• Aucun résultat trouvé

Terminoloy of adult glaucoma: Classification, anatomophysiology of the anterior segment, examination of the anterior segment, invasive treatment

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Terminoloy of adult glaucoma: Classification, anatomophysiology of the anterior segment, examination of the anterior segment, invasive treatment"

Copied!
153
0
0

Texte intégral

(1)

Master

Reference

Terminoloy of adult glaucoma: Classification, anatomophysiology of the anterior segment, examination of the anterior segment, invasive

treatment

MOLNAR, Timea Ines

Abstract

Glossaire bilingue anglais-français comprenant 101 fiches, assorti d'une introduction, de plusieurs schémas et d'un index.

MOLNAR, Timea Ines. Terminoloy of adult glaucoma: Classification,

anatomophysiology of the anterior segment, examination of the anterior segment, invasive treatment. Master : Univ. Genève, 2010

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:74929

Disclaimer: layout of this document may differ from the published version.

1 / 1

(2)

TIMEA MOLNAR

TERMINOLOGY OF ADULT GLAUCOMA

Classification, anatomophysiology of the anterior segment, examination of the anterior segment, invasive treatment

TERMINOLOGIE DU GLAUCOME DE L'ADULTE

Typologie, anatomophysiologie du segment antérieur, examen du segment antérieur, traitement invasif

***

english – french français – anglais

***

Mémoire présenté à l'École de traduction et d'interprétation pour l'obtention du Master en traduction, mention terminologie

Directeur de mémoire : Bruno DE BESSÉ Juré : Ian MACKENZIE

Université de Genève Avril 2010

(3)

Table des matières

Remerciements 4 1 Introduction 5 1.1 Présentation du travail 5

1.1.1 Choix du sujet 5

1.1.2 Objectifs du travail 6

1.1.3 Destinataires 6

1.1.4 Présentation du domaine 7

1.1.5 Délimitation du sujet 8

1.1.6 Méthodologie 9

1.1.7 Présentation des fiches 10

1.2 Étude d'un problème rencontré : élaboration d'une typologie du glaucome 15

1.2.1 Introduction 15

1.2.2 Critères de classification 15

1.2.3 Arbre de domaine « Typologie » 17

1.2.4 Les termes « artificiels » 19

1.2.5 Conclusion 22

2 Liste des sources 24 2.1 English sources 24

2.1.1 Major reference works 24

2.1.2 Background reference works 26

2.1.3 Dictionaries 27

2.2 Sources en français 27

2.2.1 Ouvrages de référence dépouillés 27

2.1.2 Ouvrages de référence non dépouillés 29

2.1.3 Ouvrages de type linguistique 30

3 Experts consultés 31 3.1 English experts 31

3.1.1 Field experts 31

3.1.2 Linguistic expert 31

3.2 Experts en français 31

3.2.1 Experts du domaine 31

4 Liste des abréviations 32 4.1 English part 32

4.1.1 English abbreviations 32

4.1.2 Reliability score 32

4.2 Partie française 33

4.2.1 Abréviations en français 33

4.2.2 Cote de fiabilité 33

5 Field trees – arbres de domaine 34

5.1.1 Classification 34

5.1.2 Anatomophysiology of the anterior segment 34

(4)

5.1.3 Examination of the anterior segment 34

5.1.4 Invasive treatment 34

5.2.1 Typologie 34

5.2.2 Anatomophysiologie du segment antérieur 34

5.2.3 Examen du segment antérieur 34

5.3.4 Traitement invasif 34

6 Records – Fiches 43

6.1 The eye / L'œil 44

6.2 The anterior segment / Le segment antérieur 45

7 Index 147

7.1 Index of English terms 147

7.2 Index des termes français 150

(5)

Remerciements

Merci à mon père, le Docteur Istvàn Molnar,

pour la patience et la passion avec lesquelles il a su m'ouvrir les portes de son domaine

Merci au Docteur Zsolt Varga et au Docteur Joël Salzmann, pour leur gentillesse et leur efficacité

Merci à la Doctoresse Gordana Sunaric-Mégevand Merci à Shadi Axmann, médecin interne

Merci à Jacqueline Papo, relectrice de la partie anglaise Merci à Tatiana Molnar, relectrice de la partie française

Merci à Frank Hedden,

pour son aide et son soutien au quotidien

4

(6)

1 Introduction

1.1 Présentation du travail

1.1.1 Choix du sujet

Nous avons eu la chance de pouvoir réaliser un travail de mémoire en terminologie sur un sujet libre. Le choix n'a pas été facile et si nous avons décidé de traiter de la terminologie du glaucome, c'est pour de multiples raisons.

D'une part, un sujet médical semblait se prêter parfaitement à l'exercice du mémoire en terminologie : la médecine est une branche qui évolue sans cesse. Les concepts médicaux se modifient constamment au fil des découvertes et des nouvelles façons de considérer la réalité, entraînant l'avènement et la disparition des termes qui leur sont liés. Dans ce domaine, le travail terminologique prend ainsi toute sa dimension d'activité minutieuse, exigeant une collaboration étroite avec les experts concernés, de manière à toujours rester au plus près de l'actualité.

D'autre part, il se trouve que nous avons eu la chance et l'honneur de pouvoir profiter du savoir d'un chirurgien opthalmologue spécialiste du glaucome, le Dr. Istvàn Molnar. Sans sa disponibilité et son implication, ce travail n'aurait pas pu être réalisé, ou du moins pas dans de si bonnes conditions.

Enfin, connaissant quelques étudiants en médecine ainsi qu'un ophtalmologue anglais désirant éventuellement exercer en milieu francophone à l'avenir, nous avons pensé que la réalisation d'une terminologie bilingue du glaucome pourrait peut-être s'avérer utile à moyen terme, d'autant que nous n'avons pas détecté l'existence d'un ouvrage bilingue préexistant sur le sujet.

A toutes ces raisons qui ont motivé notre choix de sujet, nous pouvons encore ajouter un intérêt tout personnel que nous portons pour le domaine de la médecine et, a fortiori, pour l'ophtalmologie. La possibilité de réaliser un travail de mémoire dans ce domaine a été une vraie chance, que nous avons saisie avec beaucoup de plaisir.

5

(7)

1.1.2 Objectifs du travail

Nous avons réalisé ce travail en poursuivant deux objectifs particuliers. Premièrement, nous voulions rendre compte de la conception actuelle du glaucome, qui diffère fortement de la conception que les médecins pouvaient en avoir par le passé. Nous nous sommes donc attaché à entretenir un contact étroit avec nos experts, à consulter les sources les plus actuelles et à faire systématiquement vérifier par des experts toute information issue d'une source plus ancienne. Le présent travail rend ainsi compte du glaucome dans sa conception actuelle, mais il inclut également des concepts et des termes utilisés dans les dix dernières années. Nous avons posé une limite temporelle à environ dix ans : si la science évolue rapidement, les conceptions mettent plus de temps à s'adapter et des termes anciens sont encore utilisés aujourd'hui, même s'ils font référence à une façon de voir relativement dépassée. Nous traiterons de cette problématique en particulier dans le chapitre 1.2 (« Etude d'un problème rencontré : élaboration d'une typologie du glaucome »).

Deuxièmement, nous avons cherché à réaliser un travail le plus cohérent possible, de manière à faire figurer un minimum de concepts non traités dans nos définitions. Nous avons eu la chance de disposer d'une liberté absolue dans le choix du sujet et dans la manière de l'aborder. Nous avons par conséquent mis un point d'honneur à réaliser un travail qui fasse sens tant au niveau du fond que de la forme. A cet égard, le choix du point de vue a été particulièrement délicat. Nous discuterons cette question en détails dans le chapitre

« Délimitation du domaine » (1.1.5).

