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PHI-8630 PROBLÈME DE PHILOSOPHIE

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Le cours se donnera sur Zoom

PHI-8630 PROBLÈME DE PHILOSOPHIE

P

ROFESSEUR

M

ATHIEU

M

ARION

LA DIALECTIQUE : ARGUMENTS, STRATÉGIES ET USAGES

Le point de départ de ce séminaire est une approche originale de la dialectique dans la philosophie ancienne que le professeur a développé en collaboration avec plusieurs collègues : Benoit Castelnérac (Sherbrooke), Michel Crubellier (Lille), la doctorante Zoé McConaughey (Lille-UQAM), Shahid Rahman (Lille) et Helge Rückert (Mannheim). Voir la section A de la bibliographie, ci-dessous.

Cette approche part d’un ensemble de règles pour la conduite des joutes dialectiques. Au départ d’une joute, un des deux joueurs asserte une proposition, disons, « A » et l’autre doit, dans la discussion, lui faire concéder d’autres thèses, « B

1

, B

2

, …,

Bn

», qui impliquent une absurdité, possiblement la contradictoire de la thèse de départ : non-A. La joute se termine alors sur la dérivation de la contradiction, et elle met donc en évidence le fait que l’ensemble des concessions

« A,

B1

,

B2

, …,

Bn

» est contradictoire. Les règles, qui seront expliquées, et pour lesquelles des bases textuelles seront fournies, au départ du cours se lisent comme suit (dans une version simplifiée) :

1. Les joutes n’impliquent que deux joueurs, nommés à partir de ce rôle initial

Questionneur

et Répondant.

2. Une joute commence lorsque

Questionneur

obtient de

Répondant

son engagement à une thèse A, qui sera supposée pour les fins de la joute.

3. La joute procède par une alternance de questions courtes et de réponses oui/non.

4. Questionneur obtient de la sorte des engagements de la part de

Répondant

aux énoncés

B1

, B

2

, …, B

n

, qui forment, avec A, le tableau de pointage de Répondant :

{A, B

1

, B

2

, …, B

n

}.

5. Questionneur ne peut introduire aucun énoncé dans ce tableau de pointage, Répondant doit s’engager explicitement à tout énoncé faisant partie de son tableau de pointage (règle socratique).

6. Questionneur doit inférer de B

1

, B

2

, …,

Bn

une impossibilité (ἀδύνατον), c’est-à-dire soit une contradiction, qui peut être une dérivation de la contradictoire non-A de la thèse de départ, soit une absurdité évidente (par exemple : l’absence de mouvement).

7. Si

Questionneur

parvient à faire reconnaître cette impossibilité par

Répondant,

alors la

joute se termine par la victoire de Questionneur ; si ce dernier ne parvient pas à cette fin,

Faculté des sciences humaines

Hiver 2021 Département de philosophie Jeudi : 18h00-21h00

(2)

Le but poursuivi est de faire l’hypothèse que ces règles sont celles qui furent suivies lorsque les dialecticiens s’affrontaient durant l’ensemble de la période considérée, et d’explorer quelles sont les conséquences philosophiques de la pratique de la dialectique telle que caractérisée par ces règles.

Bien sûr, la dialectique, comme pratique, évolue avec le temps. Pour ne prendre qu’un exemple, on retrouve l’introduction dans les dialogues de Platon d’une règle supplémentaire, dont on peut montrer qu’elle est à l’origine du

dictum de omni qui est au cœur de la syllogistique d’Aristote

(Marion & Rückert 2016) :

8. Questionneur ne peut introduire une universelle positive, « Tous les

A sont B », que si Répondant

a auparavant concédé quelques instances et, lorsque l’universelle est ainsi introduite, Répondant doit la concéder ou fournir un contre-exemple.

On peut aussi penser à l’établissement d’une liste de « sophismes » par Aristote dans ses

Réfutations sophistiques, illustrés auparavant dans l’Euthydème

de Platon, comme un développement important : il s’agit de séparer les véritables inférences de ce qui n’en aurait que l’apparence, et qui serait donc des coups illicites dans les joutes dialectiques.

