Les productions agricoles irriguées de la région provençale et la vocation exportatrice de la façade méditerranéenne française
Ricard R.
Commerce et Méditerranée Paris : CIHEAM
Options Méditerranéennes; n. 15 1972
pages 98-104
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--- Ricard R. Les produ ction s agricoles irrigu ées de la région proven çale et la vocation exportatrice de la façade méditerran éen n e fran çaise. Commerce et Méditerranée. Paris : CIHEAM, 1972. p. 98-104 (Options Méditerranéennes; n. 15)
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http://om.ciheam.org/
1 I 1 I
RICARD
1 1 l e s productions agricoles irriguées 1
chef gement, d u Société de d u ~ ' ~ m é n a - Canal
de la région provencale et la vocation
de et d'Aménagement
Le
de la
exportatrice de la facade
m.éditerranéenn'e f rancaise
1 1 1
Occupant l a p a d e la la 5acpde
à la de son climat et à la .beauté de ses sites, bientôt appelée à un développement ind,us-
,du fait des
tions la
vangale est moins connue du point ,de vue ,de son potentiel
qui constitue dy-
namique et
Ce dynamisme n',a cessé de ,du ,fait ,de l'existence
lanciennes, s é c e m e n t oomplétées un .am&lagement ,de
imponbance at possible plus de 50 O00 jusqu'doss
au sec, ,des légumiè-
et ,dont éco-
1,oin
(pnovengde
'en effet à économique intensive, spécialisée et
Une
povençale fiait non négligeable de la popda-
tion puisque sa s'élève
à 3 215 millions soit 4 %
de la .la
(1). en
de finale, c'est-à-
diminué ,des consommations
ce s'établit à
4,78 % ,de la fina-
le à culti-
vé est ,de 23,6 %
à la moyenne nationale
Une spécialisée
La lest les
seules à les fmi'ts, les légumes et l& que ta ,demande de plus en plus exigeante sélective ides consomma-
du ne peut se
qu'en
lointaines où les de Uavmtage
de coûts de bas.
Une .telle est $e fait
te plus souvent familia- les, ,dont exiguës ont conduit les hommes 6 'se les
gional de la Statistique. Annexe statistique de ré- au schéma d'.ménagement
techniques hautement de la ,ou
Une
q'est hissée à cet depuis 1968 à la place
position 'qu'elle n'a cessé de notamment dans la
tée 'de dont d e 88 % des envois à
e La valem .ajoutée des activités atteignait en 1966 dans la gion 20 % de celle des au-
:activités de la
exclus). Si on 'ajoute à l'activité dite, celle des in-
let l'en-
semble tainsi ,constitué 44 % &e 1.a ajoutée tivités non : c'est tance que continuent à
et les qui sont liées
d,ans l'économie de 1.a la
diminution consltante la population
T'ek étaient les en
1966 dans le établi
fet ,de les du
cjlnquième la
ce-Côte
C'est ,dès le milieu de la décennie écodée, au moment ,où se
l
es décisions au
complexe ,de
seilbe Fos, des options
tantes étaient au sujet de cukhwe. Les qui suivent ,&tes- tent le bien fondé 'de tels choix.
,En effet, ha zelative
de la popd,ation plus
à de ses cul-
et à un climat un
dynamique.
L'objet du est de
d',une façon concise, et à la les indica-
tions de la place de
sa loca- lisation et son évolution
Limitant Y'étude aux fmits, aux 1é-
gumes et .aux de
les causes doi-
l,a et plus géné- 98
Options méditerranéennes
-
15-
1972Production des principaux fruits et légumes par les différents départements de la Côte d'Azur comparée à la production nationale e n 1971
Alpes
Alpes- Ensemble de la
de
nation nationale (*)
de la Ensemble
Vau-
du cluse de la dans la
t i m e s Alpes
. . .
400 2 25 350
Figues
. . . . . .
430 40 750 9 200 3 150 24 6 800 23 110 119 200 37 570 97 727 31,5% 23,6 % 6201 4 500 180 950 60
90 2 865 3 740 76,6%
. . .
2 73020,2%
1 853 866 373 750
147 100 32 920 133 500
1 230 25 500 3 3 500
(detable) . . .
29,6%
552 436 163 725 40 875 3 350
89 20 700 9 800
de (table).
