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Figure 1: Présentation schématique d’un nucléosome

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Academic year: 2021

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(1)

H1

Figure 1: Présentation schématique d’un nucléosome Le nucléosome est composé d’une paire de chacune des histones H2A,H2B, H3 et H4 autour desquelles s’enroule la double hélice d’ADN.

Grâce à l’histone H1, une conformation plus compacte du nucléosome est obtenue

Figure 2: L’empaquetage de l’ADN

Les nucléosomes forment une chaîne qui s’aggrège en fibre de

chromatine qui est condensée encore une fois pour former l’euchromatine et l’hétérochromatine

D’après Felsenfeld and Groudine (référence 2 )

ADN

Région de l’ADN

Chaîne de nucléosomes

Fibre de chromatine

Euchromatine

Hétérochromatine

(2)

Figure 3 : Les complexes ATP-dépendants du remodelage de la chromatine

Dans la partie supérieure, la structure des trois membres fondateurs de chaque famille est représentée.

Dans la partie inférieure, les complexes humains les plus connus contenant chacun un autre membre de la famille des ATPases sont illustrés.

D’après Narlikar et al. (référence 4)

(3)

Figure 4: Les modifications des histones.

Ce schéma illustre les queues N-terminales protubérantes de chacune des histones H2A, H2B, H3 et H4. Chaque modification post-traductionnelle est représentée par une couleur et elle est annotée à côté de l’acide aminé concerné. On note que les histones peuvent être phosphorylées (P), acétylées (Ac), ubiquitinylées (Ub) et méthylées (Me).

D’après Felsenfeld and Groudine (référence 2)

(4)

Ac

Ac Ac

Ac Ac Ac

Gène cible ACTIF ACTIF

HAT HDAC

Gène cible REPRIME REPRIME

Figure 5: Acétylation/Désacétylation d’histones

Les HAT entraînent une acétylation d’histones, corrélée à un état transcriptionnel actif

Les HDAC provoquent une désacétylation d’histones qui est associée à une condensation de la chromatine et à un état transcriptionnel inactif.

(5)

CBP Activation transcriptionnelle

Ac K23

CARM1 Activation transcriptionnelle

Me R26

Pr-SET7 Condensation des chromosomes

Me K20

ATF2 Activation transcriptionnelle

Ac K16

ATF2, PCAF, p300 Activation transcriptionnelle

Ac K8

Hat1, ATF2, p300 Activation transcriptionnelle

Ac K5

PRMT1 Activation transcriptionnelle

Me R3

H4

DOT1L Répression télomérique

Me K79

Aurora-B Condensation des chromosomes

P S28

G9a, EZH2 Répression transcriptionnelle

Inactivation du chromosome X Me

K27

P300/CBP Activation transcriptionnelle

Ac K18

CARM1 Activation transcriptionnelle

Me R17

Gcn5, TAFII250, p300, PCAF, SRC1

Activation transcriptionnelle Ac

K14

Rsk2 Activation transcriptionnelle

P S10

SETDB1, G9a, Eu-HMTase, Suv39H1, EZH2, G9a Répression transcriptionnelle

Hétérochromatine péricentromérique Empreinte génétique

Me

SRC1 Activation transcriptionnelle

Ac K9

SET7/Set9 Activation transcriptionnelle

Me K4

CARM1

? Me

R2

Enzymes Fonction

Modification H3

Tableau 1: Acétylation (Ac), phosphorylation (P) et méthylation (Me) d’histones H3 et H4

Les enzymes indiquées sont celles connues chez l’humain ou chez la souris pour catalyser les modifications d’histones.

(6)

N-ARTKQTARKSTGGKAP…QDFKTDL

4 9 10 14 79

Me Me Ac Me

P

Ac

RAVTKYSSSTQA-C

Ub

123 H3H3

H2BH2B

Figure 9 : Interrelations régulatrices entre les différentes modifications des histones H3 et H2B

Les différentes modifications des histones sont indiquées au dessus des acides aminés concernés. Me=methylation, Ac=acétylation, P=phosphorylation, Ub=ubiquitinylation.

Les flèches turquoises indiquent une régulation positive tandis que les traits rouges comportant des boules à leurs extrémités représentent une inhibition.

(7)

ADN

Méthylation de novo

Réplication de l’ADN Méthylation de

maintien

Figure 10 : La méthylation de l’ADN : de novo et de maintien

La méthylation de novo s’établit surtout pendant l’embryogenèse précoce, ensuite la méthylation de l’ADN est maintenue au cours des cycles de réplication de l’ADN. La méthylation de maintien s’appuie sur une séquence hémi-méthylée afin de restaurer le profil de méthylation après chaque réplication de l’ADN.

