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Les blocs erratiques de la section genevoise: un double don!

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Les blocs erratiques de la section genevoise: un double don!

SESIANO, Jean

Abstract

La Section genevoise du club alpin a reçu de la part de ses membres trois blocs erratiques de granite situés en France voisine. L'un se trouve sur le Salève, l'autre à proximité de cette montagne et le troisième, sur les pentes des Voirons. Ces blocs sont décrits, leur composition minéralogique est présentée ainsi que leur âge, et leur origine, le massif du Mont-Blanc sans doute.

SESIANO, Jean. Les blocs erratiques de la section genevoise: un double don! In: La

Genevoise a 150 ans. Le livre du 150e anniversaire de la Section genevoise du Club Alpin Suisse . Genève : 2015. p. 141-147

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:80314

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La Section genevoise en 2015

Les blocs erratiques de la Section genevoise : un double don !

Jean Sesiano

De la dernière période glaciaire à nos jours

Des blocs erratiques ? Qu’est-ce que cela peut bien être ? Une espèce en voie de dis- parition ? Eh bien oui, et pas si loin que ça dans le temps, puisqu’au XIXe et au début du XXe siècle, il a fallu se secouer pour qu’ils résistent à l’appétit des carriers et autres bâtis- seurs de tout poil !

Mais, venons-en aux faits après avoir suffisamment tourné autour du pot. Les blocs erra- tiques, ce sont de gros cailloux, voire très gros, disons d’un demi à plusieurs centaines de mètres cubes. Erratiques, parce qu’ils se trouvent dans un endroit où ils ne devraient pas être. En fait, ils se sont trompés dans leur lieu d’atterrissage, en latin, errare veut dire « se tromper ». Mais qui les a abandonnés à cet endroit ? Les glaciers, pardi, ainsi que l’ont mon- tré au milieu du XIXe siècle des précurseurs de la glaciologie comme Ignace Venetz, Jean de Charpentier et Louis Agassiz. En fait, avec les moraines, un mélange, composé de sable, de gravier et de blocs de toute taille, lui aussi transporté puis déposé par les glaciers, les blocs erratiques sont une preuve de l’extension bien plus importante des glaciers autrefois.

Si l’on résume : un glacier est toujours en mouvement sous l’action de la gravité, il s’écoule de quelques centimètres à quelques mètres par jour. A sa surface, il peut recevoir des matériaux plus ou moins grossiers provenant des versants des montagnes qui l’enserrent, et il va les transporter vers l’aval, là où la température devenant positive, la glace se mettra à fondre. Tout le matériel transporté se retrouvera alors sur le sol, sous forme de moraines ou, parfois, de gros morceaux de roche isolés, les blocs erratiques. Et voilà le premier don de notre titre expliqué : un don de la nature.

Dépôts morainiques avec un bloc de taille importante (environs de la cabane de Chanrion).

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La belle et bonne aubaine, car un bloc erratique, c’est en général de la roche saine, com- pacte et solide qui nous est ainsi livrée gratuitement. Il n’y a plus qu’à exploiter cette carrière qui vient à nous ! Pas besoin donc de s’en aller vers la montagne à l’origine de ce don. Cette facilité d’accès est la cause de la disparition presque totale des blocs erratiques qui, pour beaucoup, ont fini en fragments taillés sous forme d’encadrements de portes et de fenêtres, de marches d’escalier, de pierres d’angle, de bordures de trottoirs, de bassins, de pressoirs, de meules, en un mot dans tous les endroits où l’on a besoin d’une pierre résistant à l’usure.

Ensuite, posons-nous la question de l’origine géographique de ces blocs. Les Alpes sont bien évidemment leur source. Mais quel a été le «transporteur » ? Deux possibilités : le gla- cier du Rhône ou celui de l’Arve. Selon l’endroit, il sera assez facile d’attribuer la provenance d’un bloc à l’un ou l’autre de ces glaciers. Par exemple, un bloc déposé sur les hauts de Lausanne ou dans la baie d’Excenevex sera un don du glacier du Rhône. En revanche, les blocs de la Plaine des Rocailles ou ceux de la Pierre-aux-Fées, près de Reignier, ou encore la pierre à Favre, un bloc de granite juché à 1665 mètres d’altitude sur la pointe d’Andey, un sommet qui domine Bonneville et la vallée de l’Arve ( ce qui donne en plus une idée de l’épaisseur de la glace qui recouvrit cet endroit ), là le « transporteur » sera sans hésitation le glacier de l’Arve. Parfois, c’est plus délicat : à la confluence de deux glaciers, lequel a fait la dépose ? Dans ce cas, ce sera peut-être la roche qui constitue le bloc qui nous donnera la solution. Si c’est un bloc de serpentine, une belle roche vert foncé, elle ne peut provenir que du Valais, plus précisément de la rive gauche du Rhône. Si c’est un gabbro dit « d’Arolla », une roche bien typée essentiellement blanche avec de gros cristaux vert sombre, alors elle vient du val d’Hérens.

