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UNE SÉLECTION DES MEILLEURS RESTAURANTS

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Édition 2021

UNE SÉLECTION DES MEILLEURS

RESTAURANTS

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LE MOT

Le Guide des restaurants créoles de La Réunion est un supplément du Jir. Edité par la S.A.S. Le Journal de l’île de La Réunion et imprimé par ICP ROTO Le Journal de l’île de La Réunion Centre d’Affaires Gamma Cadjee (1er étage) 62, bd du Chaudron, 97491 Sainte-Clotilde cedex, BP 40019

•Principaux associés : Gamma Cadjee • Président et Directeur de la Publication : Jacques TILLIER • Directeur Général Adjoint : Florent CORÉE • Rédacteurs

Professeur de cuisine Disciple d’Auguste Escoffier

La Réunion, mon île, terre de métissage et du vivre ensemble.Partout dans le monde, chaque Réunionnais est fier de son île. Elle nous offre des trésors merveilleux. Au delà des paysages, des cascades, de la mer et des montagnes, La Réunion possède une multitude de produits d’exception nourrie par le soleil, bercée par les alizés et l’embrun marin et cultivée par des grands passionnés. Des produits aux goûts, aux parfums, aux textures variées, de la vanille aux letchis, du palmiste à la lentille de Cilaos, de la fleur de sel de Saint Leu au curcuma de la Plaine des Grègues. Tous ces produits sont sublimés par des chefs dans un esprit de métissage. Chaque ethnie qui peuple notre île retrouve une part de sa culture dans notre cuisine

« mélanzé ». Cette culture culinaire est ancrée dans nos habitudes alimentaires. Un p’ti samoussa par ci, un p’ti carry par là le tout arrosé d’un p’ti sirop tamarin…Pas un jour ne passe sans ces ravissements.

Je n’ai de cesse de transmettre un savoir-faire, un savoir-être, une culture culinaire, ma passion de la cuisine. Car c’est à travers cette transmission que nous devons susciter l’envie de bien cuisiner et de faire évoluer notre cuisine, car une cuisine qui n’évolue pas est une cuisine qui se meurt. Pour faire évoluer notre cuisine créole, il faut en maîtriser les bases et les codes. Je ne parle pas de rougail saucisses « revisité ». Je parle plutôt du travail de nos beaux produits du terroir avec notre plus grande technicité au service de notre créativité. Je pense plutôt à une évolution, à l’instar d’un « filet de légine en croûte de combava, cromesquis de songe pâté, émulsion au gingembre mangue/géranium » ou d’une « ballottine de volaille farcie au foie gras, cannelloni d’aubergines grillées, crème de brède Mouroungue, croustillant de manioc. Je prends toute mon identité pour créer un autre plat aux saveurs de mon île.

Mais ne vous méprenez pas, rien ne pourra remplacer le bon vieux carry « Momon » qui nous fait nous sentir bien et qui nous replonge dans nos souvenirs d’enfance. Il est essentiel de faire vivre notre cuisine réunionnaise et de la transmettre aux générations futures. Référencer les établissements qui partagent ces valeurs du bien et bon manger permettra à tout un chacun de trouver rapidement un lieu de restauration où manger créole rimera avec plaisir intense, comme l’est notre île. Premier guide gastronomique du genre, cet ouvrage défend la cuisine de mon enfance, de mes racines, de mon identité : la cuisine créole réunionnaise. Paré pa paré ?

A l’aide de cet ouvrage gastronomique, nous pourrons réaliser une belle balade gourmande à travers nos terroirs réunionnais.

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EDITO

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L'arbre de la culture culinaire réunionnaise

Nous n’avons cessé de le clamer sur tous les toits durant ces années à qui voulait bien l’entendre : La Réunion a cette chance de proposer aux visiteurs la seule vraie gastronomie à part entière et entièrement à part de l’océan Indien. De la fusion de tous les apports africains, indiens, asiatiques et aussi méditerranéens a résulté une gastronomie particulière, unique et différente de chacune de ses composantes originelles, sans pour autant qu’aucune d’entre elles ne soit reniée. Du reste, ces composantes existent aussi par elles-mêmes sur l’île, quoique parfois « créolisées », comme la cuisine chinoise, par exemple. Pour les hommes comme pour la cuisine, rester à La Réunion c’est en effet s’exposer à une transformation en profondeur, une sorte de mutation. Cette gastronomie si particulière et si riche pourrait être comparée à un bel arbre. Si l'arbre veut pousser haut et durer longtemps, il doit avoir des racines solides et profondes. Mais à quoi servent des racines si l'arbre doit rester rabougri ?

Nous devons défendre nos traditions culinaires, les protéger, les perpétuer, mais sans pour autant fermer les portes aux recherches, aux innovations, aux changements inspirés que les générations de jeunes chefs peuvent proposer à leur carte. “Défendez votre marmite, mais ne restez pas dedans”, nous a déclaré feu Jean-Pierre Coffe lors de son ultime visite. Car même si on estime que le rougail saucisses, par exemple, est “dénaturé” par une célébrité (et sans aucun doute à juste titre), l'essentiel n'est-il pas que notre gastronomie suscite de l'intérêt afin que les curieux viennent la découvrir chez nous et la rapporte chez eux ?

Nous autres Réunionnais avons la chance incroyable de vivre sur un territoire riche de produits exceptionnels et d'une culture culinaire sans nulle autre pareille. Tâchons de ne pas l'oublier afin que les racines de l'arbre restent solides et que ses branches poussent bien haut.

Alexandre Bègue

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GUIDE MODE D’EMPLOI

Pourquoi ce guide ?

L’idée d’un guide des restaurants de cuisine réunionnaise a été suggérée dès la première année des critiques gastronomiques dominicales du Journal de l’Ile. Au terme de l’aventure des fourchettes, en 2018, il nous est apparu que ce genre de publication, en effet, pourrait apporter sa contribution dans le faire-savoir des meilleures adresses culinaires traditionnelles de notre île. Ce guide s’appuie donc sur plus de dix ans de visites à l’improviste et incognito pour mettre à l’honneur les adresses les plus méritantes (selon nous) même s'il n'est pas simple de faire un choix. Pour confirmer ou infirmer leurs notes, chacun de ces établissements a reçu une nouvelle visite au cours de l’année 2020. Quelques-uns ont même été testés pour la première fois.

Mais l’excellent d’aujourd’hui peut devenir moyen demain et inversement. Aussi aurez-vous sans doute deux ou trois remarques à nous faire sur la présence, ou l’absence, de certains établissements. Les pages de notes en fin d’ouvrage vous permettent d’inscrire votre appréciation personnelle. Les établissements figurant ici sont notés selon le seul fil rouge qui nous a guidé depuis toujours dans les critiques gastronomiques du JIR : le rapport qualité-prix.

Nous avons divisé La Réunion en six secteurs : Nord, Est, Sud Sauvage, Sud, Ouest, Cirques & Plaines. Chacune avec une couleur d’identification.

Les villes sont indiquées ici.

La nouvelle note des restaurants figure ici. Les restaurants se trouvant en tête de chapitre sont ceux qui ont été pré-sélectionnés.

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NORD

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Samoussas palmistes et chips de bananes aux Palmiers, margozes amères frites à l’Atelier Béton, les tables d’hôtes rivalisent d’inventivité tout en utilisant des produits du terroir (Pages 72 à 76)

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MENU

Répartition des 45 restaurants p. 8 et 9 Quatre gardiens de la cuisine créole p. 10 à 17

Notre sélection des restaurants

Le Nord p. 18 à 25

L’Est p. 26 à 37

Le Sud Sauvage p. 38 à 47

Le Sud p. 48 à 57

L’Ouest p. 58 à 63

Les cirques et les plaines p. 64 à 71

Notre sélection des tables d’hôtes

Quatre tables créoles authentiques p. 72 à 76

Notre culture culinaire

La place de la cuisine chinoise p. 78 et 79 Une marmite pleine de débats p. 80 à 82 Le goût péi, ça se chante oté ! p. 84 et 85 Le feu de bois «pour les nuls» p. 86 et 87 Les plats rares ou carrément oubliés p. 88 et 89 Chez Antou, merci pour tout p. 90 et 91 Légumes lontan le retour ? p. 92 à 95

Faites votre critique p. 96

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GUIDE MODE D’EMPLOI

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Saint-Denis

Sainte- Marie

Saint-Benoît Bras-Panon

Saint-André

Salazie

Cilaos

Le Tampon

Sainte-Rose

Petite Ile Saint-Pierre

Saint-Louis Etang-Salé

Les Avirons Saint-Paul

Saint-Leu Trois-Bassins

Saint-Philippe La Possession

Le Port

Sainte- Suzanne

Saint-Joseph L'Entre-

Deux

Plaine des Palmistes Plaine

des Cafres

Retrouvez la carte complète

de toutes les critiques réalisées depuis 2011 dans le JIR,

classées par année*

ICI

Puis cliquez sur «Carte des restaurants»

Choisissez l’année à afficher, cliquez sur le repère souhaité, puis sur «Plus d’infos» pour avoir

le lien vers la critique.

