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Academic year: 2022

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(1)
(2)

NOUS AVONS LE LIVRE

dont vous avez besoin

Derni è re nouveauté :

LA CONSTRUCTION DES ? ! PETITS TRANSFORMATEURS

par Marthe DOURI À U 7

e

Edition .

Un volume de 192 pages , 120 figures .

format 15 , 5 X 24 540 fr .

0 PARIS

J

Llvra

îrie

de Paris ,

" -

*

.*

** #,«M.

"

7

,

9

et

11 ,

place Clichy, (ouverle

jusqu

à minuit.

)

^ ANGERS

S

Librairie Richert 6 , rue C/

iaperonm

è

re

,

^ BORDEAUX : Librairie

Ceorges,

I 0 - 12, Cours Pasteur . PRINCIPAUX CHAPITRES .

*

CARACTERISTIQUES

ET CALCUL DES TRANSFORMATEURS LES BOBINES DE FILTRAGE TRANSFORMATEURS ET BOBINES

' D ' INDUCTANCE POUR AMPLIFICATEURS DE GRANDE PUISSANCE

LES TRANSFORMATEURS BASSE FREQUENCE LES AUTOTRANSFORMATEURS

LES REGULATEURS MANUELS DE TENSION LES REGULATEURS AUTOMATIQUES LES TRANSFORMATEURS POUR CHARGEURS

LES TRANSFORMATEURS POUR POSTES DE SOUDURE

ESSAIS ET PANNES BOBINAGES EN ALUMINIUM LES TRANSFORMATEURS A COLONNES

LES TRANSFORMATEURS

POUR RECEPTEURS DE TELEVISION LES TRANSFORMATEURS TRIPHASES

L

'

IMPREGNATION 9 CHARLEVILLE :

Libr

. Portal -

Chaffejon

,

1 7 , Cours

Briand

.

LE HAVRE

LE MANS :

MARSEILLE

Librairie Marcel Pincent , 95 , rue T hiers .

Librairie A .

Vadé

, 35 ,

rue

Cambella .

:

Librairie de la

Marine

el des

Colonies , 33 ,

rue de la

R

épublique,

4 ) METZ t Librairie Hentz

%

13,

rue des

Clercs

,

X

• • MONTARGIS NANCY

l

Libraire de

l'

Etoile , 46 , rue Dor

ée, l

Librairie R

émy

, 2

, rue

des Dominicains

0 NANTES

!

Librairie

de la Bourse

, 8 ,

pi

. de la Bourse .

^ NICE

î

Librairie Damarix , 33 ,

avenue

Gioffredo

,

5 ORLEANS

Z

Librairie J

,

Lodd

é

, 41 , r . J

eanne

-

'd'

Arc .

£ REIMS

2

L ' 6

r

. Michaud, 9, r .

<

/

u

Cadran - St - Pierre

,

£ ROUEN

2

Libr

,

A . Lestringont, II , r . Jcanne -

d'Arc

.

9 SAINT - OUEN : Librairie Dufour , 88 ,

/

lu . Cabriel - P

é

ri .

£ STRASBOURG : Librairie E

,

Wolf

fer

, 17 , rue Kuhn .

TOULOUSE

:

Librairie C . Labadie, 22

,

rue Je Metz .

9 BEYROUTH ( Liban )

2

Librairie

du Foyer

,

rue

de l

'

Emir - B

échir

.

BRUXELLES ( Belgique )

:

Soci

été Belge

des Editions

Radio

, 204 , A . C/

iaujje'

e de Waterloo .

LAUSANNE B

âle

( , Suisse .

Berne,

)

Gen: ève

Librairie , Montreux

Payot,

Neuch

âtelAgences

,

Vevey:

.

PORT - AU - PRINCE ( Ha ïti ) iLibrair '

e

La Semeuse >

rue des

Miracles .

^ TANANARIVE (Madagascar)

:

Librairie

de

Comermond Analak

ély

.

112 .

V O U S T R O U V E R E Z C E S O U V R A G E S N O S CORRESPONDANTS DONT CI - CONTRE L

| LIBRAIRIE DE LA RADIO PA * < 2 , >

|

. . . W

Ê

0

(3)

VWv>VW%

\ propos du vocabulaire de radio

Les mots et les choses

Certains noms propres sont traditionnellement é corch és

t

Wheatstone devient Wheastone, à la mani è re de « bifteck » ,

qui nous vient aussi de la langue de Shakespeare .

Kirchhoff devient Kirchof : c ’est plus simple !

Par contre , certain professeur de radio s ’obstinait , il n ’ y t pas

tr

è s longtemps , à dire Tellingen , au lieu de TcIIcgen !

Uohmm è tre est trop souvent orthographi é « ohm è tre » par une contraction paresseuse .

Pour é viter les crampes dans la main , on d ésigne bien des choses par la lettre C : condensateur , capacité . .. On parle de la

« m é thode du C s éparé » sans qu ’ on puisse savoir s ’ il s ’agit d

un circuit ou d ’ un condensateur .

Le cé l è bre acousticien Fletcher devient souvent Fechner, quand ce n’

est

pas Vegener .

Ce ne sont l à que quelques exemples , cueillis en passant , lors de la lecture d’ un programme .

Les mauvais exemples

sont

d ’ ailleurs fr é quents , fort ré pandus dans le temps et dans l ’espace . Le microfarad est souvent é crit

Mfd au lieu de PF .

