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LE FURET NE CROIT PAS AU PERE NOEL

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Academic year: 2022

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LE FURET NE CROIT

PAS AU PERE NOEL

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DU MEME AUTEUR : Les Inhumains.

Le Furet connaît la musique.

Le Furet attaque à l'aube.

Le Furet joue la rousse.

A PARAITRE : Un havane pour le Furet.

Le Furet répond « oui ! ».

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Eric CARTIER

LE FURET NE CROIT PAS AU PERE NOEL

ROMAN D'ESPIONNAGE

EDITIONS DE L'ARABESQUE 31, Rue de la Grange-aux-B elles

PARIS (10

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© 1962 « Editions de l'Arabesque », Paris.

Reproduction et traduction, même partielles, interdites. Tous droits réservés pour tous pays y compris l'U.R.S.S. et les pays scandinaves.

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AVERTISSEMENT

Le récit dont nous vous offrons la primeur est une relation authentique d'événements vécus, que nous avons pu reconstituer à par- tir de dossiers jusqu'ici restés secrets, du

« CENTRE INTERNATIONAL DE CON- TRE-ESPIONNAGE » (C.I.C.E.).

Le Centre International de Contre-Espion- nage est composé d'Etats. La plupart des Etats en font actuellement partie. Ils figurent dans l'organisation par l'intermédiaire de personnes qui sont leurs représentants. Cepen- dant, à côté des Etats, il y a aussi des fonc- tionnaires internationaux qui assurent, dans le secrétariat la permanence administrative du Centre.

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Le Conseil de Contre-Espionnage se com- pose de onze membres du Centre : cinq mem- bres permanents, désignés par la Charte elle- même et qui sont la Chine, la France, l'U.R.

S.S., le Royaume-Uni et les Etats-Unis.

Six membres non permanents, élus tous les deux ans par l'Assemblée Générale, en tenant compte de leur contribution au maintien de la paix.

L'organisation C.I.C.E. a pour objectif de préserver la paix partout où elle serait mena.

cée par des menées occultes ou subversives devant lesquelles l'O.N.U. ou le Conseil de Sécurité seraient impuissants.

Le Conseil de Contre-Espionnage a reçu pouvoir de déterminer dans chaque cas s'il y a menace contre la paix, rupture de la paix ou agression. Une fois cette détermination faite, il peut prendre des mesures pour lutter contre ces menées occultes. Certaines de ces mesures peuvent aller jusqu'à mettre en mou- vement des agents du Contre-Espionnage d'Etats-membres selon des modalités qui, d'après la Charte, sont prévues dans les ac- cords spéciaux,

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Le Secrétariat du C.I.C.E. est dirigé par le Secrétaire Général qui est « le plus haut fonctionnaire de l'organisation », et qui est nommé par l'Assemblée Générale sur recom- mandation du Conseil de Contre-Espionnage.

Le premier Secrétaire Général a été M. Alexis Cidanik, de nationalité hongroise qui a exercé ses fonctions du 6 juin 1956 au 21 novem- bre 1959 ; le second a été le Docteur Paul Daunay, de nationalité française, désigné le 10 décembre 1959, qui, après la date légale d'expiration de ses pouvoirs le 31 juillet 1962, les a transmis à son successeur M. Joseph Klanski, de nationalité polonaise.

Les agents dont le C.I.C.E. a permis de dévoiler les activités, sont nommés par le Secrétaire Général en raison de leurs « qua- lités de travail », de compétence et d'inté- grité. Leur recrutement doit, de préférence, être effectué sur une base géographique aussi large que possible. Il faut entendre par là que les fonctionnaires internationaux doivent être de nationalités aussi diverses que possible, par souci d'équité et pour favoriser l'épa- nouissement de ce milieu international, qui est l'un des buts incontestable du C.I.C.E. en même temps qu'un de ses hommes d'action les plus efficaces,

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Nous tenons à remercier Monsieur le Secré- taire Général, Joseph F. Klanski, qui nous a autorisés à faire revivre sous une forme ro- mancée les exploits de ses agents ultra-secrets (1).

Finalement, il serait assez arbitraire de porter des jugements décisifs et définitifs sur le Service du Contre-Espionnage Internatio- nal situé au carrefour des tempêtes et des propagandes. Le C.I.C.E., bienveillant pour certains, implacable pour d'autres, ne mérite

« ni cet excès d'honneur ni cette indignité ».

Il est, comme nous tous, placé entre le ciel et l'enfer.

LES EDITEURS.

(1) Le lecteur comprendra aisément que les noms des héros de cette aventure aient dû être changés.

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INTRODUCTION

Le temps se faisait de plus en plus long, et avec lui croissait le froid, l'ennui, une cer- taine appréhension...