Ou allez sur restoreunion.com

Répartition des 45 restaurants créoles sélectionnés parmi les meilleures tables de La Réunion en 2020

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GUIDE MODE D’EMPLOI

Saint-Denis

Sainte- Marie

Saint-Benoît Bras-Panon

Saint-André

Salazie

Cilaos

Le Tampon

Sainte-Rose

Petite Ile Saint-Pierre

Saint-Louis Etang-Salé

Les Avirons Saint-Paul

Saint-Leu Trois-Bassins

Saint-Philippe La Possession

Le Port

Sainte- Suzanne

Saint-Joseph L'Entre-

Deux

Plaine des Palmistes Plaine

des Cafres

Répartition des 45 restaurants créoles sélectionnés parmi les meilleures tables de La Réunion en 2020

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Deux nouvelles fourchettes en or

La tournée de 2020 nous permet d’attribuer deux nouvelles fourchettes en or : l’une au restaurant Le Ben Ile, à Dos d’Âne et l’autre à La Roz i Dor à Sainte-Rose. Les points communs de ces établissements ? Ils sont tous les deux tenus par un couple, monsieur au fourneau et madame au service pour l’un, et inversement pour l’autre. Tous deux proposent également une cuisine créole authentique, de qualité, à des tarifs doux.

Ils rejoignent les restaurants précédemment récompensés de la fourchette d’or, dont ceux des quatre

«piliers» à qui nous avons donné la parole, et que vous découvrirez dans les pages qui suivent.

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QUATRE PILIERS DE LA CUISINE CRÉOLE

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Chez Ti-Fred

« Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été derrière ma maman lorsqu’elle entrait dans la cuisine, j’adorais ce lieu de l’habitation. À 8 ans je me débrouillais déjà bien et à 14 ans j’étais devenu autonome dans le domaine. À mon époque la viande était rare, le cari poulet n’était servi que certains dimanches et nous cuisinions davantage de légumes : les brèdes, caris de légumes et toutes sortes de racines composaient l’essentiel de nos repas d’antan. J’ai commencé ma carrière professionnelle en ma qualité de mécanicien mais la passion de la cuisine ne m’a jamais réellement quitté. Après 20 ans de mécanique, le métier a changé et s’est concentré sur l’électronique. J’avais 45 ans, je n’avais jamais touché un ordinateur de ma vie, j’étais largué. J’ai alors décidé de revenir à ma passion profonde : la cuisine. À mon humble avis, la véritable cuisine créole ne se réinvente pas. À 60 ans, je ne vais pas m’employer à dénaturer ces mets aux traditions si bien ancrées. De mon vivant, jamais je ne mettrai de la menthe dans un cari poulet par exemple. Pareil pour le rougail : pas de safran ni d’ail dans ma recette mais oignons, tomates et thym, rien de plus. En revanche, j’essaie toujours d’innover en mariant des légumes oubliés à une viande : patole, calebasse, baba-figue, manioc, ti-jacques… sont en fonction de la saison des incontournables de la carte du restaurant.

Je conserve les traditions en cuisinant au feu de bois mais la différence avec la façon de faire d’autrefois réside dans l’allègement en matières grasses et en sel. D’ailleurs, les gens me le disent : le cari n’est pas gras et se digère très bien. Voir des clients quitter le restaurant ravis reste la plus belle des récompenses. »

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NORD

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14 QUATRE PILIERS DE LA CUISINE CRÉOLE

La Cabane aux Épices

« Mes parents m’ont appris tout ce que je sais de la cuisine créole et je suis imprégné des odeurs et des ambiances autour des marmites mijotant sur leur feu de bois. J’ai toujours aimé faire la cuisine d’ailleurs. Lorsque j’ai effectué mon service militaire dans les années 70 en métropole, j’ai de suite été affecté aux cuisines. De retour à La Réunion, j’ai travaillé au SDIS où je m’occupais de la logistique de la partie restauration. Je sortais entre 1 500 et 2 000 repas chaque jour et produire de si grandes quantités m’était naturel. Aujourd’hui, je travaille en famille au restaurant : ma femme m’aide au niveau de la cuisine, ma belle-fille élabore les desserts créoles et se charge de la décoration du restaurant. Enfin mon fils s’occupe de la partie grillades.

Pour moi, la cuisine réunionnaise est un art et sa maîtrise n’est pas donnée à tout le monde. Pour ma part, ma méthode de travail en cuisine est restée la même que celle d’autrefois. Il n’y a pas cinquante façons de faire un rougail saucisses. Je fais évoluer ma cuisine créole en sélectionnant des produits locaux et en y intégrant des légumes lontan : un rôti de porc aux fruits à pain ou un sauté de camarons aux letchis sont pour moi des innovations qui ne dérogent pas à la tradition culinaire créole.

Nous nous devons de faire de la qualité avant tout pour que notre cuisine soit reconnue auprès des touristes et des connaisseurs aussi. Lorsque nous proposons un poulet palmistes à la carte, il s’agit d’un poulet péi avec son goût et sa saveur authentiques.

Idem pour les épices et autres aromates associés aux différents plats : ils proviennent tous de chez nous, cela vaut même pour l’ail et l’oignon, sinon ce n’est pas de la cuisine créole ! »

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NORD

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QUATRE PILIERS DE LA CUISINE CRÉOLE

16

« La passion pour la cuisine créole date de mon enfance. Issu d’une famille nombreuse, les repas de tous les jours se transformaient en petits plats de restaurants où chacun avait une tâche particulière à effectuer pour toutes ces préparations. Tout cela laisse des traces en grandissant même si devenir cuisinier relève du hasard. Mon frère détenait à l’époque le restaurant puis il m’a proposé de le rejoindre. Finalement, il n’a pas continué, j’ai donc poursuivi l’aventure seul, c’était il y a 35 ans maintenant. En ce qui concerne l’avenir de la cuisine créole, je pense qu’il existe deux écoles. La première est celle des jeunes qui se destinent à ce métier, quittent La Réunion, font leur classe en métropole et ailleurs dans le monde, pour revenir dans l’île et ajouter une autre vision à la cuisine réunionnaise. L’autre école est la nôtre, celle des anciens, enracinés dans la tradition. On assiste à un retour aux sources, notre société tente de retrouver une cuisine authentique. Cette recherche est intergénérationnelle : au restaurant, des familles viennent spécialement avec leurs enfants pour un rougail saucisses pétés riz sofé. Cette culture de la cuisine est donc réelle et derrière elle défile toute l’histoire de notre île. Pour avoir voyagé en Inde, en Chine et dans les continents d’où nos ancêtres sont originaires, je suis fier de l’héritage qu’ils nous ont laissé et je souhaite que l’on continue à le faire perdurer. D’ailleurs, il faudrait réfléchir à la façon de faire entrer la formation de la cuisine régionale dans nos centres de formations locaux comme cela existe dans toutes les régions de métropole. Nous avons, nous aussi, une identité culinaire forte, arrêtons de penser que la cuisine créole se résume au riz, aux grains dans un plateau émaillé sur une nappe cirée. Nos décideurs doivent comprendre que pour sauvegarder notre culture culinaire il faut qu’elle soit inscrite dans une démarche politique volontaire. »

Le Reflet des Iles

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NORD

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QUATRE PILIERS DE LA CUISINE CRÉOLE

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Le Vieux Kréole

« Ma famille est à l’origine de ma passion pour la cuisine créole. Aujourd’hui, je défends cette cuisine avec le savoir-faire que l’on m’a transmis. J’ai commencé dans le métier à l’âge de 16 ans en travaillant pendant deux ans en tant qu’aide cuisinier dans un restaurant chinois et cela m’a beaucoup plu. J’ai su que je ferai de la cuisine mon métier lorsqu’un jour un chef de restaurant me demande de le remplacer pendant ses congés.

