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A. COLRAT & A. DENIS Membres de l'e.s.s.i. et des Amis du Sidobre LE SIDOBRE

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A. COLRAT & A. DENIS

Membres de l'E.S.S.I. et des Amis du Sidobre

LE S I D O B R E

G U I D E T O U R I S T I Q U E

É D I T É

par l'Association " LES AMIS DU SIDOBRE "

LE SYNDICAT D'INITIATIVE

" Sidobre et Montagne Noire sous le Patronnage

de la CHAMBRE DE COMMERCE de CASTRES

Introduction et Notices de E. GRILLOU Secrétaire Général des Amis du Sidobre Postface de M. Marc ROBERT

Président du S. I.

Les photos qui illustrent cette brochure ont été réalisées par MM. COLRAT et DENIS

Publicité : I N T E R - P U B L I C I T É , TOULOUSE ÉDOUARD PRIVAT, Imprimeur, TOULOUSE

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à nos familles,

à nos amis de l'E.S.S.I. et des A. du S., à tous ceux qui savent goûter aux charmes de notre pays et de la Nature,

à Raymond NAUZIÈRES, le pionnier du Sidobre, aux chercheurs anonymes,

ce modeste travail.

A. C. - A. D.

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C A S T R E S . — L E T H É A T R E E T L E J A R D I N D E L ' É V É C H É (CLICHÉ DUPARCHY )

A U M U S É E G O Y A . — P O R T R A I T D E P H I L I P P E I V , P A R V É L A S Q U E Z (CLICHÉ STUDIO ROBERT)

C A S T R E S . - L E S V I E I L L E S M A I S O N S (CLICHÉS POUX, ALBI)

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LE SIDOBRE ET LE PAYS TARNAIS

I. — L'ALBIGEOIS

Les basses vallées du Tarn et de l'Agoût, jusqu'à leur confluent, furent d'abord réunies par Pompée dans la Ruténie provinciale; puis, sous l'empire, dans le Pagus Albigensium et le diocèse primitif d'Albi. Le Pape quer- cynol Jean XXII, en faisant du Dadou une frontière, n'obéit pas seulement à des raisons administratives. Albigeois et Castrais ont des visages dissemblables, des vocations différentes. Ces deux pays, groupés autour des deux cités dont la rivalité s'exaspéra en 1790 : Albi l'aristocratique, Castres la vaillante, font penser à ces deux « beautés égales » chantées dans un opéra célèbre. Leurs charmes divers nous séduisent et nous étonnent. Le département du Tarn doit à cette opposition d'être un des premiers départements touristiques français.

Du Ségala aux plaines couvertes de vignobles du Gaillacois, l'Albigeois est prodigue de chefs-d'œuvre. Des artistes de tous les temps et de tous les pays ont rassemblé autour de l'acropole d'Albi cent merveilles. Terre d'hérésie et de révolte, la vicomté des Trencavel se hérisse de villes fortes et de châteaux. N'est-il pas lui même un révolté, ce fleuve échappé aux canyons des Causses qui, après avoir enlacé à l'étouffer la butte sacrée d'Ambialet, se plait à refléter les arches des trois ponts d'Albi la Rouge, ville de chair aux trois forteresses : remparts de briques, donjon de la Berbie « érigeant sa rude silhouette militaire qu'humanisent les terrasses aériennes et fleuries d'un des plus beaux jardins d'occitanie », vaisseau gothique de Sainte-Cécile d'où s'élance vers le ciel, « épanoui comme un lis rouge », le clocher « ajouré et brodé d'échauguettes, de pinacles, de clochetons » (R. ESCHOLIER). Avez-vous admiré le cloître roman de Saint-Salvy, la nef unique bien méridionale, le jubé et ses statues que des maîtres imagiers bourguignons ou flamands conçurent sur des modèles albigeois, et que des peintres italiens colorièrent, l'icône grandiose du jugement dernier, le baldaquin

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flamboyant de la cathédrale? Connaissez-vous le palais épiscopal, dont les lambris recouvrent la plus riche collec- tion d'art moderne qui se puisse imaginer, l'hôtel Reynés, joyau de la Renaissance, la résidence Rochegude, au milieu des jardins délicieux, devenue la bibliothèque où sont pieusement conservées les œuvres des historiens locaux : Jolibois, Portal, Sarazy, Vidal, Cabié, de Lacger, Allègre, Azaïs, Allaire, Bellet, Laran, Male?

