• Aucun résultat trouvé

Patients et méthodes

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Patients et méthodes"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

Bull Soc Pathol Exot, 2002,95, 1, 31-33 31

Introduction

L

a papillomatose se définit comme une prolifération tumo- rale bénigne de type papillaire et de nature malpighienne généralement observée chez l’enfant. C’est une affection re l a- tivement fréquente au Mali. Le diagnostic de papillomatose est suspecté chez l’enfant présentant une dysphonie et/ou une dyspnée traînante. Cette dysphonie est tenace et pro g re s s i v e , pouvant perturber la scolarité du jeune patient. Ce diagnos- tic est conforté par l’aspect pero p é r a t o i re observé lors de l’épluchage (grappes mûriformes), car il n’est pas toujours c o n f i rmé par un examen anatomopathologique dans notre pratique.

La thérapeutique, essentiellement basée sur les épluchages, paraît la technologie la plus adaptée dans nos pays en voie de développement, malgré l’existence de techniques plus radi- cales qui ne sont pas dénuées d’aléas difficiles à maîtriser sur place et inaccessibles financièrement comme le laser.

Nos objectifs sont, pour cette étude : - d’évaluer la fréquence de la papillomatose,

- d’appréhender les difficultés dans la prise en charge des papillomatoses laryngées,

- de suggérer des solutions.

Patients et méthodes

C

ette étude rétrospective nous a permis de colliger dans le registre du bloc opératoire du service ORL de l’hôpital Gabriel Touré tous les malades reçus pour papillomatose laryngée.

Elle a concerné la période de janvier 1994 à juin 1999, soit une période de 5 ans et demi.

L’examen anatomopathologique n’a pas toujours été possible et le diagnostic de papillomatose laryngée a été établi sur la cli- nique et l’aspect macroscopique peropératoire. Cet aspect se présente sous forme de grappes mûriformes comblant plus ou moins l’espace glottique.

Résultats

Données épidémiologiques

Nous avons observé 19 cas sur une période de 5 ans, ce qui fait une fréquence annuelle d’environ 3,8 cas par an.

Notre échantillon est composé de 9 patients de sexe mascu- lin et 10 de sexe féminin, soit un sex-ratio M/F proche de 1.

La médiane d’âge est de 7 ans. Les âges extrêmes sont de 4 ans et 60 ans.

P apillomatose laryngée au Mali.

A propos de 19 cas colligés à l’hôpital Gabriel Touré de Bamako.

Summary:Laryngeal papillomatosis in Mali.A cluster of 19 cases in the Gabriel Touré Hospital of Bamako.

From 1994 to 1999, 19 cases of laryngeal papillomatosis were observed. The sex-ratio M/F was 0.9 and the mean age 10 years. The motive for consulting was dyspnoea for 45% of the cases and in all these cases resulted in emergency tracheotomy.

The only available means of intervention was peeling under general anaesthesia. An anatomopa - thological examination could be carried out for only 63.1% of cases. Prevalence of the disease has been under-estimated for reasons of late diagnosis and the inaccessibility to health structures for some cases.

Résumé :

De 1994 à 1999, 19 cas de papillomatose laryngée ont été observés. Le sex-ratio H/F était de 0,9 et l’âge moyen de 10 ans. Le motif de consultation a été dans 45 % des cas la dyspnée et a entraîné dans tous ces cas la réalisation d’une trachéotomie en urgence.

L’épluchage sous anesthésie générale à la pince a été le seul moyen accessible. L’examen anatomo- pathologique n’a pu être réalisé que dans 63 % des cas. La prévalence de la maladie a été sous-estim é e du fait du diagnostic tardif et de l’inaccessibilité aux structures de soins dans certains cas.

La faiblesse de la couverture sanitaire en ORL et du plateau technique doivent faire rechercher des solutions au niveau des décideurs.

S. K. Timbo , F. Konipo-Togola, A. Ag Mohamed*, M. A. Keita , H. B. Sacko & L. Traore

Service ORL,Hôpital Gabriel Touré,BP 267,Bamako, Mali.

* Tirés à part : Pr. A.Ag Mohamed,Chef du Service ORL,Hôpital Gabriel Touré,BP 267,Bamako, Mali.