Dans un premier temps j’ai refusé sa proposition puis il m’a formé pendant une bonne semaine, m’a donné confiance en moi et j’ai finalement accepté la mission. Aujourd’hui, cela fait 30 ans que je suis dans le métier. J’ai travaillé pour la restauration scolaire en ma qualité de traiteur pendant 25 ans et j’ai ouvert mon restaurant il y a sept ans. Le plus délicat est de conserver une véritable constance dans la qualité de ma cuisine et j’y veille en étant tous les jours dans la cuisine du restaurant. Personnellement, je ne cuisine pas pour réchauffer les plats afin de les servir, tous les mets sont cuisinés le jour-même, c’est la raison pour laquelle mes plats sont bien cuits et de façon lente.

Au lieu de faire un cari poulet en 30 minutes, je prends une heure et demie et j’essaie d’éviter d’utiliser trop de graisses. Au restaurant, je veille aussi à ce qu’il y ait toujours des légumes au buffet : un brède et un légume au minimum, c’est un impératif. Je ne souhaite pas que la cuisine créole évolue. On n’améliore pas un rougail saucisses en y incorporant du safran ou de la pâte d’arachide mais en se souciant de la qualité des matières premières et de l’amour que l’on va y apporter dans sa préparation. Mon plus grand bonheur est de voir des jeunes ados venir au restaurant pour apprécier la cuisine créole et en revendiquer sa qualité. »

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NORD

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NORD

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LE NORD

Et aussi...

Le Bertel

à Saint-Denis, rue d’Après 0262 41 50 02 Le Monde des Saveurs à Saint-Denis, Bd La Providence 0262 30 39 92

Le Manguier

à Saint-Denis, rue des Manguiers 0262 41 64 03

Snack de la Zone, Chez Marcel à Sainte-Clotilde,

0692 02 20 87 Resto de La Bretagne à Sainte-Clotilde, La Bretagne 0262 41 09 38

La Case de l’Oncle Tom à Saint-Denis, parc de la Trinité 0692 85 87 39

Chez Tonton à la Montagne

02 62 28 24 99 - 0692 68 56 93 O Karambol

à Sainte-Marie 0262 18 09 00 Le Reflet des Iles Le Vieux Kréole Chez Yann La Marmite Péi Pépé do Fé

Le Gasparin Créole L’Alambik

DANS

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SAINT-DENIS

Le Reflet des Iles

Le Reflet des Iles 114, rue Pasteur Saint-Denis 02 62 21 73 82

lerefletdesiles.com Le Reflet des Îles Officiel

Mais possible sur le front de mer tout proche.

Du lundi au samedi de 12h00 à 14h00 et de 19h00 à 22h00

LE NORD

Tous les Réunionnais connaissent ce restaurant du chef-lieu, devenu une véritable institution. Quand les locaux, autant que les touristes, viennent apprécier les caris, civets et autres rougails dans un restaurant, c’est un signe qui ne trompe pas. David Banon, le gérant, est un défenseur de la tradition culinaire réunionnaise, métissée, qu’il met à l’honneur avec foi et passion.

Civet de coq ou de canard, rougail « zandouille », saucisses pétées riz chauffé, rougail graton gros piment… la carte est exhaustive. Pas moins de 36 plats réunionnais, sans compter les entrées et les grillades, sont proposés. Maintenir la qualité sur la durée avec une carte aussi riche relève d’un exploit dont peu d’établissements peuvent s’enorgueillir.La grande salle, décorée dans le style créole, est chaleureuse et accueillante, tout comme l’équipe de serveurs dont certains sont fidèles au poste depuis des décennies. Nous vous recommandons le cari de poisson rouge et les brèdes songe à la morue, des plats de la

« tradition lontan », reflets de notre île.

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22 SAINT-DENIS

Avec le Reflet des îles, le Vieux Kréole est en quelque sorte le deuxième

« zarboutan » de notre culture culinaire à Saint-Denis. Alix Clain, un

« vieux de la vieille » y a veillé. Depuis son ouverture en 2009, au 5 rue du dancing, coincé entre un vendeur de pneus et des logements sociaux, dans le quartier du Butor à Sainte-Clotilde, Le Vieux Kréole a su fidéliser une clientèle éclectique grâce à sa cuisine authentique et savoureuse. Voilà l’un des rares restaurants fonctionnant sur le mode du buffet à volonté à avoir obtenu une fourchette d’or tout en maintenant la qualité de sa cuisine dans la durée.

L’un des rares aussi à proposer un bel échantillon de piments et rougails en accompagnement, dont le « rougail pistache » traditionnel (cacahuètes concassées), le rougail margoze ou tomate arbuste, ainsi que des piments confits. Alix Clain travaille avec les saisons et sait s’enquérir des bons produits du terroir auprès de ses fournisseurs, comme la pomme-en-l’air ou la patate chouchou afin de proposer à ses clients des plats sortant des sentiers battus.

Chapeau !

Le Vieux Kréole

Le Vieux Kréole 5, rue du Dancing Sainte-Clotilde 0262 46 70 77

Le Vieux Kréole Mais possible aux alentours.

Du mardi au samedi de 11h30 à 14h00 et du mercredi au samedi de 19h30 à 22h00

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SAINT-DENIS

Chez Yann, c’est comme «chez la mère à Titi, c’est tout p’tit», comme chantait le Séchant. Le Restaurant posé angle des rues Jules Auber et rue Labourdonnais fonctionne principalement sur le mode barquettes. La queue sur le trottoir, tous les midis, en dit long sur la qualité des mets.

La réservation est donc conseillée si vous souhaitez profiter des plats les plus prisés, comme son rougail morue, son cari pintade ou porc pomme de terre.

Yann propose également des plats peu courants, comme le rougail boudin ou le « sounouk » brèdes songe. Tout cela avec un rapport qualité-prix de compétition. Dans ce secteur du bas de la ville, à mi-chemin entre le centre et le Barachois, cet établissement de cuisine réunionnaise s’est imposé, sans faire de bruit.

Chez Yann

Chez Yann

60, rue Labourdonnais Saint-Denis

0692 66 51 25

Du lundi au vendredi de 11h30 à 14h00

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24 SAINT-DENIS

Frédéric Rivière est un passionné de la cuisine créole, et particulièrement de ces plats traditionnels que l’on retrouve trop peu dans les restaurants.

Il est aux fourneaux, madame est la patronne de la Marmite Péi.

Ce restaurant à la déco très « presse » (allez voir !) vous propose donc des caris et rougails classiques et moins classiques, comme du rougail de chevaquine, du rougail zareng, du rôti de porc, civet de pintade, et aussi du rougail grain de jacques par exemple, avec choix entre riz jaune et riz blanc.

Installé en ville de Saint-Denis depuis 2018, l’adresse se pose comme l’une des meilleures du Nord en termes de cuisine réunionnaise traditionnelle, et tout ça dans la simplicité.

La Marmite Péi

La Marmite Péi 50 rue Charles Gounod 0692 81 17 97

La Marmite Péï

Du lundi au vendredi de 11h00 à 14h00

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SAINT-DENIS

Le nom seul du restaurant en dit long sur l’esprit de son gérant, Sandie Banon, passionné par la culture et la cuisine de son île. Mais Sandie n’est pas du genre à rester sur les routes bien tracées des caris et rougails, il défriche les concepts, travaille les associations de produits et fait profiter les clients de sa créativité. Ce travailleur acharné, seul à la barre de sa petite affaire de la rue Sainte-Anne, a le sens de l’accueil et de l’hospitalité en dépit de son air un peu timide.

Pépé do Fé est l’un des rares restaurants à mettre du tangue à table, pour le plus grand plaisir des connaisseurs. Sandie est constamment à l’affût des bons produits du terroir et ne mégote pas sur les kilomètres pour aller les dénicher, quand son activité lui en laisse le loisir. Il travaille notamment avec la charcuterie Maillot du Guillaume Saint-Paul.

