• Aucun résultat trouvé

PARCOURS GESTION ET PARTAGES DES RESSOURCES EN EAU ET CHANGEMENT CLIMATIQUE

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "PARCOURS GESTION ET PARTAGES DES RESSOURCES EN EAU ET CHANGEMENT CLIMATIQUE"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

PARCOURS GESTION ET PARTAGES DES RESSOURCES EN EAU ET CHANGEMENT CLIMATIQUE

Module D - Ressources en eau en zone (semi)-aride : vulnérabilité et gestion face au changement climatique

Les sociétés actuelles, futures, sont et seront confrontées à de nombreux défis environnementaux.

L’étude des impacts des changements mondiaux, des dangers naturels et des activités anthropiques de l’échelle locale au globale sont un enjeu et un défi pour la recherche environnementale. Dans ce contexte, garantir l’accès universel et équitable à l’eau potable d’ici 2030, cible centrale de l’ODD3, nécessite une bonne compréhension des processus qui régissent la ressource en eau (sous différents contextes climatiques), et ainsi pouvoir conduire à proposer des solutions de développement durable.

Ce module animé par une variété d’experts de différents horizons, venant aussi bien du monde académique que professionnel, apportera un éclairage sur la vulnérabilité et les possibilités de gestion de la ressource en eau face au changement climatique avec un focus sur les zones semi-arides et arides en zone saharienne et subsaharienne. Ces zones sont particulièrement sensibles, caractérisées par de multiples cultures et économies, et soumises à des conditions climatiques singulières impactant fortement la ressource eau.

Ce module abordera la problématique de la ressource en eau sous l’angle de sa gestion économique, politique et sociétale en milieu subsaharien. Il traitera également de l’état de l’art scientifique sur les relations et processus existants entre ressource en eau et climat/changement climatique, ainsi que sur les méthodes analytiques/numériques utilisées pour la caractérisation quantifiée de la ressource en eau en milieu (semi)-aride. Enfin de façon plus générale, il proposera un espace de discussion autour de la présentation d’un cas concret d’amélioration d’accès à la ressource en eau lorsque celle-ci est limitée afin de mettre en avant des exemples de solutions durables.

Intervenants :

Delphine Caron, ingénieur en agriculture

Ingénieur en agriculture de formation, Delphine Caron a travaillé pendant 17 ans pour des ONG internationales, des organisations professionnelles agricoles et l’IRD, en France, en Afrique et en Asie. Depuis 2 ans et après l’obtention d’un master en conduite du changement dans les organisations, elle accompagne des équipes et des collectifs dans l’élaboration de projets, l’évaluation, la valorisation des résultats, la construction de partenariats multiculturels et pluridisciplinaires. Sa spécialité est l’animation participative.

Son sujet de recherche concerne la capacité d’acteurs divers, dont les scientifiques, à travailler ensemble, à co-construire des projets et à co-produire de la connaissance au service du développement (rôle de knowledge broker). Delphine Caron a particulièrement travaillé ces questions au Cambodge et au Bénin et elle collabore régulièrement avec une équipe de l’Institut des géosciences de l’environnement pour développer des projets de recherche au service des ODD.

(2)

Khatim Kherraz, secrétaire exécutif de l’observatoire du Sahara et du Sahel (OSS)

Khatim Kherraz est titulaire d’un diplôme d’ingénieur civil obtenu en 1977 à l’École des ponts et chaussées de Paris. Il a été enseignant associé à l’université de Constantine de 1980 à 2012 et a également occupé les fonctions de directeur départemental de l’hydraulique 1983 à 1994. Par la suite, il a assuré, de 1994 à 2012, le poste de directeur général de l’Agence de bassin hydrographique constantinois Seybouse - Mellegue en Algérie. Il occupe, depuis 2012, le poste de secrétaire exécutif de l’observatoire du Sahara et du Sahel. Khatim Kherraz a été maire de Constantine de 2002 à 2004.

