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lUei^pnBHrqpr EAU MINÉRALE ET DE TABLE

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14">* on né« Ne 152 Premlor maniual Illustré Frlbourgaolt La numéro 60 et«

ILLUSTRE

lUei^pnBHrqpr EAU MINÉRALE ET DE TABLE

saine, roffraîchlssonte

Minéral Citron Orange Framboise Grape-fruit Erla Ananas Abrico L

Natch terminé...

...à Genève. Et deux victimes d'un coup : Londres qui, avec son inlassa¬

ble obstination n'a cessé de faire la courte échelle pour rendre possible une montée au sommet ; et Paris dont le Grand Chef n'est pas encore assez grand pour regarder par des¬

sus le mur aux secrets. Ils sont écar¬

tés. C'est brutal, dangereux, mais conforme au rapport des forces. Les deux colosses, le Russe et l'Améri¬

cain, vont donc se rencontrer stul à seul et chercher à se deviner jusqu'au tréfond.

Moscou, malgré son énorme puissance militaire, a deux craintes : celle du réarmement de l'Allemagne indus¬

trielle, alliée d'une France tout empê¬

trée dans ses affaires africaines mais qui, si elle les surmonte, va repartir très dur ; et la crainte d'une Chine démesurée, fière et fanatique, capa¬

ble d'ici une génération de balayer steppes et plaines de la mer de Chine au Pas-de-Calais. Et comme l'Amé¬

rique n'est pas sans ressentir une inquiétude semblable, il y a bien là de quoi nourrir une conversation.

Pourtant si, parallèlement, les vieux pays de la vieille Europe : Grande- Bretagne, France, Allemagne, Italie...

et la Suisse aussi, si souvent opposés, se rencontraient, s'ils mettaient en¬

semble leurs moyens, ils dépasse¬

raient vite n'importe quelle puissance au monde. L'union, la fédération est l'éternelle réplique des moins forts lorsqu'ils sont décidés à se défendre.

Par delà nos querelles mesquines et affligeantes, c'est toujours notre chance. FR.

<^ranï>e

Le 10 août, les pêcheurs d'Estavayer-le-Lac ont fêté solennellement leur patron Saint Laurent. La Chapelle de Rlvaz ouvre ses portes toutes grandes pour voir passer leur Noble Confrérie. (Photo Jean MUlhauser)

Dans ce numéro : Les défunts — Le calvaire de l'église d'Ependes — Peinture espagnole abstraite — Le souvenir de Marcello — Le garage Bongard à la rue du Nord — L'Institut des jeunes avéugles du Jura — Trois images, un seul fait — Les sports.

Abonnamani pour la Suitsa Fr. 6.80 Chèquas postaux lia 2851

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M. Gérard Christinaz

M. Christinaz se présentait toujours souriant, affable, disponible. Très at¬

taché a son foyer, il a trouvé le moyen d'être encore l'ami, le conseiller de tous et chacun. Ces qualités et son sens aigu des responsabilités en fi¬

rent, aux CFF, l'organisateur et le conducteur d'innombrables pèlerina¬

ges et voyages. Il fut président du chœur mixte de St-Pierre, puis prési¬

dent d'honneur, et animateur de nom¬

breux groupements. Il laisse d'unani- mes regrets.

M. Jean Jemmely

Né à Courtepin en 1884, M. Jemmely y est décédé en juillet dernier, après y avoir passé toute sa vie d'homme loyal, actif, respectueux du prochain, aimant son cher village, auquel il était aussi attaché qu'à son foyer.

Avant d'exploiter le domaine familial, il fut postillon dans la région nord du district du Lac.

M. Jean Schaller

Ancien président de la paroisse de St-Jean, M. Jean Schaller s'en va, à l'âge de 78 ans, après une vie de dévouement. Il était très connu dans le monde de la SFG, dont il fut pré¬

sident cantonal. Il était membre hono¬

raire de «Fribourg-Ancienne» et pré¬

sident d'honneur de la section « Fçi- bourg Hommes ». Les drapeaux de de ses sociétés s'inclinèrent sur sa tombe, ainsi que celui de «La Land wehr» dont il était membre vétéran.