. . .
30 70 35 880 4 1 2 5 5 5 7 5 0 98 585 165 083 59,7%(de table)
. . .
900 110 940 28 16 500 112 840 159 290 281 340d u dans la
25,6%
3 732 091 953 600 406 555
71 545 366 480
6 670 48 430
54 135
Total
. . .
56,6%
. . .
20 840 11 770 9 700 1 670 24 145 120 16,5%. . . 500 30 30
33,0%
38 231 1 2 61 O
4 490 720 7 200 10 30 Aulx
. . . . . .
160 200 1 200 11 400 320 2 450 4 960 240 8 950 1 2 280 28 856 18 61 355 62,4% 20,0%. . .
40 40 1 320 28 800 7 800 2 990 40 990 427 708 9,6%. . . 250 40 3 9 900 3 750 4 820
67,5%
1 5 885 10 720
3 420 80
6 7 2 0
. . .
550 50 1 500 800 1 200 9 430 1 2 1 3 0 25 160 244 481 10,3%. . .
53,1%
40 947 21 760
Tomate
. . .
230 170 7 560 11 5 200 9 170 110 470 242 800 533 957 45,5%Total Légumes 9 460 950 33 950 265 790 36 990 209 930 556 970 2 674 697 20,8%
d u dans la
. . .
6 1 2 5 0 1 7 1 8 5 1 4 8 7 0 80 150 24 560 50 440 248 455 8 816 114 2,8%Ensemble de la . . 124 845 66 565 55 490 71 2 420 132 880 666 825 1 759 025 1 5 222 902 11,6 % de chaque
dans l'ensemble de la
. . .
1 200 210 590 2 2501 380 6 900 11 530 63 035 18,3%. . .
5 400 1 740 1 800 53 750 8 500 1 2 2 0 0 83 390 595 664 14,0%p________p
. . .
5,7% 5,1%--
38,4% 0,7% 7,5% 42,6% 1 0 0 %. . .
453 140 62 680 11 370
3 740 31 290
1 4 540 290 1 450
Salade
. . .
27,4%
93 355 25 570 7 860
30 15 760 640 180
. . . 1
10,2%
591 662 60 400
36 700
240 15 870 2 510 120 4 960
13,9%
pp___p
. . .
. . . 1,7% 0,2% 6,l % 47,7% 6,6% 37,7%
pp____p
~~~~
~~~~
duction.
. . .
% 3,8% 7,l 3,1% 7,6% 40,5% 37,9% 1 0 0 %Unité : Tonne
( Y ) Chiffres provisoires communiqués par le Ministkre de l'Agriculture. Service des Statistiques.
de lia façade médi~tenméenne
h n ç d s e , une spé-
cialisée. Enfin m e ,analyse ides tations et ltend,ances qu'elles secè-
lent de le ~ 6 b que
joue bande Wade
,dans de
:
ET L'AXE
ET LE
Les les légumes
(1971) tent de
les de
la tableau no 1 ci-dessus).
On constate que les dépaaements h x e : V,aucluse et
mettent en
à eux deux, 81 % des
et 85,4 % dles légumw de Au'tant que c'est ,dans un maycm de 40 km du
coniluent (plaine com-
&dine) c h -
quièmes des Emits et des légumes de la 773 O00 tonnes de fmits et 475 O00 tomes de légumes.
tels tonnlages sont à
de la nationale. C'est ce qui a été fait dans le ,tableau 1, l,a base .des
1971. Certes, une telle ne qu'un de
99
Options méditerranéennes
-
15-
1972i
On
que la
m des h i t s et m cinquième d'es $&gumes de &a
lest beaucoup
plus il la
spécialisation de ia C'est ainsi que les figues, les melons, les sins, de même que cdms .une
les et les la
occupe une position de tête dans
la nationale. La
m6'me vaut, en légu-
les
csowgettes et tomates, qui constibuent ,des exclmivités
Tou,tes les
la on l'a dit,
ment familiales. dans
des est souvent
fois ces
tions on,t longtmps
économiqnement Les attestent que, montant ce handicap, les hommes ont su l'e jeu combiné de techniques avancées et d'une adaptation à la de-
mande a n
tion ,de s'impo-
les L'évolution cultivées fait
sion sensible des et notamment de Vauchse et ,des Alpes ,de
vence spécia1,isation $mi-
bles doivent l'objet 'de aises au point de dès la fin des
années 1960, la de pom-
mes a conduit 4es
à los 'mise en
place ,d'une politique de subvention à volontaice qui a été suivie d'effet. Ainsi le ministèce de
tune ne de
défiaitifs #avant .la fin 1973.