Tout le diocèse de Guilhem Peïre se découvre du haut de la tour de Sainte-Cécile. Cette voie ferrée, qui court vers le nord, passera en Rouergue sur le célèbre viaduc du Viaur. Cette autre, là-bas, derrière la tour de Lévis, contournera le mamelon de Cordes l'hérétique, enroulée au sommet d'un puy, cité médiévale dont les maisons à colombages enchevêtrés, les ruelles tortueuses, sont construites au-dessus d'un réseau de souterrains mysté- rieux, près de ce puits insondable où les Inquisiteurs s'écrasèrent en hurlant leur peur de mourir. A l'Ouest, après le castel romantique du Cayla, que hantent les spectres de Maurice et d'Eugénie de Guérin, après les somptueuses frondaisons de Grésigne, Penne l'Invincible, notre Montségur, crie vengeance sur son aiguille rocheuse.

Le Tarn, « dieu rouge », descend vers les vignes dont le jus, d'abord mûri dans les cryptes tièdes de l'abbaye de Saint-Michel, a fait la richesse de Gaillac la blonde, de Lisle la souriante, de Rabastens la Tolosate.

II. — CASTRES ET LE CASTRAIS

Le Castrais est plus fier, et à juste titre, de ses monu- ments naturels et de ses perspectives que des œuvres d'art, dont néanmoins il n'est pas dépourvu. Castres n'est pas, comme Albi, un reliquaire pourpre, car la ville natale de Borel, de Dacier, de Jaurès, a beaucoup souffert des guerres civiles du XVI siècle. De l'établissement des Romains sur le plateau Saint-Jean, ne sont restées que d'admirables pièces de musée. De l'opulente abbaye de Saint-Benoit, fondée aux temps carolingiens p a r Benoit d'Aniane et le comte Wulfaire, seule subsiste une haute tour romane sur la rive gauche de l'Agoût. Les hôtels de N a y r a c et de Viviers, somptueuses demeures

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renacentistes, embellissent deux rues étroites, vestiges du vieux Castres. Enfin, l'ancien palais épiscopal, devenu l'Hôtel de ville, construction majestueuse du grand siècle, faite sur les plans de Mansart, s'ouvre sur le plus « noble » des jardins de France après celui de Versailles, jardin que Le Nôtre dessina et que nous voyons tel que l'a voulu le jardinier du Roi Soleil. Le musée d'art espagnol attire de nombreux touristes : des œuvres maîtresses de Murillo, de Ribera, de Velasquez y accompagnent la

« Junte des Philippines », des portraits et les hallucinants

« Caprices » de Goya dont le musée, petit Prado, porte le nom.

Dirai-je la grâce des promenades castraises, le sourire de ses squares, le charme original de ses maisons mirant dans l'eau leurs superstructures de bois peint, la vie intense de ses rues, la jovialité de ses habitants?

Castres est surtout le centre d'une région où abondent les sites gracieux, les phénomènes naturels. A l'Est, c'est la Montagne Noire, vêtue de bure et de velours sombre, parcourue par des torrenticules aux eaux purissimes, c'est le Sor arrosant Durfort, « la rue infernale des chaudronniers aux cheveux verts », c'est la Rigole alimentant le bassin sauvage de Lampy et le lac si fréquenté de Saint-Ferréol. Oh! magie des noms! Sorèze, ville du Sor! Arfons, Ara fontium, autel des eaux vives!

Font Bruno, où règne le silence de la chartreuse perdue!