Et si c’est du granite du Mont Blanc ? Eh bien, il peut avoir suivi deux itinéraires : soit la vallée de l’Arve, soit la vallée du Rhône. On a en effet tendance à l’oublier, mais la partie orientale du massif du Mont Blanc se trouve en Suisse : Trient, Saleinaz, Dolent, entre autres. De plus, les glaciers français du Tour et d’Argentière avaient par le passé un double écoulement ( diffluence ) : l’un au sud vers la vallée de l’Arve, et l’autre au nord vers le Valais, par les cols de Balme, des Posettes et des Montets. Nous y reviendrons.

Au XIXe siècle, quelques personnes clairvoyantes, des scientifiques mais pas seulement, se sont rendu compte que la destruction de ces témoins du passé pourrait être préjudiciable à la théorie de l’extension des glaciers. L’un des plus actifs a été le grand géologue genevois Alphonse Favre – l’un des «pères fondateurs» de notre Section. Dès 1879, et d’entente avec les mairies, il fait protéger les plus beaux blocs en y faisant graver la lettre « F » – comme

« Favre » aiment à dire certains… mais plus probablement «F» comme France puisqu’il s’agit de monuments historiques. Il était temps en effet : alors qu’il y avait encore 1200 blocs erratiques en 1826 au Petit-Salève, au milieu du XXe siècle il n’en restait plus que 400, d’une longueur comprise entre 80 centimètres et 12 mètres ! Certains blocs ont alors été acquis par souscription, d’autres en achetant le terrain sur lequel ils reposaient. C’est ainsi que des membres de la Section genevoise ont fait don à cette dernière d’une parcelle hébergeant un bloc erratique. Et voilà le second don du titre expliqué : un don en nature cette fois.

La Section genevoise a reçu trois blocs erratiques. Examinons-les dans l’ordre chronolo- gique de leur donation.

La pierre à Favre, un bloc de granite déposé sur la pointe d’Andey, 1000 mètres au-dessus du fond de la vallée de l’Arve

Vieilles Pierres deux vestiges de blocs erratiques déposés sur le dos du Petit Salève

.

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La pierre de Beauregard

Le 21 août 1869, François Bonneton, un Genevois habitant Mornex, a fait don à la Section d’un terrain pentu d’une superficie de 590 mètres carrés, situé à Esery derrière le Petit- Salève. Sur cette parcelle repose un gros bloc erratique appelé la pierre de Beauregard ( carte 1 ). On y trouve aussi deux bancs en granite ainsi que deux bornes taillées dans le même type de roche. L’acte de donation stipule qu’un droit de passage est accordé pour y accéder et qu’aucune construction ni plantation ne doit entraver la vue – sur la vallée de l’Arve en direction du Mont Blanc – qui justifie le nom du bloc.

Dans les faits, on assiste en 1869 à un sauvetage in extremis puisque François Bonne- ton acquiert alors un terrain sur lequel se trouvaient plusieurs blocs erratiques après avoir appris qu’un carrier piémontais s’apprêtait à les débiter. Et c’est la partie sur laquelle se trouvait le plus beau de ces blocs, la pierre de Beauregard ( photo ) , qu’il a donnée à la Section. Ce bloc de granite affiche un volume d’une quarantaine de mètres cubes, mais il est certainement bien plus gros car une «racine» est vraisemblablement enchâssée dans la moraine sous-jacente. D’autres blocs plus petits se trouvent sur le même terrain.

En 2007, il a été constaté que les deux bancs en granite mentionnés dans l’acte de donation avaient été vandalisés : l’un, adossé au bloc en amont, avait été cassé en deux, l’un des fragments ayant été roulé plusieurs mètres plus bas ; l’autre, en aval, près d’un bloc plus petit, avait été descellé et basculé plus bas. Treuillés, ces morceaux de granite taillé ont été remis à leur place et collés. Actuellement, la commune d’Esery s’occupe gracieusement de tondre l’herbe de la parcelle. Enfin, de tous les arbres dessinés sur le plan cadastral établi en 1869, il ne restait début 2015 qu’un cerisier qui devait avoir plus de 150 ans ! Malheureu- sement, un vent violent du mois d’avril a eu raison de ce patriarche.

Carte d’époque montrant la position de la pierre de Beauregard ( en blanc ) et les limites de la parcelle propriété de la Section genevoise.