Manuscrit n°2333. “Clinique”. Reçu le 12 juin 2001. Accepté le 8 janvier 2002.

papillomatosis larynx hospital Bamako Mali Sub-Saharan Africa

papillomatose larynx hôpital Bamako Mali Afrique intertropicale

(2)

Clinique 32

S. K. Timbo , F. Togola-Konipo,A. Ag Mohamed et al.

Aspects cliniques

Neuf malades ont été reçus lors d’une crise de dyspnée intense ayant nécessité une trachéotomie. La dysphonie a été le motif de consultation dans 10 cas après une évolution traînante de 2 à 8 ans. L’étage glottique était constamment atteint, ce qui expliquait la dysphonie. De plus, 4 cas avaient une localisation sous-glottique et même trachéobronchique qui s’extériori- sait lors de certains efforts de toux par la canule. Dans deux cas, l’étage sus-glottique était envahi, atteignant souvent les p a rois latérales du pharynx et l’épiglotte. Nous n’avons obtenu un résultat anatomopathologique que dans 12 cas, nous signi- fiant la kératinisation au niveau de l’épithélium malpighien avec œdème et infiltration lymphoplasmocytaire au niveau de l’axe conjonctivo-vasculaire.

Données thérapeutiques

La trachéotomie a été une indication de sauvetage dans 4 7 , 4 % des cas lors de dyspnée intense. Elle a été pratiquée en fait douze fois sur un total de neuf malades ; un malade a été trachéotomisé 2 fois et un autre 3 fois du fait d’une re p r i s e c h i ru rg i c a l e .

L’épluchage a été pratiqué dans tous les cas à la pince et sous anesthésie générale avec une moyenne de quatre séances par malade, et des extrêmes d’une à dix séances. Cet épluchage est facilité par des attouchements de Xylocaïne naphazoline®5 % et une intubation n’est pas toujours faite malgré l’absence de trachéotomie et de jet ventilation, rendant l’acte acro b a t i q u e . La décanulation: 12 malades (63 %) ont été décanulés sans inconvénients majeurs après deux contrôles satisfaisants. Deux de nos malades (10 %) ont été perdus de vue. La décanulation a été difficile ou impossible dans les cinq autres cas ; parm i ceux-ci, se trouve le cas de papillomatose invasive, en l’oc- currence celle qui a subi un traitement au laser à Montpellier (France). Deux malades gardent toujours leur canule après trois ans.

Commentaires

Aspects épidémiologiques

Le sex-ratio est proche de 1 dans notre étude. La prédominance masculine est un constat bien partagé tant par des auteurs africains (3, 8, 10) qu’européens (4, 5, 13).

L’âge: la papillomatose laryngée se voit classiquement chez l’enfant et, dans notre série, la moyenne d’âge est de 10 ans.

Sur les dix-neuf cas, nous n’avons eu que deux adultes (25 et 60 ans) ; ce re c rutement a évidemment amené notre moyenne d’âge à la hausse. L’âge pédiatrique de découverte de cette a ffection semble être un fait bien admis à travers la littérature (1, 5, 6, 10, 11). Cependant, FR A N Ç O I S(9), rapportant un tra- vail récent, penche vers une distribution bimodale de l’âge d’apparition des premiers symptômes : la moitié des cas envi- ron commence dans l’enfance vers 2-5 ans, l’autre moitié com- mence à l’âge adulte vers 20-30 ans.

La fréquence : nous avons relevé 3,8 cas par an. Cette fré- quence paraît relativement faible et peut être en partie due à la faiblesse de la couvert u re sanitaire ORL du pays ou au coût de la santé (le coût au Mali est entièrement supporté par le malade).

Dans les pays développés, elle semble être une affection rare.

QUICK(12), en 1978, parlait d’une incidence chez l’enfant à 7/100000; des études américaines plus récentes avancent un c h i ff re de 5 0 0 0 à 25 000 cas de papillomatose laryngée aux Etats-Unis. Depuis 1993, il a été mis en place aux Etats-Unis un observatoire des cas de papillomatose.

En Suède, en 1984, CR I S T E N S E N (7) retenait 0,2 à 0,7 c a s p o u r1 0 0000 habitants, tandis que BO M H O LT(5), au Danemark, en 1988, avait fait état de 0,6 cas pour 100 000 habitants.

Aspects cliniques

La dyspnée: elle a été retrouvée dans 47,4 % des cas de nos patients et était intense avec tirage important et cornage. Ceci témoigne du délai tardif de consultation d’une part et du re t a rd au diagnostic d’autre part. DI O U F(8), dans une série de 27 cas, a noté 74 %.

