insertion professionnelle et parcours des diplômés TRAJECTOIRES

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inse rtio n pro fess ionn elle et par cour s des dipl ômés

TRA JEC TOI RES

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SITUATION DES DIPLÔMÉS

5 % 6 %

84 %

Recherche d'emploi, congé sabbatique et parental

4 %

Volontariat international en entreprise Études

complémentaires

Activité professionnelle

3 %

dont

3 %

ont crée leur entreprise

ILS ONT TROUVÉ UN EMPLOI

84% des jeunes diplômés ont signé leur contrat dans les trois mois après leur sortie de l'école

AVANT D'ÊTRE DIPLÔMÉ DE 0 À 3 MOIS EN - DE 6 MOIS

52 % 84 % 97 %

Trajectoires 01 Télécom École de Management

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SALAIRES

39 300 €

Salaire brut annuel moyen

84 %

sont en CDI

93 %

sont cadres

À 39 300 euros bruts annuels, le salaire moyen est en hausse par rapport à l'année 2011

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CHRISTIAN BOMBRUN

POURQUOI AVEZ-VOUS CHOISI TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT ?

J’ai choisi cette école car étant dans une classe préparatoire scientifique (Math Spé), je me suis aperçu que j’étais davantage attiré par une école de management, tout en ayant un intérêt fort pour les technologies. Télécom École de Management était l’école pour moi, c’était un vrai choix, pas une école dans un classement !

QUEL PARCOURS AVEZ-VOUS SUIVI À TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT ? J’ai suivi la filière Ingénierie des systèmes d’informations. J’ai été diplômé en 1994, internet était encore balbutiant à cette époque, mais la maison des élèves était déjà câblée et connectée !

COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉ À VOTRE POSTE CHEZ M6 ?

J’ai rejoint le groupe M6 après 9 ans dans le groupe CANAL+, ou j’avais notamment lancé avec succès les offres mobiles et vidéo à la demande du groupe, notamment Canalplay. Après cette expérience, je cherchais de nouveaux challenges avec le souhait d’élargir mon spectre managérial. Nous nous sommes naturelle- ment rencontrés avec M6, qui cherchait à donner une nouvelle dynamique à son développement dans les nouveaux médias.

EN QUOI CONSISTE VOTRE POSTE ?

Je suis responsable de l’ensemble des Business Units de M6 Web, et donc de l’intégralité du chiffre d’affaires de la filiale qui est d’environ 100 M€.

Mon travail consiste à animer un réseau de managers responsables de leurs activités, dans des domaines très variés : téléphonie mobile, jeux en ligne et

télévisés, sites de chaînes, M6 Replay, portails thématiques, comparateur de prix (AchetezFacile) et partenariats (Habbo…). L’ensemble représente une audience d’environ 12 millions de visiteurs uniques par mois.

AUJOURD’HUI, PENSEZ VOUS QUE « MANAGING THROUGH TECHNOLOGY » SOIT UNE DEVISE PERTINENTE POUR UNE BUSINESS SCHOOL ?

La technologie est un enabler qui permet de mieux gérer les entreprises, bien sûr.

Dans le secteur des médias, internet ou télécoms, le produit lui-même est de la technologie et du contenu.

On peut dire que mon quotidien est Managing Technology and Content.

GARDEZ-VOUS UN SOUVENIR PARTICULIER DE VOTRE PASSAGE À TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT ?

Passionné d’internet dès cette époque, je suis resté à Télécom École de Manage- ment une année juste après mes études pour travailler sur la création de la majeure Projets audiovisuels et multimédias de l’école, actuellement dispensée en troisième année.

COMMENT IMAGINEZ-VOUS LA TÉLÉVISION DANS 10 ANS ?

La télévision va continuer d’évoluer comme elle l’a fait depuis toujours, avec l’arrivée de la HD, la 3D, la télévision de rattrapage. Actuellement nous assistons à l’essor de la Social TV, avec la faculté de participer via les réseaux sociaux dans son programme favori. Il y a aussi le phénomène du « deuxième écran » : la faculté d’utiliser son smartphone ou sa tablette pour interagir avec l’écran de télévision.

M6 WEB

DEPUTY GENERAL MANAGER

Christian Bombrun a suivi le cursus Ingénierie des systèmes d'information de Télécom École de Management. Il est responsable de l'ensemble des Business Units de M6 Web.

