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s u i s s e s de vouloir bien r é s e r v e r b o n accueil a u r e m b o u r s e m e n t q u e n o u s p r e n o n s de l ' a b o n n e m e n t de l'année 1899, d a n s les c o n d i t i o n s h a b i - t u e l l e s .

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Quatorzième Année. — N0 2.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Vendredi 6 Janvier 1899.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 5 8 .

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a Ions les bureaux île poste Paraissant le Jesili et le Dimanena à la Cfiecx fie -Fends

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AVIS

N o u s p r i o n s n o s anciens a b o n n é s

s u i s s e s de vouloir bien r é s e r v e r b o n accueil a u r e m b o u r s e m e n t q u e n o u s p r e n o n s de l ' a b o n n e m e n t de l'année 1899, d a n s les c o n d i t i o n s h a b i - t u e l l e s .

L e s a b o n n é s d e l'étrang-er s o n t

S r i e s de bien v o u l o i r s ' a c q u i t t e r i r e c t e m e n t .

L ' A d m i n i s t r a t i o n du j o u r n a l .

Cote de l'argent

l)i-s aujourd'hui, et sur Ia demande d'un certain nombre de nos abonnés monteurs de boites, nous publierons lieux cotes de l'argent.

Comme auparavant celle de l'argent fin en grenailles; en plus, celle de t'ar- gentfin lamine, qui est de Ir. -1.— supé- rieure à la première.

(yest cette dernière qui doit servir de hase au calcul des litres de l'argent des boites de montres.

Nous reviendrons sur celte question, dans l'un de nos prochains numéros.

Indications de provenance

H arrive fréquemment que des fabri- cants d'horlogerie reçoivent, de l'étran- ger, la demande d'indiquer sur cadrans ou cuvettes le nom d'une localité qui n'est pas celle où ils ont leur domicile.

Il convient de rappeler qu'en tenant compte de ce désir de leur acheteur, les fabricants suisses commettraient une contravention à Ia « Loi fédéral»· concer- nant la protection îles marques de fa- brique et de commerce, des indications de provenance et des mentions et ré- compenses industrielles ».

Voici, eu effet, ce que prescrit celte loi:

II. Indications de provenance.

Art. 18. —L'indication de provenance con- siste dans le nom de In ville, de In localité, de la région ou du pays qui donne sa renommée à un produit.

L'usage de ce nom appartient à chaque fa- bricant ou producteur de ces ville, localité, région ou pays, comme aussi à l'acheteur de ces produits.

Il est interdit de munir un produit d'une indication de provenance qui n'est pas réelle.

Art. IU. — Les personnes habitant un lieu réputé pour la fabrication ou la production de certaines marchandises qui font le commerce de produits semblables d'une autre prove- nance, sont tenues de prendre les dispositions nécessaires afin que l'apposition de leur mar- que on nom commercial ne puisse pas induire le public en erreur quant à la provenance de ces produits.

Art. '20. •— Il n'y a pas fausse indication de provenance dans le sens de la présente loi :

1" lorsque le nom d'une localité a été apposé sur un produit fabriqué ailleurs, mais pour le compte d'un fabricant ayant son principal établissement industriel dans la localité indi- quée comme lieu de fabrication, pourvu toute- fois que l'indication de provenance soit accom- pagnée de la raison de commerce du fabri- cant ou, à défaut d'espace suffisant, de sa marque de fabrique déposée :

2" lorsqu'il s'agit de la dénomination d'un produit par un nom de lieu ou de pays qui, devenu générique, indique, dans le langage commercial, lu nature et non la provenance du produit.

Exposition universelle de Paris, en 1900

M. /'//. . 1 . IlV/'^.s·. à Genève, a donné, pour cause de santé, sa démission de membre de la commission centrale. Dans sa séance du 30 décembre courant, le Conseil fédéral Γη remplacé par M. Λ. Conti, l'nii des chefs de la maison Patek, Philipp & (lie, à Genève.

Village suisse à l'Exposition de 1900

L Illustration de Paris convie a sa ma- nière les Suisses à l'Exposition de 11)00.

A propos du Village suisse ce journal pro- pose de faire :

« avec l'eau des égoi'its de Paris, des cos-

« endes comme au Giessbact) :

« d'organiser des chalets de nécessité, hu- it chés sur les décombres pour rappeler la

« chapelle de Guillaume Tell :

«clans les Haques d'eau, de faire circuler

« une Hotte, comme sur le lac de Genève: et

« enfin

« de planter des polaux avec toques et ké-

« pis que chacun, selon son goût, saluerait,

« comme au temps de Gessler. »

Voilà décidément une invitation spirituelle, dont Y illustration peut féliciter son caricatu- riste Henriot.

