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TECHNOLOGIE DE L’OPTIQUE GUIDEE Leçon 1

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Academic year: 2022

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MASTER PRO 2 EN TELECOMMUNICATIONS

TECHNOLOGIE DE L’OPTIQUE GUIDEE

Leçon 1 :   PRINCIPE, PROPRIETES ET TECHNOLOGIES  DE LA FIBRE OPTIQUE 

Equipe des concepteurs :

- Martin KOM

- Jean EYEBE FOUDA - Guillaume KOM

Le contenu est placé sous licence /creative commons/ de niveau 5 (Paternité, Pas d'utilisation commerciale, Partage des conditions initiales à l'identique)..

REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail – Patrie

--- UNIVERSITE DE YAOUNDE I

---

ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE

---

REPUBLIC OF CAMEROUN Peace - Work – Fatherland

--- UNIVERSITY OF YAOUNDE I

---

NATIONAL ADVANCED SCHOOL OF ENGENEERING

---

(2)

Séquence 1         3

ième

 partie

1.3.  Technologies des fibres optiques 

1.3 1. Les différents types de fibres optiques et leurs caractéristiques

Le tableau 1.2  montre différents types de fibres optiques. On peut les classer en gros, en deux  catégories : les fibres monomodes et les fibres multimodes. Les fibres multimodes peuvent à  leur tour, être divisées en fibres à saut d’indice, dans lesquelles l’indice de réfraction change  d’une   façon   discontinue   à   l’interface   cœur/gaine,   et   les   fibres   à   gradient   d’indice   dans  lesquelles   l’indice   change   de   façon   continue   dans   la   direction   radiale.   Certaines   fibres  emploient largement la silice et ont par conséquent une température de ramollissement élevée  (1900°C),   tandis   que   d’autres   sont   composées   de   verres   multicomposants   que   l’on   peut  travailler à température plus basses (800 à 1200°C).

Une fibre monomode peut présenter une très grande bande passante, mais elle n’est pas  supérieure   en   tous   points   aux   autres   fibres.   Les   raccordements,   par   exemple,   sont   plus  difficiles car le rayon du cœur n’est que de quelques micromètres.

La fibre multimode à saut d’indice a un cœur de grand rayon, entre quelques dizaines et une  centaine de micromètres de sorte que sa manipulation soit  relativement facile. Mais sa bande  passante est faible, seulement quelques dizaines de mégahertz sur un km. La fibre multimode  à gradient d’indice a un cœur dont le rayon est semblable à celui de fibre multimode à saut  d’indice. Elle peut elle aussi être manipulées facilement. Cependant sa bande passante est  environ cent fois plus grande.

L’indice de réfraction du cœur de ces fibres optiques est à peu près 1,5 et la différence  d’indice relative entre cœur et gaine se situe normalement entre 0,5 et 1%.

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Tableau 1.2 : Types de fibres optiques

      L’étude rigoureuse par les équations de Maxwell, des conditions de propagation dans  une fibre montre que seul un nombre limité de types d’ondes est susceptible de s’y propager :  ils correspondent aux modes de propagation, chaque mode ayant une vitesse de propagation  qui lui est propre. Le nombre de modes possibles se trouve réduit lorsque l’indice du cœur  décroît selon une loi quadratique du centre à sa périphérie (fibre à gradient d’indice) . Un seul  mode se propage dans une fibre à cœur d’indice constant, dite alors fibre monomode, lorsque  son rayon a est suffisamment petit pour que soit satisfaite la condition : 

      2  a/ .(n²Π λ 1 ­n²2  )1/2 < 2,40  (37)

 étant la longueur d’onde dan le vide; 

λ

pour  n1=1,50 et n2= 1,51  l’inéquation précédente entraîne :  a <2,2 λ

La figure  1.27   montre le profil d’indice des différents types de fibre optique.

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Fig  1.27 : Profil d’indice des différents types de fibre optique.

Tandis que les fibres monomodes et les fibres multimodes à saut d’indice ont des  indices constants, les fibres à gradient d’indice ont un indice variable. Les fibres à gradient  d’indice ont été   spécialement conçues pour les télécommunications. Leur cœur n’est pas  homogène comme dans le cas des autres fibres, leur indice de réfraction décroît de l’axe à 

l’interface selon la loi (Fig 1.28) :    n1r=n1

1−2 .raα      (38)

avec  r distance à l’axe,      =n1­n2<<n1,          exposant de profil d’indice tel que     ~2Δ α α

       

Fig 1.28: Loi de variation de l’indice d’une fibre optique à gradient d’indice.

L'ensemble des caractéristiques des fibres optiques est résumé sur la figure 1.29.