1.1.3 Destinataires

Comme ce travail a été réalisé de manière indépendante, sans lien aucun avec un éventuel stage ou organisme, nous n'étions lié à aucun destinataire particulier. Nous avons décidé de concevoir une terminologie qui réponde aux besoins du plus grand nombre. Nous pensons que c'est ainsi qu'elle pourra être le plus utile. Notre terminologie s'adresse à des étudiants de médecine, à des traducteurs et à toute personne intéressée par le sujet. C'est notamment parce que notre travail s'adresse à des personnes peu spécialisées que nous avons veillé à proposer un travail le plus complet possible, utilisant un maximum concepts définis dans le travail même.

6

(8)

1.1.4 Présentation du domaine

Le glaucome est une maladie de l'œil, liée à la pression intraoculaire, en valeur relative ou absolue1, qui conduit de façon progressive à une atteinte irréversible de la vision. Une pression intraoculaire trop importante porte atteinte aux fibres optiques, qui sont situées au fond de l'œil. Or ce sont elles qui transmettent l'information visuelle au cerveau : plus ces cellules sont abîmées, plus la perte au niveau du champ visuel est importante.

La pression intraoculaire est réglée par l'équilibre entre la production et la résorption d'un liquide : l'humeur aqueuse. Celle-ci est sécrétée au niveau du corps ciliaire, dans la chambre postérieure (en arrière de l'iris), et s'écoule vers l'avant, dans la chambre antérieure (en avant de l'iris), à travers la pupille. L'humeur aqueuse est ensuite éliminée en majeure partie au niveau de l'angle iridocornéen (angle formé par l'iris et la cornée), par un tissu appelé trabéculum, puis par le canal de Schlemm. Le drainage de l'humeur aqueuse est un phénomène continu, indispensable à la bonne santé de l'œil.

Le glaucome survient quand le drainage de l'humeur aqueuse est gêné. Il peut l'être quand le trabéculum est recouvert d'éléments qui empêchent le passage de l'humeur aqueuse (dans les glaucomes à angle ouvert) ou quand l'angle iridocornéen est trop étroit ou se ferme (dans les glaucome par fermeture de l'angle).

Pour déterminer le type de glaucome et le traitement le plus adapté, on dispose de plusieurs outils diagnostiques :

• l'évaluation de la pression intraoculaire ;

• l'évaluation de l'angle iridocornéen, qui permet de déterminer ce qui empêche l'humeur aqueuse de s'écouler normalement ;

• l'évaluation de la papille (zone disciforme située au fond de l’œil, où convergent les fibres optiques), qui montre l'ampleur des pertes déjà subies au niveau des fibres optiques ;

• l'évaluation du champ visuel, qui montre comment ces pertes au niveau de fibres

• optiques se traduisent au niveau de la vision du patient.

1 Si on ne connaît pas encore avec certitude la cause de certains types de glaucomes, il est très probable que tous les glaucomes soient liés à un problème de pression intraoculaire que l'œil ne supporte pas. Nous nous conformons donc à l'opinion générale des spécialistes en affirmant que le glaucome est une maladie oculaire liée à la pression intraoculaire.

7

(9)

Comme les dommages causés par le glaucome sont irréversibles, le traitement consiste essentiellement à faire baisser la pression intraoculaire en améliorant le drainage de l'humeur aqueuse pour éviter que le glaucome ne continue à se développer. Plusieurs possibilités s'offrent au médecin : le traitement médicamenteux, le traitement au laser et la chirurgie. Le traitement médicamenteux agit sur la pression intraoculaire via des phénomènes chimiques.

Les différentes techniques au laser ainsi que les techniques chirurgicales consistent essentiellement à améliorer le drainage de l'humeur aqueuse de manière mécanique (en perçant un trou dans les tissus concernés par exemple).

Le domaine du glaucome est relativement vaste et nous avons dû cibler notre travail sur des points précis afin de respecter les limites imposées par l'exercice. Nous verrons dans le chapitre suivant comment nous avons délimité notre sujet.

1.1.5 Délimitation du sujet

Comme nous l'avons exposé plus haut, nous nous sommes efforcé de réaliser un travail complet et cohérent. Etant limité à une centaine de termes, nous avons dû circonscrire notre sujet de manière logique, sans oublier que nous nous adressions à un public-cible relativement vaste et peu spécialisé.

Notre premier souci a été d'inclure des éléments d'anatomie, de manière à poser les bases nécessaires à la compréhension du glaucome. Mais le glaucome est une maladie qui affecte l'œil dans son ensemble et nous ne pouvions pas accorder trop de place à la partie anatomique du travail, sous peine de négliger notre sujet principal.

Nous avons donc dû décider d'un point de vue par lequel aborder le glaucome. Nous avons décidé de nous pencher sur les mécanismes qui sont à l'origine du glaucome plutôt que sur les répercussions que celui-ci peut avoir. Or, comme nous l'avons exposé précédemment, le glaucome est une conséquence d'un dysfonctionnement dans le renouvellement de l'humeur aqueuse, humeur qui se situe dans la partie antérieure de l'œil. Nous avons donc concentré notre attention sur le segment antérieur de l'œil. En adoptant ce point de vue, nous avons pu inclure dans notre travail non seulement les mécanismes déclenchant le glaucome, mais aussi les techniques d'examen du segment antérieur de l'œil ainsi que les techniques de traitement invasif, qui concernent toutes cette partie de l'œil. Cette perspective causale nous a également permis d'inclure une typologie des glaucomes, qui se fait actuellement principalement en 8

(10)

fonction de l'angle iridocornéen (glaucomes à angle ouvert VS glaucomes par fermeture de l'angle).

Nous avons donc décidé de laisser de côté tout ce qui concerne les conséquences du glaucome : d'une part au niveau de l'anatomie (atteintes et examen de la papille) et d'autre part au niveau du champ visuel (atteintes et examen de celui-ci).

Nous avons également laissé de côté tout ce qui concerne le traitement médicamenteux, même si les médicaments agissent sur la pression intraoculaire, que nous avons décidé d'inclure dans la physiologie du segment antérieur de l'œil2 et même s'ils sont en outre utilisés en complément des techniques chirurgicales. Nous avons décidé que le traitement médicamenteux ne présentait pas un grand intérêt du point de vue terminologique, vu la qualité de quasi noms propres qu'ont les noms de médicaments.

Enfin, nous avons également décidé d'exclure le glaucome infantile et le glaucome congénital, qui sont des entités extrêmement complexes, souvent liées à des pathologies associées bien trop nombreuses pour figurer dans cet humble travail.

C'est donc en adoptant un point de vue causal et en élaguant quelque peu le domaine que nous avons abouti au sujet suivant : la terminologie du glaucome de l'adulte : typologie, anatomophysiologie du segment antérieur, examen du segment antérieur, traitement invasif.

1.1.6 Méthodologie

Nous avons réalisé ce travail thématique dans les règles de l'art, en procédant par étapes. Nous avons d'abord discuté du sujet avec notre expert principal afin d'avoir une idée plus précise de l'ampleur du domaine. Nous avons ensuite consulté divers ouvrages sur le sujet, sur lesquels nous nous sommes basé pour établir une liste de candidats-termes et délimiter une première fois notre sujet. C'est à ce moment du travail que nous avons décidé d'exclure le traitement non invasif du glaucome (traitement médicamenteux) et le glaucome de l'enfance. Nous avons ensuite contacté une première fois les experts de langue anglaise pour solliciter leur aide, qu'ils nous ont accordée sans problème.

L'étape suivante a été la recherche de ressources documentaires. Nous avons eu la chance de pouvoir travailler dans la bibliothèque de l'Université de médecine de Mannheim et

2 En réalité la pression intraoculaire concerne l'intégralité du globe oculaire. Elle est cependant sécrétée au niveau du segment antérieur de l'œil et c'est pour cette raison que nous avons considéré comme admissible de l'intégrer dans la physiologie du segment antérieur.

9

(11)

Heidelberg, qui disposait de plusieurs ouvrages en anglais sur le glaucome. Nous avons également commandé des ouvrages à la bibliothèque de Zürich et nos experts nous ont aussi fourni des documents, essentiels du fait de leur actualité. Nous avons notamment eu accès à des notes de cours et à des présentations PowerPoint présentées aux internes de la faculté de médecine de Genève.

