• Aucun résultat trouvé

Québec ParDenis BourretGabriel AlainMichel LepageQuébecAoût 1991 SONDAGE AUPRÈS DES CHASSEURSDE PETIT GIBIER EN 1988-1989RÉSUMÉ DE L'ANALYSE DES RÉSULTATS

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Québec ParDenis BourretGabriel AlainMichel LepageQuébecAoût 1991 SONDAGE AUPRÈS DES CHASSEURSDE PETIT GIBIER EN 1988-1989RÉSUMÉ DE L'ANALYSE DES RÉSULTATS"

Copied!
14
0
0

Texte intégral

(1)

SONDAGE AUPRÈS DES CHASSEURS DE PETIT GIBIER EN 1988-1989 RÉSUMÉ DE L'ANALYSE DES RÉSULTATS

Par Denis Bourret

Gabriel Alain Michel Lepage

Québec

Août 1991

Québec

(2)

1. INTRODUCTION

La chasse au petit gibier est l'activité cynégétique la plus populaire au Québec. Les espèces les plus chassées, le lièvre et la gelinotte, sont réputées pour être prolifiques et résistantes à une exploitation intensive. En raison de ces caractéristiques, le M.L.C.P. consacre moins de ressource pour connaître les niveaux de populations de ces espèces comparativement à celles qui nécessitent un suivi plus serré, telles que le Cerf de Virginie et l'Orignal.

Pour mieux cerner la gestion du petit gibier et ainsi être en mesure d'en maximiser la mise en valeur auprès des chasseurs tout en assurant la conservation des espèces, un sondage a été effectué auprès des chasseurs de petit gibier durant la saison de chasse 1988-1989. Cette action qui fait partie d'une série d'interventions visant à faciliter la gestion des espèces de petit gibier s'avérait nécessaire face à l'accroissement de la population humaine, l'utilisation plus intensive du territoire, la disparition de petits boisés privés dans les basses terres du Saint-Laurent et de nouvelles modalités d'exploitation forestière. Toutes ces modifications étant des facteurs qui risquent de créer des déséquilibres au niveau de l'offre et de la demande pour la petite faune. Ainsi, les données obtenues de l'enquête permettront d'exercer un choix judicieux des meilleures modalités d'exploitation à utiliser pour minimiser les problèmes anticipés.

| 2. MÉTHODOLOGIE

I Une enquête postale a été retenue comme moyen pour rejoindre la population de chasseurs de petit gibier.

! La sélection des chasseurs s'est effectuée à partir du fichier des permis de chasse vendus en 1987-1988 aux ' résidents québécois. Tous les chasseurs sélectionnés ont reçu à l'ouverture de la chasse une carte des zones de chasse ainsi qu'un carnet du chasseur pour leur permettre d'identifier et d'enregistrer leurs prises. Ils ont été informés qu'ils recevraient un questionnaire à la fin de la saison de chasse. Le questionnaire fut transmis à 6480 personnes. Le taux de réponses s'établit à 45,2%, ce qui est fort satisfaisant compte tenu de la : longueur du questionnaire et du temps écoulé entre le début et la fin de la saison de chasse.

3. LA PARTICIPATION À LA CHASSE

j

i

i Au total, 258 900 québécois et québécoises âgés de 15 ans et plus ont chassé le petit gibier au cours de la . saison de chasse 1988-1989. Le taux de participation de ces chasseurs s'établit à 5,0% de la population québécoise âgée de 15 ans et plus. En moyenne 1 personne sur 20 chasse donc le petit gibier au Québec.

(3)

La population de chasseurs se compose de 94,7% d'hommes et de 5,3% de femmes. Cette forte représentation masculine a pour conséquence d'augmenter le taux de participation des chasseurs de sexe masculin à 9,8%, soit 1 québécois sur 10.

