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DÉCORS Ezio Frigerio COSTUMES Franca Squarciapino LUMIÈRES Vinicio Cheli

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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En composant Le Lac des cygnes, Tchaïkovski s’empare de la légende de l’oiseau immaculé pour créer l’une des plus belles musiques jamais écrites pour le ballet. Les chorégraphes Marius Petipa et Lev Ivanov donneront leurs lettres de noblesse à l’histoire de cet amour impossible entre un prince terrestre et une princesse-oiseau, et façonneront à leur tour le mythe de la danseuse-cygne, ballerine par excellence.

En créant en 1984 sa version pour le Ballet de l’Opéra national de Paris, Rudolf Noureev choisit de lui donner une dimension freudienne, éclairant d’une profondeur désespérée le rêve poétique de Tchaïkovski.

In Swan Lake, Tchaikovsky took up the legend of the immaculate bird to create some of the most beautiful music ever written for ballet. The choreographers Marius Petipa and Lev Ivanov left their distinguished mark on this story of an impossible love between an earthly prince and a bird-princess, refashioning the myth of the swan-dancer, the ultimate ballerina.

When creating his version for the Paris Opera Ballet in 1984, Rudolf Nureyev chose to give a Freudian dimension, illuminating Tchaikovsky’s poetic dream through a sense of profound hopelessness.

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

OPÉRA BASTILLE Captation réalisée en 2019 par François-René Martin, coproduite par l’Opéra national de Paris et Telmondis, avec la participation de France télévisions, avec le soutien du CNC et de la Fondation Orange, mécène des retransmissions audiovisuelles de l’Opéra national de Paris.

BALLETEN QUATRES ACTES LIVRET

Vladimir Begichev, Vassili Geltser MUSIQUE

Piotr Ilyitch Tchaikovski CHORÉGRAPHIE Rudolf Noureev

d’après Marius Petipa et Lev Ivanov

DÉCORS Ezio Frigerio

COSTUMES Franca Squarciapino LUMIÈRES

Vinicio Cheli

DIRECTION MUSICALE Valery Ovsyanikov

Orchestre de l’Opéra national de Paris

Les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet

© Ann Ray

LES MÉCÈNES ET PARTENAIRES DE L’OPÉRA NATIONAL DE PARIS

SERVICE DES RELATIONS AVEC LES MÉDIAS CHEF DU SERVICE | HEAD OF OFFICE Emmanuelle Rodet-Alindret 01 40 01 21 64 / erodet@operadeparis.fr BALLET ET ACADÉMIE | PRESS MANAGER BALLETS & ACADEMY Evelyne Paris 01 40 01 24 96 / eparis@operadeparis.fr BALLET ET ÉCOLE DE DANSE | PRESS MANAGER BALLETS & BALLET SCHOOL

Stéphanie Rodier 01 40 01 25 79 / srodier@operadeparis.fr presse.danse@operadeparis.fr

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Le Lac des cygnes - Ballet de l’Opéra national de Paris ©Ann Ray/OnP

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

DISTRIBUTTION

ODETTE / ODILE Léonore Baulac LE PRINCE SIEGFRIED

Germain Louvet WOLFGANG, LE PRÉCEPTEUR / ROTHBART François Alu PAS DE TROIS Sae Eun Park, Hannah O’Neill, Paul Marque DANSE CZARDAS Charline Giezendanner, Cyril Mitilian DANSE ESPAGNOLE Sae Eun Park, Hannah O’Neill, Jérémy-Loup Quer, Pablo Legasa

DANSE NAPOLITAINE Marine Ganio, Francesco Mura Captation réalisée par François-René Martin, coproduite par l’Opéra national de Paris et Telmondis, avec la participation de France télévisions, avec le soutien du CNC et de la Fondation Orange, mécène des retransmissions audiovisuelles de l’Opéra national de Paris.

MÉCÈNE DES RETRANSMISSIONS AUDIOVISUELLES DE L’OPÉRA NATIONAL DE PARIS

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À LIRE AVANT LE DÉBUT DU SPECTACLE...

« De nouveau, le Prince marche au bord de la mer bleue.

Soudain, sur les eaux limpides, apparaît un cygne blanc. »

Alexandre Pouchkine, Le Conte du tsar Saltan On pourrait croire que le chef-

d’œuvre des ballets romantiques connut d’emblée le succès : il n’en est rien. Il subit d’abord l’échec ; ce ne fut qu’après bien des tâtonnements et Tchaikovski une fois mort, que Le Lac des cygnes s’imposa. Pour une quinzaine d’années tout au plus : dans les années 1930 on n’en jouait la version intégrale qu’à Londres, au Sadler’s Wells.

