rapport au vaccin. Cette étape passée, elles peuvent se rendre dans une partie de la salle qui est réservée aux personnes allant se faire vacciner quelques minutes plus tard.

Une fois l’injection effectuée, les personnes vaccinées sont installées pendant 15 minutes sur des chaises.

Ce temps permet de vérifier qu’elles ne subissent pas d’effet secondaire.

Dans un tel cas une tente de secours avec un défibrillateur, de l’adrénaline, un respirateur manuel… est prête à les accueillir. Heureusement, le 18 janvier, elle n’a pas été utilisée.

« Je trouve que c’est extrêmement bien organisé. Nous sommes guidés de façon parfaite par des personnes qui nous donnent le formulaire à remplir. Ensuite l’injection s’est bien passée et on ne sent presque rien. On attend ce vaccin depuis 9 mois et je ne me serais pas vu refuser la vaccination. Nous avons vraiment de la chance d’avoir ce centre ».

ARMAND JULIEN

Pendant ce temps, dans la cuisine du stade Hunebelle qui a été transformée en laboratoire, les doses de vaccin sont préparées.

Afin qu’elles restent à bonne température, elles sont conservées dans des réfrigérateurs sous alarme.

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Le conseil

scientifique du Territoire

Afin de trouver les meilleures solutions pour protéger ses habitants, Vallée Sud-Grand Paris a créé un conseil scientifique local. Celui-ci s’est réuni le 12 janvier dernier. Autour de Jean- Didier Berger, des spécialistes

(infectiologue, directeur d’hôpital…) ont fait le point sur l’évolution de l’épidémie de Covid-19 et ont réfléchi aux capacités de vaccination, à la manière de pallier une éventuelle pénurie de seringues et d’aiguilles ainsi qu’à l’éventuelle création d’une ligne d’écoute et de permanence psychologique.

Ils ne sont pas forcément connus mais accueillent pourtant tous les Clamartois, avec très peu de délai d’attente pour un rendez-vous. Les centres de santé polyvalents Jaurès (situé au 55 avenue Jean Jaurès) et Auvergne (situé au 7, rue d’Auvergne) sont des établissements publics dont la vocation consiste à permettre aux habitants de la ville de profiter d’une très large gamme de soins. Dans le premier il est possible de consul- ter des médecins généralistes ainsi que des spécialistes en gynécolo- gie, tabacologie, dermatologie, rhu- matologie et de bénéficier de ser- vices infirmiers. Dans le second, les Clamartois peuvent avoir l’avis de

médecins généralistes. Ils peuvent aussi recevoir des soins dentaires assurés par trois chirurgiens-den- tistes et trois assistantes dentaires qualifiées. Par ailleurs, l’un des pra- ticiens exerce plus particulièrement auprès des enfants le mercredi.

Le centre de santé Auvergne vient récemment de se voir offrir une nou- velle jeunesse grâce à des travaux de réhabilitation et de modernisation.

SOIGNER TOUT LE MONDE

Pour que tous les Clamartois puissent profiter de soins pour un coût convenable, l’ensemble du per- sonnel médical applique des tarifs conventionnés sans dépassement

Savez-vous que deux centres de santé sont à votre disposition à Clamart ?

SANTÉ

Bien se soigner à Clamart

d’honoraires. Les centres pratiquent aussi le tiers payant sur la partie sécurité sociale, ce qui permet de ne régler que le ticket modérateur. Par ailleurs, sur présentation des pièces justificatives, les bénéficiaires de la couverture maladie universelle ou de l’aide médicale de l’État sont totalement pris en charge pour l’ensemble des actes médicaux et infirmiers dans les deux centres de santé.

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2 000 jouets

ont été distribués grâce à cette initiative.

Du 7 au 18 décembre 2020 le lycée Jacques Monod s’ est mobilisé pour recueillir des jouets et les distribuer à différentes associations.

de Clamart Jérôme Jean-Baptiste. Ce dernier leur a permis de rentrer faci- lement en contact avec l’association Le Phare de Clamart, la Cité de l’en- fance du Plessis-Robinson et l’hôpital Gustave Roussy à Villejuif à qui les cadeaux ont été destinés.

