• Aucun résultat trouvé

Projet Innov. AR

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Projet Innov. AR"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

Le contexte

En mettant en réseau les entreprises agricoles et les organismes de recherche appliquée, le projet InnovAR a pour ambition de valider des solutions alternatives permettant de mieux conjuguer per- formances économique et environnementale en grandes cultures.

Les efforts porteront sur la nutrition des plantes et leur protection contre les bioagresseurs.

Innovation

en Agroécologie

dans le Rhin supérieur : identification,

co-conception et mise en œuvre de techniques

de production innovantes et durables

Février 2017 - Janvier 2020

10 Partenaires du projet

Coordinateur

ARVALIS-Institut du végétal www.arvalisinstitutduvegetal.fr Didier Lasserre (Ingénieur régional) d.lasserre@arvalis.fr

+33 (0)3 67 23 01 30

Partenaires

Chambres d’Agriculture Alsace : Jean-Louis Galais Grand Est : Hervé Clinkspoor

Association pour la Relance Agronomique en Alsace - ARAA

Rémi Koller - Olivier Rapp

LandwirtschaftlichesTechnologiezentrum Augustenberg - LTZ

Jürgen Recknagel - Markus Mokry - Kerstin Hüsgen

Landwirtschaftliche Untersuchungs- und Forschungsanstalt – LUFA Speyer

Martin Armbruster

Landratsamt Breisgau-Hochschwarzwald Jürgen Maier

Agentur für nachhaltige Nutzung von Agrarlandschaften - ANNA

Karl Müller-Sämann – Dominik Holland Entreprise Rauch

Frédéric Klein - Fabien Schäfer ATMO - Grand Est

Eric Herber - Cyril Pallarès

18 Organismes associés

IMIR

3 Co-financeurs publics

Le projet est cofinancé par les partenaires du projet et par :

• le fonds européen de développement régional (FEDER) via le programme INTERREG V A Rhin supérieur.

• la Région Grand Est et le Ministère de l’Espace rural et de la protection du consommateur du Bade Wurtemberg

Projet

(2)

▲ Les résultats attendus en

1. fertilisation des cultures

• Tests de validation et finalisation (pré-commercialisa- tion) d’un outil de fertilisation injectée qui positionne le fertilisant avec précision dans le sol et convient à tous les types de sols. Elaboration de recommandations pour un emploi optimal.

• Promotion d’une technique de fertilisation azotée inno- vante, diminuant dans l’atmosphère les pertes en am- moniac gaz précurseur de particules fines néfastes à la qualité de l’air et à la santé et réduisant la pollution par les nitrates des eaux souterraines.

2. protection des cultures

• Mise au point de solutions fongicides utilisant des subs- tances naturelles pour lutter contre les maladies fo- liaires du blé qui affectent le rendement et la qualité (septoriose et fusariose).

• Validation de méthodes de lutte biologiques contre des ravageurs souterrains (chrysomèle, taupin) nuisibles aux cultures de maïs et de pomme de terre.

1. En favorisant les échanges entre les entreprises agri- coles et la recherche pour concevoir et développer les meilleures solutions agroécologiques dans la conduite des cultures.

2. En proposant aux agriculteurs les méthodes agroéco- logiques les plus pertinentes sur deux thèmes : - Nutrition des plantes : optimisation d’un outil pour loca-

liser dans le sol avec précision un dépôt d’engrais riche en ammonium (méthode CULTAN mais avec un engrais solide) qui permet une meilleure efficience de l’azote en limitant les pertes par volatilisation ammoniacale (NH3) et lessivage des nitrates (NO3-), en rendant possible une réduction de la dose de fertilisants.

- Protection des plantes : utilisation des produits de bio- contrôle comme alternatives aux produits phytophar- maceutiques de synthèse. Les travaux ciblent la maî- trise des ravageurs souterrains (chrysomèle et taupin) qui menacent le maïs grain et la pomme de terre ainsi que la lutte contre les maladies des feuilles et des épis du blé (septoriose et fusariose).

Des leviers pour l’agroécologie

• Développement de méthodes et de matériels permet- tant de sécuriser les résultats de la recherche

� sur le plan agronomique par brumisation des par- celles expérimentales pour les tests sur maladies foliaires du blé

� sur la qualité de l’eau à l’aide de parcelles équipées avec des bougies poreuses qui permettent de mesu- rer concentrations

en nitrates et de quantifier les flux d’azote sous la zone racinaire.

� sur la qualité de l’air à l’aide de capteurs qui per- mettent de recons- tituer les pertes d’azote sous forme ammoniacale.

• Validation des résultats et des alternatives proposées par un groupe mixte transfrontalier de chercheurs et d’entrepreneurs agricoles désireux d’améliorer leurs performances économiques et environnementales et intéressés par l’innovation dans leurs pratiques de pro- duction.

Quels sont les

objectifs ?

Innov.AR souhaite

mettre à disposition

du monde agricole

des méthodes

agroécologiques

adaptées au contexte

du Rhin Supérieur.

Références

Documents relatifs

Plaine de l'Isère et vallée du Rhône Thrips du tabac et de l'oignon Plantes avec présence : 5 %.. Rouille de l'ail Plantes atteintes :

BSV n° 15, 2021 Cultures légumières, région AURA, édition du territoire Auvergne Rhône-Alpes 4 Seuil de nuisibilité puceron vert et cendré : apparition des colonies.. Zone Alpine

Seuil de nuisibilité puceron : 10 % de plantes avec aptères au printemps sur de jeunes plantations Seuil de nuisibilité : aucun pour les autres bio-agresseurs.. Val de

Le modèle indique un niveau de risque faible en ce matin du 27/7 à Aulnat, mais il indique toutefois que le seuil de nuisibilité a été dépassé, ce samedi 24 juillet, pour toutes les

Le modèle indique un niveau de risque faible en ce matin du 13/7 à Aulnat ; mais il indique toutefois que le seuil de nuisibilité a été dépassé la veille, -lundi

J Quels sont les principaux insectes déprédateurs du maïs en stock au Bénin, les dispositions préliminaires à prendre et les méthodes de lutte.. I Quels sont les principaux

¾ Renforcement du piégeage dans les zones focus (zone d’un rayon de 5 000 mètres autour du foyer et qui correspond à la zone la plus rapprochée du piège ayant capturé les

Le présent projet se propose de vérifier chez le maïs, l’expression de cette protéine dans différentes conditions agro climatiques et d’évaluer son effet sur