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La Femme dans la Société Congolaise

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Texte intégral

(1)

NATIONS UNIES

CONSEIL

ECONOMIOUE ET SOCIAL

Distr.

LIMETEE

E/CN.14/SW/INP.17

18 mars 1969

Original : FRANCAIS

COMMISSION ECONOMLQUE :P0UR L' AFRIQUE Reunion regionale sur le role des femmes dans le developpement national

Addis-Abeba, .17^-26 mars 1969

. LA FEMME DANS LA SOCIETE CONGOLAISE

La delegation du Congo-Brazzaville, tres heureuse d'assister a cette confe'renee, adresse son salut fraternel et remercie les responsables de la Commission eoonomique pour l'Afrique et de la Pondation allemande pour les pays en voie de developpement d'avoir bien voiilu l'inviter a see assises.

Nous alloris vous presenter un rapport sommaire, certes, mais qui vous donnera une idee sur le role de la Femme Congolaise dans le de*veloppeinent national•

1. La Femme Congolaise dans la tradition

2, La Femme Congolaise dans la vie moderne

•;■ .i '.■ a) A l'epoque de la colonisation ' ;

b) Apres I1independence

3« La Femme dans la Revolution

! a) Du point de vue politique : b) Du point de vue social

c); Sur le plan education d) La Femme dans i'emploi LA FEMME CONGOLAISE DANS LA TRADITION

A ce propos, pas d'engagement excessif : le sujet est trop. important pour vouloir le traiter en peu de temps. La place accordee a la Femme dans la vie traditionnelle peut avoir quelques nuances avec l'ethnie, le systeme parental selon que les relations familiales sont patrilineaires ou matri- lineaires. Mais restant dans les generalites, nous ne risquons pas de nous tromper beaucoup en disant que la Femme Congolaise, a lfinstar de toutes

Bemblatlles d'Afrique, n'echappe pas a l'emprise de la tradition,

1

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E/CN.14/SW/INP,17

Page 2 : :

En dehors des figures peu frequentes de Femmes-reines, de Femmes- chef, rares sont les societes ou la Femme apparait comme chef de fami lie ou joue un role important. Soumise par sa nature a des rythmes cycliques, elle semble etre sur le point de mire vers lequel sont diriges toutes sortes de tabou&, d'interdits coutumiers, qui contribuent a son maintien a 1'etat d1inferiority vis-a-vis de Ron partenaire du sexe oppose. ■

Tout enfant, elle est elevee dans l'attente du mariage et preparee essentiellement, a I1image de sa mere qui est sa principale educatrice

et sur qui elle doit prendre exemple, a ses futures responsabilites domesti- ques e£ familiales dont on ne mesure pas la grandeur, A la puberte, tres tot sans son consentement on la marie : elle est dans beaucoup de cas choisie par un homme qu'elle ne connait meme pas ou par les parents de celui-ci, et l'alliance ou plutot le pacte de se conclut sans elle, entre les deux families, la sienne et celle du pretendu mari.

Apres le mariage, chacun des partenaires continue de dependre de son

propre clan:(famille concue a l'africaine au. sens le plus large, famille tentaculaire) Men fait, la femme quitte ses parents pour vivre avec 1'homme,

elle constitue un gage de son propre clan, le clan de l'epoux devant remet- tre en contre partie au clan de l'epouse, un gage qui constitue la dote", Les fruits du travail de la femme comme les enfants issus d'elle, appartien- nent a son clan : I1union conjugale est loin de creer une unite sociale, une famille nouvelle. L'epouse vit en etrangere dans la maison de son epoux, que du reste elle est contrainte de partager avec d'autres epouses

(eternel probleme de la polygamie en Afrique).

Etre efface, consideree comme une creature faible, elle est tenue a 1'ecart des questions et reunions importantes. Ses occupations premieres sont les taches domestiques et les travaux des champs : c'est a elle que revient le soin d'assurer la nourriture de la famille.