Arona Diedhiou, directeur de recherche IRD, climatologue et physicien de l’atmosphère au sein de l'UMR de l’Institut des géosciences de l’environnement Arona Diedhiou est climatologue et physicien de l’atmosphère au sein de l’Institut des géosciences de l'environnement (IGE). Ses travaux portent sur la variabilité et le changement climatique et la pluviométrique, de la grande échelle à la méso-échelle. Il est spécialiste du système climatique africain et des changements climatiques dans les régions tropicales. Arona Diedhiou a été nommé en 2017, président du comité scientifique consultatif de Centre-Ouest africain de service scientifique sur le changement climatique et l’utilisation adaptée des terres (WASCAL). Depuis mars 2017, il a également été retenu comme auteur principal pour le rapport spécial du GIEC sur les implications d›un réchauffement de 1.5°C (SR1.5).

Christine Vallet-Coulomb, maître de conférences Aix-Marseille université, hydrologue et géochimiste au CEREGE

Christine Vallet-Coulomb est hydrologue et géochimiste au CEREGE, et responsable d’une formation de master en hydrogéologie à Aix-Marseille. Ses travaux portent sur la variabilité des ressources en eau dans les milieux arides et semi-arides, en lien avec les changements climatique et environnementaux. Elle développe l’application des traceurs isotopiques pour la quantification des flux à l’interface sol-atmosphère, en particulier l’évaporation, la transpiration et la recharge des nappes. Elle travaille sur différentes régions sensibles, comme l’Ethiopie, Madagascar, l’Argentine, le Tchad, ainsi que dans la zone méditerranéenne, et forme de nombreux étudiants et chercheurs.

Jean-Michel Vouillamoz, chargé de recherche IRD, hydrogéologue et géophysicien au sein de l'UMR IGE

Jean-Michel Vouillamoz est hydrogéologue (Master obtenu à l'université d'Avignon et des Pays de Vaucluse) et hydro-géophysicien (thèse de l'université Paris-Sud). Il a été responsable des programmes d'approvisionnement en eau potable en Afrique et en Asie pour une ONG française pendant 12 ans, puis il a rejoint l'IRD en 2005. Ses travaux concernent les ressources en eau souterraines des aquifères peu productifs (quantification des réserves, de leur renouvellement et de leurs évolutions dans le contexte des changements globaux), et le développement de la méthode géophysique de résonance nucléaire pour la caractérisation des aquifères.

Module E - Penser l’accès à l’eau dans un contexte de changement climatique : l’apport de la Political Ecology

Issue de la géographie humaine et de l’anthropologie sociale anglo-saxonnes, et développée aujourd’hui par des chercheurs à l’échelle internationale, la Political Ecology est un champ académique mobilisé également par des acteurs opérationnels du développement et par la société civile. Cette approche s’avère féconde pour penser l’accès à l’eau aux Suds dans un contexte de changement climatique, et pour favoriser les interactions entre le monde de la recherche et le monde opérationnel du développement.

Dans certaines régions du monde, le changement climatique exacerbe une pression sur les ressources en eau et rend plus aigus les problèmes de qualité et de disponibilité en eau potable, notamment dans les grandes villes du Sud. De nouveaux conflits émergent comme ceux autour de la construction et de la gestion de barrages visant à sécuriser l’accès à l’eau dans les métropoles, notamment dans les quartiers précaires. Ces tensions, qui engendrent de nouveaux enjeux en termes de gouvernance de l’eau, doivent être sérieusement appréhendées par l’analyse afin de permettre une co-construction des politiques publiques de développement dans le domaine de l’eau. C’est l’objectif principal de ce module de formation.

Plus précisément, ce module présentera les débats et les enjeux de ce champ interdisciplinaire dédié à l’étude des problématiques environnementales et hydriques, en particulier dans des terrains Suds.

Il présentera l’état de l’art scientifique de la Political Ecology appliquée aux enjeux d’accès à l’eau dans les grandes villes du Sud. Au-delà de l’apport théorique, le module sera construit à partir d’un dialogue dynamique et d’une approche appliquée illustrant la manière dont les outils de la géographie, de la sociologie, de l’économie institutionnelle et de la science politique peuvent être hybridés afin de fournir des instruments pour l’étude de ces problématiques. Le module illustrera également l’approche de la Political Ecology à travers une étude de cas portant sur les controverses et conflits qui se manifestent dans la zone du barrage de Ziga (Burkina Faso), principale source d’approvisionnement en eau potable de la capitale, Ouagadougou.

