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Les rapports du capital et du travail

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Vingt-septième Année. — N° 34 P r i x du n u m é r o : 10 centimes

Mercredi 1er Mai 1912 Bureaux : R u e de la S e r r e , 5 8

Un an

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3i—

Union postale s 12.— > 6.—

Les abonnements étrangers se paient d'avance

Paraissant le Mercredi et le Samedi à la Giau-de-Fonds On s'abonne à tons les bureaux de poste

ANNON6ES

20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes Ta ligne .

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambras de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels Les Consulats s u i s s e s à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold {Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Les rapports du capital et du travail

Nulle idée émise par M. Aristide Briand ne saurait être indifférente. L'ancien président du conseil vient d'écrire, pour un ouvrage, sur les actions de travail, une préface que nous nous reprocherions de ne pas signaler dit Le Temps.

M. Aristide Briand y affirme que, parmi tant de questions sociales qui sollicitent l'attention publique,- « le problème des rapports du capital et du travail demeure l'un des problèmes essen- tiels». Rien de moins douteux. On sait aussi quelles solutions brutales, quelles expropriations

violentes, quels rêves de bouleversement social ce problème suggère à certains esprits. M. Briand n'est point de ceux-là. «Tout le monde, dit-il, reconnaît que, dans le domaine économique, le progrès social ne saurait être réalisé qu'à travers une série de mesures transactionnelles, qui marqueront, en quelque sorte, les étapes de l'é- volution.» Non, tout le monde ne le reconnaît pas. Mais qu'un homme d'Etat comme M. Briand le proclame avec cette netteté, voilà qui suffit, et quelques unes des démarcations nécessaires se trouvent faites.

D'autre part, M. Briand ne croit pas à la toute- puissance de la loi, en ce domaine. Il ne semble pas de ceux qui se prosternent devant le dieu Etat. Qu'on écoute ses paroles: «Dans une dé- mocrate saine et progressive, la loi ne doit point jaillir toute prête de la baguette parlementaire, comme un festin de conte de fées. L'idée, la même meilleure, avant de se réaliser dans la législation positive, doit subir, dans l'opinion publique, une sorte de travail de gestation. Il importe que les intéressés soient appelés à préparer l'œuvre et à rassembler les matériaux dont le législateur composera la loi. En appliquant celte méthode, on éviterait peut-être certaines surprises, certai- nes incompréhensions dont notre législation so- ciale de ces dernières années à souffert. » Quel aveu? Et quelle leçon!

Celte loi elle-même, qui aura été mûrie, qui sera^ en harmonie avec les mœurs, qui sortira de l'opinion réfléchie des intéressés au lieu de prétendre lui faire violence, cette loi ne devra pas revêtir un caractère de contrainte, si l'on veut qu'elle serve les intérêts véritables du capi- tal et du travail: «La législation, s'inspirant de ces considérations, dit M. Aristide Briand, doit donc fournir aux travailleurs et aux capitalistes, sans leur imposer aucune contrainte, le moyen de constituer des associations juridiques qui as- sureront, dans la liberté des conventions, la par- ticipation des travailleurs et dés capitalistes à la gestion et au bénéfice des entreprises. » M. Briand est d'avis qu'une loi autorisant ainsi la création d'actions spéciales de travail ne pourrait qu'exer- cer une heureuse influence sur les rapports du capital et du travail.

Quand ces actions furent proposées, tant de clauses singulières les accompagnaient que nous

I

dûmes, on s'en souvient peut-être, formuler à leur égard les réserves les plus expresses. Le projet, en prenant la forme plus précise d'une disposition législative, a-t-il Jeté assez amendé pour désarmer la critique? -La circonspection même avec laquelle M. Briand en parle nous laisse sceptiques: «Je ne puis que souhaiter à votre projet, dit-il, de trouver dans l'opinion du grand public l'accueil attentif qu'il a déjà reçu des spécialistes de l'économie sociale. Sans doute quand il reviendra de voy8ge sous forme de projel de loi effectif, il aura subi des modifications eteor- reclions nombreuses.""!! sortira fortifié de cette épreuve. » Nous y consentons volontiers. En at- tendant ces modifications et corrections nom- breuses, nous maintiendrons provisoirement nos conclusions premières. Elles ne font d'ailleurs que corroborer encore les idées.générales qu'ex- prime en ces termes M. Briand:

«Il importe de ne confier que progressivement et avec précaution des intérêts, par essence même complexes et délicats, à des travailleurs dont l'éducation économique est encore imparfaite.