M. Isidore Poffet

En mai, « Fribourg-Illuctré », parlait du remarquable développement de la Boucherie-Charcuterie Poffet, à Pérol- les. Et maintenant la photo du père de famille et du patron doit paraître à la page des défunts. M. Poffet est mort, des suites d'une chute, au mo¬

ment où, ses fils étant formés, il al¬

lait relâcher quelque peu son acti¬

vité, après 40 années de rude labeur.

Sa femme et ses fils désolés assure¬

ront la continuité et la prospérité de l'entreprise.

M. Louis Bapst M. Arsène Nicole!

M. Bapst est décédé subitement a l'âge de 55 ans. II était fermier de la famille Cailler à la Riedera depuis 5 ans seulement. Durant la majeure partie de sa vie, il habita Pont-en- Ogoz, puis le Bry, où il exploita un beau domaine. Très ouvert au pro¬

grès, aimant son métier, il était aussi éleveur et teneur de montagne. On l'aimait pour sa loyauté, son courage, sa franchise.

M. Albert Wicky S'

M. Léon Ufholz

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Né en 1865, M. Nicolet était le doyen d'âge de la paroisse de Surpierre, où il jouissait pleinement de la considé¬

ration de ses combourgeois. Il avait élevé une belle famille de 7 enfants et il était arrière-grand-père de 19 petits-enfants. Au début de sa vie, il avait été tenancier de l'auberge communie de Cheiry, puis il exploita avec succès son train de campagne.

A Guin est décédé des suites d'une crise cardiaque, à l'âge de 66 ans, M.

Wicky, propriétaire et tenancier de l'Hôtel Central. C'est avec un dévoue¬

ment admirable qu'il a servi la musi¬

que de Guin, en qualité de banneret, le conseil paroissial, ainsi que les nombreuses sociétés et entreprises de Guin et de la Singine. Il était membre vétéran des sous-officiers Section de Fribourg.

Bourgeois de Fribourg, où il comp¬

tait de nombreux amis, M. Hufholz a travaillé durant de nombreuses an¬

nées aux CFF à Berne. Homme cour¬

tois, consciencieux, estimé, il était un .grand ami de la nature, trouvant le plus vif plateir dans la promenade en fofêt. La mort l'a délivré de ses souffrances à l'âge de 75 ans.

M. Firmln Gumy M. Joseph Ménétrey M. Henri Burger M. Ernest Savary

M. Firmin Gumy, véritable type de terrien, fut un grand travailleur, aimant son domaine, qu'il eut la sa¬

tisfaction d'agrandir et d'embellir. Sa famille assume aujourd'hui la relève avec l'avantage d'une formation soli¬

de inculquée par le père. C'était un homme droit, simple, parfois un peu rude, mais si bon.

M. Ménétrey décédé à Massonnens, à l'âge de 68 ans, a passé son existence à se dévouer autant à la chose publi¬

que qu'à sa chère famille. Il unissait la discrétion à la fermeté. Il prodi¬

guait ses services. Il fut secrétaire communal, conseiller, officier d'état civil, membre fondateur, ancien pré¬

sident et caissier de la Caisse Reif- feisen, ainsi que greffier de la Justice de paix de Villaz-St-Pierre.

M. Burger, décédé à l'âge de 64 ans, était le chef compétent et estimé de la Blanchisserie Burger de la rue Pierre-Aeby. Pariote fervent, il avait servi durant le service actif de 1939 à 1945 en qualité de Pit des Troupes légères. Il était le fils de M. Burger, industriel à Porrentruy, dont tant d'officiers et de soldats des mobs 14-18, reçus dans son accueillante demeure, gardent un souvenir ému.