UNE RÉCOLTE IMPRESSIONNANTE

Dans un premier temps, 78 cartons remplis de jouets, de jeux, de livres, de trottinettes, de vélos ont pu être récoltés. Voulant aller encore plus loin, les lycéens ont décidé de rechercher des partenaires sup- plémentaires. Dans ce but, ils ont sollicité le collège Alain-Fournier et l’école primaire Louise Michel qui ont immédiatement adhéré. Grâce à des C’est une initiative originale et qui

a rencontré un franc succès ! En décembre dernier, des représentants du conseil de la vie lycéenne (CVL) du Lycée Jacques Monod, de la maison des lycéens et Madame Dorival, provi- seure adjointe de l’établissement, ont décidé de mettre en place l’opération

« 1 jouet - 1 enfant ». En 5 jours, les élèves ont mené une réflexion pour sélectionner les partenaires et les organismes à qui ils allaient remettre les jouets et mettre en place une orga- nisation. Le choix s’est rapidement porté sur des associations s’occupant d’enfants hospitalisés et de familles en grande difficulté. Les lycéens ont contacté le président du Rotary club

affiches placardées dans les établis- sements, des messages postés sur les réseaux sociaux dans le but de sensi- biliser le plus grand nombre d’élèves, à la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres des habitations et à des lettres envoyées aux entreprises des alentours, ils ont pu récolter 1 200 euros donnés par différentes socié- tés et réunir encore plus de jouets.

Il a ensuite fallu les trier par âge et en fonction des besoins des bénéfi- ciaires avant de les déposer au pied d’un sapin artisanal construit par des élèves du CVL aidés d’agent de la col- lectivité territoriale du lycée. Ensuite, cartons et jouets ont été distribués et permis à de nombreux petits et grands de passer un meilleur Noël.

Une bonne action

zoom

Plus de

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sport

Tous les mardi soirs de 19h30 à 21 h au gymnase Condorcet, Nicolas Durif, joueur du club de tennis de table de Clamart et éducateur sportif en acti- vité physique adapté accueille des jeunes et des adultes en situation de handicap moteur, mental ou sensoriel. Grâce à une pratique adaptée, il leur permet de s’amuser tout en pratiquant une activité physique. Pour plus de renseignements il suffit d’envoyer un mail à csmctt@gmail.com.

LE PING-PONG AUSSI

Le sport c’est bon et important pour tous ! La piscine de Clamart a mis en place plusieurs créneaux réservés aux personnes en situation de handicap.

RÉPONDRE AUX ATTENTES Permettre à tous de pratiquer une activité c’est bien, encore faut-il qu’il y ait de la demande. En ce qui concerne le handisport aquatique c’est le cas.

Plusieurs personnes en situation de handicap ont manifesté leur désir de participer à ce genre d’animation car elles trouvaient que la kinésithéra- pie ne répondait pas complètement à leurs besoins. Cherchant une acti- vité physique en complément, elles

se sont adressées à Samia Enjelvin, membre référent d’activité sportive du comité départemental handisport 92. Celle-ci a contacté la piscine et la mairie de Clamart et très rapide- ment il a été décidé de proposer un atelier aquahandi. L’activité a débuté en octobre et n’a pas été interrom- pue pendant le second confinement.

Actuellement une dizaine de per- sonnes en profite.

UNE ACTIVITÉ ADAPTÉE

« L’aquagym se pratique dans l’eau.

Elle consiste à faire des gestes de gymnastique douce, des mouvements de fitness... que nous ne pourrions pas faire en dehors de l’eau. Elle permet de ne pas sentir le poids de son corps, ce qui procure un sentiment très agréable pour les personnes en situa- tion de handicap » explique Samia Enjelvin qui pratique l’aquagym. Afin de faciliter la pratique de l’activité, des bénévoles viennent en soutien à celles ou ceux qui ont besoin d’aide pour enfiler un bonnet, accéder au bassin, effectuer un transfert de fau- teuil à fauteuil-piscine, etc. Par ail- leurs, cette activité favorise la mixité entre personnes en situation de han- dicap et personnes valides.