L’hypothèse de départ n’implique pas la négation de ce genre d’évolution, seulement que les règles 1-7 sont suivies par tous. Pour comprendre les conséquences philosophiques de la pratique de la dialectique, il faut faire trois remarques préliminaires :

Premièrement, les joutes permettent de produire des

arguments d’un type particulier : le

questionneur ne s’engage à aucune des prémisses desquelles une absurdité a été dérivée (voir la règle 5 ou « règle socratique »), donc le questionneur ne peut pas être reconnu avoir lui-même soutenu un argument en faveur de l’absurdité. Il a plutôt montré qu’elle est une conséquence des thèses concédées par le répondant. Ainsi, par exemple, la reconstruction dialectique des arguments de Zénon – voir (Marion 2014) – montre qu’il ne voulait pas démontrer qu’il n’y a pas de mouvement, mais bien plutôt que l’absence de mouvement découle des prémisses d’un adversaire « pluraliste », pour qui tout ce qui est n’est pas un mais multiple. (Ce qui est une forme de défense du monisme de Parménide de la part de Zénon.) La reconstruction dialectique permet donc de mieux comprendre le but des arguments philosophiques de l’époque, donc de mieux les comprendre. En l’occurrence, l’absence de mouvement n’est pas une thèse qu’on devrait attribuer à l’Éléate.

À ce titre, il faut bien comprendre, contre une mauvaise compréhension de la dialectique qui est courante depuis les travaux de Gregory Vlastos (Vlastos 1994), que la dérivation d’une absurdité ou d’une contradiction à partir d’un ensemble de prémisses concédées {A, B

1

, B

2

, …, B

n

} fournit certes une raison de ne pas adopter « A », mais

ne prouve pas que nous devrions adopter « non- A » : car si l’ensemble des prémisses est contradictoire, la contradiction peut aussi être résolue en

supprimant plutôt n’importe quel des « B

1

,

B2

, …,

Bn

». C’est une des raisons de dire que le Questionneur ne s’engage à rien, il ne fait que dériver la contradiction. Avec «

⊥ » comme

symbole pour l’absurdité ou contradiction, et le tourniquet « ⊢ » celui pour l’inférence, on la dérivation suivante à la fin de la joute :

A, B1

, B

2

, …, B

n

⊢ ⊥

(3)

Mais de celle-ci ne s’en suit pas qu’on doive rejeter A :

B1

, B

2

, …, B

n

⊢ non-A

Car on pourrait tout aussi bien résoudre le problème en rejetant une autre prémisse :

A, B2

, …, B

n

⊢ non-B

1

L’argument « dominateur » de Diodore en est une excellente illustration, si on se fie au témoignage d’Épictète,

Dissertationes, II, 19, 1-5. Diodore aurait prouvé que les trois

propositions suivantes, pourtant intuitivement vraies, forment un ensemble contradictoire :

A : Toute proposition portant sur le passé est nécessaire B : L’impossible ne suis pas logiquement du possible C : Il y a un possible qui n’est ni sera vrai

Diodore, qui aurait dérivé :

A, B, C ⊢ ⊥

Aurait choisi de nier C :

A, B ⊢ non-C

en affirmant que « n’est possible que ce qui est vrai ou le sera ». La conception du possible de Diodore, pour laquelle il aurait fourni ce puissant argument, va à l’encontre de celle d’Aristote (dans sa célèbre discussion de la bataille navale et des futurs contigents au chapitre 9 du

De Interpretatione). Le témoignage d’Épictète continue en montrant que d’autres auraient pour leur

part nié A, et d’autres encore B. Et il demande : « Et toi, lesquelles de ces propositions conserves- tu ? ». De la résolution du problème soulevé par l’argument dialectique de larges pans de philosophie – il suffit de penser à la question du « fatalisme » – s’ensuivent.