Sur la base de ces ressources, nous avons établi une première bouture de nos arbres de domaine, puis nous sommes passé au dépouillement des ouvrages principaux dans les deux langues. Nous avons ensuite procédé à l'appariement, lors duquel nous nous sommes aperçu de l'importante discrépance existant entre la terminologie actuelle et celle ne datant que d'une dizaine d'années. Les ouvrages consultés en premier lieu en anglais étaient en effet antérieurs aux ouvrages dont nous disposions en français. En discutant avec nos experts, nous avons compris à quel point l'évolution de la conception du glaucome était rapide. Nous avons donc corrigé le tir au niveau des candidats-termes anglais, principalement grâce à la collaboration avec nos experts.

Après avoir peaufiné nos arbres de domaine, nous avons enfin rédigé nos fiches, que nous avons toutes fait valider par notre expert francophone principal. Si celui-ci est de langue maternelle française, il est également compétent en anglais et nous en avons profité pour valider le contenu des fiches dans les deux langues. C'est pour des questions ponctuelles sur certains points problématiques que nous avons fait appel à nos autres experts. Ainsi, nous avons contacté nos experts anglophones lors du moindre doute en anglais et nous avons également fait appel à eux pour la gestion des synonymes et les problèmes de classification des concepts.

1.1.7 Présentation des fiches

Disposant d'une liberté absolue dans la réalisation de ce travail, nous avons eu la chance de pouvoir décider de la présentation de nos fiches. Ayant déjà fait l'expérience des écueils de nombreux programmes informatiques de terminologie, nous avons décidé de créer nous-même nos fiches, de manière à obtenir un résultat visuel correspondant à nos attentes.

Nous avons donc réalisé ce travail avec un simple logiciel de traitement de texte. Ce choix nous a certes permis de créer des fiches satisfaisantes au niveau de l'apparence, cependant, la navigation dans notre travail s'est avérée problématique. Nous considérons aujourd'hui qu'il aurait été plus judicieux d'utiliser un programme ad hoc, même si celui-ci ne nous aurait

10

(12)

certainement pas permis de réaliser des fiches aussi personnalisées graphiquement.

. Une fiche type (cf. fiche 0 ci-après) est composée de deux parties parallèles : la partie anglaise (en haut) et la partie française (en bas). Une partie se décompose elle-même en deux : une première sous-partie contient les données administratives (numéro de la fiche, auteur de la fiche, date de saisie de la fiche, indication de la langue, indication du domaine, indication du sous-domaine 1 et indication du sous-domaine 2) et une deuxième sous-partie contient les données terminologiques en tant que telles. Nous avons décidé d'inclure les champs suivants :

• Un champ « terme », assorti d'un champ présentant les informations grammaticales, d'un champ présentant la cote (qui indique si le terme est à éviter, peu fréquent mais correct, ou consacré) et d'un champ source.

• Quatre champs « synonyme », également assortis d'un champ « informations grammaticales », d'un champ « cote » et d'un champ « source ».

• Un champ « définition », assorti d'un champ « source ».

• Un champ « note », assorti d'un champ « source » et d'une indication sur le type de note : « EXP » signifie qu'il s'agit d'une note explicative sur le concept et « USG » signifie qu'il s'agit d'une note explicative sur le terme et son usage.

• Un champ « renvois », faisant figurer tous les termes qui sont traités ailleurs dans notre terminologie. Nous avons choisi d'inclure ce champ dans un souci de clarté et de cohérence, et pour permettre à nos destinataires de naviguer plus facilement dans le domaine.

En outre, les fiches du domaine « Glaucome » > « Anatomophysiologie du segment antérieur » > « Anatomie » sont assorties d'un ou deux schémas indiquant où se trouve le concept décrit. Les deux schémas utilisés sont toujours les mêmes, seules les flèches varient en fonction des concepts. Pour aider l'utilisateur, nous avons aussi décidé de faire figurer ces schémas au début du recueil terminologique, dans leur version complète (avec toutes les flèches). Les numéros font références aux numéros des fiches.

11

(13)

Record 0

T.M. 04/2010

en

Subject field(s)

term score term's source

synonym 1 score Synonym 1's source

synonym 2 score Synonym 2's source

synonym 3 score Synonym 3's source

synonym 4 score Synonym 4's source

DEFINITION Definition.

Definition's source

NOTE

EXP: Explanation on the concept.

USG: Explanation on the term.

Note's source

CROSS-REFERENCE(S) cross-reference(s)

Fiche 0

T.M. 04/2010

fr

Domaine(s)

terme gram. cote Source terme

synonyme 1 gram. cote Source synonyme 1

synonyme 2 gram. cote Source synonyme 2

synonyme 3 gram. cote Source synonyme 3

synonyme 4 gram. cote Source synonyme 4

DEFINITION Définition.

Source définition

NOTE

EXP: Note explicative sur le concept.

USG: Note explicative sur le terme.

Source note

RENVOI(S) renvoi(s)

12

(14)

Notre travail se présente de la manière suivante. Après cette introduction, dans laquelle nous avons présenté notre sujet, nos objectifs, nos destinataires et la méthodologie utilisée, nous étudierons, du point de vue théorique, un problème rencontré au cours du travail. Nous avons décidé d'aborder la problématique de l'élaboration d'une typologie du glaucome.

A la suite de ce point théorique, dans le chapitre 2, nous présentons notre bibliographie. Les sources en anglais et les sources en français sont présentées dans deux listes séparées, contenant chacune une liste des ouvrages de référence dépouillés, une liste des ouvrages de référence non dépouillés et une liste des ouvrages de type linguistique. Les ouvrages sont classés selon leur code, par ordre alphabétique.

Nous présentons ensuite, au chapitre 3, les experts auxquels nous avons fait appel dans les deux langues. Pour chacun, nous avons indiqué le code utilisé dans le travail, le titre exact, le lieu où les études ont été suivies et le lieu de travail actuel. Notre expert principal, le Docteur Istvàn Molnar et la Doctoresse Gordana Sunaric-Mégevand ont répondu à certaines questions dans les deux langues, étant compétents en français comme en anglais mais nous avons préféré les faire figurer en tant qu'expert en français vu que nous avons privilégié l'avis des docteurs Zsolt Varga et Joël Salzmann, qui ont tout deux étudiés en Angleterre, lors de questions typiquement linguistiques, telles que la cotation des synonymes.

Le lecteur trouvera ensuite, au chapitre 4, une liste des abréviations pour chaque langue, assortie d'un décodage des cotes utilisées dans les fiches.

C'est avec le chapitre 5 que nous entrons dans le cœur du sujet, avec une présentation des arbres de domaine. Nous avons élaboré quatre arbres par langue, qui correspondent aux quatre sous-domaines que nous avons définis : la typologie du glaucome de l'adulte, l'anatomophysiologie du segment antérieur, l'examen du segment antérieur et le traitement invasif. Les termes figurent dans des cases rectangulaires blanches, à l'intérieur desquelles nous avons aussi intégré le numéro de la fiche correspondante. Les mots figurant dans des cases ondulées et à fond gris ne sont que des repères et non des termes traités dans ce travail.

Les cases grisées aur fond blanc correspondent à des « branches mortes » que nous ne traitons

13

(15)

pas dans ce travail, mais qu'il fallait faire figurer dans un souci d'exhaustivité.

Le chapitre 6 contient les 101 fiches que nous traitons dans ce travail, classées selon les arbres de domaine. Nous avons décidé de glisser les deux schémas que nous avons utilisés dans ce travail avant les fiches, dans les sous-chapitres 6.1 et 6.2. Si nous n'avons intégré ces deux schémas que dans les fiches du sous-domaine de l'anatomophysiologie du segment antérieur, nous avons trouvé judicieux de les reproduire dans une version complète au début du travail. Dans cette version, les schémas sont assortis de traits qui mènent à des numéros, correspondant aux numéros des fiches. Nous avons également inséré une liste des termes dans les deux langues, au-dessous des schémas, afin de faciliter la lecture de ceux-ci. Les fiches ne possèdent pas de numéros de page en tant que tels car elles sont numérotées selon l'ordre des arbres de domaine : les fiches 1 à 30 appartiennent au sous-domaine de la typologie, les fiches 31 à 58 appartiennent au sous-domaine de l'anatomophysiologie du segment antérieur, les fiches 59 à 78 appartiennent au sous-domaine de l'examen du segment antérieur et les fiches 79 à 101 appartiennent au sous-domaine du traitement invasif.