19

94

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FAMILLE DE MÉTIERS

28 %

conseil

14 %

marketing

10 %

système d'information

08 %

audit

8 % des diplomés travaillent dans le domaine administratif 8 % exercent une fonction commerciale

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ANNE-SOPHIE HAJJAR

Pour disposer d'une formation à la fois technique et management, un véritable atout pour travailler et progresser dans des groupes internationaux comme Schneider Electric.

QUELLE MAJEURE AVEZ-VOUS SUIVIE À TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT ? La majeure Paris-Dauphine durant les deux premières années, puis la 3e année en MBA à l'Université Laval au Canada.

COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉE À VOTRE POSTE CHEZ SCHNEIDER ELECTRIC ? À la sortie de Télécom École de Management, j'ai effectué deux stages chez Hewlett Packard, à la suite desquels j'ai été embauchée au Centre de Recherche Européen de Xerox pour occuper un poste d'Ingénieur Marketing. J'ai ensuite été recrutée par Schneider Electric en 2005 au poste de Communication Manager en charge de la stratégie promotionnelle de nouvelles offres. Depuis 2010 je suis responsable du Marketing des offres de Control & Monitoring de la distribution électrique terminale.

Schneider Electric est présent dans plus de 100 pays. En lien avec l'ensemble des Managers Marketing des pays, je fais évoluer ma ligne de produit qui est commercialisée mondialement : définition de la roadmap des produits, étude de la rentabilité, promotion des offres auprès des différents canaux d'accès, définition des spécifications marketing dans le cadre des projets… Mon poste est très varié et comporte une forte composante technique et internationale.

TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT VOUS A-T-ELLE APPRIS DES CHOSES QUI VOUS SONT AUJOURD’HUI UTILES DANS VOTRE TRAVAIL ?

Savoir allier performance technique et économique est au coeur de ma mission quotidienne. Une formation à la fois technique et managériale est indispensable dans ce contexte.

AUJOURD’HUI, PENSEZ VOUS QUE « MANAGING THROUGH TECHNOLOGY » EST UNE DEVISE PERTINENTE POUR UNE BUSINESS SCHOOL ?

Je suis persuadée que le management sans technologie et la technologie sans management ne peuvent être sources de croissance pour une entreprise. Il est important de former nos futurs managers à la gestion de ces deux dimensions.

SCHNEIDER ELECTRIC

MARKETING OFFER MANAGER

Anne-Sophie Hajjar a fait sa 3^e année en MBA à l'université Laval au Canada.

Elle s'occupe des offres de Control & Monitoring de la distribution électrique terminale de Schneider Electric, un poste aux compétence techniques et managériales.

19

97

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(9)

(10)

24 %

ZOOM SUR secteur d'activité

conseil

15 %

13 % 12 %

7 % 7 %

5 %

Finances Banques Assurance

Transport

Industrie Énergie

Administration publique

BTP

Opérateur télécom

SECTEUR D'ACTIVITÉ

41 %

^Société^de

conseil

15 %

Technologies

del'information

10 %

Médias, Edition Audiovisuel

Jeux vidéo

8 %

^Finance^Banque

Assurance

8 %

^Audit

8 %

^Télécoms

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JOANNA TRUFFAUT

Pour sa double formation en management et en ingénierie télécom. En CM2, on m'a demandé ce que je voulais faire plus tard. Je venais de voir une émission à la télé sur l'informatique et comment l'ordinateur allait révolutionner un jour notre quotidien. Je n'avais pas tout compris mais cela m'avait vraiment plu ! J'avais trouvé ma vocation et Télécom École de Management était la voie d'apprentissage naturelle.

COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉE À VOTRE POSTE À DUBAÏ ?

En 3e année à Télécom École de Management, j'ai suivi la majeure ingénierie des affaires internationales en effectuant un double diplôme avec Virginia Tech aux États-Unis. Ensuite j’ai eu l’opportunité d'apporter mon expertise en Business Management Télécom/Media comme consultante à Dubaï, une mission qui s'est tout simplement transformée en contrat local.

POURQUOI ÊTES-VOUS PARTIE TRAVAILLER À L’ÉTRANGER ?

Après plusieurs années passées à l'étranger (États-Unis), j'avais très envie de repartir, car on ne revient jamais tout à fait la même personne dans son pays d'origine lorsqu'on a vécu plusieurs années auprès d'une autre culture.