ADN méthylé ADN hémi-méthylé ADN non-méthylé

(8)

Région 1 Région régulatrice

Figure 11 : Les deux caractéristiques clefs de la méthylation de l’ADN a. La méthylation de l’ADN verrouille l’expression génique

b. La méthylation de l’ADN est ciblée en des régions spécifiques du génome (région 1 non-méthylée, région 2 méthylé)

Région 2 Gène

a. Verrouillage

b. Ciblage

Répression de la transcription

ADN non-méthylé ADN méthylé

(9)

Figure 12: Réaction de transfert d’un groupement méthyl sur l’ADN Les Dnmt catalysent le transfert du résidu méthyl -CH3 à partir du substrat qui est la S-adénosyl-méthionine sur le cinquième carbone pyrimidique des cytosines, converties ainsi en 5-méthyl-cytosine.

D’après Herman and Baylin (référence 91) S-adénosyl-méthionine

+ Dnmt

(10)

1616

908

853 1

1

1

1

1 387

391 Dnmt1

Dnmt2

Dnmt3a

Dnmt3b

Dnmt3L

Structure des différentes classes de Dnmt Activité méthyl- transférase

oui

oui

oui

oui

non

Protéines partenaires

HDAC1,2 PML-RAR RP58 HP1 Suv39H1 Dnmt1 Dnmt3L

?

Figure 13: La famille des Méthyltransférases de l’ADN (Dnmt) La structure des Dnmt:

Lorsqu’il y a létalité embryonnaire, la lettre E suivie d’un chiffre indique le jour embryonnaire où a lieu la mort.

Invalidation du gène

chez la souris

Pas de changement du profil de

méthylation Létalité

embryonnaire à E8,5 Hypométhylation globale

Perte des gènes d’empreinte HDAC1,2

Rb MBD2/3 HP1 Suv39H1 PML-RAR RP58 RNApolII PCNA Dnmt3a Dnmt3b

HDAC1 Sumo-1/Ubc9 Dnmt1

Dnmt3L hSNF2H`

Sin3a HDAC1 Dnmt3a Dnmt3b

Létalité post-natale à 4 semaines

Défauts intestinaux et de la

spermatogenèse

Létalité embryonnaire entre E14,5 et 18,5 Déméthylation des séquences satellites mineurs

Létalité embryonnaire à E8,5

Absence d’empreinte génétique maternelle et paternelle

NLS domaine PwwP

domaine PHD domaine catalytique

domaine de fixation au zinc domaine riche en cystéines

(11)

Figure 14 : Les protéines liant les CpG méthylés.

MBD1, MBD2, MeCP1, MBD3 et MBD4 sont des protéines à domaine de liaison à l’ADN MBD tandis que Kaiso se lie à l’ADN par ses domaines en doigts de zinc

Structure des MBD Fonction Protéines

Partenaires, Complexes

Invalidation du gènechez la souris

MBD1

MBD2

MeCP2

MBD3

MBD4

Kasio

Co-répresseur

Réparation de l’ADN

Répresseur transcriptionnel dépendant des sites méthylCpG

Complexe Mi2/NuRD

Complexe Mi2/NuRD Dnmt1

Sin3a/HDAC HDAC Suv39H1 HP1

Caténine p120 NcoR (HDAC)

Viable et fertile Défauts du comportement maternel

Létalité

embryonnaire à E6,5

Viable

Défauts neuronaux sévères

(ataxie, mouvements stéréotypés)

Domaine MBD Motif CxxCxxC Répétition riche en glycine et arginine

Domaine POZ Domaine de liaison à

Sin3a/HDAC

Domaine intervenant dans la réparation de l’ADN

Domaine en doigts de Zinc Structure des protéines

Répresseurs transcriptionnels dépendants des sites CpG méthylés

(12)

CANCER

Gène suppresseur de tumeur CG

CG

CG

CG

meme

me me me

me

meme REPRIMEREPRIME Dnmt

Inhibiteur de Dnmt

ANTI-CANCER

Gène suppresseur de tumeur CG

CG

CG

CG

ACTIF ACTIF Dnmt

Figure 15 : La méthylation de l’ADN et le cancer

Dans un grand nombre de cancers, il y a hyperméthylation et donc inactivation de gènes suppresseurs de tumeur.

L’utilisation d’un inhibiteur de Dnmt pourrait conduire à nouveau à une déméthylation et donc à une ré-expression des gènes suppresseurs de tumeur.