(3)

Intervenants :

René Véron, professeur à l’Institut de géographie et durabilité, université de Lausanne

René Véron est professeur en géographie sociale à l'université de Lausanne depuis 2010. Auparavant, il a travaillé dans des universités au Canada et au Royaume-Uni et a fait sa thèse à l’université de Zürich. Spécialiste de l’Inde, René Véron a participé à plusieurs recherches et projets orientés sur les politiques et processus du développement rural et urbain dans les régions du Kerala, du Bengale-Occidental, du Madhya Pradesh, du Gujarat et de Delhi. Ses recherches explorent des questions de développement socioéconomique, environnemental et politique dans des contextes de néolibéralisme et de globalisation.

Actuellement il travaille principalement sur la gouvernance environnementale dans des contextes urbains, en développant une approche poststructuraliste de la Urban Political Ecology et abordant des thématiques diverses, y compris la gestion des déchets ménagers et l’assainissement. René Véron enseigne la géographie sociale et politique, la Political Ecology, le développement et les urbanisations dans les Suds.

Catherine Baron, socio-économiste, professeure des universités en aménagement de l’espace et urbanisme et chercheure au Lereps, Sciences Po Toulouse Catherine Baron est socio-économiste, professeure des universités à Sciences Po Toulouse, où elle dirige le master « coopération Internationale et développement ». Elle est chercheure au LEREPS (Laboratoire d’études et de recherches sur l’économie, les politiques et les systèmes sociaux), rattaché à Sciences Po Toulouse, et a contribué à la création d’un axe intitulé « développement et soutenabilités ». Ses travaux de recherche portent sur la gouvernance des eaux (gouvernance des services d’eau potable en milieu urbain, gestion des ressources en eau, l’eau comme commun), à la fois sur le plan théorique (économie institutionnaliste, anthropologie économique) et sur le plan empirique (notamment dans les villes d’Afrique subsaharienne, et plus récemment en Indonésie). Elle conduit plusieurs programmes de recherche internationaux sur ces problématiques (accès à l’eau potable dans les quartiers précaires de capitales africaines : Niamey au Niger et Ouagadougou au Burkina Faso ; construction des politiques publiques de l’eau en Afrique : Bénin, Burkina Faso, Niger ; gestion intégrée des ressources en eau au Burkina Faso ; articulation entre gestion des ressources en eau et accès à l’eau potable dans les villes moyennes en Indonésie). Elle a valorisé les résultats de ces recherches dans des revues internationales et des ouvrages, et les a disséminés lors de conférences de vulgarisation dans divers pays des Suds.

Joana Guerrin, maitresse de conférences en Science Politique, université de Nîmes.

Joana Guerrin est maitresse de conférences en science politique à l’université de Nîmes. Elle a réalisé son doctorat à Montpellier (UMR G-Eau) et son post- doctorat à l’université de Lausanne (Institut de géographie et durabilité). Elle enseigne les méthodes de recherches qualitatives, l’analyse des politiques publiques et les théories politiques, mais a également enseigné l’histoire et les théories du développement et la géographie sociale. Joana Guerrin produit également des expertises pour le Fonds international de développement agricole (FIDA), en particulier des évaluations ex-post de projets de développement.

Dans sa recherche, elle étudie les politiques publiques de gestion des risques liés à l’eau (sécheresses et inondations), en France et au Brésil.

Yamba Siri, socio-anthropologue, université d’Ouagadougou.

Yamba SIRI est socio-anthropologue. Il exerce son activité professionnelle depuis 2014, en tant qu’attaché en études et analyses sociologiques, au sein d’agences de l’eau au Burkina Faso, notamment l’Agence de l’eau du Nakanbé (mise à disposition du Ministère de l’eau et de l’assainissement du Burkina Faso). Depuis Septembre 2017, il réalise une thèse en co-tutelle sous la direction du Professeure Catherine Baron, Sciences Po Toulouse et du Professeur Mahamadou Zongo, université de Ouagadougou. Sa thèse porte sur la diffusion des principes de gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) au Burkina Faso, en interrogeant les dynamiques territoriales, controverses et acceptabilité sociale de ces principes aux échelles locales. L’un des terrains de thèse identifié est le sous-bassin de Ziga (Nakanbé) avec une controverse relative aux conflits d’usage notamment dans les bandes de servitude, et un enjeu politique important dans la mesure où l’eau du barrage est la principale source d’approvisionnement de la capitale du pays.