La dysphonie: 52,6 % de nos patients ont été pris en charge à cette phase. C’est le cas le plus heureux et souhaitable, bien qu’elle soit longtemps considérée comme “un rhume qui t r a î n e”. Nos chiff res sont nettement inférieurs à ceux de TR A I S-

S A C(14) chez qui les malades sont vus plus tôt, dans 90 % des cas, à un stade dysphonique.

La localisation : dans 21 % des cas, il s’agissait de form e s a g ressives étendues à la sous-glotte et à l’arbre re s p i r a t o i re i n f é r i e u r. Cette situation est très pourvoyeuse de complications en pré et peropératoire et n’autorise guère une décanulation précoce. L’envahissement sus-glottique et pharyngé par contre est observé dans 68 % des cas. Chez BENHAMOU(3), on ne retrouve que 53 % des cas de localisation glottique.

Anatomopathologie

63% de nos patients ont bénéficié d’un examen anatomopa- thologique de la pièce de biopsie. Dans les autres cas, nous nous sommes contentés de l’aspect macroscopique caractéristique, pêchant par défaut. Elle est importante surtout chez l’adulte et une biopsie non étagée pourrait sous-estimer une lésion cancéreuse (6).

Aspects thérapeutiques

La trachéotomie

Ce fait est diversement apprécié et, dans tous les cas, elle a été salvatrice: 74 % dans la série de DIOUF(8) et 38 % chez BE N H A M O U(3). Elle témoigne de la consultation tardive de nos patients et/ou du retard au diagnostic.

L’épluchage

Ces séances ne sont pas menées régulièrement la plupart du temps du fait de l’inaccessibilité des structures chirurgicales ORL et peut-être des soins, de telle sorte que les malades sont suivis pendant un temps relativement long.

Dans sa série, BE N H A M O U(3) rapporte 66 % des malades qui ont pu profiter de séances allant de 3 à 22 et de façon hebdo- madaire contre 1 à 10 séances dans notre cas. Nos conditions d ’ e x e rcice ne nous permettent pas de faire des épluchages rap- p rochés chez le même patient (disponibilité des anesthésistes, équipement, coût pour le malade).

La décanulation

Elle a été faite après 2 contrôles endoscopiques avérés satis- faisants à 3 mois d’intervalle. Elle a été obtenue dans un délai de 2 à 5 ans chez 63 % de nos patients. BE N H A M O U(3) a obtenu une décanulation de 85 % de ses patients avant un an.

Ailleurs, en Europe, TRAISSAC(14) obtient 80 % de décanu- lation sans incidents. Ainsi, dans 26% des cas de notre série, celle-ci fut émaillée de complications à type de sténose trachéale ou laryngée ou encore d’extension de la papillomatose. Nous avons eu un cas d’extériorisation de la papillomatose au niveau c e rvical, par l’orifice de la trachéotomie. BE N H A M O U(3) a noté un cas de sténose sous-glottique dans sa série.

(3)

Papillomatose laryngée au Mali

Conclusion

L

a papillomatose laryngée, affection bénigne le plus sou- vent, sévissant surtout dans la population infantile, ne se re n c o n t re que dans environ quatre cas par an dans notre p r a t i q u e .

Cette fréquence est certainement sous-estimée, si l’on sait que n o t re pays est sous-développé et que les moins de 20 ans constituent la majorité de la population.

Il serait souhaitable de former davantage le personnel médi- cal à re c o n n a î t re les signes d’alerte que sont la dysphonie traî- nante et les dyspnées laryngées d’installation pro g ressive, afin d’éviter à ces enfants de devenir de véritables “petits rési- dents” hospitaliers.

L’ e ff o rt de sensibilisation en direction des parents pour qu’ils consultent rapidement la médecine moderne est un autre volet qui doit être constamment soutenu.

3 . BENHAMOU C AIT, RAJ IA, LARAQUIN et al.- Papillomatose laryn- gée de l’enfant à propos de 48 cas. J F ORL, 1996, 4 5 , 1 7 - 2 0 . 4. BENJAMIN B & PARSONS DS - Recurent respiratory papilloma-

tosis: a 10 years study. J Laryngol Otol, 1988, 102, 1022-1028.

