• Aucun résultat trouvé

Retentissement osseux des surcharges en fer

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Retentissement osseux des surcharges en fer"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

20 | La Lettre du Rhumatologue • N° 421 - avril 2016

DOSSIER

Hémochromatoses

Retentissement osseux des surcharges en fer

Bone impact of iron overload

P. Guggenbuhl1,2,3, L. Peltier1,2, G. Chalès1,3, P. Brissot1,2, O. Loréal1,2

1 Université de Rennes-I.

2 I n s e r m U M R 9 9 1 , h ô p i t a l Pontchaillou, CHU de Rennes.

3 Pôle locomoteur, service de rhumatologie, hôpital Pontchaillou, CHU de Rennes.

L’état des lieux

L’effet délétère des surcharges en fer sur le tissu osseux est connu de longue date. F. Delbarre a été parmi les premiers à rapporter des cas d’ostéo porose au cours de l’hémochromatose “idiopathique” dans les années 1960 (1). L’ostéoporose est aussi un pro- blème dans les surcharges en fer survenant au cours des thalassémies (2, 3).

Au cours de l’hémochromatose, avant, mais aussi après que sa nature génétique a été établie, l’idée générale était que la perte osseuse n’était pas liée directement à la surcharge en fer, mais à un hypo- gonadisme ou à un éthylisme associés (1, 4). Cette hypothèse a depuis été battue en brèche par les études les plus récentes sur le sujet, non seule- ment parce que ces facteurs de risque classiques d’ostéoporose n’ont pas été mis en évidence chez les sujets hémochromatosiques par mutation du gène HFE (p.Cys282Tyr, C282Y), mais aussi parce que les techniques modernes d’évaluation de la masse osseuse comme l’ostéodensitométrie n’étaient pas disponibles pour les études initiales. De même, avant l’ère du diagnostic génétique, la nature exacte de la surcharge en fer pouvait être sujette à caution. Avec le diagnostic de plus en plus précoce de l’hémo- chromatose, de découverte souvent fortuite lors d’examens biologiques de routine, et la mise en place rapide du traitement déplétif, l’hypogonadisme est devenu très rare (environ 6 % des hommes et 5 % des femmes) [5]. Malgré cela, la prévalence de l’ostéo porose ne semble pas diminuer dans les études les plus récentes utilisant la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) chez des patients typés, sur le plan génétique, homozygotes pour la mutation C282Y du gène HFE. La fréquence de l’ostéoporose (T score < −2,5) oscille entre 25,3 et 34,2 % (6-8). La fréquence des fractures compliquant l’ostéoporose chez l’hémochromatosique est très mal connue. Elle serait de l’ordre de 20 % dans une étude ancienne, antérieure à la découverte du gène

HFE et au diagnostic génétique (9). C’est néanmoins le mode révélateur de la maladie dans quelques cas (10, 11). Dans les hémochromatoses juvéniles, qui entraînent des surcharges majeures non liées à une mutation du gène HFE, mais à des mutations des gènes codant pour l’hémojuvéline ou l’hepcidine, il a été décrit une ostéoporose majeure (12).

Physiopathologie de l’atteinte osseuse

Même si elles s’ajoutent évidemment au risque d’ostéo porose liée à la maladie, les causes classiques de perte osseuse ne peuvent expliquer l’ostéo porose de l’hémo chromatose génétique. Les publications récentes ont permis d’éliminer le rôle potentiel d’une hyperparathyroïdie, d’une carence en vitamine D, d’un hypogonadisme ou d’une insuffisance hépato- cellulaire associés (6-8, 13).

Quel est l’effet d’une surcharge en fer sur le métabolisme osseux ? Plus généralement, quel est l’impact du fer sur l’os ?