Module F - Gestion territoriale et partage de la ressource en eau : anticiper les changements climatiques

Dans la continuité du cadre mondial pour les services climatologiques, et en vue de l’application de l’accord de Paris et de ses intentions nationales pour l’action climat (NDC) à l’échelle de collectivités territoriales, ce module propose de réfléchir sur l’apport et les limites des différents outils et méthodes mis à disposition des décideurs à l’échelle des territoires, pour les aider à définir et planifier collectivement les objectifs de politiques climatiques. Plus spécifiquement axé sur la gestion des eaux de ruissellement, ce module a pour objectif de contribuer à une gouvernance climatique locale « raisonnée ». Il traitera, au travers des entrées théoriques, de l’impact du changement climatique sur les eaux de ruissellement en Afrique de l’Ouest et sur les outils et méthodologies de modélisations hydrologiques. Au travers de l’étude de cas consacrée à la gestion des eaux pluviales en milieu urbain au Sénégal, il explorera les questions relatives à l’intégration des informations climatologiques dans les processus décisionnels, de coordination entre décideurs locaux multiples (collectivités territoriales, services ministériels déconcentrés, etc.), et ce, en relation avec les acteurs nationaux et chercheurs/scientifiques, tout en prenant en compte les incertitudes des scenarii climatiques.

(4)

Intervenants :

Loïc Fauchon, président d’honneur du Conseil mondial de l’eau

Diplômé de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, Loïc Fauchon a d’abord accompli un parcours polyvalent au sein de la fonction publique du Syndicat d’aménagement du Verdon au Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, puis au Conseil général des Bouches-du-Rhône et au Secrétariat général de la ville de Marseille, en passant par le poste de directeur de cabinet du maire de la cité phocéenne. De 1989 à 1997, il est maire de Trets, commune des Bouches-du-Rhône. Directeur général de la Société des eaux de Marseille (SEM) en 1991, il en devient PDG en 1997. Outre ses activités humanitaires, Loïc Fauchon illustre sa vocation au service de la « cause de l’eau », à l’échelle internationale, à travers le Conseil mondial de l’eau, qu’il a présidé pendant près de dix années (2005-2012) et dont il est aujourd’hui Président honoraire. Il est l’un des membres fondateurs du Panel de haut niveau des Nations unies sur les désastres liés à l’eau, auquel il participe depuis plus de dix ans. En octobre 2015, Loïc Fauchon a reçu le Prix de l’eau de la Fondation Prince Albert II de Monaco pour son action en faveur de la cause de l’eau. Il est également administrateur de diverses organisations comme l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée et la Société des eaux du Niger.

Philippe Roudier, chargé de recherche agriculture, climat et sécurité alimentaire, Agence française de développement (AFD)

Philippe Roudier est spécialisé sur les questions climat/agriculture dans les pays du Sud, notamment la modélisation des impacts climatiques. Ingénieur en gestion de la ressource en eau et docteur en économie de l’environnement (EHESS), il a également été chargé de projet scientifique pour l’Union Européenne au sein de l’unité risque climatique et modélisateur catastrophe naturelle dans le domaine de la réassurance. Parallèlement, il a également réalisé diverses missions de consultance pour des ONGs ou les Nations unies. Ses travaux ont été publiés dans une dizaine de revues internationales et sont repris dans les rapports du GIEC.

Thomas Lejeune, responsable de projets au sein du programme « eau potable, assainissement, déchets » (Gret)

Thomas Lejeune est ingénieur de l’eau et de l’environnement, avec une formation en gestion et financement des services publics environnementaux. Il s’est spécialisé dans l’assistance aux acteurs publics, l’analyse et la mise en œuvre des modes de gestion ainsi que dans le financement des services publics environnementaux. En charge de projets d’ingénierie pour des ONG au Maroc, Brésil et Cambodge, puis d’activités de conseil chez Espelia, notamment dans la zone Océan indien, il a depuis 2015 la charge de suivi de projets au Gret et effectue des missions d’expertise, d’évaluation et d’assistance technique.

