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I. Étude de la fontaine de Héron

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PCSI 1 - Stanislas

DS de PHYSIQUE N

8 - 25/04/20 - CORRIGÉ

A. MARTIN

THERMODYNAMIQUE

I. Étude de la fontaine de Héron

(d’après IPHO 2017)

I.1. Loi de l’hydrostatique et principe du siphon

1. On applique le Théorème de la Résultante Cinétique (TRC), dans un référentiel galiléen, à une tranche de fluide infinitésimale d’épaisseur dz et de surface horizontale carrée d’aire S. À l’équilibre, son poids est équilibré par la résultante des forces de pression (les forces latérales horizontales se compensent car la pression ne dépend pas de z) :

~ 0 = −ρSdzg~ u

z

+(P (z)S−P (z+dz)S) ~ u

z

⇔ dP = −ρgdz ⇔ dP dz = −ρg .

2. Pour un fluide homogène incompressible, la masse volumique est indépendante de la position de l’espace. On intègre la relation de la statique ci-dessus entre z

1

et z

2

ce qui donne

P (z

2

) − P (z

1

) = −ρg(z

2

z

1

) .

3. La continuité de la pression à l’interface entre l’eau et l’air implique P (z

C

) = P

0

, d’où P

(

z) = P

0

−ρg(z−z

C

) en tout point de cote z au sein du liquide. On en déduit P (z

A

) = P

0

ρg(z

A

z

C

) .

4. Comme v

A

= v

B

alors la loi de Bernoulli donne

P

0 A

ρ

+ gz

A

=

PρB

+ gz

B

. Par ailleurs en B l’eau est libre et au contact de l’air donc P

B

= P

0

. D’où P

A0

= P

0

+ ρg(z

B

z

A

) .

5. Pendant un intervalle de temps dt, la surface du liquide s’abaisse d’une hauteur v

C

dt. Ainsi un volume Sv

C

dt s’introduit dans le tuyau. Par conservation de la masse, et donc du volume car le fluide est incom- pressible, un même volume sv

B

dt sort du tuyau en B. Comme v

B

= v

A

on a donc sv

A

= Sv

C

. On en déduit en particulier que v

A

= S

s v

C

> v

C

.

6. On applique la relation de Bernoulli cette fois entre A et C (où P

C

= P

0

), en injectant le résultat précédent : P

0

+ ρg(z

B

z

A

) + 1

2 v

2A

+ρgz

A

= P

0

+ 1

2 v

C2

+ ρgz

C

v

2A

−v

2C

= 2ρg(z

C

z

B

) > 0 ⇔ z

C

> z

B

. Le siphon fonctionne si il y a un écoulement, donc si z

C

> z

B

. Dans le cas contraire cette équation ne serait pas valable.

1

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8 - 25/04/20 - CORRIGÉ

A. MARTIN

I.2. Fontaine de Héron

7. Grâce aux tubes T

2

puis T

1

le récipient supérieur se trouve relié au récipient inférieur et peut se vider dedans (cf figure ci-contre), car les deux récipients ont une surface libre à la pression atmosphérique à des niveaux différents. Il s’agit donc d’un siphon.

8. Le volume d’eau total se conserve au cours de l’écoulement, donc comme les sections horizontales S des récipients sont identiques, on a

z(t) + Z(t) = constante.

Au démarrage les tuyaux T

1

et T

2

sont remplis et z(t) + Z(t)H + 0.

Donc finalement ∀t, z(t) + Z(t) = H .

9. En notant E l’entrée du tube T

1

(située au fond de la coupelle), et en négligeant la vitesse du liquide au niveau des surfaces libres des volumes d’eau comme le suggère l’énoncé, on peut relier les différents points en utilisant la relation de Bernoulli, en partant de la surface d’eau dans la coupelle :

P

0

+ ρgz

E

= P

E

+ 1

2 ρv

E2

+ ρgz

E

= P

B0

+ 1

2 ρv

B20

+ ρgz

B0

= P

A0

+ ρgz

A0

Or z

E

= z

A0

+ h

1

Z donc P

A0

= P

0

+ ρg(h

1

Z) . 10. Vitesse du jet

a) Comme précédemment, on a par conservation de la masse, et donc du débit volumique v

C

= S

s v

A

v

A

. b) La relation de Bernoulli s’écrit

P

A

ρ + 1

2 v

2A

+ gz

A

= P

C

ρ + 1

2 v

2C

+ gz

C

.