      

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a)

      

b)

c)

Fig 1.29: Caractéristiques des fibres optiques en fonction du type de fibre a) Fibres monomodes

b) Fibres multimodes  à saut d'indice c) Fibres multimodes  à gradient d'indice

1.3.2. Matériaux et méthodes de fabrication des fibres optiques

Une fibre optique est généralement constituée d’un cœur à indice de réfraction élevé entouré  d’une gaine en verre. Plusieurs sortes de combinaisons cœur/gaine et répartitions d’indice de 

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réfraction ont été mises au point et sont résumées au point de vue matériau et répartition  d’indice dans le tableau 1.2

1.3.2.1.  Fibre en verre de silice

Le verre de silice est composé d’une vitreuse de SiO2 pur. Il présente une atténuation plus  faible   que   tout   autre   matériau   connu  actuellement   dans  la   région  du   proche   infra­rouge. 

L’indice de réfraction est d’environ 1,45 et est donc bas comparé à celui des autres verres. 

Ainsi, pour employer le verre de silice comme cœur de fibre, on peut utiliser comme matériau  de gaine soit de la silice dopée au bore ou au fluor, soit des substances organiques telles que  des   plastiques,   qui   sont   parmi   les   quelques   matériaux   compatibles   ayant   un   indice   de  réfraction   plus   bas.   D’autres   part,     les   verres   au   phospho­silicate   et   au   germanosilicate  conviennent pour le cœur, car ils ont un indice de réfraction plus élevé que celui de la silice. 

Des exemples types des différentes méthodes de fabrication sont : 1. Revêtement plastique d’un cœur en verre

2. Méthode « barreau­tube »

3. Dépôt chimique en phase vapeur (CVD, Chemical Vapor Deposition).

4. Hydrolyse à flamme 5. Dépôt par plasma

6. Dépôt en phase vapeur dans le sens axial (VAD, Vapor­phase Axial Deposition

La figure 1.30  (a) montre une méthode de dépôt  chimique en phase vapeur dans laquelle des  couches de verrres sont déposées à l’intérieur d’un tube (dépôt interne) , généralement en  silice de très grande qualité, d’épaisseur uniforme et de section parfaitement circulaire. Ce  tube peut former le matériau de gaine mais le plus souvent, il sert simplement de bâti. Pour  produire une gaine   en silice à faible atténuation, la vapeur de tétrachlorure de silicium est  mélangée avec l’oxygène, puis on la fait circuler dans le tube. On chauffe à une température  d’environ 1800°C ; l’oxydation se produit par la réaction:

       SiCl4 +O2    SiO2 + 2cl2→ (39)

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Fig 1.30: Fabrication de fibre optique par dépôt chimique en phase vapeur (CVD  (a) Méthode interne. (D après Kapron et al. ) (b) Méthode de dépôt extérieur. (D’après 

French et al.) 1.3.2.2  Fibres en verre multicomposants

Une autre méthode pour fabriquer de verre muticomposant pouvant travaillé aux température  beaucoup plus basses de 900 à 1300°C est d’utiliser une disposition à creuset double telle que  celle de la figure 1.30. Le verre de cœur est fondu dans le creuset interne et le verre de gaine le  creuset extérieur ; ils s’écoulent par des orifices pour former une fibre. Cette méthode peut  convenir à une production industrielle des fibres, mais il faut faire attention aux impuretés  provenant des creusets et il est difficile d’obtenir des matériaux ayant au départ la qualité  voulue. On doit donc prendre de grandes précautions pendant la préparation.

Fig 1.31 : Creuset double pour la fabrication des fibres multimodes à gradient d’indice  ( D’après Koizumi et al.)

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      Comme le montre le tableau 1.2, on produit à partir des verres multicomosants des  fibres multimodes, ayant à la fois une répartition à saut d’indice et à indice parabolique ou 

quadratique dans le cœur de la fibre.  L‘atténuation à été réduite récemment à moins de  4dB/Km.

Une répartition parabolique peut être obtenue par la méthode du double creuset en permettant  la diffusion d’ions et par conséquent un échange d’ions après que le verre du cœur soit sorti  par l‘orifice interne. On peut avoir par exemple  un échange entre les ions thallium (Tl) du  cœur et lésions poatsssium (K) de la gaine. L’atténuation de cette fibre est aussi inférieure à  4dB/Km à 0,83m .

La perte par diffusion Rayleigh peut être inférieure dans certains verres composés, mais  malheureusement la dispersion par multicomposant est accrue.

1.3.3.        Exemple du processus de fabrication de la fibre monomode :        du barreau de verre au câble multi­fibres

 Les images ci­après montrent  comment l’on fabrique de la fibre monomode. Chaque étape de  fabrication est illustrée par un schéma explicatif.