Il a été montré que, parmi des femmes ménopausées et des hommes d’âge moyen sans surcharge en fer, les sujets ayant une ferritine – marqueur du stock en fer hors de l’inflammation de la consommation excessive d’alcool, du diabète et de la cytolyse – dans les 2 quartiles les plus élevés (mais dans la normale) avaient une perte osseuse accélérée à la hanche et un risque fracturaire plus élevé, et, uniquement pour les femmes dans le quartile le plus élevé, une augmentation du risque fracturaire vertébral (14). Dans l’hémochromatose génétique HFE, il a été trouvé une corrélation négative entre la concentration hépatique en fer et la densité minérale osseuse (DMO) du col fémoral chez l’homme (7), et

0020_LRH 20 12/04/2016 17:20:07

(2)

La Lettre du Rhumatologue • N° 421 - avril 2016 | 21

DOSSIER

Hémochromatoses

Points forts

» L’ostéoporose est fréquente dans l’hémochromatose génétique.

» Elle n’est pas due aux facteurs de risque classiques d’ostéoporose.

» Elle implique à la fois une diminution de la formation osseuse et une augmentation de la résorption osseuse.

» Les taux de ferritine normaux les plus élevés constituent un facteur de risque d’ostéoporose chez les femmes ménopausées en dehors des surcharges en fer.

Mots-clés

Fer

Hémochromatose Ostéoporose Os

Highlights

»Osteoporosis is common in hereditary hemochromatosis.

»It is not due to traditional risk factors for osteoporosis.

»It involves both a reduction in bone formation and an increase in bone resorption.

»The highest normal ferritin levels constitute a risk factor for osteoporosis in postmeno- pausal women without iron overload.

Keywords

Iron

Hemochromatosis Osteoporosis Bone entre la ferritinémie ou la quantité de fer soustraite

et la DMO lombaire (8). L’étude des marqueurs du remodelage osseux est peu informative. Très peu de travaux ayant pour objectif de caractériser des biopsies osseuses humaines de sujets hémo- chromatosiques ont été menés. Ces études sont anciennes et leur interprétation est difficile, car il n’y avait pas de typage génotypique et les patients avaient d’autres facteurs de risque osseux surajoutés (hypogonadisme, cirrhose, alcool). Ces études mon- traient une augmentation des surfaces de résorption ostéoclastiques plaidant pour une augmentation de la résorption, et une diminution de l’épaisseur ostéoïde en faveur d’une diminution de la formation osseuse (15, 16). La question est posée de savoir s’il existe, chez l’homme, un seuil différentiel entre le taux de ferritine et le taux d’hormones sexuelles au-delà duquel il y aurait une augmentation du stress oxydant et une perte osseuse (diminution des estrogènes ou de la testostérone et augmentation concomitante, même modérée, de la ferritine) [17].

Des études chez l’animal confirment l’impact du fer.

L’étude de rattes ovariectomisées a montré un lien entre l’accumulation de fer et l’ostéoporose induite par la castration. L’administration de chélateurs du fer a permis de prévenir cette perte osseuse, et notamment de réduire l’augmentation de l’activité ostéoclastique (18). Chez le poisson-zèbre surchargé en fer ammonium citrate, il a été constaté une diminution de l’expression de certains marqueurs ostéoblastiques et de formation osseuse (Runx2, ostéocalcine, phosphatase alcaline, collagène de type 1), avec une diminution de la minéralisation osseuse. L’effet était réversible après adminis- tration d’un chélateur du fer (déféroxamine). Les auteurs attribuent l’effet du fer sur le métabolisme osseux à la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), ou stress oxydatif, qui est partiel- lement réversible sous chélateurs (19). L’importance du rôle du stress oxydant a été mise en évidence par d’autres auteurs (20, 21). Cette double contribution probable, ostéoblastique et ostéoclastique, est aussi suggérée par d’autres études chez l’animal. Ainsi, chez le mini-porc artificiellement surchargé en fer, il y avait une diminution de l’activité ostéoblastique et de la formation osseuse, mais une activité ostéo- clastique et une résorption normales (22).