élément la
tendtance actuelke : qu'en 1967,
Emits Légumes étaient en
quantités égales, ,des légumes
t,end à ne en
1971 plus que 72 % de &a
: la devient de
ce fait une
çaises 1.a ,de h i t s .
Également pleine d'enseignements d e la duction de la
Avec une 'au climat
exceptionnel l
es deux' dé-
la Côte : et
conteste comme
1.a ,d,e la fieus coupée.
L'évohtion à penser
que ,la le
connaît. une
connu jusqu'à cette époque une extension so'utenue.
A G.
les
cu1,tivtes 0n depuis
1965.
TABLEAU
Surfaces cultivées en fleurs sur la Côte d'Azur
1 7 1 4 h a 3 000ha 2 1 0 0 ha
G. de
no 1 O, déc. 1 971.
ont influencé la
duction des :
-
Le 'de l'ceillet de Ni- ce 1'"eillet améxicain, qui,égal, #cietmande une
-
Les incendies .de 1970 et les gels de 1971 qui ,ont fontment k a.affectées au mimosa.
- tou-
tes les comm,unes du qui con- somment >> en 8:espaoe
bain jusqu'à la
A ce phénomène n'est pas eà la seule puisqu'en et notamment en Toscane et en on note une évohtion du mê- me type.
TABLEAU bis Surfaces cultivées en fleurs
en Septentrionale
1 9 6 0 1 9 6 5 1969
4 679 ha 6 049 ha 5 4 0 2 ha
no 1 O, déc. 1971.
En ce qui i a géo-
la on peut
qu'elle est ( m e fois et demie
plus en dans les
C1127 ha) que [dans le (772 ha). Toutefois, la va-
continue ,de (une
que les mes, .du $ait
à en liaison avec la connaissent une centaine stabi- lité.
de la Côte des
tout à fait qui la ,distin- guent bien .d,e celle que l'on dans
$a d m i è m e psoduc-
la moyenne.
Oonstiltuée ide flews
Optionsirtié~iterranéennes
-
15.
coupées, en et elle est localisée aux To,don et connaît run tant cowant d'expoctation.
à une d e 306 m,illions de soit la moitié de la nationale.
On estime que La cultwe de la
1.a est, le
sa
investissements pêsent 1,es
des mais
ils hi une
technologie plus avancée de face aux
qui, ,bian
fois plus
&une f.açon génhnale moins bien équipés du point de vue de
l'outil d e .
A (enfin que la
pale a acquis une place ,de choix dans
la de
Elle détient un
péen dans de de
d ' m a t s
vaciétés de b h é f i c i a t d'une situation analogue. Enfin la
de B essence,
qui alimentent le
de 3a eslt
sée l'extension ,de (SO
ont été mirs en en 1970 et 1971),
don,t les s'écoulent,
LA
LA EN
QUA-
On vient de la place
que tient la dans la
,de de légumes et de flews, ainsi que 1.a
négligeable que son
à d'une bande et
de l',ensembhe Comtadin de 1.a vallée du à
à oe point de
les causes ,de cette expansion et les Eacteum
l,a d'une tellle
Les
guées de la
sont le d'une technique avancée
La conoentnation des zones 'de
d,uction 'dans à la
limite de voués à
tion et à a conduit les
B de façon $elle
puissent panti .au maximum
d'e la mise 'en
de 'de
Sélection végétale, pous- sée, utilisation ,des techniques de
innovattion continuelbe ,de vég&les, 'de mise ea
de le fToid, (autant de
des physiques
mais, également, on b plus loin, des
les
Le de +kits, de
légumes et ,donc com-
me sa Tl dispose
d'un atout de choix, lié à
1.a de sa est enfin
à même ide cru.
Les et les légumes
Caux la ten-
la dmemande
de et
consommation font que
u m d,e quinze ,ans Yévdution de la consommation des
les et k s l é e - à l'état sou L e ta- bleau en atteste.