Elle se leva lentement, s'étira comme si elle sortait d'un assoupissement et alla à la fenêtre; soulevant un des rideaux, elle répri- ma un frémissement devant le fog, plus épais que jamais, ce bon vieux fog londonien qui faisait pourtant partie du décor traditionnel de la capitale britannique.

En dessous, quatre étages plus bas, la rue

était noyée dans un magma bleuâtre avec des

reflets d'un jaune sale, dont on se demandait

comment les rares passants pouvaient le res-

pirer.

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Lorsqu'elle ouvrit la fenêtre, son odeur bien particulière la pénétra presque autant que le froid ambiant, et elle resserra d'ins- tinct sur la poitrine les pans de sa veste de tailleur.

Allait-il enfin venir celui qu'elle atten- dait ?...

Il fallait pourtant qu'elle sût, qu'elle con- nût enfin le dernier élément de toute cette lon- gue suite d'enquêtes et de contre-enquêtes qui étaient enfin prêtes à aboutir.

Maintenant l'Organisation allait peut-être posséder tous les détails qui lui manquaient encore pour résoudre le puzzle, et pouvoir agir autrement qu'en cherchant dans le vague, qu'en perdant un temps toujours trop pré- cieux.

Soudain, alors qu'elle se pelotonnait fri- leusement dans le recoin le plus abrité du balcon, là où l'humidité et le froid semblaient avoir moins de prise, elle vit s'allumer la fenêtre qu'elle guettait.

Un sourire un peu crispé retroussa ses lè- vres l'espace d'un instant, puis ce fut de nou- veau l'instinct de la chasseresse qui s'éveilla en elle, et tous les sens aux aguets, elle se pencha.

Un homme et une femme venaient d'en-

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trer, l'une suivant l'autre...

Rien ne distinguait particulièrement l'hom- me, sinon son élégance cossue, mais la fem- me, elle, était d'une indéniable beauté : grande, bien faite, moulée dans une robe de jersey qui ne laissait échapper aucun détail de son corps presque un peu trop sculptural.

Tranquillement la jeune femme avait laissé tomber un manteau de fourrure, rectifiant machinalement sa coiffure compliquée et l'homme avait envoyé son propre pardessus jusque sur le divan le plus proche.

Maintenant, ils devisaient, mais si le moin- dre geste, le moindre regard, ne pouvaient échapper à la jolie guetteuse, elle se rendit malheureusement vite compte qu'elle ne pou- vait rien entendre de leur conversation qui paraissait se dérouler normalement, avec la promesse de devoir durer un bon bout de temps.

C'était presque choquant de ne pas subir la contrainte de ce fog épais comme de l'ouate, et qui se tapinait au ras du premier étage, et d'être contrariée par un seul de ses cinq sens.

Le seul, en l'occurrence, qui puisse lui ser- vir vraiment.

Puis, dans sa nervosité, elle avisa le deu-

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xième balcon, et tout de suite un détail capi- tal : la porte-fenêtre était entrouverte...

Un nouveau frisson la prit en constatant que, pour y accéder, il lui faudrait emprun- ter une corniche étroite de quelques centi- mètres à peine, avec bien peu d'aspérités utilisables contre la façade.

Il fallait pourtant que l'Organisation sût.

Elle déchira volontairement la couture de sa jupe dont l'étroitesse risquait de la gêner dans l'exécution de son périlleux exercice.

Maintenant, à chaque pas qu'elle faisait, le tweed s'ouvrait haut, découvrant des cuisses d'une finesse un peu gracile, mais sous la peau desquelles les muscles jouaient nerveu- sement.

Elle enjamba tranquillement la rambarde, regarda sous elle et s'aperçut que, pour une fois, le fog londonien allait lui servir à quel- que chose : en quelque sorte, il coupait la hauteur, et en conséquence, il chassait le ver- tige.

Quand elle eut atteint le deuxième balcon pourtant, elle était en eau et frissonna lon- guement, laissant son cœur calmer un peu la chamade folle qu'il avait battue tout le long de l'exercice.

La porte-fenêtre obéit à sa première pous-

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sée, et bientôt elle se retrouvait dans une pièce plongée dans l'obscurité la plus com- plète, livrée à elle-même encore plus qu'au hasard.

Elle marcha directement à la cloison mitoyenne et y colla une oreille attentive : maintenant, enfin, elle allait pouvoir surpren- dre les secrets des autres...

Ce fut d'abord indistinct, puis la basse grave de l'homme la frappa et elle sourit dans l'ombre, avide de recueillir les mots.

Pour l'instant la conversation roulait sur des considérations secondaires, qu'elle re- cueillit quand même, en se disant qu'avec ce qu'il lui manquait des premiers échanges, elle pourrait peut-être se livrer à certains recoupements fructueux.