Quand au milliamp è re, les Américains l’é crivent sans ver -

gogne Ma au lieu de mA , au mé pris de toute logique et de

toute rè gle .

Si ce que l on con ç oit bien s ’é nonce clairement — disait

Boileau — il doit encore mieux s exprimer par é crit pour fixer les id ées . Car il

est

bien é vident que , seules , les id é es nettes

sont

de nature à satisfaire les esprits précis

et

, par ce fait mê me , à faire avancer la science

et

la techniquef

USTAVE DROZ a publi é jadis une

amusante

nouvelle , dans laquelle un pharmacien reprenait son client et mettait au point avec lui le - vocabulaire du m é tier . Il lui enseignait, notamment , qu un pharmacien n ’ est pas un

« potard » , que les produits qu ’ il vend

sont

des rem è des et non des « drogues », que son assistant doit ê

tre

appel é son

« élè ve »

et

non son « gar ç on » ...

11 serait bien instructif d’en faire autant en matière de Radio . 11 faudrait commencer par apprendre le « bien - parler »

de la technique aux jeunes qui, dans les ateliers

et

les usines,

sont

exposé s à

tous

les é

carts

de langage et à

toutes

les im -

proprié

t

é s .

La lecture d ’ un programme d ’é tudes de radiotechnique , fut - il

du certificat d aptitude professionnelle , est , à cet é gard , assez suggestive .

Parlons - nous de tubes à rayons cathodiques , devenus les ciné scopes

et

catboscopes , nous dirons la d é viation plut ô

t

que la « dcflexion » . Ce dernier

ternie

est d ’ importation . Non pas qu il ne puisse ê

tre

naturalis é et obtenir droit de cité dans

notre

langage technique, mais le vocabulaire é lectrotechnique fran ç ais, consulté, n

en a pas vu l

utilit é , puisque déviation fait aussi bien l ’ affaire . Encore une « d éviation » de langage supprimé e .

Les cibels continuent à faire couler des torrents d ’ encre .

Certains n’ en veulent pas entendre parler, mais ils sont pour -

tant si commodes . Seulement , il y en a qui les écrivent Db

,

ce qui voudrait dire , à

tout

le moins , d é cabels ; d

'autres

rédigent db . Nous pensons que l orthographe dB est la seule correcte .

Bien s û r, B

est

aussi le symbole de bougie ; mais en g é n é ra !

,

on se

sert

peu de

cette

unit é en radio , mê me en

t

é l é vision

,

o ù l

'

é cran nous fait pourtant appara î

tre

parfois trente - six chan -

delles l

Trop de gens parlent encore de Vintensit é pour d é signer un courant . Sans doute s

'

agit-il d

une « intensit é de

courant

» , \

mais on parle plut ô

t

de l ’ amplitude

,

s

il y a lieu . De mê me , l intensité de champ est devenue le champ tout

court

.

S ’ agit - il de fr é quences ? On emploie volontiers

,

comme uni - j

t

é s , les p é riodes par seconde fp : s

)

s

il s ’ agit de ph é nomè nes à f

basse fr é quence

(

acoustique

, t

é l é phonie

) et

les kilocycles par seconde

,

m égacycles par seconde si l ’ on traite de hautes fr é -

quences . Officiellement

et

internationalement , c ’

est

le hertz , le kilohertZy le

m

é gahertz qu

on doit utiliser

et

qui est adopté , en fait , dans les

actes

officiels ,

,

du moins en Europe .

t

Il y a des

mots

affreux , auxquels il faut tordre le cou .

(

II

est

>

des morts qu

il faut qu

'

on tue, a dit le po è

te

. »

La self n ’ existe plus . Ou plus

exactement,

on é crit inductance ) pour ê tre correct . . . mais l

'

on parle de self dans la conversation >

courante ! De plus , le self tre a la vie dure .

Il y a aussi le Q - trc , qui manque vraiment d ’é l é gance , J

aussi bien grammaticalement que phonétiquement . Les é l è ves

et les professeurs devraient bien apprendre qu ’ il existe un

terme ;

bien meilleur, Yacuim è tre , pour d é signer le mê me appareil de

)

mesure . 5

G

JEAN- GABRIEL POINCIGNON .

SOMMAIRE

*

L

é metteur de Radio - Luxembourg R . A

*

RAFFIN . ,

Nouveaux

amplificateurs

vid é o -

fr é quence F . JUSTER .

* L

’alignement

visuel des récep -

teurs de tél évision H . FIGHIERA .

5 Perfectionnements aux h ét é rody -

nes d

'

amateurs G . MORAND .

Chronique de l

amateur JEAN DES ONDES ,

>

Le Tom - Tit 1931 E . JOUANNEAU .

A propos de l ’ adaptateur é met -

teur RX 10549

N ’ 897 4 LE HAUT - PARLEUR 4 Page 387

(4)

Au Laboratoire central

*

des Industries é

lectriques J1 a é t é décidé, par las Pouvoir

^

publics, dagréer le Laboratoire central des Industries radioélectri- ques (division Radioélectricité) pour l’exécution des essais d'homo

-

loga

-

tion au titre du Comité, de Coordi

-

nation des Té l écommunications de ]Union

C.C.T.U.)

.

RADIOBOIS

Une nnion bien sympathique

Notre directeur, M. Jean

-

Gabriel Poinfignon, maire de Soisy-sur-Sel

-

"

Mlle Monique Barrat et de Medi

"

ü

ZJtr . Ti ï nX triage .

