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Expositions permanentes des colonies françaises

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PA M. Jules Gfeller Berne

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième année. — N0 39

P r i x du numéro 10 centimes

Mercredi 11 Mai 1892

B u r e a u x : R u e Neuve, 19

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Un au : Six mois : Suisse . . 6fr. 3 fr.

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O r g a n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e e i n d u s t r i e s d u J u r a i , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Expositions permanentes des colonies françaises

Le sous-secrélaire d'Etat des colonies a décidé la création, dans chacune des possessions françaises d'outre-mer, d'une exposilion permanente des produits de l'industrie métropolitaine. Cette création a pour but de faire connaître et apprécier les produits nationaux et d'arriver à les substituer dans la consommation aux ar- ticles étrangers facilement accueillis dans les colonies et dont plusieurs sont sou- vent de simples contre-façons de la fabri- cation indigène. L'exposition d'objets d'origine authentique aura d'abord pour résultat, dans l'esprit des initiateurs de ces expositions, de dévoiler les fraudes de cette nature, et surtout d'introduire et de vulgariser dans ces pays les goûts et les modes de la mère-patrie.

Ces expositions, organisées sous le pa- tronage des administrations locales et avec le concours des chambres de com- merce, doivent être installées dans les dépendances d'édifices publics spéciale- ment aménagées à cet effet. Elles com- prendront les articles, échantillons, mo- dèles, albums, prix-courants qui seront fournis par les industries de la métro- pole.

Comme on peut le constater dans maintes circonstances, les pays qui nous entourent· ne négligent rien pour assurer à leurs industries nationales, la plus large part possible dans la consommation des marchés d'exportation, fournissant ainsi la meilleure preuve que dans ce domaine, comme d'ailleurs dans tout ce qui touche à la prospérité de la nation, l'initiative individuelle a besoin d'être appuyée par le concours effectif de l'Etat.

La concurrence allemande à l'étranger Souvent déjà, nous avons eu l'occasion de signaler, d'après les rapports des chambres de commerce françaises à l'é- tranger, le développement de la concur- rence allemande sur tous les marchés d'exportation. La chambre de commerce française à Rome, daris .son dernier rap- port, (ait les réflexions suivantes :

« D'abord l'Allemand vend à meilleur compte; il offre des facilités de paiement tout à fait en dehors des habitudes du com- merce (paiement à deux ans) et quand il s'a- git de prendre la place pour un article, il ne craint pas de sacrifier une certaine somme, et de donner Ia marchandise au-dessous de ce qu'elle lui coûte réellement. Par ce rabais il force l'acheteur à délaisser ses anciens cor- respondants, et, quand il se trouve maître de la situation, quand il a évincé ses concur- rents, il relève ses tarifs et reprend vite l'ar- gent qu'il a abandonné; cette opération n'est pour lui qu'un prêt à fort intérêt fait à l'ache- teur.

« De plus, outre ce mode d'agir, et en ne faisant qu'indiquer les imitations de produits français qui trompent l'acheteur, si je puis dire ainsi, d'une façon honnête et légale, l'Allemand s'empare du marché en pesant directement sur le vendeur. Les jeunes Alle- mands sont nombreux à Rome, on les trouve dans tous les magasins un peu importants.

Leur service est parfait ; petit à petit ils pren- nent la confiance de la maison et détournent au profit de leurs correspondants allemands, avec lesquels ils sont toujours en relation, auxquels ils fournissent les renseignements les plus précis, le courant d'achats qui était dirigé autre part.

« Les chambres de commerce allemandes sont d'ailleurs, il faut le reconnaître, bien mieux outillées, bien mieux soutenues que celles des autres pays; elles font un grand déploiement de circulaires, de rapports, de renseignements de tout genre, et sont très habiles à mettre en vedette tous les avanta- ges que leurs produits offrent au commerce.

C'est à la réunion de ces divers facteurs que le commerce allemand doit d'avoir pris un si

grand développement, et ce, au détriment du commerce français qui, presque seul aupara- vant, alimentait Rome.

« Si nous voulons reprendre notre ancienne place, autant toutefois que les nouveaux ta- rifs et les modifications du commerce géné- ral nous le permettent, il faut qu'à tout prix nous imitions les Allemands. Créons de nou- veaux débouchés s'il est possible; gardons par tous les moyens, et même au prix de quelques sacrifices passagers, ceux que nous avons; inquiétons nous de donner toujours des marchandises de première qualité, ce que ne font pas nos concurrents; faisons une plus grande publicité à l'étranger par le moyen des chambres de commerce françaises qui sont l'instrument le mieux adapté à cette lutte pacifique; suivons les goûts des popu- lations que nous avons pour acheteurs au lieu de chercher à îeur imposer les nôtres, et nous arriverons peu à peu à reprendre notre place dans le commerce de Rome. Ce ne sera peut-être pas la situation prépondérante d'il y a vingt ans, mais ce sera une de ces posi- tions qui donnent à la fois au commerce français honneur et profit. »

Il y a certes beaucoup à prendre dans les renseignements de la chambre de commerce française de Rome, notam- ment en ce qui concerne l'outillage des chambres de commerce allemandes et l'activité qu'elles déploient pour obtenir la suprématie de l'Allemagne sur les mar- chés d'exportation. En ce qui concerne le commerce de l'horlogerie, il y aurait beaucoup à faire dans cette direction.