Ces bons Français sont toujours les mêmes.

Le commerce de l'horlogerie en Angleterre

L ' a n n é e é c o u l é e .

Sous ce titre, le journal des bijoutiers et horlogers anglais, Jewellers and

Walchmakers, a publié à la lin du mois de décembre, un article intéressant sur les affaires en Angleterre, en 1898. Nous pensons intéresser nos lecteurs en pu- bliant une traduction de cet article:

Nous disons à dessein, l'année écou- lée, car quoiqu'une quinzaine doive en- core se passer jusqu'à ce que 1898 soit entré dans son repos, l'année commer- ciale est entièrement terminée pour au- tant que cela concerne la fabrication et le commerce en gros de nos différentes branches.

Nos négociants en détail qui ont en- core devant eux, ce qui devrait être Ia semaine la plus mouvementée de l'année, auront encore besoin, sans aucun doute, de faire bien des affaires, pour que tout aille au gré de leurs désirs, mais quant aux ventes réelles et directes, l'année est Unie et nous sommes en position de faire un résumé assez exact des transac- tions opérées pendant ces 12 derniers mois.

D'une manière générale, nous devons dire (pie cette revue ne sera une cause de joie pour personne. Le commerce

(2)

' LA F É D É R A T I O N H O K L O G E R E S U I S S E

n'a certainement été anormal, dans au- cune période de l'année : à part quelques maisons qui ont été favorisées d'une chance exceptionnelle, les allaires ont été calmes cl médiocres. Beaucoup de négociants, auxquels nous avons parlé, s'exprimeraient probablement en des termes beaucoup plus énergiques.

A aucune époque de l'année, il n'a régné une vraie activité. Le commence- ment de 1898 a été des plus tranquille et un calme plat s'est maintenu durant le p r i n t e m p s , l'été e.l l'automne. La grande activité qui caractérise générale- ment l'époque de Noël, et qu'on attend .avec tant d'impatience pour se remellre à îlot, a totalement fait défaut. On a rarement vu une saison plus calme et moins variée, on pourrait même dire jamais.

D'un autre côté, on peut se féliciter de ce que la production n'ait pas dimi- nué. Il n'y a pas eu d'arrêt; bien plus, les employés de quelques maisons par- ticulièrement favorisées, ont dû consa- crer aux allaires bien des heures sup- plémentaires, pour faire face aux de- m a n d e s , et la grande masse des ouvriers a été occupée d'une manière régulière.

Quelques branches de la fabrication s'en sont naturellement mieux tirées que d'autres. Les fabricants d'argenterie de table el d'articles île fantaisie par exem- ple, ont travaillé p e n d a n t la plus grande partie de l'année. Kt pourtant eux aussi, a ce que nous croyons, se sonl ressenti dernièremenl du calme des allaires.

Les fabricants de bagues, eux aussi, se sonl bien maintenus, el le commerce des chaînes a été extrêmement prospère, et la demande pour les « châtelaines », qui avait repris en 1897, n'a pas ralenti p e n d a n t toute l'année. Les fabricants n'ont m ê m e pas pu faire face à loutes les exigences, à cause de la peine qu'ils éprouvaient à obtenir d'habiles ouvriers et nous croyons qu'ils ont perdu beau- coup d'affaires p o u r cette raison.

Les faillites ont été malheureusement assez n o m b r e u s e s pendant l'année et ont dépassé de beaucoup celles de 1897.

Dans bien des cas, les passifs ont élé très élevés et les dividendes sur lesquels on comptait, proportionnellement ré- duits. En général, le numéraire n'a pas été abondant pendant l'année.

Γ η trait dislinclif de ces Ii mois, a élé le grand nombre de nouvelles mai- sons, aussi bien de fabrication que de gros, qui ont été fondées, la plupart assez peu importantes, si l'on en juge par l'apparence. En somme, nous dou- tons beaucoup que cette augmentation croissante de petits négoces profile au grand commerce, el nous sommes portés à croire que beaucoup d'entr'eux auront de la peine à mener à bien leur entre- prise.

En résumé, nous mettons cette année- ci au même rang que 1897. Nous dirons

qu'elle a élé dénuée d'intérêt, mais (pic les transactions faites témoignent d'un état assez prospère. Nous pensons que notre opinion sera confirmée par les ré- sultais de l'inventaire annuel dans les- quels maint commerça ni sera bientôt engagé.

