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Les approches structurales sont-elles dépassées ?

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Images, textes et sociétés

A c tu a lité des ap p ro ch es s tru c tu rales

Les

approches

sont-elles dépassées ?

Henri Paul Francfort (UMR ArScAn - Asie)

Au m om ent où l'archéologie post-structurale e t son relativisme subjectiviste sem blent triompher, notam m ent dans le dom aine d e l'interprétation d e certaines images, il p e u t être intéressant d e s'interroger sur une possible actu alité des approches structurales.

Les a p p ro c h e s structurales ont joué un rôle capital, mais indirect, en archéologie, e t notam m ent dans le dom aine d es interprétations d'im ages, com m e on peut le montrer aisém ent à l'aide d e trois illustres exem ples : Leroi-Gourhan, Dumézil e t Claude Lévi-Strauss.

C e texte s'appuie, outre les écrits originaux notam m ent sur les analyses d e I. Strenski (1987), M .Groenen (Leroi-Gourhan 1992), D. Dubuisson (1993).

Leroi-Gourhan a appliqué une ap p ro c h e structurale à l'art pariétal d e l'Europe du paléolithique supérieur, com m e l'a fait, à p e u près à la m êm e époque, Laming-Emperaire dont il convient d e dire quelques mots ici.

A n n e tte Laming-Emperaire

Laming-Emperaire se proposait d e : «travailler a u d é p a rt d 'u n m o d èle m éthodologiquem ent pertinent e t applicable à la préhistoire. Or, il en est un : celui q u e Claude Lévi-Strauss propose d a n s son travail sur les structures élém entaires d e la p arenté ».

Se fondant d o n c sur l'idée d'un é c h a n g e d e fem m es réciproque d a n s toutes les sociétés c o n c ern é es, Laming-Emperaire la m et en rapport a v e c les répartitions symétrique e t symétrique inverse d e s figures sur les parois des grottes. Par conséquent, suivant c e m odèle, les symétries inverses e t alternées représentent d e s systèmes sociaux :

• animaux d e m êm e e s p è c e e t d e sexe différents = union d an s le clan ; • animaux d 'e s p è c e s différentes e t d e sexe différent = union entre clans ; • animaux d 'e s p è c e s différentes e t d e m êm e sexe = alliance.

Et en fin d e c o m p te , elle pensa déceler un symbolisme binaire, où le b œ u f représentait le principe m âle e t le cheval le principe femelle.

A ndré Leroi-Gourhan

Leroi-Gourhan, com m e l'on sait, arrivera à d es résultats e x a c te m e n t opposés. Pour sa part, il rejette tout com paratism e ethnographique et s'affranchit du niveau interprétatif social. Il considère q u e la grotte est un sanctuaire organisé, qu'il prend dans une perspective synchronique ( c e q u e nous savons aujourd'hui ê tre inexact, mais c e n'est pas le point qui nous importe ici). Com m e nous le savons tous, il s'est livré à une é tu d e statistique d e g ra n d e ampleur des signes e t des représentations figuratives, introduisant d e s associations ainsi q u e la position spatiale d e l'im age dans la grotte (Leroi-Gourhan 1971).

I isolait ainsi un sc h ém a fondam ental cheval-boviné-bouquetin, qui aurait é té le m o d èle stéréotypé d'un mythe perdu. Son interprétation était q u e le bison (boviné) représentait le principe fem elle e t le cheval le principe mâle. La g e n è se d e c e tte interprétation se situe dans la répartition des signes minces (considérés

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Im ages, textes e t so ciétés

Toutefois Leroi-Gourhan n'était p as dogm atiquem ent a tta c h é à c e tte interprétation, il a admis p a r la suite q u e d e s variations avaient pu se produire au cours du tem ps e t a un p e u plus élab o ré son système, notam m ent en introduisant les qualités d'unicité ou d e variété d a n s le binôm e fem elle-m âle toujours représenté par les animaux e t les signes opposés. Pour finir, il écrit sim plem ent que « si le fouillis règ n e dans certaines cavernes, c 'e st loin d'être un fouillis inorganique ».

J e passe sur les diverses critiques qui ont é té o p p o s é e s à c e systèm e et à l'interprétation pour retenir les points suivants des préhistoriens structuralistes :

• effort pour reconnaître ou appliquer un ordre dans un d o n n é perçu com m e ch ao tiq u e (p arce que couram m ent considéré a priori com m e « primitif ») ;

• reconnaissance d e l'intérêt d'utiliser d e s procédures logiques e t m athématiques, m êm e simples ;

• élimination du niveau social d es interprétations ( » m âle » e t « fem elle » ne renvoient plus à des catégories sociales).