La première étape consiste en l’assemblage d’un tube et d’une barre de verre cylindrique  montés concentriquement. On chauffe le tout pour assurer l'homogénéité du barreau de verre.

Un barreau de verre   d’une longueur   1m et d’un diamètre de 10cm permet d’obtenir par  étirement une fibre monomode de 150 km environ.

Fig 1.32 : Etape de fabrication d’une fibre monomode : Assemblage  Barreau et tube de verre  cylindrique montés concentriquement 

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      Le barreau ainsi obtenu sera installé verticalement dans une tour située au premier  étage et chauffé par des rampes à gaz. Le verre va s’étirer et « couler » en direction du rez  pour être enroulé sur une bobine.

On mesure l’épaisseur de la fibre (~ 10 m ) pour asservir la vitesse du moteur de l’enrouleur,  afin d’assurer un diamètre constant.

       

Fig 1.33 : Etape de fabrication d’une fibre monomode : processus d’étirement du verre et de  son enroulement sur une  bobine

Chaque bobine de fibre fait l’objet d’un contrôle de qualité effectué au microscope.

      

Fig 1.34 : : Etape de fabrication d’une fibre monomode :Contrôle de qualité de chaque  bobine de fibre  au microscope

Puis on va enrober le  verre d’un revêtement de protection (~230 m ) et assembler les fibres  pour obtenir le câble final à un ou plusieurs brins.

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Fig 1.35: Etape de fabrication d’une fibre monomode : Obtention du câble final après  revêtement  de protection du verre et assemblages des fibres

1.3.4. Exemples de réalisations

1.3.4.1. Préliminaires

Installé en 1985­1986, le panneau de distribution des fibres dans le local des PTT situé au  sous­sol d’Uni­Dufour est le nœud de communication central du réseau de l’Université.

C’est d’ici que partent les liaisons informatiques Ethernet ou ATM vers les sites les plus  importants,   mais   ce   sont   ces   mêmes   liaisons   qui   ont   permis   de   relier   les   centraux  téléphoniques.

Une partie de ces fibres vont directement au central PTT logé sous la plaine de plainpalais  (Généve, Suisse)

       

Fig 1.36 : Fibre PTT dans le sous­sol d'Uni­Dufour

Transceivers   fibre   optique   multimode   et   monomode   des   sites   à   distance   connectés   aux  routeurs correspondants.

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Fig 1.37 : Transceivers optiques pour les liaisons Ethernet via les fibres PTT

Point central du réseau des fibres multimodes du bâtiment Uni­dufour.

A droite de l’image, les Hubs Ethernet à connexion optique.

Les fibres arrivent jusqu’au poste de travail du personnel des SEINF ou des membres du CUI. 

Ainsi, on peut connecter les stations à Ethernet, FDDI ou ATM.

       

      

Fig 1.38 : Panneau de distribution des fibres à Uni­Dufour

Le gigaSwitch  commute les trames FDDI du  backbone  où sont raccordés les principaux  serveurs et les routeurs du réseau.

1.3.4.2    Présentation des câbles optiques (après fabrication) 

Selon les usages envisagés, les fabricants produisent différents types de câbles optiques (Fig  1.39).

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a) Câble optique monofibre

       

b) Câble multifibres

       

c) Câble optique de bureau ou domicile (sous tapis) Fig 1.39: Présentation des différents types de câbles optiques

1.3.5. Raccordements (épissure), connexions et couplages optiques

Il est d’une grande importance pratique  que de pourvoir interconnecter les fibres optiques,  mais c’est une opération en principe difficile à cause  de  la très petite dimension du cœur  de la fibre optique. Il est très important de souligner que le mot « raccordement » signifie  un raccordement ou une jonction permanente de deux fibres mises bout à bout.

Le mot le plus souvent   utilisé à la place de   raccordement et qui désigne en fait la même  chose   est   « épissure »,   « connecteur »   indique   une   connexion   amovible   que   l’on   peut  connecter et déconnecter très souvent.

Alors qu’épissure et connexion sont des opérations mécaniques sur la fibre, un certain nombre  d’autres dispositifs permet d’effectuer des opérations directement sur le signal optique : ce 

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1.3.5.1. Raccordements ou épissure 

Il y a plusieurs techniques de base pour raccorder les fibres, par exemple la méthode du  manchon, (fig 1.40 (a)) et la méthode du Vé et le joint à tube libre ( fig 1.40 (b)). Ces  méthodes utilisent toutes de la résine époxy pour la fixation en position définitive des fibres.

Une méthode très répandue consiste à ramollir et à fondre les extrémités de la fibre dans un  arc électrique à faible puissance, (fig 1.40 (c)). La fig 1.40 (d)  présente le schéma simplifié  d’un type d’épissure ou fusionneuse fonctionnant sur ce principe, pour fibre monomode.