L'analyse des données montre qu'un chasseur de petit gibier pratique son activité en moyenne 8 fois par période de 10 ans. D'autre part, plus de la moitié des chasseurs chassent à tous les ans alors qu'un faible pourcentage ne chasse que sporadiquement. La relève des chasseurs est faible. Elle est évaluée à 1,6% en 1988-1989. Le taux de participation est le plus élevé chez le groupe d'âge 45-54 ans (Figure 1). Cette figure indique une population de chasseurs vieillissante de sorte que le taux de participation à la chasse au petit gibier risque de chuter de façon substantielle d'ici une quinzaine d'années si la situation en demeure inchangée.

Figure 1

Taux de participation à la chasse au petit gibier selon les groupes d'âge par rapport à la population

québécoise âgée de 15 ans et plus

8 T 7 . 1

15-24 25-34 35-44 45-54 GROUPES D'AGE

5.0

55-64 65 et

(4)

4. LA FRÉQUENTATION

A- LA FRÉQUENTATION TOTALE

Le chasseur de petit gibier est très actif car les 258 900 chasseurs de petit gibier ont consacré 3,1 millions de jours à la chasse à la petite faune, soit en moyenne 12,1 jours par année.

B- LA FRÉQUENTATION SELON LES ESPÈCES CHASSÉES

Les principales espèces (lièvre et lapins, gelinottes, tétras et perdrix...) ont fait l'objet de 67,7% de l'effort de chasse, les oiseaux migrateurs 16,2%, les petits mammifères de champs ou à fourrure (marmotte, raton, renard...) 11,3% et les oiseaux noirs 4,8% (Figure 2).

Figure 2

La fréquentation selon les espèces chassées

4.8%

16.2%

[2£22 Espèces principales

|^$xl Oiseaux migrateurs I I Petits mammifères

Oiseaux noirs

67.7%

(5)

C- LA FRÉQUENTATION MENSUELLE

La période d'affluence pour chasser le petit gibier se concentre sur une période de trois mois, soit du mois de septembre au mois de novembre. Au cours de ces trois mois, la fréquentation atteint 2 772 000 jours- chasse, soit 90% de la fréquentation totale. L'achalandage est à son maximum en octobre avec 40,0% des jours-chasse. La fréquentation chute à 8,0% en décembre, 2,6% en janvier et 0,8% en février, mars et avril regroupés (Tableau 1).

Tableau 1

Répartition de la fréquentation sur une base mensuelle

Mois de la saison de

chasse

Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier Février, mais et avril Total

Fréquentation totale (jouis-chasse) nombre % 629 000

1252 200 891500 249 200 82 500 23 300

3127 600

20,1 40,0 28,5 8,0 2,6 0,8

100

Chasseurs au petit gibier (1) nombre % 132 700

201300 167 300 57 900 16 900 9 700

258 900

51,3 77,8 64,6 22,4 6,5 3,8

100

Fréquentation moyenne jours par chasseur

4,7

<tf

53 43 4,9 2,4

12,1

Intervalle de confiance (2) inf. sup.

4,5 6,0 5,1 3,9 4,1 2,6

11,6

5,0 6,4 5,6 4,6 5,7 2,2

12,5 Note (1): Un chasseur peut avoir chassé au cours de plus d'un mois.

Note (2): Intervalle de confiance appliquée à la moyenne avec un niveau de confiance de 95%.

D- LA FRÉQUENTATION SELON LE TYPE DE TERRITOIRE

Le chasseur de petit gibier fréquente surtout les territoires non-organisés, sans structure d'accueil. Les territoires libres (terres de la couronne sans statut) et les propriétés privées ont reçu 89% de la fréquentation.

Près de 1,5 million de jours-chasse(47,7%) ont eu lieu sur les territoires libres et 1,3 million(41,3%) sur les terres privées. Par contre, les territoires organisés n'ont reçu que 11% de la fréquentation soit 344 400 jours-

(6)

chasse, les Z.E.C. avec 9,0% des jours-chasse, les réserves fauniques 1,1% et les pourvoiries 0,9% (Tableau

n

Tableau 2

Répartition de la fréquentation selon les types de territoires

Territoires

ZEC Pourvoiries Réserves fauniques Territoires libres Propriétés privées Total

Fréquentation totale (jouis-chasse) nombre %

281500 28 200 34 400

1491900

1291700

3127 600

9,0 0,9 1,1

47,7

41,3

100

Qmsseuis au petit gibier (1) nombre % 41300

10 000 18 100

147700

141600

258 900

15,9 3,9 7,0

57,1

54,7

100

Fréquentation moyenne (jouis par chasseur)

jouis

<V8

1,9

10,1

9,1

12,1

Intervalle de confiance (2) inf. sup.