Dans le reglement des affaires de famille, elle peut etre consultee mais son opinion n'a pas beaucoup d'influence dans les decisions prises, Vavis de lfhomme est toujours preponderant meme s'agissant de la progeniture de la femme : c'est toujours le pere, l'oncle, le frere ou le mari qui

exerce l'autorite effective. La femme a toujours une condition moins favora ble que celle de son partenaire. Mais malgre cette inferiority, ce mutisme

qui lui sont imposes (puisque dit-on : l!la societe a ete faite par I'homme pour l'homme"), la femme n*exerce pas moins une influence sur la societe,

ne serait-ce que le simple pouvoir moral sur ses enfants qu'elle eleve, ou

simplement comme gardienne de cette tradition qui lfasservie. Cela prouve

que rien de durable ne peut se construire sans qu'elle ne soit melee de

pres ou de loin.

LA MJME CONGOLAISE DAWS LA VIE MODERNE

a) A l'epoque de la colonisation

Comme tous.les pays colonises dependants des capitaux etrangers, le Congo etait un pays arriere du point de vue economique, social et culturel.

Dans une telle situation il ne pouvait etre question des problemes de la

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femme,ses droits decoulant de sa position subordormee au sein de la famille et de la societe traditionnelle comme il a ete dit plus haut. Le pays ne pouvait lui donner plus d'avantages que la Prance n'en croyait a l'homme congolais en general* La femme-etait 1'objet de la plus grande discrimina

tion* ■ ■■ ' ■■:!,...:,\ •■■■ . ■■:..■.,•__

Neanmoins, les filles des villes commencaient a frequenter de facon timide l'ecole, mais personne ne comprenait 1'interet et ne voyait la ne- cessite de leur'instruction. Une fenme,£isait-on, n'a pas.besoin dfetre instruite pour tenir une case et s'occuper de son mari et de ses enfants.

II suffit qu'elle sache balayer, laver, repasser et faire la cuisine pour etre bonne et prete a occuper sa place au foyer. .

"Cette place primordiale du foyer pour: lafemme se decelait partot^t, dans I1Education familiale et meme dans lfeducation scolaire : les ecoles feminines en majorite religieuses, ne preparaient pas toujours au certificat d1etudes primaires; le brevet d1etudes premier cycle est reste pendant long- temps un luxe, et il n'etait pas question de baccalaureat". Les conceptions retrogrades conservatrices du r61e de la femme dans la societe etaient un obstacle serieux a 1'inclusion rapide de la jeunesse feminine dans' les ecoles, empechaient la feirime de s'e*panouir« Le colonisateur exploita cet etat de choses et ne fit rieri pour soutenir et orienter la Congolaise dans ses etudes qui du reste etaient presque toujours interrrompues par le mariage precoce. Peu de filles franchissaient le cap de 1•enseignement primaire;

les rares qui; y parvenaient etaient attrrees tres tot, par les professions

subalternes delasante et de 1'ehseignement (infirmieres, monitrices),

Ce sont les deux branches qui' ont vu les premieres femmes saiariees au Gongo,

Pendant eette period© coloniale,.la'femme congolaise beneficia comme toutes les femmes ^des- colonies frah9aises d'Afrique du droit de vote en 1945? grace a la lutte des femmes d'Europe, L'homme congolais., avec lf6veil politique a connu des deportations en masse, laissant assumer seule les responsabilites familiales, ce <jui lui a occasionne une certaine prise de conscience. Mais malgre tout, un trait:essentiel de I'epoque:reste l^loigne- ment de■1'element feminin, des affaires publiques. ■

"b) Apres I'iridependahCe ^

Le Congolais eleve au pbuvoir, le nouvel intellectuel, souhaitent avoir des femmes dignesde leur rang. En meme temps le cout de la vie s'eleve»

Devant ces exigences nouvelles, les parents comprennent la ne"cessite dfenvoyer leurs filles a lfecole pour ne pas les voirvieillir sans mariet moisir dans la misereo Ce mouvement entraine une intensification, de la scolarisation feminine placant le Congo au premier rang en Afrique avec son voisin le Gabon. ;

Les responsables, desireux de faire aseeoir et triomph.er; leurs ntombreux partis politiques^ se tournent vers les femmes et creent des Associations feminines, dans lesquelles sont enrolees les femmes et.parents des leaders et militants politiquee. Chacune'de ces associations representait une ten dance et fonctionnait parallelement au parti dont elle etait I1emanation.