Tout à coup, elle eut mal aux nerfs à en crier, et la peur absolue, la peur avec un grand P, s'installa en elle...

Silencieusement surgi de l'ombre, un corps venait de se coller contre son dos et une main, passant devant elle, bloquait le hurlement qui naissait au fond dé sa gorge, ne laissant sour- dre qu'un râle sourd.

Elle chercha bien à lutter, à tenter l'impos- sible contre-prise, mais la main glissa à la gorge et le bras serra, à la fois durement et

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très lentement, jusqu'à ce qu'elle perdît conscience.

Quand elle revint à elle, la lumière avait jailli dans la pièce, et elle gisait aux pieds de l'inconnu, sa jupe retroussée à mi-taille.

Elle comprit que le tout n'avait duré que quelques secondes et regarda mieux celui qui l'avait ainsi neutralisée.

Braqué sur elle, le canon sinistre d'un Lüger prolongé d'un silencieux visait sa poi- trine, et elle sentait que c'était juste entre les deux seins, là par où l'âme s'envole le plus vite.

L'homme avait une voix grinçante de pou- lie mal entretenue :

— Qui es-tu ?... Qu'est-ce que tu fiches ici ?...

Elle balbutia, ramenant sur ses longues cuisses nerveuses les pans déchirés de tweed, les yeux hagards :

— Mais... mais...

— Au lieu de bêler, dis-moi plutôt pour qui tu travailles et qui t'envoie faire ce bou- lot de mouchardage...

Il comprit tout de suite qu'elle lui tiendrait tête jusqu'au bout et qu'à moins de l'y obli- ger vraiment — par quelque moyen que ce

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soit — elle ne lui dirait rien comme ça, à froid.

Du regard, il épousa le joli corps et sou- pira :

— Dommage... J'aurais bien aimé avoir une petite conversation avec toi. Ça me fait quelque chose, à moi, chaque fois qu'il faut descendre une fille dans ton genre. Mais je n'ai vraiment pas de temps à perdre, tu com- prends ?

La détonation claqua à peine, et une fleur rouge s'épanouit juste entre les deux seins, élargissant sa corolle sanglante et maculant le tergal du polo-shirt.

Il avança lentement pour se pencher sur le corps et l'examiner en maugréant d'une voix sourde :

— Tu n'aurais pas pu te faire prendre ailleurs, non ?... On se serait bien amusés tous les deux, tu sais. Surtout moi...

Il abandonna le corps sans remarquer ce que serrait la jeune fille dans sa main droite depuis le début de l'agression, et qu'elle était machinalement allée prendre dans la poche de sa veste.

Ce n'était pourtant pas grand-chose...

Une simple petite boîte d'allumettes...

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I

Le Professeur Klanski n'accorda à New York que ce regard qu'on a pour quelqu'un avec qui on partage les moments de tous les jours...

Il laissa retomber les longs stores métalli- ques qui isolaient la pièce de tout le monde extérieur mieux qu'un mur de béton, et sou- pira.

C'est que c'était la salle des télétypes, où parvenaient du monde entier les renseigne- ments les plus divers sur l'état de la tempé- rature du globe.

Qu'un complot soit découvert, encore en trame, un trafic d'armes deviné, une rebel- lion de quelque parti qu'elle soit ourdie, tout parvenait ici, pour peu qu'il y ait dans le sec.

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teur incriminé un agent du C.I.C.E.

C.I.C.E., CENTRE INTERNATIONAL DE CONTRE-ESPIONNAGE, c'était, pour tous les pays membres de la Charte, l'assu- rance presque tous risques, avec les meilleurs agents internationaux travaillant au-delà de toute nationalité, de toute idéologie.

Cependant qu'Hans Bauër s'installait lour- dement dans le meilleur fauteuil, selon son habitude, le Furet commença par regarder autour de lui, toujours avec le même intérêt un peu méfiant.

Lorsque Klanski les amenait ici, c'est que quelque voyage se préparait pour eux, et il était de tradition entre les deux vieux compa- gnons de mission de parier sur le continent ou sur le pays, voire sur la ville où ils allaient se retrouver.

Généralement, aux antipodes...

Klanski les regarda longuement avant de commencer.

— Je vous avouerai que, cette fois-ci, je vous laisse libres d'accepter ou de refuser la mission que J'AIMERAIS vous confier !

Quand il insistait de cette façon-là, cela signifiait en général qu'il ne leur laissait leur libre arbitre que pour respecter les termes du contrat qui les liait les uns aux autres, mais

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que son opinion personnelle était toute faite.

Le Furet croisa les jambes tranquillement.