Jean Sesiano devant la pierre de Beauregard,

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A l’occasion du 150e anniversaire de la Section genevoise, le comité a décidé – sur la sug- gestion de Jean Sesiano – de faire graver une nouvelle plaque en granite, celle d’origine, en calcaire, étant devenue presque illisible. Reprenant la formule originelle, il y est inscrit :

« pierre de BEAUREGARD, François BONNETON de Genève donateur, la Section gene- voise du Club Alpin Suisse reconnaissante 1869. Pour le 150e anniversaire de la Section genevoise 1865-2015 ».

Pierre de Beauregard : avant et après la pose d’une nouvelle plaque en 2015.

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La pierre de Saussure

,

anciennement pierre de Charnéaz

D’abord l’ancien nom de ce bloc : Charniaz ou Charnéaz, est le nom d’un hameau situé un peu au-dessous de l’emplacement du bloc, sur les pentes inférieures des Voirons qui regardent . Genève.Quant à l’histoire de ce bloc de granite, lui aussi, il s’agit d’une tractation un peu compliquée.

Le 20 novembre 1893, Monsieur Henri de Saussure a vendu devant notaire à Pierre Briffod de Lucinges un terrain sur lequel se trouvent deux blocs erratiques, l’un de grosse taille et l’autre bien plus petit, tout en les donnant à la Section genevoise avec un droit de pas- sage pour y accéder. Cet acte a été suivi le 3 août 1896 d’un échange entre la Section et Pierre Briffod : ce dernier cède les 30 mètres carrés où repose le gros bloc en échange du petit. Enfin, une convention est venue compléter cet accord en février 1909 : Pierre Briffod s’engage à faire graver et peindre en rouge quelques lignes sur le bloc et à débroussailler ses abords «…de façon à assurer dans un périmètre donné, soit 5 mètres, la possibilité aux visiteurs d’y séjourner agréablement ». Il recevra d’ailleurs une allocation annuelle pour ce travail et le contrat sera renouvelé tacitement d’année en année. Cette habitude s’est perdue avec le temps et, en 2007, il a fallu couper des sapins de plus de 20 centimètres de diamètre adossés à la pierre, ce qui favorisait l’humidité et l’apparition de mousses.

Inscrite au cadastre actuel, la surface de la parcelle sur laquelle trône le bloc est de 44 mètres carrés ! Sur la face dominant la plaine, on peut difficilement lire, gravé dans la roche

« Bloc de la Charnéaz, propriété du CAS, Section genevoise, don de Henri de Saussure, 1893 » La face antérieure de ce bloc de granite très allongé, qui fait penser à un énorme cercueil, est bien dégagée, alors que l’arrière disparaît sous des dépôts morainiques ; son volume hors sol est estimé à une trentaine de mètres cubes. Relevons que ce bloc, lui aussi, a failli disparaître. En effet, au sommet et sur l’arrière, on observe distinctement un début de taille qui visait à en extraire des meules.

Sur le bas des Voirons, la pierre de Charnéaz ou pierre de Saussure. .

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La pierre à Trottet, au Salève

Monsieur Emile Trottet, propriétaire et maître d’hôtel à Monnetier, a fait don le 3 octobre 1907 d’un bloc de granite reposant sur son terrain et comportant l’inscription « CAS, section genevoise ». Sur l’acte notarié, il est spécifié : « Et avec ce bloc, l’emplacement sur lequel il repose et l’espace nécessaire pour circuler librement, soit une superficie de treize mètres trente centimètres sur douze mètres dix centimètres ». Membre de notre Section depuis 25 ans, Emile Trottet a voulu ainsi lui manifester sa reconnaissance et sauver ce bloc de la des- truction qui avait été menée gaillardement sur le Salève tout au long du siècle précédent ! Contrairement aux deux blocs précédents, l’accès demande un peu plus d’efforts. Il faut emprunter le sentier du Pas de l’Echelle en venant de Monnetier et, juste avant le petit pont qui franchit l’ancienne voie du chemin de fer du Salève, on va trouver 30 mètres à gauche un sentier qui passe à côté puis derrière une maison avant de s’élever en direction de l’ouest.

A deux embranchements, prendre toujours à droite. Un vague balisage rouge subsiste. Le sentier fait ensuite quelques zigzags ( itinéraire 12 des « Randonnées au Salève », publica- tion de la Section genevoise ) et passe près d’un premier bloc. Ce bloc porte l’inscription CAF, il a été donné à la Section Mont Blanc pour éviter les jalousies !... Environ 30 mètres plus loin, se trouve « notre bloc » ( compter 10 à 15 minutes depuis le pont ) dont le volume est estimé à environ six mètres cubes. Une cinquantaine de mètres au-delà, en continuant l’ascension, on arrive vers un troisième bloc, anonyme celui-là. Ces trois blocs se situent à une vingtaine de mètres du bord de la paroi qui domine la plaine genevoise.