M. Savary était chef d'exploitation à la gravière de Rössens. Il fut trou¬

vé inanimé sous la pelle mécanique qu'il venait de rentrer. Durant 17 ans, il avait été le chauffeur privé de M.

Alexandre Cailler, à Broc. Puis se mettant à son propre compte, il vint à Bulle et s'occupa avec beaucoup de savoir faire de la gravière d'In Rio.

Il fit ses mobilisations comme Pit. à la IV/165.

M. Henri Hostettler M. Adolphe Eicher M. Georges Bochud M. Louis Castella

A la Tour de Trême est décédé un excellent entrepreneur. Né en 1902, M. Hostettler apprit le métier de maçon, puis fonda sa propre entre¬

prise, il y a un quart de siècle. La qualité de son travail jointe à un caractère énergique fit la prospérité de ses affaires. De 1934 à 1958, il repréM-nta le parti socialiste au con¬

seil communal de La Tour.

Après une carrière administrative de 34 ans durant laquelle il se dévoua avec beaucoup de compétence au ser¬

vice des Entreprises électriques fri- bourgeoises, M. Eicher est décédé à Fribourg, dans sa 59me année. 11 lais¬

se dans une profonde affliction une famille qui avait encore besoin de lui.

La population de Cerniaz fut très impressionnée par l'accident dans lequel M. Bochud trouva la mort. Il était d'une nature généreuse et d'un caractère agréable. Chacun aimait sa conversation agrémentée d'hu¬

mour. Esprit très ouvert au progrès, il fut un pionnier de l'action syndi¬

cale dans son village. La FOBB locale avait en lui un secrétaire-caissier des plus dévoués.

M. Castella, aiguilleur au service des G.F.M. depuis 1919, et retraité depuis le 31 août 1957 est décédé à Bulle à l'âge de 67 ans. n fut membre du Syndicat S.E.V. dès 1920 et entra au Comité étendu du cartel syndical en 1948. Ce fut un franc et loyal cama¬

rade.

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LE CALVAIRE DE L'EGLISE D'EPENDES

On se rappelle l'incendie qui, au mois de janvier 1933, avait détruit complètement l'église d'Ependes. Construite par M. l'ar¬

chitecte Cuony, et consacrée au mois de juillet 1936 par Mgr Marius Bes«on, la nouvelle église attendait encore la décora¬

tion définitive du chœur. La paroisse d'Ependes vient de la lui donner. Il s'agit d'un magnifique Calvaire du XVIIIme siècle.

Le Christ, d'un auteur inconnu mais datant certainement du début du XVIIIme siècle, avait été épargné par l'incendie parce qu'il

«e trouvait à l'extérieur de l'église. Res¬

tauré l'an dernier par les soins de M. Vin¬

cent Del Soldato et de M. Armand Niquille, il est entouré de deux statues de la Vierge et de St-Jean, œuvre du sculpteur Thomas Schwanthaler, né en 1634 à Ried (Autri¬

che) et mort en 1707.

Le groupe ainsi formé est une œuvre d'art vraiment splendide, digne de Celui qui habite le tabernacle. Et la paroisse d'Epen¬

des peut en être fière.

Le Calvaire a été inauguré et béni solen¬

nellement le dimanche 9 août à l'occasion de la fête patronale.

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Pitié pour 16 piano

La soirée est très élégante. Les invités boivent, grignotent bavardent. Une jeune fille se met au piano et attaque un air de jazz. Les morceaux se succèdent. L'ardeur de la jeune fille ne diminue pas. Au bout d'un heure, elle tappe toujours.

Un vieux monsieur la regarde avec inquiétude puis se pen¬

che vers son voisin :

— J'espère qu'elle va s'arrêter.

— Pourquoi ? c'est votre fille ?

— Non, c'est mon piano.

Confidences

Deux demoiselles en, âge de franchir le pas :

— J'ai décidé de ne pas me marier avant d'avoir trente ans.

