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L'absorption de la lumière par le brome et l'iode

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HAL Id: jpa-00205384

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Submitted on 1 Jan 1929

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L’absorption de la lumière par le brome et l’iode

P. Bovis

To cite this version:

P. Bovis. L’absorption de la lumière par le brome et l’iode. J. Phys. Radium, 1929, 10 (7), pp.267-272.

�10.1051/jphysrad:01929001007026700�. �jpa-00205384�

(2)

L’ABSORPTION

DE LA

LUMIERE

PAR LE BROME ET L’IODE

par M. P. BOVIS

Professeur au

Lycée

de Marseille.

Sommaire. 2014 L’auteur indique le moyen de réaliser des lames de brome liquide et d’iode solide extrêmement minces et d’épaisseur mesurable. Il détermine, dans le visible et

l’ultraviolet, la courbe d’absorption de l’iode solide, du brome liquide et en solution. Il

étudie l’influence de la température sur l’opacité du brome liquide. L’étude comparée des

spectres d’absorption du brome, sous les deux états liquide et gazeux, est exposée.

Lorsqu’on

essaie de rag-,se"ler les résultats de toutes les rec«.erehe-8 relatives il.

l’absorption

de la lumière par les diverses

substances,

on est

frappé

de constater combien sont peu nombreuses les véritables mesures

quantitatives

à côté de l’abondance des obser-vations

qualitatives.

Il en résulte que les diverses théories

proposées

pour

expliquer

le

phénomène

de

l’absorplion

des radiations

électro-magnétiques

n’ont

peut-éttre

pas été soumises à un contrôle

expérimental

direct suffisamment

fréquent

ni varié.

D’ailleurs,

les résultats connus ne sont pas

toujours

ceux que les théories

prévoient.

C’est ainsi que In

largeur

d’une bande

d’absorption

calculée par les formules de la théorie

électronique classique

varie

parfois

du

simple

an

triple

selon la

région

de la bande pour

laquelle

elle est

calculée ;

les

positions

des bandes

infrarouges

et ultraviolettes déduites d’une étude de la

dispersion

dans le visible ne concordent pas

toujours

avec les

positions

directement

observées,

la courbe

d’absorption représentant

une bande

unique

a

théorique-ment

l’aspect

d’un

graphique

en

floche,

dissymétriques,

dont le côté

abrupt

est

dirigé

vers les

grandes

longueurs

d’onde : on observe la

disposition

contraire chez les

halogènes.

La théorie est d’ailleurs très discrète ou muette sur l’influence

cependant

prépondé-rante exereée par certains facteurs tels que le

changement

de

température,

la mise en

solu-tion,

la modifications de l’état

physique.

Pour ce

dernier

cas, elle

prévoit

que le passage de l’état gazeux à l’état solide provoque un

déplacement

du maximum

d’absorption

vers les

grandes

longueurs

d’onde. Le sens du

déplacement

observé est

généralement

conforme à cette

prévision,

mais la variation mesurée est bien différente de

ln variation théorique

et il y a d’ailleurs des cas où la bande se

déplace

vers te

violet,

comme il arrive pour certaines bandes

infrarouges

du chloroforme et du benzène

liquide ;

pour le

brome,

elhe reste fixe.

De nombreuses mesures

quantitatives d’absorption paraissent

souhaitables pour

compléter

les vues

théoriques.

Il m’a semblé que de telles mesures exécutées sur un corps

aussi

simple

que

possible

pourraient

être fertiles en

renseignements

si l’on

faisait,

en

parti-culier,

varier l’état

d’agrégation

de la substance absorbante. Les métalloïdes de la

première

famiile offrent par une telle étude un choix assez

indiqué :

je

me suis

occupé

de solide et

plus

8péciahemuit

dn brome

liquide

on en solutions.

L’absorption

continue de ces imbstances intéressant surtout la

partie

violette et ultra-viol-et0153 du

spectre

a été

quantitaàiqarement

étudiée par ia méthode de

photométrie

photo-avec un

appareils

de

Hilger pui3

avec un

Jpectrographe

en

qpartz

Fabry-Bnis-scm.