Mais ce que nous ne saurions recom-

mander à nos exportateurs horlogers,

c'est l'excessive facilité qu'accorderaient

les marchands allemands au point de vue

des paiements et les prix bas, ne com-

portant, au début, aucun bénéfice, grâce

auxquels ils réussiraient à supplanter leurs

concurrents. Nous sommes payés pour

savoir que la manie des crédits exagérés,

tant à l'intérieur qu'au dehors, qui s'est

peu à peu introduite dans nos méthodes

commerciales, a été la cause d'une quan-

tité énorme de débâcles et qu'on peut lui

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*.

162 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

attribuer, pour une large part, l'état de crise presque permanente qui est le nôtre.

Une chose est absolument certaine ; c'est que les bénéfices que nous réalisons sur la vente de nos montres ne compor- tent pas les risques résultant des crédits à long terme. De plus, comme nos expor-

tateurs sont, dans la plupart des cas, en concurrence enlr'eux et ne rencontrent que rarement des exportateurs d'autres pays producteurs, il n'y a pas à arguer des nécessités de la concurrence, pour en arriver à éloigner les limites du crédit au delà de toute prudence et de toute sécu- rité.

Cette réserve faite, il nous a paru inté- ressant de mettre sous les yeux de nos lecteurs cet exposé de la méthode alle- mande en matière d'exportation.

- S 2 — —

S u i s s e e t I t a l i e

La crise ministérielle d'Italie n'a pro- duit au Palais fédéral aucune crainte re- lativement à la mise en vigueur du traité de commerce jlalo-suisse.

Dans les sphères officielles on pense même que le nouveau ministère aura plus de facilité à vaincre dans la Cham- bre italienne l'opposition, s'il venait à s'en manifester au sujet de la ratification du traité.

L e d r o i t a u t r a v a i l

reconstitution du vignoble, l'exploitation des carrières ou des forêts, la construction de chemins de fer régionaux, tels que ceux du Pied-du-Jura ou du Gros-de-Vaud.

Le rapporteur de la commission, M.

Delessert, a admis très catégoriquement le droit au travail, considérant comme une monstruosité de refuser de l'ouvrage à l'ouvrier plein de bonne volonté qui a une femme et des enfants à nourrir, qui a horreur de la fainéantise et ne désire qu'utiliser ses forces.

Le National suisse, qui consacre un article de fond aux débats qui ont eu lieu au Grand conseil vaudois sur cet intéres- sant sujet, fait ressortir ce qu'a d'irréali- sable la prétention de certains groupes d'ouvriers qui interpréteraient le « droit au travail » dans ce sens que l'Etat de- vrait leur garantir du travail dans la pro- fession qu'ils exercent.

Les idées émises par Ia commission vaudoise sont plus pratiques et par con- séquent plus susceptibles d'être appli- quées.

P r o t e c t i o n n i s m e f r a n ç a i s

Le Grand conseil vaudois a eu récem- ment à s'occuper du rapport d'une commission spéciale résumant ses vœux comme suit sur la question des « chan- tiers de travail ».

L'Etat devrait élaborer à l'avance le devis de grands travaux, qu'il ferait exécuter dans les époques critiques.

Chaque année, une somme serait portée à un fonds de réserve cantonal en cas de crises.

L'Etat engagerait les communes à organi- ser les travaux publics de la même façon que ses propres travaux.

Les compagnies et les grandes entreprises industrielles seraient invitées à seconder les efforts de l'Etat, |en procédant comme lui en matière de travaux.

Il y aurait lieu de mettre à l'étude l'intro- duction d'industries nouvelles.

Il serait sage d'accorder des primes et des subsides aux communes construisant des habitations ouvrières, établissant des bains publics, des lavoirs couverts, etc.

Il faudrait s'entendre avec les cantons voisins pour fixer le prix moyen de certains travaux.

Il serait désirable d'obtenir de .la Confédé- ration, qui ne s'appauvrit pas et qui aug- mente le nombre de ses monopoles, qu'elle s'efforce de répartir ses travaux entre tous.