On doit d'autre part, faire confiance aux chefs d'entreprise. Les conditions mêmes d'une con- currence commerciale intensifiée rendent chaque jour plus évident l'avantage qu'ils trouveraient à ce que les ouvriers cessent d'être désintéressés du sort et des résultats de l'entreprise, et soient au contraire incités à donner à leur travail son maximum de rendement, en quantité et en qua- lité. »

Il est impossible de louer avec plus de sagesse et d'éloquence la participation aux bénéfices.

Dans le même ordre d'idée, voici ce qu'une autre préface disait récemment : « La participation aux bénéfices sauvegarde tout à la fois la dignité du travail et l'intérêt du capital. Elle suppose avant tout le salaire normal intégralement payé. Elle ne doit en aucun cas empiéter sur lui. Il est le droit. Mais en sus des services que rémunère le salaire normal, on conçoit une émulation, une vigilance, des économies de matières, un surcroit de rendement personnel, en un mot de collabo- ration dont le payement en toute équité soit lo- gique. La participation a ce double objet d'assu- rer ce payement et de provoquer ou de stimuler le déploiement supplémentaire d'énergies et de concours dont elle est le prix. »

A tous ceux que cette question des rapports du capital et du travail intéresse, nous ne saurions trop recommander la lecture de l'ouvrage d'où nous venons de détacher ces lignes. Il a pour titre: La Participation aux bénéfices, exposé des différentes méthodes adoptées, pouvant servir de guide pratique pour l'application du régime. Il est dû à M. Albert Trombert, le distingué secré- taire de la Société pour l'étude pratique de la participation aux bénéfices. On y verra quelles créations diverses et multiples a inspirées au monde patronal le sentiment profond de la soli- darité entre le capital et le travail. On y puisera

cette conviction que sans loi spéciale nouvelle, par la seule initiative intelligente des intéressés, les combinaisons efficaces sont toutes, d'ores et déjà, réalisables. La liberté suffit à tout.

Le syndicalisme en Angleterre .

Les dernières statistiques publiées par le Board of Trade m o n t r e n t que le syn- dicalisme continue, en Angleterre, à se développer d'une façon remarquable.

Les trade-unionistes étaient au n o m b r e de 2.383.000 en 1908. L ' a n n é e suivante, il y avait un léger fléchissement, leur chiffre passant à 2.362.000.

Mais ce chiffre rebondissait à 2.435 000 en 1910, soit un accroissement de 73.000 syndiqués, ce qui est peu par comparaison avec le chiffre de 466.000 nouveaux syndi- qués atteint en 1911. Ces nouveaux syndi- qués se subdivisent ainsi: m i n e u r s et car- riers, 189.000; textiles, 133.000; transports, 63.000; mécaniciens, 31,000; industrie du livre, 16.000.

Seule, l'industrie du bâtiment voit dé- croître ses effectifs dans une forte propor- tion : 86.000 syndiqués de moins depuis 1901.

Le n o m b r e des femmes syndiquées a augmenté en trois ans de 16.700. Elles étaient 221.000 en 1910; plus des trois quarts appartiennent à l'industrie textile.

Il est. curieux de noter que le n o m b r e des syndicats a diminué de 150. Il y a con- centration des forces.

O n a fait le calcul que les cent princi- pales Unions possèdent des fonds s'élevant à environ 100 francs par m e m b r e . De 1892 à 1910, ces cent principales organisations ont distribué 5 millions de livres sterling (soit 125 millions de francs) en secours de grève, 9 millions de livres sterling (soit 225 millions de francs) en secours de chô- mage et 14 millions de livres sterling (soit 350 millions de francs) en autres secours.

