A NNALES DE L ’ UNIVERSITÉ DE G RENOBLE
F ORTRAT
René Gosse (1883-1943)
Annales de l’université de Grenoble, tome 21 (1945), p. 7-15
<http://www.numdam.org/item?id=AUG_1945__21__7_0>
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René Gosse (1883-1943)
L’assassinat du
Doyen
GOSSE, le 2 décembreio43,
a été commispendant
lapériode
de terreur que les Allemands ont faitrégner
sur larégion
Grenobloise.Sa famille avait tenu, pour éviter toute
possibilité
d’incident, à ce que sesobsèques
se passent dans laplus
stricte intimité ; ses amis et sescollègues
n’ontdonc pas pu lui rendre à ce moment les honneurs
qu’ils
lui devaient. Ils ontprofité
de son anniversaire pour rendrehommage
à sa mémoire.Le 21 décembre ia44 ils se sont réunis dans
l’Ampithéâtre
de l’Institut Fourier dans une cérémonie où le Gouvernementprovisoire
étaitreprésenté
par M. Yves FARGES, Préfet
Régional,
et par M. REYNIER, Préfet de l’Isère,qui
entouraient Mme René GOSSE et Mme Jean GossE, avec M. LAFLEUR, maire de Grenoble, M. le recteur PIRISELLE, de nombreuses
personnalités,
lesprofesseurs
des Facultés et de nombreux étudiants.
Au cours de cette cérémonie, trois allocutions ont été prononcées, l’une par M. Yves FARGES, au nom du Gouvernement
provisoire,
l’autre par M. FORTRAT.au nom de la Faculté
qui
n’avait pas encore élu sonDoyen,
et la 3e par M. MARTEL, ancien élève duDoyen
GossE, au nom des étudiants.A l’issue de la cérémonie des
délégations
des amis de GossE, de la Faculté etdes étudiants se sont rendues sur sa tombe
accompagnées
par Mme René GossE,et Mme Jean GOSSE.
Le 22 décembre la
municipalité
de Grenobleinaugurait
laplace
duDoyen
GOSSE située entre l’Institut Fourier et l’Institut
Polytechnique.
Discours
prononcé
à la cérémonie anniversaire de l’assassinat duDoyen GOSSE,
le 21 décembre1944,
àl’amphithéâtre
del’Institut
Fourier,
par M. le Professeur FORTRAT.Un an
déjà
s’est écoulédepuis
la sinistrejournée
où serépandait
l’affreuse nouvelle de l’assassinat du
doyen
GOSSE et de son fils Jean.La
surprise
et la douleur ont étéparticulièrement
vives dans cettemaison et dans l’Institut
Polytechnique
voisin où il n’est pas unepierre,
pas uneorganisation qui
neportent
sontémoignage toujours
8
vivant.
Depuis
i5 ans ils étaient ses maisons et tout le travailqui s’y
estaccompli
s’est effectué dans sonsillage.
Ne
aClcrmont-1 Hérault,
dans ledépartement
de1 Hérault,
en1883,
il eut dans cettepetite
ville unejeunesse ardente,
à la foisstudieuse et
gaie,
où il s’intéressa ù tous lesaspects
de l’activitéhumaine. Fils d’un
professeur
aucollège
deClermont,
il s’orientait de bonne heure vers l’Ecole normalesupérieure
où il entra en1904;
c’est là queje
fis sa connaissance et quenaquit
une amitiérenouée
lorsque
nous nous retrouvâmes à Grenoble etqui
devait sepoursuivre
sans aucune ombrejusqu’à
sa fintragique.
Agrégé
en 100~,il enseigna
lesmathématiques
auxlycées
deMontluçon,
de Rennes, de Rochefort et de Bordeaux où lesurprit
la guerre de
1914.