Les

opacité

étudiées étant considérable

(une

rétmisseu1f’

de brome

liquide

de 6 microns ne transmet

:guère

1/10 OOÜ de fintellsitté dirrn faisceau de

longaear

6,.t17

),

il fallait réaliser des lames extrêmement minces et

d’épaisseur taep:eD.tdamrt bien

connue. J’ai

trouvé eoinmode d’étaler une

goutte

de brome entre deux lames de

quartz

de 2 -cm

X 2

cm

bien

surfacées,

l’ensemble étallt

bloqué

par une

épaisse

garaitute

périphérique

couÉfiUiée

(3)

268

par un

mélange

de cire d’abeille et de cire de carnauba. Je délimitais sur la lame une très

petite plage

circulaire de 5 mm de diamètre pour toute l’étendue de

laquelle

on

peut

admettre que

l’épaisseur

est constante et à travers

lacluelle je

mesurais

l’absorption.

Une telle cuve,

même en

été,

se conserve

plusieurs

heures. Peu à peu,

cependant,

le brome

attaque

la cire et

disparaît.

La lame de brome devient une lame d’air de même

épaisseur.

On mesure cette

dernière par une méthode interférentielle.

Pour les mesures sur

l’absorption

du brome à

chaud,

il me fallait des cuves soudées et telles que la lame

capillaire

de brome à travers

laquelle

passait

le faisceau

partiellement

absorbé,

fut constamment alimentée en brome. Deux

glaces

carrées de 5cm X 5 cm sont

séparées

l’une de l’autre en

interposant

entre elles

quatre

cales constituées par des

couvre-objets

de

microscopes.

On soude les bords des

glaces

en

ménageant

une ouverture pour le

remplissage.

Le broine introduit mouille par

capillarité

les deux faces de chacun des

quatre

Fig, i.

couvre-objets.

On réalise ainsi

quatre

doubles lames

capillaires parmi lesquelles

il est pos-sible de choisir des

plages

très

régulières

constamment alimentées par l’excès de brome

qui

remplit

la cuve et dont

l’épaisseur

est déterminée par une mesure

d’absorption

faite à froid. La difficulté consistait à trouver un ciment résistant à la chaleur

rigoureusement

étanche et

inattaquable

au brome. Je me suis

procuré

un émail utilisé dans la fabrication

des

objets

funéraires pour souder des motifs d’ornementation sur les vases : c’est un

mélange

de borates

qui

fond vers 500°C. Pour étudier

l’opacité

du brome à

chaud,

la

cuve soudée à l’émail était

disposée

dans un

récipient

à iaces de verre

contenant

de l’eau

pure que l’on chauffait

électriquement.

,

Mes mesures

indiquent

que le

spectre

d’absorption

du brome

liquide présente

une

(4)

à la valeur

0,66

pour la radiation

0,4i7~.

Une

région

de

transparence

fait suite dans l’ultraviolet avec un minimum de densité

0,11

pour la radiation

0~350~.

La bande volette

se trouve donc échancrée par une

large

bande ultraviolette

que j’ai

pu

explorer

quantitati-vement

jusqu-à

la

longueur

d’onde

0,296 tJ.

et

j’ai

pu m’assurer

qu’elle

n’est suivie d’aucune

région

de

transparence

dans l’ultraviolet

plus

lointain accessible aux instruments dont

je

disposais (0,250

p.).

J’ai constitué pour cela une sorte

d’appareil

à anneaux de Newton avec

deux lentilles de

quartz

de 15 mètres de distance focale. Une

goutte

de brome était instillée entre les deux lentilles et l’ensemble était

posé

sur la fente horizontale du

spectrographe

éclairé par un arc au mercure.

Fi g. 2.

Fig. 3

L’examen des clichés huilés montre que les

longueurs

des diverses raies

spectrales

vont en diminuant

régulièrement

à mesure que diminuent les

longueurs

d’onde. C’est la preuve

que

l’opacité

du brome croît

régulièrement

vers l’ultraviolet lointain.

Grâce à ces mesures, une étude

comparée

du

spectre

d’absorption

du brome sous les deux états

liquide

et gazeux est rendue

possible.

La vapeur de brome

possède

une bande

violette étudiée par Ribaud et

je

me suis assuré par une mesure

d’absorption

à travers une

épaisseur

de vapeur de ~0 cm que dans

l’ultraviolet,

au delà de

0, ~40

th, le brome gazeux

redevient absorbant.

Sous les deux états

physiques,

le brome

possède

une même bande violette dont l’indice

d’absorption

maximum se

place

rigoureusement

à la même

longueur

d’onde

o,~~1 ~d;

mais

l’absorption

maximum

rapportée

à la même masse de brome traversée par les radiations est

2 fois

plus grande

pour le

liquide

que pour le gaz.