Jeande

SON PORTATIF PILES - SECTEUR

Steffann.

La jeune mariée est la tille de notre ami M. Michel Barrat, chef (Spécifications

^

de Publicitépublicité,deetla Sociéle jeune mariété Auxiliaireest le fils de M. Roger Steffann, .e dis

-

tingué directeur de la Socié

t

é Pari

-

sienne d’imprimerie.

Toutes nos félicitations et no

*

meilleurs vœux de bonheur

. La Promotion

Maurice

Ponte

1

à l

Ecole centrale de T . S . F .

et

d

'

El -

f

^

tronique

.

Lue nouvelle promotion a é té baptisée le vendredi 1er juin à lEcole Centrale de 'l/.S.F. et d’Elec

-

tronique, dans l’annexe de la rue do Grenelle

.

La marraine était la charmante

française

Le

prix

des

r

é

cepteurs

allemands

Notre confrère, allemand Radio

-

Mentor noii.f communique aimable

-

ment lesrenseignements ci

-

dessous

:

Pans le numéro894,du Haut

-

Par

-

artiste Catherine Mai, bien connue des auditeurs

.

Le parrain é tait l’éminent savant, M

.

Maurice Ponte,

directeur général de la Compagnie allemands à modulation de fréquen

-

Générale de T.S.F., auteur de nom- ce. Cette information mentionne que breux Ira vaux d'électronique, un des la plupart de ces récepteurs revien

-

pionniers du magnétron et, en parti

-

lient à un minimum de 400 marks,

culier, réalisateur du premier radar, install é, avant 1938, sur le « Nor- mandie » .

La réception de la t

é

l

é

vision à

grande

distance

Nous publions dans le présent nu

-

méro, page 397, une. communication de F9KB dont l’intérê t néchappera pas à nos lecteurs

.

Qui pourrait nous donner des précisions sur l’émission inconnue à modulation négative signa.ée par notre corres

-

pondant? leur,page 294,nous remarquons une

informationconcernant les récepteurs ENSEMBLE comprenant : boîtier mo

-

derne enbakélite avec$njalivcur, châs

-

sis, cadrer»,C.V

.

bretelle, antenne

.

Prix ^

Equipez cet ensemble avec d

- =

s pi èces de 1er CHOIX

.

Bloc medium, 3 gammes 715

Le jeu de M.F

L

-

e1 Sjeu5, 3S4de lampes 1R5, 1T4

,

H.P, 10 cm ou 12 cm . Ticonal haute fidélité

EN STOCK ï Tourne

-

disques,

châssiscâ blés

.

,fils,lampes,conden

-

sateurnitures

^ .

,radiorésistances,. et toutes four

-

3.900

O n’est pas tout à fait exact : 540 en réalité, le chiffre de 400 marks s'applique seulement aux récepteurs Après la présentation faite par combinés à modulation de fréquence etd’amplitude,qui permettentde re

-

cevoiraumoinsquatre gammesd’on

-

des : grandes ondes, petites ondes, ondes courtes et ondes très courtes.

Il n’existe que peu de récepteurs utilisables seulement pour la récep

-

tion desOTC en modulation de fré

-

..

2.600

M. E. Poirot, directeur général, le 890 parrain prit la parole. Son allocu

-

tion, faite en termes très simples, nila droit au cœur des élèves, qui lui firent une ovation frénétique. La conclusion fut tirée par M. L. Chré- tien, directeur des études.

Droits d

auteurs

Le SNIR a pris contact avec la Société des Auteurs et Composi

-

teurs, en vue de résoudre divers li

-

tiges résultant de malentendus réci

-

proques, Une collaboration confian

-

te est nécessaire en ce domaine

.

La

EBENISTERIES et MEUBLES T É L É VISION

La cérémonie se termina autour quence. Dautre part , certaines gran

-

des marques fabriquent exclusive

-

prochainement l’objet d’accords fer

-

ment despostes pour modulation en tiles

.

amplitude. Par exemple, Saba fa

-

brique un deux lampes du type dé. tectrice à réaction, qui coûte 30 marks,et un superà quatre lam

-

pes, vendu 90marks.

question des droits dauteurs fera dune coupe dechampagne

.

Parmi les nombreuses personna - lités présentes, nous citeronsau ha

-

sard : le colonel Aujames, secré taire général de la Fédération Nationale des

Modèles spéciaux sur demande Pi èces détachées : Quelques prix : Cadran 5TAR livré avec C.V. et glace.

CC4

. .

.

.

L280

. .

1.650

DB4

.. . .

2100 XI 350990

Concours d

'agent

technique radio

Un concours d’agent technique doit pourvoir à 80 places vacantes à la Radiodiffusion française. Un autreploi deconcourssecr pourvoira à l’em

-

étaire

-

vérificateur à la Radio et Télévision françaises : 30 places

.

(Décret du 5/5/51

.

)

1.250 CD7, CD43,

143

,

J

50

BLOCS

-

BOBINAGES

ACR Bloc 14 3 C

+

M

.

F

. ..

ACR Bloc 35 4 C

+

M.F

. . .

1.260 5upersonic Pretty

Pretty BE

Champion

Compétition

...

M

.

F

.

, le jeu 455 kc/s Industries radioé lectriques ; H 3

M

.