EN QUOI CONSISTE VOTRE JOB ?

Après avoir été Head of Business Development pour une spin off de l'opérateur télécom (du) pour lequel je travaille, une opportunité s'est présentée dans la Investment Holding de ce même opérateur télécom où je suis Senior Management Investment Support.

Mon rôle évolue autour de trois axes principaux : le management des processus d'investissement, la gouvernance et les opérations des ventures dans lesquelles nous investissons.

TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT VOUS A-T-ELLE APPRIS DES CHOSES QUI VOUS SONT AUJOURD’HUI UTILES PROFESSIONNELLEMENT ?

La double culture management ingénieur m'est utile au quotidien. Je travaille depuis 11 ans dans des environnements innovants où la technologie est omnipré- sente. Ma formation à Télécom École de Management m'a appris à maîtriser le langage des technologies, du business et à gérer des équipes multidisciplinaires sur des projets de grande envergure.

AUJOURD’HUI, PENSEZ VOUS QUE « MANAGING THROUGH TECHNOLOGY » SOIT UNE DEVISE PERTINENTE POUR UNE BUSINESS SCHOOL ?

Pour moi, Télécom École de Management n'est pas simplement une Business School. C'est l'école qui prépare les leaders TMT (Télécom, Media, Technology) de demain.

L'équipe BDE "Equinox" qui a laissé une empreinte importante par la suite !

DU (EMIRATES INTEGRATED TÉLÉCOMMUNICATIONS COMPANY) SENIOR MANAGEMENT INVESTMENT SUPPORT

Joanna Truffaut a suivi le cursus Ingénierie des affaires internationales Télécom École de Management.

20

00

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27 %

20 à 249 salariés

30 %

plus de 50 000 salariés

43 %

250 à 50 000 salariés

60 %

79 %

⁹^% ¹²^%

OÙ TRAVAILLENT LES JEUNES DIPLÔMÉS ?

ont un métier lié à l'international Paris

et sa région autres

régions autres pays

Taille de l'entreprise

Un tiers des diplômés travaille dans de grands groupes de plus de 50 000 employés

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GEORGINA LOTH

Après Math Sup et Math Spé, je ne voulais pas me destiner à une carrière d’ingénieur pur. Télécom École de Management m’apportait la complémentarité que je recherchais avec cette formation en management enrichie de connaissances scientifiques et technologiques. J’avais pour ambition de me tourner vers le monde des médias et des technologies pour exercer mon métier dans le domaine du sport, qui me passionne.

Télécom École de Management m’offrait cette possibilité dans le cadre de sa majeure Projets audiovisuels et multimédias.

COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉE À VOTRE POSTE À LA FFT ?

Dans le cadre de ma majeure de 3e année, Projets audiovisuels et multimédias, j’avais un projet de 100 heures à faire. J’ai contacté les personnes que j’avais rencontrées à la FFT en travaillant chez IBM (partenaire de Roland-Garros) pour mon année en entreprise, et je leur ai proposé mes services. Je suis intervenue sur l’écriture du cahier des charges pour le passage de la régie vidéo du stade Roland-Garros du tout analogique au tout numérique. Pendant ce travail, un poste s’est libéré et il correspondait complètement à mon profil : Chargé de Business Développement Multimédia.

Je suis aujourd’hui Adjointe au Directeur Média et Partenariat. Notre direction représente presque 60 % du chiffre d’affaire de Roland-Garros. J’ai plusieurs rôles. Tout d’abord un rôle de « carbone » pour mon directeur, je dois avoir le

même niveau d’information et être capable de le remplacer en son absence ou de le soulager sur certain sujet. J’ai également un rôle d’aide aux réflexions stratégi- ques de la direction. Je suis les différentes négociations de droits TV. Enfin, j’ai un rôle transversal au sein de la FFT, dans le cadre de la gestion de projets. Par exemple, je suis en charge de la refonte du site FFT.FR, des activités autour des paris en ligne, des applications mobiles, etc.

TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT VOUS A-T-ELLE APPRIS DES CHOSES QUI VOUS SONT AUJOURD’HUI UTILES DANS VOTRE TRAVAIL ?

Oui, la gestion de projet bien sûr, mais également des bases en droit et des connaissances indispensables sur les nouvelles technologies.

