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Se soigner moins cher : les bons plans

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Entretien

avec Alain Hubert

Gagnez des places pour les cinémas

Se soigner moins cher : les bons plans

Le magazine de la Mutualité Socialiste et Syndicale de la province de Liège - n° - Mars 00 - bureau de Dépôt : Liège x - Editeur responsable : Fondation Solidaris - 36 rue Douffet - 4020 Liège

Plan Cancer :

un an après

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Solidaris n°2 2009

Pertes d’emplois massives dans cer- taines entreprises, chômage techni- que, pouvoir d’achat en chute libre, augmentation de la précarité… la crise que nous traversons aujourd’hui touche de plus en plus de monde et démontre, si c’est encore nécessaire, les terribles limites de la politique libérale.

Les limites, mais aussi les incohéren- ces de cette politique qui détricote le pouvoir de l’état en prônant la priva- tisation à tout va et la concurrence débridée, et revient vers l’état quand il s’agit de sauver un système bancaire en déroute…

Mais le rôle de l’état ne peut pas, ne doit pas se limiter à celui d’un «pour- voyeur» de fonds. La responsabilité de l’état et de celles et ceux qui le gou- vernent, est bien plus large…

Aujourd’hui le temps n’est plus aux lamentations ou aux guerres «intes- tines»…

Le temps n’est plus aux constatations stériles….

Non, aujourd’hui le temps est à la prise de responsabilités… une prise de res- ponsabilités qui doit s’accompagner de mesures concrètes.

Envers les plus défavorisés d’abord, ceux qui sont le plus frappés par la crise.

Envers l’économie en général ensuite, une économie de marché régulée, por- teuses d’emplois et d’espoir…

Notre société est en pleine mutation, il est essentiel que les femmes et les hommes politiques reprennent de la hauteur et travaillent à l’élaboration d’un modèle nouveau ou chaque citoyen a sa place. Une société plus juste. Enfin.

Jean-Pascal Labille, Secrétaire Général

Le magazine de la Mutualité Solidaris et de ses partenaires du réseau Solidaris - www.solidaris.be

Coordination éditoriale et responsable d’édition : Frédéric Fassotte - Journaliste : Bérangère Lhomme - Coordination : Karin Balthazart

Comité de rédaction : Alain Blause, Chloé Burton, Christine Chalon, Philippe Crahay, Françoise Devalériola, Jean-Marc Ernes, Begoña Fernandez, Séverine Gohy, Cédric Levert, Dr Pierre Mbuyamba, Marylène Vanhee, Carole Verdin

Mise en page : Héroufosse Communication - Impression : Imprimerie Masset Les bons plans pour

se soigner moins cher ! ... p. 3

Assurance Complémentaire Activ’jeunes, vaccination, prévention de l’obésité ... p. 6

SERENA

service d’intervention et d’assistance funérailles ... p. 8

Fondation Réseau Solidaris Remise des prix

Solidaris 2009 ... p. 10

Centrale de Services à Domicile Système

de biotélévigilance ... p. 11

Centre Verviétois de Prophylaxie

Anticancereuse ... p. 12

Entretien

Alain Hubert ... p. 14

CHPLT

Centre de Réadaptation Fonctionnelle ... p. 18

Espace Santé

«Papa, maman, qu’est-ce qu’on mange ?» : carnet de recettes ... p. 21

FPS

Activités et voyages

pour seniors ... p. 22

Agenda

du secteur associatif ... p. 24

Jeux-Concours : cinémas ... p. 31

Edito

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Solidaris n°2 2009

Grâce à la sécurité sociale, qui offre une protection financière contre les aléas de la vie, une grande partie des frais liés aux soins de santé est remboursée, mais une partie reste encore à charge du patient. Des systèmes spé- cifiques viennent compléter cette protection existante permettant de rendre les soins accessibles à tous… Les connaissez-vous ?

Les soins de santé comment ça marche ? Globalement c’est assez simple. Prenons un exemple courant : lorsque vous êtes malade et que vous allez chez le médecin, vous payez l’entièreté du prix de la visite.

Après quoi vous rentrez votre attestation de soins à la mutuelle qui vous rembourse une partie. Au final vous avez uniquement déboursé le restant.Cette partie qui reste à votre charge après remboursement de la mutuelle est appelée le ticket modé- rateur.

BIM et OMNIO

Pour les personnes ayant des revenus modestes, la sécu prévoit un système d’interventions majorées ce qui permet, entre autres, d’avoir une intervention plus importante de la mutuelle dans le coût des soins de santé. Il s’agit des statuts BIM et OMNIO.

Les bons plans

pour se soigner moins cher !

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Solidaris n°2 2009

Le statut BIM

Ce statut concerne certaines catégories de personnes. Les Bénéficiaires de l’Intervention Majorée (BIM) ont droit à une intervention plus importante de la mutualité dans le coût de leurs soins. Ils paient ainsi une quote-part personnelle (appelée ticket modérateur) moins élevée lors d’un séjour à l’hôpital, une consultation chez un médecin ou pour les médicaments. On dit alors qu’ils bénéficient d’un «tarif préférentiel».

Le statut OMNIO

Le statut OMNIO étend le bénéfice de l’in- tervention majorée dans le coût des soins de santé à de nouvelles catégories de personnes à revenus modestes qui n’entrent pas dans les conditions du statut BIM. Sont concernés les ménages disposant de revenus modestes qu’il s’agisse de revenus du travail (ouvrier, employé, indépendant), du chômage…

Le statut OMNIO ne remplace donc pas le statut BIM !

Le MàF

Suivant vos revenus et la composition de votre ménage, le Maximum à Facturer (MàF) vous per- met de ne pas payer plus d’une somme maximale par an pour vos frais de santé. Qui peut en béné- ficier et comment ? Explications…

De manière générale, le Maximum à Facturer (MàF) garantit à tous les ménages de ne jamais dépasser un montant annuel déterminé de tickets modérateurs (la partie qui reste à votre charge, autrement dit la différence entre l’honoraire légal et le remboursement de la mutualité), pour leur frais de soins de santé.

Une fois ce «plafond» atteint, les tickets modé- rateurs sont remboursés à 100% du tarif I.N.A.M.I.

Il existe deux sortes principales de MàF : le MàF social et le MàF revenus auxquels il faut ajou- ter une mesure spéciale pour les jeunes de moins de 19 ans : le MàF enfants

Le tiers-payant

Le système du tiers-payant vous permet de ne pas devoir avancer la totalité du montant de certaines prestations.

Autrement dit, vous ne payez que votre quote-part per- sonnelle (le ticket modérateur) et les frais supplémentaires éventuels. C’est votre mutuelle qui verse directement au prestataire ou à l’institution la partie remboursable des frais de soins de santé.

Chez le médecin, le dentiste, le kiné… le régime du tiers- payant existe d’office pour certaines catégories de person- nes (BIM, GRAPA, chômeurs complets depuis plus de 6 mois…)

Le tiers-payant est l’exception à la règle, ce qui veut dire que les médecins et les dentistes sont libres d’appliquer ce système ou non. Vous devez demander le bénéfice du tiers- payant au médecin concerné qui fera alors les démarches nécessaires auprès de votre mutualité.

