• Aucun résultat trouvé

SNES – SCIENCES MEDICO-SOCIALES 13 mai 2005 Rencontre avec les syndiqués SMS à Paris

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "SNES – SCIENCES MEDICO-SOCIALES 13 mai 2005 Rencontre avec les syndiqués SMS à Paris"

Copied!
1
0
0

Texte intégral

(1)

SNES – SCIENCES MEDICO-SOCIALES 13 mai 2005

Rencontre avec les syndiqués SMS à Paris

Sur l’invitation du SNES, environ quarante syndiqués SMS (représentant une quinzaine d'académies) sont venus débattre de la rénovation de la série technologique SMS. Cette journée fut très riche en questionnements et débats.

Ce qui prouve bien l’intérêt porté par les collègues à cette rénovation et leur détermination à y participer. Voici le bilan de cette journée.

Le point sur la rénovation de la série SMS

(Thierry Reygades – Mireille Schöhn – Dominique Balducci)

1 – Groupe de travail : il est composé de Mme Ravary, IG, Mr Cazaban de la DESCO, 2 IPR-SMS et 1 chargée de mission SMS, 3 enseignants SMS, le Président de l’association des professeurs de SMS (APSMS), en alternance une représentante du ministère de la santé chargée soit des formations sanitaires (IFSI : institut de formation en soins infirmiers) soit des formations sociales et un représentant de l’Ecole Nationale de Santé Publique.

2 - Calendrier : de mi-novembre à décembre 2004 : travail en commun avec les IG de biologie, mathématiques, physique: rédaction du texte de cadrage de la rénovation et définition des horaires. Puis discussion avec les IG des autres séries STI. L’ensemble des textes est soumis avant les vacances de Noël à la DESCO.

Ecriture des programmes de janvier à début avril.

3 - Objectifs essentiels :

- Faire du bac SMS un diplôme de poursuite d’études (on s’affranchit de la finalité professionnelle vers le secrétariat médico-social)

- ouvrir le bac sur des études supérieures plus diversifiées (formations paramédicales, sociales et technico-administratives)

- développer les savoirs en lien avec les spécificités des métiers des secteurs sanitaires et sociaux

- réaffirmer la démarche technologique

- développer l’interdisciplinarité pour améliorer la compréhension des concepts et favoriser une prise de recul.

4 - Principes de construction : 3 enseignements de spécialités :

- biologie humaine, physiopathologie : approche globale et dynamique du fonctionnement de l’organisme et de ses principaux dysfonctionnements (donc intégration de la physiopathologie dans l’enseignement de la biologie)

- sciences sanitaires et sociales (SSS) : actualisation nécessaire en tenant compte des évolutions ; approche systémique pour construire le raisonnement et développer les capacités d’analyse (l’économie sera intégrée dès la première dans cet enseignement car l’approche économique est indissociable des approches politiques, juridiques, sociologiques… ; l’économie ne fera donc plus l’objet d’un enseignement disciplinaire spécifique et séparé des SSS) - méthodologies appliquées en santé et action sociale : apprentissage des outils

et méthodes utilisés dans les secteurs sanitaires et sociaux avec intégration

(2)

(donc la partie « bureautique » disparaît et ceci d’autant que le bac n’aura plus de visée professionnelle immédiate)

S’y ajoutent les enseignements généraux qui doivent renforcer la formation humaine et scientifique. Suppression de l’option bureautique en terminale (intégration dans l’enseignement de la communication ; voir plus haut).

Développement de travaux interdisciplinaires, de démarches d’analyse et de synthèse dès la première.

La création sur un plan réglementaire de classes préparatoires (type CPGE) pour l’accès aux concours socio-éducatifs et concours des professions de santé reste nécessaire (comme pour les autres séries technologiques).

Pour les élèves, une confrontation avec le milieu professionnel par des relations avec les milieux sanitaires et sociaux locaux seront engagées sur les deux années, sous des formes plus souples que le stage actuel de 5/6 semaines en première.