      

              

d)        

e)

Fig 1.40 : Méthodes de raccordement : (a) Manchon, (b) Rainures  en V ; (c) et      (d) fusion à l’arc ; (e) raccordement des rubans de fibres.

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Elle comprend les éléments suivants :

1­ Un arc électrique E assurant la fusion des deux fibres 2­ Des micromanipulateurs M assurant  l’ajustement ;

3­ Un  dispositif d’insertion locale du lumière I, idéalement à la longueur d’onde où la  fibre est unimodale ;

4­ Un dispositif de détection de lumière D.

Les fibres I et D sont fortement courbées pour permettent d’injecter localement de la lumière  dans le cœur de la fibre ou d’en prélever. Ces dispositifs permettent en principe d’évaluer la  perte après fusion in situ, c’est à dire sans être obligé de faire une mesure de bout en bout où  l’injection aurait lieu à l’entrée de la ligne et la  détection à la sortie.

Les épissures actuelles permettent d’obtenir des pertes typiques de 0,05dB sur les fibres des  télécommunications.

La fig 1.40 (e) montre une méthode d’épissure multifibre qui a été développée pour ce besoin  spécifique, mais les extrémités des fibres ont dû être préparées lors de la fabrication pour que  le raccordement soit possible.

1.3.5.2. Connecteurs

Il existe à l’heure actuelle différents types de connecteurs pour fibres monomodes ou  multimodes, (Fig 1.41). Dans certains cas, on déduit la perte par réflexion entre les extrémités  des fibres en insérant une fine plaque en plastique entre elles. La perte par couplage a pu ainsi  être à moins de 0,1dB.

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En   dehors   des   exemples   montrés   ci­dessus,   un   exemple   de   solution   nouvelle   pour   les  connecteurs est le connecteur à double excentrique, dans lequel les deux fibres à coupler sont  montées légèrement  décalées  par rapport  à  l’axe.  En faisant  tourner  les manchons  et  en  maintenant les fibres, on fait tourner les cœurs sur deux cercles sécants et on détermine le  point de couplage optimum en observant l’intensité lumineuse sortant d’une fibre quand  l’autre est excitée.

La figure   1.42 est la photographie d’un de ces connecteurs, particulièrement adaptés aux  fibres monomodes.

       

Fig 1.42 : Connecteur à double excentricité 1.3.5.3.  Connecteurs ou coupleurs optiques

       Ils  servent à réaliser des opérations précises sur le ou les signaux optiques dans les fibres        auxquelles ils sont associés.

       La figure 1.43 montre le schéma de ces différents coupleurs en précisant les opérations qu’ils          effectuent sur les signaux..

      

(16)

      

Fig 1.43 : Schéma des différents coupleurs  présentant les  opérations effectuées sur les 

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On distingue alors :

       ­ Les coupleurs fusionnés (Fused tapered couplers).

C’est un groupe de fibres fusionnées  formant une seule large fibre à la jonction. La lumière  introduite dans chacune des fibres apparaît en sortie de toutes les autres fibres ;

      ­Le  Coupleur séparateur de faisceau ( luam –splitting coupler). 

Il   est   constitué   d’un   miroir   semi­transparent   et   de   lentilles   permettant   de   séparer   et   de  réorienter le signal optique dans d’autres fibres ;

­Le  Coupleur étoite réflectant (reflective star coupler)       

C’est   un   dispositif   multiports,   siège   de   réflexion   multiple,   utilisé   dans   les   réseaux  informatiques ;

­Le multiplexeur optique 

   Il     est   constitué   d’un   miroir   semi­transparent   ou   semi­refléchissant   et   sert   à   faire   du  multiplexage des signaux optiques ;

­Le démultiplexeur optique      

De   constitution   identique   au   coupleur   précédent,   il   sert   à   faire   l’opération   inverse,   le  démultiplexage optique ;

­Le Filtre optique       

Il est constitué d’un miroir dichroïque opérant comme un filtre, permettant ainsi de séparer  deux signaux optiques de fréquences différentes.      

Il convient de faire remarquer que les coupleurs optiques servent essentiellement à diviser le  signal optique source en plusieurs sorties. Seulement, à chaque division, le signal de sortie  diminue et il apparaît également des pertes par couplage (environ 0,5dB par couplage). Ainsi,  avec une entrée et deux sorties, le signal se divise entre les sorties 3 dB de perte par sortie). 

Ajoutée aux pertes par couplage, la somme des pertes par divisions (3,5 dB par sortie) devient  un   facteur   limitant   dans   l’utilisation   des   coupleurs   optiques,   si   bien   que   les   possibilités  maximales de coupleurs utilisables ne peuvent être déterminées que par la sensibilité des  détecteurs à la réception.

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