5. BOMHOLT A - Juvenile Laryngeal papillomatosis. An epidemio- logical study from Copenhaguen region. Acta oto-laryngol (Stockh), 1988,105, 367-371.

6. CHAPUT M, NINANE J, GOSSEE S et al.- Juvenile laryngeal papil- lomatosis and epidermoid carcinome. J Pediatr, 1989, 114,269- 272.

7 . CRISTENSEN PH, JORGENSEN K & GRONTVED A - Juvenile papil- lomatosis of the larynx. A 45 years follow up from the county of Funen, Denmark. Acta oto-laryngol (suppl), 1984, 4 1 2 , 3 7 - 3 9 . 8. DIOUF R, OUOBA K, N’DIAYE I & DIOP LS - La papillomatose

laryngée: A propos de 27 cas. Dakar Médical, 1989, 34,102-106.

9. FRANCOIS M - Papillomatose laryngée. Encycl Méd Chir, Oto- rhino-laryngologie, 20705. A-10-2000, 8 p.

10. MEDJI ALP, HOUNKPE YYC & BAHINI G – A propos de 28 cas de papillomatose laryngée. Carrefour de la recherche, Cotonou, 1987, 1,53-72.

11. NARCY P, ANDRIEU-GUITRANCOURT J, BEAUVILLAIN de MON- TREUIL C, DESNOS J, GARCIN M & MORGON A - Le larynx de l’enfant. Rapport de la Société Française d’ORL et de patholo- gie cervico-faciale. Librairie Arnette, Paris, 1979, 211-225.

12. QUICK CA, FARAS A & KRZYZEK R - Etiology of laryngeal papil- lomatosis. Laryngoscope, 1978, 88,1789-1795.

13. SOONTORN A - Clinical study of juvenile laryngeal Papilloma.

Acta oto-laryngol (Stockh), 1988, suppl 458, 163-166.

14. TRAISSAC L, DEVARS F, PETIT J, PORTMAN D, PARAXANTHOS M, et al.- Résultat du traitement de la papillomatose juvénile du larynx, à propos de 158 cas.Rev Laryngol, 1987, 108,221-224.

Références bibliographiques

1. AG MOHAMED A - Etude rétrospective de 62 trachéotomies pratiquées dans le service ORL de l’Hôpital Gabriel Touré.

Bamako (Mali) de janvier 1986 à 1992. Méd Afr Noire, 1994,41, 277-280.

2 . BAUMAN NM & SMITH RJ - Recurrent respiratory papillomatosis.

Pediatr Clin North Am, 1996, 43,1385-1401.

Articles

Seuls sont acceptés des articles originaux. Ils doivent être adressés sur format A4 en triple exemplaire. Chaque page sera dactylographiée avec un maximum de 30 lignes par page. Une disquette sera jointe à l’envoi de la deuxième version (sous word ou format RTF).

Le nombre de pages dactylographiées attribué à chaque article proposé à la revue est limité à 12 (illustrations, bibliographie et résumés compris).

Sur une feuille à part, on joindra un résumé, les mots-clés, et la traduction en anglais du titre, du résumé (qui doit être plus long que le résumé français), des mots- clés et des titres des figures et tableaux. Titres et résumés en espagnol ou en por- tugais peuvent en outre être joints pour publication.

• Tableaux. Ils sont à la charge du Bulletin et ne peuvent excéder le nombre de 4.

Ils sont numérotés en chiffres romains, comportent obligatoirement un titre et si nécessaire une légende.

• F i g u re s . Elles sont numérotées en chiff res arabes, doivent être d'excellente qualité pour une bonne re p roduction et comporter un titre .

• P h o t o g r a p h i e s . Elles doivent comporter une légende. Elles seront publiées en noir et blanc, sauf accord part i c u l i e r.

• B i b l i o g r a p h i e . Elle est limitée aux auteurs cités et établie par ord re alpha- bétique. Chaque référence comporte un numéro d'ordre rapporté dans le texte entre parenthèses, le nom des auteurs avec l'initiale de leurs prénoms, le titre de la publication, l'abréviation du nom du périodique (en italique), l'année, le tome (en caractères gras), la pre m i è re et la dern i è re page (cf.

modèle ci-dessous*) . Indiquer tous les auteurs lorsqu’il y en a 6 ou moins;

sinon, indiquer les cinq premiers suivis de et al.