Fille du fort d'Hautpoul, enrichie par ses « rivières fées » qui blanchissent les laines, Mazamet est la ville des usines, des banques, mais aussi la cité de la bonne hospitalité, d'où il est facile d'organiser des excursions vers la Montagne Noire, les Monts d'Anglès, le bassin des Montagnés, et les merveilles des Causses prochaines : grottes de Courniou, gorges d'Héric, curiosités géologiques et archéologiques de Minerve.

Labruguière, fière de son château; Dourgne, au pied des ardoisières, recueillie dans l'ombre de ses couvents, jalonnent les chemins de la Montagne Noire à Castres.

Voici la cité aux huits monts, Lacaune, dont César craignait les rébellions. Ses remparts sont ruinés, ses tours s'effritent. Mais sa fontaine des Pissaïres — élevée en 1399 par les consuls très catholiques — bat, de plusieurs longueurs, le Manneken Piss tout seul et si

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petit! Quant au climat de Lacaune et à ses sources, ils font, de la « Cauna nigra » romaine, la meilleure station thermale du Tarn. Et le Montalet proche offre aux touristes les joies d'un alpinisme facile. Avec l'agrément de son site, Brassac nous dispense les plaisirs de la bonne table et les émotions de la pêche à la truite.

Montredon-Labessonié enfin, où l'on a fait d'importantes découvertes préhistoriques, est le lieu aimé par ceux qui envisagent les vacances en épicuriens : chère abondante et succulente, horizons amènes, quiétude, joies de la baignade dans une piscine aux eaux claires.

III. — LE SIDOBRE

Mais le joyau du Castrais, c'est le Sidobre. On y va facilement d'Albi en faisant, si l'on veut, une halte, soit à la bastide de Réalmont, soit à Labessonnié, soit à Roquecourbe, emprisonnée dans le bras replié de l'Agout.

Moins de quatre lieues le séparent de Castres, moins de six de Mazamet. Et l'on peut le traverser, que l'on aille de la cité de Carcassonne à Lacaune, aux Gorges du Tarn, à Albi, ou de Béziers et Mazamet vers Gaillac ou Toulouse.

Nous aimons trop le Sidobre pour nous borner à la sèche formule du géographe : « Le Sidobre est une pénéplaine granitique s'élevant brusquement au Nord-Est au-dessus de l'Agout, puis s'abaissant doucement vers la plaine castraise. Cette pénéplaine affecte la forme d'un cône tronqué à base amygdaloïde dont les axes auraient environ deux lieues ».

Nous ne nous en tiendrons pas davantage à la définition du géologue : « Surgi des profondeurs du sol à la fin des temps primaires, ce batholite érodé, buriné par les eaux de ruissellement — et peut-être par de puissants torrents, ancêtres des rus actuels — se hérisse de rochers curieu- sement sculptés, d'entassement monstrueux défiant les lois de la pesanteur, de pierres tremblantes en faux équilibre sur une base rongée, de rivières de rochers ».

Pour nous, le Sidobre, c'est la nature défiant la raison humaine, posant un rocher énorme sur un socle fragile, permettant à l'enfant de mettre en mouvement un bloc

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pesant, élevant jusqu'aux nues des superpositions mena- çantes. Le Sidobre, c'est la solide colonnade d'une hêtraie odorante; c'est le filet d'eau tombant dans une conque sonore, musant sur un lit de mousse puis jouant à cache-cache entre les pierres bizarrement affrontées d'un chaos; c'est le hameau ruiné à côté de la carrière aban- donnée; ce sont les chantiers où de rudes gaillards débitent le dur granit avec leurs coins, leurs marteaux, leurs ciseaux; c'est surtout cette région si petite et pourtant si peu connue, où l'on a la joie de découvrir sans cesse des phénomènes naturels, des sites vierges admirables.

Ce Sidobre, qui le connaît?