Marcel Boll, le philosophe bien connu; M. Beurtheret, Ingénieur en chef à la Compagnie Thomson- Hous- ton ;

1.030 980 le capitaine Dauphin, directeur Enseignement technique

radio

750

des études de la Section Radio k l’Ecole

980 La IS* sous-commission nationale 910

Supérieure dElectricité ; M

.

Ferry, directeur de la S.F

.

I.M.; M. Braillard, ingénieur à la C.S.F

.

Ln bal,avec denombreuses attrac

-

tions, eut lieu dans la nuit du sa

-

medi, dans 1rs salons de l'hô lcl Lu- té tia.

1.450 (Radioélectricité) de la Commission

nationale professionnelle consulta

-

tive de la Métallurgie, vient de mettre au point trois projets de programme concernant le Certificat

daptitude professionnelle de mon

-

radioélectriques qui seraient dispo

-

tcur-càbleur en radioélectricité, ce

-

lui de radioéleetricien (formation dr contrAle) et le Brevet de radio*

électricien (agent technique)

.

625 TRANSFOS DKR Y 60 millis.. 890 75 millis

.

. 990 65 millis .

.

920 100 millis .. 1.220 Cataloguespécialcontre15 fr

.

en timb

.

Expédition : France

.

U

.

Fse, Etranger.

Paiement,chèque

.

Vt postalà la com

-

mandeou contre remboursement

Stagiaires

Les entreprises de constructions sées à engager des stagiaires pen

-

dant Je? mois de vacances, sont priées de prendre contact avec l’E

-

cole polytechnique fémiuinc, qui impose des stages à ses élèves du 30 juin au 3 novembre 1951

.

i i i i i i i i i i i i M i i i i i i i i i i i i i i i i i i i m i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i n i i i i

R A D I O B O I S

175, rue du Temple

PARIS (3')

.

C.C.P

.

Paris1875

-

41

-

Tel

.

ARC.10

-

74

Métro :Temple et République.

a

Spé cifications unifi é es C . C .T. U .

1

-

nrmi !rs nouveii» spécification

,

Nouvejles

normes fran ç aises

C.L.T. L. récemment homologuées, il

fautciter : C

.

C

.

T

.

U. n ” 102 (Bobines

de radio Nouveaux

appareils portatifs Grâce aux progrès de la techni

-

que subminiature, les Etats

-

Unis^

construisent maintenant des émet

-

teurs

-

récppteurs portatifs du genre

<»; walkic-talkie » dont le poids est moitié et la fréquence porteuse dou

-

ble de ceux des postes précédents

.

Ces appareilslitaires

.

serventà des fins mi

-

Directeur - Fondateur

:

J . - G . POINCIGNON Administrateur :

Georges VENTILLARD

Les règles d’établissement des éléments entrant dans la constitu

-

tion des appareils de radiophonie viennent d'étre homologuées comme normes françaises par l’arrêté du 11 mai 1951

.

Rappelons que ce sont les textes :

NFC98

-

1.

-

Transformateurs.

98 -2

. -

Haut- parleurs

.

98

-

3.

-

sistances fixes

.

98

-

4

. -

Condensateurs électro

-

lytiques

.

98

-

5

. -

Potentiomètres variables

non bobinés.

98

-

6

. -

quenceTransformateursinterm à fré

-

édiaire

.

98

-

7

. -

Supports de tubes élec

-

troniques. 98

-

8.

-

Commutateurs

.

9 8

-

9.

-

Condensateurs au pa

-

pipr.

9S

-

10.

-

blesCondensateurs

.

v a r i a

-

98

-

11.

-

Condensateurs a j u s t a

-

bles au mica

.

98-12

. -

Bobinages à haute fré

-

quence.

M

-

13

. -

Condensateurs fixes

au

mica.

thermiques) et C.C

.

T

.

U

.

n0 323(Con

-

densateurs électrolytiques de modèle réduit)

.

Récemment, le C.C.T.U

.

a édité les spécifications unifiéessuivantes :

n° 55 : bles coaxiaux souples et semi

-

souples 11F à di électrique

plein;

n**333 : Potentiomètres non bobiné

»

sans interrupteur;

n" 271 : Tubes de réception pour usage professionnel .

En outre,le S.N.I.R.a achevélétu

-

de des spécifications suivantes : Pr 5 : Etanchéité aux très basses pressions ; Pr 9 : Etanchéitéà l’im

-

mersion ; Pr 10 : Condensation ; Pr 10 : Stnckage en climat tropical; Fr 111 : Tensions continues inférieu

-

res à 500 V; Pr 112 : Tensions al

-

ternatives inférieure » à 500 V ; Pr 310 : Epreuves et essais des cristaux piézoélectriques; Pr 341 : Cristaux piézoélectriques

.

Direction - R é daction :

PARIS

» »

25 . rue Louis -le- Grand

OPE 89

-

62Provisoirement

-

CCP Pans

424 -

19

tous les deux|eudis

La Radio

au

Salon de l

'

A é

ronautique Du 15 juin au 1er juillet s’ouvre le Salon de l’Aéronautique, auquel la

d

é ration S.N.I.R. est largement représentée, disposant,

Palais, de deux stands collectifs de 920 m

-

(nef et galerie C, au rez -de

-

chaussée)

.

