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GEORGES DORAN LA NUIT TOMBE SUR WEISSBURG

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Academic year: 2022

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GEORGES DORAN

LA NUIT TOMBE SUR

WEISSBURG

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Aux êtres qui me sont chers, mes parents et ma femme.

G. D.

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« ..Mais si l'on veut les séparer,

« Le coudrier meurt promptement,

« Le chèvrefeuille mêmement.

« Belle amie, ainsi est de nous.

« Ni vous sans moi, ni moi sans vous. » MARIE DE FRANCE Lai du Chèvrefeuille (XIIe s.)

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« ...Mais si l'on veut les séparer,

< Le coudrier meurt promptement,

« Le chèvrefeuille mêmement.

« Belle amie, ainsi est de nous.

« Ni vous sans moi, ni moi sans vous. »

MARIE DE FRANCE

Lai du Chèvrefeuille (XIIe s.)

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I

Ce matin-là, à sept heures exactement, l'abbé Alphonse Dorlin, curé de Gonneville-la-Mallet, bourg de cinq cents habitants situé à vingt kilo- mètres de Fécamp, trahissait une nervosité anor- male. Ce dont s'aperçut aussitôt Oscar Ridel, le bedeau. En effet, les gestes de M. le curé étaient brusques. Ils n'avaient pas l'onction habituelle pour ranger surplis, chasuble et menus objets dans le placard de la sacristie, où un jour opaque ve- nait s'abîmer contre les vitraux dépolis. Même durant l'office, le prêtre s'était quelque peu dé- pêché à dire sa messe basse. Avec ça, pas un mot à la sortie de l'église. Que pouvait-il bien se pas- ser ? Prêt à s'en aller, rallumant un mégot mar- tyrisé, le père Ridel questionna :

— Ça va-t-y pas, m'sieu le curé ?

— Mais si, Ridel. Pourquoi ?

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— M'est avis que vous n'êtes point comme à l'accoutumée. Avec ce temps mou, peut-être ben que vous auriez pris un coup de froid ? Hier, à la nuitée, vous étiez encore chez c'te pauvre Marie...

Rien n'échappait à la vigilance du dévoué Ri- del qui, depuis bientôt cinquante ans, servait la paroisse.

— Rassurez-vous, Ridel, je ne suis pas mala- de; mais il m'arrive, comme à tout le monde, d'avoir de petits soucis.

— Ah ça, pour sûr ! Et puis que les emm... (le père Ridel retint sa langue à temps !) Pardon, m'sieu le curé !... les embêtements, c'est pas ça qui manque. Alors à tantôt, m'sieu le curé.

Il enfonça sa casquette et prit le chemin her- bu serpentant entre les tombes du cimetière aux pierres rongées par la mousse qui efface les noms au long des années.

Dès l'entrée du jardin clôturant le presbytère, deux cockers, l'un noir, l'autre fauve, gambadè- rent en jappant bruyamment autour de la sou- tane. L'abbé Dorlin, d'une main indifférente, ca- ressa le pelage des chiens, gagna la cuisine où, sur un coin de table, fumait un bol de lait crémeux gonflant des flocons d'avoine. Là encore, contrai- rement à son comportement traditionnel, il ne déplia pas Paris-Normandie.

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Posément, il avalait sa bouillie; mais la petite étincelle pétillant dans ses yeux de myope don- nait à penser qu'il réfléchissait profondément, comme s'il cherchait à élucider une énigme. Pour la dixième fois peut-être depuis la veille, il ajusta ses lunettes, tira de sa poche le télégramme qu'il relut, alors qu'il l'avait pourtant en mémoire.

« Serai chez toi demain matin. Amitiés. Alban.»

Alban Berthier, son meilleur ami depuis le séminaire : un frère presque ! La vie les avait sé- parés, surtout depuis que Berthier professait au Lycée Voltaire, à Paris; mais, à certaines époques depuis la Libération, les deux hommes, atteignant la quarantaine, reprenaient contact, toujours aussi heureux de se rencontrer.

Quel motif impérieux pouvait amener Alban à Gonneville-la-Mallet ? Crise de conscience peut-

ê t r e ? . . .