.La vente des montres à l'Exposition nationale

Le Moniteur de la bijouterie et de l'hor- logerie, paraissant à Paris, publie, dans son dernier n u m é r o , une communication

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228 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E du Comité central de l'Association des hor-

logers suisses, suivie d'une lettre précédée de la mention on nous adresse la lettre suivante et signée des initiales T. B. Cette lettre p r e n d à partie notre rédacteur, à pro- pos de ses appréciations sur la requête des détaillants suisses et l'intrusion d'as- sociations étrangères dans l'organisation de notre exposition nationale.

Si cette lettre émane d'un correspondant français, n o u s n'avons pas à n o u s en oc- cuper ; n o u s exprimerons simplement le re- gret que son auteur n'ait pas cru devoir imiter la réserve pleine de tact et de me- sure , apportée par la Fédération des horlogers, bijoutiers, joailliers et orfèvres détaillants de France, dans sa réponse à la demande des horlogers détaillants de les a p p u y e r ; réponse dont nous avons re- produit les passages essentiels dans la Fé- dération du 3 avril.

Mais si c'est un intéressé de noire pays, qui critique, dans un j o u r n a l français, le point de vue de la Chambre suisse de l'horlogerie et du comité du groupe 28, n o u s l'invitons à sortir de l'incognito et à d o n n e r son nom, aûn que nous sachions à qui nous avons affaire.

Après quoi nous publierons sa lettre, en la faisant suivre des commentaires qu'elle comporte.

Exposition nationale suisse, Berne 1914 Le comité central de l'Exposition na- tionale s'est réuni jeudi au Palais fédéral sous la présidence de M. Moser, conseiller d'Etat de Berne.

Il a accepté la démission de plusieurs m e m b r e s de diverses commissions et s'est occupé de leur remplacement.

M. le docteur Horber, avocat à Zurich, a été n o m m é secrétaire général. M. l'ingé- nieur Hoffet, ancien professeur à l'Ecole d'ingénieurs de Lausanne, a été n o m m é sous-directeur technique.

M. J o o s , architecte, a expliqué ensuite, plans en mains, la disposition générale des bâtiments. Cette disposition a été adoptée, de sorte que les travaux p o u r r o n t être mis prochainement en adjudication.

La lutte contre le chômage

L e Dr S c h e r r e r , conseiller national de St-Gall, président de l'Union des villes suisses, et M. Krismann, conseiller muni- cipal de Zurich, convoquent pour le 29 avril, à Zurich, une assemblée constitutive en vue de la formation d'une section na-

" tionale suisse de l'Association internatio- nale p o u r la lutte contre le chômage.

Ecole d'horlogerie de Porrentruy Le 25 avril, ont eu lieu les examens de l'Ecole d'horlogerie de Porrentruy. Ils ont été présidés par M. Rosat, inspecteur fédéral, assisté des ex- perts pratiques et de la commission de l'Ecole.

M. Rosat s'est déclaré très satisfait des résultats obtenus et il en a félicité le directeur de l'Ecole et ses collaborateurs, ainsi que la commission de surveillance.

Cette école professionnelle est donc en bonne voie et en bonnes mains et elle est en tous points recommandable aux jeunes gens qui se destinent à la carrière de l'horlogerie. Les connaissances techniques et pratiques qu'ils acquièrent leur donnent un acquis spécial qu'aucun autre ap- prentissage ne peut leur procurer et qui leur as- sure les meilleures places dans lès établissements de cette branche industrielle.

25 élèves ont pris part à l'examen. Pour la

réouverture qui aura lieu lundi, il s'en est pré- senté 8 nouveaux, de sorte que la prochaine année scolaire s'ouvrira avec un contingent dépassant 30 élèves.

Au Technicum du Locle

Les examens annuels du Technicum du Locle se sont terminés vendredi. Le jury était présidé par M. Philippe Tripel, ingé- nieur à Neuchâtel. MM. Ch. Ziegler, hor- loger-technicien, et Edgar Bourquin, mé- canicien-technicien, ont obtenu le diplôme.

Le Conseil de l'Ecole polytechnique fé- dérale à Zurich, vient de décider que pour les horlogers-techniciens et électro-techni- ciens, porteurs du diplôme de cet établis- sement professionnel, les exigences de l'examen d'entrée seront réduites dans une

forte mesure.