Dans le stand de la naf de 700

ms

, on verra notamment les production dp AME, CDC, CFTH, CSF, LCT, LMT, Radio

-

Air, Radio

-

LL, SADIR, SFR, SIPL, qui expo

-

seront une. grande varié té de mat é

-

riel de bord et d’infrastructure. Le Syndicat des Tubes électroniques (SITEL) sera représenté par GDI,, Fotos, Ncotron, Philips, Radiotech

-

nique, Tungsram et V ïsseaux; le Syndicat des Pi èces détachées (SI*

PARE) par ACRM, Elvéco et Aréna

-

(galerie C). On verra aussi les ap

-

pareils de mesure de Bidon-Leroux, Chauvin- Arnoux, Férî soï, Gucrpjl

-

lon, Rlbct et Desjardins

.

au Grand ABONNEMENTS

Franco et Colonies Uvi «n : 26numéro»

Etranger : 750 Fr

1.150 fr

«Nous consulter)

Pour les changements d’adresse

prière de joindre 30 francs de

timbres et la dernière bande

.

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DE PUBLICITE 142

,

rue Montmartre, Paria (2*)

tTel

.

CUL 17

-

28»

C

.

C

.

P. Paris 3793

-

60

Tension de distribution à Paris

La tension du réseau a été

cem .

N é

crologie

On annonce le décès de M. lecom

-

ment portéede 115 à118 V,et il est questiondemonterà120 V fin 1951.

Des précautions sont

à

prendre pour mandant Dejcan, chef de la divi

-

adapter les radiorécepteurs

à

cette sion Radioélectricité et Electronique nouvelle valeur de tension

.

de l’Ecole supérieure d’Electricité

. Page 388 4 LE HAUT - PARLEUR 4 N

°

897

*

.

(5)

/ /

Mais

ouvrons une

des

portes insonores

-

fendues par des signaux

lumineux

;

et aus -

s i t

ô t,

des

chansons, des morceaux

d '

orchestre ou des voix

d e speakers

r

é

sonnent sur

les

murs . Refermons

la

porte

,le silence revient

.

lit quelle

activit

é derri

ère ces

g r a n d s

rnurs cr è

me

, éclair é s

de

vastes haies , et qui s

ou -

vrent en deux ailes harmonieuses

!

Les bureaux

de

la direction , toute

l

admi -

nistration

et

les bureaux des

r

éalisateurs

se trouvent

dans l’aile droite où

cré pitent , toute

la

journée,

des

machines à écrire .

Dans

l

aile

gauche s

’ordonnent

les studios

, au nombre de

six (

deux studios

de

musique

'

et quatre

studios de p a r o l e)

,

ainsi

que

les cabinestophones

.

techniques

et

la salle des

magn

é

-

Ajoutons

encore

la salle de

documentation

*

la discoth

è

que , la

salle d e s

t

é l é

types, otf passent, tout au

long du jour, les

nouvelles

d u monde entierliers

,

la

magn

é

toth ,

les

èque et la bibliothèque salles

d’é

coute, les ate -

musicale . Tout cela

d a n s de grands

bâ timents clairs terres

,

de roses entourés de pelouses . . . et , l'

é

t é , de par -

Aux programmes r é alisé s à la station m ê me , viennent

s’a j o u t e r

les é missions enre -

gistré

es ou transmises en direct depuis Paris ,

Londres et Bruxelles .

Nous

p e n s o n s

superflu de r a p p e l e r l

immense popularit é , maintenant indiscu -

t é e

,

dont jouit Radio -

L u x e m b o u r g a u p r

è s des auditeurs . Le g r a n d poste doit cette popularit é à la science éclair é e

,

à la ligne de conduite, au p r o g r a m m e d

'

action , à une continuit é dans les efforts de MM . Ren é - Louis Feulvey

(

directeur

g

é n é ral

)

, Emile

Reuter

(

pr é sident du conseil d

administration

)

, J a c q u e s Lacour -

G a y o t (

membre de

l

Institut , vice - pr é sident d é l é

gu

é de Radio -

L u x e m b o u r g)

, Mathias Felten

( i n g

é nieur en chef

, c h a r g

é d e l

exploitation

)

, Ferdinand Scholtes

( i n g

é nieur , chef du poste é metteur

)

et André Dubois La Chartre

(

directeur des p r o g r a m m e s

)

.

En passant , nous adressons un grand merci à ce dernier , qui a bien voulu nous

r e n s e i g n e r

et nous communiquer tous les él é ments n é cessaires à la r é daction de ce reportage .

D ès

le 2

octobre 19

,

12 , un c

â

ble spécial reliait les studios à

Junglister

.

Aprè s les premiers essais experimentaux,

en juillet 1932 ,

les

essais

finitifs sur

la longueur d

’onde actuelle , avec une puissance de

200

k

\V,

furent faits le 14

janvier

1934 .

Plus tard , la Compagnie

acheta un

vaste terrain, au centre de la

ville,

au milieu

du

parc municipal

,

et elle commen ç a

d’

v cons -

truire

scs installations d

é

finitives .

A

ce moment

dé j

à,

Radio

- Luxembourg

avait conquis

sa popularit

é

aupr è s

d u publie

.

Ses

heures

d

’é mission

en

anglais

o ken fran

-

çais lui

assuraient un double secteur

d’

écoute .

Cette popularité ,

qui

ne

s

’est

jamais d é

men -

t i e,

a r

é

sist

é

aux secousses

de l a g u e r r e

1939 - 1945 .