Pour plus de renseignements, il suffit de contacter la piscine de Clamart au 01 80 73 00 50 ou Samia Enjelvin à l’adresse mail espaceefh@gmail.com et au 06 51 17 20 88.

La piscine de Clamart et le Comité départemental handisport des Hauts de Seine (CDH92) se mobilisent pour permettre aux personnes en

situation de handicap de pratiquer une activité physique.

Vive le handisport

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UN PROGRAMME TRÈS INTÉRESSANT

Dès le mercredi 3 février à 15h, les jeunes de 6 à 12 ans sont invités à suivre différentes expériences autour du thème « De la poussière, oui... mais d’étoiles ». Cet atelier animé par les Savants Fous se dérou- lera sur l’application Zoom. Il aura également lieu le samedi 6 février à 10h30. Pour que les jeunes de 6 à 12 ans puissent découvrir quelques notions essentielles sur notre orga- nisme, le mercredi 10 février à 16h, les Savants Fous proposeront un atelier scientifique sur le sys- tème immunitaire. Il se déroulera C’est devenu un rendez-vous incon-

tournable pour tous les curieux ! Chaque année, de fin janvier à mi-février, les lieux culturels des Hauts-de-Seine se mobilisent pour l’événement La science se livre. En 2021, les médiathèques de Clamart ont décidé de proposer des focus sur l’espace, notre planète et la santé. Le programme qui était très ambitieux a dû être réduit à cause du contexte sanitaire. Néanmoins, afin qu’un maximum de Clamartois puissent en profiter, il a été adapté et plusieurs ateliers se dérouleront grâce à Internet.

également sur Zoom. Le samedi 13 février, place à un autre atelier scientifique pour la même tranche d’âge. Intitulé « T’es rien ou terrien », il sera animé sur Zoom à 10h30. Le même jour, la science se livre s’achè- vera par une belle rencontre avec Anne-Sophie Baumann, auteur de livres-documentaires jeunesse. Tous les Clamartois sont invités à venir échanger avec elle à 16h sur l’appli- cation Zoom.

Pour s’inscrire il suffit d’appeler le 01 86 63 12 10 ou d’envoyer un mail à l’adresse emilie.kuchmann@

valleesud.fr.

CULTURE

Continuer de se cultiver : malgré le virus, les initiatives se multiplient.

Jusqu’au 13 février, la vingt-cinquième édition de La Science se livre

permet à chacun d’améliorer ses connaissances en s’amusant…

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Adultes :

• Atelier DIY

- Samedi 6 février de 13h30 à 17h30 : atelier couture.

Non payant, sur inscription.

• Café des parents

- Mardi 9 février de 9h45 à 11h45 : thème « Lorsque le conflit tourne autour de l’éducation des enfants ». Non payant, sur inscription.

• Parents / Enfants :

- Mercredi 10 février de 14h à 16h30 : décoration du centre. Non payant, sur inscription.

• Ludothèque :

Le Drive est mis en place : vous pouvez retrouver les catalogues de jeux sur le site de la Ville et emprunter des jeux en nous adressant un mail à ludotheque@clamart.fr - Mercredi 10 février de 14h30-15h30 et de 16h à 17h :

animation jeux vidéo pour enfants à partir de 8 ans. Sur inscription.

• Pendant les vacances :

- CSC : organisation de stages pour enfants

- Ludothèque : matinées motricité de 9h30 à 11h30, pour les enfants de 0 à 5 ans accompagnés d’un adulte (sur inscription) ; après-midi découvertes de jeux, immersion dans le monde de l’écologie et des jeux coopératifs (sur inscription).