Enfin, au chapitre 7, le lecteur trouvera un index pour chaque langue où sont rencensés tous les termes et les synonymes traités dans ce travail.

14

(16)

1.2 Étude d'un problème rencontré : élaboration d'une typologie du glaucome

1.2.1 Introduction

Lors de la réalisation de ce travail, nous avons constaté à quel point la terminologie d'un domaine de spécialité évolue rapidement. Comme nous l'avions supposé avant de commencer nos recherches, les modifications dans la perception du glaucome se sont enchaînées et elles ont entraîné des changements considérables au niveau de la terminologie.

Les premiers ouvrages que nous avons consultés en anglais datent d'il y a une dizaine d'années et il a été très intéressant de constater à quel point les concepts ne sont plus les mêmes aujourd'hui. Si l'anatomie de l'œil et les techniques de base restent les mêmes, la technologie a évolué : de nouvelles méthodes ont vu le jour et de nouveaux instruments d'analyse sont maintenant à la disposition des ophtalmologues. Mais le plus frappant reste l'évolution de la classification des types de glaucomes. Les spécialistes comprennent mieux les mécanismes de cette pathologie, sans pour autant avoir encore tout élucidé. Il en résulte que les typologies d'il y a dix ans sont assez différentes de celles que l'on peut trouver dans la littérature actuelle. Et les typologies actuelles diffèrent quant à elles parfois des conceptions que se font nos spécialistes de la maladie. Dans ce chapitre, nous allons étudier en détail, grâce à des exemples concrets, les problèmes que pose l'évolution rapide d'un domaine pour le travail terminologique. Nous commencerons par observer la profusion des critères de classification. Dans un deuxième temps, nous verrons comment nous avons géré ce paramètre lorsque nous avons établi notre arbre de domaine. Nous aborderons ensuite la problématique des « termes artificiels » qui sont souvent créés lorsqu'une nouvelle classification est adoptée.

Enfin, nous conclurons en expliquant la position que nous avons adoptée dans le présent travail.

1.2.2 Critères de classification

La terminologie du glaucome a considérablement évolué au cours des dernières

15

(17)

années. Le fait d'avoir abordé notre travail avec des ouvrages moyennement récents a mis en lumière une problématique passionnante : les termes de la typologie du glaucome naissent et disparaissent en fonction de la classification qui est faite à un moment particulier. En réalité la classification des glaucomes est multiple et aucun consensus n'existe réellement. On peut classer les glaucomes selon différents critères et la littérature déborde de modèles. Après avoir expliqué les différentes façons de classer les types de glaucomes, nous montrerons que les termes utilisés aujourd'hui ne sont pas pour autant tous inclus dans les typologies actuelles.

Nous expliquerons également pourquoi, si nous n'avons pas voulu retenir les termes anciens, nous avons dû nous résoudre à intégrer quelques exceptions.

Il y a une dizaine d'années, on classait volontiers les glaucomes en deux groupes : les glaucomes primaires d'un côté et les glaucomes secondaires de l'autre. Les glaucomes secondaires sont la conséquence d'une pathologie connue, tandis que les glaucomes primaires surviennent sans que l'on puisse en déterminer la cause exacte. Cette classification est toujours utilisée dans la littérature actuelle. Elle est certes utile d'un point de vue théorique car elle montre bien les pathologies liées au développement d'un glaucome. Sa pertinence est toutefois discutable sur le plan pratique : en réalité, tous les glaucomes sont secondaires à une cause. Les glaucomes primaires ne sont que des glaucomes secondaires à une cause non identifiée. Cette classification reflète donc les lacunes scientifiques qui existent toujours actuellement. En tant que terminologue, nous nous devons de rendre compte de la réalité actuelle telle qu'elle est. Nous avons donc dû intégrer cette distinction entre les glaucomes primaires et les glaucomes secondaires, même si, au niveau conceptuel, cette dichotomie est artificielle.

Les glaucomes sont aussi classés selon un point de vue morphologique. Il y a d'une part les glaucomes à angle ouvert et d'autre part les glaucomes par fermeture de l'angle. Cette classification fait l'unanimité, car elle est purement descriptive et permet notamment de décider du traitement le plus approprié. Les spécialistes utilisent cette classification avant tout. Il a donc été normal de l'intégrer dans notre typologie.

On peut aussi ajouter un critère d'intensité de la pathologie. On prend alors un point de vue purement clinique pour décrire le glaucome selon l'intensité des symptômes. En pratique, 16

(18)

ce critère n'est utilisé qu'à l'intérieur du sous-groupe des glaucomes par fermeture de l'angle : on trouve le glaucome aigu par fermeture de l'angle (fiche 25), le glaucome intermittent par fermeture de l'angle (fiche 24) et le glaucome chronique par fermeture de l'angle (fiche 22).

Ce critère nous a posé problème, car il implique qu'on considère le glaucome selon un troisième point vue. Or un arbre de domaine est par définition bidimensionnel et il se lit de manière linéaire. Il est donc difficile d'intégrer plusieurs critères de classification à l'intérieur d'une seule typologie si l'on veut conserver une cohérence stricte. Mais comme la littérature médicale fait aussi figurer ce critère dans ses typologies et que l'un des objectifs d'une terminologie est d'être exhaustive, nous n'avons pas eu d'autre choix que de prendre en compte ce critère, d'autant que les termes qui en sont issus sont couramment utilisés par les spécialistes.

D'autres critères de classification apparaissent également, comme l'âge ou les pathologies associées, mais ils ne nous concernent pas ici, car, comme nous l'avons mentionné, nous avons limité notre domaine au glaucome de l'adulte, en favorisant le point de vue causal et morphologique (c'est-à-dire le point de vue des mécanismes qui sont à l'origine d'un glaucome).

1.2.3 Arbre de domaine « Typologie »

Pour établir notre arbre de domaine dans le sous-domaine de la typologie, nous nous sommes surtout appuyé sur les Guidelines publiées par la European Glaucoma Society. Ce document est régulièrement mis à jour dans la plupart des langues européennes et il fait office de référence dans le domaine du glaucome. Dans ce document, les glaucomes sont classés selon un point de vue morphologique. C'est aussi le point de vue que nous avons adopté. Nous avons subdivisé les glaucomes en « glaucomes à angle ouvert » et « glaucomes par fermeture de l'angle ». Comme dans les Guidelines, nous avons ensuite subdivisé les deux groupes en glaucomes primaires et glaucomes secondaires. Puis nous avons distribué nos termes selon ce schéma. Toutefois, de nombreux termes que nous avions recueillis lors du dépouillement ne figurent pas dans les Guidelines. Nous avons donc dû collaborer étroitement avec les experts dans nos deux langues de travail pour déterminer quels termes étaient actuels et à quels concepts ceux-ci correspondaient.