Deuxièmement, il faut noter que la pratique de la dialectique permet l’élaboration de

stratégies

afin d’explorer les conséquences des prémisses. Nous verrons par exemple dans la deuxième séance que les Éléates, Gorgias dans son traité sur le non-être et Platon dans la deuxième partie du

Parménide utilisent des paires de prédicats contradictoires, comme « limité » et « illimité »,

« engendré » et « non engendré », etc. ou encore des clauses « pros ta alla » et « pro heauto ».

Cela permet de multiplier les arguments dans une optique d’exploration.

Une stratégie très importante se met en place dès Gorgias : comme on vient de l’indiquer, Zénon avait développé des arguments dialectiques comme autant de bâtons dans les roues du pluraliste, plutôt que de preuves directes de la validité du monisme. On pourrait très bien imaginer quelque pluraliste faisant l’inverse. Donc, en mettant ensemble les arguments de Zénon et de son adversaire, nous aurions des arguments dialectiques « des deux côtés » : un ensemble d’absurdités découlant de l’hypothèse

A et un autre ensemble d’absurdités découlant de

l’hypothèse non-A. C’est ce que Cicéron appelait l’argumentum in utramque partem. Lorsque ces raisonnements contraires sont égaux, Aristote parle d’une « aporie ».

On peut donc concevoir une posture philosophique basée sur cette forme d’argumentation, où on ne prend pas position pour A ou non-A puisque dans un cas comme dans l’autre des absurdités en nombre égal s’ensuivent : le scepticisme, que l’on retrouve sous les figures de la Nouvelle Académie d’Arcésilas et Carnéade à Cicéron et du scepticisme, de Pyrrhon à Sextus Empiricus.

Ces formes de scepticisme avaient pour cible principale les thèses stoïciennes sur la

connaissance.

(4)

À l’inverse de cette posture sceptique, on peut concevoir qu’on veuille ne pas se limiter aux arguments dialectiques : ceux-ci n’ont chez les sceptiques qu’une portée négative, puisque des absurdités sont dérivées des deux bords, alors que nous voudrions déboucher quelque chose de positif. On pourrait dire qu’il s’agit là des limites d’une « rationalité », qui ne peut qu’aboutir dans des contradictions, quelle que soit l’hypothèse de départ, limites qu’on voudrait transcender.

Une autre posture consisterait donc à critiquer la dialectique et ses limites, dans le but de les dépasser vers une sorte de vérité d’ordre supérieur. On pense bien sûr immédiatement ici aux efforts de Hegel pour proposer un autre modèle de dialectique, où les contradictions sont résolues dans l’Aufhebung, mais dans le contexte de la philosophie ancienne, on peut faire remonter à Platon, entre autres à la

Lettre VII, l’idée d’un savoir résultant d’une « illumination » suite à la

pratique soutenue de la dialectique, qui jouera un rôle important dans le contexte du néo- platonisme (Plotin et Augustin).

Troisièmement, il faut examiner la variété des contextes d’usage de la dialectique. En effet, les joutes dialogiques ne furent pas limitées à leur usage « éritisque » dans les concours oratoires, où tous les coups sont permis (y compris les sophismes), mais elles peuvent être utiles dans un contexte d’enquête ou encore un contexte d’éducation, par exemple, ce qu’on appellera au Moyen-Âge la

disputatio privata (entre un maître et ses élèves). On peut même concevoir une

forme de méditation solitaire avec une internalisation de l’opposant, analogue au passage du contexte dialogique au contexte monologique en logique. Le rôle essentiel de l’opposant est donc perdu, mais cette approche cadre mieux avec la recherche méditative d’une « illumination ».

Finalement, les échanges dialectiques n’étaient pas absents non plus du contexte médical.

Ce séminaire fait suite au séminaire PHI 7060 enseigné à l’hiver 2020. Ce dernier était orienté vers (1) les sources de la dialectique dans l’école éléatique et la forme particulière des arguments éléatiques et (2) les implications pour l’histoire de la logique, avec le passage de la dialectique à la syllogistique chez Aristote, tandis que (3) l’exploration de la dialectique dans la période hellénistique était amorcée, avec l’étude des formes d’arguments dans l’école de Mégare, dans la nouvelle Académie et dans le scepticisme pyrrhonien. Cette année, il n’y aura qu’une très brève discussion de (2) dans la cinquième séance, et la discussion de (1) sera comprimée dans la seconde séance, pour laisser plus de place à l’exploration du rôle de la dialectique dans la période hellénistique (3) dans les séances 6 à 14.