Renseignements et inscriptions : Centre socioculturel du Pavé Blanc 44 route du Pavé blanc - 01 71 16 75 50 cscpaveblanc@clamart.fr

CSC : le programme de février

BRÈVES

La prochaine collecte de sang organisée par l’EFS se tiendra le mardi 16 février, de 14h à 19h, dans la salle bleue de la Maison des Sports. Prennez rdv sur dondesang.efs.sante.fr

Collecte de sang

Agenda des associations

Stages English center :

Des stages seront organisés pendant les vacances de février. Toutes les infos sur englishcenterclamart.fr ou contactez Emmanuelle au 06 88 24 25 21

France Alzheimer 92 :

- Permanence mensuelle le 8 février sans rendez-vous de 13h45 à 15h45 à la Maison des Associations (MDA) - Café mémoire le 11 février. Brasserie «Le living» 4

avenue René Samuel de 15h à 17h. Entrée libre sur le thème «Comment gérer les propos incohérents de mon proche ?»

- Atelier gymnastique douce pour les malades d’Alzheimer le 18 février de 14h à 16h à la MDA

- Groupe de paroles le 20 février de 10h à 12h à la MDA - Atelier art thérapie le 26 février de 10h à 12h à la MDA Solidarité et Loisirs

L’AG du 11 février est annulée et reportée au mois de mai.

La nouvelle date sera communiquée par voie postale. Le concert Magnificence est annulé et reporté. Le spectacle « Les Bodins » est annulé. Inscriptions aux sorties prévues au programme : 06 30 93 27 02 ou par mail à solidariteloisirs@

hotmail.com

Ateliers Thérapies & Mieux-Être Samedi 6 février :

- 14-15 h : retrouvez des nuits calmes à l’aide de techniques simples et efficaces, accessibles à tous, avec Silvana Stamper

- 15h15 - 16h45 : osez révéler vos talents grâce à l’improvisation théâtrale ! avec Marion Vallet

Tél : 07 82 27 44 31 (5 euros par personne)

La Région Ile-de-France propose depuis peu aux communes franciliennes d’obtenir un nouveau label : « Ville amie des animaux ». Pour cela, elles doivent œuvrer en faveur de la protection des animaux de compagnie, contre la maltraitance et l’abandon. La Ville de Clamart s’est naturellement portée candidate et a été jugée sur 3 axes d’action :

- La promotion du respect et du bien-être animal

- La valorisation de la place des animaux de compagnie au sein de la ville

- Le renfort de la place de l’animal de compagnie auprès des citoyens fragilisés

Le jury s’est réuni le 20 novembre 2020 et Clamart a obtenu la distinction « 1 patte », synonyme de reconnaissance des actions et des projets engagés, notamment en lien avec le mouvement associatif.

Clamart, ville amie des animaux

Ce programme est susceptible d’évoluer

en fonction des mesures sanitaires.

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RENCONTRE

Clamartoise et bénévole, Dorothée Lulic forme des chiens guide d’aveugle depuis 4 ans. Portrait d’une femme de cœur qui aime partager son engagement.

Elle soutient les malvoyants

Clamart Infos : Comment est née votre vocation ?

Dorothée Lulic : Toute petite je savais que l’école des chiens guides existait car mes parents recevaient des courriers d’appel aux dons qui expliquaient en quoi consiste le rôle d’une famille d’accueil. Un jour j’ai croisé quelqu’un qui promenait un chien avec un dossard bleu d’élève chien guide et lui ai posé des questions. J’ai ensuite pris la décision d’appeler l’école pour engager le processus.

C. I. : En quoi consiste votre mission ?

D. L. : Je suis bénévole et j’accueille un chiot de 3 mois pendant environ 10 mois. Ma première mission est de le socialiser, c’est-à-dire de l’ha- bituer à tout type de situation, de personnes, d’animaux… de manière à ce qu’il ne réagisse pas de façon excessive et n’ait pas de réaction inappropriée quand quelqu’un applaudit, s’il croise un enfant ou un pigeon sur sa route... Ensuite, il faut l’éduquer à la propreté car

les chiens guides doivent faire tous leurs besoins dans le caniveau et sur ordre. Il faut aussi leur apprendre les bonnes manières. Enfin, j’ai un rôle d’information auprès des personnes que je rencontre dans la rue.