— Et moi, j'ai décidé de ne pas avoir trente ans, tant que

je ne serai pas mariée.

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Rafael Canogar La paresse

UNE PEINTURE EXTRAORDINAIRE

Une exposition d'un genre particulier vient d'occuper pendant un mois la Galerie du Musée de l'Université de Fribourg. Il s'agissait de la «Jeune peinture espa¬

gnole », autrement dit de dix-neuf peintres modernes, ayant en commun le pays, le jeune âge et la recherçhe de nouveaux moyens d'expression. Leurs œuvres som¬

bres, douloureuses, mystérieuses aussi, ont fait sen¬

sation partout où elles ont été montrées : à Barcelone, à Sao Paolo, à Paris, à Alexandrie, à Venise. Fribourg était la première ville de Suisse à les présenter au public et c'était là, nous a-t-on dit, un hommage à l'effort culturel et artistique constant dont notre ville est le théâtre actuellement, en même temps qu'à son.

rayonnement universel de ville universitaire. Accep¬

tons-le sans nous mettre à juger ces œuvres, car elles ne sont pas de celles qu'on peut saisir du premier coup et analyser en deux mots. E. Th.

Rafael Canogar % | . L'envie '

Juan José Tharrats

L'œil chercheur de la télévision a saisi le peintre Raymond Meuwiy -dans sa belle flemeure de Misery. A son tour,

l'œil curieux de Fribourg Illustré a pris sur le vif Ses

techniciens Ue l'image et du son dans leur voiture laboratoire et les opérateurs dans l'atelier du pein¬

tre... peignant.

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Parmi les œuvres que nous a laissées Marcello et qui témoignent de son grand talent, se trouvent ce ravis¬

sant Portrait de Madame B (à droite), cette gracieuse Phœbé (à gauche) dont on dit que le modèle fut Mlle Mélanie de Pourtalès, et cette Pjrtkle juvénile et tra¬

gique (à gauche au milieu), dont une grande réplique orne l'Opéra de Paris et dont l'accent si douloureux aurait été inspiré par la mort, à la fleur de l'âge, de la baronne Raymond de Montenach, mère du grand Georges de Montenach.

En souvenir

Le 16 juillet 1879, il y a 80 ans, mourait, à Castellamare,. à l'âge de 43 ans, la duchesse de Castiglione Colonna, née Adèle d'Affry, de Fribourg. Fille du peintre Louis d'Affry, sœur de la poétesse Cécile d'Ottenfels, et arrière-petite-fille du comte Louis d'Affry, premier landaman de la Suisse, elle était, sous le pseudonyme de Mar¬

cello, un peintre et sculpteur en vogue, et sous son nom dé duchesse Colonna, une des femmes les plus justement admirées de son temps. En souvenir de cette illustre Fribourgeoise, le Musée cantonal d'art et d'histoire a ouvert, du 25 juillet au 12 sep¬

tembre, une exposition remarquable par sa richesse et par son intérêt.

L'art de Marcello, en même temps que le charme d'une époque qui fut celle des diligences et des crinolines, d'une vie mondaine intense et d'un romantisme affiné, s'y manifeste dans une quantité de sculptures, peintures, dessins et cahiers de cro-

Extraordinairement vivant et expressif, le général ita¬

lien MIIm» del Bo se (à gau¬

che) est l'un des nombreux hommes illustres que Mar¬

cello a dessinés, peints ou sculpté9. L'artiste excellait aussi dan« les croquis au crayon, à la mine de plomb, à l'encre eu à l'aquarelle, représentant des person¬

nages pittoresques ou ceux de son entourage, tel ce M.

de B. et ces Dames aa para¬

sol (à droite).

* i"

- i-*-. > ,

Marcello à 34 ans ; la voi¬

ci (à gauche) dans toute sa gloire, telle que l'a-vue en 1870 le peintre A. Komako.