17

(19)

Nous avons notamment discuté longuement du point de vue à adopter. La question était de savoir si nous n'allions pas privilégier un point de vue physiologique. Si tel avait été le cas, nous aurions pu ouvrir une troisième grande branche (en plus des glaucomes à angle ouvert et des glaucomes par fermeture de l'angle), à savoir une catégorie mixte, qui aurait réuni les glaucomes dans lesquels l'angle ne joue pas de rôle décisif. Cette catégorie aurait pu contenir les fiches 9, 10, 11, 12, 16 et 18 (glaucome uvéitique, glaucome cortisonique, glaucome néovasculaire, glaucome traumatique, glaucome par récession de l'angle, glaucome anaphylactique). Dans ces glaucomes, d'un point de vue physiologique, l'entrave à l'écoulement de l'humeur aqueuse n'est pas directement liée à l'angle, même si celui-ci est généralement impliqué dans un deuxième temps. Une typologie selon ce point de vue aurait présenté un inconvénient important : elle aurait laisser paraître l'ampleur de la zone grise qui existe actuellement en médecine dans le domaine du glaucome. Les glaucomes « mixtes » auraient constitué une catégorie fourre-tout, peu satisfaisante. D'autre part, comme nous l'avons dit, nous avons privilégié la voie du consensus en nous appuyant sur les Guidelines qui sont la référence européenne, même si elles restent sujettes à une controverse constructive et ne constituent en aucun cas une forme de vérité unique. Nous avons donc adopté le point vue morphologique, en abordant les glaucomes par le biais de ce qui est observable en clinique. Les glaucomes « mixtes » du point de vue de la physiologie appartiennent bel et bien à l'une ou l'autre des catégories « glaucome à angle ouvert » et « glaucome par fermeture de l'angle » si on les observe selon le point de la morphologie.

Une fois le point de vue défini et le squelette de notre typologie établi, nous avons dû intégrer tous les termes que nous avions collectés. Cette étape a été délicate et nous avons dû faire des choix quant à la pertinence de certains termes. Par exemple, le terme de « creeping angle-closure glaucoma » (fiche 23) est utilisé dans la littérature mais il correspond à un concept que les spécialistes ne reconnaissent plus comme pertinent actuellement. Il s'agit d'un glaucome par fermeture de l'angle, dont la fermeture de l'angle se fait lentement et à partir de l'extrémité interne de l'iris. Les spécialistes préfèrent utiliser le terme de « primary chronic angle-closure glaucoma » quand ils se retrouvent face à cette entité car, finalement, la manière dont l'angle se ferme importe peu. Le terme équivalent en français, que nous avons trouvé dans la littérature, serait « glaucome rampant ». Ce terme a surpris nos experts francophones qui ne l'avaient jamais entendu. Il semblerait donc que l'on soit confronté un calque 18

(20)

malheureux d'un terme anglais dont l'existence même est discutable. Nous avons donc considéré le terme français comme étant « à éviter » et le terme anglais comme étant « peu fréquent mais correct », vu qu'il est encore utilisé dans la littérature et qu'il correspond à concept existant, même s'il n'est pas pertinent.

1.2.4 Les termes « artificiels »

Si certains concepts rares et peu connus de nos spécialistes, comme « creeping-angle glaucoma » ou « angle recession glaucoma » (fiches 23 et 16) ont été retenus dans le but de garantir l'exhaustivité du travail, d'autres concepts, tout aussi rares et méconnus, ont dû être artificiellement introduits dans notre typologie. C'est le cas de la fiche 19 et en particulier du terme français « glaucome cristallinien particulaire ». Ce terme figure dans la version française des Guidelines mais n'est pas, ou du moins pas encore, utilisé par les spécialistes. Il s'agit sans doute d'un calque de l'anglais « lens particle glaucoma », un terme utilisé en anglais. Ce calque n'a pas choqué nos spécialistes qui ont affirmé que l'entrée dans l'usage de ce terme français était possible dans un avenir proche ou moyen, vu qu'il correspond à une nouvelle typologie. Cependant, personne ne peut affirmer que cette typologie ne sera pas bientôt supplantée par une autre, qui n'inclura peut-être pas ce concept : un glaucome cristallinien particulaire n'est en fait qu'un glaucome à angle ouvert secondaire à la libération de particules par le cristallin, à la suite d'un traumatisme. Il s'agit donc d'un glaucome traumatique qu'on pourrait très bien ne pas définir plus précisément. La typologie actuelle fixe arbitrairement un regroupement des glaucomes d'origine cristallinienne : une prochaine typologie pourrait très bien ne pas prendre ce critère en compte. Le glaucome cristallinien particulaire deviendrait alors un glaucome traumatique tandis que le glaucome phacoanaphylactique deviendrait un type de glaucome uvéitique. Si certains termes ont un statut que l'on pourrait qualifier de précaire, car ils ont été récemment créés de manière artificielle, l'existence de chacun des termes est menacée par l'évolution de la science et des scientifiques.

Nous avons remarqué en outre que la volonté d'uniformisation qui sous-tend la création d'un ouvrage de référence tel que les Guidelines a pour effet une disparition partielle des termes au profit de la profusion de pseudo-termes qui se situent à la limite entre le terme 19

(21)

et l'unité de catalogage. A notre avis, c'est le cas pour les fiches 2, 3, 6, 20, 21 et 26 (glaucome à angle ouvert, glaucome primaire à angle ouvert, glaucome secondaire à angle ouvert, glaucome par fermeture de l'angle, glaucome primaire par fermeture de l'angle et glaucome secondaire par fermeture de l'angle). Les critères de calcul de sens et d'instabilité font pencher la balance vers des unités de catalogage : les spécialistes n'utilisent que rarement ces termes tels quels, ils omettent souvent un élément du syntagme dans leur discours. Pourtant, ces termes sont bien monoférérentiels et les spécialistes les utilisent quand même très fréquemment. Le flou qui règne au niveau de la terminologie dans ce sous-domaine est peut- être dû au fait que l'on n'ait pas encore levé le voile sur bien des mystères, comme la cause exacte des glaucomes primaires en général et celle du glaucome à pression normale en particulier.

La dénomination « glaucomes d'origine cristallinienne »/« lens-induced glaucoma » fait aussi partie des candidats-termes que nous avons hésité à retenir. Finalement, nous avons considéré qu'il s'agissait dans ce cas plutôt d'une unité de catalogage, destinée à réunir les glaucomes phacolytique, phacoanaphylactique et cristallinien particulaire sous une même catégorie3.

Nous avons par ailleurs constaté que les classifications antérieures auxquelles nous avons eu accès dans la littérature anglophone comprennent de nombreux termes qui ont désormais disparu : de nos jours, plus personne ne parle de « diffuse glaucoma », de

« concentric glaucoma », de « focal glaucoma » ou de « venous stasis glaucoma », qui font tous référence au type de dommages causés au niveau la papille. Toutes les classifications actuelles se font en fonction des mécanismes causaux et non des dommages identifiables. Ce changement de point de vue est intéressant. Il nous conforte dans l'idée que la terminologie d'un domaine spécialisé évolue à une vitesse vertigineuse et que la collaboration avec des experts ancrés dans la pratique est indispensable pour obtenir un résultat fiable.

Nous avons remarqué la création d'une petite série de termes anglais qui nous ont posé

3 Ce cas se rapproche d'un problème que nous avons rencontré en travaillant le sous-domaine de la chirurgie dans le traitement invasif du glaucome : nous avons considéré les syntagmes « chirurgie filtrante perforante » et « chirurgie filtrante non perforante » (en anglais : « full-thickness filtering procedures » et « guarded filtering procedures » ) comme des unités de catalogage, en les intégrant dans notre arbre de domaine, mais sans les traiter en tant que termes.

20

(22)

un problème de logique. Il s'agit des termes « chronic angle-closure », « intermittent angle- closure » et « acute angle-closure » (fiches 22, 24 et 25). Ces termes reflètent une réalité clinique d'intensité des symptômes. Nous avons déjà discuté du fait que ce statut classificatoire rompt avec l'homogénéité de la typologie. Mais ces trois termes posent en outre un problème d'ordre linguistique : ils sont purement descriptifs et on peut se demander s'il s'agit de termes ou de simples suites de mots. La version française des Guidelines fait figurer une traduction fidèle en dénommant ces concepts « fermeture chronique de l'angle »,

« fermeture intermittente de l'angle » et « fermeture aiguë de l'angle ». Nous avons renoncé à faire figurer ces dénominations en français car nous ne les avons retrouvées nulle part ailleurs dans la littérature et nos experts ne les utilisent pas. Nous pensons qu'il s'agit d'un calque pur et simple qui n'a pas sa place dans notre travail. Nous avons toutefois intégré ces dénominations en anglais car les Guidelines restent un ouvrage de référence, d'autant plus dans leur langue originale.