Les causes qui ont contribué à pro- duire celle situation plutôt négative du commerce, sonl nombreuses el com- plexes: mais un fadeur important, c'est surtout la prédominance d e s grèves el de la cessation du travail pendant l'an- née. Le nombre total des jours ouvriers perdus, la réduction des salaires el des dépenses qui en a élé la conséquence, a élé bien plus grand qu'en 1897 el pour- tant celte année était déjà anormale à ce point de vue. En outre, les grandes pertes qu'a subies le publie dans ses placements d'argent, pertes provenant de la dépréciation qui s'est fait sentir dans le commerce des bicycles el bran- ches analogues, ont dû faire beaucoup de tort au commerce en général, et sur- loul aux marchands d'articles de luxe el d'ornement, tels epic la bijouterie el les articles de fantaisie.

Ces deux causes, à elles seules, con- tinueront, nous le craignons, à exercer une influence funeste sur notre com- merce pendant quelque temps encore.

Cependant nous espérons, à la lin de l'année qui va s'ouvrir, avoir le plaisir d'enregistrer un élal d'affaires en tous points plus réjouissant et plus prospère que celui ([lie nous signalons aujour- d'hui.

Union postale

Lc ministère des allaires étrangères de l'empire de Corée a télégraphié au Conseil fédéral, pour qu'il en informe les autres états de l'union, que le gouvernement coréen n'étant pas en mesure de se conformer, dès le Ί " janvier ISi)I), aux obligations imposées par la convention postale universelle conclue à Washington le 15 juin 1ί>!·7, l'entrée de cet empire dans l'union postale doit être consi- dérée comme provisoirement ajournée. Par note-circulaire de ce jour. Ie conseil fédéral a donné connaissance de cet ajournement à tous les états de l'union.

Consulats

M. Georgen-G. Weiss, de Genève, vice- consul suisse a Liverpool, est promu consul en cette résidence.

Influence de l'Afrique sur les questions sociales

Le marché de l'Afrique ouvert à l'industrie et au commerce sera, sans contredit, d'une

beaucoup plus grande importance que le mar- ché chinois. Kt ceci se comprend si l'on con- sidère que si. pour le moment, la Chine est un débouché de premier ordre pour le com- merce et l'industrie de l'Europe, il ne fout pas perdre de vue que les Chinois deviendront de formidables compétiteur.* pour les ouvries européens. Pi>ur qui connaît les Chinois, il

est, en effet, évident qu'ils sont d'une habileté hors ligne el incontestable comme artisans et qu'en peu de temps ils seront à même de fa- briquer tous les produits que leur fournit et que leur fournira l'Europe. C'est alors l'Afri- que qui sauvera la situation. En effet, pendant toute la durée du prochain siècle, l'Afrique ne peut être qu'un acheteur et un consommateur des produits des manufactures européennes.

Ea construction des chemins de fer sur ce continent, pendant au moins la première moitié du vingtième siècle donnera un débou- ché toujours grandement ouvert aux mar- chandises européennes, ce qui développera la fabrication et rendra plus avantageuses les conditions du travail en Europe. 11 s'en suivra forcément un apaisement dans les dis- sentions sociales et une détente de la tension qui existe actuellement entre les employeurs et employés. Les chevaux se battent quand il n'y a pas de foin au.râtelier et sont doux et satisfaits lorsque les mangeoires sont pleines.

Remarquons seulement qu'il ne faudrait pas croire, comme l'affirme certains laeders anglais, que l'Angleterre est In seule puissan- ce capable d'arriver à dé pareils résultats, c"mme étant la seule qui soit capable de don- ner aux peuplades africaines un bon gouver- nement et la liberté : de sorte que l'Angleterre par là, a seule le droit de mettre la main sur le continent noir. La France aussi, ce nous semble, est capable de répandre la civilisation et la liberté, quoi qu'elle n'encourage pas les repas d'anthropophages pour servir de sujet à des aquarelles sensationnelles et voir com- ment se passent ces festins depuis regorge- ment des victimes, jusqu'à la digestion com- plète. KlIe ne massacre pas non plus systéma- tiquement les indigènes pour s'en débarras- ser, en affirmant qu'ils sont rebelles à toute civilisation.

Aussi doit-on lui reconnaître quelques droits.