De nombreux descendants de la famille d'Affry assis¬

taient au vernissage. Voici (à droite en haut), en con¬

versation avec le conseiller d'Etat José Python, la com¬

tesse d'Alcantara, petite- nièce de Marcello et (image suivante de gauche à droite) la baronne Snoy (épouse du ministre belge Jean-Charles Snoy) et les deux fillettes de M. Roger de Week, arriè- res-petites-riièces de Mar¬

cello.

de Marcello

quis. Et l'art de vivre aussi de la duchesse de Castiglione Colonna, à la fois bellé et enjouée, distinguée et magnifique, revit dans la correspondance qu'elle a échangée avec les grands personnages de son temps : l'Empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie, le Cardinal Mermillod, Lamartine et Mérimée, le peintre Delacroix et le sculpteur Carpeaux, Franz Liszt et Charles Gounod, la princesse de Metternich et tant d'autres encore.

« Madame la duchesse, disaient déjà à Marcello, ses admirateurs d'antan, com¬

ment se fait-il que nous ne soyons pas tous amoureux de vous ? » Vous en penserez autant, «n découvrant, à l'Hôtel Ratzé, l'attachante personnalité de cette artiste toujours Jeune, et grande dame du siècle passé.

Eric E. Thilo.

Voici encore (à droite en haut) croqués pendant le vernissage, S.A.I. la prin¬

cesse Anne de Saxe, archi¬

duchesse d'Autriche, en con- versation avec l'abbé Du¬

pont, curé de Givisiez, et M. Antoine J. Kilchmann.

La comtesse Roger de Dies-

bach était le guide le plus

sûr de l'exposition, ce dont

profita consciencieusement

notre confrère Michel Fa-

varger, de la « Liberté » (à

droite en bas).

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Du Sonnenberg

au Jura...

L'Institut des jeunes aveugles du Sonnenberg, dont Frlbourg Illustré d'avril 1957 avait dit les peines et les joies, va émigrer bientôt de sa mai¬

son fièrement campée sur les falaises de la Sarine pour s'en aller occuper les bâtiments qui viennent de s'élever dans le voisinage de l'ancien asile des aveugles du Jura, sur les pentes de la colline dominant Chamblioux, au milieu d'une campagne luxuriante.

Nous présentons aujourd'hui brièvement ces constructions hardies, dues à la générosité d'insti¬

tutions et de bienfaiteurs insignes. Elles compren¬

nent deux bâtiments, le plus vaste pour les servi¬

ces généraux, l'autre pour les classes et ateliers reliés entre eux par un préau couvert. Mais voici d'autres caractéristiques :

£

L'aspect de navire de haut bord de cet ensem¬

ble architectural sobre, aux volumes équilibrés dégageant une grande harmonie ;

Son orientation. Au lieu de la façade classique¬

ment tournée vers le sud, avec groupement des dégagements et installations sanitaires au nord glacé, ici les façades sont orientées à l'Est et à l'Ouest. Solution rare chez nous, mais qui permet une distribution extrêmement avantageuse des locaux, avec chaleur ou fraîcheur modérées, et maximum de luminosité. Car c'est là encore une caractéristique : cette maison vouée à l'infirmité la pjus tragique, la cécité, est pénétrée de toutes parts par la lumière. Tout est ample, solide bien construit. Nous avons l'occasion dans le reportage que nous consacrerons, probablement d'ici deux mois, à l'inauguration, de dire le mérite des archi¬

tectes MM. Rosset et Matthey en collaboration avec M. Korner Max, à Lucerne, et l'entreprise générale et tant d'artisans dont les raisons socia¬

les figurent dans ces pages. Merci chaleureux à tous : Rdes Sœurs du Sonnenberg, bienfaiteurs, artisans, qui contribuent chacun à sa façon, à édifier cette œuvre de miséricorde.