Peu après la donation, une terrasse et un banc rustique avaient été aménagés à l’extrémité de la pierre à Trottet pour y contempler la vue sur la plaine. Il n’en reste plus rien aujourd’hui et la croissance de la végétation a obstrué la vue sur le Genevois. Avec le temps, l’inscription

« CAS, section genevoise, Pierre à Trottet, 1907 » est devenue illisible. En 2007, à l’occasion du centenaire du don, le bloc de granite a été nettoyé à la brosse métallique pour enlever les lichens et les mousses qui proliféraient à cause de l’humidité du sous-bois. La partie amont du bloc est enchâssée dans le terrain, alors que la partie exposée côté Genève repose sur la roche en place, du calcaire. Détail intéressant, le calcaire étant sujet à la dissolution par les eaux de pluie légèrement acide ( à l’exemple des lapiaz ), le bloc de granite le protège de la pluie et de son attaque. Peu à peu s’est formé sous le bloc – insensible à la pluie – un piédestal en calcaire dont la hauteur va en s’amplifiant avec les siècles.

La pierre à Trottet : un bloc de granite offert à la Section genevoise en 1907.

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Nature, provenance et âge des trois blocs erratiques

Lors du rafraîchissement de ces blocs en 2007, des prélèvements de roche ont été faits par Jean Sesiano qui les a étudiés en détail. L’analyse sous microscope montre que ce sont bien des granites à grains assez grossiers. Dans les trois blocs on distingue les minéraux suivants : du quartz de couleur grisâtre, du feldspath potassique blanc appelé microcline, de la biotite qui est une forme de mica noir, et des zircons. Pour la pierre de Beauregard, s’ajoutent des minéraux microscopiques comme la titanite (sphène) et la chlorite. De plus, on observe que les minéraux sombres s’arrangent en lits fins peu marqués, ce qui indique que la roche a subi de fortes pressions (métamorphisme), rapprochant ce granite d’une protogine, sorte de gneiss typique du massif du Mont Blanc. La pierre de Saussure montre la présence de deux micas, la muscovite et la biotite, ainsi que du quartz présentant une altération hydrothermale. Quant à la pierre à Trottet, le minéralogiste Antoine de Haller a récemment déterminé que son granite a subi une recristallisation à haute température.

Les trois blocs sont donc originaires du massif du Mont Blanc, semblables à ceux formant la traînée qui s’étend d’Yvoire à Genève, submergés dans le Léman pour la plupart, les deux derniers émergeant à Genève : les fameuses pierres du Niton. A l’initiative de Jean Sesiano, celles-ci ont été récemment datées avec la méthode Uranium/Plomb, et l’âge de formation de ces granites remonte à environ 303 millions d’années. Une bagatelle.

Quant au transporteur de chacun des trois blocs, il est assez délicat à préciser. En effet, les blocs reposent dans la zone de confluence entre les glaciers de l’Arve et du Rhône. Lequel a déposé quoi ?

Pour la pierre de Saussure, il semble que ce soit celui du Rhône, car on est en position abritée derrière les Voirons.

Pour la pierre de Beauregard, ce serait le glacier de l’Arve, dont une langue était bloquée à l’entrée de la cuvette genevoise par le glacier du Rhône, alors que le gros du flux partait en direction d’Annecy en franchissant le col d’Evires. A moins que ce ne soit le glacier du Rhône qui ait tiré la langue en direction de La Roche-sur-Foron, lors d’un épisode de régres- sion du glacier de l’Arve.

Quant à la pierre à Trottet, c’est encore plus incertain : ce bloc erratique aurait soit pu être abandonné par la moraine latérale gauche du glacier du Rhône, qui aurait alors fermé le vallon de Monnetier du côté de Genève, soit amené par une langue du glacier de l’Arve qui aurait occupé le vallon de Monnetier, mais qui n’aurait pu déboucher dans la plaine genevoise entièrement occupée par le glacier du Rhône. La pierre à Trottet et ses deux comparses seraient donc restées bloquées dans le vallon de Monnetier et elles s’y seraient déposées une fois le glacier fondu.

Quant à l’âge du dépôt de ces blocs erratiques, c’est clairement la fin de la dernière période glaciaire, entre 20’000 et 15’000 ans, lorsque les glaciers ont cessé d’avancer et qu’ils ont été stables (phase de stationnement), ou lorsqu’ils ont commencé à se retirer de la région, retrait qui n’a pas été simultané pour tous les glaciers.

Lors d’une randonnée sous la pluie en mars 2015, des membres de la Genevoise suivent l’exposé de l’historien François Walter, devant la pierre de Beauregard.

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