En Chine

Des renseignements sur la Chine confir- ment les idées que nous ont données de ce pays les événements qui se sont passés depuis la guerre avec le Japon. Nous voyons, 'd'un côté, le peuple en possession d'une grande force de travail et, sous beaucoup de rapports, d'une civilisation assez remarquable, d'autre part, un gouvernement absolument corrompu et misérable et qui parait hors d'étal de se ré- former. C'est ce que nous dit M. Pierre Leroj'-IJeaulieu dans le compte-rendu inté- ressant de ses voyages publié par la Revue des Deux Mandes. Et la question est main- tenant de savoir si la pénétration des Euro- péens est possible sans que les puissances européennes prennent le pouvoir entre leurs mains. Nous ne croyons pas qu'elles aient réellement grande envie de partager la Chine.

Les puissances sont, en effet, plus paisibles que ne le croit le grand public: elles ne dési- rent pas faire naître des difficultés internatio- nales qu'on peut éviter. Malgré le grand dé- veloppement de l'agriculture et en partie de l'industrie en Chine, les mines ne sont pas du tout exploitées. Elles sont donc, après les che- mins de 1er, la grande affaire des Européens.

Les Russes travaillent avec la plus grande énergie a construire le chemin de fer qui unira leur grande ligne transsibérienne à la mer ouverte: ils emploient, a présent, eslimet-on, malgré les difficultés à recruter un aussi nom- breux personnel, .'iO.OOO hommes comme ou- vriers. Pour la ligne de Shanghaï-Kwausin- JN'inuhwang, pour laquelle la Banque de Hong-Kong-Shanghaï consent un emprunt de -i ' J millions de livres sterling à ·"> 7°' '«' gouvernement chinois a maintenant promis île ne jamais la vendre à aucune puissance étrangère.

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

Avertissements aux chercheurs d'or

S u r les champs d'or de Klondike, M. de Foville a publié récemment une étude admi- rable dans la Reçue des deux Mondes. Il a surtout mis en relief les énormes difficultés de toutes sortes, les grandes dépenses et les di- vers obstacles dus a l'àpreté du climat. Ce qu'il dit est entièrement confirmé par les rap- ports consulaires publiés récemment par le département du travail des Etats-Unis. M. Dun- h a m estime que dans l'année terminée, le Io juillet 1898, 40.000 hommes sont arrivés aux c h a m p s d'or, de Yukon, mais plus de 20.000 personnes désireuses de se rendre là ont été arrêtées, et forcées de retourner chez elles à cause des difficultés rencontrées pendant le voyage, et que plusieurs autres milliers sont encore en roule. Les dépenses faites par 430.000 hommes ont été de 150 millions de francs environ, auxquelles il faut ajouter 25 millions dépensés par les sociétés de naviga- tion et les compagnies commerciales. M. Dun- ham eslime que de ces dépenses totales de 175 millions de fr. la plus grande partie a été perdue. Les */' f'e s personnes ont probable- ment perdu tout ce qu'elles ont déboursé, et pendant celte année entière, la valeur de la production aurifère n'a monté qu'à 00 mil- lions de francs environ. Beaucoup de pertes sont dues a u x réclames exagérées des jour-

naux qui n'ont guère parlé des difficultés. Un autre consul. M. Mac Cook, cite les dépenses à Dawson cily : 12 fr. tiO pour un diner, par exemple : 32 fr. 50 pour un lit dans un IuMeI pour une nuit : 5 francs par heure pour un ouvrier, malgré le grand nombre de ceux qui se promènent sans travail.

Dernièrement, dit Mac Cook. on croit avoir trouvé un territoire encore plus riche de l'au- tre ciMé de la frontière américaine, notamment prés du Korly Mile Creek, affluent du fleuve de Yukon, à 52 mille au-dessous de Dawson City. Une nouvelle ville qu'on appelle Kagle.

City, Belle-Ile sur la carte, promet de devenir un centre encore plus considérable que Daw- son City. Cette dernière ville possède, il est vrai, 20.(100 habitants, mais elle est située d a n s un marais.

Un clou pour la grande exposition de 1900

Γ η clou pour la grande exposition d<· 1900, voilà ce que cherchent en vain à trouver les j o u r n a u x , dit le Monde économique. Il est inutile qu'ils le cherchent plus longtemps, ils ne le trouveront pas. Les projets plus ou moins ingénieux et originaux ne manquent pas cependant. Pourquoi ne peuvent-ils abou- tir ?

P o u r ma part, j ' e n connais une bonne cin- q u a n t a i n e , dont quelques-uns, très originaux et très intéressants, qui traînent d a n s les ca- binets d'affaires et qui, hélas, ne verront pas le jour : pourquoi !