Depuis 2020, Sandie s’est également lancé dans la confection de conserves en verre, pour que les clients rapportent avec eux un peu « do fé » !

Pépé do Fé

Pépé do Fé

16 bis rue Sainte-Anne Saint-Denis

0692 60 45 46 Pépé Dofé

Tous les jours de 10h00 à 14h00 et de 17h00 à 23h00 Fermetures exceptionnelles signalées sur la page

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26 SAINT-DENIS

Ce restaurant situé à l’étage du bâtiment à l’angle des rues Lucien Gasparin et Maréchal Leclerc est une émanation de « Chez Jean-Marc », établissement bien connu des riverains et des touristes qui visitent le Grand Marché, l’incontournable « bazar » de Saint-Denis.

Dans cette belle grande salle taillée pour les groupes et les comités d’entre- prise, la famille Sornom met un point d’honneur à servir aux clients une cuisine créole traditionnelle et chinoise sans chichi, très bien exécutée.

Nous vous recommandons le poulet petit pois, le rougail boucané ou le cabri massalé.

Le Gasparin Créole

Le Gasparin Créole 23 rue Lucien Gasparin Saint-Denis

0692 78 80 87 Le Gasparin Créole

Du lundi au samedi de 11h30 à 14h30 et de 19h00 à 22h30

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SAINTE-MARIE

L’Alambik

« L’Alambik » fait clairement référence à la distillation et donc à l’histoire de la canne et de l’ancienne usine reconvertie aujourd’hui en bureaux.

Romuald Lebon est un « gars la cour », qui a grandi dans le quartier de la Mare.

Ouvrir un restaurant était son rêve, il l’a réalisé en 2018. Le jeune patron, rangé avec ses confrères dans le prolongement du rond-point du port de Sainte-Marie, ce dernier étant en travaux, a fait le nécessaire pour rendre ses installations provisoires aussi confortables et accueillantes que possible. L’ADN de l’établissement étant justement la bonne humeur et l’hospitalité.

La cuisine assez variée enrichit le menu quotidien de caris classiques ou plus originaux, comme le boucané pomme en l’air, le poulet calebasse ou le « riz sofé la morue piment ». Le traditionnel civet zourite, pour sa part, remporte tous les suffrages. Pour passer un moment convivial, en appréciant un bon cari, l’Alambik est devenu incontournable à Sainte-Marie. Retrouvez les menus quotidiens sur la page facebook.

L’Alambik

14, ancienne route nationale

rond-point Gandhi 0693 91 23 54

L’Alambik

Du lundi au vendredi de 11h30 à 14h30

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L’EST

Le Bocage Le Velli Chez Jules

Aux Petits Oignons Le Franciscéa Le Ti Piment

La Cabane aux Épices Les Marsouins Au bon Mangeur Il était une fois dans l’Est

Les Cinq Orangers

Et aussi...

Kom la Kaze Saint-André 0262 58 30 48 Le Saint-Benoît Marché Couvert 0262 97 04 31

Le Kiosque des Mandarines Route de Takamaka 0692 64 75 08

DANS

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SAINTE-SUZANNE

Les gourmets de l’Est se sont réjouis de l’ouverture de ce nouveau restaurant à Sainte-Suzanne en 2019. Niché dans le parc éponyme, la bâtisse de bois et de pierre est accueillante et confortable, un brin chic, avec sa salle aux baies vitrées et la grande terrasse qui laissent apprécier le cadre verdoyant. L’établissement propose une cuisine « contemporaine » et aussi traditionnelle, réalisée avec les produits frais de nos campagnes.

Gratin et salade de palmiste ou de chou de coco, cari et civet de coq fermier, cari de langouste, civet de zourite, l’incontournable rougail saucisses et aussi les guêpes, frites, tournées dans le riz ou en rougail, voici quelques exemples de plats traditionnels que vous pouvez déguster au Bocage, généreusement servis.

Le repas terminé, vous avez tout un parc à votre disposition pour aller digérer !

Le Bocage

Le Bocage 9 rue du stade 97441 Sainte-Suzanne 0262 87 08 70

lebocage.re

Restaurant le bocage

Tous les jours de 12h00 à 14h00 et de 19h00 à 22h00

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30 SAINT-ANDRÉ

Le Velli

Le Velli se trouve juste à côté du temple du Colosse, à Saint-André. Une salle, une terrasse à demi couverte à l’arrière rafraîchie par des cocotiers et l’accueil jovial d’Anne-Laure vous y attendent. Quelques plats d’inspiration métropolitaine, réalisés avec des produits locaux côtoient les caris et rougails.

La très discrète Madame Velli, forte de plus de 40 ans de cuisine, n’a pas son pareil pour vous mitonner le coq massalé ou ce civet zourite qui déplace les clients depuis fort loin. Le restaurant a depuis longtemps atteint un niveau tel qu’on y retourne les yeux fermés, sans qu’il soit forcément nécessaire de faire chauffer la carte bleue tous les midis de la semaine. La formule entrée, plat et dessert est à 20 €. Si la carte vous tente davantage, profitez- en pour déguster les délicieux samoussas sélectionnés par Anne-Laure, la salade de palmiste avec sa petite saveur noisette et les camarons poêlés à la vanille péi. Puis vous irez vous dégourdir les gambettes au parc du Colosse, avec le goût de la tarte au citron meringuée encore dans la bouche.

Le Velli

336 Chemin Colosse, Saint-André

0262 46 03 38 restaurantvelli.com

Restaurant Velli

Du lundi au dimanche de 10h00 à 16h00.

Fermé le samedi.

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SAINT-ANDRÉ

Ne vous laissez pas rebuter par cette bâtisse des années 60, genre cube de béton, posée rue pente Sassy, du côté de la Balance. Chez Jules va enchanter vos papilles.

Voilà une affaire familiale qui tourne, midi et soir, avec le couple Lebeau aux manettes, la fille au service. Chef Gilbert a laissé ses photocopieuses pour se donner à fond pour sa passion de la cuisine et vous le sentez dans l’assiette. Il sait mettre en valeur la saveur des produits de notre terroir, avec simplicité et efficacité. Nous vous recommandons la truite à la crème de cresson qu’il va chercher à Hell-Bourg. C’est l’un des rares restaurants qui vous propose aussi des brèdes de temps à autre. Vindaye et cari de poisson, poulet fumé aux bringelles, gratin de chou-fleur, pieds de porc sauce d’huître, sans oublier les tartes au dessert, autant d’exemples de succulents plats qui changent tous les jours pour vous convaincre… de revenir ! Chez Jules

416 bis Pente Sassy, Saint-André

0692 38 82 29 Resto Chez Jules

Du lundi au samedi de 11h30 à 14h30, et de 19h00 à 21h30 du jeudi au samedi.

Fermé le dimanche.

Chez Jules

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32 SAINT-ANDRÉ

Aux Petits Oignons

Vous trouverez ce petit restaurant de quartier en vous baladant du côté de Champ-Borne, pas loin de l’église en ruine, au début de la rue Lefaguyes. Une structure en bois, quelques tables et un comptoir où les clients viennent chercher leur barquette, c’est le décor des Petits Oignons, sobrement décoré et accueillant.

Vous y dégusterez les plats créoles traditionnels du jour, et si vous voulez goûter à tout, qu’à cela ne tienne, on vous servira une petite quantité de chacun d’entre eux.

Saucisses frites et brèdes, rougail saucisses fumées gros piment, civet de canard, boucané ti jacques, la cuisine créole vous fera plaisir, mais le restaurant propose aussi tous les jours des plats chinois, métros et italiens selon l’humeur du chef. Poulet croustillant, échine de porc sauce d’huître, agneau flageolets, poisson beurre citron par exemple vous changeront un peu des caris.

Et avec ça, un accueil et un service… aux petits oignons ! Aux Petits Oignons

3094 Chemin Lefaguyes, 0262 13 66 91

Aux Petits Oignons Champ Borne

Du lundi au samedi de 11h00 à 14h30

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SAINT-ANDRÉ

Le Franciscéa

Le Franciscéa prend place dans une très jolie case créole en bois, juste derrière l’église du centre-ville.

Un cadre très agréable où déjeuner avec sa petite varangue à l’ancienne.