« Après tout, n 'épiloguons pas !» songea l'ab- bé Dorlin, qui, préoccupé, ne termina pas son déjeuner, alla dans son cabinet de travail prendre connaissance du courrier puis sauta dans sa deux- chevaux pour se rendre à Criquetot-l'Esneval, où le doyen l'avait convoqué.

Avant de démarrer, il prévint Mathilde, sa gouvernante:

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— Je ne serai pas long ! J'attends une visite importante... Faites patienter, je vous prie... Il fut de retour vers les dix heures. Alban Ber- thier n'était pas encore arrivé. Sous le soleil qui rutilait, véritable coulée de miel léchant un par- terre de jonquilles et de crocus, le prêtre profita de ce contretemps pour lire son bréviaire. A plu- sieurs reprises, sa méditation fut interrompue par un flot de suppositions contradictoires. Oui... à quoi pouvait tendre cette arrivée inopinée ? Et en pleine période scolaire !... Petit à petit, au hasard des réminiscences, certains faits, quelques conver- sations troublaient soudainement son esprit. Com- ment n'avait-il pu le déceler plus tôt ? Certaine- ment l'âme d'Alban était meurtrie. Ce devait être cela. Le prêtre se reprochait de ne pas avoir su peut-être se pencher sur une détresse morale qui s'était dressée devant lui. Il était inexcusable.

Quand Alban serait ici, il pourrait encore répa- rer. Il trouverait les mots qui guérissent. Il est vrai que, depuis la fin de la guerre, Alban Ber- thier n'avait pas été très loquace, se refusant à parler de cette tragique aventure qui semblait l'avoir marqué à jamais...

Le fil de ses réflexions se brisa net. Un ronfle- ment de moteur se faisait entendre et déjà une quatre-chevaux noire débouchait dans l'allée cen- trale. Crissement de pneus sur les graviers... et la voiture stoppa au ras du perron.

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Rapidement, l'abbé s'avança au-devant d'Alban qui descendait de la Renault.

— Alphonse ! — Alban !

Ils s'étreignaient sans proférer l'une de ces mille banalités débitées en pareille circonstance.

Le prêtre était déjà rassuré quant à l'aspect physi- que d'Alban Berthier. Non, il n'avait pas vieilli depuis deux ans. Toujours aussi svelte, racé. Le type de l'universitaire distingué, dans un costume gris cendré de bonne coupe. Chevelure brune par- semée de mèches blanches. Front élevé, creusé horizontalement par une profonde ride. Visage mâle, au teint hâlé, éclairé de magnifiques yeux sombres, veloutés...

L'abbé Dorlin, tout à sa joie, s'empressait :

— Viens, je suis sûr que tu n'as pas déjeuné !

— Mais si, Alphonse... J'ai bu un café à Fleu- ry-sur-Andelle...

— Tu as fait bon voyage ?

— Excellent.

— Tant mieux ! Le temps avait du mal à se lever.

Mathilde, prestement, s'était emparée d'une valise de cuir brun et grimpait au premier étage.

— Tu restes pour la nuit, j'espère ?

— Bien sûr, mon vieux ! Et même deux ou trois jours si tu le désires !

— Comment ! Si je le...

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— Et si je ne dois pas trop t'importuner, sur- tout !

— Allons, Alban, sois sérieux ! Serait-il pos- sible que tu me fasses un pareil plaisir ?

Alban, sur un ton grave :

— C'est yrai, Alphonse, je suis entièrement libre.

Une certaine stupéfaction, mêlée de crainte, exsudait sur la figure du prêtre.

— Ah ! je m'en doutais un peu... Il t'arrive quelque chose !

— Oh non !... Tout ça, c'est fini... depuis de nombreuses années.

— Mais, quoi ?... Tu ne m'as jamais rien dit !

— C'est pour cela qu'avant de quitter la France...

— Tu pars ?...

— Oui. J'ai voulu te confier mon secret.

— Parle vite, je t'en prie !

— Tu sauras tout... mais ne me bouscule pas.

— Non ! non ! bien sûr !... Je suis tellement inquiet !

— Il ne le faut pas. C'est à présent que je vais reprendre goût à l'existence.

— Je ne comprends plus... bégayait presque l'abbé. Tu vas enseigner à l'étranger ?

— Non. J'ai démissionné.

— Tu as fait cela ! Mais comment...