Tout simplement parce que les financiers ne le permettent pas. El pour quelle raison, s'il vous plail? J e vais vous faire rire, et c'est cependant la seule raison : Λ cause de la loi de 1893 sur les sociétés !

Il est facile de comprendre qu'une société créée en vue de l'exposition et ne devant pas

«voir une durée de deux a n s , les auteurs des projets et les financiers ne vont pas attendre, et ne peuvent pas attendre la fin de l'exposi- tion pour réaliser leurs bénéfices. Ur. c'est cette réalisation que rend impossible la loi de

1893: elle décide en effet que les actions d'ap- port ne peuvent se négocier qu'après deux a n s . Dans ces conditions, il est aisé de se rendre compte de la difficulté qu'éprouvent les inventeurs a trouver les financiers disposés à lancer leurs projets.

Nouvelles diverses

A p r o p o s d e s r e l a t i o n s e n t r e la R u s - s i e e t l ' A n g l e t e r r e , les Anglais constatent le grand besoin ou se trouve la Russie de maintenir la paix. On compare le développe- ment de la Sibérie à celui du Canada, et même à celui des Etats-Unis. En effet, la Russie lient du Pacifique à la Baltique la même place dans l'ancien monde, qu'en Amérique les posses- sions britanniques. L'organisation du pays rend absolument nécessaire le maintient de la paix, et il n'y a aucune raison sérieuse de craindre pour le moment, une agression de la Russie contre les Indes.

On compare l'activité de M. de Witte à celle deColberl en France. Cette comparaison n'est cependeant pas très (laiteuse pour l'homme d'Etat russe quand on se rappelle tout ce qu'a fait de mal à la France le protectionnisme de Colbert.

C o m m e peine c o n t r e les a n a r c h i s t e s , un écrivain qui a publié un nouveau livre sur ce sujet en Allemagne sous le nom d'Emma- nuel, conseille de les enfermer dans des mai- sons de santé, parce que le motif de leurs cri- mes est en général la vanité et le désir de faire parler de soi, et parce qu'un anarchiste enfermé dans un asile d'aliénés est en réalité moins dangereux qu'un anarchiste décapité sur l'échafaud.

C e q u e d o n n e n t la F r a n c e e t l ' A n g l e - t e r r e à l ' E g y p t e , ce sont, d'après les Daily News, la France, toujours des capitaux. l'An- gleterre des hommes pour gouverner le pays.

Cela étant, il devrait être, selon le journal anglais libéral, facile aux deux pays de s'en- tendre sur leur zone respective d'activité au pays des P h a r a o n s .

A g r a n d e v i t e s s e . — L a statistique vient d é j o u e r un vilain tour aux jingoes, en révé- lant que la marine marchande anglaise à grande vitesse était.celte année, abominable- ment battue par la marine allemande. C'est le staemer Empereur Giiillaame-le-Grand qui est le grand vainqueur, g a g n a n t d'un jour les autres tra-nsatlantiques faisant la traver- sée d'Europe à New-York.

(Test tout à fait humiliant, disent-ils, d'être battus par un navire de construction exclusi- vement allemande, et de voir nos staemers les plus rapides être aussi grandement dis- tancés. Ce qui peut nous consoler, ajoutent-ils, c'est que les Allemands ne conserveront pas longtemps le premier rang. La Wite star Line va, le 14 janvier prochain, lancer un nouveau navire à Belfast. Sa longueur est de 235 mètres, soit prés de 4 mètres de plus que le Great Eastern. Son tonnage brut de jauge est de 17.000 tonnes. Sa vitesse doit être con- sidérable et dépasser celle de tous les navires connus.

La s i t u a t i o n d e la F r a n c e e s t la p i r e e t la p l u s difficile d e t o u t e s , a dit Lord F a r r e r à l'assemblée annuelle du Cobden Club. Elle fait aujourd'hui en Afrique et en Asie ce qu'elle faisait en Amérique pendant le dernier siècle. Elle envoie des explorateurs, des missionnaires, des soldats et des officiers, mais elle ne colonise p a s : elle ne développe pas la production du pays. Nous n'aurions aucune objection à présenter contre l'exten- sion de l'empire franeais en Afrique ou de l'influence française en Chine, si elle consen- tait seulement à pratiquer la politique de la porte ouverte. Lord Salisbury a laissé à la France la liberté de faire le commerce sur le Niger et il doit la reconnaître aussi sur le Nil : mais, en compensation, il parait légitime de demander à la France le même libéralisme sur le Congo et sur la partie française du Niger.