Le système du tiers-payant s’applique encore lorsque vous achetez à la pharmacie un médicament remboursable prescrit par votre médecin.

Enfin, le tiers-payant s’applique également suite à une hospitalisation. C’est en effet votre mutualité qui paye directement à l’hôpital le montant correspondant à l’inter- vention de l’assurance soins de santé. Vous ne devez donc pas avancer cet argent et vous payez uniquement le ticket modérateur ainsi que les suppléments éventuels.

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Solidaris n°2 2009

Ticket modérateur : l’intervention de

l’assurance complémentaire

L’assurance obligatoire ne remboursant pas tous vos frais de santé, les mutualités proposent une assurance complémentaire qui permet aux affiliés qui versent une cotisation complémentaire de bénéficier d’une série d’avantages qui varient en fonction de la mutualité.

L’assurance complémentaire de la mutualité Solidaris propose ainsi un service «couverture des tickets modé- rateurs». Cela vous permet de bénéficier de rembour- sements importants sur le ticket modérateur qui vous reste à payer pour des soins ambulatoires ainsi que des soins reçus dans le cadre d’une hospitalisation dans les établissements suivants : la Clinique André Renard à Herstal et ses polycliniques, le Centre hospitalier du Bois de l’Abbaye à Seraing et à la polyclinique du Mont Falize à Huy, le Centre Hospitalier Peltzer-La Tourelle à Verviers et ses polycliniques, l’hôpital St-Nikolaus à Eupen et la clinique St-Josef à Saint-Vith.

Ce service est accessible à tous les affiliés de la mutua- lité Solidaris en règle de cotisations à l’assurance com- plémentaire.

Les médecins conventionnés

Le montant des honoraires que vous payez à votre médecin varie selon que celui-ci est conventionné ou non. Cela a son importance sur votre portefeuille puis- que les remboursements effectués par votre mutuelle, eux, sont fixes.

Les honoraires médicaux et les montants des rem- boursements effectués par votre

mutuelle sont fixés par des accords conclus entre les représentants des médecins, des mutualités et de l’INAMI.

Si vous n’êtes pas BIM/Omnio, une consultation chez un médecin généraliste conventionné vous coûtera 22, 46 euros. Votre mutua- lité vous remboursera 16,71 euros et votre ticket modérateur est alors de 5,75 euros !

Si vous allez chez un médecin généraliste non conven- tionné, votre consultation peut vous coûter plus ou beaucoup plus que le tarif de 22,46 euros, mais le rem- boursement de votre mutualité restera de toute façon de 16,71 euros. Les surplus d’honoraires seront alors entièrement à votre charge.

Attention : certains médecins sont partiellement conventionnés. Cela veut dire qu’ils pratiquent le tarif de l’accord médico-mutualiste certains jours et pas d’autres, seulement durant certaines heures de la journée ou à certains endroits.

Si vous souhaitez être soigné au tarif INAMI, vous devez alors respecter les endroits et les horaires durant les- quels ce médecin est conventionné.

Cela vaut la peine de se renseigner !

Le Dossier Médical Global

Le DMG est un dossier médical tenu, à votre demande, par votre médecin généraliste. C’est dans ce dossier qu’il centralise toutes vos données médicales.

Tout le monde, quel que soit l’âge peut demander l’ouverture d’un DMG.

Le DMG permet d’éviter les examens superflus tout en donnant une information complète et suivie de l’évolu- tion de votre état de santé, ce qui assure une meilleure qualité des soins dispensés.

De plus le DMG vous permet de bénéficier de rem- boursements plus élevés auprès de votre mutualité ! Votre intervention personnelle est en effet réduite de 30 % pour les consultations auprès du médecin géné- raliste qui détient ou qui a accès à votre DMG.

De plus si vous avez au moins 75 ans ou si vous êtes considéré comme «malade chronique» (quel que soit votre âge), vous avez également droit à cette réduction pour les visites à domicile de

votre médecin généraliste.

L’ouverture et la gestion de votre DMG vous coûtera de 27,50 euros (tarif 2009) par an en plus du prix de

la consultation ou de la visite.

Mais cette somme de 27,50 euros vous sera remboursée entièrement par votre mutualité.

Pour plus de détails sur ces informations

surfez sur www.solidaris.be

ou téléphonez à la mutualité Solidaris

au 04/341.62.11

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6

Solidaris n°2 2009

• dans les frais de stages sportifs, récréatifs en période de vacances scolaires;

• dans les frais de classes vertes, de neige ou de mer organisées par les écoles durant l’année scolaire;

• à raison de 2 euros par jour pour les activités en plaines de jeux durant les congés scolaires.

Pour bénéfi cier de cet avantage il vous suffi t de rentrer l’attestation de participation établie par l’orga- nisateur du stage et d’être en ordre de cotisations à l’assurance complémentaire.

Activ’jeunes, vaccination, prévention de l’obésité…

Les avantages de l’assurance complémentaire s’affi chent

De nouvelles affi ches présentant les avantages de votre assurance complémen- taire sont visibles sur les vitrines de toutes les agences mutualistes. Dans les pro- chaines semaines, vous aurez l’occasion de découvrir les avantages Activ’Jeunes, vaccination et diététique… Mais savez-vous exactement tout ce qu’ils peuvent vous apporter ? Explications…

Pour bénéfi cier de cet avantage il vous suffi t de rentrer l’attestation de participation établie par l’orga- nisateur du stage et d’être en ordre de cotisations

pratique En

Participer aux classes vertes, de neige ou de mer orga- nisées par son école, s’inscrire à un stage sportif ou récréatif ainsi qu’à une plaine de jeux, autant d’occa- sions bien-être de respirer le grand air, de découvrir de nouveaux horizons, de bouger et de faire du sport.

Malheureusement tout cela a un coût qui peut s’avérer particulièrement lourd pour les familles nombreuses.

Afi n de permettre à tous de profi ter pleinement de ces activités votre mutualité Solidaris accorde un maxi- mum de 75 euros par an par enfant de 2 ans et demi à 21 ans (inclus) :

• à raison d’une intervention de 5 euros par jour

Activ’jeunes

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Solidaris n°2 2009

Pour être en partie remboursés, les vaccins doivent faire partie de la liste des vaccins reconnus par la mutualité.

Cette liste reprend, entre autres, les vaccins contre la grippe, Hib, antibactériels, polio, diphtérie-téta- nos-coqueluche, infections méningocoques…

Plus d’infos ? 0/1.6.6

Pour être en partie remboursés, les Pour être en partie remboursés, les vaccins doivent faire partie de la liste des vaccins reconnus par la mutualité.

pratique En

Depuis toujours, vaccination rime avec protection : protection de soi et protection des autres.

C’est parce que les vaccinations nous accompagnent durant toute notre vie et que les vaccins coûtent parfois chers, que votre assurance complémentaire accorde un remboursement partiel de vos vaccins anti-infectieux quel que soit votre âge. Notre intervention est de maxi- mum 25 euros par an.

De plus, les vaccins désensibilisants, particulièrement utiles en cas d’allergies font également l’objet d’un rem- boursement. Notre intervention est de maximum 25 euros par an pour une désensibilisation temporaire et de maximum 90 euros sur une période de trois ans pour une désensibilisation défi nitive.