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— Hélas ! Les problèmes matériels se sont fi- nalement résolus en espoirs. Je ne serais plus ja- mais professeur, ce qui ne m'empêchera pas, bien au contraire, tu le penses, de m'attacher aux tra- vaux historiques qui me sont chers.

Deux couverts étaient dressés dans la salle à manger style Empire où l'abbé n'admettait que des invités de qualité. C'est dire qu'il recevait par- cimonieusement. Il était heureux de constater qu'Alban faisait honneur au délectable pâté de lapin qu'un cultivateur lui avait offert — ce qui tombait à point en une telle occasion. Succédèrent des truites au bleu, un gigot, fromages, fruits, accompagnés d'un léger bourgogne puis café et liqueurs.

Tout en mangeant posément, l'abbé Dorlin se perdait en diverses conjectures mais il n'osait at- taquer de front. Ils auraient certes le loisir de ba- varder. Une certaine sérénité baignait les traits d'Alban.

Dans l'après-midi, ils visitèrent deux malades et, au retour, s'arrêtèrent à Saint-Jouin, sur la plage. Alban respirait largement les embruns de la Manche, dont les vagues glauques battaient fu- rieusement les pans crayeux de la falaise.

Une barre de brume barrait brutalement l'ho- rizon, se diluant vers les côtes anglaises. Ils rega- gnèrent le presbytère.

Le soir, après le dîner, ils se réfugièrent dans

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le petit salon Directoire. L'abbé proposa d'enten- dre les disques qu'ils aimaient naguère : Debus- sy... Ravel... Mozart. Enrobés par la fumée des ci- garettes, bercés par leurs rêves d'adolescence, ils écoutaient dans le recueillement se dévider les sons harmonieux, enveloppants.

Timidement, l'abbé risqua :

— Alban, tu ne m'as pas dit où tu allais ?

— Je pars pour Weissburg, en Bavière...

La surprise élargissait les yeux de l'abbé.

— Mais... c'est là-bas précisément, je crois, que tu as été prisonnier ? — Oui.

— Ah ! je devine maintenant !... Un pèleri- nage ?

— Non ! C'est la retraite d'un être qui a souf- fert.

— Décidément, je ne te suis plus !... articula le prêtre complètement dérouté.

— J'en conviens. Pour d'aucuns, ma décision paraîtra inconcevable... Mais quand tu sauras... Car nous n'avons jamais évoqué ma captivité, n'est-ce pas ? C'est une lacune qui va être comblée.

A présent, une perle sombre brillait dans le regard d'Alban, perdu hors du temps, hors des hu- mains... Il se leva, alla prendre dans le vestibule son porte-documents et revint. Il l'ouvrit et ten- dit à son hôte un cahier de moleskine noire.

— Tiens, lis ce manuscrit, Alphonse. Cette

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nuit si possible. Mon roman !... Et après tu juge- ras ! Je n'aurais pas eu le courage de te raconter.

Il faut excuser certaines faiblesses !

L'émotion serrait la gorge d'Alban. Sans mot dire, l'abbé saisit la tranche de vie d'Alban Ber- thier, qu'il avait hâte de dévorer.

Ils montèrent à leurs chambres.

Alban eut du mal à s'endormir... tandis que le prêtre, fébrilement, plongeait dans les feuillets couverts d'une écriture méticuleuse et tellement régulière...

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II

LE JOURNAL D'ALBAN BERTHIER

Pourquoi ce désir intense de relater des faits ? De tenir un journal ?

Peut-être y ai-je cédé par déformation profes- sionnelle : un éducateur souhaite engranger le plus de rudiments possible... Et puis, aussi, par oubli de soi-même... Toujours est-il que ces pages me suivent partout. La recherche de mon amour ? Cela me paraît éloigné. Pourtant, je le sens bien, mon passé, identique à celui de millions d'hu- mains, s'estompe dans une brume douloureuse. Le présent, seul, est important. Il m'arrive quelque- fois de songer à mes élèves du Lycée Corneille, à Rouen, auxquels je me plaisais à enseigner les campagnes de Napoléon, le Blocus continental ou

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bien les systèmes alpestres ainsi que la géographie de cette Allemagne dont aujourd'hui je suis le prisonnier. J'ai vingt et un ans : l'âge idéal pour perdre une guerre.