Chez le rat surchargé en fer lactate, il y avait une augmentation globale du remodelage osseux, attestée par l’augmentation des marqueurs sériques de remodelage osseux et par l’augmentation des surfaces ostéoblastiques et ostéoclastiques sur les biopsies osseuses (23). Il en est de même dans le modèle murin de bêtathalassémie, qui engen- drait une diminution des surfaces ostéo blastiques et ostéo clastiques aboutissant également à une perte osseuse globale et à une diminution du nombre de travées (24). Dans un modèle de souris invalidées pour le gène HFE (mimant l’hémo- chromatose classique), il a été trouvé un phéno- type de perte osseuse au microscanner, associé à une augmentation significative de l’activité ostéo- clastique (25). Un modèle de souris KO pour le gène HAMP (mimant une hémochromatose juvé- nile par carence en hepcidine) a abouti à une dimi- nution de la résistance osseuse et des propriétés mécaniques osseuses, à une discrète diminution de l’ostéo calcine, et surtout à une augmentation significative des crosslaps sériques, témoin d’une augmentation de l’activité ostéo clastique et de la résorption osseuse (26).

Les résultats obtenus in vitro confortent aussi cette hypothèse d’une dualité des effets du fer et mettent en évidence des pistes d’intérêt. Une stimulation ostéoclastique par le fer a été retrouvée dans une lignée cellulaire (Raw 264.7) de façon concomitante à une élévation des ROS et du stress oxydant (27).

D’autres modèles cellulaires montrent une diminu- tion de l’activité ostéoblastique après exposition au fer (28, 29). Le fer pourrait inhiber l’action pro- ostéoblastique de BMP2 (30). Une étude trans- criptomique a mis en évidence une modulation par le fer de gènes exprimés sur une lignée ostéo- blastique (MG-63), notamment HHIPL-2, suggérant l’implication d’autres gènes que ceux classique- ment impliqués dans le métabolisme osseux dans la genèse de l’ostéoporose liée aux surcharges en fer (31). À ces 2 actions possibles du fer s’ajoute un impact sur le processus de calcification : expéri- mentalement, in vitro, dans un modèle acellulaire, la croissance de cristaux d’hydroxyapatite est dimi- nuée en présence de fer, et leurs propriétés sont altérées (32). De plus, dans une culture cellulaire ostéoblastique humaine et d’ostéosarcome,

0021_LRH 21 12/04/2016 17:20:07

(3)

22 | La Lettre du Rhumatologue • N° 421 - avril 2016

DOSSIER

Hémochromatoses

Retentissement osseux des surcharges en fer

des auteurs ont pu montrer que l’action ferroxi- dase de la ferritine (mais aussi de la cérulo plasmine) était capable d’inhiber la calcification ainsi que l’activité ostéoblastique, et de diminuer l’activité de gènes ostéoblastiques comme la phosphatase alcaline, l’ostéocalcine et CBFα1 de manière dose- dépendante (33).

L’ensemble de ces travaux montrent que la perte osseuse due aux surcharges en fer est liée à des mécanismes complexes et intriqués. Elle fait inter- venir non seulement une diminution de la forma- tion osseuse, mais également une augmentation de la résorption. Les espèces réactives de l’oxygène semblent jouer un rôle important, mais la recherche de gènes non classiques régulant le métabolisme osseux et modulés par le fer devrait apporter de nouveaux éléments.

Perspectives

Le fer est un élément essentiel à la vie cellulaire. Les états de carence et de surcharge sont des situations pathologiques “expérimentales” qui permettent de mieux comprendre l’action physiologique du fer.

Cela est particulièrement vrai pour le métabolisme osseux. Si les situations de surcharge sont relati- vement rares, de plus en plus de travaux font réfé- rence à l’association d’une élévation de la ferritine dans les valeurs normales et d’une perte osseuse postménopausique. Même s’il ne s’agit que d’un cofacteur de l’ostéoporose postménopausique, sa compréhension et les perspectives d’une correc- tion du métabolisme du fer et des taux de ferritine ouvrent des voies thérapeutiques potentielles dans

l’ostéoporose (34). ■

1. Delbarre F. L’ostéoporose des hémochromatoses. Sem Hop 1960;36:3279-94.

2. Haidar R, Musallam KM, Taher AT. Bone disease and skeletal complications in patients with beta thalassemia major. Bone 2011;48:425-32.