La carte, très riche, est constituée de plats créoles, métros et chinois pour contenter tout le monde.

Et malgré leur nombre, la qualité des plats demeure. Les caris et rougails sont bien faits et assez goûteux pour repartir repus et avec le sourire, d’autant que les desserts savent être gourmands. Nous vous recommandons les samoussas bien épicés pour l’entrée, ainsi que le rougail zandouille.

Le Franciscéa 51 rue Payet, 0262 46 26 55 ou 0692 46 90 10 restaurant-saint-andre.fr/

notre-restaurant-le-franciscea/

Jeudi et dimanche le midi.

mardi, mercredi, vendredi et samedi : midi et soir

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34 BRAS-PANON

Le Ti Piment

Les amateurs de karaoké de l’Est connaissent bien ce restaurant de la rue Roberto à Bras-Panon. Les gourmands aussi. Le cadre de bois et de pierre dans lequel se fondent les plantes vertes ajoute une ambiance conviviale et détendue qui contribue à la mise en appétit des clients, si tant est que cela soit nécessaire. Jean-Michel Agathe, le chef, y sert une cuisine créole traditionnelle qui va au-delà des plats les plus courants. Rougail graton ou rougail boudin, morue brèdes lastron, bœuf chouchou, sont des exemples de mets, peu courants par ailleurs, qui viennent garnir généreusement les assiettes, à des tarifs très compétitifs. Une cuisine parfumée, goûteuse, qui respecte le produit, et qui vous donnera envie de revenir pour apprécier les caris, rougails et civets que le marché aura inspirés au chef. Pour changer des caris, quelques grillades de viande ou de poisson sont également proposées. Une adresse à ne pas rater lors de vos déplacements dans l’Est.

Le Ti Piment 1 Bis Rue Roberto, 0262 23 46 79

Le Ti Piment Restaurant Mais possible à proximité Du mardi au samedi de 12h00 à 14h00 et de 19h00 à 21h30.

Fermé le lundi et le dimanche.

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SAINT-BENOIT

La Cabane aux Épices

Un cadre bucolique et verdoyant, une cuisine variée, dont le côté local est soigné par un chef qui travaille à l’ancienne, en prenant son temps, il n’en faut pas davantage pour obtenir une fourchette d’or en 2016. Le temps est passé et la qualité est restée. Elle s’est même bonifiée. La Cabane aux Épices s’inscrit dans la valorisation du terroir réunionnais en général, et de l’Est en particulier.

Bouillon coquilles, anguilles, camarons, poisson rouge, porc aux letchis, Jean- Max Gangnant a le talent, inscrit dans son ADN, pour sublimer ces petits plats typiques pour lesquels des Réunionnais sont près à venir de loin. Sautés réalisés tout de suite au karay et grillades figurent également au menu.

La Cabane aux Épices c’est aussi une salle climatisée avec accès wifi pour vos séminaires, réunions et autre colloques.

Le meilleur restaurant de Saint-Benoît, épices c’est tout ! La Cabane aux Épices

22 Chemin Maingard, 0692 43 39 34

La cabane aux Épices restaurant

Du lundi au samedi de 12h00 à 13h30

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36 SAINT-BENOIT

C’est le plus ancien établissement de Saint-Benoît. Sa façade vitrée à carreaux, son carrelage, son bar, ont un cachet qui donnent à l’endroit une certaine âme. Les habitués font l’ambiance. « Loulou » sait recevoir, même s’il y a du monde. Et les plats qui arrivent sur les tables ne sont pas avares en quantité.

Son bouillon coquilles, plat emblématique de l’Est, vous promène les pieds dans l’eau vive des rivières, là où La Réunion sauvage à la nature luxuriante offre encore ses délices.

Tous les caris traditionnels sont proposés selon les jours y compris des plats plus chinois dans l’ADN comme les sautés ou le bœuf aux oignons.

Son massalé cabri est également couru.

Restaurant Les Marsouins

« chez Loulou » 16, rue Amiral Bouvet 0692 85 86 48 0262 50 15 64

Du lundi au vendredi midi et sur réservation les soirs et week-end.

Les Marsouins

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SAINT-BENOIT

Si une faim vous prend en montant ou en descendant de la Plaine des Palmistes, gardez confiance...

Au Bon Mangeur vous propose des barquettes, à emporter ou à déguster sur place, sur l’herbe et sous les arbres. C’est l’atout de ce snack de quartier.

La cuisine vous satisfera, avec des plats classiques ou moins courants, comme le boucané brèdes manioc, ou le rougail saucisses avec haricots verts concoctés par Jean-Jacques Vitry. Ses spécialités : les civets, cerf, zourite, lapin, très demandés. Junior et Lydia reçoivent tous les jours,

dans la limite de 15 personnes assises. Leur accueil et le service reflètent l’hospitalité réunionnaise des beaux jours. Et vous ne payez même pas le cadre. Il en ressort un rapport qualité-prix imbattable. Au Bon Mangeur entamera une nouvelle croissance dès cette année, avec quelques aménagements et la disponibilités d’entrées et de desserts.

Au Bon Mangeur

Au Bon Mangeur 247, Chemin de Ceinture, RN3 0692 75 06 02

Du mardi au samedi de 8h30 à 17h00

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38 SAINTE-ANNE

Ce restaurant de Sainte-Anne est posé dans le virage en face de la célèbre église. La patronne, Chantal Ferrère, y est au four et au moulin, assurant l’accueil, le service, la caisse, sans oublier la cuisine bien sûr.

La petite salle au bout de l’allée offre une vue sur la plage de galets et la petite ravine, juste à côté. Après le punch maison, Chantal vous y servira ses plats du jour, saucisses, boucané, caris divers, dont son fameux poulet sucré-salé, qui évoque le poulet sarcives, plat réclamé des habitués et dont elle ne vous donnera pas la recette même sous la torture. Si vous souhaitez goûter à tout, Chantal vous arrange aussi une assiette composée avec un petit peu de chaque plat.

Il Etait une Fois dans l’Est

133 rn2, Sainte-Anne 0692 64 60 11

Du dimanche au vendredi de 11h00 à 15h00.

Il était une fois dans l’Est

1ÈRE VISITE

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SAINTE-ANNE

Installé en bord de Nationale dans le quartier des Orangers, peu avant le pont de la Rivière de l’Est en direction de Sainte-Rose, le restaurant Les 5 Orangers est devenu l’une des étapes incontournables des balades dans l’Est, y compris en moto. L’établissement a su au fil des années améliorer son confort et son accueil et proposer une cuisine réunionnaise typique ou teintée chinoise.

Jean-Philippe, le chef et gérant, a su faire de son bol renversé une institution, réservée aux mangeurs costauds. Des excellents samoussas aux caris traditionnels, vous retrouvez dans votre assiette tout le concentré de saveurs qu’on attend de la cuisine réunionnaise et les desserts ne sont pas en reste.

Les Cinq Orangers

Les Cinq Orangers 12 rampes des chicots Sainte-Anne

0692 11 60 48

Du mercredi au lundi de 12h00 à 14h30 et de 19h00 à 21h00. Fermé le mardi.

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LE SUD SAUVAGE

La Roz i Dor La Case Volcan Le Vieux Port Chez Moustache Les Embruns du Baril

Les Pieds dans l’eau

Le Cap Méchant Chez Jo

Et aussi...

Chez Louiso La Marine Sainte-Rose 0262 47 26 37 Le Bertel des Laves Bois Blanc, Sainte-Rose 0692 04 04 00 Le Warren Hastings Le Baril

0262 97 22 65 Auberge Guimard Mare Longue 0262 37 09 63 Chez Jim Langevin 0262 56 56 01 Le Coq d’Or Jean-Petit 0692 62 76 84 Le Tangor Plaine des Grègues 0692 93 57 57

DANS

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SAINTE-ROSE

LE SUD SAUVAGE

Une petite case créole traditionnelle, discrète, abrite La Roz i Dor.

Quelques tables dehors, dont une de pique-nique sous un araucaria ; des pieds de piment dans un coin, du quatre-épices, et l’accueil du patron, Jean-François Vivier. Voilà pour l’ambiance.