6,3 2,6 1,8

9,7

8,7

11,6

7,3 3,1 2,0

10,5

9,8

12,5

Note (1): Un chasseur peut avoir chassé sur plus d'un territoire de chasse

Note (2): Intervalle de confiance appliquée à la moyenne avec un niveau de confiance de 95%.

Les 141 600 chasseurs qui ont chassé sur des propriétés privées ont déclaré fréquenter ce type de territoire principalement parce que la terre leur appartenait ou appartenait à une connaissance ou encore parce qu'elle était située près de chez eux. Seulement 6,6% d'entre eux ont admis ne pas demander l'autorisation du propriétaire avant de chasser sur une terre privée. Le motif le plus fréquemment évoqué par ces chasseurs est le propriétaire inconnu alors que le deuxième est le propriétaire tolérant

5. LE PRÉLÈVEMENT FAUNIQUE

Le prélèvement faunique évalué par le présent sondage, ne portait que sur la catégorie d'espèces appelées espèces principales dans le questionnaire et comprenant les lièvres et lapins, les gelinottes, le tétras, la Perdrix grise, les lagopèdes, le faisan, le dindon et le pigeon. La bécasse et la bécassine ont été ajoutées à cette catégorie.

(7)

A- LE PRÉLÈVEMENT TOTAL (espèces principales)

Le nombre de prises déclarées par les chasseurs de petit gibier en 1988-1989 s'élève à 4 037 700 gibiers ce qui établit la récolte moyenne à 17,4 prises par chasseur ayant prélevé au moins un gibier ou 15,6 prises pour l'ensemble des chasseurs.

La récolte moyenne pour l'ensemble des chasseurs est de 1,3 prise par jour de chasse.

B- LE PRÉLÈVEMENT PAR ESPÈCE I"

La taille de l'échantillon ne permettait pas d'évaluer de façon précise la récolte de chacune des espèces dites

! principales. Des regroupements ont donc été nécessaires.

La récolte de gibier à plumes est évaluée à 2 281 300 oiseaux et celle du gibier à poils à 1 756 400 spécimens. Le Lièvre d'Amérique est l'espèce la plus récoltée avec 1 508 800 prises. Le prélèvement de Gelinottes huppées, de Perdrix grises et de Tétras du Canada atteint globalement 2 012 100 oiseaux dont la grande majorité sont des gelinottes. Le nombre déclaré de Perdrix grises récoltées pourrait excéder la population de cette espèce au Québec, ce qui nous semble indiquer que beaucoup de chasseurs confondent

! le nom de ces deux espèces. Il en est sans doute de même pour la gelinotte et le tétras. Environ 85 000

! bécasses et bécassines auraient été abattues et rapportées (Tableau 3).

Le prélèvement moyen par chasseur avec prise est de 11,1 prises pour le gibier à poils et de 10,7 pour le gibier à plumes.

C- LE PRÉLÈVEMENT SELON LA RÉGION D'ORIGINE

! Les chasseurs de petit gibier en provenance des régions de la Côte-Nord et du Saguenay/Lac St-Jean sont ceux qui ont connu les meilleurs succès de chasse avec des moyennes de 26,3 et 25,9 prises par chasseur.

! Les chasseurs de l'Abitibi/Témiscamingue se distinguent également avec une moyenne de 19,2 prises par chasseur (Figure 3)

En contrepartie, les chasseurs des régions les plus urbanisées, Montréal et Québec, sont ceux qui ont enregistré les succès les plus faibles, soit 13,8 et 16,1 prises par chasseur. Les chasseurs de l'Outaouais ont

(8)

aussi connu une récolte plus faible que la moyenne avec 14,7 prises par chasseur, comparativement à 17,4 pour l'ensemble des chasseurs.