En effet , avant m

ê

me

que

les b

â t i m e n t s

de

la villa

Louvigny

fussent

achev

é s

, la

guerre éclata

.

Radio

-

Luxembourg

se tut .

Exploit

é

par

les

Allemands sous leur oc -

cupation

, Radio - Luxembourg,

malgré certai

-

nes destructions, fonctionna à nouveau

le

17 septembre 1944 au b é n éfice

des

arm

é

es

al

-

li

é

es , sous le contr

ôle

am

é

ricain .

Le 11 novembre 1945 , à

minuit, la

station fut

finitivement remise, par un représen -

tant du g é né ral Eisenhower . à

la

Compagnie

luxembourgeoise

de Radiodiffusion .

De

grandes

difficulté s attendaient

la di

- rection

du

poste : une partie importante du mat

é

riel technique manquait

; la

discoth èque avait

é

t é partiellement

d

é

truite

. Il fallut donc

repartir

avec des moyens de fortune ; Au

d

é but de 1946 . les é missions é taient encore limitées à

40

heures par semaine .

Cinq mois plus tard

,

elles

d

é passaient

cent heures . Filles

en atteignent aujourd

hui cent vingt .

ADIO - LUXEMBOU R

G

peut se

flatter de

n ’ avoir jamais

dé vi é

de

la lign? d e

conduite qu

’il

s

é tait

assign

é

e

dès

ses

buts .

Constamment soucieux d

’informer

objectivement

, de

distraire

et

d

instruire,

cet

é

metteur

n

a jamais oublié

qu

il

voulait ê

tre

le poste

de la

famille , de

l

amiti

é

, de la bonne entente entre les nations . Aussi

,

ces points

soigneusement

respectés viennent d ’ ê tre couronné s

(

en septembre 1950

)

par

vingt ( (n s (

le

sucres!

Radio - Luxembourg appartient

à la Com

-

pagnie luxembourgeoise

de

Radiodiffusion, à

qui le

gouvernement

luxembourgeois

a conc

éd é le monopole

de la radiodiffusion

du son

et

des images

.

Sous

le r

é

gime de

la

«

concession

» auquel

l

'

Europe doit ses chemins de

fer,

ses

m i n p s, son

é lectricit é

,

des capitaux privé

s

s’

associent

pour une exploitation dont

l

Etat

l e u r

con -

de

l’exclusivit é , et qu

il se réserve de con - tr

ô ler

.

Telle

est la formule

dexploitation

du poste de Radio -

Luxembourg

.

Le poste é met sous sa seule responsabilité .

Mais l’Etat luxembourgeois

le

contr

ôle

, par un commissaire

d u

gouvernement

,

par une Commission

technique

et par une Commis -

sion des programmes .

Les capitaux de Radio - Luxembourg sont

tous

priv

é s, fran ç ais en majorit é , belges et luxembuu

rgeois

.

Radio - Luxembourg ne perçoit aucune taxe

de

ses

auditeurs

,

n e

reç

oit

aucune subven - tion

:

il ne

vit que

des recettes

de sa

publi - cit é commerciale, autorisé e

par

son cahier des

charges

-

Cette formule assure la possibilit é

d’

une gestion saine et

d

’une am é lioration constante des programmes .

En effet, une radio commerciale vit de la satisfaction de ses auditeurs . Une audience

croissante assure aux annonceurs un rende -

ment de

plus

en

plus

consid é rable . Ce ren -

dement

permet

d e

faire de meilleurs pro -

grammes , et ainsi de

suite

.

Sans doute ,

le grand

problème de la radio

priv

ée est

-

il

d

’assurer

l'

é

quilibre

entre la n é cessit

é

de faire d

'

importantes recettes

,

et Je devoir d'informer et

dé duquer les

audi -

teurs .

C

est à quoi Radio -

Luxembourg

s’ at -

tache , conscient de la nublcsse de sa mission .

R

Le centre émetteur

de Junglister

Après avoir visit é les studios

de la

villa Louvigny . nous nous en allons vers le

pla

-

teau

de

Junglister , sur

la

route de Luxem -

bourg

à Echternach . Dix - huit

kilom

è tres de

c

â

ble souterrain

relient les

studios au centre

é

metteur

(

modulation pr é amplifi é e , t é

l

é pho -

ne

,

etc . . .

)

. Bien

vite

, nous apercevons l

'

é norme toile

d’araigné

e

que

constituent

les

antennes et

les cinq

pyl

ô

nes -

Rien

que ces pyl

ô

nes

de 180

m

è

tres soient

fort

impressionnants

,

nous en

reparleions

tout à l'heure . . . Poursuivons notre route , tournons vers

la gauche

dans

'

un petit che -

min

. Nous dé couvrons

l

ensemble

de

l' é met -

teur et nous ne sommes

plus

occupé s que

du

grondement sourd

qui

s

en échappe, gron -

dement des

moteurs et des gé

n é

ratrices qui

veloppent

l

’é

nergie é

lectrique nécessaire à l

'

alimentation du poste .

Nous voici maintenant devant

un

immensi b â timent central

, flanqu

é

de deux

ailes im -

portantes

, le

tout au sommet du plateau

d t Junglister,

à 334 m ètres

d

altitude

,

dans une d Duch

?s

r

éé

. gions les plus pittoresques du Grand -

La villa Louvigny

C

est au centre

î

le la ville de

Luxembourg, d a n s le

parc national, que

se

dressent

les b

â timents

de

Radio - Luxembourg , sur rem-

placement de

la villa Louvigny .