Les g r è v e s en A n g l e t e r r e en 1 8 9 7 .

— Le Bine Bock(Livre bleu) du Ministère du

commerce anglais récemment publié constate qu'il y a eu. l'année 1897, dans tout le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Ir- lande, SUi grèves des ouvriers de l'industrie parmi lesquelles la grande grève des ouvriers des industries mécaniques a relégué toutes les autres au second plan. Sur une perte to- tale de 10 millions de journées de travail, pour ces 804 grèves, 0 millions environ s'appliquent à la grève des ouvriers des industries méca- niques.

Le chiffre des ouvriers qui ont participé a u x grèves en 1897 a été de 230,207 de plus qu'en 1890 et de moins qu'en 1895 et 1894. et n'a été que le tiers seulement du chiffre de 1893.

Pour les neufs premiers mois de l'année 1898, on constate déjà une perte de 14 millions et demi de journées de travail par suite de la grève des ouvriers des mines de charbon du sud du pays de Galles.

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Procédés industriels

Trempe des outils en acier. — Voici

un procédé de trempe des outils en acier, qui donne, parait-il, de très bons résultats.

Dans un récipient d'une certaine capacité, on mélange intimement quatre partie de ré- sine et deux parties d'huile de baleine, et on y incorpore ensuite une partie de suif chaud. On inlroduildans cette masse les corps à tremper après les avoir portés préalablement à la température du rouge cersie, et on les y laisse jusqu'à complet refroidissement: on les remet ensuite sans les essayer dans un feu tempéré, à la manière ordinaire.

Si l'on brise des barres trempées de cette façon, on constate que la trempe est plus pro- fonde et plus égale qu'avec tout autre procédé et que l'acier est moins cassant.

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Augmentation de 8.155 boites d'or et do 7.950 boites argent sur Ie mois correspondant de 1897.

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du fi Janvier 1890

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A r g e n t fin l a m i n é , devant servir de base pour le calcul des titres de l'argent des boites de montres . . . fr. 100.50 le kilo.

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SOCIÉTÉ DU JOURNAL

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

Par décision de l'assemblée générale des actionnaires, en date du 2 décembre ISi)S, la S o c i é t é a n o n y m e d u j o u r n a l „ L a F é d é r a t i o n h o r l o g è r e s u i s s e " dont le siège est à Bienne ( F . O. S. du C. du Ki juillet ISSi), λ " 124), a été déclarée dissoute pour la fin de l'année courante. La liquidation sous la raison S o c i é t é d u j o u r n a l ,, La F é d é r a t i o n h o r l o g è r e s u i s s e " e n Mq. sera soignée par les liquidateurs désignés par l'assemblée, savoir : IVDI.

Louis-Paul Brandi, à Bienne, Fritz Schlatter, à Madretsch el David Perret, à Neuchàlel. Les liquidateurs sont autorisés à signer indivi-

duellement au nom de la Société. 515Io Sous la raison sociale N o u v e l l e s o c i é t é d u j o u r n a l „ L a

F é d é r a t i o n h o r l o g è r e s u i s s e " , il a été fondé une société ano- nyme, avec siège à Bienne et ayant pour but d'acquérir la propriété du journal La Fédération horlogère suisse à la Société du journal La Fédération horlogère suisse dont la dissolution a été décidée pour le 31 décembre ISi)S, el de continuer la publication île ce journal comme du passé.

Les statuts ont élé adoptés le 2 décembre ISi)S el la durée de la Société est fixée à ô années, à partir du I1''' janvier ISDi).

Le capital social s'élève à huit mille francs (IV. SuDt).—), divisé en 40 actions de f'r. 201).— chacune. Les actions sont nominatives et Lransmissiblcs par voie d'endossement.

Le Conseil d'administration se compose de 4 membres, savoir : MM. Louis-Paul Brandt, à Bienne, président: Fritz Schlatter, à Madretsch, vice-président: Emile Tiéche, a Bienne, caissier, et David Perret, à Neuchàlel. membre. Les ('onctions de secrétaire sont remplies par M. Fritz Huguenin, à Chaux-de-Fonds, rédacteur de La Fédération horlogère suisse.

Les publications de la Société sont insérées dans le journal La Fédération horlogère suisse.

La Société est représentée vis-à-vis des tiers par le Président et le Caissier, el elle est valablement engagée par la signature collective de ces derniers.

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