Or le tube T

3

assure l’égalité des pressions dans l’air des deux récipients, donc P

A

= P

A0

= P

0

+ ρg(h

1

Z). Comme v

C

v

A

, on obtient

v22C

= g(h

1

Z) + g(z

A

z

C

) = g(h

1

h

2

Z + z) d’où

v

C

=

q

2g(h

1

h

2

+ zZ) .

c) z(t) décroît alors que Z(t) croît, donc par composition v

C

(t) décroît au cours du temps.

11. Hauteur du jet

a) On a P

C

= P

D

= P

0

, et v

D

= 0 (vitesse nulle au sommet du jet). La relation de Bernoulli entre C et D s’écrit donc

P

0

ρ + 1

2 v

C2

+ gz

C

= P

0

ρ + g(z

C

+ h)h = 1 2g v

2C

.

Cette relation s’apparente à celle qu’on obtiendrait en appliquant le théorème de l’énergie cinétique à un point matériel.

En injectant le résultat précédent on obtient h(t) = h

1

h

2

+ z(t)Z(t) . b) Par les mêmes argument que pour v

C

, h(t) est donc décroissante.

c) On obtient h

max

= h(0) = h

1

h

2

+ H . À la fin, en t = T , le récipient supérieur est vide et donc l’inférieur est plein, avec Z(T) = Hz(T) = H, donc h

min

= h(T) = h

1

h

2

H .

Ceci conduit à < h > = h

1

h

2

= 35 cm.

2

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d) Les phénomènes dissipatifs (viscosité, frottements dans l’air), n’ont pas été pris en compte dans notre modèle (en effet, l’application du théorème de Bernoulli suppose que l’on néglige ces phénomènes). Cela conduit à surestimer la hauteur moyenne du jet d’eau.

12. Durée de la vidange

a) Comme en 10.a), par conservation de la matière on obtient que v

A

=

Ss

v

B

avec v

B

= v

C

(car le tube a une section constante) et v

A

= −

dzdt

car z(t) décroît. En réinjectant l’expression précédente de v

C

en 10.b) ainsi que la conservation z(t) + Z(t) = H, on obtient finalement

d z dt + s

S

q

2g (h

1

h

2

H + 2z) = 0 . b) Il s’agit d’une équation à variables séparables :

ˆ0 H

dz

p

2g (h

1

h

2

H + 2z) = −

ˆ T

0

s

S dt ⇔ 1

√ 2g

hp

h

1

h

2

H + 2z

i0

H

= − s S T .

d’où T = S s √ 2g

p

h

1

h

2

+ H

p

h

1

h

2

H

= 65 s .

c) La durée T augmente si S augmente, si s diminue, et si H augmente. Pour allonger la durée de la vidange, on a donc intérêt à augmenter la quantité d’eau stockée en augmentant S et H, et à diminuer la section s des tubes qui contraint le débit.

d) Comme < h >= h

1

h

2

, on a T =

S

s√ 2g

< h > +H − √

< h > −H

. En dérivant on obtient dT

d< h > = S s √ 2g

1 2 √

< h > +H − 1 2 √

< h > −H

= S(

< h > −H − √

< h > +H) 2s √

2g √

< h >

2

−H

2

< 0 donc T diminue lorsque l’on augmente la hauteur moyenne du jet, à moins d’augmenter en même temps le rapport

S

s

suffisamment pour augmenter quand même T.

3

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A. MARTIN

II. Moteur à réservoir d’air comprimé

(d’après ENSAIT PC 1999)

A - Étude du réservoir à air comprimé

1. Il faut réaliser la détente lentement pour que la détente puisse être isotherme : il faut laisser le temps aux transferts thermiques de se faire afin que la température du système puisse rester égale à celle du thermostat (atmosphère) T

0

. La durée caractéristique de la transformation doit être grande devant la durée caractéristique des échanges thermiques.

2. a) Comme la détente est isotherme et le Gaz Parfait (GP), l’énergie interne du gaz dans le réservoir ne varie pas en vertu de la 1

ère

loi de Joule. Ainsi, le 1er principe de la thermodynamique appliqué au {gaz dans le réservoir} donne :

0 = −W

iso

+ QQ = W

iso

car il n’y a pas de mouvement d’ensemble du gaz (statique au début et à la fin) et en négligeant la variation de son énergie potentielle.

b) 2ème principe de la thermodynamique appliqué au {gaz dans le réservoir} sur la détente :

∆S = Q T

0

+ S

c

S

c

= ∆S − W

iso

T

0

c) Comme s

c

≥ 0 avec égalité ssi la transformation est réversible, on a :

∆S ≥ W

iso

T

0

W

iso

T

0

∆S

L’égalité, et donc le maximum de travail récupérable, est obtenu pour une transformation réversible.