G eorges Dumézil

Dumézil peut ég ale m e n t être considéré c o m m e important dans la perspective structuraliste, in d ép en d am m en t d e la question d e savoir s'il convient d e le brûler ou non e t in d épendam m ent des critiques d e fond (Eribon 1992).

En effet, bien qu'il n'ait presque rien écrit concernant les antiquités matérielles ou les représentations — je ne connais q u e deux com m entaires d e monuments figurés, tous deux d e l'Iran du Ile millénaire : une plaq u e du Louristan e t le vase d e Hasanlu (Dumézil 1994 : 87-99) —, certains d e ses continuateurs utilisent la c é lè b re tripartition dite indo-européenne, et, plus particulièrement, dans le d o m aine indo-iranien, en faisant a p p e l à l'archéologie ainsi qu'aux images —je rappelle : fonction royale souveraine, do u b le ; fonction s a c e rd o ta le ; fonction productrice, multiple.

Mais pour la question qui nous intéresse ici, il est plus important d e noter q u e Dumézil, ayant bénéficié d e l'apport théorique d e l'école sociologique française e t d e la gram m aire c o m p a ré e , a d 'a b o rd a d o p té un point d e vue spéculaire, considérant que la tripartition indo-européenne était un reflet d'une société elle- m êm e tripartite. 0 s'est ainsi très vite trouvé enferm é dans une impasse, celle d e la circularité so c ié té- id éo lo g ie. 6 a d o n c dû, dans les années 1950, a b a n d o n n e r la vision spéculaire e t a d o p te r la notion (et le term e) d e structure qu'il a ap p liq u ée à un niveau d 'é tu d e a p p e lé « idéologique », flottant entre la société sur terre e t les idées ailleurs. Il ne s'est do n c m êm e plus p o sé la question d e l'historicité d'une ancienne société indo-européenne tripartite. Ainsi, a-t-il pu produire une œ uvre considérable, d'orientation g én étiq u e e t com paratiste, dans un cadre linguistique unifié.

Finalement, et je n'irai pas plus loin ici a v e c Dumézil, lui aussi, mais sans m ath ém atiq u e aucune, a d 'a b o rd trouvé (ou cherché à mettre) un certain ordre logique dans un chaos préexistant. Il est frappant d e noter qu'il a ensuite a b a n d o n n é aussi le niveau social d e l'analyse.

C la u d e Lévi-Strauss

Avec C laude Lévi-Strauss, nous abordons une œ uvre très riche et polym orphe, dont seuls quelques a s p e c ts nous retiendront ici. L'application du structuralisme aux structures d e la p are n té e t aux mythes amérindiens est archi-connue, co m m e le sont les critiques qui leur ont é té faites, e t je n'y reviendrai pas. De notre côté, C laude Lévi-Strauss a peu écrit sur la culture matérielle e t les représentations im agées. I répond (1979, 1944-45, 1974 : 276-325,1996) c e p e n d a n t aux reproches faits à la perspective synchronique :

« Loin, donc, que l'introduction des m éth o d es structuralistes dan s une tradition critique p ro c é d a n t essentiellement d e l'historicisme pose un problèm e, c 'e st l'existence d e c e tte tradition historique qui peut seule fournir une b a s e aux entreprises structurales » (1996: 324-325).

Pour s'en convaincre, il suffit d e se référer, dans le d o m ain e d e la critique d'art, à une œ u v re aussi pleinem ent e t totalem ent structuraliste q u e celle d'Erwin Panofsky. Car si c e t auteur est un grand structuraliste, c'est d 'a b o rd p a rc e qu'il est un grand historien, et q u e l'histoire lui offre, tout à la fois, une source d'information irrem plaçable e t un cham p com binatoire où «la justesse des interprétations p eut être mise à l'épreuve d e mille façons ». C e dialogue a v e c Panofsky se poursuit « e n reg ard an t Poussin », a v e c le com m entaire d e « e t h A rc a d ia eg o » (Lévi-Strauss 1993 : 9-40). À c e propos, on pourra voir aussi, en histoire d e l'art, les oppositions structurales binaires d e l'appréhension d e l'e s p a c e par la culture chez G. von Kaschnitz-Weinberg e t les

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Im ages, textes et so ciété s

Trouver l'ordre où règne le c h a o s

-En bref, l'ap p ro ch e structurale consiste (je résum e grossièrement) à : • d é g a g e r d e s oppositions binaires ;

• constituer d e s groupes d e relations, d e s m odèles ;

• à effectuer d e s transformations, perm utations sur les élém ents ou parties d e ces groupes e t en d é g a g e r d e s groupes d e transformations.

C ette m é th o d e se prête évidem m ent à une m odélisation m athématique, e t p eut s'appliquer tout aussi évidem m ent aux objets archéologiques (elle l'a é té e t l'est encore) e t aux images.

