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Méthodologie utilisée pour déterminer le lien entre l'hyperactivité et l'attachement dysconfiant

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Academic year: 2021

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Méthodologie utilisée pour déterminer le lien entre l’hyperactivité et l’attachement dysconfiant

Marc Guilhot

To cite this version:

Marc Guilhot. Méthodologie utilisée pour déterminer le lien entre l’hyperactivité et l’attachement dysconfiant. Travaux & documents, Université de La Réunion, Faculté des lettres et des sciences humaines, 2015, Actualités de la recherche en Sciences de l’Education dans l’océan Indien, pp.97-103.

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l’hyperactivité et l’attachement dysconfiant

M

ARC

GUILHOT,

DOCTEUR EN PSYCHOLOGIE DANS LES SCIENCES DE L

ÉDUCATION

CIRCI, U

NIVERSITÉ DE

L

A

R

ÉUNION

, M

EMBRE DU

CERLIR

La genèse de notre recherche se trouve dans ma pratique de psychologue scolaire. Selon   Latchoumanin (2012) : « Il existe aujourd’hui plus de 100 000 illettrés à La Réunion ».

Si l’on admet que les grandes lois explicatives du fonctionnement indivi- duel et collectif ne résistent plus aujourd’hui à l’avènement de la singula- rité d’un sujet acteur et auteur de son avenir, il convient de se débarras- ser des dogmes pour observer, comprendre, expliquer le rapport au savoir de chaque individu candidat à l’existence et mettre en œuvre un accompagnement adapté à ses potentialités et aspirations.

De nombreux enseignants font des demandes d’aide relevant de littératie et de comportements qu’ils jugent inadaptés à la classe. Notamment, des enfants sans arrêt dans l’action. Nous devons participer au repérage des troubles et mettre en œuvre un projet d’aide. D’après Vassen Naëck (2012) : « Dans la psy- chologie humaine, la dimension humaniste et la singularité de la personne remettent en question les dichotomies traditionnelles maître/élève ». « Il est essentiel de soutenir les enseignants dans la durée au travers d’un accompa- gnement privilégiant l’analyse des pratiques ». L’important en littératie étant de placer l’enfant dans une dynamique de progrès. « Les relations sociales sont ainsi un facteur essentiel de reconnaissance qui, elle, stimule l’individu en lui four- nissant la preuve de son existence et de sa valorisation par le regard de l’autre ou des autres » (Rapanoël A., 2012).

En Sciences Humaines, l’Homme, par le raisonnement et l’observation, cherche à découvrir les lois effectives qui gouvernent les phénomènes étudiés.

Elles se fondent sur le principe épistémologique de la science « positive », défi-

nie en premier par Auguste Comte (1798-1857), qui décrivait trois états : l’état

théologique, l’état métaphysique et l’état positif. L’épistémologie étant l’étude de

l’étude de la réalité ou la connaissance de la connaissance ou la philosophie des

sciences. Nous avons fait appel à la notion d’herméneutique développée par

Gadamer H.G., qui a retenu de Heidegger son style d'interprétation phénomé-

nologique. C’est la méthode de connaissance fondée sur l’interprétation des

signes sensibles ou manifestations des éléments d’une culture. Adopter une

approche herméneutique signifie qu'on cherche autant à comprendre qu'à expli-

quer le phénomène étudié. La compréhension se démarque de l’explication car

elle tente de trouver les finalités produites par l’objet d’étude et ne cherche pas

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seulement les causes des phénomènes. Nous avons essayé de respecter le prin- cipe de neutralité axiologique. Le sujet et l’objet d’étude étant de même nature l’objectivité est difficile à réaliser. En effet, selon Max Weber (1864-1920) père de la sociologie compréhensive, en utilisant le concept de rationalité, le cher- cheur se contente de faire des jugements de fait et évite les jugements de va- leurs. Il faut faire preuve d’intersubjectivité, notion développée par Karl Popper (1902-1994). Selon Kuhn (2008), la notion de paradigme est représentée par les découvertes scientifiques universellement reconnues qui, pour un temps, four- nissent des problèmes types et des solutions à une communauté de chercheurs.

