« Un peu de terre où se prend le souffle... »

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Retrouvez plus d’informations sur le site web

www.bu.univ-avignon.fr

Rencontres musicales et artistiques

>> Mardi 2 avril 2013, 19h30 – Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon, Amphithéâtre Mozart (1-3 rue du Gal Leclerc, Avignon)

Sillons sanglants

Florilège de poésies françaises écrites en 14-18 et 39-45 par les élèves du pôle théâtre au Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon.

La terre est suppliciée durant les conflits armés. Des veuves de guerre en témoignent, à travers des poèmes d’écrivains morts au front. Il appartient aux générations exemptes de guerre de rendre hommage à ces soldats et de « faire venir au jour des mots ce qui appartient au silence » (Marietta Martin).

Distribution :

Magali AVARELLO, Sophie CLARET, Charlotte GRASSET, Marie GURRIERI, Lucile HUET, Roxanne ISNARD, Camille KOLSKI, Camille LAFUITE, Camille LUCAS, LISA MEYER, Gwendoline MONCELON, Kristina STRELKOVA et Zoé VUAILLAT Mise en jeu : Benoît LEPECQ

Entrée libre et gratuite, réservations au 04 32 73 04 81

>> Mercredi 10 avril 2013, 12h30-13h30 – Bibliothèque Agroparc (Campus Agroparc) Musiterrienne

Concert de musique de chambre par l’Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence

Germaine Tailleferre, Rebecca Clarke, Gražyna Bacewicz sont trois compositrices qui ont marqué la carte européenne du XX^e siècle de leur empreinte musicale sans que la trace en soit restée inscrite dans le sol de la mémoire. Les musiciens de l’Orchestre Lyrique de Région Avignon Provence font revivre ce répertoire de quatuors à cordes composés par des femmes qui n’ont pas voulu taire leur créativité intérieure.

Interprètes :

Violons : Natalia MADERA et Patricia CHAYLADE Alto : Laurence VERGEZ

Violoncelle : Nicolas PAUL Programme : Germaine Taillefer : Quatuor

Rebeca Clarke : Deux mouvements pour quatuor à corde Gražyna Bacewicz : Quatuor à corde n°4

Concert coorganisé par l’association étudiante de l’université d’Avignon, Premières Loges.

Performance oratoire

>> Mardi 9 avril 2013, 13H00 – Salle OW35, (Bâtiment nord) Le battement de la terre

Lecture de poèmes par les étudiants de l’UEO « performances oratoires » animée par Natalie PINOT, Compagnie Autrement dit

A partir de ce fragment « Je veux adhérer à l’ombre des paroles du feuillage et comprendre la terre dans la soie farouche du désir » (Une voix de Antonio Ramos Rosa), comment dire à haute voix ? L’art de servir le texte est une pratique qui mêle au travail sur le souffle et la présence, une approche intuitive du style, de l’émotion et de la sensorialité des mots.

Suivre des chemins buissonniers

>> vendredi 26 avril, 18h30 – Médiathèque Saint-Pons, Villeneuve-lez-Avignon Hors les murs

Lecture d’Antigone d’Henry Bauchau par Angélique IONATOS Organisée par la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Entrée libre, réservation conseillée au 04 90 27 49 72

>> Vendredi 24 mai, 20h30 – Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Récital d’Angélique IONATOS à partir de ses traductions de textes d’Odysseus Elytis Entrée libre, réservation conseillée au 04 90 15 24 24

>> Jeudi 6 juin, 18h30 – Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Hamlet attitude - projet de scrutation vertigineuse

Présentation du projet en cours par Olivier COMTE, Les Souffleurs commandos poétiques Entrée libre, réservation conseillée au 04 90 15 24 24

Plus d’informations sur www.chartreuse.org

“ Un peu de terre

où se prend le souffle…”

Yves Bonnefoy, Ce qui fut sans lumière.