On rem arquera, ici en co re, q u e l'approche structurale, hormis le dom aine précis e t limité d e la parenté, s'applique à un niveau qui n 'e st pas celui des catég o ries du social, du fonctionnem ent d e la société ou d e l'économ ie. Mais on y trouve e n c o re une fois c e tte c o n sta n te d e faire apparaître l'ordre là où paraît régner le c h a o s (« primitif »), qui est bien visible dans Le totémisme aujourd'hui e t dans La pensée sauvage. Com m e on y trouve aussi c e tte autre c o n stan te d e l'effort d e m athématisation (symbolique ou statistique) e t c e tte troisième constante d e la non-application au d o m ain e social. « Les mythes reflètent les m écanism es auxquels est asservi l'exercice d e la p e n sée » écrit Lévi-Strauss à la fin d e La p o tiè re jalouse ou, dit plus crûm ent: les mythes exprim ent le fonctionnement du c e rv e a u humain (je renvoie ici au com m entaire d e D. S perb er sur c e t a s p e c t d u structuralisme lévi-straussien).

Lucien S cubla

Dans le d o m aine d e la mythologie, la question paraissait entendue, et l'œ uvre rester en l'état, a v e c ses symboles booléens, mais la question vient d e revenir sur le devant d e la s c è n e a v e c la publication ré c e n te du livre d e Lucien Scubla (1998), Lire Lévi-Strauss. Dans c e t ouvrage, Scubla utilise le formalisme m ath ém atiq u e d e la théorie d e s catastrophes d e Thom, tel qu'il a été em ployé par J. Petitot en sémiotique, pour modéliser la formule c a n o n iq u e d e Lévi-Strauss. C e tte formule, qui d a te d e 1955, s'écrit ainsi : Fx (a) : Fy (b) : Fx (b) : Fa-1 (y), c e qui donne, sur un exem ple d e La portière ja lo u s e : «la fonction «jalouse» d e l'engoulevent est à la fonction « potière » d e la fem m e co m m e la fonction « jalouse » d e la fem m e est à la fonction « engoulevent inversé » d e la potière ». Des critiques d e l'interprétation catastrophiste d e la formule c an o nique sont honnêtem ent ex p o sées par Scubla (1998 : 256): prém aturée et gratuite, ingénieuse mais stérile, plausible mais inco m p lète : « p la c a g e m athém atique tout fait sur un dom aine à peine conceptualisé » (Casajus). J e ne m 'étendrai p a s plus sur c e sujet e t m e contenterai d e souligner q u e Scubla, a v e c son formalisme, pense « e n g e n d re r une complexité structurelle couvrant à elle seule to u te la diversité des form es mythiques » ; mieux e n co re, c e tte formalisation conduit à une interprétation des rites sociaux c o m m e l'expulsion violente ou la mise à mort d'un personnage souverain ambigu. On retrouve ainsi le dom aine social, dom aine d e prédilection d e l'interprétation en arch éo lo g ie.

! est d o n c refusé par Lucien Scubla (1998 : 292) q u e la modélisation, structurale (ou autre), prenne la v oie cognitive, celle dite aussi du mentalisme ou matérialisme cérébral (bien qu'il ne s'agisse pas nécessairem ent d e la m êm e chose), c a r c e tt e voie est considérée com m e réductrice. En revanche, le formalisme catastrophiste perm ettrait d'insérer les sciences hum aines d an s les sciences d e la nature.

Conclusion

Pour conclure, il importe d'exam iner c e que l'archéologie a retenu d e c e tte é p o q u e . J e reprendrai les trois constantes d é g a g é e s d e s ap p ro ch es p ré c é d e n te s.

Trouver ou m ettre un ordre d a n s le chaos (« primitif»). C ela a conduit à deux te n d a n c e s :

• s'intéresser à la recherche e t à la mise en év id en ce d'ordres, d e régularités, d e classes d a n s le bric-à-brac d e s choses sorties des fouilles e t des prospections (éc o le CADA-LISH) ;

• ne plus considérer que les hom mes d'autrefois possédaient des m odes d e p e n s é e s prélogiques ou alogiques (et parfois l'hom m e paléolithique devient in a g e n t éco n o m iq u e rationnel).

M athém atiser. Cela a conduit à deux te n d a n c e s :

• utiliser d e s m athém atiques statistiques à valeur heuristique (analyse des données) e t à interpréter ensuite ;

• rechercher d e s formalismes possibles, parfois déjà utilisés dans des disciplines proches (la théorie des c a ta stro p h e s en archéologie est directem ent em pruntée à la sociologie).