Selon Gauthier (2011), c’est un ensemble de règles implicites ou expli- cites orientant la recherche scientifique, pour un certain temps, en fournissant, sur la base de connaissances universellement connues, des façons de poser les problèmes, d’effectuer les recherches et de trouver les solutions. On évoque des quasi-paradigmes à propos des courants ou écoles de pensée, c’est-à-dire des consensus théoriques et méthodologiques au sein de groupes de chercheurs.

Concernant l’hyperactivité, il existe deux courants de pensée : elle serait d’ori- gine biologique pour les Anglo-Saxons et d’origine psychologique pour les Français.

La méthodologie désigne un ensemble de règles, d’étapes et de procé- dures auxquelles on a recours dans une science pour choisir l’objet étudié. Nous avons adopté une démarche hypothético-déductive qui découle de la méthode expérimentale et est applicable en sciences humaines dans toutes les disciplines et avec plusieurs méthodes de recherches. On élabore les grandes étapes : d’abord, le chercheur pose une question de recherche ; ensuite, il procède à des déductions et/ou inductions selon les prémisses et connaissances empiriques du sujet et celle qu’il possède ; après, il adopte ou construit une théorie et une hypothèse de recherche ; enfin, il procède à des tests empiriques dont le but est de vérifier ou d’infirmer la/les hypothèses de recherche.

Nous avons passé en revue les questions : Qu’est-ce qu’un manque d’attention ? Qu’est-ce que l’hyperactivité ? Qu’est-ce que le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ? Quelles en sont les causes ? Quelles sont les interactions mère/enfant ? Qu’est-ce que l’attachement dysconfiant ? L’attachement dysconfiant des mères avec leurs enfants serait-il à l’origine de cas d’hyperactivité ? Cela nous a permis de préparer le cadre théorique. Nous nous sommes intéressés aux stades de développement étudiés par Freud, Piaget et Wallon. Puis aux aspects affectifs et sociaux du développement de l’enfant.

Le sentiment d’abandon a été décrit par Winnicott. Selon lui, la déprivation ou la perte ont des conséquences désastreuses au moment où s’élabore la capacité de sollicitude (entre dix mois et deux ans). Spitz (1948) parle de dépression ana- clitique pour qualifier l’état d’hébétement survenant chez le petit enfant lorsqu’il est privé de sa mère. Khan (1974) parle du « concept de traumatisme cumulatif » à propos des failles persistantes de la mère dans son rôle de barrière protectrice.

Pour Jean-François Hamon (1998) :

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L’attention, c’est prendre possession par le sujet, sous forme claire et vive, de l’un parmi plusieurs objets ou flux de pensées, qui semblent si- multanément possibles ; focalisation, concentration de la conscience en constituent le fondement. Cela implique un repli de certaines choses pour pouvoir faire face efficacement à d’autres.

Le TDA/H, trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité est carac- térisé par trois critères : le manque d’attention, l’impulsivité et l’hyperactivité.

Les gènes DRD4 et DAT ont été identifiés chez les porteurs de TDA/H. Il concernerait environ 5-7% de population infantile, et serait 4 à 5 fois plus fré- quent chez le garçon que chez la fille. Il s’agirait d’un dysfonctionnement de neuromédiateurs en particulier la dopamine qui influence la régulation de l’at- tention et inhibe les comportements impulsifs. Bourgueil (2007), Causse (2006), Desjardins (2001), Lecendreux (2003) ont écrit des ouvrages à propos du TDA/H.