Ilrépondit
àl’appel
du pays avec cet enthousiasmequi accomplit
le miracle de la Marne. Partisimple sergent
d’infan-terie,
il nepouvait
pas resterlongtemps indemne,
il s’en tirait enseptembre ici4
avec une blessure heureusementguérissable,
maisqui
devait néanmoins le faire réformer.C’était le moment où
l’état-major commençait
àcomprendre
que la guerre était uneentreprise technique
danslaquelle
il avait sous-estimé la valeur du matériel. Il
s’apercevait
que celui-ci devait êtreperfectionné
sans cesse,qu’il
fallaitprévenir
l’ennemi ou tout aumoins parer ses inventions. On sait que le succès fut dû pour une
grande part
àl’ingéniosité
de nos inventeurs aidés par nos savants.René
Gosse, indisponible
pour les forcescombattantes,
futdirigé
vers les services
techniques
de l’armée.Après
avoirapporté
unecontribution
importante
aurepérage acoustique
desavions,
encollaboration avec Jean
Perrin,
il devint directeur de l’Ecole d’écoute deSaint-Cyr, puis directeur-adjoint
des Servicestechniques
duministère de la Guerre. C’est dans cette
fonction, qu’en
liaison avecses maîtres Paul Painlevé et Emile
Borel,
ilapporta
uneimportante
contribution à la création de l’Office de recherches et inventions
qui
survécut à la guerre et devint le Centre national de la recherchescientifique
où Gosseprit
tout naturellementplace
au Comité dedirection.
La guerre
terminée,
ilreprit
ses fonctions aulycée
deBordeaux,
où il termina sa thèse de doctorat en 1921 et fut presque aussitôt nommé maître de conférences à la Faculté des sciences de Grenoble.
C’est la que sa carrière devait
prendre
lemagnifique
essor que nousne pouvons
évoquer
sans unegrande
admiration : Professeur titu- laire en1923, doyen
en 1927, directeur de l’Institutpolytechnique
et de l’Ecole de
papeterie
en1028,
lllcmhre de tous lesgrands
Conseils de
l’enseignement supérieur :
du Conseilsupérieur
et desa section
permanente,
du comité consultatif.Dans
sonéloquence,
cette énumération ne nous donnequ’une
idée
imparfaite
de ce que Gosse sut réaliser. Il réunit à lui seul les activitésqui
auraient suffi à occuperplusieurs
hommes car il futtout à la fois
professeur,
savant,administrateur, politique,
etplus simplement
un hommecomplet
avecl’acception
laplus
vaste et laplus généreuse
du mot.Professeur,
ses étudiants l’ontparticulièrement pleure
car aveclui ils
perdaient
à la fois un excellent maître et un amiprécieux ;
iln’enseignait
pascx-cathedra, il
avait horreur dudogmatisme
et saparole,
même dans lelangage mathématique,
nequittait
pas le ton de laconversation,
allant tout droit del’intelligence
du maître àcelle de l’élève. Pas de texte
préparé
à l’avance, bien aucontraire,
dans le silence recueilli de ses cours, Gosse suivait toutes les réac- tions des auditeurs dans le
regard
et legeste :
les traits tendusindiquent
unedimculté,
il fautsimplifier, peut-être
revenir enarrière,
recommencer ensimplifiant jusqu’à
cequ’une
détenteindique
lacompréhension.
Gosse avait l’habitude de
parler
enpublic,
mais les annéespassées
dansl’enseignement
secondaire lui avaient donné le senspédagogique,
il était un de cesmathématiciens, trop
rares enFrance, qui,
aimant lesmathématiques purement spéculatives,
comprennent
que pour leplus grand
nombre elles doivent être unoutil de travail et son
enseignement
neperdait jamais
de vue ledomaine des
applications.
L’élégance
et la clarté de saparole
réalisaient ceprodige
de rendrepossibles
des conférences augrand public
sur dessujets
de mathé-matiques.
Aussi était-il un conférencier trèsapprécié
et si Grenoble l’a peu connu sous cejour, beaucoup
d’autres villes ont eu ceprivi- lège : Nice,
au Centre d’étudesméditerranéen, Prague, Rome,
lesBalkans,
laRussie, l’Espagne
etje
crois bien tous les paysd’Europe
l’ont entendu.
Mais s’il savait se mettre à la
portée
d’un auditoireétendu,
Gosse consacrait ses moments de loisir à des étudesmathématiques
transcendantes ;
il attendait les vacances pour se livrer à sesrecherches parce que celles-ci
exigent
un recueillement et une tensiond’esprit
absolus. Par momentsaussi, lorsque l’inspiration l’y
10
invitait,
ilpassait
ses nuits à sa table de travail sans voir passer les heures ni penser au sommeil. Pour lui c’étaient les meilleuresheures,
celles où isolé du monde dans le silence et lanuit,
ilpouvait
concentrer son
esprit
sur unproblème
pourpréciser
son énoncé enmême
temps
que la solution.Il est bien difficile de dire en
quelques
mots ce que furent sestravaux
mathématiques.