(Photos J. Mülhauser)

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pétrolifères, de les localiser, de façon à pouvoir choisir le lieu où effectuer le premier forage profond. Lequel peut aller au delà de 4.000 m. A raison de 500 fr. le mètre cou¬

rant de sondage, il est loisible à chacun de calculer le prix de l'opé¬

ration. Or il faut le répéter sans se lasser, afin de ne pas se laisser aller à l'illusion de la découverte prochaine et facile... du coup de chance, les forages pro¬

fonds — il en faut en moyenne 2 à 3 par structure pétrolière caractéristique — diront seuls s'il y a des hydrocarbures t>u non, et si la quantité trouvée est exploitable commercialement ou pas.

Pour l'instant, la recherche sismlque consiste à multi¬

plier les explosions à faible profondeur, afin de provoquer des ondes de choc aller-retour selon le principe du radar.

Ces ondes sont captées par les géophones, appareils minus¬

cules disposés en surface de part et d'autre du centre d'explosion.

Les géophones sont reliés à la camionnette-laboratoire qui enre¬

gistre sur film à développer sur place immédiatement, et sur fil ma¬

gnétique à interpréter électroniquement en laboratoire fixe. A chaque phase de la recherche, qui s'exécute non pas au hasard mais selon un plan rigoureux, géophysiciens et géologues se penchent sur les matériaux recueillis et en scrutent les mystérieuses concordances.

La conclusion

D'une visite sur les lieux, on peut conclure ceci : l'explosion ne projette en l'air qu'un mélange de terre et d'eau, l'eau ayant été introduite artificiellement pour faci¬

liter l'opération ; l'endroit choisi pour l'explosion n'est pas indicatif de présence de pétrole dans le voisinage. Le pays va être soumis à un véritable «quadrillage». Seule l'ensemble des réactions géophysiques permettra de situer les régions de plus grande chance. Ce n'est pas pour demain, ni pour le mois prochain.

La chronique du pétrole

La recherche «sismique» a commencé

Une explosion

On entend le bruit assourdi d'une explosion. Le sol tremble. Puis jaillit un jet puissant de liquide noirâtre. Je demande au garçon venu de la ferme voisine : « C'est du pétrole ? ». Il répond du tac au tac : « Non, c'est de la terre et de l'eau ». Nous venons d'assister à l'une des explosions pro¬

voquées dans la région de Montagny, en bordure de la plaine de la Broyé.

C'est une société anglaise spécialisée dans ce genre de travaux, qui a déjà travaillé dans les cantons de Genève et du Tessin,

qui explore ainsi le territoire fribourgeois.

La recherche gravimétrique

Ce faisant, elle reprend les recherches qui, de 1951 à 1953, s'étaient étendues aux deux tiers du canton. Il s'agissait alors de mensurations gravimétriques. On déterminait, au moyen d'appareils promenés à la surface du sol, le poids (la densité) des couches rocheuses sous-jacentes jusqu'à des profon¬

deurs de 3.000, 4.000 et même 5.000 m. Ces recherches avaient confirmé alors les suppositions des géologues et firent

conclure à la possibilité sérieuse de découvrir des gaz de pétrole ou des

bitumes.

La recherche sismique Il s'agit maintenant de

faire un pas de plus, de situer par d'autres mé¬

thodes plus précises la présence de gîtes

Nos Dhotos de gauche en haut à droite en bas : 1, On roule la charge de dynamite.

2. Introduction de la charge dans le trou de mine d'une profondeur pouvant varier de 10 & 50 m.

S. L'explosion fait jaillir un geyser de boue.

4. Premier examen de la bande enregistreuse sortant toute mouillée du laboratoire mobile.

(Photos Millhauser)

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La coupe «Sateg 1959»

Nous devons à l'entreprise Sateg et plus parti¬

culièrement à son directeur M. César Tacchini la réalisation de cette compétition corporative. Sa for¬

mule et son organisation impeccable suscitèrent l'enthousiasme des participants et l'admiration du public. 12 équipes se succédèrent sur la scène de ce championnat qui se termina par un duel acharné entre les Fonctionnaires d'Etat et la formation vic¬

torieuse des Entreprises Electriques.