Manifestation culturelle

Du 11 mars au 19 avril 2013

Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse Campus Centre-ville - Bibliothèque Centrale

Plus d’informations sur www.bu.univ-avignon.fr

Contacts

bu-expo@univ-avignon.fr 04 90 16 27 73 / 28 82

Bibliothèque Centrale Campus Centre-Ville Site Sainte Marthe

BP 50371

74 rue Louis Pasteur

84018 Avignon cedex 1

Horaires : 7h45 - 20h00

du lundi au vendredi

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Inauguration

>> lundi 25 mars 2013, 11h00

En présence de Monsieur le Président de l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse, de Bernard Plossu, photographe,

de Monsieur le Directeur de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, Centre National des Ecritures du Spectacle, de Monsieur le Directeur du Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon,

de Madame la Conservatrice du Musée Gassendi de Digne-les-Bains, de Monsieur le Directeur des Éditions de la Revue Conférence,

de Madame la Présidente de la Fondation de la Banque Populaire Provençale et Corse.

Marcher la terre

Exposition de photographies de Bernard PLOSSU

Généreusement prêtée par le Musée Gassendi de Digne-les-Bains.

Commissaire de l’exposition : Nadine GOMEZ-PASSEMAR, Conservatrice du Musée Gassendi et directrice du centre d’art le CAIRN, commanditaire des projets contemporains.

Bernard Plossu est un photographe voyageur : il photographie la Terre en marchant. Il a obtenu, en 1988, le grand Prix National de la Photographie. La même année, le Musée national d’art moderne-Centre national d’art et de culture Georges- Pompidou lui a consacré une rétrospective. Régulièrement depuis 1995, le Musée Gassendi, via le CAIRN, l’invite en résidence et possède aujourd’hui une importante collection de ses photographies, à laquelle s’ajoutent trois publications.

Depuis 2008, au sein du musée Gassendi, une salle permanente « Le pays des paysages » est dédiée au photographe.

Suite à une commande, la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, Centre national des écritures du spectacle, lui consacre une grande exposition en 2005. Il est très régulièrement exposé à La Non – Maison, micro centre d’art d’Aix-en-Provence.

Cycle de conférences

>> Vendredi 15 mars 2013, 10h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale)

Dalla montagnetta alla campagnetta : enjeux de la traduction face à deux mondes qui s’opposent Par Sylvain TROUSSELARD, Maître de conférences en langues et littératures romanes, spécialiste de la poésie comique et de la littérature italiennes du Moyen Âge, Université Jean Monnet, Saint-Etienne.

Les couronnes des mois de l’année de Folgore de San Gimignano et Cenne de la Chitarra s’opposent diamétralement.

Paradoxalement, le jeu mimétique de ré-écriture (allant jusqu’à la reprise des mêmes mots à la rime) est le support d’une inversion de ton, d’esprit. Face à un exercice qui est le seul exemple que nous connaissions dans la littérature italienne de la première moitié du XIV ^e siècle, l’enjeu de la traduction devient problématique car au clivage temporel s’ajoutent des éléments thématiques qui se font écho pour mieux s’opposer.

>> Mardi 19 mars 2013, 14h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) Du potier au poète, de la glaise au poème

Par Anne-Élisabeth HALPERN, Maître de conférences en littérature française moderne, Université de Reims Champagne- Ardenne et directrice littéraire des éditions L’improviste.

Le verbe grec à l’origine de la poésie, poïein, fait du poète un artisan, un potier de mots. Toute une partie de la poésie moderne, loin de sacrifier à l’abstraction, se replonge dans la matière même de la langue, la malaxe, la triture et la sculpte

enfin, comme de la glaise. Le poème n’y est plus seulement un jeu formel, mais bien une représentation concrète du monde tel qu’il va ou ne va pas. Des poètes tels que Tzara, Pansaers, Michaux, Ponge, Guillevic, Gaspar, Emaz, Perche, Richez ou Danjou jalonneront cet arpentage concret d’une certaine langue poétique, terrienne et tellurique.

>> Mardi 26 mars 2013, 14h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) L’écriture du monde

Par Christine ROMERO, Maître de conférences en géographie, Université d’Orléans.