La protection des catalogues contre ceux qui en imitent les dessins

Toutes les firmes redoutent de voir leurs cata- logues pillés par des concurrents étrangers qui en copient les dessins. Que faire pour se proté- ger? Jusqu'à présent on considérait comme illu- soire la protection obtenue dans certains pays par un dépôt.

Or, on sait que la confection de dessins bien soignés pour catalogues est fort coûteuse, et s'il n'y a pas de sécurité contre les contrefacteurs, il en résulte que les commerçants et industriels hésitent à développer par ce moyen leurs débou- chés à l'étranger.

En Belgique cette situation n'est plus à crain- dre. En effet, un jugement du Tribunal de Bru- xelles (6 janvier 1912) donne une arme fort utile contre les contrefacteurs.

Il y est indiqué que le dépôt comme modèle s'étend non seulement aux dessins ayant du re- lief et pouvant, être considérés comme modèles industriels, mais' aussi aux dessins destinés à être reproduits sur (une surface plane telle que des catalogues.

Le même jugement dit que pour qu'il y ait protection, il faut que le dépôt ait eu lieu, sinon l'on n'est pas en droit de se plaindre. Or le prix de dépôt est très minime (Fr. 35.— tous frais compris à perpétuité), de sorte que dorénavant les catalogues pourront être protégés contre le pillage des dessins, sans grands débours.

Nous voyons dans le « Répertoire des Modè- les » de J. Gevers et G", à Anvers, qu'en Belgi- que on ne dépose qu'environ 300 modèles par an (ce qui est peu.chose comparé aux 8000 bre- vets et aux 2000 marques de fabriques déposées annuellement). :

Le jugement ci-dessus engagera sans doute nombre de firmes à recourir à ce mode de pro- tection.

J. Gevers & G0, Anvers.

400 montres dans une valise Une singulière découverte, au sujet de laquelle on se perd en conjectures, a été faite jeudi soir, en gare d'Orléans.

Vers quatre heures, un conducteur d'omnibus, M. Edouard Foucault, remarquait près de la porte de sortie des voyageurs une valise en cuir jaune, couverte d'une housse, déposée à terre et qui paraissait abandonnée. Il n'y prêta pas au- trement attention -.mais une heure après, un em- ployé, M. Arsène! Brousseau, voyait la valise toujours à la même place, et s'en étonnait.

Vers sept heures, les employés finirent par être intrigués de constater que la même valise sans propriétaire était toujours là, et l'employé d'octroi Brousseau prit le parti de la porter dans le bureau du chef de gare.

Elle fut ouverte et on eut la surprise de cons- tater qu'elle contenait une véritable petite for- tune consistant en montres en or. Il n'y avait pas moins, en effet, de 350 montres de femmes, dont un certain nombre enrichies de pierreries, et 53 montres d'hommes, soit en tout 403 mon- tres d'une valeur commerciale d'au moins 40.000 francs. Ces montres provenaient d'une bijouterie de la ville de.Paris, la maison Ulmann. Il y avait aussi dans la valise un carnet de com-

mandes au nom d'une bijouterie d'une grande ville du Nord. La brigade mobile, informée de cette trouvaille mystérieuse, a commencé aussU tôt des investigations dans le but de faire la lu- mière a ce sujet et d'éclaircir cette affaire assez étrange. Il parait difficile d'admettre qu'un voya*

geur de la maison Ulmann ait pu perdre une va- lise renfermant des bijoux d'une telle importance sans s'en être aperçu.

Les incrustations d'or sur les boîtes de montres

Un fabricant bisontin soumet les ré- flexions suivantes au sujet d'une lettre de M. le ministre des finances, publiée dans le Petit Comtois et relative à l'imposition de l'or incrusté sur les fonds de boites de m o n t r e s :

La lettre de M. le ministre des finances, adres- sée à M. le député Beauquier à la suite d'une pétition formulée par le Syndicat des monteurs de boîtes de montres en argent au sujet de l'im- position de l'or incrusté sur les fonds de boîtiers, mérilre d'être examinée et discutée sur plusieurs points.

Tout d'abord, on est en droit de poser cette question et nous en attendons la réponse: La loi du 19 brumaire a-t-elle fait une distinction entre les fabricants de bijouterie et les monteurs de boîtes? Non! alors pourquoi e::iste-t-il une diffé- rence de traitement entre ces deux catégories de commerçants? On dit que poser la question c'est la résoudre, nous, contribuables, nous en som- mes complètement incapables. Nous laissons la parole à l'Administration !