Les Guidelines, et la littérature traitant du glaucome en général, rendent compte de nombreuses entités cliniques qui ne sont associées à aucun terme. Nous pouvons citer comme exemple le « glaucoma associated with intraocular haemorrhage », le « glaucoma due to intraocular tumours » ou le « glaucoma associated with retinal detachment ». Ces concepts ne sont pas non plus associés à des termes en français. La pertinence d'une terminologisation volontaire du domaine est discutable, vu les avancées rapides qui sont faites et les changements fondamentaux et brutaux que cela induit dans la réserve des termes d'actualité.

Cependant, il est intéressant de constater que la tendance va vers une forme de déterminologisation du domaine au profit d'une classification à l'aide de « termes-tiroirs » qui ne sont au final que des périphrases descriptives. D'ailleurs, lors des discussions avec nos experts, nous avons constaté que pour eux, les termes n'avaient qu'une importance toute relative. Pour eux, ce sont les concepts qui priment, et de loin : ils s'expriment très souvent par périphrases et semblent parfois déroutés par la rigueur qu'implique la définition d'un terme.

La médecine n'est pas une science exacte et les pathologies sont des concepts aux contours flous, qui se laissent mal ranger dans des cases figées. D'ailleurs, si nous avions voulu rendre compte de la totalité des concepts existants dans le sous-domaine de la typologie du glaucome, nous aurions peut-être dû intégrer au travail tous ces « faux termes » et toutes ces unités de catalogage. Mais nous avons privilégié une approche méthodologique classique, en procédant premièrement au dépouillement, puis à la mise en forme du travail. La terminologie 21

(23)

est la science des concepts vus au travers du prisme que sont les termes. Cette vision des choses s'oppose à la façon qu'ont les spécialistes de concevoir leur science : ils veulent rendre compte de la réalité clinique du domaine, et non de sa réalité linguistique.

1.2.5 Conclusion

L'élaboration d'une typologie du glaucome a été problématique pour plusieurs raisons.

Premièrement, la diversité des modèles de classification existants nous a obligé à opérer des choix de base pour la constitution du squelette de notre typologie. Ces choix n'ont pas été faciles à faire et la structure globale de notre travail terminologique n'a été claire que très tard, une fois que tous les choix avaient été faits au niveau de la typologie que nous allions présenter.

Deuxièmement, l'existence de nombreux termes dont le statut même de terme est discutable nous a posé problème et nous avons dû faire appel aux experts à de nombreuses reprises. Certains termes se sont avérés être de véritables termes, alors que nous pensions au départ qu'il ne s'agissait que d'unités de catalogage, et d'autres termes artificiels ont dû être intégrés alors qu'ils ne sont pas utilisés dans la réalité.

Troisièmement, le caractère extrêmement fluctuant de la classification des glaucomes nous a contraint à faire des choix au niveau des termes à garder et à inclure en fonction de la temporalité : nous avons dû intégrer des termes qui ne correspondent pas à la typologie que nous avons présentée, nous avons dû rejeter des termes qui étaient encore en usage il y a à peine quelques années et nous avons dû intégrer des termes qui ne sont pas encore en usage.

La question de l'actualité revêt ici une dimension presque philosophique : le présent se trouve à l'intersection entre le passé et le futur et notre terminologie n'est qu'un instantané reflétant une réalité qui cesse d'exister au moment même où elle est née.

Malgré toutes ces difficultés rencontrées lors de la mise en place de notre typologie du glaucome, nous pensons avoir réussi notre pari terminologique : nous rendons compte de la conception actuelle des différents types de glaucome, tout en en proposant un ensemble de termes que nous croyons exhaustif, pour ce qui de l'usage « actuel » du moins.

L'un des objectifs que nous nous étions fixés était de réaliser un travail cohérent. En 22

(24)

partant de la classification des glaucomes que nous avons définie, nous avons élaboré un angle d'attaque du domaine totalement satisfaisant : en abordant le glaucome du point de vue de la morphologie, nous avons pu rendre compte du système de classification qui fait foi actuellement, tout en intégrant de manière harmonieuse l'ensemble des concepts que avons choisi de traiter.

23

(25)

2 Liste des sources

2.1 English sources

2.1.1 Major reference works

Beaujon BEAUJON-BALBI, Oscar V., BEAUJON-RUBIN Oscar, " Gonioscopy ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing

Division, New York, 2003, pp. 24-67.

Buggage BUGAGGE, Ronald, " Uveitic glaucomas ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp.

254-185.

Cox COX, Mary Jude, JEFFERS, John B., " Traumatic glaucoma ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 300-325.

Deepak DEEPAK, Gupta, Glaucoma diagnosis and management, Lippincott Williams

& Wilkins, Philadelphia, 2005, 348 pages.

Doe DOE, Erin C., " Primary angle-closure glaucoma ", in : RHEE, Douglas J.

(ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 314-325.

Foster FOSTER, Paul J. "Angle-closure glaucoma ", in : 3rd EGS European residents glaucoma course : Lecture notes, Geneva, 2009.

Glaucomas EID Tarek M., SPAETH George L., The glaucomas : Concepts and

fundamentals, Lippincott Williams & Willkins, Philadelphia, 2000, 325 pages.

Guidelines EUROPEAN GLAUCOMA SOCIETY, Terminology and guidelines for glaucoma, 3rd edition, Dogma, Savona, 2008, 183 pages.

Hitchings HITCHINGS, R.A., " Primary open-angle glaucoma ", in: 3rd EGS European residents glaucoma course: Lecture notes, Geneva, 2009.

Hougaard Hougaard Jesper Leth, " The system ", in : 3rd EGS European residents glaucoma course: Lecture notes, Geneva, 2009

Katz RHEE, Douglas J., UHLER Tara A., KATZ L. Jay, " Psychophysical testing "

in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 86-102.

24

(26)

Lim LIM, Michel C., " Lens-associated open-angle glaucomas ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 286-299.

LJKatz KATZ, L. Jay, " Laser trabeculoplasty ", in : RHEE, Douglas J. (ed.),

Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp.

124-171.

Moster MOSTER, Marlene R., AZUARA-BLANCO Augusto, in : RHEE, Douglas J.

(ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 132-171.

Myers MYERS, Jonathan S., " Secondary open-angle glaucoma ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 230-253.

Nicholl NICHOLL, Jamie E., RHEE, Douglas J., " Secondary angle-closure

glaucoma ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 326-337.

Bruce BRUCE, Adrian S., O'DAY, Justin et al., Posterior Eye Disease and Glaucoma A-Z, Elsevier, Philadelphia, 2008, 316 pages.

Rhee RHEE, Douglas J., Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, 441 pages.

Schwartz SCHWARTZ, Geoffrey P., SCHWARTZ, Louis W., in : RHEE, Douglas J.

(ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 172-179.

Shetty SHETTY, Rajesh K., " Tonometry ", in : RHEE, Douglas J., in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 15-25.

Spaeth SPAETH George L., " Primary open-angle glaucoma ", in : RHEE, Douglas J.

(ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 204-229.

Textbook SHIELDS, M. Bruce, Textbook of glaucoma, William & Wilkins, Baltimore, 1998, 588 pages.

Tran TRAN, H. Viet, ISHIKAWA, Hiroshi et al., " Ultrasound biomicroscopy in glaucoma ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 364-383.

25

(27)

Uhler UHLER, Tara A., " Clinical appearance of glaucomatous optic neuropathy ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 68-85.

Williams WILLIAMS, Zinaria Y., SCHUMAN, Joel S., " Evaluation of the optic nerve and nerve fiber laye ", in : RHEE, Douglas J. (ed.), Glaucoma, McGraw-Hill Medical Publishing Division, New York, 2003, pp. 384-417.

2.1.2 Background reference works

Aung FOSTER, P.J., AUNG, T. et al. " Defining occludable angles in pupilation surveys: drainage angle width, peripheral anterior synechiae, and

glaucomatous optic neuropathy in east Asian people ", in : British Journal of Ophtalmology, april 2004, 88, pp. 486-480.