5 – Situation actuelle : le ministère a donné l’ordre à l’Inspection Générale de laisser tous les textes sous embargo jusqu’au 29 mai (jour de la Fête des Mères, comme chacun sait !). Donc toutes les réunions d’information des collègues et de formation des IPR sur la rénovation sont annulées. Pour le Directeur Adjoint de la DESCO, les services sont concentrés sur l’écriture des décrets d’application de la Réforme Fillon et n’ont donc pas le temps de lire les textes de rénovation (report en septembre).

La consultation des collègues n’aura donc lieu qu’à la rentrée et les textes seront soumis au CSE en janvier 2006. Et, si l’on respecte les textes réglementaires (délai de 1 an entre le vote par le CSE et la mise en œuvre), la rénovation ne serait appliquée en première qu’à la rentrée 2007. Par contre, si le ministère envisageait de ne pas respecter ce délai de 1 an, elle serait appliquée à la rentrée 2006 mais il n’y aurait plus de formation continue des collègues. Il faut donc être vigilant et faire pression pour que la démarche légale soit respectée.

Le SNES est tout à fait satisfait de ce report car, telle qu’elle était engagée, la rénovation n’aurait permis qu’un simulacre de consultation des collègues. Reste qu’il faudra quand même faire pression pour que cette consultation par les IPR soit faite dans de bonnes conditions et que les retours soient bien pris en compte par les groupes de travail.

De son côté, le SNES fera également ses propres consultations auprès des syndiqués.

Ce qui est inquiétant c'est que visiblement le Ministère n’envisage pas d’investir des moyens pour la formation continue des collègues ni pour la mise en place de la rénovation et le financement d’équipements nouveaux, sous prétexte qu’il ne s’agit pas de création de sections mais de simple rénovation (inquiétude justifiée car la rénovation de la série STG se passe très mal). Il faudra donc intervenir auprès des IG et des IPR et de la DESCO.

Inquiétude aussi pour les collègues de bureautique concernés par la suppression de leur enseignement dans la rénovation SMS. Il faudrait envisager une reconversion et/ou qu'une véritable réflexion s'engage sur la maîtrise de l'outil informatique par les élèves au collège et au lycée.

(3)

Les questions et les attentes des collègues

1. Pourquoi la rénovation ne concerne pas les 1ères d’adaptation ? Alors que leur fonctionnement actuel pose de nombreux problèmes : effectifs lourds, niveau faible, système PAM de recrutement peu transparent et différent d’une académie à l’autre (ne serait-il pas nécessaire à ce sujet de faire un bilan national ?)

2. Quid de la seconde en articulation avec la rénovation de la Première et de la Terminale

3. La création d’un bac professionnel ne met-elle pas en péril les classes d’adaptation ? Car il risque d’attirer les élèves vers cette voie.

Réponse du SNES : le bac pro n’a rien à voir avec le bac technologique. Les effectifs des bacs technologiques n’ont pas diminué à cause de la création des bacs professionnels en 1985. Il y aura deux voies de formation parallèles : une de niveau IV et l’autre de niveau III et plus. Ne pas voir les voies en concurrence mais en synergie. Le SNES est porteur de projets avec passerelles dans tous les sens entre les deux voies. La moitié des élèves ne poursuit pas d’études après un BEP. Or, il n’y a pas d’emplois niveau V dans certains secteurs.

L’Inspection Générale et le Conseil National des Programmes s’interrogent sur la façon de maintenir les 1ères d’adaptation car il faudra bien élever le niveau de qualification des titulaires de BEP dans le cadre scolaire ou en apprentissage. Il faudra donc une rénovation des BEP pour les rendre plus généralistes et pour qu’ils offrent des possibilités de poursuite d’études.

4. Les nouveaux contenus

Inquiétude par rapport au niveau des élèves actuels de 1ère et terminale : les contenus ne doivent pas être trop théoriques et difficiles à aborder même si tout le monde s'accorde à considérer qu'il faut donner plus de place à la réflexion . La question en définitive repose sur les conditions d'enseignement ( effectifs par classe, dédoublement, travaux en petits groupes..)