3. On calcule directement le travail des forces de pression fourni au système pour la transformation isotherme, qui est réversible

1

:

W

iso,max

= +

ˆ2

1

p

r

dV

r

=

ˆ 2

1

nRT

0

dV

r

V

r

= p

r1

V

r1

ˆ2 1

dV

r

V

r

= p

r1

V

r1

ln V

r2

V

r1

.

Avec l’équation d’état du GP on réexprime p

r1

V

r1

= nRT

0

= p

r2

V

r2

V

r2

V

r1

= p

r1

p

r2

W

iso,max

= p

r1

V

r1

ln p

r1

p

r2

= 3, 2 MJ > 0 4. Sur un chemin réversible et donc mécaniquement quasi-statique, et adiabatique, le premier principe s’écrit

(pour un GP soumis exclusivement à des forces de pression).

dU = δQ

rev

+ δW

rev

= 0 − P dV . Pour un GP P V = nRT et dU = C

v

dT =

γ−1nR

dT donc

nR

γ − 1 dT + nRT

V dV = 0 ⇔ nR dT

T + (γ − 1)nR dV

V = nR d ln

T V

γ−1

= 0 .

D’où T V

γ−1

= constante , et en introduisant la loi des GP, on obtient aussi P V

γ

= constante et T

γ

P

1−γ

= constante .

1. Si on n’admet pas ce résultat, on peut le calculer ainsi :Wiso,max=T0∆Spuis calculer la variation d’entropie d’un GP pour une isotherme en fonction des pressions.

4

(3)

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5. On peut là encore faire un calcul direct du travail pour la détente adiabatique réversible, via W

adi,max

= +

ˆ 2 1

p

r

dV

r

=

ˆ 2

1

P

r1

V

r1γ

dV

r

V

rγ

= . . . ou utiliser le premier principe :

∆U = nR

γ − 1 ∆T

r

= −W

adi,max

+ 0 ⇒ W

adi,max

= p

r1

V

r1

p

r2

V

r2

γ − 1 = p

r1

V

r1

γ − 1

1 − p

r2

V

r2

p

r1

V

r1

Or, d’après la loi de

Laplace

:

p

r2

V

r2γ

= p

r1

V

r1γ

V

r2

V

r1

=

p

r1

p

r2

1

γ

p

r2

V

r2

p

r1

V

r1

=

p

r2

p

r1

1−1 γ

D’où :

W

adi,max

= p

r1

V

r1

γ − 1

"

1 − p

r2

p

r1 1−1γ#

= 1, 84 MJ < W

iso,max

6. L’isotherme est donnée par p

r

V

r

= cte et l’adiabatique (ré- versible) par p

r

V

rγ

= cte avec γ > 1. On a alors le diagramme de

Watt

ci-contre pour une détente qui va de p

r1

à p

r2

. Les travaux récupérables représentent l’aire sous la courbe des transformations. On voit graphiquement que

W

iso,max

> W

adi,max

ce qui est conforme à ce que nous avons calculé.

7. L’unité S.I. de a est W.K

−1

.

8. Premier principe entre t et t + dt appliqué au {gaz dans le réservoir} : dU = nR

γ − 1 dT

r

= −p

r

dV

r

+ P

th

dt = − nRT

r

V

r

dV

r

a(T

r

T

0

)dt Alors :

nR γ − 1

dT

r

dt = − nRT

r

V

r

dV

r

dta(T

r

T

0

) D’où :

dT

r

dt + a(γ − 1)

nR (T

r

T

0

) = −(γ − 1) T

r

V

r

dV

r

dt On obtient bien l’équation différentielle demandée :

dT

r

dt + T

r

T

0

τ

0

= ξ T

r

V

r

dV

r

dt avec τ

0

= p

r1

V

r1

a(γ − 1)T

0

et ξ = 1 − γ

9. La constante τ représente la durée caractéristique de la détente, alors que τ

0

est la constante de temps caractéristique des transferts thermiques à travers la paroi du cylindre.

Ainsi, si τ τ

0

la détente est lente par rapport aux transferts thermiques donc la transformation tend à être isotherme.

Au contraire, lorsque τ τ

0

, la détente est rapide par rapport aux transferts thermiques donc la transformation tend à être adiabatique.

5

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10. Au minimum de T

r

sa dérivée est nulle. L’équation différentielle devient alors, compte tenu du fait que

dVr dt

=

Vτr1

:

0 + T

rm

T

0

τ

0

= ξ T

rm

V

r1

(1 + t

m

/τ)

V

r1

τ = ξT

rm

t

m

+ τt

m

= ξτ

0

T

rm

T

rm

T

0

τ .