Vaccination

Diététique pour les jeunes

L’obésité est une problématique de notre société actuelle. Ce n’est pas seulement une question esthéti- que mais un véritable souci de santé publique et, plus on agit jeune, mieux c’est.

C’est pourquoi votre assurance complémentaire prend en charge le remboursement d’une partie des frais liés au traitement de l’obésité chez les jeunes affi liés de moins de 18 ans.

Parce qu’il est important de se sentir mieux dans son corps comme dans sa tête, cette intervention porte aussi bien sur les frais liés au bilan et suivi diététique ainsi qu’au suivi psychologique.

L’intervention de l’assurance complémentaire est de 25 euros pour les frais du bilan diététique, de 12,50 euros par séance pour les frais de suivi diététique* et de 10 euros par séance pour les frais de suivi psycho- logique*.

L’intervention pourra être renouvelée 12 mois après le bilan diététique initial pour une autre période de 12 mois.

• votre enfant doit avoir moins de 18 ans;

• vous devez faire appel à un-e dié- téticien-ne et /ou un-e psycholo- gue agréé-e-s par la mutualité socialiste;

• vous devez être en ordre de cotisations à l’assu- rance complémentaire pour bénéfi cier de cette intervention.

Concrètement, c’est votre médecin qui doit pres- crire le traitement diététique et psychologique.

Le diététicien vous remettra ensuite au fur et à mesure du traitement les attestations de presta- tions à remettre à la mutualité. Il en va de même en cas de recours à un psychologue.

• votre enfant doit avoir moins de

• votre enfant doit avoir moins de

• vous devez faire appel à un-e dié-

pratique En

(*) 6 séances maximum s’étallant sur une période de 12 mois

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Solidaris n°2 2009

Evoquer sa mort ou celle de ses proches n’est pas chose facile, par peur ou par superstition, un peu comme si le simple fait d’en parler allait accélérer sa venue…

Pourtant, mettre tout en place de son vivant pour finan-

cer ses propres funérailles, c’est aussi se soucier de ses proches et leur faciliter la vie quand ce moment difficile sera venu. Penser aux autres plutôt qu’à soi, à ceux qui restent plutôt qu’à celui qui s’en va…

SERENA

Le service d’intervention et d’assistance funérailles

Bien plus qu’une simple assurance destinée à couvrir les frais de funérailles,

SERENA offre également et surtout, une assistance spécialisée à tous ceux qui

ont perdu un être cher.

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Solidaris n°2 2009

Cette démarche, de nombreuses personnes veulent l’accomplir mais ne savent pas toujours comment la réaliser concrètement. C’est pour ces personnes et toutes celles qui se soucient de leurs proches avant leur départ, que le service d’intervention

et d’assistance funérailles SERENA a été créé.

Quel que soit votre âge

Vous pouvez commencer à consti- tuer la somme qui couvrira vos frais de funérailles quel que soit votre âge.

• Si vous avez moins de 65 ans, vous avez le choix entre la cotisation annuelle

avec un stage d’un an ou le versement unique, sans période de stage *

• Si vous avez plus de 65 ans, la cotisation unique vous est réservée sans aucune période de stage *

* intervention à 75% de l’allocation choisie en cas de décès la première année de souscription (cette restriction ne s’ap- plique pas aux personnes affiliées à 75 ans et plus).

SERENA,

c’est simple et facile

Les procédures d’adhésion sont simplifiées au maximum.

En effet, les personnes qui souscrivent à SERENA ne devront faire que trois choix :

• celui du montant de l’indemnité forfaitaire (1600, 2100 ou 2600 €) qui sera utilisée pour le règlement des frais de funérailles (faire-part, cercueil…);

• celui du type de paiement sous forme soit de cotisa- tion annuelle jusqu’à vos 65 ans, soit une cotisation unique;

• celui de l’entreprise de pompes funèbres.

SERENA,

c’est une assistance immédiate

Conscient de la difficulté du moment pour les proches, le service SERENA leur simplifie égale-

ment les démarches.

Lors du décès, l’un de vos pro- ches appelle notre numéro uni- que disponible 24h sur 24 et 7 jours sur 7.

Dès ce moment, le service SERENA prend contact avec l’en- treprise choisie qui se chargera, avec vos proches, de l’organisation de la cérémonie.

Ils bénéficieront également des conseils et de l’aide d’une assistante sociale pour effectuer les démarches à accomplir.

Le paiement des frais sera directement versé par nos spécialistes à l’entreprise de pompes funèbres afin d’éviter des tracas supplémentaires.

Plus d’infos ? 0/1.6.7

Simple, rapide et directe, la souscription à SERENA vous permet

de laisser les soucis derrière vous pour pouvoir vous consacrer

à l’essentiel : profiter de la vie !

SERENA : les garanties

Une indemnité forfaitaire effectivement versée *

Une assistance personnalisée 24h sur 24, 7 jours sur 7 assurée par des spécialistes de terrain

Une garantie de qualité des prestations de l’entreprise de pompes funèbres**

Un réseau de plus de 450 entreprises de pompes funèbres conventionnées

* En cas de choix d’une entreprise non convention- née, notre intervention sera versée aux proches.

** Pour les entreprises conventionnées

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Solidaris n°2 2009

Pour cette quatrième édition, 60 associations, person- nes morales ou associations de fait, actives dans le sec- teur social, sportif, culturel ou de la santé ont introduit un dossier de candidature au siège de la Fondation Réseau Solidaris.

Le jury, présidé par Robert Waseige, s’est réuni quel- ques fois avant de délibérer. Plusieurs critères ont été pris en considération, parmi lesquels, bien sûr, les valeurs qui animent le projet, sa cohérence par rap- port aux problèmes auxquels il veut répondre et aux moyens mis en œuvre, ainsi que les compétences de celles et ceux qui veulent le réaliser.

Le prix de

la Fondation Réseau Solidaris pour qui, pourquoi ?

Pour rappel, le prix de la Fondation Réseau Solidaris a été créé à l’initiative de la FMSS (devenue depuis cette année la mutualité Solidaris), dans le but de susciter une participation active à la vie de la cité, mais aussi

d’encourager la diffusion de valeurs humanistes dans des domaines aussi variés que la culture, le sport, la santé, l’éducation ou l’action sociale.

Représentée par un jury regroupant des personnes d’horizons différents, des femmes et des hommes ani- més par les mêmes valeurs de solidarité, la Fondation Réseau Solidaris donne un coup de pouce aux petites associations de terrain qui mettent en place des projets sociaux intéressants, mais ont malheureusement parfois du mal à prendre de l’ampleur… faute de moyens. Une mise en lumière des nombreuses richesses du milieu associatif en province de Liège.

Remise des prix fin mai 00

Comme l’année dernière, la Fondation Réseau Solidaris a décidé de remettre ses prix lors d’une soirée spéciale en partenariat avec l’asbl Les Grignoux au cinéma le Sauvenière à Liège.

La cérémonie de remise sera suivie par la projection d’un film surprise (à découvrir dans la prochaine pro- grammation des Grignoux).