Il y aurait un manque de régulation des fonctions exécutives et une diffi- culté à traiter et à hiérarchiser les informations et les stimuli externes (auditifs et visuels). Six ou plus des symptômes décrits dans le DSM V doivent persister depuis plus de 6 mois à un niveau incompatible avec le niveau de développe- ment. Les troubles peuvent se manifester dans au moins 2 situations de vie (école, maison). Il doit exister une détérioration clinique évidente du fonctionne- ment social et scolaire. Les symptômes ne doivent pas être secondaires à d’autres expliqués par un autre trouble. L’évaluation diagnostique se fait dans un centre référent à partir d’observations directes dans différentes situations. On utilise l’échelle de Conners et un entretien avec les parents associés à un ques- tionnaire pour les enseignants. Les causalités du TDA/H étant pour les uns le produit de l’inconscient névrotique (psychanalyse freudienne ou de l’attache- ment déficient [Bowlby, Cyrulnik]) et pour les autres, d’origine biologique (psychologie cognitive, psychiatrie contemporaine). Une carence en iode de la mère durant la grossesse pourrait entraîner de l’hyperactivité. Un taux de ferri- tine inférieur à la normale a été trouvé chez 84% des enfants hyperactifs. Selon Causse (2006) :

L’instabilité de l’enfant serait une défense inconsciente contre une an- goisse de séparation d’avec la mère et viendrait masquer une dimension dépressive sous-jacente de l’enfant. L’instabilité serait un trouble psycho- somatique, c’est-à-dire l’expression directe dans le corps de conflits intrapsychiques.

Pour Guilhot (1996), p. 14 :

La vie est mouvement d’expansion, d’exploration et d’appropriation ; ce

mouvement est senti, ressenti, vécu sous forme de besoins et de pulsions

et, à un étage au-dessus, sous forme d’aspirations et de désirs, et au ni-

veau de l’expression, sous forme d’instances créatrices et d’instances

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relationnelles, et donc langagières. Ainsi, les motions vitales s’expriment à travers des messages vivants et des langages directs, authentiques et véridiques. Ces motions vitales sont fondamentalement « relationnelles », établissant des relations avec le monde et les êtres qui le peuplent, rela- tions qui se manifestent dans l’action et la réaction (mobilisatrices du vaste clavier des émotions et des sentiments). Ces motions vitales partent des profondeurs mais aussi des divers niveaux de l’animalité et élaborent la sémiologie du langage personnel, utilisant le langage familial et le lan- gage socioculturel.

Et, p. 16 : « Langage et images, émotions et sentiments ne sont pas dissociables dans les entreprises de compréhension et dans les entreprises de réorganisations thérapeutiques et pédagogiques ». Il évoque, p. 38, un modèle biopsychosocioculturel pour évoquer l’entrelacement de la conscience et des fonctions inconscientes avec un ensemble de combinatoires dans un fonction- nement interactif de la vie intérieure, de la vie relationnelle et des activités créatrices : – combinatoires de la communication et de la représentation, de la création et de la recréation, de la perception et de l’exécution ; – combinatoires des fonctions sous-jacentes émotionnelles et affectives, imaginaires et symbo- liques, cognitives et langagières, psychomotrices et conatives ; – combinatoires des scénarios intérieurs et de leurs personnages et des systèmes relationnels ex- ternes et de leurs protagonistes. L’attachement entre la mère et l’enfant s’il est dysconfiant, pourrait ralentir cette combinatoire entre fonctions émotionnelles, affectives et langagières. Le traitement multimodal comprendra une thérapie cognitivo-comportementale, familiale et par le corps ; éventuellement associée à un traitement médicamenteux dans les cas les plus sévères. Des aménagements devront être faits en classe et des conseils donnés pour la maison.

Pour Zazzo (1974) : « L’origine de l’attachement du jeune enfant à sa mère n’est pas le résultat d’un apprentissage mais l’effet d’un besoin primaire et que, pour se réaliser, il dispose probablement de mécanismes innés ».

Bion (1962) parle de la fonction alpha qui serait la capacité d’interpré- tation de la mère et le degré de tolérance à la frustration du nourrisson qui vont permettre à ce dernier de développer la trame de l’appareil psychique. Pour lui, les contenus toxiques psychiques du bébé sont les éléments bêtas. La fonction alpha de la mère est là pour recevoir les éléments vitaux de l'enfant, les intério- riser et en ce sens dédramatiser la situation pour l'enfant, à travers un sentiment de confiance à être une bonne mère.