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Les deux principaux mouvements de cette epoque etaient l'UEFA cree par le parti progressiste congolais (PPC) et les femmes Caimans cree par 1'Union

democratique de defense'cLes interets africains (UDBIA). Ces associations

ne servaient qu'a faire penetrer la propagande des multiples partis dans les milieux feminins et faire grossir par ce biais les rangs des electeurs.

Mais eiles ne trompaient personne sur le manque d'audience reelle et leur

inconsistance.

A ce moment la, on ne pouvait pas encore parler dfune prise de conscience

de la part des femmes : elles vdtaient mais manquaierit de formation politi

que* L'homme ne les associait pas veritablement aux affaires de la Nation, il s'en servait uniquement pour realiser ees ambitions personnelles. La femme n'avait pas de responsabilite dans la cite, elle etait toujours

dominee par 1'nomine et gardait ainsi ses complexes d1 inferiority tradi-

tionnelle.

LA FEMME BANS LA REVOLUTION

a) Du point de vue politique

Bepuis les journees des 13, 14 et 15 aout 1963, l'homme congolais a tendu reellement la main a sa compagne et cherche a 1'integrer en tant que force vive et revolutionnaire consciente, dans lfedification nationale.

En effet, au lendemain de la revolution, entrainees par 1•enthousiasme de tout le peuple, les femmes ont emerge" du trou ou les terraient les mythes coutumiers, pour prendre part aux cotes des hommes et des jeunes, aux cele- ' bres "operations retroussons les manches" sioheres a tous les Congolais,

Mais le fait le plus frappant a ete sans nul doute, la presence de noms de trois femmes, candidates au poste de depute a I'Assemblee nationale, sur la liste electorale unique du 8 decembre 1963, liste passee a I'unanimite*

Pour la premiere fois dans l'histoire du Congo, la femme ne se con-

tentait plus d'etre electrice mais devenait eligible et etait elue. A ce moment la, commence la participation de la femme a la vie politique. Pour-

suivant 1'integration politique de I1 element feminin, les dingeants, lors de la reaction du Parti Unique (le mouvement national de la revolution :

MR) en Juillet 1964, faisaient elire une femme comme tresoriere adjointe

du bureau politique. En outre I1on comptait plusieurs femmes au comite

central du parti (instance politique supreme de la nation). Et de plus en

plus nous pouvons constater la participation des femmes dans les delega tions speciales des mairies, les conseils preTectoraux et sous-prefectoraux.

Notons aussi deux femmes au conseil economique et social.

Certes, nous reconnaissons que cette participation de la femme dans le domaine politique est encore tres faible quant au rapport entre le nombre d1 elementsfeminins et celui d1 elements du sexe oppose" : mais, grade au

mouvement du 31 juillet,nous sommes persuadees que, sous l'impulsion du CNR

et de son vaillant President le Commandant Itoien NGOUABI, la femme congo-

laise se hissera au rang de la femme emanoipee des pays evolues du monde.

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Page 5

b) Du point de vue social

j Sur le plan social, les responsables ont eveille la conscience feminine t , en demandant a. la femme congolaise de s'unir et sforganiser au sein dfun

! * mouvement fort, capable de defendre ses interets. Aussi. a-t-on assiste

lors du congres des femmes du Congo en mars 1965, a 1'abolition d'une multitude de petites associations et a la naissance df une association uni que, a laquelle I1on a donne le nom significatif dfUNION REVOLUTIONNAIRE

DJSS mmES DU COJK5O (URFC). Elle s'est fixee pour objectify les points

j _ suiyants, mentionnes dtxs les statuts au chapitre II - article 6 : i - .accelerer la cooperation creatrice entre les femmes

!

j _ appeler les femmes a participer pleinement et cohstamment a toutes

' les activites nationales

1 - organiser et renforcer 1'unite des femmes .