Les fabricants de bijoulrie jouissent de privi- lèges qui ne sont pas concédés aux monteurs de boites.

Les premiers peuvent plaquer d'or leurs bijoux d'argent sans être astreints ni au titre de l'or, ni au paiement des droits de garantie, lorsque la proportion du métal accessoire ne dépasse pas 3°/o par rapport au poids total de l'ouvrage.

Les seconds, au contraire, sont obligés de payer l'impôt sur les incrustations d'or des fonds de boîtiers d'argent, bien que cette proportion de 3 °/o soit loin d'être atteinte.

On tolère aux uns ce qu'on ne permet pas aux autres.

Nous ne récriminons pas contre les prétentions des bureaux de garantie qui exigent que les deux métaux, or et argent, soient aux titres légaux, mais nous voudrions que celte mesure soit appli- quée à la bijouterie qui peut, à son gré, plaquer les ouvrages d'argent, avec de l'or à bas titre.

Ce sont-des abus qui doivent disparaître, bien qu'ils datent de 1829 et bien que M. le ministre reconnaisse qu'il ne peut être question de rap- porter cette tolérance ; nous voudrions la voir cesser pour le bon renom de la nijoutrie nationale.

Si nous nous en tenons aux termes de la lettre ministérielle et que nous soyons obligés de payer au Trésor un droit pour l'or employé aux incrus- tations de fonds de boîtiers d'argent, nous som- mes disposés aussi à exiger l'application de l'ar- ticle 2 de la décision ministérielle du 12 janvier 1829 qui, suivant le ministre, régit la fabrication des boites de montres composées de différents métaux, c'est-à-dire que la «Garanties marque nos fonds incrustés du poinçon d'or et d'argent.

Nous payons pour les deux métaux, nous exi- geons les deux poinçons.

Déjà, au bureau de la garantie, on nous a ob- jecté qu'il n'était pas possible de nous donner satisfaction et qu'il n'était pas permis d'apposer le poinçon mixte or et argent, parce que la pro- portion d'or pour les incrustations ne dépassait pas 3°/o du poids total du boîtier.

Devant des interprétations aussi illégales, il ne nous reste plus qu'à refuser de payer des droits pour une garantie qu'on ne veut pas nous donner.

Nous avons lu et relu le dernier paragraphe de la lettre de M. le ministre ; nous n'en saisissons pas bien le sens. Nous le reproduisons inté- gralement :

«Si on étendait cette tolérance, les intéressés pourraient être tentés d'en abuser pour diminuer, au détriment des acheteurs, la valeur intrinsèque de leurs produits. »

Mais au contraire, l'administration, par ce moyen, se rend complice des fraudes qui peuvent se commettre, car si nos fonds sont marqués suivant la décision ministérielle de 1829 du poin-

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i-rw

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 229

çon d'or et du poinçon d'argent, il ne sera pas difficile à des négociants peu scrupuleux de faire disparaître l'empreinte du poinçon d'argent, de faire dorer les ouvrages et délaisser simplement apparaître la marque du poinçon d'or.

Et on fait croire que ce serait nous monteurs de boîtes, qui serions tentés de diminuer la valeur intrinsèque de nos produits?

Nous avons reproduit, dans notre n u - méro d u 10 avril courant, la lettre du mi- nistre des finances français dont il est question. Nos lecteurs sont donc au cou- rant de cette affaire.

Nouvelles diverses

Vieille h o r l o g e . —' Cette année-ci, l'horloge de la tour de Berne, à Morat, pourra célébrer le deuxième centenaire de son existence. Le 2 no- vembre 1711, sous la présidence de l'avoyer Si- gismond de Steiger, bailli à Morat, le conseil décida décommander une horloge à un horloger de La Ch;iux-de-Fonds, Baud-Ducommun, qui s'engagea à la construire pour une somme de cent doublons. Le premier novembre 1712 l'hor- loge était prête et placée dans la tour de Berne.

Elle marche, aujourd'hui encore, à complète satisfaction.