[…] L’enchantement du Lac des cygnes vient aussi bien du thème légendaire du livret que de la musique et de la chorégraphie qu’elle a inspiré à Ivanov et à Petipa. On retrouve dans le sujet les thèmes favoris du romantisme, les prestiges de

l’amour et de la mort, le salut ici-bas et dans l’au-delà. Ils n’ont pas perdu de leur ascendant sur nous, si l’on en juge par l’accueil que l’on fait aujourd’hui à cette œuvre dans le monde entier.

La lecture de ce ballet peut se faire à plusieurs niveaux : conte folklore slave, mythologie nordique, confession déguisée.

Je crois qu’il faut les saisir tous les trois à la fois et les renforcer l’un par l’autre  : l’aventure du prince Siegfried n’en éveille en nous que plus de résonances et d’échos.

Marcel Schneider, Le Lac des cygnes, 1979 Collection « Visions de la Danse », Editions Albin Michel

Photos : Le Lac des cygnes - Ballet de l’Opéra national de Paris © Ann Ray/OnP

À PROPOS DU BALLET...

Le Ballet de l’Opéra national de Paris a la particularité de posséder plusieurs versions d’un même ballet  : c’est le cas de Giselle ou encore du Sacre du printemps.

Le Lac des cygnes - dont l’intégrale n’entra au répertoire de l’Opéra qu’en 1960 (dans la chorégraphie de Vladimir Bourmeister) - fait partie de ces

« classiques » souvent revisités, et que Rudolf Noureev réinterpréta pour le Ballet de l’Opéra en 1984.

Cette production du Lac des cygnes (créée le 20 décembre 1984 au Palais Garnier) fut présentée en 1985 (Garnier),

1986 (Créteil, Washington, New York), 1987 (Copenhague), 1988 (Garnier, New York, Washington), 1989 (La Danse en Révolution / Grand Palais à Paris, Festival d’Athènes), 1990 (Garnier), 1991 (Bruxelles), 1994 (Opéra Bastille), 1995 (Ferrare, Nice), 1997 (Garnier), 1999, 2002 et 2005 (Bastille), 2006 (Tokyo), 2007 (Sydney) et 2010 (Bastille).

LE LAC DES CYGNES DE RUDOLF NOUREEV

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

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LE LAC DES CYGNES

« FREUDIEN »

LA CHORÉGRAPHIE

Dans la version de Rudolf Noureev, le prince Siegfried se dérobe à la réalité du pouvoir et du mariage que lui imposent son précepteur et sa mère pour se réfugier dans ses rêves, où lui apparaît un lac magique porteur d’un amour idéalisé qu’il ne saurait vivre.

« Rudolf Noureev a réglé son premier Lac des cygnes intégral en 1964 à l’Opéra de Vienne.

Deux ans plus tôt, lors de ses débuts à Londres dans l’ouvrage avec Margot Fonteyn et le Royal Ballet (dans la chorégraphie de Nicolas Sergueev révisée par Ninette de Valois et Frederick Ashton), le jeune danseur avait ajouté à l’Acte I une variation grave et mélancolique, qui marquait déjà son désir d’étoffer la partie du prince et de donner plus de poids à son personnage. Invité à danser Le Lac des cygnes de John Cranko à Stuttgart en 1963, Noureev découvrit une interprétation psychologique du ballet qui rejoignait ses convictions : ‘Le prince doit apparaître comme un être humain qui a vécu une expérience dramatique et non comme une tête sans cervelle, qui se contente de soulever la danseuse étoile’.

Aussi, lorsqu’il entreprit de monter Le Lac des cygnes à Vienne l’année suivante, il n’hésita pas à mettre l’accent sur le caractère romantique du prince et développa le rôle pour lui donner une place égale à celle de l’héroïne.

Et jugeant tout “happy end” peu en harmonie avec la musique

nostalgique de Tchaikovski, il opta pour une fin tragique.