1

I - veiller attentivement a la promotion de la femme en tant que citoyen-

i ne a part entiere

I -. lutter c.ontre les coutumes retrogrades qui entravent Involution

j . de la,femme . , . . ,

; - ■encourager la prise de conscience chez la femme de participer a

!■ I'accomplissement des taches economiques

\ - tout mettre en oeuvre afin que les femmes participent cu qu'elles

• se trouvent aux cours d1education de toutes sortes ayant pour but

: de developper leurs connaissances.

, Toujours pour promouvoir la femme, le Gouvernement congolais tend a j lui cpnfier de plus-en plus des responsabilites administratives, En.effet,

j depuis la nationalisation de l'enseignement, en octobre 1965, les colleges

d'enseignement general feminin, les colleges d'enseignement technique feminin et certaines ecoles primaires, sont diriges par des femmes qui ont sous leur autorite non seulement des. professeurs femmes, mais aussi des

j professeurs hommes.

j Dans la meme optique, en 1966, on elevait au rang de directrice d*un

| service central au sein du I-linistere de la sante publique, de la popula tion et des affaires sociales, une femme* Ce fut un evenement qui fit couler beaucoup de salive 1 la femme deveriait responsable nationale au

meme titre que l'homme. . . .

i

Soulignons que les postes de direction n'etaient jusque_la reserves

! qu'aux hommes qui, pour beaucoup prennent mal la coricurrence feminine actuel-

le. Mais les responsables revolutionnaires tentent de briser les vieilles croyances qui veulent que la femme soit un etre inferieur, incapable d'au- torite et de decision. Us veulent demontrer que placee devant les memes responsabilites que l-'homme, avec les memes prerogatives, elle est capable de se realiser de la meme maniere que luij ainsi, en 1969 une autre femme vient d'etre nommee directrice generale de l'enseignement. i'ai nomme■"• : Mile GNALI Aimee.

(6)

Pa

c) Sur le plan education ; ; ._....

Dans ce domaine aussi, la Congolaise a les memes chances que son

partenaire, les portes de I1instruction lui sont ouvertes a tous les echelons,

. Les enfa-nts ;dgs .deux ■ -ssXas- ost un egal acces aux etudes a tous les

niyeaux (primaire, seoond&ir-ei superieur)* ftkis malgre un bon taux dfe scolarisation qui donne une. place de choix au Congo,-lfelement feminin reste encore sous-scolarise par rapport a l'el^ment masculin. Ce n'est pas la faute des responsatles mais plutot de la nature et du temperament meme

des jeunes filles, citons pour cela : la loi 19/64du 13 juillet 1964 prote-

geant les eleves raineui'es de£ grossesses. Cette loi prevoit une amende

tres elevee et une peine d5emprisonnement ferme, pour tout auteur d'une grossesse u'J sieve

Neanmoins, des' problemes'se poseht toujours.. Nous deplorons le fait que plusieurs filles depassent le cap de 1'enseignement primaire, qu'une moyenne appreciable entre. dans le cycle secondaire jusqu'en classe de troisieme, mais que le nombre en soit nul en classe terminale. Les Congo- laises interrompent encore trop tot leurs etudes pour des raisons de famille

(manque de soutien ou de moyens) ou simplement. pour des causes personnelles - (grossessss, )

: ,±±) ■■ Education extra-scoiaire (formation des. adultes)

La aussij I^UFJSCC par Pintermediaire du service national d'al- phabetisation, en ooliaboi'ation avec les services sociaux de l'Etat, alphabetise sans discrimination les adultes des deux sexes qui ont ete prives pendant leur jeimesse des bienfaits du Bavoir : . :

2 Sections ^(Section- feminine ■ ■ : ■ ■ ■

(Section masculine ... ■

Programme de la section feminine :

. , ■ -- alphabet!3£.tion par1 methode globale . :■ - - cours dfhygiene familiale

- couvs d'eccnomie domestique

r cours d1 education sanitaire e;fc nutritionnelle .. — cours -de pueri culture . ;

! - collaboration avec les services de santer des affaires sociales em'c de 1 ■ kgriculture . ; . .