11. On lit T

rm

= 1, 7 × 10

2

K , ce qui donne t

m

= 15 × 10

2

s et donc p

rm

≈ 7 bar .

12. L’expression de W

k

est identique à celle calculée en question 5. pour la loi de Laplace, en remplaçant simplement γ par k. Ainsi :

W

k

= p

r1

V

r1

k − 1

"

1 − p

r2

p

r1 1−1k#

= 1, 91 MJ On trouve bien W

adi,max

< W

k

< W

iso,max

.

B - Étude du moteur

13. La pression dans la chambre est minimale au moment de l’échappement lors de la mise en contact avec l’air atmosphérique, et égale à P

0

. Pour que le moteur fonctionne il faut donc que la pression à l’admission depuis le réservoir soit nettement supérieure à P

0

sinon le piston ne peut être repoussé sur une course non nulle. Or la pression à l’admission va progressivement baisser à chaque cycle à mesure que le réservoir se vide.

14. Remarque : il faut noter que, comme l’indique la légende de la Figure 6 dans l’énoncé, le graphe ne représente pas l’état du système (qui n’effectue pas un cycle et sort sous pression du réservoir), mais les valeurs de (p, V ) mesurées dans la chambre à l’instant t.

AB correspond à l’admission d’air comprimé dans le cylindre (piston au point mort extérieur)

BC à la phase de descente du piston

CD à l’échappement de l’air dans l’atmosphère (piston au point mort intérieur)

DA

0

correspond à la phase de remontée du piston.

15. La descente BC du piston étant adiabatique réversible, on applique la loi de

Laplace

pour l’air situé dans le cylindre (assimilé à un GP) :

p

2

= p

1

V

1

V

2 γ

La condition p

2

p

0

donne :

p

1

p

0

V

2

V

1 γ

= 25, 2 bar 16. La loi de Laplace donne également :

T

2

V

2γ−1

= T

1

V

1γ−1

T

2

= T

1

V

1

V

2 γ−1

= 139 K

17. Dans l’état final de cette nouvelle détente, la pression est uniforme dans l’atmosphère et le cylindre ouvert sur l’atmosphère. Ainsi p

3

= p

0

.

La loi de Laplace donne alors :

T

3

= T

2

p

2

p

0 1

γ−1

6

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En remplaçant T

2

et p

2

par leurs expressions il reste : T

3

= T

1

p

1

p

0 1γ−1

18. On calcule les travaux directement grâce à la loi de Laplace.

— Phase de descente (on exclut la partie de 2 à 3 qui ne transmet pas de travail au piston mais directement à l’air extérieur) :

W

d

= −

ˆ2

1

pdV = −

ˆ2

1

p

1

V

1γ

dV

V

γ

= −p

1

V

1γ

"

V

1−γ

1 − γ

#2 1

W

d

= p

1

V

1γ

γ − 1

V

21−γ

V

11−γ

= p

1

V

1

γ − 1 V

2

V

1 1−γ

− 1

!

= −75 J .

— Phase de remontée : c’est le même calcul en permutant les indices de volume et en partant de la pression p

0

cette fois.

W

r

= p

0

V

2γ

γ − 1

V

11−γ

V

21−γ

= p

0

V

2

γ − 1 V

1

V

2 1−γ

− 1

!

= 19 J.

19. Pour l’air dans la chambre, le piston représente l’extérieur, donc le travail qu’il fourni est celui reçu par l’air calculé précédemment. Comme il n’y a pas de travail du piston au cours des phases d’échappement et d’admission (le piston reste immobile dans ces phases), alors :

W

T

= W

d

+ W

r

= −56 J < 0 20. L’arrêt du moteur se produit pour : W

T

= 0 ⇔ W

d

= −W

r

p

1

V

1γ

= p

0

V

2γ

.

D’où :

p

1,min

= p

0

V

2

V

1 γ

= 25, 2 bar

Remarque : il s’agit de la valeur de p

1

trouvée précédemment, pour laquelle p

2

= p

0

, c’est-à-dire corres- pondant à deux courbes de détente et de compression confondues sur le cycle (dont l’aire est donc nulle).

En effet, une fois ce premier « cycle

2

» parcouru, la pression remonte à une valeur inférieure à p

1

car il y a de moins en moins d’air dans le réservoir au fur et à mesure des admissions d’air dans le cylindre. Le

« cycle » est alors de plus en plus serré, le travail fourni par le piston est de moins en moins important au cours du temps et le moteur s’arrête lorsque la pression à l’issue de la descente du piston vaut p

0

.

2. Ce n’est pas réellement un cycle puisque l’on ne redémarre pas à la même pression.

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