Corinne Voltaire est aux fourneaux. La jeune femme y applique avec talent tout l’enseignement de Rose, sa mère. Quand on vous dit que nous y avons dégusté l’un des meilleurs caris la patte cochon que nous ayons rencontré durant nos pérégrinations, cela doit vous donner un indice.

Voilà une cuisine réunionnaise familiale, simple et très goûteuse et qui sait valoriser les bons produits locaux. Une halte obligatoire en allant à Sainte-Rose.

La Roz i Dor

La Roz i Dor

227 RN2, Sainte-Rose 0692 38 03 38

Du vendredi au mercredi de 10h00 à 14h00 et de 17hh00 à 21h00 Fermé le jeudi

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42 SAINT-PHILIPPE

Quoi de plus frustrant que d’arriver dans un restaurant et ne pas savoir quel plat choisir tant on est tenté par tout ? Honoré, le patron de la Caz Volcan, a réglé le problème : il vous fait goûter à tous les plats à la carte et vous commandez en connaissance de cause.

Du cari de poisson rouge au massalé cabri en passant par le roi rougail saucisses, les grand classiques répondent présents, mais aussi des plats moins courants comme le poulet coco ou le boucané papaye. Une table prisée après la halte à la coulée de 2007, juste à côté.

La Case Volcan

La Case Volcan 123, RN2, Saint-Philippe 0692 18 37 53 0262 46 69 46

Du lundi au dimanche de 11h00 à 16h00

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SAINT-PHILIPPE

Déjeuner sur l’herbe, cela vous tente ? Si oui, pas d’hésitation, le restaurant Le Vieux Port vous tend les bras. Et si le temps est incertain, la petite case en contrebas vous abritera. Vous aurez ainsi la chance de sentir les bonnes odeurs de roussi provenant de la cuisine.

Vous y trouverez l’un des meilleurs caris de poulet palmiste de La Réunion, de la volaille sélectionnée par le chef. Pour la salade de palmiste, ou le cari de poisson rouge, mieux vaut appeler et réserver. Sheryl Dalleau, la patronne, assistée de Jennifer et Jérôme (J&J), au piano, tiennent la barre de cet excellent établissement du Sud Sauvage, héritage des grands-parents. Là-bas, pas de décor touristique surchargé, on mange comme à la case, sans chichi, et c’est tellement bon !

Le Vieux Port

Le Vieux Port

112 Route Nationale 2, Saint-Philippe 0692 33 38 24

Du dimanche au vendredi de 11h00 à 15h00 Fermé le samedi.

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44 SAINT-PHILIPPE

Ce petit restaurant posé sur le bord de route comme les boutiques d’autrefois possède une collection originale de rhums arrangés, dont certains contiennent des bestioles, comme on faisait « dan’ tan longtemps » pour soigner la grippe ou raviver la virilité des messieurs.

Vous les goûterez sûrement quand vous aurez terminé votre repas, préparé au feu de bois « en direct live » par le jeune chef Sydney, qui a le coup de main pour vous arranger les caris et rougails. Salade de palmiste croquante et fraîche, rougail trois cochons (saucisses, boucané, zandouilles), cari de poulet fermier, cari de poisson rouge ont obtenu la fourchette d’or en 2019. Une excellente table à réserver du côté du Tremblet.

Chez Moustache

Chez Moustache 9 RN2, Le Tremblet, Saint-Philippe 0692 33 27 03

Du lundi au vendredi de 11h30 à 14h00, Samedi de 11h30 à 15h00 Dimanche de 11h30 à 15h30

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SAINT-PHILIPPE

Les Embruns du Baril ont une histoire à raconter. Celle d’une table parmi les plus courues des années 80, une institution dans le Sud Sauvage. En 2018, feu l’hôtel du Baril renaît sous le nom actuel, après de gros travaux de rénovation. Le restaurant, plus lumineux, propose de s’installer confortablement en salle ou en bord de falaise pour apprécier sa carte resserrée où les produits de la mer sont valorisés. Vous dégusterez le palmiste rouge sous toutes les coutures, en salade, en gratin et en cari, pour terminer par un dessert traditionnel, beignet de manioc, gâteau de patate douce ou confiture de papaye. Une adresse à ne pas manquer, pour manger et dormir !

Les Embruns du Baril

Les Embruns du Baril 62 RN2 Le Baril, Saint-Philippe 0262 56 26 28

lesembrunsdubaril.com Lesembrunsdubaril

Du lundi au dimanche de 11h30 à 13h30 et de 19h00 à 21h00

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46 SAINT-PHILIPPE

L’établissement, éponyme du cap où les familles réunionnaises se retrouvent le dimanche pour pique-niquer sous les pinpins, est devenu au fil des années une institution depuis sa naissance au début des années 80. Dirigée par la famille Courtois, dont le patriarche, Charles, Ziko pour les intimes, a su profiter du fantastique potentiel de cet écrin de verdure sur lave niché à Basse-Vallée.

Depuis l’essor du groupe bien connu, le restaurant «historique» a gardé ses habitudes et sa cuisine, pour régaler le plus grand nombre. On y retrouve les plats fétiches du Sud Sauvage, comme la salade de palmiste et le cari poisson, et aussi le civet zourite et les caris classiques sans oublier les sautés.

Vous profterez de cette sortie pour prendre le bon air marin et flâner le long des falaises de basalte battues par l’océan.

Le Cap Méchant

Le Cap Méchant 15 rue de l’Ecole, Basse Vallée 0262 37 00 61

Du mardi au samedi de 11h30 à 14h00.

Le dimanche de 11h30 à 15h00.

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SAINT-JOSEPH

Manapany, petit coin charmant de Saint-Joseph, ne serait plus pareil sans le restaurant « Chez Jo », qui surplombe le bassin de baignade.

Cette institution est menée par le sieur Labenne, Joseph, passionné de cuisine créole et très attaché à la tradition culinaire péi. Le service des barquettes est séparé de la salle, et il y a autant de monde d’un côté comme de l’autre le week-end. Pour manger sur place, mieux vaut réserver. Tous les plats locaux sont disponibles, y compris des caris et rougails peu courants comme le cari canard fumé chou de vacoa, le cari de porc patate-chouchou, les brèdes chou et chouchou, sans oublier les sautés et shop-suey ! Vous dégusterez tout cela dans une salle confortable, décorée de bois, avec des fenêtres qui ne vous feront pas perdre une miette du paysage.

La carte change quotidiennement. Vou s trouverez dans votre assiette tous les bons produits du sud de La Réunion.

Chez Jo

Chez Jo 101 Bd Ocean

Manapany, Saint-Joseph 0262 31 48 83

Chez Jo Manapany Officiel

Lundi, mardi, jeudi et dimanche de 9h00 à 17h00.

Vendredi et samedi de 9h00 à 21h00.

Fermé le mercredi.

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48 SAINT-JOSEPH

En arrivant à Saint-Joseph depuis Saint-Pierre, sur la route nationale, avant le lycée agricole, ralentissez. Vous pourriez ne pas voir, ou trop tard, le mur peint signalant ce petit restaurant de quartier où l’on y mange très bien. La formule flirte avec le self-service, avec le choix de repartir avec vos barquettes ou vous asseoir avec votre assiette. Si plusieurs plats vous plaisent, pas de soucis, servez-vous ! Vous payez à l’assiette. Vous pourrez ainsi apprécier les sautés qui ont fait chanter le karay et les caris traditionnels, très bien exécutés. Si vous ne voulez pas faire la queue, arrivez de bonne heure !

Les Pieds dans l’eau

Les Pieds dans l’Eau 2 rue des Anones 0692 25 01 38

Les Pieds Dans L’Eau

Du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00

Fermé les samedi et dimanche.

1ÈRE VISITE

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LE SUD LE SUD

Chez Ti Fred Les Badamiers O bord’ mer La Table de Lyne Chez Gros Louis Le Gourmand La Carangue

Et aussi...

L’Oiseau Blanc Grand-Anse 0692 45 01 06 La Caz à Léa Saint-Pierre 0262 25 04 25 L’Ambéric Le Tampon 0262 57 77 68 Le Régal des Hauts L’Entre-Deux 0262 32 57 78

DANS

Shutterstock

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PETITE ILE

On ne présente plus Ti Fred. Cet ancien garagiste venu à la restauration a tout appris de sa mère qui était un cordon bleu. Fourchette d’or du JIR, excellemment noté par TripAdvisor, vanté par Manu Payet, le chef créole a été choisi pour élaborer le déjeuner du Président Macron lors de sa visite à La Réunion.