- stage de formation, d'instructrices et recyclages periodiques

Personnel ex nombre d'auditrices : ...

76 instructrices auditrices

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Quelques e*CQles fami nines at/ des, 't&ixz dfcleves les freqaentant :

Appellation Enseignement- general ■■ Formation technique . . Capacite Javovhey

mehf general ':

Ste-Therese

St.Jean-Bosco College d'enseigne-

rr>?,n+ technique "

feminin Notr'e-fiame do

Loxirdes

.•-. >'.'i,: ). . • - ' i ~-.: ' • ' •

Centre feminin

de Dolisie Cours de formation

technique feminin Centre feminin

Plateau .15- arisr

Ecole. 3 Sections :

A/ Monit.Sup^rieures B/ Inst.Adjointes c/ Institutrices

Une vingtaine de colleger d'^ncoi^n general mixtes

Epolqs de.formation-medi.co-s'p^iale

. ^: C«E«S,Bc,,. Brazzaville .,__.. l,

PointW-Noire

Futurr •ca^xes femin±r?.s en formation, environ *

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Les cours pnt debute il y a deux ans. A part quelques employees des affaires sociales et de l'e&ucation nationale, la plupart des ins- tructrices travaillent benevolement.

Toujours dans le cadre de la formation extra-scolaire, les affaires sociales et l'Union Revolutionnaire des Femmes du Congo s'occupent des femmes au titre de la promotion feminine (alphabetisation, hygiene, cou ture, cuisine, puericulture), afin de leur donner les elements indispensa- bles a la bonne tenue du foyer et des enfants.

d) La femme dans 1*emploi

Actuellement plus de 2.250 femmes occupent un emploi salarie au Congo.

Un quart est employe par les entreprises privees : ce quart souffre de

la discrimination par manque de formation professionnelle et parce que aussi

les employeurs accordent plus de credit aux employees europeennes, quel que soit leur niveau.

Le plus gros employeur de l'el&nent feminin est l'Etat qui en utilise

le 3/4 soit environ 1250 salariees reparties comme indique au tableau, page 9.

Dans la fonction publique, il nfy a pas de discrimination entre

employe homme et employee femme : a niveau professionnel egal. Le Gouverne- ment congolais respecte le principe d'egalite des deux sexes en emploi.

En outre il existe une legislation du travail garantissant les droits de la femme et la protegeant contre les risques : droit au conge, reglementa- tion des horaires de travail, avantages decoulant de la maternite.

A cote des femmes occupant un emploi salarie, nous trouvons toutes celles qui travaillent dans I1ombre, en agriculture et qui nourrissent

la population du pays. Nous ne pouvons donner de chiffres, faute de statisti-

ques precises sur la question. KJais nous savons que la plupart des marches du pays sont ravitailles par leurs soins.

PERSPECTIVES DfMANCIPATION ET DE PARTICIPATION DE LA FEMME CONGOLAISE AU DEVEL0PPE&5ENT

Apres tous les points etudies sommairement plus haut, nous ne saurons dire que la femme congolaise contribue pleinement, d'egal a egal avec Phomme a 1'edification de son pays. Car, nous constatons que mBme dans la vie politique ou sa presence est effective, sa representativite reste minoritaire : en cas de vote elle est toujours ainsx, malgre* toutes les possibilites qui lui sont accordees, I1on denote une certaine apathie de

sa part.

En somme, I1on peut souligner en gros que les droits dont jouissent actuellement les femmes au Congo, ne sont pas inherents et oonseoutifs a une action feminine soutenue, intense et Organisee. Ifiais ils peuvent plutot etre compares a un cadeau de la volonte compatissante de certains responsables revolutionnaires, pour leurs camarades femmes jusque-la brimees.

