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L envol de la Delorean

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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L’envol de la Delorean

Par Stan, Pierre, Anaïs, Loïc et Elise

Loréane vient de terminer le meeting avec les membres du conseil d’administration de son entreprise dispersés tout autour de la planète. C’est une jolie femme élancée, cultivée. Chacun suit ses instructions avec une sorte de dévotion.

Elle referme son laptop 3D qui flotte dans son salon. Plus de voyages lointains comme on le faisait dans le passé, toutes les réunions se font par la voie virtuelle. Elle grimace en pensant à sa corvée du mercredi soir. Une corvée obligée pour pouvoir réaliser son rêve.

Il lui faut se rendre dans la ferme du Louis, un éleveur de bovins. La distance étant très courte, elle est dans l’obligation d’utiliser une bicyclette. Heureusement que le chemin doit être accompli à la tombée du jour, car la température de ce mois d’été est insupportable. Au loin le Mont blanc a perdu de sa superbe, une calotte de glace minuscule couvre son sommet. Le lac Léman disperse le Rhône sans force qui s’écoule très lentement.

Loréane arrive à la ferme accréditée. Louis l’attend, perché sur son tracteur à hydrogène produit dans sa ferme. Dans cette belle campagne à la faune apaisée, à la flore éblouissante et à la biodiversité retrouvée, Louis enseigne à Loréane, pendant plusieurs heures, le maniement de la bouse et ses techniques de fabrication d’une brique. La soirée fut difficile pour notre belle, mais après trois heures d’efforts consentis elle réussit finalement à obtenir l’assemblage parfait. Alors Louis, heureux de ce travail accompli, lui donne le certificat tant attendu qu’elle reçoit avec beaucoup de fierté. Certificat grâce auquel elle accédera ainsi au droit d’acheter un billet d’avion pour un merveilleux Trek au Népal.

Une semaine plus tard, le grand jour est arrivé. Le jour précédent son départ, elle a pédalé trois heures sur son vélo d'appartement pour charger la batterie du véhicule intelligent qui la prendra au-devant de sa porte.

Son billet et son plan de voyage en poche, elle traîne sa valise jusqu’à son portail pour sauter dans la voiture électrique qui arrive pile à l’heure. “Madame nous arriverons à l’aéroport dans exactement trente minutes et vingt-sept secondes!”, Ronronne le véhicule à la voix chaude et engageante.

Le véhicule auto-piloté s’engage sur la chaussée peu fréquentée en cette heure matinale. Le trajet s’écoule rapidement. L’aéroport est constitué d’un immense bâtiment à moitié enterré et recouvert d’une dense végétation qui le protège des températures diurnes beaucoup trop élevées. Les avions parcourent à présent uniquement les destinations intercontinentales. Deux pistes, l’une d'atterrissage et l’autre de décollage sont largement suffisantes pour absorber la totalité du trafic aérien, les anciennes pistes non utilisées sont redevenues des lieux buissonneux idéaux pour accueillir la biodiversité animale et végétale.

Après avoir passé tous les contrôles d’identité et de sécurité, Loréane se dirigea vers l’embarquement.

Malgré tous les efforts de la communauté scientifique, aucune technologie fiable n’était encore parvenue à développer le défi si prometteur de l’avion à hydrogène. Le monde se contentait donc encore d’un modèle hybride relativement polluant. Le jour où il aura obtenu la fiabilité et la puissance voulue, les restrictions de voyage pourront enfin être partiellement levées.

En longeant le couloir, elle observe les autres passagers qui arborent tous ce même air d’excitation et de satisfaction à l’idée de partir. Sitôt assise, sa ceinture se boucle et son siège s’adapte aux courbes de son corps. L’avion survole des plaines arides, autrefois champs de verdure et le vol est réalisé sans encombres. Il se termine par un atterrissage en douceur sur le tarmac de Katmandou.

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Une fois arrivée, Loréane s’échappe rapidement de la vie trépidante de Katmandou et se rend dans l’aire de conservation de l'Annapurna. Grâce à son guide, elle réalise un trek et découvre l’Himalaya, cette mythique chaîne de montagnes. Elle est à la fois émerveillée par la singularité des paysages et étonnée de voir l'impact des changements climatiques sur la région : recul des glaciers, fonte du pergélisol et érosion.

Son voyage se termine dans le village de son guide, où elle peut rencontrer les ethnies locales et découvrir leur culture. Le soir, au coin du feu, les habitants lui racontent par exemple comment ils sont parvenus à freiner ou non l’extinction de certaines espèces comme le pika ou le manul.