Pour chaque région du canton de Vaud, il y aurait lieu d'entreprendre les travaux en rapport avec ses intérêts spéciaux; ainsi, la

Le nouveau tarif des douanes, qui com- mence à peine à entrer dans sa période nor- male d'application, donne d'assez sérieux déboires; pour le seul mois d'avril, son ren- dement est inférieur de 2,300,000 fr. aux évaluations budgétaires, et, qui pis est, infé- rieur aussi de 1,100,000 fr. aux recettes cor- respondantes de 1891.

Ce mécompte va déranger étrangement les calculs de M. Méline. Il y a quelques jours à peine, le député des Vosges, à la façon de la jolie Perrette de la Fable, énumérait com-

plaisamment dans un discours tous les em- plois que l'on pourrait faire des recettes douanières pour le plus grand bien du pays : c'est avec elle qu'on ι gagé, dès cette année, la réferme des tarifs de chemins de fer; avec elles encore on pourra dégrever les boissons, supprimer les octrois, que sais-je enfin'? tout ce que l'imaginauon financière la plus déver- gondée peut rêver de réformes utiles... Et le pot au lait se brise soudain : non seulement on n'entrevoit point pour l'avenir ces mer- veilleux excédents, mais, dans le présent même, on se demande avec angoisse si l'on aura de quoi faire face aux dégrèvements déjà concédés au pays.

T r a i t é s de commerce

Espagne. — On confirme au département du commerce que les négociations avec l'Es- pagne suivent une inarche difficile, ce pays subordonnant ses concessions à son entente avec la France.

Lt\s négociations entre les gouvernements anglais et espagnol, pour la conclusion d'un traité de commerce, ont échoué définitive- ment. Les délégués anglais repartent diman- che. Lord Salisbury estime que les négocia- tions avaient démontré que l'Espagne n'est pas disposée à faire des concessions suffisan- tes en échange des réductions qu'elle deman- dait pour ses raisins secs, et pour ses vins surtout.

Il paraît que les négociations ont échoué parce que l'Espagne prétendait non seule- ment exclure de la convention anglo-espa- gnole la clause de la nation la plus favorisée, mais surtout parce qu'elle ne voulait faire que des concessions insignifiantes au-dessous de son tarif minimum pour une vingtaine d'importations britanniques. A partir du 1e r juillet, les importations anglaises seront frappées de droits maxima comme celles de la France.

NOUVELLES DIVERSES

D r o i t i n t e r n a t i o n a l . — Donnant suite au désir exprimé par l'Institut de droit inter- national, le Conseil fédéral s'est déclaré prêt à faire, selon les circonstances, des démar- ches diplomatiques pour la création d'une union internationale qui aurait pour but de publier tous les traités et conventions con- clus entre les divers Etats.

C h a m b r é e f é d é r a l e s . — La liste des tractanda pour la session parlementaire fédé- rale qui s'ouvre le 30 mai, contient de nom- breux objets parmi lesquels : Renouvellement des bureaux; rapport de gestion et compte d'Etat; traité de commerce avec l'Italie; con- vention avec l'Allemagne pour la protection industrielle; bâtiment duParlement; diverses constructions d'édifices administratifs ou pour le service des postes et télégraphes;

réorganisation judiciaire; monopole des allu- mettes; frais de l'intervention tessinoise; pé- tition pour la réglementation de la vente du pain ; recours ; affaires de chemins de fer, parmi lesquelles les projets du Cervin et du régional Tramelan-Breuleux-Noirmont ou Tramelan-Breuleux-Saignelégier-Goumois.

S i t u a t i o n f i n a n c i è r e e n I t a l i e . — La Capitale dit que, malgré les mesures prises par le ministre des finances dans le but d'éviter la sortie de l'argdnl et de l'or à Milan, Gênes, Rome, Turin et Naples, le petit commerce se trouve dans la plus grande gêne par suite du manque de monnaie métal- lique.

E x p o s i t i o n d e C h i c a g o . — Deux cents ouvriers des constructions métalliques des bâtiments de l'exposition de Chicago s'étant mis en grève, on avait fait venir pour les remplacer des ouvriers du dehors; mais, à l'arrivée du train amenant ces derniers, les grévistes ont attaqué leurs remplaçants. La police a dû charger; il y a eu quelques dé- gâts matériels et quelques blessures sans gravité. On craint que les désordres ne se renouvellent.

R é p u b l i q u e A r g e n t i n e . — Le Stan- dard de Buenos Ayres a publié des rensei- gnements qui mettent dans un jour singulier les pratiques en usage dans l'administration argentine des douanes. Il affirme que les éva- luations officielles des marchandises, tant importées qu'exportées, ont été énormé- ment exagérées, les premières de 50 %, les secondes de plus de '20%. C'est ainsi que le sucre a été, au cours de ces trois dernières années, évalué par les autorités douanières à 190 dollars la tonne, alors que son prix ac- tuel sur le marché de Buénos-Ayres a été en moyenne de seulement 80 dollars : l'exagéra- tion dans l'appréciation est ici de plus de 100%. Ceci n'est qu'un exemple entre beau- coup. Le résultat de cette conduite a été que les documents officiels de la République ar- gentine évaluent les importations des trois dernières années à 373,500,000 dollars, tan- dis que leur valeur exacte ne devrait être

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• . • ι .