3. Weinberg ED. Iron loading: a risk factor for osteoporosis.

Biometals 2006;19:633-5.

4. Bisbocci D, Marinone C, Ballanti P et al. Bone invol- vement in primary hemochromatosis: osteoporosis and hormonal bone pattern in hemochromatosis. In: Gentilini P, Dianzani MU, eds. Experimental and clinical hepatology.

London : Elsevier Science, 1991:163-9.

5. McDermott JH, Walsh CH. Hypogonadism in hereditary hemochromatosis. J Clin Endocrinol Metab 2005;90:2451-5.

6. Sinigaglia L, Fargion S, Fracanzani AL et al. Bone and joint involvement in genetic hemochromatosis: role of cirrhosis and iron overload. J Rheumatol 1997;24:1809-13.

7. Guggenbuhl P, Deugnier Y, Boisdet JF et al. Bone mineral density in men with genetic hemochromatosis and HFE gene mutation. Osteoporos Int 2005;16:1809-14.

8. Valenti L, Varenna M, Fracanzani AL, Rossi V, Fargion S, Sinigaglia L. Association between iron overload and osteo- porosis in patients with hereditary hemochromatosis. Osteo- poros Int 2009;20:549-55.

9. Diamond T, Stiel D, Posen S. Osteoporosis in hemo- chromatosis: iron excess, gonadal deficiency, or other factors? Ann Intern Med 1989;110:430-6.

10. Eyres KS, McCloskey EV, Fern ED et al. Osteoporotic fractures: an unusual presentation of haemochromatosis.

Bone 1992;13:431-3.

11. Duquenne M, Rohmer V, Legrand E et al. Spontaneous multiple vertebral fractures revealed primary haemochro- matosis. Osteoporos Int 1996;6:338-40.

12. Angelopoulos NG, Goula AK, Papanikolaou G, Tolis G.

Osteoporosis in HFE2 juvenile hemochromatosis. A case report and review of the literature. Osteoporos Int 2006;17:150-5.

13. Pawlotsky Y, Le Dantec P, Moirand R et al. Elevated parathyroid hormone 44-68 and osteoarticular changes in patients with genetic hemochromatosis. Arthritis Rheum 1999;42:799-806.

14. Kim BJ, Ahn SH, Bae SJ et al. Iron overload accelerates bone loss in healthy postmenopausal women and middle- aged men: a 3-year retrospective longitudinal study. J Bone Miner Res 2012;27:2279-90.

15. Pawlotsky Y, Lancien Y, Roudier G et al. Histomorpho- métrie osseuse et manifestations ostéo-articulaires de l’hémo chromatose idiopathique. Rev Rhum Mal Osteoartic 1979;46:91-9.

16. Conte D, Caraceni MP, Duriez J et al. Bone involvement in primary hemochromatosis and alcoholic cirrhosis.

Am J Gastroenterol 1989;84:1231-4.

17. Huang X, Xu Y, Partridge NC. Dancing with sex hormones, could iron contribute to the gender difference in osteo porosis? Bone 2013;55:458-60.

18. Liu G, Men P, Kenner GH, Miller SC. Age-associated iron accumulation in bone: implications for postmenopausal osteoporosis and a new target for prevention and treatment by chelation. Biometals 2006;19:245-51.

19. Chen B, Yan YL, Liu C et al. Therapeutic effect of defero- xamine on iron overload-induced inhibition of osteo genesis in a zebrafish model. Calcif Tissue Int 2014;94:353-60.

20. Tsay J, Yang Z, Ross FP et al. Bone loss caused by iron overload in a murine model: importance of oxidative stress.

Blood 2010;116:2582-9.