IMPORTATION ET EXPORTATION pendant l'année igu

D'HORLOGERIE

Métaux, orfèvrerie et bijouterie Or non ouvré kg netto Argent monnayé

Orfèvrerie et argenterie . . . Bijouterie vraie

Horloges et montres Boîtes de montres, finies, nickel,etc.

— — — argent

— — — or . .

Chronogr., montres àrépétit., «te.

Total . . . Pièces détachées finies . q netto Boîtes à musique, unies . . .

Verre

Verre à yitres, de eoul. naturelle Verrerie de verre mi-blanc . .

— — incolore . .

— polie, gravée, e t c . . .

Importation

Quantité j Valeur

14,720 86,863 3,893 116,030 14,573 17,223 7S4

Pièces

163,648 2,612 780 21,068 1,333 1,520 51 191,212 222 425 65,733 7,473 25,627 9,832

50,813,440 7,904,533 18,278,171 23,206,097 3,202,606 9,404,529 2,115,262 607,992 19,008 49,971 145,598 23,656 155,845 1,838 1,003,908 1,698,513 168,358 1,635,625 216,717 1,250,230 1,398,154

Quantité im- portée dans la même période 1910

18,268 80,137 6,722 110,246 12,787.

6,686 781

Pièces

141,254 3,937 1,607 13,589 881 1,201 224 162,693 208 489 68,602 6,890 24,353 9,102

Exportation

Quantité

937 10,964 7,906 35,108 .

1.290 3i346 9

Pièces

2,341,644 276,211 92,390 6,976,655 3,031,048 1,022,948 32,896 13,773,792 1,591 1,252

202 507 160

Valeur

3,215,135 998,708 24,507,180 7,021,633 392,408 11,064,721 67,754 2,919,442 1,348,766 4,272,159 36.650,328 35,376,287 60,011,792 2,319,868 142,898,642 9,091,931 1,051,386

7,165 55,430 i 88,495

Quantité ex- portée dans la même période 1910

1,029 12,108 6,725 37,'05e 1,560 3,848

10

Pièces

2,111,340 260,941 76,894

»,845,004 2,682,469 943,222 32,007 11,950,877 1,424 1,175

223 484 129 2" Les valeurs ne sont communiquées que trimestriellement. les chiffres sont imprimés en caractères gras. —

MO millions de cartes postales. — 11 a été expédié en Suisse 109.500.000 cartes postales en 1911, soit 7.500.000 de plus qu'en 1910.

r

Brevets d'invention

Hiii-<;$i*ti-cuicii<N.

Gl. 64, n°~53986. 22 décembre 1910, 7 h. p. — Interrupteur pour compteur. — James Besan- çon, 2 bis, Rue de la Gharrière, La Chaux-de- Fonds. (Suisse). Mandataire: A. Malhey-Doret, La Ghaux-de-Fonds.

Cl. 69, n° 53990. 6 juillet 1910, 8 h. p. — Machine parlante. — Eldridge Reeves Johnson, fa- bricant; et John Clifford English, mécani- cien; Corner of Front et Cooper Streets, Cam- den (New Jersey, E.-U. d'Am.) Mandataire.:

E. Imer-Sçhneider, Genève.

Cl. 71 d, n° 53993. 28 décembre .1910, 8 h. p. — Raquetterie. — Fabrique d'horlogerie des héritiers, / . Rauschenbach, ci-devant Interna- tional Watch Co, Schaffhouse (Suisse). Man- dataire: E. Imer-Schneider, Genève.

Cl. 71 e, n° 53994. 13 août 1910, 6 % h. p. — Dispositif de remontoir pour montres de poche.

— Henry Axtell, horloger, 1925, Harmon Street, Berkely (Californie, Ver. St. v. A.) Mandataire: H. Kirchhofer, anciennement Bourry-Séquin & Co., Zurich.

Cl. 71 e, n° 53995. 15 novembre 1910, 7 !/« h. pi . — Dispositif-indicateur du développement du

ressort de barillet dans les pièces d'horlogerie -à barillet. — A. Billod-Morel, ViHers-le-Lac

(Doubs, France). Mandataire: A. Mathey- Doret, La Chaux-de-Fonds.

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230 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

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