La vie de campus, les bons moments sportifs, la campagne BDE et les galas sont d’excellents souvenirs ! Et je garde particulièrement en mémoire l’organisation de l’open IT, un tournoi de tennis où l’école accueille des joueurs et joueuses de niveau international.

FÉDÉRATION FRANÇAIS DE TENNIS (FFT)

ADJOINTE AU DIRECTEUR MÉDIA ET PARTENARIAT

Georgina Loth a suivi la majeure Projets audiovisuels et multimédias de Télécom École de Management. Elle occupe aujourd'hui le poste d'Adjointe au Directeur Médias et Partenariat de la Fédération Française de Tennis (FFT), en charge de la gestion de projets et aide aux réflexions stratégiques de la direction.

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04

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MARIE NICCOLINI-MODINI

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Après 2 ans de prépa je voulais vraiment intégrer une école différente des écoles de commerce classiques. J’ai été attirée par le fait que Télécom École de Manage- ment est la seule école de commerce française à partager son campus avec une école d’ingénieurs.

La double compétence et la mixité des cultures managériales et techniques donnent vraiment un avantage aux jeunes diplômés quand ils doivent se vendre sur le marché du travail français ou international.

QUEL PARCOURS AVEZ-VOUS SUIVI À TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT ? J’ai toujours été très intéressée par le tourisme en général et l’hôtellerie de luxe en particulier. C’est une industrie très internationale qui demande un niveau bilingue en anglais/français et une connaissance approfondie des marchés internationaux.

C’est pourquoi j’ai décidé de suivre la majeure Ingénierie d’affaires internationales puis un stage professionnel de 7 mois à Hong Kong en tant qu’Assistante Marketing pour une entreprise locale.

COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉE À VOTRE POSTE CHEZ MARRIOTT INTERNATIO- NAL À SAN DIEGO ?

Mon expérience à Hong Kong a été une vraie révélation personnelle et professionnelle et j’ai décidé de rester vivre à l’étranger en suivant un Master Spécialisé en Management Hôtelier International en Australie pendant 6 mois.

J’ai commencé à travailler pour Marriott International directement après en tant que Food & Beverage Assistant Manager à l’hôtel Marriott Brisbane. Après 2 ans

j’ai été promu Responsable du département Banquets & Conférences en charge d’une équipe de 20 personnes (encadrement, hôtesses, chefs de rang, etc.).

Après 4 ans en Australie, mon mari australien s’est vu offrir un emploi de chercheur à l’Université de Californie basée à San Diego aux États-Unis. J’ai donc été transférée à l’hôtel Marriott International de San Diego en tant que Chef de Projet Événementiel.

En tant que Chef de Projet Événementiel, je suis responsable des réceptions privées et des séminaires d’entreprises organisés dans l’hôtel pour des groupes de 15 à 300 personnes. Tout d’abord, je reçois les clients et planifie avec eux l’événement : tarif, menu, décoration des salles... Je m’adapte pour répondre au mieux à leur demande.

J’essaie, chaque fois, de mettre en place des nouveautés, des détails originaux pour rendre l’événement unique. Puis je travaille en collaboration avec les cuisines et le service hôtelier pour tout organiser.

Le jour « J », je suis sur le terrain pour m’assurer que tout se déroule bien. Le chiffre d’affaires varie de 5 000 euros à 200 000 euros par événement et c’est ma responsabilité de m’assurer que tout se passe au mieux et répondre aux attentes de mes clients.

Être manager dans un hôtel de luxe demande beaucoup de relations interperson- nelles, une constante attention au moindre détail, une parfaite connaissance de la restauration haut de gamme et de ses trends/produits. Les journées sont parfois très longues mais l’industrie hôtelière est une réelle passion.

MARRIOTT GASLAMP QUARTER SAN DIEGO CONVENTION SERVICES COORDINATOR

Marie Niccolini-Modini a suivi la majeure Ingénierie des affaires internationales de Télécom École de Management

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TÉLÉCOM ÉCOLE DE MANAGEMENT VOUS A-T-ELLE APPRIS DES CHOSES QUI VOUS SONT AUJOURD’HUI UTILES PROFESSIONNELLEMENT ET/OU PERSON- NELLEMENT ?