Fondation Réseau Solidaris

Une soirée cinéma

pour la remise des prix Solidaris

Pour la quatrième fois, la Fondation Réseau Solidaris a lancé un nouvel appel à projets en novembre dernier. La remise des prix aura lieu dans le courant du mois de mai. Nouveau cette année : la remise d’un prix de la presse !

Pour en savoir plus et gagner des places pour cette soirée cinéma de remise des prix de la Fondation Réseau Solidaris, surfez sur notre site www.solidaris.be

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Solidaris n°2 2009

CSD : système de biotélévigilance

Le petit émetteur qui sauve et rassure

Vous éprouvez des diffi cultés pour vous déplacer et vous risquez de tomber ? Vous êtes sujet à des malaises ? Vous craignez des accidents domestiques ? Le système de biotélévigilance est un appareil d’appel à l’aide qui vous garantit de bénéfi cier d’une aide à domicile en cas d’urgence.

La CSD (Centrale de Services à Domicile) met à votre disposition un service de biotélévigilance 7 jours/7 et 24 heures/24.

Une solution simple et fi able d’assistance à distance à tout moment et dans toutes les situations !

Plus d’infos ? CSD Rue de la Boverie, 7 - 100 Seraing - Tél : 0/.0.0

Remboursement de

l’assurance complémentaire

Si vous êtes affi lié à la mutualité Solidaris et que vous faites appel à la CSD pour ce système de biotélé-

vigilance, la mutualité prend en charge le remboursement d’une partie de votre

abonnement :

• 12,50 euros par mois pour les affi liés BIM (ainsi que les person- nes à leur charge);

• 5 euros par mois pour les per- sonnes qui ne sont pas BIM (ainsi que les personnes à leur charge).

Le montant du remboursement est déduit directement de votre facture.

Pour bénéfi cier de ce rembour- sement vous devez faire un

stage de 6 mois et être en ordre de cotisations à l’assurance complé-

mentaire.

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Solidaris n°2 2009

Situé dans des locaux de l’hôpital Peltzer à Verviers, le CVPA reçoit sur rendez-vous du lundi au jeudi mais se déplace également dans les communes ou les entreprises qui en font la demande et dispose d’un local adapté.

«Lorsqu’on sait que le cancer est la deuxième cause de morta- lité après les affections cardio-vasculaires on se rend évidem- ment mieux compte de l’importance d’un dépistage précoce, explique Dominique Huybens , responsable du CVPA. Lors- que notre Centre a été créé en 1958, le dépistage s’adressait uniquement aux femmes et concernait le diagnostic des cancers de l’utérus et du sein. Cette consultation s’est petit à petit étof- fée et s’est élargie aux tests de dépistage du cancer du colon et de la vessie et, en 1999, une consultation spécifique pour hommes a vu le jour à Verviers et à Eupen. En 50 ans le CVPA a reçu 121.921 patients et dépistés 812 cancers…»

Un seul rendez-vous pour un dépistage multiple

Que ce soit sur les conseils de votre médecin généraliste ou de votre propre initiative il suffit de prendre un rendez-vous au secrétariat du CVPA pour bénéficier d’une consultation complète effectuée par un oncologue (ils sont trois à tra- vailler pour le Centre dont deux germanophones).

Centre Verviétois de Prophylaxie Anticancéreuse

Des consultations

de dépistage du cancer pour tous

Premier centre de dépistage du cancer créé il y a O ans, le CVPA assure des consultations dans tout l’arrondissement de Verviers et donne la possibilité de faire régulièrement un dépistage multiple. Explications…

L’intervention de votre assurance complémentaire Pour vous «accompagner» dans ces examens de prévention, le service dépistage intervient sur base de la valeur du ticket modérateur dans les frais de nombreux

examens de dépistage.

Plus d’infos ? 04/341.62.86

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Solidaris n°2 2009

Infos et prises de rendez-vous : CVPA, 6, Avenue Peltzer à 00 Verviers • Tél : 07.1..07 Lors de ce rendez-vous le médecin prend le temps

de vous poser une série de questions importantes concernant les antécédents familiaux et personnels, les traitements médicamenteux antérieurs et actuels, autant de facteurs qui sont essentiels dans le cadre d’une consultation de dépistage

du cancer. Après quoi le médecin va effectuer une série de «tests» en fonction de votre sexe : inspection de la bouche et du pharynx, palpation des ganglions et de la thyroïde, inspec- tion de la peau («grains de beauté», tâches…), inspection et palpation des seins, examen gynécologique (toucher vaginal, inspection du col de l’utérus, frottis cervico-vaginal), palpation de l’abdomen, toucher rectal, test hemo FEC (recherche de sang dans les sel- les), toucher prostatique et prise de sang, analyse des urines…

En collaboration avec le médecin traitant et divers partenaires

«Ce type de dépistages est conseillé régulièrement à partir de 35 ans pour les femmes et de 50 ans pour les hom- mes, précise Dominique Huybens. Nous avons d’ailleurs une patiente qui vient chez nous chaque année depuis 47 ans !»

Tous les résultats des différents tests obtenus sont ensuite envoyés au médecin traitant de la personne.

Si un problème est constaté, c’est le médecin qui se charge ensuite d’envoyer son patient chez un spécialiste pour faire des tests complémentaires. De son côté le CVPA est attentif au suivi…

«Il est important de signaler que nous travaillons égale- ment en partenariat avec la Province de Liège, la presse, les communes, la Croix-Rouge, les mutuelles, ainsi que le Centre Hospitalier Peltzer La Tourelle.»

Un urgent besoin de subsides

Alors que personne ne doute de la nécessité et de l’utilité d’un dépistage précoce en matière de cancer, le Centre Verviétois de Prophylaxie Anticancéreuse a aujourd’hui bien du mal survivre.

Subsidié principalement par la Communauté française jusqu’au début des années 2000 (comme beaucoup d’autres centres de dépistage) le CVPA est le seul cen- tre de ce type à avoir poursuivi ses activités malgré

l’absence de l’apport financier important qui venait de la Communauté.

«Lorsque nous étions subsidiés par la Communauté française, nos consulta- tions étaient gratuites, maintenant nous

devons demander 44 euros qui sont heureusement en partie remboursés par la mutualité , poursuit Domini- que Huybens. Tous les autres centres

ont d’ailleurs été contraints de cesser leur activité faute de moyens ! Nous avons eu la chance de pouvoir conti- nuer grâce à un legs et à l’aide de nos partenaires, dont la Province de Liège»

Mais pour combien de temps ?

«Je ne vous cache pas que tous les subsides sont les bienve- nus, c’est d’autant plus important que notre centre touche une importante catégorie de personnes qui ne vont pas nécessairement régulièrement chez un médecin, et encore moins chez un médecin spécialiste.»

Outre les consultations de dépistage, le CVPA développe également un volet «promotion santé» en proposant des

ateliers de cuisine saine en collaboration avec les FPS de Verviers, d’aide au

sevrage tabagique…

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Solidaris n°2 2009

Difficile cette fois de rencontrer Alain Hubert en «face à face» , comme nous avons l’habitude de le faire dans cette rubrique «rencontre».