Laplus grande partie
concerne deséqua-
tions
partielles
du second ordre à deux -variablesindépendantes,
linéaires par
rapport
aux dérivéessecondes
5 il aapporté
uneimportante
contribution à la recherched’équations
dontl’intégration complète
soitpossible.
Il a travaillé aussi dans d’autres domaines et ses dernières études
sont relatives à une
équation
établie par lephysicien
américainLangmuir
à propos de la théorie des tubesélectroniques,
mais dontla solution n’a pas été découverte. Gosse ne l’avait pas non
plus
résolue, mais il avait déterminé l’allure
asymptotique
des fonctionsqui
la vérifient. Ainsi même le savant ne se désintéressait pas desapplications
et il fautrappeler
sa collaboration aux recherches de guerre de1 g i 5 à igi8.
Mais c’est surtout comme administrateur
qu’il
était connu : ilétait le ((
Doyen
Gosse » et restera avant tout leDoyen
dans notresouvenir. Il fut élu par les
professeurs
en iQ2y,puis
fut nommé en1928
directeur de l’Institutpolytechnique
et de l’Ecole depapeterie.
Il avait été initié à son rôle administratif par son excellent ami Gau
qui
l’avaitprécédé
dans les fonctions dedoyen
et il avait trouvé dansM.
Chavanié,
secrétaire de laFaculté,
un collaborateur très averti dont lagrande expérience
des ministères lui fut souventprécieuse.
Il
dirigea
notre Faculté avec autant dedoigté
qued’intelligence,
autant de tact que de
perspicacité.
Il avait le talent de sonder et dediriger
lesopinions,
de former une unité et -une unanimitéqui, pendant
les 13 annéesqu’il
futdoyen,
donnèrent tant d’autorité à notre Faculté.A l’Institut
polytechnique,
la tâche étaitplus difficile,
car un Instituttechnique
doit évoluer pour suivre lesprogrès
industrielset
économiques.
Le directeur doit donc avoir l’attention sans cesse en éveil pour maintenir lesenseignements
au courant desprogrès
et en créer de nouveaux
quand
de nouvellestechniques
les rendent nécessaires. Il faut recruter desprofesseurs
et le choix n’est pas facilepuisqu’il
faut des hommes bien documentés etqui apportent
la
garantie qu’ils
ne se laisseront pasdépasser
par les nouveautés.Gosse eut 1 lieureuse idée de conilcr des
enseignements
à desingénieurs d’entreprises privées
et degrandes
administrations del’Etat,
à desprofesseurs
des Facultés dessciences,
de droit et même deslettres,
chacun traitant saspécialité
dans uncadre limité,
maisen toute
compétence.
Par les deux conseils de direction et de per- fectionnement, il intéressa à l’Institut des techniciens et des admi- nistrateurs émincn ls dont les directives et les conseils devaientgarantir
à nosjeunes ingénieurs
une formation conforme aux besoinséconomiques.
C’est ainsi que,
prolongeant
l’oeuvre difficileentreprise
par M, Barbillion il sut maintenir laréputation
de notre Institutpoly- technique
au niveau où l’avaitporté
sonprédécesseur
et ce n’étaitpas une chose aisée si l’on pense
qu’il
fallait dans notre coin reculéde
province,
entrer en concurrence avec lesgrandes
Ecoles de Parisqui
drainent tous les meilleurs élèves des classes demathématiques spéciales
etqui disposent
de moyens biensupérieurs.