Cette portion

de

terrain appartenait autre -

fois à un sieur Louvigny

, qui y

construisit

l i n

ch â teau

fort

,

mantelé par la

suite

.

Sur les

ruines de ce fort

, d’

autres

fortifi

-

cations

,

à leur tour d é truites , ont laiss

é

certains

vestiges

dont les murs

é

pais et

sin

-

guli è

rement

insonores

abritent maintenant quelques bourg . - uns des studios

de

Radio - Luxem -

Si les

ombres des anciens habitants

d e la

redoute erraient

la

nuit dans

les

restes

d e

leur demeure , elles y rencontreraient

les plus

modernes installations de

la

technique radiophonique .

Mais ce contraste

n

’ est

p a s

l e seul de la Villa Louvigny . Dans cette ruche de la radio , dont la voix est entendue de millions

d'

au -

diteurs , rè gne , en effet , le silence le

plus

impressionnant . Au visiteur qui parcourt

les

halls et les couloirs du poste, il semble que ce soit

toujours

dimanche . Pas de bruit . ..

Dans

l'

aile gauche du b

â timent

sont les deux moteurs Diesel

M

.

A

. N

ehneun

d é veloppant Tint ch : en

bout

d ’ arbre, nous

d e u x

alternateurs A . E . G . 380

/

220 V -

voyons

50 c / Dans s , d'une une autre

puissance

salle se unitaire de 665 trouvent les con

kVA

- -

vertisseurs

pour le

chauffage

et la polari -

sation

des tubes d’é mission . Le sol tremble nos pieds et

le grondement

est presque sous

intenable !

Dans

le

bâ timent central

,

nous visitons l’é metteur à ondes

l o n g u e s

200 kW

(X)

; c 1 293

est

l

m ’ un ; Historique du

poste

Au mois de d écembre 1929 , le gouverne -

ment

du

Grand - Duch é

de Luxembourg

remit à une socié t é

priv

ée

la

concession

*

de l

'

ex -

ploitation

radiophonique sur son territoire .

La nouvelle

«

Compagnie luxembourgeoise de Radiodiffusion

»

, dont le poste d

é mis -

sion devait ê tre connu sous le nom de Radio -

Luxembourg , choisit le plateau de Junglis -

ter , situé à 16 kilomè tres des

studios

de Luxembourg ,

pour y

construire son é metteur , dont tobre

la premi

1931 . è re pierre

f u t

posée le

l*r

oc -

Puissance antenne

des é metteurs

les

plus puissants

du

globe

, (/

et é metteur ,

qui a

etc construit par la

«S

. F . R ., emploie le systè me

de

modulation d i t

<

par d é phasage

»

: ce proc

é

d é

, du

à l’

in

-

gé nieur

fran çais Chircix

,

permet

d

’obtenir un rendement global trè

s

é levé et est

donc

particuli

è

rement

indiqu é

pour

l

’ exploitation

d

’un poste

d

une telle puissance . Au sous -

sol sont installés les bassins

de

canalisation ,

les

pompes et

les

é changeurs

d e

chaleur de l

eau de refroidissement des

lampes

d

é mis -

sion . Cette eau

vient de bassins

qui s ’ é tagent

S N

#

897

\

+ LE HAUT - PARLEUR Page 38 S

(6)

devant r é metteur et font, en é t é, penser à Tri anon .

Au rez - de - chaussé

e

sont mont

é

s les grou -

pes convertisseurs

(

alimentation

filaments

et polarisation

)

, les redresseurs à vapeur

de

mercure pour

les

tensions anodiques et, enfin , un tableau

de

contacteurs pour la mise en marche automatique de

l

é

metteur .

Au

premier

étage, nous avons r

é

metteur

O

.

O

. proprement dit et son

pupitre de

com -

mande .

On voit combien est vaste et

complexe le

domaine contr

ô

l

é

par \1 M . Fclten, Seholtes et Schmit .

L

'

é metteur G .

O

. peut se

d

écomposer comme suit :

1° Les é tages à faible puissance et de mo -

dulation tcette derniè re

a r r i v a n t

pr

é

ampli -

fié

e par c â ble , depuis

les

studios

de la

villa Lou vigny

)

.

2

°

Les é tages d

amplification à grande puissance .

La première

partie

comporte :

a

)

un ma î tre oscillateur

pilote

stabilis é par quartz

;

h)

un é tage sé parateur

;

c

)

un

amplificateur sym

é

trique

;

d)

un autre amplificateur push - pull , muni d e

deux triodes de

1 kW

;

e)

un ensemble

d

’amplification B . F . atta -

quant le

modulateur

, puis les é tages II . F .

modul és .

D

'

autre part , les é tages

d

’amplification à grande

puissance

comprennent

:

a

)

l ’ avant - dernier

é

tage H . F . , muni de six triodes

d e

25

k W

à refroidissement par eau , dont quatre seulement sont en service et deux en r é serve

;

b)

le dernier é tage II . F . , muni de huit triodes de 140 kW à refroidissement par eau , dont six en service

(

push - pull paral -

l

è

le

)

.