Si la rénovation des programmes doit permettre de rendre la filière SMS plus attractive et accueillir un nouveau public d'élèves, la nécessaire élévation de la qualification et les besoins en terme d'emplois dans le secteur nécessitent aussi que l'on fasse réussir les élèves que l'on accueille aujourd'hui dans la série SMS car la réussite de ces élèves reste l'enjeu majeur de l'enseignement technologique.

Par ailleurs,au regard de l’expérience de la rénovation de 1992, il est nécessaire dans le contenu des programmes de placer l’usager au centre des politiques,des institutions,des dispositifs sanitaires et sociaux pour que les élèves puissent véritablement s’approprier la culture médico-sociale inhérente à la série.

5. Les modalités du baccalauréat : difficile de travailler sur les programmes si l’on ne connaît pas précisément le contenu, le nombre et la forme des épreuves du baccalauréat

6. L'économie générale : cet enseignement ne doit pas disparaître car c’est un préalable nécessaire pour aborder les concepts dès la première et améliorer la poursuite d’études. Proposer 1 heure d’économie en première et terminale ?

(4)

7. L'articulation entre les différentes disciplines : pour certains, l’enseignement de la méthodologie devrait être inclus dans celui des sciences sanitaires et sociales pour plus de cohérence et pour éviter la spécialisation de certains collègues dans l’une ou l’autre discipline. Mais dans ce cas, risque d’un horaire très lourd pour un seul enseignant sur un seul niveau

8. Le maintien de la LV2 : certains collègues souhaitent que la LV2 soit obligatoire pour permettre davantage de débouchés post-bac. Par contre d’autres estiment que si c’était le cas, certains élèves ne viendraient plus en SMS. De plus, les élèves venant en première d’adaptation seraient de fait exclues du système, ce qui ne va pas dans le sens du maintien des passerelles .

9. Outil informatique : l’enseignement de la bureautique disparaît puisque le bac SMS devient un bac technologique à part entière avec poursuite d’études et qu’il n’a plus de finalité professionnelle immédiate. La connaissance approfondie de logiciels relèvera donc de formation post-bac (notamment dans le cadre du BTS spécifique SMS). Par contre la rénovation insiste sur l’utilisation de l’outil informatique en 1ère et terminale (pour toutes les disciplines et dans toutes les séries de bac). Mais sera-t-on certains que les élèves venant de troisième le maîtriseront ? Pourquoi ne pas demander une mise à niveau en seconde pour tous les élèves de seconde qui n’ont pas pu acquérir les compétences au préalable.

10.Activités en milieu professionnel, interdisciplinarité : beaucoup de questionnement sur ce sujet qui paraît très flou.

Tout le monde est d’accord pour dire que ce temps passé en structures est indispensable (le contact avec les institutions permet notamment de relancer la motivation des élèves, développe leur maturité, et les prépare à la poursuite d'études ). Mais quelles formes peuvent elles prendre ?

Les questions exprimées :

- s’agit-t-il simplement d’aller chercher des informations ? d’un suivi de professionnel ? d’une étude dans le cadre du projet de poursuite d’études de l’élève ?

- durée et modalités : faut-il en fixer la durée ? si on fixe seulement un nombre de jours maximum, n’y a-t-il pas un risque que certains chefs d’établissements l’interprètent comme n’étant pas obligatoire et décident de ne pas le mettre en œuvre ? faudra-t-il prendre ces jours en bloc ou de façon plus morcelée (ex : 1 jour ou ½ journée par semaine) ; mais dans ce cas comment présenter cela aux responsables de structures et comment rester pertinent face à eux ?

- et si les collègues ne souhaitent pas travailler en interdisciplinarité ?

- prise en compte du travail et de l’investissement que cela va nécessiter de la part des enseignants (notamment le travail d’explication en direction des professionnels et prise en charge individualisée des élèves)

- évaluation de ce travail interdisciplinaire : sous quelle forme ? écrite ? orale ? difficile (crainte de revenir sur le système de dossier déjà connu) ; cependant, si on ne l’évalue pas, il y a un risque que ce travail soit minimisé ou rendu optionnel voire supprimé dans certains établissements ; pour certains collègues, surtout pas d’évaluation en cours de formation .