(13)

Figure 16: Coopération des Dnmt, MBD, HDAC et HKMT

pour obtenir une structure chromatinienne fermée et une répression de la transcription génique

a. Les MBD recrutent les HKMT et/ou HDAC au niveau des sites CpG méthylés de l’ADN et entraînent une désacétylation et une méthylation d’histones

b. Les Dnmt interagissent et coopèrent avec les HKMT et les HDAC. Il y a méthylation de l’ADN ainsi que désacétylation et méthylation des histones

HDACHDAC

me me me

me

Gène CG

CG

CG CG

me me

me me me

me

meme REPRIMEREPRIME HKMT

HKMT

me me me

me

DnmtDnmt

Chromatine ferm Chromatine fermééee Transcription r

Transcription rééprimprimééee b.

a.

me me me

me

Gène

CG CG

CG

me me

me me me

me

REPRIME REPRIME

me meme me

Chromatine ferm Chromatine fermééee Transcription r

Transcription rééprimprimééee

HDAC

HDAC HKMTHKMT MBD

MBD

meme CG

Renforcement de l’état épigénétique

(14)

HDAC HDAC

Gène cible

CG CG

me me me

me REPRIMEREPRIME DnmtDnmt

PML-RAR PML-RAR

Gène cible

CG CG

REPRIME REPRIME Dnmt

Dnmt Rb

Rb, RB58, RB58

Ac a.

b.

Figure 17: Ciblage des Dnmt par des facteurs de transcription a.Ciblage d’une Dnmt et de son activité méthyltransférase sur un gène cible du facteur de transcription PML-RAR (RARβ) et induction de la répression génique par la méthylation du promoteur du gène en question.

b. Ciblage d’une Dnmt sur un gène cible du facteur de transcription Rb ou RP58 et induction de la répression génique par un mécanisme indépendant de la méthylation de l’ADN (par désacétylation d’histones)

(15)

gène actif gène réprimé

Figure 18 : Les boucles de la régulation épigénétique de la transcription.

L’état transcriptionnel d’un gène dépend de l’équilibre entre les répresseurs et les activateurs de la transcription.

Le gène actif pour la transcription est marqué, entre autres, par des histones acétylés en H3-K9.

Le gène réprimé est lui marqué par des histones désacétylées et méthylées en H3-K9 et par une méthylation de son ADN.

La méthylation de l’ADN a un effet positif sur la désacétylation et la méthylation en H3-K9.

L’acétylation en H3-K9, associé à un gène actif a, par contre, un effet négatif sur la méthylation de ce même résidu H3-K9.

D’après Jaenisch and Bird (référence 3 )

(16)

439 1

45 63 129 143 320 328 355 368 410

C-Myc

Domaine N-terminal Domaine Central Domaine de liaison à l’ADN

MBI MBII NLS b HLH LZ

MBI

MBII

NLS

Myc-Box I

Signal de nucléarisation

b

LZ HLH

Région basique Hélice-tour-hélice Leucine Zipper Myc-Box II

Figure 19 : La structure de la protéine Myc et ses isoformes a. La structure de la protéine c-Myc

b. Les isoformes de c-Myc

c. Les autres membres de la famille Myc

-141 439

C-Myc1

C-Myc2 C-Myc-S

N- Myc L-Myc S-Myc B-Myc

464

365

429

179

a.

b.

c.

1

1

1

1

(17)

Myc Max

CACGTG

TRAPP

GCN5 ou pCAF hSTP3

hADA 2,3

TAF 15,20, 30,31 PAF 65a,b Autres …..

S(T)AGA

TRAPP Tip48 Tip49 Tip60 p400 BAF53 Autres ….

Tip60 Complexes

d’histone acetyl-transférases

SNF5 (INI1) BRG1 ou hBRM BAF155

BAF170 BAF57 BAF53a Autres …

SWI/SNF

CBP/p300

Remodelage de la chromatine

ATP-dépendant

Figure 20 : Les co-activateurs de Myc

Les facteurs soulignés sont les partenaires directs de Myc. Chaque carré colorié indiqué à côté d’une protéine fait référence à une activité particulière :

Activité hélicase Activité HAT

Activité ATP-ase de remodelage

(18)

Figure 21: La régulation transcriptionnelle par le réseau Myc/Max/Mad a. Activation de la transcription par Myc-Max et les HAT

b. Répression de la transcription par Mad/Max et les HDAC D’après Pelengaris et al. (référence 168)

a. Acétylation

b. Désacétylation

(19)

Myc Max

TF TF

Site consensus

Figure 22: Myc agit comme répresseur de la transcription TF: Facteur de transcription (Miz1, Sp1, …)

(20)

p15p21

Figure 23: Le rôle de Myc dans le contrôle du cycle cellulaire a. Activation de la transcription par Myc-Max de la cycline D2 et la CDK4 b. Répression de la transcription par Myc/Miz des CDKI p21 et p15 D’après Pelengaris et al. (référence 168)