Dans son petit restaurant du chemin Paulette, au bas de la Petite-Ile, Fred Barret mitonne des caris au feu de bois selon la tradition créole ancestrale.

Pintade, coq, crevette, poisson et charcutailles diverses sont sublimés par une cuisson maîtrisée. La bonne humeur de Ti Fred ajoute à l’ambiance conviviale de cette petite perle installée à côté des cultures maraîchères.

Chez Ti Fred

15 chemin Terrain Paulette 0693 97 00 30

Chez Ti Fred

Mardi, mercredi, vendredi, samedi

de 11h00 à 14h00 et de 19h00 à 22h00.

Dimanche de 11h00 à 14h00.

Fermé le lundi et le jeudi.

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52 PETITE ILE

Ce restaurant est une vraie petite pépite culinaire nichée sur les hauteurs du quartier de Grand Anse à Petite Ile dont la vue panoramique sur l’océan est un réel enchantement. Le cadre validé, passons à la cuisine…

tout simplement divine. La fraicheur du cari de poisson rouge, par exemple, ne fait aucun doute et la cuisson reste extrêmement bien maitrisée. Il faut dire qu’en cuisine, le chef, François Malet, n’est pas un novice en la matière et les effluves de caris qui mijotent encore le confirment.

Depuis 11 ans, pas moins de six caris figurent au menu tous les midis et les desserts sont tous faits maison.

Les Badamiers

Les Badamiers 22, Chemin Neuf 0262 56 97 53

Restaurant Les Badamiers Officiel

Du lundi au vendredi de 11h45 à 15h00.

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SAINT-PIERRE

Niché à Terre Sainte, sur le bord de mer éponyme, voilà un petit restaurant à l’ambiance estivale où vous pouvez vous asseoir sous les branches d’un badamier, avec la vue sur l’horizon pour être servi avec sourire et bonne humeur. De quoi être bien disposé à déguster les plats au menu du jour, où le poisson tient une place de choix, notamment dans des caris à tomber.

Le chef Emmanuel Leveneur sait s’appuyer sur la tradition pour vous proposer une cuisine créole moderne comme la « Joue de legine avec sa crème de vanille de Bourbon ».

Des desserts savoureux clôturent le repas, pour vous consoler de devoir mettre fin à ce moment délicieux, où le temps a semblé ralentir.

Nul doute que vous y reviendrez pour que le chef vous propose une nouvelle balade sur son « Bord’mer » du Sud.

O Bord d’mer

Ô Bord’ mer

50, rue Amiral Lacaze 0693 81 04 49

OBM by Leveneur Emmanuel

Mardi , vendredi et samedi de 11h00 à 15h00 et de 17h00 à 23h00 Mercredi et jeudi 11h00 à 15h00 Dimanche de 11h à 16h00 Fermé le lundi.

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54 SAINT-PIERRE

La Table de Lyne est posée sur la rue Marius et Ary Leblond.

Sa façade étroite ne doit pas vous tromper, la salle est assez spacieuse et confortable pour préserver les distances imposées par la situation sanitaire. L’établissement tenu par la famille Volnay propose quotidiennement des plats réunionnais typiques, exécutés avec toute l’expérience et le tour de main de la cheffe Roselyne. Cari poulet, boucané bringelles, cari de poisson gingembre, rougail saucisses gros piment, et aussi du magret de canard, par exemple. Les plats sautés et le traditionnel riz « sofé » sont aussi au programme.

Les assiettes, généreuses, satisferont les appétits féroces.

La Table de Lyne

La Table de Lyne 69 rue Marius et Ary Leblond 0262 42 02 25

A la table de Lyne

Du lundi au samedi de 11h30 à 14h00.

Vendredi et samedi de 19h00 à 21h30.

Fermé le dimanche.

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SAINT-PIERRE

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56 SAINT-PIERRE

La situation du restaurant est assez insolite sur le parking de la gare de la ville de Saint-Pierre mais ne vous fiez pas à ce détail. Depuis 1993, La Détente, « Chez Gros Louis », propose une cuisine typiquement créole qui saura répondre aux exigences des plus fins gourmets. Le chef Patrice Douraguia, fils du célèbre « Gros Louis », perpétue le savoir-faire culinaire de son père et tient à conserver les plats créoles traditionnels à sa carte. Ainsi, une dizaine de plats figurent chaque jour au menu, entre poissons et viandes fraîches, assaisonnés en cari, en civet, en rougail, frits ou en massalé, un bel éventail de saveurs métissées réunies en un seul lieu. Les assiettes et les plats vidés de nos voisins de table ne font que nous conforter dans l’idée que les mets sont de qualité…

La Détente (Chez Gros Louis)

La Détente, Chez Gros Louis rue François Isautier, Saint-Pierre

Tel. 0262 25 66 77

Du mardi au samedi de 11h15 à 14h00.

et de 18h00 à 21h00.

Dimanche, 11h15 à 14h00.

Fermé le lundi.

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Ce petit restaurant de ville, fréquenté le midi par les travailleurs, et devant la vitrine duquel défilent les clients pour les barquettes, ne paie pas de mine, de l’extérieur. A l’intérieur, la simplicité est aussi de mise.

Les classiques constituent les plats créoles (zembocal, cabri massalé, ti Jacques boucané…), avec aussi des traits asiatiques, comme souvent dans ce genre d’établissement de quartier : poulet croustillant, bols renversés, nems.

Mais le Gourmand sait aussi sortir des sentiers battus et innover, à l’exemple de ses émincés de poulet géranium au thé de Grand Coude, ou les émincés de poisson sauce parisienne, bien qu’on ne retrouve pas forcément ces plats chez tous les « Gourmands ». De la cuisine simple et goûteuse, avec un excellent rapport qualité-prix.

Le Gourmand

Le Tampon : 103A, rue du Général de Gaulle 0262 25 02 17 legourmand.re

LG Restaurant Le Gourmand

Du lundi au samedi de 10h45 à 13H45 et de 17h45 à 20h30 Également présent à St-Pierre, Saint-Joseph et Saint-Philippe

LE TAMPON

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58 ETANG-SALÉ-LES-BAINS

Le buffet trônant au milieu de la salle du restaurant invite à une dégustation complète : sept entrées froides d’un côté et sept plats chauds de l’autre, La Carangue propose une cuisine aux saveurs créoles et chinoises. Entreprise familiale, père et fils travaillent en duo, se relayant sur tous les postes même si le patriarche mène la barque avec l’enthousiasme de ses débuts dans la restauration, il y a de cela plus de 35 ans.

L’enseigne propose un buffet un peu plus prestigieux les dimanches et jours fériés avec davantage de produits nobles à l’instar de la légine ou de pièces de bœuf de choix supérieur. Le restaurant devrait s’agrandir prochainement avec la création d’un espace bar et cuisine bistrot et grillades à l’étage.

La Carangue

1, rue Roger Payet, Etang-Salé-les-Bains 0262 87 06 01

La Carangue

Du lundi au mercredi et du vendredi au dimanche de 8h00 à 21h30, fermé le jeudi.

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LA CULTURE CULINAIRE

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L’OUEST

L’Auberge du Relais La Caz

La Table Créole Le Ben Ile La Case DIC

Et aussi...

Le Bienvenue Chaloupe Saint-Leu 0262 54 89 56 Le Moulin à eau Tour des Roches 0692 54 82 15 Le Quinquina Route du Maïdo 0693 33 43 91 Chez Doudou Petite France 0262 32 55 87 Le Snack des Violettes Villèle

0262 55 63 58

DANS

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L’OUEST

SAINT-GILLES-LES-BAINS

DIC n’est pas un acronyme, c’est le «petit nom gâté» de Frédéric Catherine, le gérant de ce snack restaurant posé au marché couvert de Saint-Gilles depuis 7 ans. Quand on souhaite savoir si un restaurant est bon ou pas, on regarde sa fréquentation. C’est bien souvent plus instructif que Trip Advisor et tous les guides du monde, celui-ci y compris.