Alain Dezetter, chargé de recherche en hydrologie à l’IRD (hydrologue modélisateur), rattaché à l’UMR HydroSciences de Montpellier (HSM)

Après un diplôme d’ingénieur en sciences de l’eau et une thèse sur la modélisation des ressources en eau en Côte d’Ivoire (1991), Alain Dezetter entre à l’IRD, où il travaille en Guadeloupe à l’évaluation des ressources en eau et à la planification des usages avec les services du Département et de la Région (1991-1994).

Il participe à l’élaboration d’un outil d’aide à la gestion et à la planification des ressources en eau (HYDRAM) et l’applique au Burkina Faso (1995-1999). Dans le cadre d’une modélisation régionale des ressources en eau en Afrique de l’Ouest et Centrale (2000-2005), il met au point des modèles pluie-débit mensuels et intègre les sorties des modèles climatiques de l’AR3 du GIEC pour l’estimation des ressources futures. Au Mali (2005-2009), il travaille à l’intégration de la variabilité spatio-temporelle des pluies et des états de surface dans la modélisation des ressources en eau du fleuve Niger (projet PNRH). Il travaille également durant cette période à à l’évaluation de la vulnérabilité des ressources en eau superficielle au Sahel aux évolutions anthropiques et climatiques à moyen terme (projet ANR RESSAC, utilisation des données de l’AR4 du GIEC). De 2010 à 2015, il développe ces thématiques en Méditerranée, en coopération avec Plan Bleu et le GICC. Enfin, au Maroc de 2015 à 2017, dans le cadre du Laboratoire mixte international TREMA, il s’intéresse à l’impact des changements climatiques et anthropiques sur les ressources en eau du bassin du Tensift. Il est par ailleurs auteur de plus de 50 publications sur ces thématiques.

Mamadou Alpha SIDIBE, directeur de l’aménagement et de la rrestructuration des zones d’inondation (DARZI) à Dakar

De formation universitaire en géographie à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Mamadou Alpha Sidibé a intégré le Ministère de l’urbanisme et de l’habitat en 1996 en tant qu’assistant technique du projet d’appui à la décentralisation et au développement local, où il s’est spécialisé sur les systèmes d’informations géographiques. Il travaille depuis 2006 sur la gestion des inondations, à différents postes, successivement comme conseiller technique auprès de différents ministères, puis coordinateur de la cellule de gestion du projet de gestion intégrée des inondations urbaines au Sénégal, financé par le Fonds vert pour le climat. Mamadou Alpha Sidibé est actuellement directeur de l’aménagement et de la restructuration des zones d’inondation (DARZI) à Dakar.

Références

Documents relatifs

En matière de ressources en eau souterraine, la région dispose d’importantes nappes alluviales peu profondes (0 à 20 m) localisées dans les vallées fossiles des Dallols (« Dallol

Vous pouvez donc profiter d'une eau potable délicieuse à chaque robinet de votre maison.

Le fonds de dotation Safe Water Cube et l’association Agir Ensemble montent des projets en partenariat avec des écoles en France et dans les villages où nous installons

Cet article examine d’abord la régression du Lac Tchad comme un exemple réel de variabilité climatique, ensuite les représentations que les populations ont du changement climatique,

8. Impacts négatifs limités sur les personnes et les biens : Étant donné que les projets et activités du projet concernent la petite irrigation, la

Cette figure montre que, pour la période de référence 1961-1990, le débit du Rhône est fortement influencé par la fonte du manteau neigeux entre le prin- temps et le milieu

CONVENTION CADRE POUR LA PRESERVATION ET LE DEVELOPPEMENT DES RESSOURCES EN EAU DANS LE BASSIN DE SOUSS

• Concevoir des méthodes d’évaluation des impacts de ces dynamiques sur les ressources en eau: mesurons-nous suffisamment de qualités d’eau issues de parcelles agricoles.