(21)

Domaine POZ (Poxyvirus et Doigts de Zinc) Structure en Doigt de zinc

POZ

803

Figure 24: La structure de la protéine Miz-1

(22)

P15, p21, nramp, AdMlR, Cyclin D1

Stimuli externes (TGFβ, TPA, UV)

TF Miz Miz-1-1

Site consensus

Miz-1Miz-1

Site consensus

TF XTF p300

X

Figure 25: La régulation transcriptionnelle par Miz-1 soit en absence de TF (haut) soit en présence deTF (bas)

TF : Facteur de transcription antagoniste de Miz-1 : Myc ou TopBP1 ou HCF-1

Les stimuli externes entraînent une répression de l’expression des TF. Miz-1 est libéré de son antagoniste et donc peut activer la transcription. En revanche, la croix rouge indique une perte du contrôle de l’expression de TF, comme c’est le cas dans la cellule devenue cancéreuse.

P15, p21, nramp, AdMlR, Cyclin D1

(23)

Promoteur proximal

P21 OFFOFF C G

MizMiz

C G me

MycMyc

Dnmt3a Dnmt3a

Figure 26: Modèle de répression du gène p21 par l’oncoprotéine Myc.

Myc recrute la méthylation de l’ADN sur le promoteur proximal de p21pour verrouiller l’expression du gène p21. Myc/Dnmt3a se lient à l’ADN via le facteur Miz-1.

(24)

Figure 27: Coopération des Dnmt3 et HDAC au niveau de l’allèle réprimé d’un gène d’empreinte

Dnmt3L jouerait le rôle d’une plate-forme qui recrute les HDAC et les Dnmt. Ainsi, les HDAC permetteraient une désacétylation d’histones et Dnmt3a et Dnmt3b méthylent l’ADN. Ensemble les HDAC et les Dnmt provoqueraient une compaction de la chromatine et une répression de la transcription.

HDAC HDAC HDAC HDAC Dnmt3L Dnmt3L HDAC

HDAC

Gène d’empreinte CG

CG

CG CG

me me

me me me

me

meme REPRIMEREPRIME Dnmt3a

Dnmt3a

Chromatine ferm Chromatine fermééee Transcription r

Transcription rééprimprimééee Dnmt3b

Dnmt3b Ac

Ac Ac

(25)

HDAC Dnmt Ac

Ac Ac

Ac Ac Ac

C-G

Gène cible Actif Actif

C-G

Gène cible R

éprimpriméé me

Figure 28: Répression transcriptionnelle par l’interaction Dnmt/HDAC engendrant la désacétylation d’histones et parfois la méthylation de l’ADN.

Répression épigéntique

(26)

Figure 29: Coopération des Dnmt avec les autres protéines intervenant dans le remodelage de la chromatine

Les flèches doubles indiquent la coopération et l’interaction entre les différentes protéines. Les flèches rouges indiquent en particulier les coopérations faisant intervenir les Dnmt. Dans les boîtes se trouvant à côté de chaque protéine sont indiquées la fonction de chacune des protéines.

HDACHDAC

DnmtDnmt HKMTHKMT

HP1HP1

MBDMBD Co-rCo-réépresseurpresseur

Remodelage ATP-dépendant de la chromatine

Méthylation d’

histones (H3-K9)

Hétérochromatine (H3-K9 méthylé)

Méthylation de l’ADN

Sites méthylés de l’ADN Désacétylation

d’histones

(27)

Figure 30 : L’état de méthylation des îlots CpG dans la région

promotrice d’un gène suppresseur de tumeur dans la cellule normale et dans cellule cancéreuse.

Les petites boules représentent chacune un dinucléotide CpG non-méthylé (blanc) ou méthylé (noir). Dans le cancer il y a un ciblage inadéquat des Dnmts au niveau du promoteur d’un gène suppresseur de tumeur. Le ciblage des Dnmt sur ce promoteur fait intervenir une ou des protéines encore non-identifiées (référées ici comme facteur ?)

D’après Herman and Baylin (référence 91)

(28)

Promoteur proximal

Gène cible p21 OFFOFF C G

Miz-1 Miz-1

C G me

MycMyc

Dnmt3a Dnmt3a

Figure 31: Modèle des mécanismes de répression induits par Myc.

Myc se fixe à l’ADN via un facteur de transcription (par exemple Miz-1) dont il réprime son activité :

a. Par un mécanisme passif d’interférence. Myc empêche Miz-1 de recruter le co-activateur CBP/p300

b. Par un mécanisme actif. Myc recrute le co-répresseur Dnmt3a.

La répression du gène p21 se fait, en partie, par la méthylation de sa séquence promotrice.

CBP/p300

a. b.

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