Comment l’esprit vient-il aux lieux ? La Terre est un « donné », avec ses dimensions physiques. Les lieux de la vie des hommes sont construits, n’existant que parce qu’un regard les a nommés et leur a donné sens. Nous interrogerons les modalités de la production du sens des lieux ; puis la manière dont l’inspiration vient à certains lieux, érigés en « hauts lieux ».

>> Mercredi 27 mars 2013, 14H00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) Le temps de l’élégie saharienne

Par Anne-Marie FRÉROT, Professeur en géographie, Université de Tours.

La poésie a cette capacité de communiquer et de proposer des significations susceptibles de cimenter l’expérience collective de groupes différents. L’élégie saharienne inclut toute une éthique : honneur, pudeur, fidélité, respect, dévouement ; soumission, à la femme aimée certes, mais, bien au-delà, aux lieux de l’être au monde, à la nature, à la vie sociale, à la mort. C’est cette relation entre la parole inspirée et la terre d’inspiration qui nous a particulièrement intéressée en tant que vecteur d’imaginaire social et spatial dans un espace-temps donné.

>> Mardi 9 avril 2013, 14h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) Jaurès ou le goût de la terre

Par Rémy PECH, ancien Président de l’Université de Toulouse-Le Mirail, Professeur émérite dans cette même université, spécialiste d’histoire rurale. Il a produit divers ouvrages sur Jaurès dont Jaurès paysan (Toulouse : Privat, 2009).

Le défenseur des mineurs de Carmaux, le porte-parole des paysans déracinés par la crise agricole, l’apôtre et le martyr de la paix du monde ne s’est pas voué à ces nobles tâches d’une façon abstraite. Il a été, lui-même, dès sa naissance et pendant toute sa vie un homme de la terre. La terre, il l’avait remuée, il la sentait, il l’écoutait, il l’aimait, il la vivait.

De ses écrits philosophiques ou politiques on peut extraire maints passages qui témoignent de cette intimité, de cette ferveur qui ont porté son éloquence en des métaphores fulgurantes.

Cycle cinématographique

Programmation : Emmanuel ETHIS, Damien MALINAS, Julien PÉQUIGNOT, Olivier ALEXANDRE, Stéphanie POURQUIER- JACQUIN, Marianne ALEX

Présentation des films : Stéphanie POURQUIER-JACQUIN et Quentin AMALOU

Cette programmation hétéroclite se propose d’évoquer la terre sous ses différentes facettes, qu’elle soit l’abri, le sol que l’on partage ou le terrain que l’on protège, la terre est au centre de maintes préoccupations. Au cinéma, elle peut être à la fois un sujet, un élément-clef, un personnage à part entière... C’est ce que nous vous proposons de découvrir à travers ce cycle de films.

Projection tous les mardis à 17h00, Vidéothèque (Bibliothèque Centrale).

Plus d’informations sur le site www.bu.univ-avignon.fr

Rencontres poétiques

>> Vendredi 15 mars 2013, 14h30 – Salle de recherche Sciences (Bibliothèque Centrale) Faute de terre

Lecture de et par Alain VEINSTEIN

Alain Veinstein est une voix de France Culture. Il a créé les Nuits magnétiques en 1978 et Du jour au lendemain, qu’il présente encore, en 1985. Il est aussi l’auteur d’une vingtaine de livres : des poèmes, des récits et des romans. On peut encore le lire sur Twitter (@AVeinstein).

>> Jeudi 21 mars 2013, 14h30 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) Partie de chasse

Lecture de et par Hédi KADDOUR

Hédi Kaddour est écrivain et vit à Paris. Il est rédacteur en chef adjoint de la revue Po&sie (dirigée par Michel Deguy).