MaisGosse, réagissant
contre lasuperstition
desmathématiques,
n’admettait pasqu’un
concours basé sur des connaissanceslivresques
et leplus
souvent
artificielles,
même s’ilpouvait
faireapprécier
lesaptitudes mathématiques, put justement
éliminer lesjeunes
gens de carrières où d’autresqualités,
d’autresaptitudes,
leurdésignent
uneplace,
etsouvent une
place
de choix.L’expérience
a montré l’exactitude de cepoint
de vue ; il suffitde
parcourir
l’annuaire de la HouilleBlanche,
association des anciens élèves de l’Institutélectrotechnique,
pour s’en rendrecompte
etapprécier
le trèsgrand
service que l’0153uvre de décentralisation de MM. Barbillion et Gosse a rendu à notre pays, à la fois à sa vie éco-nomique
et auxjeunes
gens de valeurqui
ne trouvaient pas accèsaux
grandes
écoles.A ces
Ecoles,
Faculté etInstitut,
il fallait des locaux convenableset par
conséquent
coûteux. Les Grenoblois serappellent
le sordidebâtiment de la rue du
Lycée, qui porte
encorel’inscription :
Facultédes
sciences,
Laboratoires dephysique générale
et dephysique
industrielle, qui
devrait être démoli etqu’on
ajugé
bon pour deslycéennes,
ils serappellent
le recoin de la rueCondillac, baptisé
Laboratoire de chimie par un
euphémisme exagéré,
où une cin-quantaine
dejeunes
gens étouffaient dans uneatmosphère empuantie,
où l’on ne
voyait
pas au delà de 5 ou 6 mètres ! iDepuis
25 ans nous attendions des bâtimentsadaptés
aux besoinset au
développement
de lascience,
et à l’accroissement de nos12
effectifs. Ces bâtiments existent et, s’ils ne sont pas l’0153uvre la
plus importante
dudoyen
Gosse, ils en restent le monument leplus tangible
et concret, sur laplace qui
sera demain laplace
duDoyen
Cosse,
sur l’avenue Félix-Viallet et la rueFrançois-Haoutt.
Il serait
trop long
de retracer leurhistoire,
mais les collaborateurs dudoyen
Gosse saventquelle
habileté il a fallu pour obtenir les crédits nécessaires à ces constructions et surtout pour les conserver,une lois obtenus.
Ces nouveaux bâtiments ont été conçus
modernes,
non pasluxueux,
mais confortables : ledoyen
Gossepouvait
se vanter d’avoirréalisé un ensemble
unique
enFrance,
du moins enprovince.
Et
je
n’ai rien dit de l’oeuvrepolitique !
Pourtantje
ne peux passersous silence la
répercussion qu’elle
a eue sur son rôle deprofesseur.
Gosse était
profondément démocrate,
mais il savaitqu’une
démo-cratie
exige
descitoyens
avertis. Aussi souhaitait-il que nos étu-diants, appelés plus
tard à former les cadres de laSociété,
cequ’on appelait naguère
les élites, commencent dès les bancs de laFaculté,
à s’instruire des choses sociales et de la
politique,
aussi bien inté- rieurequ’extérieure.
Persuadé que la libre discussion est nécessaireau
progrès
et même à une bonnegestion
du pays, il avait horreur des luttespolitiques
parcequ’il
était tolérant et modéré.Comment un seul homme
pouvait-il cumuler tant
d’activités et y réussir avec unpareil
succès C’estincompréhensible
pour ceuxqui
ne l’ont pas connu. Aux donsd’intelligence,
iljoignait
desqualités
essentielles de caractère :volonté,
bonté,optimisme,
unoptimisme
invinciblequ’il
avait reçu avec lejour
dans le climat ensoleillé del’Hérault, qu’aucune difficulté,
aucun échec même nepouvait
entamer, etqui
illuminait sonvisage
souriant. Il lui rendait aisées les tâches ardues etdifficiles,
il 1 aidait àentreprendre
cequi
aurait fait peur à
d’autres,
il lui donnait cette inlassablepatience qui
lui a valu tant de succès dans le rôle délicat de conciliateur etd’arbitre. Il
pratiquait
cette doctrine que touts’arrange quand
on ymet de la bonne volonté et
grâce
à elle il réalisaitl’unanimité
dansles conseils
qu’il dirigeait.
C’est
grâce
à sonoptimisme
aussiqu’il
n’ajamais
douté du salut de laFrance,
pourvu seulement que lesFrançais n’acceptent
pas la défaite et la servitude. Il s’est lancé dans la lutte secrète avec uncalme
résolu,
sans arrêter son attention auxdangers qu’il
courait.Suspendu
de ses fonctions dedoyen
en décembreig4o,
ilprotesta
13 contre le retrait de toute liberté aux Facultés,
puis
se retira autantque le
permettait
sonenseignement,
pour se consacrer à la luttecontre l’envahisseur.