L’absorption

moléculaire ne se conserve

pas. Ce résultat ne s’accorde ni avec les conclusions de

Kônigsberger,

ni avec certaines

observations de Dreisch. 1

La courbe

d’absorption

a son côté

abrupt

vers les

petites longueurs

d’onde aussi bien pour le brome

liquide

que pour le gaz. Ce résultat valable pour tous les

halogènes

est en

(5)

270

En s’aidant- due cette théorie et en utilisant la de la

large

bander ultiaiùoEtette du brome

liq11lIÏ1a}e

que

mesurée,

ainisi que lia

portion.

de courbe de

disper,,;ion qui

lui’

corés-pond,

le cal9cul

lJ’exïetence,

longueur

d’onde

U,,?90,,

d’une

région

d’absorp-tiori fois moins

large que, la

band’e

violette,

avec un indice

d’absorption

max’mum 5 fois

plus

grand

que nïaxim’um’ la

région

viio’Mt-e.

Or,

j’ai

constaté que 1e brome est opaque dans tout au~ delà de

O~ ~50¡J.. y

al1rai t. il une troisième bande ultra-violette

qui

échancrerait la bande

0,290

J’ai cherché à étuàler’ Gom’meTit se modifie le

spectre

d’absorption

du brome

liquide

sous l’influence de la

température

et de la mise en solution.

Fig.

4.

Fig.

5.

J’ai fait varier la

température

entre ~~° C et - Le brome étant solide à-7° C et

bouillant à

58,7°C

sous la

pression atmosphérique

normale,

j’espérais

que l’intervalle de

température

utilisé serait suffisant pour faire

apparaître

une modification

impor-tante,

sinon dans la

largeur

de la bande

violette,

dUlnoins dans la

position

et la

grandeur

du maximum

d’absorption.

Il ressort de mes mesures que la

longueur

d’onde du maximum

d’absorption

reste très sensiblement invariable et que

l’opacité

diminue à peu

près

comme si le coefficient de dilatation du brome

liquide

était rendu

près

de 7 fois

plus

grand

qu~il

n’est en réalité.

L’étude

spectrale

des solutions de brome dans

l’eau,

le

chloroforme,

le tétrachlorure

de earbone,

le sulfure de

carbone,

l’alcool est rendue délicate par l’altération

rapide

des

liqueurs.

La teinture de brome se décolore à vue

d’ceil,

par

exemple.

Il convenait de s’as-surer de la

pureté

des solvants. Dans le

spectre visible,

cette

précaution

n’est pas

essentielle,

l’absorption

propre des divers solvants

employés

étant

négligeable

mais dans

l’ultraviolet,

quelques-uns

des. solvants a.nt une

opacité

sensible

qu’il

m’a paru intéressant de connaître. J’ai mesuré cette

opacité

pour le chloroforme et le tétrachlorure de carbone et

j’ai

constaté que la bande

0,318 ~

attribuée à ce dernier corps par

Liwein-

et De,var était due à une trace de sulfure de carbone dans le tétrachlorure étudié. Dans toutes

les

solutions

bromées,

outre, la bande violette du métalloïde

plus

ou moins

déplacée,

et

atténuée,

presque évanouie dans

la solution

alcoolique, j’ai

mesuré une bande ultraviolette étroite mais très intense dont le maximum de densité

optique

se

place

aux environs de la

longueur

d’onde

0~60

{J..

(6)

Contrai-rement à ce que l’on observe sur les solutions

d’iode,

on ne ;érifie pas sur les

liqueurs

bro-mées que le

déplacement

des bandes verts les

grandes longueurs

d’onde est d’autant

plus

grand

que l’indice

d’absorption

maximum est

plus

considérable.

En

résumé,

il

apparaît toujours

deux bandes dans le

spectre d’absorption

du brome et

il était intéressant de savoir si cette conclusion était valable pour l’état solide. Une

diffi-culté considérable est à craindre

provenant

de la

complexité

du sys-tème cristallin

qui introduit

un

pléocbroïsme

gênant.

J’ai pu étu-dier ces

pléochroïsmes

sur l’iode

solide et

entreprendre

une mesure

d’absorption

en lumière naturelle sur une lame solide d’iode.