Fribourg III, champion fribourgeois de IV

me

ligue A l'ombre des « Grands » Fribourg III a trou.vé tout de même une place au soleil. Sans renfort de publicité cette équipe a conquis trois titres : Cham¬

pion de groupe, promotion en Illme Ligue et enfin champion fribourgeois absolu. Chapeau bas devant cette formation au sourire éternel et dont le succès se double du triomphe de la camaraderie.

De gauche à droite : Baerlswyl, Wartmann, Jaquet, Mettraux, Zwick, Meyer René, Clément, Neuhaus,

Folly, Jungo, Bloch, Meyer Paul.

L'animateur de la Coupe Sateg 1959, M. Gilbert Wicht exprime sa satisfaction lors de la remise des

trophées.

Les vainqueurs : Debout de gauche & droite : Donzallaz, Heimo, Jordan, Demierre, Aeblscher, un remplaçant, Chardonnens, Aeby et deux supporters.

A genoux : De gauche & droite : Marbacher, Jungo, Marro, Hayoz, Haymoz, Verdon.

La société de sauvetage et leurs appareils (encore insuffisants).

Société de Sauvetage du Lac de la Gruyère Au cours de son premier meeting de natation, la Société de sauvetage du Lac de la Gruyère nous a donné la preuve de ses possibilités, par les qualités physiques et techniques de ses membres.

Sous la présidence de M. Henri Clément, de Fri¬

bourg, ce groupement poursuit une activité réjouis¬

sante grâce à l'excellent esprit de camaraderie qui y règne. La valeur de cette équipe méritante à tous points de vue réside principalement dans les com¬

pétences du chef technique Marcel Brique, nageur de grand fond bien connu et dont les récentes inter¬

ventions, même en dehors de son cadre habituel rejaillissent sur la société.

L'enthousiasme de tous ses membres se double de

ce bel idéal : l'amour du prochain.

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Bientôt terminé...

En juin 1957, notre objectif avait saisi l'instant où la façade de l'Usine Thermique de la Maigrauge, dûment minée, s'effondrait. Aujourd'hui, l'agrandissement est terminé, les nouveaux réservoirs à mazout sont montés.

A la fin de l'année, les installations techniques inté¬

rieures soumises aux essais seront en état de fonction¬

ner. Et la puissance de cette usine de secours aura passé de 10.800 kVA à près de 25.000 kVA, complétant l'équipement des EEF et augmentant la régularité de leurs services. (Photos Miilhauser)

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Presse-Diffusion, Lausanne.

C'est bientôt la chasse

Alors, ne faites pas comme ce lord anglais, détestable tireur. Il part en chasse avec deux chiens et un cent de cartouches. Deux heures plus tard, 11 rentre au château. Sa noble épouse s'étonne :

— Oh ! cher ami, vous avez déjà tiré vos cents cartouches ?

— Les cent cartouches, non, dit le lord. Mais les deux chiens, oui !

De mal en pis

Alfred entre dans la boutique de son ami Paul, marchand de confection pour dames.

— Comment vont les affaires ?

— Mal, mal ! hier je n'ai vendu qu'une seule robe...

Et aujourd'hui, tu n'as rien vendu ?

— Oh! pire, la cliente d'hier-m'a rapporté sa robe.

Le meilleur conseil

A un journaliste qui lui demandait quel était le meilleur conseil qu'il ait reçu de sa vie, le général Eisenhower a répondu : « Celui d'épouser ma femme ».

Et comme le reporter reprenait : « Qui vous l'a donné ?» le président a précisé : « Elle bien sûr ! »

Dans une réception

La dame très décolletée s'approche du médecin invité et lui demande comment soigner son en¬

rouement :

— Très facile, Madame, au moment de vous coucher, habillez-vous !