LA FÉDÉRATION HOKLOGERE SUISSE

163

fixée qu'à 249,500,000. La valeur des expor- tations a été également exagérée, et grossie de 64,000,000 dollars.

Procédés industriels

A t t a c h e «le c o r d e s s a n s fin. — Pour nouer les· deux extrémités d'une corde de tour et en faire une corde sans fin, on em- ploie généralement deux moyens: on les rat- tache par un nœud (le nœud le plus ordinaire est celui dit du tisserand), ou on ajoute à chaque extrémité de la corde un pelit tube d'acier taraudé à l'intérieur et terminé l'un en boucle, l'autre en crochet. Le premier procédé ne peut convenir pour des opérations délicates, car le nœud, quelque bien fait qu'il soit, donne des soubresauts; quant au se- cond, on n'a pas toujours sous la main un crochet convenable et son agrafe. Voici un troisième procédé fort commode : on prend un fil d'acier, souple, et par conséquent d'un diamètre pas trop grand ; on le contourne en hélice, dont l'intérieur soit un peu plus petit que la grosseur de la corde à boyau que l'on veutemployer. On trempe et on revient bleu.

On aiguise, ou on forme un peu en pointe, chaque bout de la corde, que l'on taraude à orce dans chacune des extrémités de l'hélice,

longue ordinairement de quelques milli- mètres. Pour obtenir plus de solidité, on peut chauffer rapidement l'hélice, ce qui fait un peu gonfler les bouts de corde qui y sont in- sérés. Naturellement, le sens de l'hélice doit être tel que la corde se resserre sur elle- même au lieu de se détordre.

V A R I É T É

X a v u e d e s h o r l o g e r s . — Il y a quel- que temps, un oculiste de Breslau (Silésie), M. le Dr Cohn, visita les yeux de 75 horlogers et constata qu'à peine 5 pour cent d'entre eux étaient atteints de myopie. Ge résultat permet d'admettre que l'usage de la loupe est un excellent remède contre cette affec- tion. Le D1' Cohn visita ensuite également les yeux de 50 ouvriers d'une fabrique d'horlogerie de Fribourg (Bade), qui avaient travaillé pendant quatre ans, sans loupe, les parties fines des montres, et le résultat de cette visite fut encore plus favorable que !e premier, car deux de ces ouvriers à peine avaient les yeux un peu affaiblis. Le D1' Cohn en conclut que le métier d'horiqger n'est nullement préjudiciable à la vue, car les ex- périences qu'il avait faites à diverses reprises

avaient établi que chez les étudiants la myo- pie atteignait 75 pour cent d'entre eux, chez les typographes 51 pour cent et chez les litho- graphes 37 pour cent. Résultat général : lire, écrire, dessiner, etc. sont des occupations beaucoup plus nuisibles à la vue que le tra- vail d'objets fins, mais immobiles, comme c'est le cas pour l'horlogerie.

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MARQUE DE F A B R I Q U E D É P O S É E

F a b r i q u e d ' E b a u c h e s e t F i n i s s a g e s à r e m o n t o i r e n q u a l i t é s o i g n é e , o r g a n i s é e s p é c i a l e m e n t p o u r l a f a b r i c a t i o n d e s c a l i b r e s p a r t i c u l i e r s e n t o u s g e n r e s , r e s t a n t l a p r o p r i é t é d e s c l i e n t e .

Tous nos mouvements 3/4 platine remontoir en vue, calibres particuliers et autres, sont dès maintenant pourvus d'un arrangement pour enlever le barillet sans démonter la 3/4 platine, breveté en Suisse sous le n° 4148 et tous nos calibres ainsi modifiés sont déposés à Berne. —- Les fabriques qui ont copié l'un ou l'autre de nos calibres, et qui auraient envie d'en faire autant pour cette amélioration, sont avisées que nous les poursuivrons rigoureusement. — Nous avisons également Messieurs les établisseurs pour les sauvegarder contre les éventualités désagréables qui pourraient résulter

pour eux d'utiliser des contrefaçons.

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s i Outre les calibres particuliers nous fabriquons, entre autres, les calibres dont nous donnons ci-bas le3 clichés, savoir : Calibre ψ platine remontoir en vue ancre

ligne droite, fabriqué en qualité soignée en t2'/8, 19, 20 et 21 lig. Verre et savonnette 51 EJ

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Se méfier des contrefaçons de qualité inférieure.

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464 LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE

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