Et, comme contrepartie à son voyage, elle clôt son séjour par sa contribution à la vie de la communauté. Devant une tâche qui aurait pu sembler impossible au commun des mortels, elle plonge avec bonheur ses deux bras dans la bouse de Yack étalée devant elle, la malaxe jusqu’à obtenir les tumulus voulus, afin de fabriquer le graal des briques de chauffage! En moins de trois jours, elle termine son œuvre devant les yeux éberlués et admiratifs des locaux.

Heureuse de cette merveilleuse expérience, rentrée au bercail, elle se plonge dans une nouvelle quête écologique en vue d’un nouveau voyage de rêve.

Climathon Genève du 13 et 14 novembre 2020 Stan, Pierre, Anaïs, Loïc et Elise

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Annexe

Version longue - L’envol de la Delorean

Par Stan, Pierre, Anaïs, Loïc et Elise

Loréane vient de terminer le meeting avec les membres du conseil d’administration de son entreprise dispersés tout autour de la planète. C’est une jolie femme élancée, cultivée, l’une de celle que l’on pourrait qualifier de divine. Ses affirmations ne peuvent pas être contestées et chacun suit ses instructions avec une sorte de dévotion.

Elle referme son laptop 3D qui flotte dans son salon. Plus de voyages lointains comme on le faisait dans le passé, toutes les réunions se font par la voie virtuelle.

Elle grimace en pensant à sa corvée du mercredi soir. Une corvée obligée pour pouvoir réaliser son rêve, car en participant au dernier de ses quatre stages intenses de préparation elle pourra enfin accomplir son rêve.

Il lui faut se rendre dans la ferme du Louis, un éleveur de bovins, situé à moins de cinq kilomètres de son habitation. La distance étant très courte elle est dans l’obligation d’utiliser une bicyclette.

Heureusement que le chemin doit être accompli à la tombée du jour, car la température de ce mois d’été est insupportable. Tout au long du chemin, des tuyaux distribuant de la goutte à goutte parcourent les cultures soignées et entretenues avec minutie. Au loin le Mont blanc a perdu de sa superbe, une calotte de glace minuscule couvre son sommet.

Le lac Léman disperse le Rhône sans force qui s’écoule très lentement.

Sur le bord de la route des étales vendent des produits endémiques de nos régions.

Le chemin est assez court et Loréane arrive déjà à la ferme.

Louis l’attend comme toujours perché sur un tracteur qui fonctionne à l’hydrogène produite dans sa ferme.

Il est particulièrement fier d’avoir obtenu l'accréditation pour pouvoir dispenser son enseignement.

Loréane descend de son vélo enfile sa tenue de travail et lance un grand sourire à son hôte.

-Merci Louis d’avoir accepté de m’enseigner cette technique si complexe!

Il la regarde en riant :

-Et n’oublies pas que tu dois faire ce travail à mains nues!

Loréane grince des dents un juron et enlève les gants en plastique qui ornaient ses menottes et ses ongles particulièrement soignés.

Qu’elle est belle la campagne Suisse, comme apaisée, avec des petits lapins et poules qui gambadent à leurs guises à perte de vue, tandis que des moutons s’activent à leurs tâches préférées, la tonte des bordures de routes et des espaces verts.

-Tiens viens ma belle! S’exclame le paysan. Avant de commencer ton dur labeur, je vais te montrer la diversité des plantes de nos campagnes.

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Elle est éblouie par ses explications, des fougères arborescentes, des fleurs, des plantes aromatiques ont retrouvé leurs places depuis si longtemps disparues.

C’est alors qu’il lui dit qu’il est temps de commencer sa formation.

-Regardes ces belles bouses, tu enfiles tes mains dedans bien profondément et tu les malaxes jusqu’à obtenir cela!

Il ballade devant ses yeux éberlués une sorte de brique d’excrément qu’il dépose sur une longue planche de bois et la triture jusqu’à obtenir une forme parfaite. Une sorte de tumulus de quinze centimètres de haut et vingt centimètres de diamètre.

La soirée fut difficile pour notre belle, mais après trois heures d’efforts consentis elle réussit finalement à obtenir l’assemblage parfait qui entreposé sur son trône sèchera demain sous les rayons ardents du soleil.

Alors Louis, heureux de ce travail accompli, lui donne le certificat tant attendu qu’elle reçoit avec beaucoup de fierté.

Grâce à ce laissez-passer, la semaine prochaine, elle pourra acheter ce sésame, ce droit d’acheter un billet d’avion et d’organiser un merveilleux Trek au Népal.

Le grand jour est arrivé.

Hier, elle a pédalé trois heures sur son vélo d'appartement pour charger la batterie du véhicule intelligent qui la prendra au-devant de sa porte.