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Adminiatration -de rat- . v: ; tachement . Services administratifs et

..financiers ;

Services judici&ires

San%& publiaue : -3ages-femmes

-Sages-femmes ajointee -Infirmieres d'Etat -Agents techniques -Infirmieres brevetees -Matrones

-Aiuciiiaires' .hospitalieres Affaires sociales :

-Aasistantes sociales -Auxiliaires sociales

f-^Ai des-social es

-Monitrices sociales -Monitrices de couture

Education nationale -Eki&eignement primaire -Elementaire'1

-Ehaeignement primaire moyen

-Enseignement secondaire :--- lyc«es

^Sasexgnement technique Statistiques

Us ine.texti1e de U-KISSOUNDI -

Fonctionnaires

1 administratrice du travail;

- quelques agents speciales

- des coramis et dactylos

Pas de cadres supe*rieurs de la magistrature - quelques greffiers et

commis

Pres d'une quarantaine

Pres d'une vingtaine Pres d'une trentaine en grand nombre

t! tl II

n 11 n

- 45 -

en grand nombre

400 femmes

Oontractuelles et dec is ionnai res

De creation i*6cente avec l'aide de la Republique populaire de Chine

(10)

'Page 10

Le nombre deja important de fecimes ne cesse de croitre de jour en jour (sur

dix bebes 'qui "rialssent aPhoprfcal ;j*""'.' d\ de Brazzaville, 6 environ sont filles) : c'est, done la determination de'cos memes responsables de faire participor I1element feminin a la vie de la nation, pour ne pas perdre des bras et des forces creatrice£«

En consequence, la femrce ne doit pas se croiser les "bras avec un air satisfait pour aoquis qui na sont pas le fruit de son propre travail et de sa ;,os.:-". 'I. ■.-:*.- Mais ?*u contrairev elle doit travailler a sa forma tion, son information e'<: son perfect?, onnement a quelque echelon qu'elle se trouve, pour pouvoir meriter ce c^ui lui a ete, si gracieusement et parfois avec beaucoup d^ reticence.offert par i'nomine*

Nous disoris done c;ua la feiiipe doit prendre a etre digne de la confian- ce ,que certains hcmn33 ont miee en elle, en pensant qu'elle est femme et qu'elleest Congolaise? e'z c'sst en tant que telle, qu'elle devra sHntegrer et participer a lfevolution de son pays : drabord en tenant compte de sa nature feninine el erLrjite, do son etat de citoyenne. Pour cela elle doit viser une preparation conditionnse par :_

- la forraatiori .^co^uaire

- la tor'vA'lxon ^rofessionnelle

- la formation oivicme ot I1 animation, qu'on peut designer sous le - terms global da formation sociale (dirigee par I1Education populaire,

les service-; u?.ti■x.&v-.y: dv'.ilphabotise,tion, les affaires sociales).

En un mot 1Jaction feminine doit envisager la formation de la femme en tant qu3 Spouse ct uiers, dono :"if3ponsable de la societe par les soins qu'elle apports a la vio de sa famille et 3.'education de ses enfants, futurs citoyons.

En parlaiit e'e j.'o.iuoc.Mor. dei.: ?:ifants? notons que personne ne peut eduquer s'il :ie l*& ''+■£ prCViVolement lui-menie. II y a done necessity absolue d!edua"iior cu for-rc-rAwv IMiu^.tior des femmee, pour qufelles puissent valablerre-.rc a Icjui* to^u foiiuer leurs onfaiits afin de les aider a etre des citoyenrj ooiiPoionts, des patriotes avises du devoir national.