Il a publié la plupart de ses recueils chez Gallimard (La fin des vendanges, Jamais une ombre simple & Passage au Luxembourg) et Yale University Press (Treason). Il écrit également des romans : Waltenberg, Gallimard, 2005 (Prix Goncourt du premier roman) et Savoir-vivre, Gallimard, 2010. Son journal d’écrivain, Les Pierres qui montent, est paru en 2010 chez Gallimard. Jusqu’en 2006 il a enseigné à l’Ecole Normale Supérieure de Fontenay/St-Cloud/Lyon. Il est actuellement professeur de littérature française à la New York University in France, et dirige l’atelier d’écriture de l’École de la communication à Sciences Po Paris.

La violence d’un orage dans un paysage méridional. Que se passe-t-il quand la nature reprend son droit d’être imprévisible et meurtrière ?

>> Jeudi 28 mars 2013, 20H30 – Salle gothique, Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Debout au cœur des temps maudits

Par Ma DESHENG, peintre et poète, ancien membre du Groupe des Étoiles (avant-garde artistique du mouvement démocratique de 1979 en Chine) et Guilhem FABRE, sinologue et poète.

Lecture bilingue des poèmes de Liu Xiaobo, prix Nobel de la paix 2010, publiés dans son livre Vivre dans la vérité, Gallimard, 2012 (Bleu de Chine).

>> Vendredi 5 avril 2013, 20h30 – Salle gothique, Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon A trois voix - Lecture - concert

Avec :

Geoffroy DUDOUIT, chanteur, chef de choeur et compositeur Fabio PUSTERLA, poète, traducteur, critique littéraire et essayiste

Pascal RIOU, écrivain et poète, directeur adjoint de la revue littéraire Conférence

Moment poétique et musical alternant les voix parlées et chantées, le français, le corse et l’italien.

>> Jeudi 18 avril 2013, 20h30 – Salle gothique, Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Ces figures d’oubli qui viennent à nous… - Lecture - concert

Avec :

Joël-Claude MEFFRE, auteur d’une œuvre poétique multiforme mettant en jeu l’invention de mémoires multiples en lien avec l’archéologie et le monde rural. Il écrit notamment sur le soufisme et collabore, en permanence, avec de nombreux artistes et plasticiens.

Julien ALLEGRE, sculpteur, jeune musicien, spécialisé dans le jeu du hang, dont les sonorités le rapprochent des gamelans et des gongs. Il dialogue avec l’écrivain depuis plusieurs années à l’occasion de nombreuses lectures.

Fragments de vies, mémoires de montagnes, rêves tissés, errances : ainsi s’avancent vers nous des hommes et des femmes comme autant de figures d’oubli. Ce sont à peine des ombres, mais elles restent en présence au cœur de l’écriture…

Rencontres et débats

>> Jeudi 28 mars 2013, 14H30 – Salle de recherche Sciences (Bibliothèque Centrale) De la terre paysage dans la poésie des Tang (618-907 ap. J.C) à la terre monde

La conception chinoise du cosmos, fondée sur l’indifférenciation entre l’esprit et la matière, toutes deux animées par le qi ( : matière, énergie ou force vitale) et par la grande transformation entre les éléments ( : dahua) privilégie un mode métaphorique de connaissance, s’adressant à la nature multidimensionnelle de la réalité. La démarche poétique, centrée sur la perception des analogies et de la continuité du vivant, se situe donc au cœur de la civilisation chinoise ancienne, dont la grande aventure n’est pas comme en Occident l’élucidation scientifique de la réalité ou sa représentation artistique, mais plutôt celle d’une fusion du moi dans une réalité plus vaste, à travers la transformation et la participation.

De nombreux exemples tirés de la poésie des Tang (618-907), restituée en chinois comme en français, permettront d’illustrer le rapport très particulier de ce patrimoine immatériel à la terre/paysage, et sa mutation dans la poésie moderne en terre/monde.

>> Mercredi 3 avril 2013, 14h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) La terre où vivre : droit et littérature en Italie au XX^e siècle

Conférence de Christophe CARRAUD, Directeur et fondateur des Éditions de la revue Conférence et traducteur.