21. Baek KH, Oh KW, Lee WY et al. Association of oxidative stress with postmenopausal osteoporosis and the effects of hydrogen peroxide on osteoclast formation in human bone marrow cell cultures. Calcif Tissue Int 2010;87:226-35.

22. De Vernejoul MC, Pointillart A, Golenzer CC et al. Effects of iron overload on bone remodeling in pigs. Am J Pathol 1984;116:377-84.

23. Matsushima S, Hoshimoto M, Torii M, Ozaki K, Narama I.

Iron lactate-induced osteopenia in male Sprague-Dawley rats. Toxicol Pathol 2001;29:623-9.

24. Vogiatzi MG, Tsay J, Verdelis K et al. Changes in bone microarchitecture and biomechanical properties in the th3 thalassemia mouse are associated with decreased bone turnover and occur during the period of bone accrual. Calcif Tissue Int 2010;86:484-94.

25. Guggenbuhl P, Fergelot P, Doyard M et al. Bone status in a mouse model of genetic hemochromatosis. Osteoporos Int 2011;22:2313-9.

26. Sun L, Guo W, Yin C et al. Hepcidin deficiency under- mines bone load-bearing capacity through inducing iron overload. Gene 2014;543:161-5.

27. Jia P, Xu YJ, Zhang ZL et al. Ferric ion could facilitate osteoclast differentiation and bone resorption through the production of reactive oxygen species. J Orthop Res 2012;30:1843-52.

28. Yamasaki K, Hagiwara H. Excess iron inhibits osteoblast metabolism. Toxicol Lett 2009;191:211-5.

29. Messer JG, Kilbarger AK, Erikson KM, Kipp DE. Iron overload alters iron-regulatory genes and proteins, down- regulates osteoblastic phenotype, and is associated with apoptosis in fetal rat calvaria cultures. Bone 2009;45:972-9.

30. Yang Q, Jian J, Abramson SB, Huang X. Inhibitory effects of iron on bone morphogenetic protein 2-induced osteo- blastogenesis. J Bone Miner Res 2011;26:1188-96.

31. Doyard M, Fatih N, Monnier A et al. Iron excess limits HHIPL-2 gene expression and decreases osteoblastic acti- vity in human MG-63 cells. Osteoporos Int 2012;23(10):

2435-45.

32. Guggenbuhl P, Filmon R, Mabilleau G, Baslé MF, Chappard D. Iron inhibits hydroxyapatite crystal growth in vitro. Metabolism 2008;57:903-10.

33. Zarjou A, Jeney V, Arosio P et al. Ferritin ferroxidase activity: a potent inhibitor of osteogenesis. J Bone Miner Res 2010;25:164-72.

34. Chen B, Li GF, Shen Y et al. Reducing iron accumulation:

A potential approach for the prevention and treatment of postmenopausal osteoporosis. Exp Ther Med 2015;10:7-11.

Références bibliographiques

P. Guggenbuhl déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.

Les autres auteurs n’ont pas précisé leurs éventuels liens d’intérêts.

0022_LRH 22 12/04/2016 17:20:08

Références

Documents relatifs

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

~nv~sa~ée ent~e ~ pnnQQ. et ces groupes peut donc serrbler très aléatoire ; les trrphcabons tenttonales, votre politiques, dépassent le cadre des faits

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

Jeune femme 23 ans ; découverte d'une masse abdominale lors d'une consultation pour début d'une

Une anoma­ lie apparente est que chez environ la moitié des malades, un traitement an­ térieur par la desferrioxamine s'était montré inefficace ; l'explication la plus

Puis, verser avec précaution, quelques gouttes (3mL environ) d’une solution diluée d’acide chlorhydrique. 2) Attendre quelques instants pour que le gaz formé purge l’air du

Il existe aussi des tumulus de terre ou pierres sans pé- ristalithe: tumulus simples (Zuhamendi III). Les mo- dalités architecturales centrales sont les mêmes

Dans les zones de faible prévalence des pathologies inflammatoires, la détermination du taux de ferritine sérique, associée au dosage des récepteurs solubles de la