Bradford BRADFORD, Cynthia A., Basic ophtalmology, American Academy of Ophthalmology, , 2004, 236 pages.

Brown BURT, Katherine, FREEMAN, Sarah, et. al., " Glaucoma valves : devices ".

http://biomed.brown.edu/Courses/BI108/2006-

108websites/group02glaucoma/devices.html#ats , updated : 2007, last viewed : 21.04.2010.

Chee CHEE-YUNG THAM, Clement, RITCH, Robert et al., " Glaucoma, Angle Closure, Chronic ", http://emedicine.medscape.com/article/1205154-overview, updated : 14.01.2010, last viewed : 21.04.2010.

Fischkind Fishkind, Bakewell and Maltzman Eyecare and Surgery Center,

http://www.eyestucson.com/library/cataracts.php, updated: 2010, last viewed : 04.2010.

Jiang JIANG, Yuzhen,HE, Mingguang, et al. " Qualitative assessment of ultrasound biomicroscopic images using standard photographs: The Liwan Eye Study ", in : Investigative Ophthalmology and Visual Science,2010, 51, pp. 2035-2042.

Sullivan SULLIVAN, Brian R, " Glaucoma, Angle Recession ",

http://emedicine.medscape.com/article/1204999-overview , updated : 21.01.2009, last viewed : 21.04.2010.

Wang WANG, Jim C, RITCH, Robert et al. " Glaucoma, plateau iris ", http://emedicine.medscape.com/article/1207281-overview , updated : 11.02.2008, last viewed : 21.04.2010.

Zimmerman ZIMMERMAN, Thom J., KOONER Karanjit S., Clinical Pathways in Glaucoma, Thieme, New York, 2001, 547 pages.

26

(28)

2.1.3 Dictionaries

Dictionary http://medical-dictionary.thefreedictionary.com/. updated : 2010, last viewed : 21.04.2010.

Dorland Dorland's Illustrated Medical Dictionary, 31st edition, Saunders Elsevier, Philadelphia, 2007, 2175 pages.

Library National Library of Medicine,

http://www.nlm.nih.gov/cgi/mesh/2009/MB_cgi?

mode=&term=Anterior+Eye+Segment&field=entry , updated : 01.09.2009, last viewed : 21.04.2010.

2.2 Sources en français

2.2.1 Ouvrages de référence dépouillés

Abron BRON, Alain, « Pachymétrie », in : TILLIER, Gisela (éd), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 63-67.

Achache ACHACHE, Farid, « Anatomie de l'angle irido-cornéen », in : TILLIER,Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 24-27.

Albron BRON, Alain, « Iridotomie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 357-362.

Alco BRON, Alain, SCHNYDER, Corinne, « Tonométrie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 45-53.

Béchetoille BECHETOILLE, Alain, Glaucomes, Japperenard, Paris, 1987, 488 pages.

Bron BRON, Alain, Glaucomes, Meditext, Paris, 2004, 157 pages.

Coder SCHNYDER, Corinne, « Goniopuncture », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 367-317.

Dahan SCHNYDER, Corinne, DAHAN, Elie, « Glaucome traumatique », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 267-274.

Daniel MOJON, Daniel, « Syndrome de dispersion pigmentaire et glaucome

27

(29)

pigmentaire », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp.

245-251.

Elie SCHNYDER, Corinne, DAHAN, Elie, « Glaucome et chirurgie du segment antérieur », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp.

320-324.

EmiRa RAVINET, Emilie, « Sclérectomie profonde », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 399-407.

Esel SELLEM, Eric, « Glaucome primitif à angle ouvert », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 197-207.

Fabrice GIANOLI, Fabrice, SCHNYDER Corinne, « Glaucome et cristallin », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 287-292.

Farach ACHACHE, Farid, « Glaucome par fermeture de l'angle », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 219-229.

Farid ACHACHE Farid, « Glaucome à pression normale », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 209-217.

Franpana SCHNYDER Corine, PANARELLO, Francesca, « Iridoplastie périphérique », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 363-366.

Frantot VALTOT, Françoise, « Cyclophotocoagulation », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 379-386.

Gianoli GIANOLI, Fabrice, « Glaucome uvéitique », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 253-265.

Lachkar LACHKAR, Yves, « Gonioscopie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 55-67.

Lem SELLEM, Eric, « Glaucome et maladies rétiniennes et vitréorétiniennes », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 294-301.

Mansouri MANSOURI, Kaweh, SHAARAWY, Tarek, « Syndrome pseudo-exfoliatif et glaucome pseudo-exfoliatif », in : STILLIER, Gisela (éd.), Glaucome,

Elsevier, Paris, 2005, pp. 238-243.

Meroy ROY, Sylvain, MERMOUD, André, « Glaucome cortisonique », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 335-340.

28

(30)

Mojon MOJON, Daniel, « Anatomie de la tête du nerf optique », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp.. 29-33.

Nessi NESSI, Fabio, SCHNYDER, Corinne, « Glaucome néovasculaire », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 275-280.

Nordmann NORDMANN, Jean-Philippe, DENIS, Philippe, Le glaucome : Guide à l'usage des patients, Bash, Paris, 2004, 220 pages.

Précis KANSKI, Jack J., BOURCIER, Tristan et al., Précis d'ophtalmologie

clinique, traduction et adaptation de l'anglais, Elsevier, Paris, 2005, 480 pages.

Ravinet RAVINET, Emilie, « Iris plateau », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 232-236.

Rinbron SCHNYDER, Corinne, BRON, Alain, « Classification des glaucomes », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 171-172.

Roy ROY, Sylvain, « Physiologie et dynamique de l'humeur aqueuse », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 35-43.

Royme ROY, Sylvain, MERMOUD André, « Tubes de drainage », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 443-454.

Sellem SELLEM, Eric, Le glaucome : de la clinique au traitement, MED'COM, Paris, 2008, 218 pages.

Sunaric SUNARIC-MEGEVAND Gordana, STANGOS Alexandros-Athanasios N.,

« Viscocanalostomie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 409-414.

Syroy ROY, Sylvain, MERMOUD André, « Biomicroscopie ultrasonore », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 145-159.

Valtot VALTOT, Françoise, « Trabéculoplastie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 373-378.

Yvla LACHKAR, Yves, « Trabéculectomie », in : TILLIER, Gisela (éd.), Glaucome, Elsevier, Paris, 2005, pp. 387-398.

2.1.2 Ouvrages de référence non dépouillés

Batterbury BATTERBURY Mark, BOWLING Brad, Ophtalmologie, Elsevier, Paris,

29

(31)

2005, 118 pages.

Charfi CHARFI BEN AMMAR, O., CHAKER, N. et al., « glaucome post-

traumatique », in: Journal Français d'Ophtalmologie, février 2002, vol. 25, n°

2, pp. 126-129.

Guide EUROPEAN GLAUCOMA SOCIETY, Guide pour les glaucomes, 3e édition, Dogma, Savona, 2009, 183 pages.

Spalton SPALTON, David J., HITCHINGS, Roger A. et al., Atlas d'ophtalmologie clinique, 3e édition, Elsevier, Paris, 2005, 707 pages.

2.1.3 Ouvrages de type linguistique

Garnier GARNIER, Marcel, DELAMARE, Valery et al., Dictionnaire illustré des termes de médecine, 28e édition, Maloine, France, 2004, 1046 pages.