Il s’agira donc d’explorer les arguments, stratégies et usages de la dialectique dans l’école Mégarique et chez les Stoïciens, pour ensuite examiner les formes d’argument et stratégies sceptiques dans la Nouvelle Académie et chez les Sceptiques, pour ensuite conclure sur les conceptions et usages de la dialectique chez les médecins (Galien, avec comme point d’appui ici le péripatéticien Alexandre d’Aphrodise) et dans le néo-platonisme (Plotin et Augustin), ainsi que leurs relation critique au scepticisme des Académiciens.

*

Nous devrons à l’occasion discuter de problèmes de traduction, mais une connaissance du grec ancien n’est pas requise, et les notions de logique seront expliquées chemin faisant. Des textes à l’étude seront assignés pour chaque séance, dont une version numérisée sera disponible sur Dropbox. Il est impératif que les textes soient lus pour que la discussion puisse être productive.

Le professeur fera au départ un exposé en partageant ses notes à l’écran lorsque nécessaire.

(5)

PLAN

1. Introduction à la dialectique : règles, arguments, stratégies, usages 2. La dialectique éléatique : Zénon, Gorgias et le Parménide de Platon 3. Platon : des dialogues « socratiques » à la méthode de division 4. La « destruction » des hypothèses dans la République et la Lettre VII

5. Aristote : principe de non contradiction, paires contradictoires et « apories » 6. L’école de Mégare et l’argument dominateur de Diodore

7. La dialectique stoïcienne et ses vertus 8. Semaine de lecture

9. Arcésilas et la Nouvelle Académie

10. Cicéron et l’argumentum in utramque partem 11. Les stratégies pyrrhoniennes

12. La réaction contre le scepticisme : Alexandre d’Aphrodise et Galien (présentation de Jérémie Hébrard)

13. Le Traité 20 de Plotin

14. La dialectique dans le Contra Academicos et le De Magistro d’Augustin 15. Exposés étudiants

ÉVALUATION

-

La participation en classe : 20% de la note finale.

-

Un exposé de 20 minutes + discussion : 30% de la note finale. Le sujet devra être approuvé par professeur.

-

Un travail de session valant 50% de la note finale, d’une vingtaine de pages à double interligne, à remettre lors de la dernière séance.

Échelle de notation UQAM - Philosophie (A18)

Notation

littérale Notation

chiffrée Notation en % Évaluation de

l’apprentissage

A+ 4.3 90 - 100

Excellent

A 4.0 85 - 89

A- 3.7 80 - 84

B+ 3.3 77 - 79

Très bien

B 3.0 73 - 76

B- 2.7 70 - 72

C+ 2.3 65 - 69

Bien

C 2.0 60 - 64

C- 1.7 57 - 59

D+ 1.3 54 - 56

Passable

D 1.0 50 - 53

E 0.0 moins de 50 Échec

(6)

BIBLIOGRAPHIE

Tout en étant loin d’être exhaustive, cette bibliographie est d’une longueur inhabituelle : elle permettra au besoin de faire référence aux textes durant les séances sur Zoom.

La partie B, concernant la littérature secondaire sur les écoles et auteurs à l’étude, n’est qu’une ébauche de la bibliographie pour ce séminaire, en particulier en ce qui touche à la période hellénistique. Une bibliographie dont certaines sections seront donc plus complètes sera fournie en janvier, qui inclura bien entendu les éditions utilisées pour écoles et auteurs grecs et latins à l’étude, de Parménide à Augustin.

