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Les résssultats prrrropr osés ici ne doivent donç nnnc pas être q Les résultats proposés ici ne doivent donc pas être comparrrés à ceux pxxx des éditiop ono s précééédentes.
comparés à ceux des éditions précédentes.p
LA CONSOMMATION À DOMICILE EN 2010
(consommation par produit en milliards d'euros) Source : Insee
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21 %
12 % 11 %
11 % 10 %
8 %
5 % 4 % 2
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LES ChIffRES
32
hors-série n°26 JUILLET 2012
LES PRODUITS ALIMENTAIRES ET LES bOISSONS AVEC OU SANS ALCOOL CONSOMMéS à DOMICILE REPRéSENTENT 14,9 % DU bUDGET DES MéNAGES. Horsdomicile,lesservicesderestaurationdépassentles5 %.Uncontexteéconomique moinsfavorableapuimpactercertainspostesalimentairesmaissansmodifierlestendancesobservéessurunepluslongue période.Lesachatsdeplatspréparésralentissent.Laconsommationd'eauxcommercialisées,132litresenmoyenne
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La consommation alimentaire
Viandes, fruits et légumes : 35,5 % de la dépense alimentaire
Parmi les achats en produits ali- mentaires consommés à domicile, les dépenses des ménages les plus importantes sont en viandes (21 %) puis en fruits et légumes (15 %).Ensuite, on dépense pour les
produits laitiers et les produits trans- formés à base de sucre (pâtisserie, biscuit, chocolat…). La part du budget réservée au pain, après avoir réguliè- rement diminué pendant 25 ans, remonte depuis 2005 (4,8 % en 2010).
Celle consacrée aux plats préparés à base de viande, de poisson ou de pâte double (3,8 % en 2010) mais ralentit sur les dernières années. Tandis que le poids des dépenses en boissons rafraî- chissantes augmente régulièrement,
celui en eaux minérales se stabilise. Le poste des boissons alcoolisées, un dixième du budget alimentaire, tend à diminuer.
La consommation alimentaire 33
JUILLET 2012 hors-série n°26
La part du budget consacrée à l’ali- mentation varie de 1 à 3 selon les pays de l’Union européenne. En France, l'alimentation représente 14,9 % du budget des ménages en 2009, soit un peu plus que la moyenne des pays de l’UE à 15 (13,8 % ). Pour les 12 der- niers États membres, la moyenne est de 23,1 % et le budget réservé aux seules boissons alcoolisées est de 3,5 % contre 1,4 % pour l'UE à 15. Les écarts de bud- get alimentaire entre les pays de L'Union s’amenuisent : entre 1995 et 2010, le budget alimentaire a diminué de 8,8 points pour les 12 derniers États membres contre 1,8 point pour l’UE à 15. Pour la France, la diminution est de 1,6 point.
L'alimentation représente 14 % du budget des ménages de l’UE à 15
● Le chiffre
15 %
C’est la part de l’alimentation dans le budget des ménages français en 2010.
✚ En savoir plus
En 2010, les dépenses des ménages redémarrent- Insee Première n°1354 - juin 2011. Agreste Gra- phAgri 2011- rubrique Alimentation pages 96 à 104. Memento alimentation- Agreste édition 2011. Les comptes nationaux passent en base 2005- Insee - Dossier mars 2011. Crise économique et compor- tement de consommation alimentaire des Français- les études de FranceAgriMer 2011. Évolution sur 10 ans de la consommation alimentaire : moins de matières grasses dans nos assiettes- MAAP, Analyse, Centre d’études et de prospective n°12 - Mars 2010. Le repas depuis 45 ans : moins de pro- duits frais, plus de plats préparés- Insee Première n°1208 - septembre 2008.
En 12 ans, la consommation par habitant de bière et de vin a diminué de 20 litres (l). Le vin de qualité s’apprécie toujours au contraire des autres vins qui sont de plus en plus délaissés. Cependant, la France avec 46 l par habi- tant reste le premier buveur de vin parmi les 20 pays de l'UE les plus peuplés. En 2009, on boit en moyenne 132 l d’eau commercialisée (minérale ou de source). La diminution pour la 4eannée consécutive confirme la baisse d’intérêt pour ces pro- duits, lesquels avaient connu une progression très rapide entre 1990 et 2005. Les boissons rafraîchissantes, type sodas, nectars, sirops, eaux sucrées ou aromatisées, laits aromatisés progressent toujours : on en boit 83 litres en moyenne en 2009.
Progression
des boissons rafraîchissantes
En pommes de terre ou en fruits, la consommation en frais diminue. Pour les fruits, en 14 ans, le transformé (jus, compotes, conserves au sirop...) augmente de 11 kg/habitant pour atteindre 51 kg/habitant en 2009.
En concentrée, pelée ou autre, la tomate progresse régulière- ment dans nos assiettes ; en frais elle y est diversement pré- sente selon les années. On mange, en 2009, 10 kg de viandes de moins qu’en 1995. Les desserts lactés sont plébiscités : on en consomme 7 kg de plus. L’attrait du fromage reste toujours vif (24 kg/habitant) plaçant la France en deuxième consom- mateur des pays de l’UE après la Grèce.
Moins de viandes, autant de fromages
CONSOMMATION DE QUELQUES BOISSONS
(en litres par habitant) Source : Agreste
eaux
minérales et de source
132
litres en 2009boissons
rafraîchissantes
sodas, colas, limonades, nectars…
bières
vins AOP
vins d’appellation d’origine protégée
autres vins
114 en 1997, 155 en 2005
83
litres en 200928
litres en 200924
litres en 200920
litres en 2009 70 en 1997, 72 en 200534 en 1997, 33 en 2005
28 en 1997, 27 en 2005
30 en 1997, 25 en 2005
CONSOMMATION DE QUELQUES ALIMENTS FRAIS OU TRANSFORMÉS
OU TRANSFORMÉS (en kilos par habitant) Source : Agreste
viandes
2010
92
kg1995
101
kgfruits*
2010
79
kg dont 50 kg transformés 199571
kg dont 40 kg transforméspommes de terre
2010
49
kgdont 28 kg transformées**
1995
54
kgdont 26 kg transformées
produits lactés
2010
39
kg1995
32
kgYaourts aromatisés, desserts lactés frais, fromages frais, crèmes fraîches
tomates
2010
31
kgdont 19 kg transformées***
1995
26
kgdont 14 kg transformées
from ages
2010
24
kg1995
23
kg*Frais : pommes, poires, oranges, raisins, pêches ; transformés : jus, compotes, conserves en sirop… **Congelées, flocons, chips… ***Concentrées, pelées...
2
DÉPENSES ALIMENTAIRES DANS L’UNION EUROPÉENNE EN 2010 (en pourcentage du total des dépenses de la consommation des ménages) Source : Eurostat
Roumanie
31
%Pologne
23
%%Hongrie
20
%%République tchèque
18
%%Grèce
17
%%Italie
1 15
%%Fr an c e
15
%%Espagne
15
%%Allemagne
12 12
%%Royaume-Uni
11 11
%%UE 15 pays
14 14
%%12 nouveaux États