La participation veritable do la fenme au developpement sera liee a son emancipation porsoiuiellej t l-'oveil d-a sa conscience* Ici nous avons l'espoir quo 1g Go'.werneraen'l; congolais continuera I'action deja- Sba'uchee dfirro^ivjr'.ion et de revalorisation de la femme• Nous sommes surs qu'il mettra toujours tout en oeuvre pour encourager et developper les actions en favour d.e\''*:vx.\:':-if:n furnr.^b ici nous pensons a des mesures sociales preservatit la femmc de tout aEidervissement de la vie tradition- nelleo 3%is nbus no cc3sercrxa de souligner que le role primordial pour l'emanci^citic.i :'t'..-1*: '-i revierrb a la feniae elle-meme et e'est a ce niveau qu'intei^ient 1:action de^ asr-jeciations feminines et 1*obligation de former des educatricesr

Brazzaville, le 15 mars 1969

(11)

Fillesscolaris<§esdepuis'13ans-CommunedeBrazzaville ENSEIGNEE/iEWT Ahhee""Primalr&Scondaire-Technicfue-Super,- 1956 1957 1958 1959 ■4960 1961 1962 1963; 1964 1965 1966 1967 1968

- -.-.4.433- 5.331" 6.427: .--10.42a *-*« ... 14.102 ■23.967 T8.289 ...20*2-35 21.809 23*965

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...liotal. ./:4.686... .5.336 '6.789 10:911 v*-.- 14.TO2 25.923 19,974

211.972

24*626 26.265 M.S.=Medico-Social©

a/ Deiixieme cycle. b/ Premier et deuxieme, cycle des lycees.

(12)

Progresdelasoolarisationdesfilles Aucoursdes18dernieresannees (ycomprislesfillesetrangeres) Annee 1951 1952 1953 ENSEIGNEBWT PrimaireSecondaireTechniqueSuperieur CEGetlyceeLycee 1ercycle2h:r.ccycleITc.^alElementCoxirtLongSup.M€d.S« 6.19482 210 7.148211

975 1.172

Total 7.251 210 8.531 1954 1955 1956 4957 1958 1959 i960 1961 1962 1963 1964 1965

8.949 •H.584 13.OO8 17.078 21.851 27.884 32.432 39.838 49.185 57.292 61.030 68.905

203 244 254 317 475 603 958 974 1.269 1.652 2.062 2.293

---•- ... 136 109

... 41

928 712 485 647 455 266 249 393 483 647 367 477

- 3

10.080 12.540 13*747 18.042 22,781 28.753 33.639 41.205 50.937 59.591 63.595 71,828

(13)

Progresdelascolarisationdesfilles Aucoiirsdesi8-derni£resannees.-.-—... (ycouiprislesfillesetrangeres)'

(sui-fce) - .

AnneePrimaire:~"■Seconaaire ;CEGetlycee!lycee 11er 1966.77*198.(2)2*661; 1967

,32.272 (2) 3 .. 3,951.(?) ,657 (0

"ycleNormal- 118-

.13042).

71(:

Technique■;Superieur Element

i■-■j Total

L45^3 (0 .485

(1)::1$(1)12(f)80.986 (11L.34.LUJOJ1)87.412 1968.41.3

4V47P <) (2) 41974 (2) 149 (2^ 107 (1) 373 .CO.. - B5Q (1) .4.1 "(1) (4) 93.929

de1951a1965gtrang.|r.es (1)Congolaises/qiniquemeiit;-

comprises etrangere:scomprises.4Med.S'=;Medi-Sciciale i

(14)

Page 14

Repartition du personnel enseignant par sexe grade et statut-

Grades

Licencies

Adjoints df enseigne- ment

Ingenieurs

Professeurs de CSG

Professeurs techniques adjoints Instituteurs

Instituteurs adjoints

Autres J_,'

Total

Statut

\

H

F H

F H F H F

H

F H F

H F ir F H F T

Nationaux

121 4 2

-

9

-

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physique et sportive" et de.2 professeurs de, musique et "dessin*

(16)

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Repartition du personnel enseignant par grade et specialite

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Personnel enseignant 1'education physique, le dessin, la nmsique.

2/ Education physique, dessin, musique.

(17)

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Repartition du personnel enseignant: par grade et statut

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\J Personnel enseignant I1education physique, la musique, le dessin.

(18)

E/CN.14/SW/IHF.17

Page 18

Enseignement primaire elementaire - personnel enseignant par grade et par circonscription scolaire au 1.1*1968

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