Courtes notes

Elles sont de 80 lignes dactylographiées (moins de 7000 caractères), non compris le résumé et les mots-clés, dans l'autre langue, quatre références bibliographiques, éventuellement un tableau : elles bénéficient d'une pro c é d u re de publication a c c é l é r é e .

Articles sollicités

Ils font l'objet d'un accord spécial entre le comité de rédaction et le (ou les) auteur(s).

Tribunes libres

Elles peuvent être publiées sous la seule responsabilité de l'auteur, éventuellement avec un avis joint du comité de rédaction.

T

out article adressé pour publication à la revue est enre g i s- tré et soumis pour avis à deux lecteurs s p é c i a l i s é s . I1 est indispensable de préciser les coordonnées complètes du corre s- pondant (téléphone, fax, E-mail éventuellement) et de rappeler le n u m é ro d'enre g i s t rement de l'article dans toute correspondance ulté- r i e u re.

Lorsque l'article comporte plusieurs auteurs, l'accord de tous les cosi- g n a t a i res doit être confirmé par écrit lors du premier envoi. Il doit être également certifié que l’article n’a été soumis à aucune autre publication.

Il est demandé aux auteurs de joindre une disquette informatique com- p renant le texte (intégrant tableaux et figures) et les fichiers d’origine des figures.

Ils font l'objet d'une demande expresse écrite ; ils sont adressés aux auteurs par l'imprimeur qui les facture à la Société. Les frais supplémentaires engagés pour des corrections surnu - méraires ou une iconographie particulière sont à la charge des auteurs. L'ensemble de ces frais doit donc être remboursé à la Société au reçu de la facture que celle-ci envoie aux auteurs.

* modèle de bibliographie :

R ECOMMANDATIONS AUX AUTEURS

L etarif des tirés à part est le suivant (frais d'envoi non compris)

• de 1 à 4 pages composées : 25 : 30 - 50 : 34 - 100 : 37

• de 5 à 8 pages composées :25 : 50 - 50 : 53 - 100 : 57

Tirés à part

•Articles de revue :

1. COLUZZI M, SABATINI A, PETRARCA V & DI DECO MA - Chromosomal diff e- rentiation and adaptation to human environments in the Anopheles gam - b i a e complex. Trans R Soc Trop Med Hyg, 1979, 7 3, 483-497.

Thèses, livres, congrès et rapports (titre en italique) :

2. BARBIE Y & SALES P - Rapport sur les sondages paludométriques eff e c t u é s dans la région de Zinder du 16 au 20 octobre 1962. Rapport n° 1796, OCCGE, Bobo-Dioulasso, 1962.

•Articles de livres (titre de l’ouvrage en italique) :

3. NELSON GS - Human behaviour and the epidemiology of helminth infections:

cultural practices and microepidemiology. In: BARNARDCJ & BEHNKEJM (Eds), Parasitism and Host Behaviour. Taylor & Francis, Londres, 1990, pp. 234-263.

Pour plusieurs références du même auteur, l’ordre alphabétique des auteurs suivants entre en compte, puis la date de publication.

NB : Veuillez éviter les points après initiales et abréviations.

Références

Documents relatifs

Pour des fractures isolées et peu déplacées de la malléole latérale, De Abreu et coll [68] préconisent l’utilisation de l’orthèse amovible de façon systématique,

Figure 24: A: fracture transversale de l’acétabulum droit avec protrusion de la tête fémorale associée à une fracture de la branche ilio-pubienne ; B : radiographie du bassin

Depuis le changement du bloc opératoire à froid effectué en 2008, aucune étude n’a été réalisée dans le service pour apprécier l’impact de ce déménagement sur les

postopératoire pour le patient, la douleur et les nausées ne venant respectivement qu’en troisième et quatrième positions [6]. On estime que l’étiologie des NVPO

La planification des activités chirurgicales consiste à établir un planning qui spécifie, sur un horizon donné, les interventions qui seront réalisées chaque jour et dans

Dans notre étude le taux d’infection a été plus élevé chez les malades admis en urgence soit 10,5% contre 3,15 pour les malades programmés avec P=0,00241, la différence peut

Dans notre étude nous avons constaté que la majorité de nos lésions cervicales étaient située dans la zone II soit 71,44% des cas et 29% de nos patients avaient la section

Votre courage, votre enthousiasme à transmettre votre savoir, votre rigueur scientifique, votre disponibilité constante ont contribué à l’amélioration de notre