Son billet agrémenté de la réduction du Revenu de Transition Écologique obligatoire et son plan de voyage en poche, elle traîne sa valise jusqu’à son portail pour sauter dans la voiture électrique qui arrive pile à l’heure.

-Madame nous arriverons à l’aéroport dans exactement trente minutes et vingt-sept secondes!

Ronronne le véhicule à la voix chaude et engageante.

Le véhicule autopiloté s’engage sur la chaussée peu fréquentée en cette heure matinale.

Elle profite de la longueur de son trajet pour ausculter à l’aide de lunettes à haute technologie que la pomme qu’elle va croquer provient bien d’une culture entièrement bio.

Sur le chemin, un arrêt express permet à l’une de ses amies de la rejoindre pour quelques kilomètres de voyage. Une vitre en plexiglass se déroule entre elles, leur laissant un lieu de vie confiné qui est nécessaire pour éviter la propagation d’un quelconque virus qui l’empêcherait, lors du contrôle sanitaire d’embarquer pour sa destination lointaine.

Loréane se rendant compte qu’elle a oublié, dans la précipitation du départ, d’emporter son parfum préféré, le commande par la pensée à l’imprimante chimio-technologique de la voiture qui en un tour de main le fabrique et le met à sa disposition emmagasiné dans une petite fiole très design.

Après avoir laissé son amie dans le village de sa destination, le véhicule arrive à l’aéroport.

C’est un immense bâtiment de plus de deux kilomètres à moitié enterré et recouvert d’une dense végétation qui le protège des températures diurnes beaucoup trop élevées. Son énergie est produite par d’immenses panneaux solaires disposés à proximité et sa température est régulée par un échange géothermique.

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Géré de manière coopérative, il est l’arrivée et le départ de nombreux moyens de locomotion. Gare ferroviaire, pistes cyclables, métros…

Les avions ne parcourent à présent que les destinations intercontinentales.

Deux pistes, l’une d'atterrissage et l’autre de décollage sont largement suffisantes pour absorber la totalité du trafic aérien, les anciennes pistes non utilisées sont redevenues des lieux buissonneux idéals pour accueillir la biodiversité animale et végétale.

Elle se dirige sur la gauche des terminaux pour faire valider son billet et faire désinfecter et enregistrer son bagage unique.

C’est d’ailleurs dans ce même endroit qu’elle a dû, une semaine plus tôt, recevoir un enseignement sur les us et coutumes du Népal.

Le coût très élevé des billets permet de payer décemment le personnel de bord et les taxes prélevées reviennent de droit à l’entretien et les coûts de fonctionnement de l’aéroport.

Après avoir passé tous les contrôles d’identité et de sécurité en présentant son iris devant une petite caméra ovale, Loréane se dirigea vers l’embarquement. Arrivée à la porte d’embarquement, elle voit le monstre d’acier se dresser au travers de la gigantesque baie vitrée.

Malgré tous les efforts de la communauté scientifique, aucune technologie fiable n’avait encore parvenu à développer le défi si prometteur de l’avion à hydrogène, le monde se contentait donc encore d’un modèle hybride relativement polluant.

Le jour où il aura obtenu la fiabilité et la puissance voulue, les restrictions de voyage pourront enfin être partiellement levées.

Loréane rêvait à cette perspective idéale quand l’affichage 3D apparut devant elle. Son nom y figure en lettres majuscules et une voix doucereuse lui dicte les instructions claires et nécessaires:

-Veuillez-vous présenter au comptoir pour l’embarquement, votre numéro de siège est le F 235, tout au fond du couloir central sur la gauche.

En longeant le couloir, elle observe les autres passagers qui arborent tous ce même air d’excitation et de satisfaction à l’idée de partir.

Sitôt assise, sa ceinture se boucle et son siège s’adapte aux courbes de son corps. Une sorte de dôme silencieux de confort l’enveloppe. Toutes les informations nécessaires à son vol lui sont immédiatement accessibles: itinéraire, horaire, menus, divertissements en tout genre qui vont lui permettre un voyage agréable.

L’avion décolle finalement et Loréane visionne déjà son premier film. Deux heures plus tard, on annonce le repas. Par de brefs mouvements de paupières, elle coche ses choix sur son écran immatériel qui lui fait face. Au menu, poulet bio, patates, et cardons :) de la région genevoise, accompagnés d’un petit vin de Founex très prisé et inévitable. Le plateau repas est livré sur un petit chariot autonome qui reviendra sous ses ordres pour le récupérer plus tard.

L’avion survole des plaines arides, autrefois champs de verdure et le vol est réalisé sans encombres.