Des grands juristes (Calamandrei, Capograssi, Satta) se sont révélés aussi être de grands écrivains soucieux de l’état du monde, soucieux de justice et de beauté, tissant des ponts entre les disciplines pour enrichir la vie de l’esprit.

>> Jeudi 4 avril 2013, 17h30 – Amphi 2E02 (Bâtiment nord) Habiter la terre

Débat entre Olivier REY, mathématicien et philosophe, membre du CNRS, et Pierre LIEUTAGHI, ethnobotaniste et écrivain, il travaille sur les rapports de l’homme et des plantes.

Dialogue entre deux penseurs sur notre rapport à la terre, le rôle et les limites d’une vision technicienne.

Le débat sera suivi d’une dédicace d’ouvrages organisée par la librairie la Mémoire du Monde.

>> Jeudi 18 avril 2013, 14h00 – Vidéothèque (Bibliothèque Centrale) Terre en mémoire / Mémoire en terre / Propos d’archéologue

Conférence de Joël-Claude MEFFRE, écrivain et archéologue, chiffonnier des archai...

Qu’est-ce qu’un archéologue ? Un amoureux des archai, assurément : donc à la fois métaphysicien et chiffonnier. Un homme de terrain pour arracher l’oubli à la mémoire. Pour retirer des bribes de tout et de rien qu’il transforme en trésors.

« Celui pour qui il n’y a pas de différence entre un bout de chiffon jeté par terre et une tragédie grecque » (Didi-Huberman).

Pascal RIOU, écrivain et poète, directeur adjoint de la revue littéraire Conférence Moment poétique et musical alternant les voix parlées et chantées, le français, le corse et l'italien.

Jeudi 18 avril 2013, à 20h30 – Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, salle gothique

Ces figures d’oubli qui viennent à nous…

Lecture- concert Avec :

Fragments de vies, mémoires de montagnes, rêves tissés, errances : ainsi s’avancent vers nous des hommes et des femmes comme autant de figures d’oubli. Ce sont à peine des ombres, mais elles restent en présence au cœur de l’écriture…

Rencontres et débats

Jeudi 28 mars 2013, à 14H30 – salle de recherche Sciences

De la terre paysage dans la poésie des Tang (618-907 ap. J.C) à la terre monde

La conception chinoise du cosmos, fondée sur l’indifférenciation entre l’esprit et la matière, toutes deux animées par le qi (

气

: matière énergie ou force vitale) et par la grande transformation entre les éléments (

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dahua) privilégie un mode métaphorique de connaissance, s’adressant à la nature multidimensionnelle de la réalité. La démarche poétique, centrée sur la perception des analogies et de la continuité du vivant, se situe donc au cœur de la civilisation chinoise ancienne, dont la grande aventure n’est pas

Pascal RIOU, écrivain et poète, directeur adjoint de la revue littéraire Conférence Moment poétique et musical alternant les voix parlées et chantées, le français, le corse et l'italien.

Jeudi 18 avril 2013, à 20h30 – Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, salle gothique Ces figures d’oubli qui viennent à nous…

Lecture- concert Avec :

Fragments de vies, mémoires de montagnes, rêves tissés, errances : ainsi s’avancent vers nous des hommes et des femmes comme autant de figures d’oubli. Ce sont à peine des ombres, mais elles restent en présence au cœur de l’écriture…

Rencontres et débats

Jeudi 28 mars 2013, à 14H30 – salle de recherche Sciences

De la terre paysage dans la poésie des Tang (618-907 ap. J.C) à la terre monde

La conception chinoise du cosmos, fondée sur l’indifférenciation entre l’esprit et la matière, toutes deux animées par le qi (气 : matière énergie ou force vitale) et par la grande transformation entre les éléments (大化 dahua) privilégie un mode métaphorique de connaissance, s’adressant à la nature multidimensionnelle de la réalité. La démarche poétique, centrée sur la perception des analogies et de la continuité du vivant, se situe donc au cœur de la civilisation chinoise ancienne, dont la grande aventure n’est pas