Difficile en effet d’aller à l’autre bout du monde, au cœur du pôle sud, emmitouflées de plusieurs couches de vêtements «thermolactyls»…

Pas question pour autant de rater l’occasion de s’en- tretenir avec l’aventurier le plus célèbre de Belgique alors qu’une station polaire de l’importance de Princess Elisabeth vient d’être inaugurée…

Magie des ondes et du mail, au bout du monde, mais finalement pas si loin, Alain Hubert à gentiment accepté de répondre à nos questions…

Comment devient-on « explorateur » ? Quelles sont, pour vous, les étapes marquantes de votre parcours ?

Le déclic pour moi s’est passé lors d’un voyage avec mon père dans les montagnes autrichiennes lorsque j’avais 16 ans. C’est à cette époque-là que je suis

Entretien avec Alain Hubert

«Se préparer au formidable défi qui consiste à façonner un monde nouveau respectueux

des ressources naturelles»

Le 1 février dernier, la station polaire belge «Princess Elisabeth» était inaugurée

0 ans après la création de la base Roi Baudouin, abandonnée depuis. Une station

entièrement «verte» dont la Mutualité Socialiste est partenaire. Autant de bonnes

raisons pour interviewer celui qui est à l’origine du projet…

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Solidaris n°2 2009

tombé amoureux de l’aventure et de la nature. Ce sentiment de me retrouver face à l’inconnu, c’est ce qui m’a le plus séduit et qui m’a donné envie d’affronter l’«extrême ».

Par contre, pour devenir « explorateur », je n’ai pas de conseil particulier à donner, si ce n’est qu’il faut suivre ses convictions. Elles seules mènent à l’action universelle.

Quel métier rêviez-vous de faire enfant ? Difficile de répondre à cette question… Une chose est sûre, c’est qu’à partir de l’âge de 12 ans, alors que je n’aimais pas nécessairement lire, je me suis mis à dévorer la collection du «Prince Eric» (aventure), puis des livres de Jack London, Jules Verne, etc. Je suppose qu’à cette époque-là je rêvais donc déjà d’aventure.

Quels types d’observations concrètes vont pou- voir être mesurées grâce à la station Prin- cess Elisabeth ?

La station Princess Elisabeth fournira les services et installations néces- saires pour appuyer efficacement la recherche scientifique belge et internationale dans la région de Sør Rondane.

De par sa situation géographique, le programme scientifique de la base s’affiche déjà bien rempli. Située 200 km à l’intérieur des terres à l’orée du plateau antarctique, proche d’une chaîne de montagnes (Sør Rondane) et d’un

« ice-shelf » (qui est une plate-forme de glace flottante), les recherches se déploieront dans des domaines aussi variés que la glaciologie, la microbiologie, la météoro- logie, l’astronomie, le géomagnétisme, la géophysique, la gravimétrie et la géologie.

De quelles manières allez-vous essayer d’utili- ser ces informations pour faire «réellement»

prendre conscience à tous les citoyens et aux politiques, des dangers imminents du réchauf- fement climatique ?

La Fondation Polaire Internationale est une fondation d’utilité publique qui a pour mission de créer le lien entre science et société. Nous n’avons pas de projets scientifiques propres mais nous avons plusieurs activi-

tés de sensibilisation en projet ou en cours. Certaines bénéficient du soutien des régions notamment dans le cadre d’animations “flash” pédagogiques sur les pôles, les changements climatiques et sur l’énergie, qui ren- contrent un assez grand succès et qu’on peut consulter sur notre site www.educapoles.org. Nous nous apprê- tons aussi, avec le soutien de la Communauté française

et flamande, à inaugurer un centre d’exposi- tion, Classe Zéro Emission, sur les régions

polaires, les changements climatiques et le développement durable. Destiné aux élèves âgés entre 10 et 18 ans, Classe Zéro Emission offre des ateliers animés

tournés sur la réflexion et l’action.

Il est un fait que nous investissons des moyens financiers propres dans des projets que nous proposons en par- tenariat avec les pouvoirs publics en Belgique mais aussi partout en Europe et dans le monde. Le changement climati- que est une problématique globale. C’est cela aussi le rôle d’une fondation comme l’IPF.

Dans notre vie de tous les jours, quels sont les gestes citoyens que nous devons dès maintenant faire et ne pas faire pour le climat ?

A chacune de mes conférences, c’est la question qu’on me pose. J’essaie d’expliquer que chacun, à son niveau, peut agir directement en utilisant mieux l’énergie, en l’économisant, en ayant recours aux énergies renou- velables quand c’est possible. Mais je demande aussi, aux jeunes plus particulièrement, de s’informer, d’en parler, de soutenir les ONG environnementales, de se faire entendre auprès des autorités qui détiennent les plus importants leviers du changement. Il s’agit de démontrer qu’à son niveau, et dans sa vie quotidienne,

«Le changement climatique est une problématique

globale.

C’est cela aussi le rôle d’une fondation

comme l’IPF».

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la population peut agir de manière significative. C’est donc ainsi que je l’encourage à se préparer au formida- ble défi qui consiste à façonner un monde nouveau qui soit respectueux des ressources naturelles et qui soit tourné de manière irréversible vers le développement durable. Et les choses bougent. Nos hommes politi- ques commencent à prendre des initiatives en faveur des énergies renouvelables. La Wallonie, par exemple, prépare un plan Air et Climat qui prendra en compte cette problématique. Il reste encore énormément à faire mais on sent poindre un souffle nouveau.

Comment se passe la vie dans le grand nord ? Qu’est-ce qui est difficile, qu’est-ce qui est enthousiasmant ?

Lors de ma première expédition au Pôle Nord [en 1994], j’y ai découvert que j’avais encore beaucoup de choses à apprendre et à améliorer. Et, plus j’y retourne, plus je ressens combien ceci est vrai.

Je suis un homme passionné, déterminé et optimiste. Ce qui me motive dans la réalisation de telles expéditions est de savoir qu’elles ont un impact ailleurs dans le monde, d’un point de vue scientifique et/ou pédagogique.

Lorsque je suis en expédition dans les régions polaires, c’est là que je prends réellement le temps de me ressourcer. Ce sont elles qui me per- mettent de voir plus loin, de dépasser mes

peurs, et de poursuivre une ambition d’excellence dans la préparation et la réalisation de mes projets.

Ce qui est plus difficile à accepter est de voir les glaces aux pôles se désagréger de plus en plus rapidement.

Lors de ma dernière expédition en Arctique, en 2002, j’ai constaté que la banquise était beaucoup moins épaisse que quelques années auparavant. Les études du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evol- ution du Climat (GIEC), qui regroupe plusieurs milliers de scientifiques dans le monde, ont également révélé que le phénomène est bien réel et que l’homme est à l’origine de cette augmentation vertigineuse du CO2 dans l’atmosphère qui amplifie ainsi l’effet de serre naturel. Le pire est que peu de personnes, finalement, ont conscience de l’importance des régions polaires

dans le système climatique global, et c’est là que se situe le défi le plus grand - celui de la sensibilisation.