Lucien, six ans, va avoir un petit frère ou une petite sœur. Sa maman lui demande ce qu'il pré¬

fère. Il répond sans hésiter : « Je préfère un petit cousin... »

La

jeunesse et

la vie

Photo Mülhausen

TROIS IMAGES Elles sont bien différentes. Chacune cependant accuse une même qualité de l'esprit et du caractère.

A gauche en haut. Une œuvre toute récente du sculpteur Antoine Claraz, placée devant l'étonnante église de Cottens : un saint Christophe dynamique qui porte l'Enfant Jésus qui porte le monde. Vision d'art classique et très moderne d'esprit. Nous avons là, à Cottens, une rencontre particulièrement harmonieuse de la religion et des arts majeurs l'architecture et la sculpture.

Le présent et l'avenir nouent solidement au passé. Tout est tradition, mouve¬

ment et vigueur. Sans oublier les autres manifestations artistiques de ce lieu privilégié. Jeunesse ! tu as là une option. A toi

de la saisir et de faire avec !

A droite en bas. Autre vision : une plate-forme de lancement de fusée au cap Carnaveral, en Floride. Cette fusée est la sœur de celle que les Etats-Unis viennent de placer sur son orbit« et qui tournera pendant un an autour de la terre, A raison de deux tours par jour. Elle contient et résume en elle tout ce que la scietite moderne a su inventer et construire, redécouvrant en quel¬

que sorte pas à pas le processus merveilleuse¬

ment intelligent de la création. Jeune technicien ! est-ce que le pouvoir souverain de la science te tente ? Veux-tu, toi aussi, t'engager dans l'aven¬

ture si noble de la découverte, qui exige une discipline et un labeur inlassables ?

A droite en fiaut. Un produit d'élevage : Alpin, élevé à Treyvaux et actuellement à Villarsel- sur-Marly. C'est un animal de grande perfection qu'attestent ses 97 points, son allure racée et ses 1300 kg. Il est l'expression dernière d'une sélection entreprise depuis des siècles, mais plus marquée depuis quelques années comme si l'éle¬

vage participait soudain à l'accélération moderne de toutes choses. C'est le résultat du travail de l'homme combinant et attentif aux lois biologi¬

ques, agissant par le fait même comme le disait le poète Mistral « de moitié avec Dieu ». Jeune paysan fier et libre ! ne crois-tu pas que ça vaut la peine de poursuivre l'œuvre des anciens 7 Ainsi trois images ! Sans rien de commun appa¬

remment ! Pourtant chacune, à sa manière, témoigne du génie inventif de l'homme et de sa marche ascendante vers la beauté et la grandeur.

Il y a la jeuness« et l'amour... il y a aussi l'amour de cela, la volonté de s'intégrer dans le mouve¬

ment du monde moderne qui, par ses manifesta¬

tions prodigieuses, rapproche l'homme du souve¬

rain Maitre Créateur du monde.

De « Sélection »

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La Société de musique

Saint Lambert ^ de Schinvelt

à Tavel

L'année passée, c'est l'excellente fanfare de Tavel qui s'en était allée au pays des tulipes. Cette fois, la fanfare amie rend la visite au milieu des acclamations. Et le directeur hollandais, nous allions dire « le

capitaine », salue.

un véritable vacherin à fondue

Recette pour la fondue au vacherin

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Couper an dés 200 b 300 gr. de vacherin par personne. Frotter l'intérieur du caquelon avec une pousse d'ail. Verser un '/« verre d'eau chaude par 300 gr. Chauffer le caquelon à feu frès doux. Ecraser et remuer le vacherin avec une fourchette. Surtout, ne pas laisser cuire. Si la fondue est trop épaisse, ajouter un peu d'eau chaude par petite quantité.

Poivrer et saler selon les goOts. On peut aussi y ajouter un peu de kirsch.

Variant* :

Enclencher le potager sur «maximum». Laisser chauffer le caquelon. Verser l'eau et attendre qu'elle bouille. Ajouter le vacherin et couper lé courant. Remuer jusqu'à ce que la fondue soit

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