IV. — CONNAISSANCE DU SIDOBRE

« La plus part des hommes, écrivait Peïre Borel, ont accoustumé de se rendre plus sçavans des païs estrangers que de leur propre patrie, mesprisans mesme ce qui s'y trouve de remarquable. »

Peut-être l'illustre médecin castrais pensait-il au Sidobre en faisant cette remarque. Les contemporains de Mazarin étaient excusables. Des routes peu nombreuses où les carrosses s'embourbaient, une végétation quasiment vierge arrêtant toute incursion, rien pour inciter à la visite si ce ne sont les quelques phrases consacrées au Sidobre dans un livre que Guillaume de Nautonnier, seigneur de Castelfranc, imprima lui-même en 1603, sur les presses de son château de l'Oulmarié. Borel, en ses « Antiquités de Castres », sorties en 1639, vante, le premier, avec un certain lyrisme, les beautés de la Rouquette et les rochers curieux que l'on rencontrait près de Lacrouzette. Exac- tement cent ans après la publication du traité du médecin castrais, le Sidobre reçut ses lettres de noblesse par un article de la revue du temps, le « Mercure françois ».

Nous ignorons tout de son auteur, un certain Marcorelle, mais nous lui faisons sa place dans le Panthéon sidobrien.

Les écrivains romantiques de la région se tournèrent vers ce coin d'Armor, hérissé de menhirs naturels, s'enfon- cèrent, comme René dans la lande bretonne, en ce pays étrange; ils y cherchèrent les traces des druides ou les signes ésotériques du passage des Parfaits cathares, pour

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L E V I L L A G E

DE S A I N T - S A L V Y - D E - L A - B A L M E

LA C O L L É G I A L E D E B U R L A T S

L E C H A O S E T L E V I L L A G E DE S A I N T - S A L V Y - D E - L A - B A L M E

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q u i l e g r a n i t é t a i t l a p i e r r e p u r i s s i m e , n é e d u f e u p r e m i e r . M a g l o i r e N a y r a l é m i t , e n 1 8 3 7 , u n e t h é o r i e b i e n d i g n e d e s o n é p o q u e , s u r l ' o r i g i n e d e s m o n u m e n t s s i d o b r i e n s q u ' i l a t t r i b u e à l a r e l i g i o n d e s p i e r r e s l e v é e s . A p r è s l u i , d e s h i s t o r i e n s : l e c h e v a l i e r D u M è g e , l ' i n s t i t u t e u r B o n h o u r e ; d e s g é o l o g u e s : B o u c h e p o r n , R o u x d u C a r l a , L e y m e r i e e t s u r t o u t C a r a v e n - C a c h i n , é c r i v i r e n t s u r l e S i d o b r e d e s t r a i t é s d e d i m e n s i o n s e t d e v a l e u r i n é g a l e s . E n f i n N a u z i è r e s v i n t . C e f i l s d u t e r r o i r , d o n t l e p è r e é t a i t d e C a s t r e s e t l a m è r e d e B r a s s a c , c e t o u r i s t e i n f a t i - g a b l e q u i f i t l e t o u r d u m o n d e , c e t é c r i v a i n d e t a l e n t , c e t é r u d i t c o n s c i e n c i e u x , c e v i v e u r i n s a t i a b l e , n e f u t f i d è l e q u ' à u n a m o u r : c e l u i d e s o n p e t i t p a y s . I l p a r c o u r u t m i l l e f o i s l e p l a t e a u g r a n i t i q u e , e n i n v e n t o r i a l e s r i c h e s s e s a r c h é o l o g i q u e s e t t o u r i s t i q u e s , d o n n a u n n o m a u x r o c h e r s c u r i e u x , r é d i g e a e n f i n u n e p l a q u e t t e q u i r é s u m e t o u t c e q u ' i l a v a i t a p p r i s e t d é c o u v e r t . L e p r o f e s s e u r C a t h a l a , e n 1 9 0 8 , p u b l i a u n e m o n o g r a p h i e i n t é r e s s a n t e . L ' a b b é G a u t r a n d , f i l s d e L a c r o u z e t t e , a j o u t a , e n 1 9 2 0 , u n e n o t i c e s u r l e s c u r i o s i t é s d u S i d o b r e , à s o n « H i s t o i r e d u C a n t o n d e R o q u e c o u r b e » .