C. I. : Justement, est-ce que devenir famille d’accueil représente beaucoup d’investissement ?

D. L. : Oui car vous devez emme- ner le chien partout avec vous et ce n’est pas toujours évident. Certains commerces ou structures refusent de l’accueillir alors qu’un texte de loi stipule que le chien a le droit de m’accompagner partout où je vais sans facturation supplémentaire.

Cela dit, c’est un plaisir d’avoir un chien constamment à ses côtés.

C. I. : Tout le monde peut-il devenir bénévole ?

D. L. : A priori oui. Il n’y a aucune condition d’âge ni de superficie de logement. En revanche, il ne faut jamais laisser le chien seul plus de 3 heures, donc il faut exercer une pro- fession qui rende cette disponibilité

possible. Par ailleurs, les chiots sont souvent des labradors, donc pour des raisons médicales il ne faut pas qu’il habite au-delà du deuxième étage sans ascenseur.

C. I. : Vous êtes Clamartoise depuis 13 ans, pourquoi avez-vous choisi de vous installer ici ?

D. L. : J’habitais porte de Brancion et emmenais mon chien se prome- ner au bois de Clamart. Cela m’a permis de découvrir la ville. Je l’ai trouvée mignonne et attrayante et ai voulu m’y installer. Outre l’avantage de profiter du bois, j’apprécie le petit centre-ville piétonnier qui donne un aspect village alors que nous nous trouvons juste à côté de Paris. J’aime aussi me promener dans le nouveau quartier du Panorama et profiter des nombreuses infrastructures pré- sentes sur la ville.

Contacts :

Ecole des chiens guides de Paris : www.chiensguidesparis.fr et www.facebook.comPetitchiotde- viendragrandchienguide

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GRAND ANGLE

1 2 BOÎTES DE NOËL POUR LES PLUS DÉMUNIS

Bravo et merci aux Clamartois qui ont participé au projet solidaire des « boîtes de Noël pour les personnes les plus démunies ».

Cette action, portée par le CSC et les élèves de l’école Senghor, a permis de recueillir plus de 130 boîtes, distribuées par l’association Imagine à des personnes sans abri, lors des maraudes du 24 et 27 décembre. Au total, 25 000 ont été collectées sur toute l’île-de-France.

3 OPÉRATION PÈRE NOËL

En décembre, l’école Jean Monnet a mené une opération « Père Noël », qui a permis la distribution de jouets à plus de 30 familles.

Un grand bravo aux enfants, familles et à l’équipe éducative !

4 UN MÉDECIN EN MISSION À ARTACHAT Suite au conflit au Haut Karabagh et à la demande de Jacqueline Minassian, adjointe au maire déléguée aux grandes causes humanitaires et du docteur Hovakimian, membre de l’AFAC, le docteur Ekhérian, président de l’association Hay Med, s’est rendu deux jours à Artachat en décembre, avec de nombreux médicaments. Il a pu rencontrer 130 familles réfugiées, effectuer 53 consultations, puis échanger avec les médecins de l’hôpital sur la prise en charge du covid 19 ainsi que leurs besoins.

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Voir la vidéo Voir la vidéo sur clamart.fr sur clamart.fr

GRAND ANGLE

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5 6 CLAMART EN HIVER

Nous avons capté pour vous quelques images illustrant l’hiver à Clamart, qui est maintenant bien installé !

7 PLAN NEIGE : UN TEST GRANDEUR NATURE

La nuit du 10 décembre, les équipes des services techniques de la Ville se sont mobilisées, dans le cadre d’un exercice en vue du déploiement du plan neige.

Une répétition générale, qui a permis à la municipalité de se tenir prête à intervenir lors des épisodes neigeux de janvier.