Pour Bowlby (1978), un événement et/ou une expérience pathogènes pour la personnalité provoquant des schèmes de réaction dans la petite enfance produisent des schèmes de réactions analogues plus tard. Il note une classe d’événements – la perte de la figure maternelle dans la petite enfance – qui peut être une expérience traumatique et entraîner des processus pathologiques.

Bowlby énumère cinq patterns de comportement d’attachement qui s’organisent

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en un système d’équilibre, de régulation (succion, étreinte, cris, sourire, action de suivre). Il a décrit son développement.

Ainsworth a étudié le style d’attachement chez les enfants de moins d’un an avec le test de la « Strange Situation » qui mesure les réactions de l’enfant par rapport à la séparation et la réunion avec sa mère. Elle décrit trois styles d’atta- chement : Groupe A : attachement anxieux-évitant : (22%) dans lequel l’enfant se sent stressé parce qu’il est seul et non pas par le fait de l’absence de la mère ou de la présence de l’étrangère. Groupe B : attachement sécurisant (66%) : l’enfant accepte d’être consolé par la mère qui est réparatrice et répondante.

Groupe C : attachement anxieux-ambivalent (12%) : au retour de la mère l’enfant se presse contre elle avec la peur de la perdre à nouveau. Les enfants de ce groupe présentant plus de colère comparativement aux enfants des autres groupes. Nous parlerons d’attachement dysconfiant pour les groupes A et C.

Cyrulnik (1989), Main (1982), Montagner (1988), Pierre Humbert (2003) ont également étudié l’attachement.

Notre problématique était de trouver s’il y a un lien entre hyperactivité et attachement dysconfiant. Notre protocole d’enquête s’est doté de deux outils : un questionnaire et des entretiens semi-directifs. Le questionnaire est issu d’une enquête du ministère de la santé du Canada et a été pré expérimenté auprès de 5 personnes. Les 41 questions concernent l’attachement à la mère, la séparation à l’entrée à l’école et les difficultés de lecture. L’analyse des entretiens s’est faite à partir de 5 indicateurs : l’hospitalisation, la séparation, les multiples personnes ayant materné l’enfant, la fierté vis-à-vis de son enfant et les difficultés relation- nelles et d’apprentissage. La population étant constituée de 25 mères d’enfants diagnostiqués hyperactifs à La Réunion sur les secteurs de Saint-Paul et de Saint- Denis 2, parmi 3500 élèves et 350 classes. Le traitement des données a permis de montrer que ces enfants ont presque tous été confiés à d’autres personnes pour qu’elles les gardent et leur donnent le biberon, durant leur très jeune âge, le plus souvent aux grand-mères. On a aussi noté qu’aucun n’a peur des étrangers et qu’ils aiment l’école malgré des difficultés de comportement et de lecture.

Le contrôle parental s’exerce sur le fait de toujours vouloir savoir où ils sont, ce qu’ils font et de les accompagner ou de les faire accompagner à l’école, mais pas sur ce qu’ils doivent regarder à la télé. Plus de la moitié des parents sont séparés. Ces 25 mères d’enfants diagnostiqués hyperactifs présentent un attachement dysconfiant. C’est ce qui ressort de l’analyse des 25 questionnaires et de l’analyse des entretiens. L’hyperactivité dont l’origine peut être génétique entraîne un attachement dysconfiant qui lui-même peut renforcer l’hyperactivité.

Selon Boris Cyrulnik, la mère se sentant plus proche de sa fille reprenait

plusieurs fois ses gestes avec elle alors qu’elle abandonne plus rapidement pour

le garçon et ce contrairement à l’idée généralement admise que le lien mère/fils

serait privilégié. Cela expliquerait que la fille hyperkinétique aurait un attache-

ment moins dysconfiant que celui du garçon car sa mère malgré des comporte-

ments impulsifs et désordonnés du bébé répondrait plus facilement aux sollicita-

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tions. On voit donc là une hypothèse pour réduire ce trouble, il suffirait que les mères soient éclairées de ce phénomène et soient plus attentives aux sollicita- tions des garçons, le rôle de la parole dans les maternités semble donc prépon- dérant.

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Références

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