HAL Id: jpa-00238098
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Submitted on 1 Jan 1883
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Expériences de projection avec le courant voltaïque
L. Bleekrode
To cite this version:
L. Bleekrode. Expériences de projection avec le courant voltaïque. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2
(1), pp.277-279. �10.1051/jphystap:018830020027701�. �jpa-00238098�
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que ne le fait une colonne d’air. Ainsi l’excitatrice se réduisit de 38m"’ à gmm enylron
lorsque
laconjonctive,
dansl’hydrogène,
aug-menta
depuis
2mm environjusqu’à 7
En outre, une résistance
d’11) drogène
de 60om ~ 0"1"’
de lon-gueur set-iible ralentir sensiblement la
décharge.
Eneffet, quand
on
interpose
une telle colonne dans lecircuit,
l’excitatrice que l’on obtient est sensiblementt plns
courte(i3~"B~5)
si l’on remuerapidement l’excitateur,
de manière à fermer avec vi tesse le ci-cuit ;
elle est, aucontraire, plus lonbue (1 j’mm, 9)
si l’on fern1e le circuit en laissant tomber la branche mobile de l’excitateur parson propre
poids
et sans une fortepoussée.
D’autresexpériences
in’ont donné des résultants
analogues; toutefois, je
déclare quece
phénomène
a besoin d’êtreplus profondément
étudié.EXPÉRIENCES DE PROJECTION AVEC LE COURANT
VOLTAÏQUE;
PAR M. L. BLEEKRODE.
1>a fig~.
ireprésente l’appareil
quej’ai
fait construire pour dé-montrer le courant
voltaïque développé
par les actionschimiques,
avec les
phénomènes
connexes.Il se compose d’une cuvette
rectangulaire
à facesparallèles’
° Fig. 1.
(longueur o"1, 06,
hauteur om,0,), lar geur
om,01 ~ placée
enLre deuxsupports
métalliques,
servant à tenir des laines de différents mé-taux et à établir des communications avec un
gah-anoscope.
(celui-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020027701
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ci fait
partie
du mêmeappareil
et consiste en uncadre,
réduit à ~aplus simple
construction(hauteur Olll, 01),
à base d’éboni te avecdes bords recollrbés
qui
servent à le fixer directement sur la cuvette etpermettent
de Fenlever au besoin. Il contient deux ou trois couches de fil de cuivreisolé, de t
de Inillimètre de diamètre et unesaiguille
ainiaritée trèsInobile,
sebalançant
sur unpivot
à l’intérienr du cadre.Pendant
l’expérience,
onplace
la cuvette avec ses facesparal-
lèles à l’écran de
projection;
sil’aiguille
se trouvait alors en dehors ducadre,
on la forcerait à y rester en Inettant un aimant à la di-stance convenable.
L’appareil
se trouvant entre lalampe
à lumièreOY~TII~Tdl‘’lC~Lle
etune lentille de
grandeur
suffisante estprojetée
directement sur l’écran et seprête
auxexpériences
suivantes :1°
Développenlcnt
diteozci°ai2t heizdccj2t
l’actionchinliqae.
-~n
remplit
la cuvette avec de l’acidesulfurique
dilué à1’-o
et l’onfixe aux
supports
une lame de zincamalgamée
et une lame decuivre;
elles sontindiquées
par les lettres Z et C dessinées sur leverre et dont les
images
se voient sur l’écran en mêmetemps
du’elles.
Dès que les fils terminaux dugalvanoscope
sont réunisaux
supports, Faiguille
dévie de 60° à70°,
et l’on voit saprojection
se
raccourcir;
en mêmetemps,
on observeparfaitement
les bullesd hydrogène
sedéveloppant
sur la lame C et cessant dès que l’ai-guille
est revenue à saposition primitive
par1 interruption
ducourant.
2° .I~é~~2o ~~s~r~atLOr2 dit courant
clepolcii-isatioli. - Après
avoirenlevé le
cadre,
onremplace
les lames zinc et cuivre par des lames deplatine,
on les fixe auxsupports
et l’on remet legalvanoscope
en
place,
ayant soin que ses fils terminaux ne soient pas en con tactavec ceux-là. On fait passer le courant de deux ou trois éléments Grrove à travers la cuvette
pendant quelques
minutes et l’onvoit,
sur
l’écran,
les gaz sedévelopper
enquantités inégales,
lelong
des deux
électrodes, l’aiguille
aimantée restant sensiblement im- mobile.Interrompant
ensuite he courant de lapile,
on met le:?électrodes en communication avec le
galvanoscope
etFaiguille
accuse le courant de
polarisation
par une déviation très visibles etde courte durée.
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L’avantage
del’appareil que je
viens de décrire est de montrerpar
projection
simultanément et la cause et l’eiet desphénomènes
étudiés.
G. QUINCKE. 2014 Ueber die Anederung des Volumens und der Brechungsexponen-
ten von Flüssigkeiten durch hydrostatischen Druck (Sur le changement du volume et de l’indice de réfraction des liquides par la pression hydrostatique);
Sitzungsberichte der Königlich Preussischen Akademie der Wissenschaften.
t. XVI; avril 1883.
On avait à mesurer la
compressibilité
de diversliquides
et lavariation des indices de réfraction avec la
pression.
On seservait
pour les
premières
mesures, de vases en verre munis de tLibes ca-,
pillaires
et pour les secondes d’unappareil
interférentiel.Soient _y/
le nombre des bandes d’interrérencecorrespondant
iiun accroissement de
pression
dely"11
de mercure et à unelongueur
de
liquide
deD""" ;
Y le nombre des bandescorrespondant
à lapression
del’atmosphère
étalalongueur
deliquide
de 1 ooojl’ "’ .Désignons
aussi par t~ et n,, c et a, les indices et lespoids spcéci- fiques
avant etaprès
lacompression.
On a .u est la
compressibilité
duliquide,
), lalongueur
d’onde de la lu- mièreeinplo~,ée.
Or la différence des indices
peut
aussi se caiculer enpartant
i d’unequelconque
des formulesproposées
pour définir la c~o~zs~c~~~tocle