En juin 1940, près de Forbach j'ai été cueilli par une poignée de S.S. arrogants et superbes. Et la longue, impitoyable et monotone route a com- mencé. Faim, soif, insomnie... cela fait partie du métier de soldat. Nous étions plusieurs officiers, fourbus, dépenaillés, qu'un train crachotant, brim- balant, emmena d'abord dans le Wurtemberg — car ce ne devait être qu'une étape. J'étais anesthé- sié, sans aucune réaction au déroulement du pay- sage, pourtant d'une grandeur émouvante... La côte abrupte aux rochers blancs de l'Alb souabe...

les innombrables buttes dominant de riches pla- teaux coupés de forêts languissantes... les champs morcelés et les villes industrielles, tentaculaires...

Au loin, dans un crépuscule cyclamen, sur une colline, se dressait l'imposante masse du château de Hohenzollern, berceau de la famille impériale allemande.

Le voyage désespérant n'était pas encore ache- vé. Des heures... des jours... des nuits... des siè- cles !... pour parvenir en Bavière. Etendues de grasses prairies et océans infinis de hêtres, de chê- nes, de bouleaux avant d'arriver à Munich, la ville-musée, dominée par les deux tours de la

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Frauenkirche, couronnées de dômes verts. Là, des Kommandos furent formés et j'attendis patiem- ment les fluctuations de mon destin.

Je dois à la vérité d'admettre que l'administra- tion allemande, pourtant tâtillonne, submergée de paperasserie, était mieux organisée que la nôtre.

Rien n'échappait aux contrôles les plus sévères.

L'officier du camp devant lequel je comparus n'ignorait aucun détail de mon existence, de mes aspirations, de mes affinités, de mon idéologie : curieux phénomène du jeu des fichiers scrupuleu- sement tenus à jour !

Je fus affecté au secrétariat d'un industriel, dans Schâabing. Avant le cataclysme, où toutes les nuits on chantait, on dansait. Maintenant je trou- ve un Schwabing désolé. Et si, dans les célèbres brasseries « Hofbraühaus » ou « Löwenbraühaus », de blondes et souriantes serveuses aux longues nat- tes apportaient toujours la bière mousseuse dans les chopes de grès à couvercle d'étain, en revan- che les orchestres ne jouaient plus de polkas.

Le III Reich vivait son épopée, s'astreignait aux ultimes sacrifices. Plus de fêtes, de cortèges costumés, de mascarades. Terminées aussi les foi- res, les kermesses populaires où, dans les camps, au-dessus d'un feu, on faisait tourner à la broche des bœufs entiers, ou frire dès poissons enfilés sur un bâton.

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C'était le règne de l'austérité dans toute sa ri- gidité.

Je n'avais guère à me plaindre de mon sort, qui était plutôt enviable comparé à celui de mes frères d'armes qui croupissaient derrière les bar- belés. En France, personne ne m'attendait : or- phelin et pas fiancé. Donc, nul attachement au cœur. Si je revenais, seul l'abbé Dorlin serait mon confident.

Mon patron munichois, M. Muller, réformé, avait fait la guerre de 1914-1918. C'était un hom- me massif et bourru, cachant une nature bienveil- lante. Il éprouvait une certaine admiration pour l'armée française, et cela malgré notre défaite — ce qui dénotait parfaitement un esprit d'extrême indulgence.

Après avoir usé six mois déprimants, hormis mes heures de travail, jusqu'au soir où je rentrais à l'Oflag la plus entière indépendance m'était ac- cordée. J'en profitais pour flâner à travers Munich.

Longues rêveries sur les bords de l'Isaar, dans ces rues barrées de monumentales portes au style moyenâgeux. Stations prolongées à la Pinacothè- que. Méditation, souvent, en l'église Saint-Paul, qui me rappelait mes cathédrales normandes. Pro- menades aussi aux alentours de la statue de Ba- varia, avec un arrêt au Palais de la Bière.

Il est probable que j'aurais pu me lier avec quelques familles; mais sous leurs apparences

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Chaque matin, ils assistaient à la première messe basse. L'abbé Dorlin tint à donner une bé- nédiction supplémentaire à leur union.

Le bonheur arrive toujours à qui sait attendre.

Désormais des nuits magnifiques tomberaient sur Weissburg...

FIN

EDITIONS DES REMPARTS

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