Et ce fut l’enlèvement en
pleine nuit,
une balle dans la nuque, et l’ardentpatriote
étaitsupprimé
sansjugement,
sanstémoins,
par d’iniames assassins.Pour comble
d’horreur,
son fils était tué la mêmenuit,
de la mêmefaçon :
du moins pouvons-nousespérer
que nil’un,
ni l’autre n’aconnu le sort réservé à
l’autre,
etqu’ils
n’eurent pas àsouffrir,
comme tant d’autres.
Si nous sommes libérés
aujourd’hui,
c’est à tous ces sacrificesque nous le devons. Ils sont un titre de
gloire plus grand
etplus
beau que tous les autres,
qu’il
ennoblit et sanctifie. Aussi en cettetragique
veillée du 21décembre,
est-ce avec un sentiment depiété
et de reconnaissance que nous penserons à ces
héroïques martyrs qui
ont fait le don total d’eux-mêmes pour nous sauver. Nospensées
seront avec vous,
Mesdames,
car votre immense sacrifice se renou-velle sans cesse et nous ne saurons
jamais
voustémoigner
asseznotre
compassion
et notregratitude
infinies.LISTE DES PUBLICATIONS DE R. GOSSE
Abréviations : C. R. :
Comptes
rendus de l’Académie des sciences.A. T. : Annales de la Faculté des sciences de Toulouse.
J. M. : Journal de
mathématiques
pures etappliquées.
i. - Sur deux nouveaux types
d’équations
aux dérivées partielles du secondordre et de la
première
classe. C. R.(173),
p. go3.as De
l’intégration
deséquations
s =(X,
y, z, p,q)
par la méthode de Darboux. Thèse de doctorat( t g2 r ).
A. T., 3e série,12(10)21),
p. ïo6°
à ï8o. ’
3. Des
équations
aux dérivéespartielles
du second ordreintégrables
par la méthode de Darboux. C. R.(17~))
p. 1612.4. Sur les
équations
r-I-J’(X,
y, z, p, q,t)
= o. A. T. 3e série(14),
p.r 37.
5. Sur les
équations s -+-y(;r,
y, z,p, q, i~) - ointégrables
par la méthode de Darboux. C. R.(1~8),
p. 5~ 2 .6. -- Des
équations
s--~-f (x~
y, z, p, q,r)
; oqui
sont de lapremière
classe.C. R.
(178),
p. 912.7. - Détermination des
équations s =f(x,y, z,p, q, r) qui
admettent uneintégrale
intermédiaire dupremier
ordre etqui
sont de lapremière
classe. C. R.
(r~8),
p. 1680.8. -
Intégrales explicites
deséquations
s- f (x,
y, z, p,q),
de lapremière
classe
qui
admettent uneintégrale
intermédiaire dupremier
ordre.C. R.
(178),
p. 2053.g. - De certaines
équations
aux dérivées partielles du second ordreintégrables
par la méthode de Darboux. A. T., 3e série
(16),
p. T.10. - Des
équations partielles
du second ordreintégrables
par la méthode de Darboux. J. 11., ge série(4),
p. 381.ïi. - La méthode de Darboux et les
équations
s=f
y, z, p,q).
Mémorialdes sciences
mathématiques,
l’asc. XII.12. Surfaces W et surfaces à courbure constante. C. R.
(184),
p. 266.13. - Sur les
équations s=q.f(x,y,z,p).
C. l~.(186),
p.489.
t4. - Sur les
équations s = f (x, y, z, p. q)
qui admettent un invariant pourun seul
système
decaractéristiques.
l,’. Il.(t86),
p. 12Gg.i5. - Le
problème
de la déformation des surfaces. Acia mathematica( i r ),
p. 3 19..
16. -- Des invariants des
équations
s=f(X,
y, ~, lr,q).
J. ~ll., ~e série(8),
p. 3oi.
~ 7. - Détermination des
équations s = pw (x, y, z, p, q) + (x, y, z, p, q) qui
admettent une involution d’ordre 2 et une seconde involution d’ordre
supérieur.
C. R(188),
p. 853.~ R. ® De la recherche d’une
catégorie d’équations
de lapremière
classe. C. R.(~g~),
p. 1185.19. -- De
l’intégration
d’uneéquation
de lapremière
classe. C. R.(192),
p. t3.
20. - Des
équations
s=f(x,
y, z, p,rl) qui
admettent un invariant du secondordre. C. R.
(192),
p. t523.21. - Sur
l’intégration
d’uneéquation
aux dérivéespartielles.
C. R.(194),
p. 348.
22. - Sur le calcul des