Quelle est votre définition du mot «solidarité» ? La solidarité est un terme qui, pour moi, évoque à la fois complicité et partage. C’est une qualité qui caractérise la compréhension et la cohésion qu’il peut y avoir au sein d’un groupe de personnes qui se trouve face à un destin commun. Ce terme prend tout son sens dans le cas présent de la lutte contre les changements cli- matiques, un phénomène dont les risques touchent les quatre coins du monde et un combat qui ne peut se réaliser qu’au travers la complicité de chacun.

La Mutualité Socialiste est la seule mutualité parmi les sponsors de la station. Quel sens est- ce que cela a pour vous ?

Qu’une mutualité décide de sponsoriser la station Princess Elisabeth est emblé-

matique de notre société de partage et de complicité. Et je pense que la mission de la station en Antarctique et de la recherche en régions polai-

res sont tout à fait identiques à celle d’une mutualité : garantir un avenir

meilleur pour notre prochain.

Quelle est votre plus grande crainte ?

Que la société soit frileuse et qu’elle ne veuille évoluer.

Quel est votre plus grand espoir ?

Que nos sociétés puissent être capables de compré- hension et de réelle ouverture au pluralisme.

«La mission de la station en Antarctique et la recherche en régions polaires sont tout

à fait identiques à celle d’une mutualité : garantir

un avenir meilleur

pour notre prochain »

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Une salle de sports, quatre piscines maintenues à une température constante de 32° et des baignoires de massage subaqua, des appareils de musculation rachidienne infor- matisés, différents secteurs spé- cialisés avec des boxes individuels de rééducation, une salle d’appa- reillage et de plâtre, un parcours de marche extérieur, la possibilité de réaliser des tests à l’effort pour les sportifs…

Les infrastructures du CRF sont à la hauteur de l’équipe médicale plu- ridisciplinaire qui y travaille. Cette équipe se compose de médecins spécialistes en médecine physique et de réadaptation, de rhumatologues, de kinésithérapeutes, d’ergothérapeutes,

Centre Hospitalier Peltzer La Tourelle

A la découverte du Centre de Réadaptation Fonctionnelle

Doté d’une infrastructure de pointe, unique dans l’est de la Belgique, le Centre de Réadaptation Fonctionnelle (CRF) du CHPLT a su s’adapter à l’évolution des besoins en matière de pathologies aussi bien neurologiques que locomotrices.

de logopèdes, de psychologues, d’ergo- nomes, de prothésistes, d’une assis- tante sociale et de personnel admi- nistratif, soit près de 90 personnes

au service du patient !

Le patient au

centre du processus thérapeutique

Lié à l’INAMI par une convention de réadaptation, le CRF a la possi-

bilité de soigner des pathologies lourdes et variées.

Au centre du processus thérapeu- tique, le patient qui vient au CRF est pris en charge dans sa globa- lité par une équipe pluridisciplinaire motivée, compétente et dynamique, pouvant lui proposer des technologies innovantes de réadaptation. L’objectif du CRF étant d’augmenter l’état fonctionnel du patient ainsi que son bien-être psychologique de manière à faciliter sa réinsertion aussi bien sociale que professionnelle.

Pour chaque patient, la première prise de contact se fait avec un médecin spécialisé en médecine physique ou en rhumatologie. Suite à ce rendez-vous prélimi- naire, le médecin établit et coordonne, si nécessaire, un plan de traitement que l’équipe pluridisciplinaire du CRF mettra ensuite en place. D’autres pathologies plus

«bénignes», peuvent ne nécessiter, quant à elles, qu’un traitement mono disciplinaire en médecine physique, en kinésithérapie ou en logopédie.

Le CRF accueille des personnes en cours d’hospitalisation, mais aussi en ambulatoire, allant du très jeune enfant à la personne âgée. Aujourd’hui le CRF

fait d’ailleurs figure de référence dans la prise en charge ambulatoire de patients en matière

de traumatologie, orthopédie, rhumatologie,

neurologie…

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Le Centre de Réadaptation Fonctionnelle c’est…

Les infrastructures de pointe et la spécialisation du personnel du CRF permettent de prendre en charge les pathologies les plus diverses. Voici quelques exemples des nombreux services proposés…

• Une école du dos

Le mal de dos constitue un véritable problème de santé publique. En cause : le manque d’exercice physique, certains types de travail, le surpoids dû à de mauvaises habitudes alimentaires, la hernie discale ou encore une mauvaise «utilisation» de son dos…

L’école du dos propose une prise en charge pluridis- ciplinaire (médecins, kinésithérapeutes, ergothérapeu- tes/ergonomes, psychologues et assistante sociale) et a pour vocation la prévention secondaire des maux de dos afin de permettre au patient de mieux vivre au quotidien… au travers de rééducations avec étirement et renforcement musculaire, de dispense de notions d’anatomie, de physiopathologie et d’ergonomie. Le volet psychologique et social des maux de dos est aussi largement pris en considération.

• La réadaptation neurologique pédiatrique et adulte

De manière précoce et souvent lors de l’hospitalisation, les patients ayant eu une atteinte neurologique (acci- dent vasculaire cérébral, para et tétraplégie, trauma- tisme crânien, sclérose en plaques, parkinson, infirmité physique d’origine cérébrale), sont pris en charge pour une réadaptation globale avec rééducation, psychomo- tricité, ergothérapie et, si nécessaire, logopédie et réé- ducation neuropsychologique.

• La rééducation et

la réadaptation orthopédique

Ce service permet de soigner les patients polytraumati- sés, les personnes amputées, les patients ayant bénéficié d’une prothèse de hanche ou de genou, les patients ayant eu un traumatisme ou une atteinte orthopédique de la main ou de l’épaule.

• Mais aussi…

Le CRF prend également en charge, en collaboration avec d’autres services de l’hôpital, l’obésité chez l’adulte et chez l’enfant, mais aussi, entre autres, la sophrologie, les troubles de l’équilibre, le drainage lymphatique, le traite- ment des cicatrices, la rééducation maxillo-faciale, la réé- ducation uro-gynécologique et coloproctologique etc.

Le Centre développe enfin la médecine sportive, réalise des orthèses statiques pour immobiliser ou stabiliser des articulations (très utiles pour les personnes souf- frant de polyarthrite rhumatoïde) et, depuis peu, prend en charge les patients amputés…

Et début 2010, avec le rapatriement sur le site Pelt- zer de 60 lits de revalidation du Centre Princesse Astrid de Borgoumont-La Gleize, le CRF complètera son offre de soins par une nouvelle infrastructure d’hospitalisation.

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Un enfant en pleine crois- sance grandit, se construit et développe des habi- tudes alimentaires. Bon- nes ou mauvaises. Il est important de l’aider à trouver l’équilibre entre le plaisir de manger et l’équilibre alimentaire.

« Papa, maman, qu’est- ce qu’on mange ? », c’est le titre d’un petit carnet de recettes créé par le service Espace Santé.

Ce carnet parle de cui- sine, des enfants, des parents, des fruits et légumes et de la cui- sine du marché local, car il vaut mieux uti- liser tous les produits

de saison de notre terroir. En effet, nos tomates sont meilleures et moins chères d’avril à octobre, les asper- ges d’avril à juin, les fraises de juin à août et les poireaux d’hiver de décembre à avril. Plus le temps et la distance entre la récolte et la consommation sont courts, plus les vitamines et autres minéraux sont conservés.