Pouvoir suivre une majeure en anglais, partir en stage long à l’étranger et être en constant contact avec des étudiants et professeurs ingénieurs, managers, français ou étrangers avec des backgrounds différents et variés est un plus que l’on ne trouve pas dans d’autres grandes écoles. Avoir la possibilité de travailler en groupe avec des ingénieurs a développé mon gout pour l’innovation et les nouvelles technologies.

La richesse de la vie associative au sein du campus apporte des bénéfices essen- tiels dans le cursus d’un manager. Les clubs et associations dont j’ai fait partie ont joué un rôle très important dans ma vie professionnelle et personnelle, par exemple l’AIESEC m’a permis de trouver un stage professionnel très intéressant à Hong Kong que je n’aurai pas pu obtenir sans leur réseau et leur soutien.

AUJOURD’HUI, PENSEZ-VOUS QUE « MANAGING THROUGH TECHNOLOGY » SOIT UNE DEVISE PERTINENTE POUR UNE BUSINESS SCHOOL ?

Nous vivons dans un monde basé sur les nouvelles technologies et systèmes de communication et je pense qu’un bon manager est quelqu’un qui sait s’adapter au changement, répondre à l'évolution des technologies et innover quotidiennement dans ses méthodes de management et de communication. Cela est vrai pour tout Télécom École de Management a toujours été à la pointe des nouvelles technologies d'aujourd'hui et de demain.

Il y en a beaucoup ! Ma participation au 4L Trophy, la campagne BDE, ou encore

mon premier cours d’UNIX où je suis sortie discrètement de la classe en pensant que c’était un cours de programmation pour les ingénieurs de 3e année ! QUE PENSEZ-VOUS DE LA PLACE DES FEMMES DANS LES POSTES À RESPON- SABILITÉ AUX ÉTATS-UNIS PAR RAPPORT À LA FRANCE ?

Il y a de plus en plus de femmes dans les postes à responsabilités que ce soit en France comme aux États-Unis, malheureusement je pense qu’elles restent limitées à des postes de cadres supérieures et atteignent rarement les postes de direction générale. On trouve beaucoup de femmes dans les ressources humaines ou le marketing mais je pense que l’on a besoin de plus de femmes avec des responsabilités opérationnelles ou en tant que chef d’équipe.

QUELLE EST LA RECETTE POUR MANAGER UNE ÉQUIPE INTERNATIONALE À L'ÉTRANGER ?

Que ce soit à Hong Kong, en Australie, aux États-Unis ou en France ma recette Dans un environnement international il est encore plus difficile de se faire respecter en tant que leader car vous êtes diffèrent. Et les gens se méfient de tout ce qui est différent. C’est pour cela qu’il est très important de bien connaître et comprendre toutes les taches à accomplir. Il faut aussi savoir être à l'écoute et reconnaître la valeur de chaque personne, du groupe et de ses responsabilités.

Mon plus grand challenge a été d’améliorer mon niveau en anglais et de perdre mon accent français aussi rapidement que possible pour avoir complètement confiance dans ma communication orale. Cela implique d'être complètement immergée dans la culture locale et vivre comme les gens avec qui je travaille pour mieux comprendre leurs ambitions et challenges.

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EVRY

9, rue Charles Fourier 91011 Evry Cedex

PARIS 46, rue Barrault 75654 Paris Cedex 13 www.telecom-em.eu

infos@telecom-em.eu +33 (0)1 60 76 43 36

MANAGING THROUGH TECHNOLOGY

design www.lespolygraphes.com - photos A.Chézières - picto : Nicola Vendramin, Sergi Delgado, Ben King from the Noun Project Fondée en 1979, Télécom École de Management est l’école de commerce leader en France sur

le management de l’économie numérique. Accréditée AACSB et AMBA, l’école est 41e au classement mondial du Financial Times des meilleurs masters en management.

Télécom École de Management est la Business School de l’Institut Mines-Télécom, premier groupe d’écoles d’ingénieurs de France, sous tutelle conjointe des ministères du Redressement productif et de l’Economie numérique. Dirigée par Denis Lapert, l’école compte 1 200 étudiants, 76 enseignants-chercheurs et 5 000 diplômés.

Chaque année, l’école et l’association des diplômés réalisent et publient une enquête d’insertion. Elles présentent ici les niveaux de salaire, les secteurs d’activité des jeunes diplômés de Télécom Ecole de Management et leur situation professionnelle fin 2012, ainsi que des interviews de diplômés de l’école toutes promotions confondues.