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Images, textes e t so ciétés

D écoller du n iv e a u social d'interprétation. Les archéologues s'y sont toujours refusés, c a r c 'e st là le summum d e c e qu'ils croient pouvoir a v a n c e r c o m m e interprétations.

Et là se pose la question cruciale d e savoir c e que l'on souhaite interpréter : évoquer l'homm e d'autrefois au niveau des c a té g o rie s du social, socio-économ ique, socio-politique, ou bien approcher les raisonnements des hom m es d'autrefois, leurs schém as mentaux, com m e à l'aide d e la technologie appliquée à l'art au sens large, pour c e qui nous c o n c e rn e d an s c e thème. Les a p p ro c h e s structurales ont montré qu'elles ne s'attardaient g u è re d an s la prem ière d ém arch e, tandis qu'elles n'ont pas a p p o rté la preuve d e la validité d e leur a p p ro c h e d a n s la seco n d e.

S n'en d e m e u re pas moins q u e l'a p p ro c h e structurale dem eure souvent la seule possible en raison, lorsque les d o n n é e s chronologiques ou les référents interprétatifs externes (textes, ethnologie, etc.) sont défaillants. Eh c e sens, elles offrent le minimum que l'on attend du début d'une a p p ro c h e scientifique : la c o h é re n c e interne. Et c'est pourquoi, les a p p ro c h e s dites p o st-structurales nous sem blent vouloir hâtivement jeter « le b é b é a v e c l'eau du bain », surtout lorsque, co m m e souvent dans nos dom aines, les im ages sont « sans lég en d es ».

Un c a s en Bactriane protohistorique

J e présenterai ici un cas en Bactriane protohistorique : hiérarchie des hommes et d e s dieux (voir pour plus d e détails : Francfort 1994).

Une analyse d e l'orfèvrerie, des c a c h e ts, des bronzes bactriens, d a té s d e la seco n d e moitié du llle e t du début du Ile millénaire perm et d e proposer une hiérarchie des hom m es selon leurs vêtem ents (nu, court, long), leurs attitudes (agenouillé, d eb o u t, assis), leurs actions (assistant, agissant, observant). C ette hiérarchie pourrait refléter d e s classes d 'â g e ou d e s catégories sociales.

Une hiérarchie sem blable se retrouve chez des êtres ailés ou anthropozoom orphes, dragon, dieux ou héros, dont les rapports d'opposition e t d e domination dessinent une structure q u e l'on retrouve dans le m o n d e naturel chez les animaux, e t qui s'exprime égalem ent dans le choix des formes e t des m atières premières par les artistes : oppositions d e couleurs (stéatite, marbre), hiérarchie des pierres et des m étaux (or, argent, cuivre). La structure du « panthéon » ainsi restitué donne la préém in en ce à une divinité féminine ailée qui, assistée d'un ho m m e aquilocéphale, dom ine un dragon (lion, serpent, etc.), hostile aux herbivores. Le dragon peut subir une transformation e t apparaître sous un a s p e c t anthropomorphique.

Sans textes ni référents ethnologiques pour le dom aine considéré, la validité d e la structure proposée, sa c o h é re n c e interne, ne s'évaluent q u 'à l'au n e des nouvelles trouvailles (non-contradiction).

Éléments bibliographiques

Du buisson D. 1993. Mythologies du XXe siècle (Dumézil. Lévi-Strauss. Eliade). Lille : Presses universitaires de Lille. Racines & M odèles.

Duméal G. 1994. Le rom an des jum eaux. Esquisses d e mythologie. Paris : Gallimard. Bibliothèque des Sciences Humaines. Eribon D. 1992. Faut-il brûler Dumézil ? Paris : Flammarion.

Francfort H.-P. 1994. th e C e n ta l Asian dim ension of th e symbolic system in Bactria and Margiana. Antiquity. 68 (259). p. 406- 418.

Holly M. A. 1984. Panofsky and the foundations o f art history. Ithaca, London : Cornell University Press. LeroFGourhan A. 1971. Préhistoire de l’art occidental. Paris : Mazenod. L'art e t les grandes civilisations.

Leroi-Gourhan A. 1992 L‘ art pariétal, langage de la préhistoire. Présentation Marc Groenen. G re n o b le : Jérôme Millon. L'Homm e des Origines.

Lévi-Strauss C. 1944-45. Le dédo u b le m e n t d e ta représentation dans les arts de l'Asie e t de l'A m érique. Lévi-Strauss C 1974. Anthropologie Structurale. Paris :

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Strenski I. 1987. Four theories o f myth in twentieth-century history. Cassirer, Eliade. Lévi-Strauss and Malinowski. Iowa City : University of Iowa Press.

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Im ages, tex tes e t so ciétés

Statuette d e d é e s s e

C ach ets d e Bactriane

0 Sc b

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