« Papa, maman, qu’est-ce qu’on mange ? » est destiné aux parents afi n de leur donner quelques idées, des recettes faciles et rapides à base de fruits et légumes, qui permettent aux enfants de découvrir et d’apprécier toutes les saveurs du printemps, de l’été, de l’automne et de l’hiver.

Donnez-nous

vos trucs et astuces…

Si vous aussi, vous connaissez des trucs et astu- ces pour aider les enfants à goûter différents légumes, vous pouvez les envoyer au Service Espace par courrier ou par email.

Les 0 trucs et astuces les plus originaux seront publiés sur notre site et leurs auteurs recevront des sachets de semences de légu- mes gratuits !

Un potager pas comme les autres !

Autre nouveauté sur notre site www.espacesante.be : une vidéo qui raconte la « naissance » d’un potager pas comme les autres : « Les Tourne- sols ». La belle aventure d’une équipe d’animatrices-teurs, d’un groupe d’enfants, de seniors très actifs et du service Espace Santé qui ont réussi à faire sortir de terre de délicieux fruits et légumes !

• pour recevoir ce carnet de recette

• pour participer au concours trucs et astuces

• Pour avoir des infos sur le potager Contactez le Service Espace Santé

1, Rue de l’Université à 4000 Liège Tél. : 04/223 01 50

email : espace.sante@espacesante.be Site : www.espacesante.be

Fruits et légumes je vous aime, un peu, beaucoup, pas du tout …

Un enfant en pleine crois- sance grandit, se construit et développe des habi- tudes alimentaires. Bon- nes ou mauvaises. Il est important de l’aider à trouver l’équilibre entre le plaisir de manger et

« Papa, maman, qu’est- ce qu’on mange ? », c’est le titre d’un petit

de saison de notre terroir. En effet, nos tomates sont

vos trucs et astuces…

Si vous aussi, vous connaissez des trucs et astu- ces pour aider les enfants à goûter différents légumes, vous pouvez les envoyer au Service Espace par courrier ou par email.

Les

seront publiés sur notre site et leurs auteurs recevront des sachets de

mes gratuits !

Un potager pas comme les autres !

Autre nouveauté sur notre site

« Les fruits et les légumes, c’est pas bon, j’en veux pas ! »Tous les parents connaissent le refrain et très souvent restent désemparés devant celui-ci. Espace santé vous propose un carnet de recettes et vous invite faire part de vos trucs et astuces…

• pour recevoir ce carnet de recette

• pour participer au concours trucs

• Pour avoir des infos sur le potager Contactez le Service Espace Santé

Astuce

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Solidaris n°2 2009

Animations d’information et de sensibilisation

Celles-ci abordent des sujets divers comme la promo- tion de la santé, le coût des médicaments, les médi- caments génériques, le rôle de la sécurité sociale, ou encore le rôle de la mutualité et les services qu’elle offre, ….

Ces animations sont données par des animateurs issus des nombreuses asbl FPS, des spécialistes de la mutualité Solidaris ou des partenaires du réseau Solidaris (*).

Elles sont destinées soit à des groupes FPS et ASPH (Association Socialiste de la Personne Handicapée), soit à des groupes extérieurs (guildes, confréries, groupes de pensionnés…), soit à des administrations commu- nales ou CPAS qui veulent informer leurs seniors sur une thématique particulière…

Femmes Prévoyantes Socialistes

Des activités et des voyages pour les seniors

L’associatif des FPS de Liège et de Verviers propose aux personnes de 0 ans et

plus, de nombreuses activités et des vacances spécifiques tout au long de l’année...

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Solidaris n°2 2009

Séjour en ToScane (ITalIe)

Voyage en 2 étapes, en autocar de luxe. Rencontres, visites culturelles et touristiques, marchés locaux, moments de détente…

Dates : du 8 au 16 juin 2009

Prix : Chambre double : 717 euros (affilié-e Solidaris) et 765 euros (non affilié-e)

Logement : Hôtel ALBA à Montecatini Terme ***

11 jourS à la mer du nord le conTInenTal

Un peu d’évasion, dans une ambiance conviviale, des activités si vous le souhaitez, des vacances à votre rythme … Dates : du 20 au 30 mai 2009 et du 28 septembre au 8 octobre 2009

Prix : Chambre double : 460 euros (affilié-e Solidaris) et 510 euros (non affilié-e)

Chambre simple : 550 euros (affilié-e Solidaris) et 600 euros (non affilié-e)

VACANCES ADULTES ET SENIORS

Plus d’informations : 04/341.63.34 ou solidaris.fps.vac@mutsoc.be

Loisirs et vacances

En ce qui concerne les loisirs et le bien-être, de nom- breuses activités sont organisées par les différents comités locaux des FPS et ASPH : ateliers créatifs, gym douce, peinture…

Ces activités variées permettent aux seniors de se rencontrer et de sortir de leur isolement social.

Enfin, le service vacances régional organise chaque année des vacances pour les seniors (voir ci-dessous).

Ces vacances sont adaptées à des publics différents : plus «rythmées» (comme le voyage en Italie) pour les

personnes en bonne forme physique, ou plus «calmes»

(comme les séjours à la mer du nord et dans une sta- tion thermale) pour tous les seniors.

Par ailleurs, plusieurs séjours ou minitrips sont égale- ment proposés chaque année par des groupes locaux FPS ou ASPH.

(*) Le réseau Solidaris regroupe la Centrale de Services à Domicile, les Pharmacies du Peuple et de la Sauve- garde, la Clinique André Renard et les polycliniques, les agences de voyages Amplitours, les magasins Optique Point de Mire et les FPS.

Plus d’infos ?

Surfez sur notre site www.solidaris.be (à la rubrique FPS) ou téléphonez au 0/1.6.

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Solidaris n°2 2009

A GEND A MOUVEMENT FPS :

ACTIONS CULTURELLES, CITOYENNES ET DE LOISIRS

deS comITéS locaux

prèS de chez vouS!

Les comités FPS organisent diverses activités dans leur commune : sorties culturelles, conférences-débats, ateliers santé, fêtes, séances d’information et de sensibilisation (santé, société, politi- que, etc.), ateliers créatifs pour enfants, adultes et seniors...

Il y a environ cinquante comités FPS dans la province de Liège et sûrement un près de chez vous !

Plus d’informations sur ce qui est organisé

dans votre localité Région liégeoise Tél. : 04/341.63.42

email :

michele.bronckart@mutsoc.be Région verviétoise Tél. : 087/32.76.57 email : pascale.heyes@mutsoc.be

GymnaSTIque

douce pour dameS

Des exercices d’étirement et d’assouplissement pour celles qui souhaitent retrouver leur corps et mieux le traiter…

Dates : 7 séances hebdomadaires d’une heure chacune :

le lundi : 10h00 - 11h15 - 12h30 le jeudi : 12h30 - 13h45 - 15h00 le vendredi : 12h30

Lieu : Rue Edouard Remouchamps, 2 à 4020 Liège.

PAF : Paiement par trimestre, nous vous ren- seignons le tarif à la séance à titre indicatif : 3,5 euros pour les affiliées Solidaris en ordre de cotisations et 5 euros pour les non-affiliées.