8 DÉPISTAGE COVID

Samedi 16 janvier, un centre de dépistage Covid a été installé à l’Hôtel de Ville grâce à l’aide de la Région Ile-de-France, dans la salle Jacky Vauclair. Les Clamartois ont ainsi pu effectuer un test PCR gratuitement et sans-rendez-vous.

9 LES VŒUX AUX CLAMARTOIS EN DIRECT

La traditionnelle cérémonie n’ayant pas pu se tenir, le Maire a présenté ses vœux aux Clamartois en direct sur la page Facebook de la Ville, samedi 9 janvier à 18h. Un live, au cours duquel vous avez été nombreux à lui poser vos questions. Retrouvez l’intégralité de la vidéo sur clamart.fr

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entreprendre

De nouveaux commerces

Estimant qu’il existait peu de salons de barbiers dans les alentours, Laori El Arabi a décidé de s’installer à Clamart. Dans une ambiance conviviale, avec des fauteuils confortables et larges, les coiffeurs y écoutent les souhaits des clients. Ils proposent des taillages et traçages de barbes de toutes tailles, des soins spécifiques ainsi que des coupes de cheveux.

Il est possible de prendre rendez-vous en ligne sur www.planity.com/barberland-92140-clamart

Barber Land : 20 rue Pierre et Marie Curie. 01 70 28 59 89 Ouvert du mardi au dimanche de 9h30 à 20h*.

Barber Land

Venant d’une fa- mille de fromagers de père en fils, Flo- rian Vandenabee- le travaillait sur Chatenay-Malabry.

Lorsqu’il a été dé- marché pour s’ins- taller à Clamart il n’a pas hésité car le quartier lui semblait prometteur. Depuis sa récente ouverture il propose des fromages sélectionnés chez des petits producteurs. Par- mi ses spécialités il faut noter le Gorgonzola à la louche, de nombreux Comtés ainsi que le très rare Bleu de Termi- gnon. Afin de satisfaire tout le monde, la maison Lelay est également épicerie fine avec des produits italiens

Maison Lelay : 5 place du Panorama 09 75 86 58 81. Ouvert le mardi de 10h à 14h et de 16h à 20h, les mercredi et jeudi de 9h à 14h et de 16h à 20h, les vendredi et samedi de 9h à 20h et le dimanche de 9h à 14h*.

La Maison Lelay

Après 21 ans d’exercice à Versailles, David Cameirinha a eu l’opportunité d’ouvrir sa boucherie dans le quartier du Panorama. Il l’a saisie pour proposer des viandes d’excellente qualité. Il choisit en effet des bêtes limousines élevées par de petits producteurs auxquels il rend régulièrement visite. Outre des morceaux de bœuf, il vend aussi de la volaille, de la rôtisserie. Il propose aussi un service charcuterie-traiteur avec des salades et des plats cuisinés maison (paella, couscous…) qui changent chaque jour.

La Boucherie du lac : 4 place du Panorama. 01 40 83 00 46. Ouvert du mardi au vendredi de 8h à 13h et de 16h à 20h, le samedi de 8h à 20h et le dimanche de 8h à 13h*.

La Boucherie du lac

Afin de faciliter la vie des habitants et l’ac- cès aux commerces, depuis le 16 dé- cembre un nouveau parking a ouvert au Panorama. Il dispose de 266 places dont 193 places de par- king public, avec 1h gratuite. Au premier

sous-sol, 76 places dont une place pour personnes à mo- bilité réduite et 26 places pour les véhicules électriques sont disponibles. Au deuxième sous-sol, ce sont 117 places dont deux réservées aux personnes à mobilité ré- duite qui sont accessibles. Pour que les places libres soient aisément repérables, des capteurs de disponibilité les si- gnalent. Par ailleurs, le parking propose aussi 10 emplace- ments pour les deux-roues motorisés et des locaux pour les deux-roues non motorisés.

Le parking du Panorama

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