Devant la Case DIC, la file d’attente est fréquente et parfois longue. Rien d’étonnant à cela. Frédéric est un passionné qui cuisine «avec amour», comme il le dit lui-même. Levé tôt, il compose son menu en fonction des produits frais qu’il a pu trouver sur les marchés des environs. Et il n’a pas son pareil pour arranger le civet la patte, le civet zourite, le rôti de porc et des plats chinois comme le poulet croustillant. On y retrouve toutes les caractéristiques d’un roussi expert et de caris qui ont pris le temps de cuisson nécessaire pour exalter leur saveur.

Voici la meilleure adresse de cuisine créole de la zone balnéaire (et de loin), cette dernière ayant collectionné les fourchettes en plastique au cours des 10

La Case DIC

Place du Marché Couvert à

Saint-Gilles-les-Bains 0692 54 35 33

La case dic

Du mardi au samedi de 10h30 à 14h00

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62 LE PORT

Le restaurant la Caz est niché au bout d’une petite allée fleurie, dans un vieux quartier résidentiel du Port. La décoration, avec le plafond créole et les objets « lontan » semblent mettre le temps sur pause. La carte est essentiellement locale, avec des caris classiques bien faits, dont le fameux cari la patte, le rougail zandouilles et le romazava, très apprécié, qui vous endort les lèvres. Le service est à la hauteur de la qualité des plats. Une adresse très fréquentée du Port qui a su nous satisfaire à chacune de nos visites.

La Caz

La Caz

51, rue Evariste de Parny 0262 43 45 75

Du lundi au vendredi de 12h00 à 14h00

Fermé les samedi et dimanche.

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LE PORT

Vous trouverez la Table Créole le long de l’ancienne route nationale, à la frontière des communes du Port et de la Possession. Une vaste salle couverte, avec une déco un peu asiatique, vous accueille au fond d’un vaste parking. Les gérants n’ont aucun mal à respecter les distanciations physiques de rigueur pour disposer les tables. Le service est jovial et efficace.

Ici, quelques travailleurs viennent chercher pitance le midi et sont sûrs de déguster des plats locaux bien faits. La patronne, Keza Thiaw- Yie, n’est certes pas une débutante, et elle fait profiter ses convives d’une cuisine créole simple, efficace et familiale. La carte ne se limite pour autant pas aux caris et rougails, mais propose aussi des plats variés, salades et grillades comprises. Une adresse qui avait récolté la fourchette en or en 2015 et qui reste l’une des meilleures du coin.

La Table Créole

La Table Créole 31 bis avenue Jacques Prévert 0262 39 81 49

La table Créole restaurant

Du lundi au samedi de 12h à 15h.

Fermé le dimanche.

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SAINT-LEU

Simplicité et convivialité, deux mots qui décrivent assez bien cet établissement, le seul restaurant de cuisine créole un peu sérieux de Saint-Leu ville. La bâtisse n’est plus toute jeune, mais elle conserve ce qui devient rare dans les restaurants : une âme authentique.

Canard, porc, poulet, poisson, crevettes, zourite, vous retrouverez la panoplie complète des caris réunionnais, servis généreusement, et cuisinés comme il faut. L’aubergiste, Nicolas Périassaminadin, haut en couleur, fait tout pour que vous vous sentiez bien. Un petit rhum là-dessus et vous serez sortis de l’Auberge. Heureusement vous pourrez aller digérer à loisir en marchant jusqu’au front de mer.

L’Auberge du Relais

Auberge du Relais 211, rue du Général Lambert

0692 34 81 85

Du lundi au vendredi de 12h00 à 14h00 et de 19h00 à 22h00 Samedi de 19h00 à 22h00 Fermé le dimanche.

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LA POSSESSION

Pour déjeuner à la table de cet excellent petit restaurant de l’Ouest, il vous faudra grimper à Dos d’Âne. Vous en profiterez pour respirer le bon air frais et admirer Mafate depuis la Roche Verre Bouteille. La balade terminée, quand vous aurez l’estomac dans les talons, Ted et Eve Benseddick vous accueillent avec le sourire et un de leurs délicieux punchs, avant de vous proposer leur menu typique réunionnais, concoctés avec les produits frais du primeur, à la Possession. Ted maîtrise parfaitement l’art du roussi et de la sauce, ce qui donne à ses caris une couleur exceptionnelle, y compris gustativement parlant !

Le Ben Ile

Le Ben Ile

1, chemin du Cap Noir, Dos d’Ane,

La Possession 0262 32 01 39

Le Ben Ile

Du lundi au dimanche, sauf le mardi, de 11h à 14h30.

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LES CIRQUES

& LES PLAINES

Le Petit Randonneur Chez Noé

Le P’tit Bambou Le P’ti Koin Kréol Le Relais des Pitons O’QG

La Ferme du Pêcher Gourmand

Et aussi...

Chez Lucay Cilaos 0262 97 87 40 Chez Alice Hell-Bourg 0262 47 86 24 Le Relais des Cimes Hell-Bourg 0262 47 81 58 Le Relais Commerson Bourg Murat 0262 27 52 87 La Kaz Bourg-Murat 0262 57 40 59

DANS

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LES CIRQUES

& LES PLAINES

CILAOS

Situé en plein centre-ville du cirque de Cilaos, Le Petit Randonneur est depuis 22 ans une adresse sûre et efficace pour les épicuriens de la pause méridienne. Ouvert en journée uniquement et le samedi soir, le restaurant s’adapte aux goûts de sa clientèle composée en majeure partie de touristes locaux et de globe-trotters venus du monde entier. Ne soyez donc pas étonnés d’entendre vos voisins de table discuter en anglais ou en espagnol. Au menu, dix propositions de plats dont les trois-quarts sont des mets typiquement créoles. Bien entendu, la célèbre lentille figure en tête de gondole associée aux saucisses ou en accompagnement de caris de choix à l’instar du porc massalé ou du civet de coq frais. Aux fourneaux, M. Fontaine, tout sourire, est par monts et par vaux mais prend toujours le temps de faire un brin de causette avec ses clients.

Le Petit Randonneur

Le Petit Randonneur 61, rue du Père Boiteau 02 62 31 79 55

Le petit randonneur

Du lundi au jeudi, samedi et dimanche de 11h45 à 14h00. Fermé le vendredi.

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68 CILAOS

Cosy, accueillant et digne représentant de la lentille dans son royaume, Chez Noé reste une référence en matière de gastronomie créole à Cilaos.

Voilà 35 ans que le couple Boyer entretient et pérennise cet héritage familial patrimonial au travers de l’établissement et du savoir-faire culinaire ancestral.

Ouvert midis et soirs, Chez Noé a su évoluer avec son temps en évitant de prendre pour acquis ses classiques et en proposant des plats originaux à l’instar de la marmite de lentilles dans lesquelles baignent une belle trilogie de pièces de viandes entre canard et cochon de la cour. Laissez-vous tenter par les desserts, ils sont faits maison par le chef pâtissier.

Chez Noé

Chez Noé

40, rue du Père Boiteau 0262 31 79 93

restaurant-cheznoe.fr Chez Noé

Du lundi au samedi, de 8h00 à 22h00 et le dimanche de 8h00 à 16h00.

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SALAZIE

Ce restaurant de Salazie est perché juste en face de l’église, sur la droite dans le sens montant, après la mairie. On ne peut pas le rater. Sa jolie salle et sa terrasse jouxtant une pelouse où la marmaille peut s’amuser lui donnent cette touche accueillante et sympathique propre aux cases créoles traditionnelles. Dominique Grondin y fait chanter les casseroles depuis 26 ans, pendant que son épouse Nadine gère le service et la caisse. Cet amoureux de notre gastronomie excelle à faire sauter le bœuf avec les gros piments, arranger la morue avec les brèdes songe ou vous arranger vous, et votre palais, avec un cabri massalé ou un cari crevettes. S’il privilégie les sautés légers, les week-ends, le menu est davantage axé sur les caris, et le chef sélectionne la viande avec attention. Les produits du cirque, à commencer par l’indétrônable chouchou, sont bien sûr mis à l’honneur. Le poulet pomme de terre est également très demandé.

Le P’tit Bambou

Le P’tit Bambou 166 rue Georges Pompidou, Salazie 0262 47 51 51

Parking de l’église, en face Du lundi au mardi et du jeudi au dimanche

de 11h15 à 14h00.

Fermé le mercredi.

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