Valable le
ce aisé-
ment .à nations indus-
de dont on
d e
,tiques que habitucles se
modifient sous le double effet l'a- des et d'un
a dm pays du soleil ,dont esl populations sep- ,de plus en plus la qualité.
TABLEAU
Évolution de l a consommation intérieure des particuliers
Indice 100 en 1950
l l
1
19501
1965l---+---- Ensemble des con-
sommations ali-
.
. .
à base de
. . . . .
Lait et .
de Jégu- Achat de
mes . . . de
et
.
.,
327,5 1 274,6 355,5 289,8
485,6 516,2 432,8
l
ISource : janvier-mars 1967.
que
sont devenus
de de la
; le melon de Qavaillon, h sont,
de vivants ,exemples.
Climat exceptionnel, qua&é des sols
1 o1
Options méditerranéennes
- -
Octobtle 1972IV
Classement des régions françaises depuis 1968 pour l'exportation de fruits et de légumes
(en tonnes)
1 I 1 I
l I
I lProvence Côte d'Azur.
. . .
Aquitaine Pyrénées
. . . . . . . . .
7'1 3Picardie
. . .
Bretagne
. . .
Source : Service de la répression des de l'Agriculture.
7
500
400
FMNCB ENTIERE
Évolution des exportations de
l'indice de fruits e t légumes , ,
en >< l3 i 4 65 b b h 6 1 69 70
in.
lMINu
V
- Évolution sur dix ans des exportations provençales et des exportations nationales de fruits et de légumes
(en tonnes)
Année Exportations nationales
. . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
insemble des régions françaises moins la
Provence
Source : de l'Agriculture. Service d e la répression des fraudes.
Provence Côte d'Azur
102
Options méditerranéennes
-
15-
d'u OU
dmu
et ancienneté des imi- gatiom d u s à une eau abondante dont
gagne maintenant l'en- semble de la popu1,ation nom-
active et
situation à
axe de les i d u s -
de l'Ewope, telles sont les xaisons pkcipales qui expliquent la bonne posi- tion de
En conchsion les qui cons- tituent le plus
connaissent,
le qualité et
Yévolution de la demfande, des cmsom- mations qui à un taux pllus
que oehi de l'ensemble des coniswnmatims
L'examen des sésultats des ce point
les que l'on vient
de
S A
PO-TÊTE
LES
ET
Avec 249 830 en
,1971, la la
de de légu- mes et de Elle availt conquis ce
m 1968 et n'*a cessé de le l'atteste le tablezu 4 : A notm que la place tenue la
d'impmtants tonnages de pommes ,de ,teme, qui
difficile la avec
lesquelles de ltaUes dintewiement que t&
f aibl'ement. C e t b
valable ,au ta-
bleau rn nouveau dams l'op-
tique est adoptée
ici.
Utne évolution très significative peut dans la compa-
tendances en
et 1égumes ,de ha et de Fmnce
On .a à cet effet,
de dix a n s les datifs aux volmumes ides ,de la
gion at ,de
Le talbeau no 5 ces données.
du tableau 4
que) elle met en lumike une cà de 1965. C'est m 'effet à c&te date que 1,es ex- poztations se sont dévelop-
pées soit
de 25 % an. à la déen-
nie ces exportatiom ont dozlblé tous les cinq 'aims que
ne doublaient que tous Les huit ans.
CONSTiTUENT TÉ
On a souligné plus haut la vooation
.spécialisée en
qui la de m-
tains et légumes typiquement mé- pa- non seulement à la
demtmde mais également à
une demande en expancon.
Le tableau 6 une
douzaine
typiques ,de xégion position à la moyenne nationale.
Les douze espèces dont la fxaotion
est la plus celles
.une bonne paat m quantités ,accmes ,du fait de
l'(extension des le V a
et 'dans une dans W !.