Chaque triode d e ce dernier ctage né ces -

site, pour le chauffage de son filament, 300 A sous 30

V

; la

tension anodique

est

de

10

000 V

. Le

d

é bit de l ’ eau de

refroidissement

s’

é

ta -

blit

à

00 litres par minute et par

lampe

. Le

p u p i t r e

de

commande

porte , sur sa

face

sup

é

rieure, les

a p p a r e i l s né

cessaires à la mise en service de

l’é

metteur, au contr

ôle des

sources

d

’alimentation et au contr

ô

le

de

la

qualité

technique de

l

cmission .

Enfin , d a n s

l

’aile droite du bâ timent

,

est install

é l’

é metteur

P.O

.

(\

j ours

dans cette m

ê

me

aile

se trouve

l

’é met -

teur

O

. C .

(

longueurs

d’onde

:

de

jour = 19 ,54

n i

,

de

nuit = 49,

26

m

)

; sa puissance

actuelle

est de

0

kW ;

elle

sera port

ée à

50

k W

a u cours

de

cette ann

é e

.

C

’est ce dernier

é

met -

teur qui porte dans tous

les

pays

d u globe la voix

de Radio - Luxembourg .

La prise de terre du centre a

é

t

é constitu é

e primitivement par un réseau de fils et

d e

bandes

de

cuivre

d

’une

longueur

totale

d e

20 km, enterr

é

s à 45 cm

de

profondeur ; nous verrons

plus loin

les am

é

liorations r

é

-

cemment apport ées .

Voyons maintenant

,

en

tail, l ’ antenne

G . O . ; elle est

essentiellement

constitu

ée

par

quatre pyl ô

nes m étalliques baubann

és d e

180 m ètres de hauteur

, plac

és aux quatre

angles d’

un carr

é de 260 m è

tres

de

c

ô

t é .

Chaque

pyl ô

ne est é

toff

é

p ar deux

nappes de huit fils verticaux , partant chacune

d e s

Iravcrsiers lat

é

raux,

qui

relient

d e u x

par deux les pyl ô nes . Ces

fils

sont maintenus à

tension

constante par des contrepoids

,

et

reli é

s à la base

du

pyl

ô ne

correspondant .

L ’ alimentation des quatre antennes

é l é

-

mentaires

(

quatre

demi

- diagonales

d u

carr

é)

se fait par

le

sommet des pylô nes, et

la

base

d e

ceux - ci est reli

é

e directement

?. l a

terre .

A l

inté rieur du prisme vertical constitué par les quatre fils de montée

(

feeders

)

, on a disposé un cinqui è me fil connect

é

, à son

extré mité supérieure, au point

d e

jonction

d e

quatre fils amarr és au milieu

d e s

quatre traversiers

laté

raux . Cet ensemble constitue une antenne

auxiliaire

à capacité terminale , antenne complè tement isolé

e é

lectriquement de

l

’ antenne principale .

En

excitant

convenablement les diff

é

rentes antennes

, les

techniciens de Radio - Luxem -

bourg ont obtenu un effet directif du champ rayonn é

;

le

gain

r

é

alisé dans

les

directions privil

é

gi

é

es est de l

ordre de

40

% , compar

é

au champ rayonn

é

par l ’ ancienne antenne triangulaire

(

utilis

ée

jusqu

'

à

fin 1948)

.

On se souvient de la sécheif

.'

sse exception -

nelle de l’é

t

é

1949

;

les techniciens consta -

tè rent alors une

d i m i n u tion

notable du champ rayonn é duc à la

m a u v a i s e

conduc -

tibilit é

du

sol . Des dispositions

furent

prises aussit

ô

t pour am

é

liorer la prise de terre et é tablir au

plus vite

les

conditions

normales d ’ é mission .

Autour de

chacun

des

quatre py -

l

ô

nes , une nappe circulaire

de soixante

câ bles

d e

bronze, partant

de.

la base

d u pylô

ne , et

d

une longueur unitaire de

100 m è

tres, fut install

é

e . Les mesures de champ confirmè rent aussit

ô

t

l’a m é lioralion du

rayonnement .

Quant à

l

’antenne P .

O.

,

elle

est

constituée

par un cinquiè me pyl

ô

ne m

étallique

hau -

hann

é

,

d

’une hauteur de

110 m è

tres

,dont la

base est isol

é

e du

sol

. Cctle antenne est ali -

ment

é

e par

un feeder d

’ une

longueur î

le 508 m è tres .

Nous ne pouvons pas

t e r m i n e r

notre

«

papier

»

sans adresser nos f

é licitations à

cette

grande famille d

’auditeurs group

és

sous le nom

d

« Association des

Amis

de

Radio -

Luxembourg

Magazine

.

»

, ainsi

q u*

à

leur journal Radio

-

Et que

l

’on soit technicien , ou simplement curieux,

la

visite

d e s s t u dios

de

la

villa 208 m

)

. Tou -

Louvigny et

d u

centre

é

metteur de Junglister , pr

é

sente un tr

è

s

grand

inté rê t .

ROGLH - A . RAFFIN .

l l l i l i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i l i i i i i i i i M i i l l l l l i l l i i i i i i i i i i i i i i M i i i i i i i i n i i i i i i i i i i i i i i i i i M i imn im imi ln umI I Im1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1i ii ii iI I Iu nmM i i n«i i i i n i imm immI I I Ii i i i i i n u i i m i i H im mi immmmmH i lmn uI I I imI I I i iM in um ia n

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Page 390 > LE HAUT - PARLEUR > Na 897

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