En 1984, à l’Opéra de Paris, Rudolf Noureev remanie sa version : restant fidèle à Marius Petipa et Lev Ivanov, il ne fait pas apparaître le personnage du Bouffon (ajouté en 1920 par Alexandre Gorski), mais réintroduit à l’Acte I le précepteur Wolfgang, éducateur autoritaire et très prégnant sur l’esprit du prince : c’est l’imagination enfiévrée de Siegfried qui transformera - dans les actes suivants - le précepteur en maléfique Rothbart, diabolique manipulateur des âmes et des corps. Personnage équivoque, à double face, qui symbolise l’esprit destructeur s’opposant à l’idéal du héros.

Siegfried, qui a juré un amour éternel à la princesse Odette pour la délivrer de son enveloppe de cygne, sera trompé par Rothbart qui lui présente Odile, miroir inversé d’Odette.

Et, au finale, tandis que - dans la version de Vienne - Siegfried se noyait dans le lac dont Rothbart avait fait déborder les eaux, ici - dans la version de Paris - Rothbart s’élève dans les airs, oiseau de proie tenant triomphalement dans ses griffes la princesse Odette, à jamais transformée en cygne, sous le regard halluciné de Siegfried qui reconnaît “l’image”

de son rêve prémonitoire. »

© René Sirvin Programme de l’Opéra national de Paris

Sur le plan chorégraphique, le Lac des cygnes de Rudolf Noureev conçu pour le Ballet de l’Opéra de Paris se distingue des autres versions par un certain nombre de détails :

- à l’Acte I, le chorégraphe transforme la « Danse des coupes

» en une grande Polonaise, pour les hommes uniquement.

- à l’Acte II, Noureev restaure la variation du prince, habituellement

coupée, après la danse des quatre grands Cygnes.

- à l’Acte III, le fameux pas de deux du « Cygne noir » devient un pas de trois par l’attribution d’une variation brillante à Rothbart, qui participe également à l’adage initial de ce morceau.

- au dernier Acte, le chorégraphe place un grand adage, ultime rencontre des amants désespérés, avant le dénouement fatal.

À PROPOS DU BALLET...

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

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LA MUSIQUE

DÉCORS ET COSTUMES

Le Lac des cygnes est un conte fantastique où le réel et l’imaginaire s’interpénètrent  : l’être aimé appartient à un autre monde, jeune fille/cygne, que sa ‘surnature’ rend par là même intouchable. Le sujet ne pouvait que séduire Tchaikovski, fuyant lui-même son réel (un mariage de convenance, masquant son homosexualité) et entretenant une liaison épistolaire avec une personne ‘idéale’ (Nadejda von Meck, sa bienfaitrice) qu’il ne rencontra jamais. Aussi, quand - en 1875 - le Théâtre Bolchoï de Moscou lui demanda d’écrire la partition d’un ballet qui s’inspirerait des légendes nordiques de princesses métamorphosées en cygnes, Tchaikovski accepta aussitôt, même si composer pour la danse n’était pas considéré, dans le milieu musical, comme un travail sérieux.

Tchaikovski retint de ses prédécesseurs, principalement des musiciens français qu’il admirait beaucoup (Adolphe Adam pour Giselle - 1841, Léo Delibes pour Coppélia - 1870 et

Sylvia - 1876), l’idée d’attribuer aux personnages principaux des thèmes mélodiques qui reviennent et se développent à chacune de leurs apparitions (leitmotive) et le souci d’une composition globale homogène à caractère symphonique.

La création du Lac des cygnes eut lieu à Moscou en 1877, la même année que La Bayadère de Petipa et Minkus à Saint-Pétersbourg.

Mais si La Bayadère obtint d’emblée un succès considérable, Le Lac des cygnes fut un échec, en raison d’une mise en scène et d’une chorégraphie (Julius Reisinger) jugées médiocres par la critique.

Il faudra attendre la reprise du Lac des cygnes à Saint-Pétersbourg dans une réalisation du tandem Marius Petipa/Lev Ivanov pour que la partition mélancolique de Tchaikovski soit enfin mise en valeur. C’était en 1895 : gloire posthume pour le compositeur, mort deux ans plus tôt.

© Programme de l’Opéra national de Paris

Le décor du Lac des cygnes, conçu par Ezio Frigerio, se présente comme une boîte, un lieu clos, ‘bloqué’. Espace mental à l’intérieur duquel le prince donne libre cours à ses songes.

« C’est le rêve qui vient se glisser à l’intérieur du palais même.