Tableau 3

Prélèvement des espèces principales en 1988/89

Prélèvement total Gibier àpoils(2) Lièvre d'Amérique Gibier à plumes Gelinotte huppée Perdrix grise (3) Tétras du Canada Bécasse d'Amérique Bécassine des marais(4)

Prélèvement nombre de prises

nombre % 4037 700

1 756 400

1508 800

2 281400 1266100

483 600 262 400 54 800

50 200 100

100

85,9

100 55,5

21,2 11,5 2,4 2,2

Chasseurs avec prise

nombre % 231500

158 200 142 900

213 600 158 300

59 900

50 300

19 400

17 200 100

100 90,3

100 74,1

28,0 23,5

9,1

8,1

Prélèvement moyen de gibiers par chasseur

17,4

11,1 10,6

10,7 8,0

8,1 5,2

2,8 2,9

Intervalle de confiance (1)

Inf. Sup.

16,6

10,4 9,9 10,2

7,6 7,3 4,6 2,5 2,7

18^

11,8

11,2 11,2 8,4 8,8 5,8 3,1 3,5

Note (1): Intervalle de confiance appliquée à la moyenne avec un niveau de confiance de 95%.

Note (2): Le gibier à poils comprend: le Lièvre d'Amérique, le Lapin à queue blanche, le Lièvre Arctique.

Note (3): Nous soupçonnons que le nombre de Perdrix grises est surévalué. Plusieurs personnes auraient pu avoir déclaré abattre une Perdrix grise alors qu'il s'agissait d'une Gelinotte huppée. Par ailleurs, il arrive très souvent dans le language populaire que le terme Perdrix grise corresponde à celui de Gelinotte huppée.

Note (4): La Bécasse d'Amérique et la Bécassine des marais sont deux espèces qui se ressemblent également. Cela peut expliquer le nombre élevé de prises de Bécassine des marais.

(9)

Figure 3

Le prélèvement moyen des chasseurs selon la région administrative d'origine

3 0 T

26.3

08 Régions

09

6. LA CHASSE AU PETIT GIBIER, UNE ACTIVITÉ DE LOISIR I

| Les chasseurs ont été interrogés sur les facteurs décrivant leur intérêt pour la chasse au petit gibier. Les trois facteurs qui ont obtenu la meilleure récurrence auprès des répondants sont le contact avec la nature (44,9%), I la détente (17%) et l'évasion de la routine (13,0%).

7. UNE PARTIE DE CHASSE SATISFAISANTE

La possibilité de consommer du gibier est le principal facteur invoqué pour qualifier une partie de chasse satisfaisante, alors que le nombre de gibiers abattus vient pratiquement au dernier rang parmi les facteurs proposés dans le questionnaire. L'absence d'interférence avec d'autres chasseurs et la difficulté que représente la chasse sont les deux autres facteurs principaux qui feraient d'une partie de chasse une expérience satisfaisante.

(10)

10

8. LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES

Les chasseurs de petit gibier ont dépensé près de 150,0 millions de dollars en 1988-1989 pour pratiquer leur activité, soit l'équivalent de 577,00$ par chasseur sur une base annuelle. Ils ont déboursé 44 244 900,00$

en achats de biens durables, tels les engins de chasse et les vêtements spéciaux et 105 091 700,00$ en achats de biens et services directement reliés à la pratique de l'activité (Tableau 4).

Tableau 4

Dépenses totales et moyennes du chasseur au petit gibier

Items de dépenses

Dépenses totales en biens durables courantes Dépenses en biens durables:

Rnging de chasse (arme à feu) Vêtements Dépenses courantes:

Forfaits Hébergement Alimentation Transport Permis et droits d'accès

Munitions, cartes et accessoires Autres dépenses

Dépenses totales

$ % 149 336 600,00

44 244 900,00 10S 091 700,00 44 244 900,00

24 926300,00

19 318 600,00 105 091 700,00

14 654 300,00 7 035 300,00 22 750 800,00 30 322 600,00 9 082 600,00

14 100 800,00

7 145 600,00

100

» , S 70/1 100

56^

43,7 100

13,9 6,7 21,7 28,9 8,6

13,4

6 * ,

Dépenses moyennes par

chasseur

$/an 577,00 171,00 406,00 171,00

96,00

75,00 406,00

57,00 27,00 88,00 117,00 35,00

54,00

28,00

Dépenses moyennes par

jour-chasse

$

- 33,55

-

-

— 33,55

4,70 2,20 7,25 9,70 2,90'

4,50

2,30

(11)

11

' L e s retombées économiques qui découlent des dépenses des chasseurs s'élèvent à l'équivalent de 2 065 emplois permanents, ou personnes-année, pour lesquelles une rémunération totale de 49 millions de dollars leur est versée. Les effets cumulatifs des retombées des dépenses des chasseurs apparaissent au tableau 5.

Tableau 5

Retombées économiques totales de 144,9 mfflioiis de $ provenant des dépenses des chasseras au petit gibier

Catégories

Main-d'oeuvre (personnes-année)

Salaires et gages avant impôt Autres revenus

avant impôt Valeur ajoutée au

coût des facteurs Importations Revenus pour le - Gouvernement du

Québec Revenus pour le Gouvernement du

Canada

Effets directs 1043

23 730,000

31268,000

54 998,000

51 925,000 5 840,000

2 715,000

Effets indirects

552

15 486,000

19 308,000

34 794,000

13 550,000 3 971,000

2 007,000

Effets induits

470

9 823,000

13 259,000

23 082,000

11 530,000 4 349,000

3 337,000

Effets totaux

2 065

49 039,000

63 835,000

112 874,000

77 005,000 14 160,000

8 059,000

(12)

Gouvernement du Québec Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche Direction de la gestion

des espèces et des habitats SP1911-1

(13)

Sondage auprès des chasseurs de petit gibier en 1988-1989.

Résumé de l'analyse des résultats.

Par: Denis Bourret, Gabriel Alain et Michel Lepage.

ERRATUM

LE LECTEUR PRENDRA NOTE QU'UNE ERREUR S'EST GLISSÉE AU TABLEAU 5, PAGE 1 1 . IL FAUT LIRE, POUR LA CATÉGORIE MAIN-D'OEUVRE, LES CHIFFRES SUIVANTS:

Catégories

Main-d'oeuvre (personnes-année)

Effets directs

1043

Effets indirects

552

Effets induits

470

Effets totaux 2065

(14)

Document PDF numérisé à 300 DPI Reconnaissance optique de caractères Numériseur Kodak 1260/1280

Adobe Acrobat 6.0

Le 20 décembre 2004

Micromatt Canada Ltée

Références

Documents relatifs

Rien fait Interpellé le discriminant Rendu l'affaire publique Evité la situation de victime Porté plainte Contacté ministère concerné Contacté entité En a parlé à

Néanmoins, sur les secteurs comptés où cette dernière, présente sans lâchers récents, a été signalée au moins une fois et où la distinction entre les deux espèces

Il n’y a aucune limite de prise pour la chasse ou le colletage du lièvre d’Amérique, du lièvre arctique ou du lapin à queue blanche, à l’exception de la zone 8 où il est

Selon les préleveurs de Lynx roux au Québec, la détérioration de l'habitat et la pression de piégeage sont les deux principaux facteurs responsables du déclin de cette espèce

Quatre Québécois(es) sur cinq (79%) sont d’avis que les artistes jouent un rôle prédominant dans la définition et la vitalité de l’identité québécoise, une proportion

Pour 16% des résidents de l’Ontario, 10% de ceux des Maritimes, 58% de ceux de la Nouvelle-Angleterre et 62% de ceux de l’Atlantique-Centre qui prévoient voyager au Québec au cours

Le petit gibier est omniprésent dans nos forêts. Les lièvres et les gélinottes sont les plus abondants et les plus communs de tous les gibiers. Quatre espèces dominent largement

Note : La question affichée pour les établissements en activité depuis moins de 3 ans était « Depuis le début de vos opérations, avez-vous fait appel à un ou des organismes pour