(5)

Les propositions évoquées :

- l’interdisciplinarité doit être bien cadrée dans le référentiel et cela dans toutes les disciplines concernées pour bien comprendre les compétences attendues et pour que tous les collègues intègrent cette nouvelle forme de travail dans leurs obligations

- le nombre d’heures de concertation et de coordination doit être précisé clairement dans le référentiel (1 heure par semaine ?)

- S'il faut rester ouvert dans l’organisation et donner de la souplesse au système pour que les équipes puissent faire selon leurs besoins ou leurs projets, il y a nécessité d’un cadrage pour éviter les dérapages à minima ou la reproduction des stages actuels bloqués en fin d’année (d’où la difficulté !)

- il faut que les élèves soient en parfaite autonomie (comme dans les travaux type TPE) avec les moyens matériels

- pourquoi pas des modules d’une semaine par trimestre sur chaque niveau ?

- se préoccuper des territoires pauvres en structures d’accueil à proximité et où il sera impossible d’intervenir sur une ½ journée seulement

- établir avec les structures des conventions d’action (et non des conventions de stage) sur un contenu plutôt que sur une durée (ex : réaliser un dépliant ; organiser l’accueil au cours d’une journée « portes ouvertes » ….)

- ouvrir le champ possible d’interventions aux écoles ou instituts de formation post-bac (IFSI, IRTS, sections de BTS…)

- poursuivre en terminale le travail réalisé en première (travail de recherche, élaboration d’un écrit…) ; la méthodologie enseignée doit être utilisée pour aborder les thèmes d’étude (idées de thème : découverte d’une population, d’un public…)

- propositions de modalités d’évaluation : une note qui serait insérée dans le livret scolaire avec une grille de compétences ; un dossier uniquement évalué dans le cadre des épreuves de rattrapage ; un oral avec présentation d’une méthodologie…

11- Préparation aux concours para-médicaux et sociaux :

Dans le cadre d’un bac avec poursuites d’études s’impose la création de classes préparatoires aux concours en un an ;

Compte tenu des besoins en terme d’emplois dans ce secteur, l’accès aux IFSI notamment dès la fin de la Terminale peut –être également envisagé. . Si la proposition de prise en compte de par toutes les disciplines de la préparation aux concours semble cohérente, il n’en reste pas moins que la préparation spécifique aux épreuves reste indispensable.

Le point sur la création du BTS spécifique SMS (A.M. Verneret)

1 – Groupe de travail : il a été mis en place par l’IG, Mme Ravary, dans le cadre des travaux de la 20ième CPC. Il prolonge celui qui avait été créé l’an dernier pour

(6)

représentants du Ministère de la Santé (DHOS, Affaires Sociales), des grandes fédérations hospitalières et d’organismes médico-sociaux.

2 – Méthodologie : premier travail : définir le RAP (référentiel des activités professionnelles) en s’appuyant sur des situations de travail réelles et en ciblant les activités du futur professionnel. Le RAP sera nécessaire pour la VAE. Ce n’est qu’à partir de la rentrée 2005 que le groupe de travail abordera les aspects pédagogiques.

Au mieux, la première année du BTS sera ouverte à la rentrée 2007.

6 journées ont été consacrées à l’audition des professionnels. D’ici juin le RAP sera mis en forme (résumé décrivant « la cible », le type d’établissements, les emplois, la place du professionnel dans l’organigramme, les évolutions possibles, la description des activités, des tâches, des opérations).

3 – Les secteurs d’emploi :

- organismes de protection sociale : gros débouchés par transformation des emplois dans l’assurance maladie en délégués de protection sociale (en direction des différentes collectivités pour des actions de prévention et en direction des médecins) et évolution du métier de technicien de prestation sociale vers un métier de technicien conseil en contact avec le public et les partenaires,

- les mutuelles,

- les établissements et services sanitaires (surtout dans l’hospitalisation privée), - les services sociaux, CCAS,

- les établissements socio-éducatifs autour des associations (au siège des associations ou pour coordonner des activités), services d’aide à domicile en milieu rural ou urbain,

- les services de tutelle,

- les comités locaux d’insertion gérontologique (guichet unique)….