— Allez-y, Professeur... Vous savez très bien que Hans et moi aimons les jolis voya- ges, n'est-ce pas ?

— Eh bien... j'ai l'impression que vous allez être servis.

Il n'employait déjà plus le conditionnel, mais un futur qui sentait terriblement son

« présent ».

— Voilà de quoi il s'agit... Londres nous a mis sur la piste d'une affaire... Scotland Yard, puis l'Intelligence Service, ont décou- vert dans une chambre londonienne le corps d'un de nos bons agents...

Il prit un temps avant d'annoncer :

— Héléna Stromberg.

La même surprise douloureuse se peignit sur les traits des deux hommes, plus encore sur ceux de Hans qui se burinèrent d'un seul coup, cependant que les yeux lançaient des éclairs dangereux.

— Was ?... Helena tot ? Klanski eut un geste vague :

— Ici, vous le savez aussi bien que moi, on ne fait parfois que passer... l'arme à gau- che parfois, comme dirait notre ami Fred Arnor.

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Mais Fred n'avait pas envie de plaisanter.

Non seulement Héléna Stromberg avait été une délicieuse compagne de mission, mais il savait que pour Hans, elle avait été autre chose, quelque chose de plus pur et de plus grand.

Bauër abattit son poing noueux sur le bu- reau de teck massif, le faisant vibrer longue- ment :

— Herr Professor, je veux savoir qui a fait ça.

Une fois encore, Klanski éluda du geste toute réponse précise.

— Héléna enquêtait depuis un certain temps — que je commençais pour ma part à trouver bien long — sur les activités occultes d'une organisation d'espionnage particulière- ment coriace. Je n'en sais pas beaucoup, vous savez...

Ça aussi ils le savaient : pour que le Pro- fesseur fit appel à eux, il fallait que l'état- major du C.I.C.E. soit particulièrement dans le vague.

Toujours positif, le Furet demanda :

— Bien entendu, rien dans les mains, rien dans les poches, comme d'habitude ?

— Pas exactement, Furet... Il est un fait que, lorsqu'ils ont trouvé le corps, les gars

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du Yard sont tombé sur un cadavre intégrale- ment privé de tous moyens d'identification...

Héléna a été reconnue parce qu'elle avait été, dans le temps, fichée à l'I.S., avant que celle- ci ne nous la prête dans le cadre des accords des Nations Unies... Pourtant, justement, il y avait QUELQUE CHOSE dans les mains...

Il prit un temps et reconnut :

— Dans LA main, puis-je affirmer.

Et comme d'un même mouvement les deux agents voulaient se lever, le visage dur comme s'ils allaient foncer sur lui, il les apaisa du geste et attendit qu'ils se fussent installés dans leurs sièges.

— Quelque chose d'assez anodin, en fait...

Une simple boîte d'allumettes même pas plei- ne, sans le moindre signe d'indice.

Hans tonitrua :

— Je connaissais Héléna très bien, Herr Professor... Non seulement elle ne serait pas morte en crispant les doigts sur une boîte d'al- lumettes vide pour rien, mais en plus elle ne fumait pas. Le Furet enchaîna :

— Quelle marque d'allumettes ?...

— Il y avait sur le couvercle la publicité d'un établissement de la ville. Vous savez ce que je veux dire ? Une photo de la façade,

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avec le petit baratin habituel... Mais vous trouverez tout cela dans le dossier.

Il grogna au bout de quelques secondes :

— Vous ne trouverez même QUE cela.

— Pas la moindre empreinte nulle part ? Klanski hocha longuement la tête :

— A part celles des habituels occupants des lieux, rien. De ce côté, rien à dire ni rien à soupçonner, car il s'agit d'un couple pai- sible qui vit en Rhodésie depuis quatre mois et qui ignore même encore qu'il y ait eu un cadavre dans leur pied-à-terre londonien...

Le Furet se leva pour marcher de long en large dans le bureau, pensant déjà furieuse- ment à venger la pauvre Héléna.

— Voyons, Professeur... Nous devons donc supposer qu'Héléna a été amenée là par ses ravisseurs et que, pour des raisons qui nous échappent mais qui peuvent aussi bien être un attrape-nigauds, elle y a été exécutée.

Klanski tripota un dossier presque vide.

— Justement, pas la moindre trace d'ef- fraction. Seule, la porte-fenêtre était ouverte, mais cela ne signifie rien de précis...

— Pouvez-vous me donner plus de détails sur cet établissement, Professeur ?

Le Professeur compulsa rapidement quel- ques feuillets dactylographiés qui traînaient

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Achevé d'imprimer sur les Presses de Omnium de Presse et d'Edition 11, rue Rochechouart - Paris (9

Dépôt légal 4 trimestre 1962.

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