Si l’on

comprime

de l’iode

Fig.6.

FIg.7.

liquide

entre deux lames de Terre ou de

quartz

chauffées et si on laisse refroidir l’ensemble

en maintenant la

pression,

on constate ce

qui

suit :

1° Si la

pressions

n’est pas

considérable,

la couche

d’iode,

assez

épaisse,

se fendille à

l’instant de la solidification

et,

dans les crevasses ainsi

produite,

on observe la formation de lames d’iode très minces

d’épaisseur régulière

de l’ordre du micron.

2,- Si la

pression

est très

forte,

le

phénomène

ne se

produit

pas, mais on obtient une-couche d’iode

plus

mince que la lame

précédente. L’épaisseur,

de l’ordre du

demi-micron,

est

moins

régulière. Cependant

on

peut

arriver à obtenir ainsi des

plages

d’une trentaine de millimètres

carrés,

à faces très

approximativement parallèles.

De telles lames d’iode ne se conservent

pas longtemps.

Au bout d’une

quinzaine;de,jours,

des solutions de continuité

apparaissent

grâce auxquelles d’ailleurs,

ilest

possible

de mesurer

l’épaisseur par les

couleurs d’interférence enlumière naturelle

réfléchie,

en:utilisant

l’échelle des teintes à centre noir. J’ai mesuré sur de telles lames les densités

optiques

pour les deux rayons

polarisés

à

angle

droit dont les

absorptions

sont le

plus inégales.

J’ai mesuré en

(7)

272

outre en lumière

naturelle,

une bande de

largeur

considérable

(0, ~49 (J.)

et dont le maximum

se

place

aux environs de la

longueur

d’onde

0, 25~

(1.. Cette bande me

paraît

correspondre

à la

large

région d’absorption

sélectiye dont la

présence

a été

signalée

vers

0,206 P.

dans la vapeur d’iode.

Conclusion. - Nos connaissances actuelles sur les

spectres

d’absorption

continue de la lumière chez les métalloïdes de la

première

famille

permettent

quelques rapprochements

intéressants.

Tous ces

spectres

sont t constitués par deux bamles de

largeurs inégales,

la

plus

large

occupant

le domaine de

plus petite longueur

d’onde. Même en

solution,

l’existence de la double bande est la

règle

et la distinction

qu’on

a l’habitude de faire

parmi

les

liqueurs

iodées ou bromées entre les solutions de la

catégorie

dite brune et les solutions violettes tient moins

peut-être

à la

disparition

qu’à

l’atténuation de la bande du domaine visible.

Fig.8.

En nous en tenant exclusivement aux

propriétés absorbantes

des

halogènes

purs, l’étude

comparée

des

spectres

du

chlore,

du brome et de l’iode à l’état gazeux montre que le groupe des deux bandes subit comme une translation

régulière

vers les

grandes longueurs

d’onde

quand

on passe du chlore à l’iode et les deux bandes restent nettement

séparées.

°

A l’état

liquide,

l’étude

quantitative

sur le brome

indique

l’existence du même

couple

de

bandes,

la

plus

faible

occupant

exactement le même

emplacement

spectral

que dans la vapeur. Mais les deux bandes se recouvrent

partiellement.

Le même

phénomène

a été

observé

qualitativement

sur le chlore.

A l’état

solide,

nous n’avons de

renseignements

que sur l’iode. La

large

bande dont

j’ai

constaté l’existence

paraît simple. Cependant,

la courbe

d’absorption

qui

traduit les résultats de mes mesures

présente

une

légère

bosselure dans la

partie spectrale

0,5

tJü Peut-être n’est-il pas absurde de considérer cette vague

protubérance

comme un lointain souvenir de la

bande violette

0,506 tJ.,

caractéristique

de l’iode gazeux.

Ainsi,

à mesure

qu’un

halogène

prend

un état

physique

de

plus

en

plus dense,

la bande

ultraviolette,

d’abord nettement détachée de la bande violette dans les

spectres

des gaz, recouvre

partiellement

cette bande chez les

liquides

et finit par se l’annexer

complète-ment,

par un

élargissement

eacessif,

dans le

spectre

de

l’halogène

solide.

Je suis reconnaissant à M. le Professeur Buisson d’avoir bien voulu me

permettre

de

poursuivre

ce travail au laboratoire de

Physique

de la Faculté des Sciences de Marseille.

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