4 – les fonctions, les compétences, les activités : ce sont des emplois technico- administratifs qui ne sont pas forcément sous la dépendance hiérarchique des professionnels de santé ou sociaux. Ces postes demandent une bonne connaissance des publics et des structures, sans qu’il y ait interventions sociales pures (celles-ci étant de la compétence des assistantes sociales et des conseillères en économie sociale et familiale). Activités essentielles : accueil des personnes, première évaluation-orientation et aide technico-administrative de constitution des dossiers (ex : CCAS) ; suivi de personnes sous tutelle en établissement ; contacts avec les partenaires ; gestion administrative ; management ; veille réglementaire sur l’évolution des dispositifs et circulation de l’information (démarche qualité) ; coordination et planification d’interventions, montage de dossiers…

ENCONCLUSION : UNEJOURNÉETRÈSPOSITIVEQUINOUS AMONTRÉLANÉCESSITÉ DE CONSTRUIREUNE RÉFLEXION DE FOND SUR CETTE RÉNOVATION. IL SAGIT BIEN SUR DE PREMIÈRES REFLEXIONS QUI DEVRONT SE POURSUIVRE À LA LUMIÈRE DESDOCUMENTS OFFICIELS QUE NOUS ESPÉRONS À DISPOSITION DESCOLLEGUES DESLE MOISDESEPTEMBRE .

PROFITONS DE LA SUSPENSION DES TRAVAUX POUR MENER AU SEIN DU SNES UNE CONSULTATION DE TOUS LES COLLÈGUES (MÊME NON SYNDIQUÉS). DES STAGES SNES SERONT DONC PROGRAMMÉS EN OCTOBRE-NOVEMBREET NOUSYASSOCIERONSDESCOLLÈGUESDAUTRES DISCIPLINES.

NOUS DEVRONS ÊTRE PORTEURS DE PROPOSITIONS POUR QUE LE SNES PUISSE EFFICACEMENT DÉFENDRE LE DOSSIER LORSQUE LES PROGRAMMES SERONT SOUMIS AU CONSEIL SUPÉRIEUR DES PROGRAMMES

(CSE).

(7)

LE SECTEUR ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES DU SNES, DÈS QUE LE CABINET DU MINISTRE SERA INSTALLÉ PRENDRA LES RENDEZ- VOUS UTILES POUR RECLAMER LA POURSUITE DE LA RENOVATION DE LA SERIE SMS, LA MISEENPLACE DELA CONSULTATIONSDANS LESMEILLEURSDELAIS .

Mireille SCHÖHN – Mai 2005

Références

Documents relatifs

L’ouvrage intitulé Auguste Comte und seine Bedeutung für die Entwicklung der Socialwissenschaft (Auguste Comte et son importance pour le développement des sciences

sa référence à l’expérience comme seule source véritable et fondamentale de la connaissance en sciences sociales, à une époque où la grande majorité de ses

Cette étude favorise la compréhension de l’apport de la protection sociale à la santé, au bien-être des personnes et des groupes assurée dans la partie «

● Métiers dans le commerce, le management, dans le marketing : chargé d'études marketing, attaché commercial, chargé d'études

L es Rencontres d’Hastec ont pour objectif de présenter chaque année plusieurs des projets les plus importants, les plus avancés et les plus transversaux conduits au sein du

Les variables explicatives retenues pour rendre compte des trajec- toires post-diplômes sont le sexe, l’ancienneté du diplôme SdS/SES (la durée depuis laquelle le

Chez Lukas et Santiago (2004) on trouve une synthèse des points critiques de convergence entre ces deux méthodologies. Une fois reconnue la complémentarité, aussi bien au

- Il est contemporain des faits (vit à cette époque sans être sur place) : justification sur base de la biographie de l’auteur ou du document.. L’auteur a- t-il été