Cela se termine par un atterrissage en douceur sur la piste d’atterrissage du tarmac de Katmandou.

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Au Népal, Loréane s’échappe rapidement de Katmandou qui grouille de sa vie trépidante. La pollution étouffante d’autrefois a maintenant disparu grâce aux véhicules propres qui parcourent la ville.

Elle se fait conduire à sa destination privilégiée. Départ de son trek.

C’est l’aire de conservation de l'Annapurna, son but est de découvrir à quoi ressemble l'Himalaya, de rencontrer les ethnies locales et découvrir leur culture.

En faisant le trek, elle est à la fois émerveillée par la singularité des paysages et étonnée de voir l'impact des changements climatiques sur la région.

Beaucoup de zones sont interdites d’accès car jugées instables à cause de l'érosion et la fonte du pergélisol. Il n'est pas rare d'avoir des petites routes fermées pour cause d'éboulements.

Le guide avec qui elle se trouve lui explique aussi le recul incroyable rapide d’anciens glaciers millénaires.

Son voyage se termine dans le village de son guide où de longues discussions avec la population autochtone qui lui explique comment elle contribue à la conservation de la biodiversité et des écosystèmes depuis quelques décennies. Elle apprend aussi comment, le fantôme des montagnes, la panthère des neiges a pu être sauvée de l'extinction. Des espèces comme le goral et le bharal, surnommé mouton bleu ne sont maintenant plus menacés.

La biodiversité par leurs bons soins est beaucoup moins menacée. Malheureusement le réchauffement climatique a donné le coup de grâce à plusieurs espèces animales et végétales qui n'ont pas réussies à survivre dans leur habitat naturel dégradé.

De plus, une terrible catastrophe sanitaire survenue au cours de la dernière décennie, une épidémie de SARS-CoV-6 a décimé les pikas! Rapidement déclarés éteints dans la région. Elle eut la catastrophique conséquence d'entraîner la disparition réciproque du manul, un gros félin grincheux friand de viande pikassine (c’est ma cousine).

Enfin pour clôturer son périple elle doit s'assujettir à sa tâche d’intérêt général. Cette tâche obligatoire, celle si patiemment apprise avec Louis.

Devant une tâche qui aurait pu sembler impossible au commun des mortels, elle plonge avec bonheur ses deux bras dans la bouse de Yack étalée devant elle, elle la malaxe de ses mains habiles jusqu’à obtenir les tumulus voulus, le graal des briques de chauffage!

En moins de trois jours, elle termine son œuvre devant les yeux éberlués et admiratifs des locaux.

Après cette péripétie himalayenne, dans le but d’optimiser son voyage, elle continue son périple dans le Teraï népalais. Pour cela, au lieu d’utiliser les lignes intérieures, elle choisit un moyen de transport plus écologique et profite de la lenteur de sa progression pour découvrir les différentes régions népalaises aux paysages variés. Elle sillonne les plaines de haute altitude puis redescend dans les forêts denses subtropicales. Elle rencontre ainsi en chemin les pandas roux !

Tout le Teraï, constitué de forêts en contreforts de l'Himalaya est classé à 60% sanctuaire protégé, le gouvernement népalais ayant considéré que les forêts et zones humides étaient des puits de carbone précieux pour son pays.

Grâce à cette stratégie, le fameux rhinocéros indien, le tigre du Bengale et la panthère nébuleuse ont été sauvés de l'extinction.

A peine rentrée au bercail, elle se précipite dans la ferme du Louis:

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-Merci mon coach de m’avoir enseigné la technique de fabrication des briques de chauffage à l’aide de la bouse de tes vaches!

Louis, ému par ces remerciements si chaleureux, ressent soudainement un élan amoureux le submerger. Après avoir lancé un bref regard à la Guitoune, sa vache préférée, pourvoyeuse en abondance d’une bouse de premier choix. Il plonge ses yeux amoureux dans ceux de Loréane.

Puis tendrement, ils s’enlacent, leurs lèvres, mouillées d’un désir réciproque se rejoignent.

-Loréane, veux-tu devenir ma femme ? Susurre-t-il dans une voix comblée d’émotion.

Loréane marque un temps d’arrêt à peine surprise par la demande, puis, elle répond:

-Oui je le veux!

Un beuglement langoureux dans le lointain se fait entendre, La Guitoune vient de perdre tout espoir de conquérir son Louis.

Climathon Genève du 13 et 14 novembre 2020 Stan, Pierre, Anaïs, Loïc et Elise

Manul ou chat de Pallas

Pika de l’Himalaya, proie privilégiée du manul

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