Cela m’a poussé à un certain dépouillement : la volonté de créer seulement un espace architectural laissant toute la place à la danse. À l’allusion au gothique – qui respecte la tradition du XIXe siècle (le fantastique des contes de fées et le goût pour le néo-médiéval) - se mêlent quelques emprunts à l’Art Nouveau (époque de Tchaikovski et de Petipa) comme cette façon de travailler le marbre, typique de la fin du siècle, et les toiles peintes sont librement inspirées des tableaux de Claude Monet (paysages aquatiques de Giverny),

intrusion de l’impressionnisme, comme un signe de modernité au milieu du vieux monde. »

Ezio Frigerio

« Les costumes aussi mélangent le respect de la tradition (le ballet

‘blanc’ et ses tutus courts, les danses folkloriques du IIIe Acte) aux visions médiévales du XIXe siècle : on peut y lire – dans les formes – des références aux enluminures des «Très Riches Heures du Duc de Berry» comme aux fresques du Quattrocento italien, mais les couleurs sont atténuées, passées, voilées d’imaginaire, à la manière des peintres préraphaélites. »

Franca Squarciapino

Photos : Le Lac des cygnes - Ballet de l’Opéra national de Paris Ann Ray/OnP

À PROPOS DU BALLET...

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

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BIOGRAPHIE

RUDOLF NOUREEV Adaptation, chorégraphie et mise en scène

Né le 17 mars 1938, Rudolf Noureev passe son enfance et sa jeunesse à Oufa, capitale de la république soviétique de Bachkirie.

Après avoir suivi pendant trois ans des cours à l’Ecole de danse Vaganova de Leningrad, il est admis en 1958, dans le Corps de Ballet du Kirov, première Compagnie de danse d’URSS. Il en devient rapidement soliste (Le Corsaire, Don Quichotte, Le Lac des cygnes, La Belle au bois dormant).

Participant à une tournée du Kirov en France, Rudolf Noureev “choisit la liberté” et demande le droit d’asile le 16 juin 1961 à l’aéroport du Bourget.

Il est immédiatement engagé dans les Ballets du Marquis de Cuevas, avec lesquels il se produit au Théâtre des Champs-Élysées.

En 1962, Rudolf Noureev donne sa première représentation de Giselle avec Margot Fonteyn et le Royal Ballet, au Covent Garden de Londres. Il devient artiste invité de cette compagnie et le reste jusqu’en 1977. Sa carrière devient rapidement internationale. Il parcourt le monde, dansant comme Etoile invitée avec toutes les grandes compagnies de ballet en Europe et aux Etats-Unis et travaillant avec les grands créateurs de son époque (George Balanchine, Martha Graham, Glen Tetley, Murray Louis, Maurice Béjart, Roland Petit…).

Chorégraphe, il remonte et adapte également les grands ballets de Marius Petipa (La Belle au bois dormant, Casse-Noisette, Don Quichotte, Le Lac des cygnes, Raymonda) en y développant notamment les parties

dansées dévolues aux interprètes masculins.

Directeur de la Danse de l’Opéra de Paris de 1983 à 1989, il inscrira au répertoire de la Compagnie les grands ballets académiques dans des versions que lui ont inspiré les chorégraphies originales de Marius Petipa, dotant l’Opéra d’un vaste répertoire classique, tout en invitant de nombreux chorégraphes.

Il meurt le 6 janvier 1993, à l’âge de 54 ans.

Ballets de Rudolf Noureev au répertoire de l’Opéra national de Paris :

La Bayadère, Acte III, Les Ombres (création à l’Opéra, 3 octobre 1974), Manfred (création mondiale au Palais des Sports, 20 novembre 1979), Don Quichotte (création à l’Opéra, 6 mars 1981), Raymonda (création à l’Opéra, 5 novembre 1983), La Tempête (création à l’Opéra, 9 mars 1984), Bach-Suite (création mondiale au Théâtre des Champs Elysées, 16 avril 1984), Roméo et Juliette (nouvelle production, Palais Garnier, 19 octobre 1984), Le Lac des cygnes (nouvelle production, Palais Garnier, 20 décembre 1984), Washington Square (création mondiale, Palais Garnier, 6 juin 1985), Casse-Noisette (nouvelle production, Palais Garnier, 20 décembre 1985), Cendrillon (création à l’Opéra, 25 octobre 1986), La Belle au bois dormant (création à l’Opéra, le 18 mars 1989), La Bayadère (création à l’Opéra, le 8 octobre 1992).

© JACQUES MOATTI / ONP

Le Lac des cygnes

Rudolf Noureev

Références

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