Merci de nous contacter pour connaître les disponibilités.

STaGe de Wendo en collaboration avec l’asbl D-Clic Une méthode d’auto-défense pensée par des femmes pour des femmes.

Le wendo permet de développer la confiance en soi d’acquérir des techniques simples et efficaces pour faire face à la violence. Ce stage s’adresse à toutes les femmes (dès l’âge de 15 ans) quelle que soit leur condition physique.

Dates : 2 dimanches consécutifs, les 19 et 26 avril 2009 de 9h30 à 18h30.

Lieu : locaux du Centre de Planning familial, rue des Carmes, 17 à 4000 Liège.

PAF : 60 euros pour les affiliées Solidaris et 70 euros pour les non-affiliées.

STaGe d’auTodéfenSe verbale

en collaboration avec l’asbl D-Clic

Les agressions verbales font partie de notre quotidien et «polluent» notre vie. Identifier les différents types d’agressions, poser ses limites, apprendre à développer des stratégies, gérer ses émotions… Telle est la première approche qui est proposée.

Date : le 25 avril 2009 de 9h30 à 18h.

Lieu : locaux du Centre de Planning Familial, rue des Carmes, 17 à 4000 Liège.

PAF : 35 euros pour les affiliées Solidaris et 40 euros pour les non-affiliées.

Centre de Planning Familial des Femmes Prévoyantes Socialistes Renseignement et inscriptions

(inscription préalable par téléphone indispensable) contactez-nous au 04/250 68 81, le mercredi matin de 9h à 13h,

les lundi, mardi, mercredi après-midi de 14h à 17h ou par email : cpf.liege@mutsoc.be

ATELIERS BIEN-ÊTRE DU CPF

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Solidaris n°2 2009

A GEND A

lIèGe

Ouverture le mars : Anglais Anglais UF1 et UF2, notamment en préparation de l’entrée aux formations de technicien-ne de bureau et CESS.

Dates :

4 demi-journées de mars à juin

Ecoles FPS Ans-Liège-Seraing Quai du Longdoz 22 à 4020 Liège

(Pour les formations soins de santé) Tél. : 04/223.02.53 email : info@ecolesfps.be Rue Darchis 20 à 4000 Liège

Tél. : 04/223.68.61 email : info@ecolesfps.be

Nouveau site : www.ecolesfps.be Certaines de nos formations sont organisées avec le soutien du Fonds Social Européen et du Forem.

malmédy

Habillement Spécialisations Arts appliqués Patine, gainerie et encadrement

STemberT

Arts appliqués Patine, gainerie et encadrement Le nouveau programme et les horaires pour 2009-2010 seront disponibles au

secrétariat dès le 1er juin 2009.

Plus d’infos ? Ecole FPS Verviers 25 Pont Saint Laurent

à 4800 Verviers Tél./ fax : 087/300.551

email :

dir.ecolefps.verviers@mutsoc.be Site :

www.ecolefpsverviers.be

Tous les titres délivrés sont reconnus officiellement par la Communauté

française.

vervIerS

Ameublement Décoration du home Techniques de base, techniques spécifi- ques de gainerie, techniques spécifiques

de tapisserie Habillement

Techniques de base et spécialisations Commis-e de cuisine et restaurateur-trice Formation générale pour les métiers

de l’alimentation, cuisine Niveaux 1 et 2, …

Ouvrier-ère tapissier-ère garnisseur-euse Travaux pratiques, dessin artistique, …

Langues Anglais, Alphabétisation, Français Langue étrangère, …

ECOLES FPS

ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE

de nouveaux aTouTS danS la vIe ! réalISez voS projeTS Grâce aux écoleS de promoTIon SocIale deS fpS. deS formaTIonS pour adulTeS quI vouS ouvrIronT leS porTeS de méTIerS varIéS… cela vouS TenTe ? conTacTez-nouS !

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A GEND A

VACANCES DE PâQUES mulTISporTS adapTéS

Sports collectifs, sports d’équipe ou indi- viduels

Basket, acrogym, natation, mini-foot, ath- létisme, unioc, lancer du poids, kin-ball,….

selon l’humeur !

Age : 8 - 15 ans et plus de 15 ans Dates et lieu : du mardi 14 avril au 17 avril 2009, au hall omnisports de Grivegnée

Prix : 60 euros (affilié-e-s à Solidaris en ordre de cotisations) et 80 euros (non affilié-e-s).

Date limite d’inscription : le 20 mars 2009

Graff’, b.d. eT jeux

Arts graphiques : Dessin et jeu, storyboard, B.D. et fresque (sur un mur dans la Ville de Verviers - à confirmer)

Age : à partir de 12 ans

Dates et lieu : dates à confirmer (août), lieu à confirmer (Verviers) Prix : 60 euros (affilié-e-s Solidaris en ordre de cotisations), 85 euros (non affilié-e-s).

vIe au manèGe

Fil rouge de ce stage : les chevaux ! Les découvrir, les pailler, les nourrir, les atte- ler… Et aussi dessiner, cuisiner et déve- lopper son esprit créatif.

Age : 9 - 15 ans et plus de 15 ans Dates et lieu : du 24 au 28 août 2009, au manège Hackamore, rue Haut- Vinâve à Momalle

Prix : 75 euros (affilié-e-s à Solidaris en ordre de cotisations) et 100 euros (non affilié-e-s).

VACANCES D’éTé

Date limite d’inscription pour ces stages : le 1 juin 00

cIrque

Etre en vacances et découvrir les joies du cirque...

Age : 4 - 12 ans

Dates et lieu : du 6 au 10 juillet 2009, dans les locaux d’Espace Différences, rue Edouard Remouchamps, 2 à 4020 Liège Prix : 50 euros (affilié-e-s à Solidaris en ordre de cotisations) et 75 euros (non affilié-e-s).

SemaIne enchanTée

Via un jardin d’éveil pour le plaisir de (re)découvrir sa région par le biais des contes et légendes.

Age : 6 - 12 ans

Dates et lieu : dates à confirmer (juilllet), à l’école de la Communauté française de Herve, rue des Ecoles, 4650 Herve

Prix : 50 euros (affilié-e-s à Solidaris en ordre de cotisations) et 65 euros (non affilié-e-s).

mulTI-acTIvITéS

Particulièrement adapté aux personnes voiturées et à celles atteintes d’une défi- cience psychomotrice, ce stage mettra en valeur les compétences de chacun et chacune…

Age : 7 - 10 ans, 11 - 15 ans et plus de 15 ans

Dates et lieu : du 13 au 17 juillet 2009, dans les locaux d’Espace Différences, rue Edouard Remouchamps, 2 à 4020 Liège

Prix : 50 euros (affilié-e-s à Solidaris en ordre de cotisations) et 75 euros (non affilié-e-s).

ACTIVITES Espace DiFFéReNCeS

un eSpace d’echanGeS, de decouverTeS eT d’acTIvITeS pour deS perSonneS avec eT SanS handIcap

noS STaGeS

Références

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1  On sait que les points O, M, N sont alignés ainsi que les points O, V, S dans cet

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de jongleurs que de