N a u z i è r e s e s t m o r t e n 1 9 4 0 . M a i s s e s d i s c i p l e s : M M . B a l a y é , B e l , P a u l , G é n a r t , l e D R o u a n e t , o n t p o u r - s u i v i l e u r p r o s p e c t i o n . L e s m i s e s a u p o i n t d e q u e l q u e s é r u d i t s : R a m i è r e d e F o r t a n i e r ( 1 9 3 2 ) , M M a y n a d i e r ( 1 9 3 5 ) , M . l ' a b b é E s c a n d e e t M . T h i é b a u t ( 1 9 5 0 ) , o n t e n r i c h i l e l o u r d d o s s i e r .

I l a p p a r t i e n t à d e u x « A m i s d u S i d o b r e » d e d o n n e r , p o u r l a p r e m i è r e f o i s , u n g u i d e p r a t i q u e . M M . D e n i s e t C o l r a t o n t l u t o u t c e q u i a é t é é c r i t s u r l e S i d o b r e ; p u i s , p e n d a n t d e l o n g s m o i s , i l s o n t c o n s a c r é t o u s l e u r s l o i s i r s à a r p e n t e r b o i s e t l a n d e s . I l s o n t r e t r o u v é t o u s l e s s i t e s q u ' a v a i e n t s i g n a l é s l e u r s d e v a n c i e r s ; i l s n o u s e n i n d i q u e n t q u e n u l e n c o r e n ' a v a i t r e m a r q u é s .

M M . C o l r a t e t D e n i s s e d é f e n d e n t d ' a v o i r f a i t œ u v r e l i t t é r a i r e . R a n d o n n e u r s , c a m p e u r s , a m i s d e l a n a t u r e , i l s s ' a d r e s s e n t à l e u r s s e m b l a b l e s , a u x a j i s t e s , a u x c a m p e u r s , a u x t o u r i s t e s . D a n s u n s t y l e i m p l a c a b l e m e n t c o n c i s , i l s d é c r i v e n t d e s c i r c u i t s l o n g u e m e n t é t u d i é s , j a l o n n é s a v e c p r é c i s i o n , c o m p l é t é s p a r l e s r e n s e i g n e m e n t s l e s p l u s u t i l e s : p o i n t s d ' e a u , l i e u x d e c a m p i n g , h ô t e l s , c a f é s , p o s s i b i l i t é s

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d e d é p a n n a g e , d ' a p p r o v i s i o n n e m e n t , r e s s o u r c e s l o c a l e s d i v e r s e s . D e s c r o q u i s s i m p l e s , d e s c a r t e s b i e n l i s i b l e s , u n p l a n d i r e c t e u r é c l a i r e n t u n t e x t e o ù a u c u n m o t n ' e s t i n u t i l e .

A u n o m d e s « A m i s d u S i d o b r e » , q u i l e u r o n t c o n f i é c e t t e m i s s i o n , n o u s l e s a s s u r o n s q u ' i l s o n t b i e n m é r i t é d e l a p e t i t e p a t r i e , e t n o u s l e s r e m e r c i o n s c o r d i a l e m e n t .

É t i e n n e G R I L L O U ,

S e c r é t a i r e g é n é r a l d e s « A m i s d u S i d o b r e » .

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M A Z A M E T L A G O R G E D E L ' A R N D O M I N É E P A R L E C H A T E A U D E M O N T L E D I E R

U N C O I N D E F O R Ê T

L ' I N D U S T R I E C A R A C T É R I S T I Q U E D E M A Z A M E T : L E D É L A I N A G E ( P E L E U S E S A U T R A V A I L )

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