On sait que .ces espèces ,à la pêche et smtout ,à l,a pomme, ne sont pas excéden-
peut ,donc la
v.a se les années qui viennent, d'autant plus que
joue ,m d e com- pilan en la
tant 5 qu'à
vocation se
Une dynaxni-
que existe d'ans la
les et les légumes. Ellle vient de
ment la
tion, ,tels que h natio-
nal de A b
mise en. place qui
met la B une d',auto-
de .ou
à ulne de la Suisse,
Vexktence de d'eux
: et
Nice-Côte d'azur, le chamdi'ses
Aux .d'#me publica-
tion de la et
de (l), la région
c: 'occupe une pl,ace d,e tout pl,an dans le
çais de ,et ,de légumes >9,
laissant Pà que le joué
!non sed'ement
à mais également h l'h-
a o t m e n t avec ie tmnsit en d'&t&e, d'Es- pagne et du
s e d point de
?l 'convient lles
tels qu'ils
:
des Provence-Côte d'azur et Corse en 1970
)>.
Part des exportations régionales dans les exportations nationales en 1971
Cerises
. . . .
Figues
. .
..
.. . . .
.. .
de table
. .
Asperges
. . . .
.Aubergines
. . . .
Courgettes
. . . .
gpinards.
. . . . .
verts
. . .
Poivrons piments.
.
Tomates
. . .
.Exportations nationales
(tonnes)
10
Exportations régionales
(tonnes)
Source ; Service répression des fraudes et d u contrôle de la qualité.
% des exportations régionales dans les exportations
nationales (%)
%
%%
% %
%
%% %
% %
103
Options méditerranéennes
-
15-
Octobreont été le
des on sait que nomm-
aux e )> de
eng1,obe non seulement la mais égal.ment da
d'e ou en
ditionnement.
L'.ouvEage cité pltus h,aut 1970, ~EYS de légumes
de quantité
(41 258 tosmes 34 582 tonnes) commle valeu (83,9 millions de faancs au lieu de 63
IÆ
moyen p\asse de
1 505 F en 1968 à 1 822 F en 1969 et à 2 032 F en 1970.
Les ,de
tains (217 618 tomes) 6nt
24 % poids at de 23,9 % v a l a .
Ce les pays Sa C.E.E. qui
les la sé-
gion, ainsi que Ea et
la Suisse, comme le tableau ci- :
Sorties de fruits frais de la région
Fédé- .
. . . . .
Union Economique
. . . . . .
. ..
. Suisse .
. .
.. .
l I
17 013
8 889 1 4 1 0 2
-
384 11 4491 6 228
I I I
En ce qui conmne les les
se s o t ,mppoSt
à et de 33 %
,en poids. ses flews
essentiellement (1 642
tonnes), l,a (863 6011-
tomes), la Suisse (128 tonnes) la Suède (124 tomes).
Telies sont les positiom que vismt
de la
vencple à de
de légumes et de flews. Au seuil
de la décennie %a
dans pltus gnande << Tévolution >> h- d,ust~elle qu'elle ,ait jamais o m m e , le
sa vocation
cole signalé.
,'.
.
* .v. ..poux Les également p o u la saussi bien
des légumes et la vient, en l'espace de ,dix .ans, l'e volume ex-
de 1 s pays
du Nmd de m e telle
conquête n'a pas été sans un con-
tinu d,es et
ni même sans ou 104
Options méditerranéennes
-
15-
Octobre 1972(cas de ia pomme) els et les légulmes un éventail difficilement
au plan des volumes et des an mison de sensibilité tau climat.
de i'économie du Sud-Es,t à cet un
de tedance : à une longue stagnation sans doute des pales où s'mt h
succède une pé- d'évolution des qui affecte en tout
lieu
Les )> de
Fos
On peut se
si bien loin 1.a de
ses
à sa intensive, spé- ciallisée et dynamique une chance sup-
satisfaction des populations attendues dans la image de de qualité qui est celie
que les pa$ du
soleil.
Si la tendance actuelle de
tion et de se
de un million et dem.i d'habitats à 1.a fin du siè- cle, ia populati,on de $a e consom-
mant )) 40 O00
les plus i,nhmsives. donc gagna .en intensité ce qui
en développant no- les
Avec wn en
1967 à 144 milliaus à tation et dont peut au vu
des statistiques 1 , ~ -
gemeat dépassé 200 millions de bancs en 1970, la
zones médi,tema-
néennes at flo-
la où .se
c&oimt les nations
située à d'un
axe qui à la ,du la
!avec d'es atouts nm aégligeabks bataille pacifique que les qays du soleil se eux
aupses de