30

(32)

3 Experts consultés

3.1 English experts

3.1.1 Field experts

Salzmann Dr Joël Salzmann MD FRCOphth

Spécialiste FMH en ophtalmologie et chirurgie ophtalmologique

Studies : Geneva ; Western Eye Hospital, UK ; Moorfields Eye Hospital, UK Current working place : Geneva, self-employed

Varga Dr Zsolt Varga

MA(cantab) MB. BChir. MRCOphth Studies : University of Cambridge, UK

Current working place : York Hospital, York, UK

3.1.2 Linguistic expert

Papo Jacqueline Papo B.A., MSc, DPhil

Current working place : Department of Public Health, University of Oxford, UK

3.2 Experts en français

3.2.1 Experts du domaine

Axmann Dr Shadi AXMANN

Médecin interne à l'Hôpital cantonal de Genève Etudes : Genève

Sunaric Dr Gordana SUNARIC-MÉGEVAND

Spécialiste FMH en ophtalmologie et chirurgie ophtalmologique Etudes : Genève ; Capetown

Lieu de travail : Genève, à son propre compte Molnar Dr Istvàn MOLNAR

Spécialiste FMH en ophtalmologie et chirurgie ophtalmologique Etudes : Genève ; Gand

Lieu de travail : Genève, à son propre compte

31

(33)

4 Liste des abréviations

4.1 English part

4.1.1 English abbreviations

ed. projet manager

en English

EXP explanation on the concept

f. feminine

m. masculine

n. noun

p. page

pl. plural

pp. pages

T.M. Timea Molnar

USG explanation on the term

4.1.2 Reliability score

* to be avoided

** rare but correct

*** established

32

(34)

4.2 Partie française

4.2.1 Abréviations en français

éd. directeur de publication EXP note explicative sur le concept

f. féminin

fr français

m. masculin

n. nom

p. page

pl. pluriel

pp. pages

T.M. Timea Molnar

USG note explicative sur l'usage du terme

4.2.2 Cote de fiabilité

* à éviter

** peu fréquent mais correct

*** consacré

33

(35)

5 Field trees – arbres de domaine

5.1.1 Classification

5.1.2 Anatomophysiology of the anterior segment 5.1.3 Examination of the anterior segment

5.1.4 Invasive treatment 5.2.1 Typologie

5.2.2 Anatomophysiologie du segment antérieur 5.2.3 Examen du segment antérieur

5.3.4 Traitement invasif

34

(36)

35

(37)
(38)
(39)
(40)
(41)
(42)
(43)
(44)

6 Records - Fiches

(45)

6.1 The eye / L'œil

31 anterior segment / segment antérieur 43 posterior chamber / chambre postérieure

32 anterior chamber angle / angle iridocornéen 44 ciliary body / corps ciliaire 33 trabecular meshwork / trabéculum 45 pars plana / pars plana 34 Schelmm's canal / canal de Schlemm 46 pars plicata / pars plicata

35 Schwalbe's line / ligne de Schwalbe 47 ciliary muscle / muscle ciliaire 36 anterior chamber / chambre antérieure 48 ciliary processes / procès ciliaires

37 cornea / cornée 49 sclera / sclère

38 Descemet's membrane / membrane de Descemet 50 scleral sulcus / sulcus scléral

39 limbus / limbe 51 scleral spur / éperon scléral

40 iris / iris 52 lens / cristallin

41 pupil / pupille 58 vitreous body / corps vitré

42 ciliary band / bande ciliaire

Source : Fischkind

44

(46)

6.2 The anterior segment / Le segment antérieur

32 anterior chamber angle / angle iridocornéen 43 posterior chamber / chambre postérieure

33 trabecular meshwork / trabéculum 44 ciliary body / corps ciliaire 34 Schelmm's canal / canal de Schlemm 45 pars plana / pars plana 35 Schwalbe's line / ligne de Schwalbe 46 pars plicata / pars plicata

36 anterior chamber / chambre antérieure 47 ciliary muscle / muscle ciliaire 37 cornea / cornée 48 ciliary processes / procès ciliaires 38 Descemet's membrane / membrane de Descemet 49 sclera / sclère

39 limbus / limbe 50 scleral sulcus / sulcus scléral

40 iris / iris 51 scleral spur / éperon scléral

41 pupil / pupille 52 lens / cristallin

42 ciliary body band / bande ciliaire 58 vitreous body / corps vitré

Source : Achache, p. 24

45

(47)

Record 1

T.M. 04/2010

en

Subject field(s): Glaucoma Classification

glaucoma n. *** Deepak, p. 3

DEFINITION

Pathologic condition related to intraocular pressure characterised by a progressive loss of ganglion cell axons causing damage in the visual field.

Based on Deepak, p. 3

NOTE

CROSS-REFERENCE(S) intraocular pressure

Fiche 1

T.M. 04/2010

fr

Domaine(s): Glaucome

Typologie

glaucome n. m. *** Nordmann, p. 30

DEFINITION

Maladie oculaire due à une montée de la pression intraoculaire, en valeur relative ou absolue, qui entraîne une atteinte du nerf optique et du champ visuel.

D'après Nordmann, p. 30

NOTE

RENVOI(S)

pression intraoculaire

46

(48)

Record 2

T.M. 04/2010

en

Subject field(s): Glaucoma Classification

Open-angle glaucoma

open-angle glaucoma n. *** Guidelines, p. 15

DEFINITION

Glaucoma characterised by an open anterior chamber angle in which aqueous humor has a clear access to the trabecular meshwork.

Based on Guidelines, p. 95 and Spaeth, p. 204

NOTE

CROSS-REFERENCE(S)

glaucoma, anterior chamber angle, aqueous humor, trabecular meshwork

Fiche 2

T.M. 04/2010

fr

Domaine(s): Glaucome

Typologie

Glaucome à angle ouvert

glaucome à angle ouvert n. m. *** Nordmann, p. 30

DEFINITION

Glaucome caractérisé par un angle iridocornéen demeurant ouvert et une obstruction progressive du trabéculum entraînant une augmentation de la pression intraoculaire.

D'après Bron, p. 34

NOTE

RENVOI(S)

glaucome, angle iridocornéen, trabéculum, pression intraoculaire

47

(49)

Record 3

T.M. 04/2010

en

Subject field(s): Glaucoma Classification

Open-angle glaucoma

primary open-angle glaucoma n. *** Guidelines, p. 7

POAG n. *** Guidelines, p. 95

idiopathic open-angle glaucoma n. * Glaucomas, p. 5

DEFINITION

Open-angle glaucoma developing in the absence of other ocular disease or congenital anomaly.

Based on Guidelines, p. 95

NOTE

CROSS-REFERENCE(S) open-angle glaucoma

Fiche 3

T.M. 04/2010

fr

Domaine(s): Glaucome

Typologie

Glaucome à angle ouvert

glaucome primaire à angle ouvert n. m. *** Rinbron, p. 172

GPAO n. m. *** Précis, p. 130

glaucome primitif à angle ouvert n. m. *** Bron, p. 34

DEFINITION

Glaucome à angle ouvert se développant en l'absence d'autres maladies oculaires ou de pathologies congénitales.

D'après Bron, p. 34

NOTE

RENVOI(S)

glaucome à angle ouvert

48

Références

Documents relatifs

The high prevalence of parathyroid adenoma recurrence after surgery despite the short follow-up (29% vs. 2.6% in a large study including 1402 patients with pHPT [ 17 ] and 10.7% in

First, wide lines and correspondingly wide differ- ences are easier to see with the naked eye, and secondly, wide lines usually indicate large J and m quantum

distal part; upper tapering to long, pointed, unidentate tip, lower ones with short bent

Tout au long de votre parcours, nous nous sommes efforcés de vous transmettre des valeurs.. Car plus que jamais, la solidarité, la justice, le souci d’une société où chacun

treat- ment significantly affected growth rate, asymptotic size of the rosette, δ 13 c, %n, stomata length, leaf dry matter con- tent, trichome density, and—as a trend—flowering time

Plus de la moitié des inventaires détaillés de la série B ont aussi été transférés dans la base de données accessible en ligne ; le reste le sera prochainement.. En

We study the total weight of weighted matchings in segment graphs, which is related to a question concerning generalized Chebyshev polynomials introduced by Vauchassade de Chaumont

Clinical Features and Diagnosis of Anterior Segment Inflammation Related to Cytomegalovirus in Immunocompetent African, Asian, and Caucasian Patients... Clinical features and