La partie A de cette bibliographie porte sur la conception de la dialectique adoptée dans ce cours, incluant ses sources logiques et philosophiques, la méthode en histoire des idées à l’œuvres, et les approches apparentées. On peut ajouter aux titres de cette partie A les textes de Benoît Castelnérac dans la partie B, qui sont autant de contributions aux

scholarship dans l’optique de

cette approche de la dialectique. Nous débuterons cependant le cours avec la présentation des règles, donc nous n’aborderons que brièvement les motivations logiques et philosophiques derrière cette approche.

La partie C est surtout à titre informatif, sur des sujets connexes mais non abordés dans le cours.

A

1. Nouvelle approche de la dialectique

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Marion, M. (2014). « Les arguments de Zénon selon le Parménide de Platon », Dialogue, 53, 393-434.

Marion, M. (2021), « Plato’s Dialogues: Dialectic, Orality and Character », dans J. Bjede, D. Merry & C.

Roser (dir.), Argumentation in Antiquity, Berlin, Springer, à paraître.

Marion, M. & H. Rückert (2016). « Aristotle on Universal Quantification: A Study from the Perspective of Game Semantics », History and Philosophy of Logic, 37, 201-229.

(7)

2. Sources logiques et philosophiques de cette approche : Inférentialisme, sémantique de l’interaction et théorie des types

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4. Approches apparentées

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B

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Tout acte de plagiat, fraude, copiage, tricherie ou falsification de document commis par une étudiante, un étudiant, de même que toute participation à ces actes ou tentative de les commettre, à l’occasion d’un examen ou d’un travail faisant l’objet d’une évaluation ou dans toute autre circonstance, constituent une infraction au sens de ce règlement.

Les infractions et les sanctions possibles reliées à ces infractions sont précisées aux articles 2 et 3 du Règlement no 18 sur les infractions de nature académique.

Vous pouvez également consulter des capsules vidéos sur le site r18.uqam.ca. Celles-ci vous en apprendront davantage sur l’intégrité académique et le R18, tout en vous orientant vers les ressources mises à votre disposition par l’UQAM pour vous aider à éliminer le plagiat de vos travaux.

Infosphère est l’un de ces outils indispensables : un guide méthodologique visant à promouvoir les bonnes pratiques en matière de recherche documentaire et de rédaction de travaux. Cet outil vous accompagnera tout au long de vos études et vous permettra d’éviter les pièges du plagiat. Cliquez sur le logo à gauche pour être redirigé vers le site.

Politique no 16 visant à prévenir et à combattre le sexisme et les violences à caractère sexuel

Le harcèlement sexuel se définit comme étant un comportement à connotation sexuelle unilatéral et non désiré et consiste en une pression indue exercée sur une personne, soit pour obtenir des faveurs sexuelles, soit pour ridiculiser ses caractéristiques sexuelles.

La Politique no 16 identifie, notamment, les comportements suivants comme des violences à caractère sexuel :

• la production ou la diffusion d’images ou de vidéos sexuelles explicites et dégradantes, sans motif pédagogique, de recherche, de création ou d’autres fins publiques légitimes;

• les avances verbales ou propositions insistantes à caractère sexuel non désirées;

• la manifestation abusive et non désirée d’intérêt amoureux ou sexuel;

• les commentaires, les allusions, les plaisanteries, les interpellations ou les insultes à caractère sexuel, devant ou en l’absence de la personne visée;

• les actes de voyeurisme ou d’exhibitionnisme;

• le (cyber) harcèlement sexuel;

• la production, la possession ou la diffusion d’images ou de vidéos sexuelles d’une personne sans son consentement;

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• les avances non verbales, telles que les avances physiques, les attouchements, les frôlements, les pincements, les baisers non désirés;

• l'agression sexuelle ou la menace d’agression sexuelle;

• l’imposition d’une intimité sexuelle non voulue;

• les promesses de récompense ou les menaces de représailles, implicites ou explicites, liées à la satisfaction ou à la non- satisfaction d’une demande à caractère sexuel.

Pour plus d’information :

https://instances.uqam.ca/wp-content/uploads/sites/47/2019/04/Politique_no_16_2.pdf Pour obtenir du soutien :

Pour rencontrer une personne ou faire un signalement :

Bureau d’intervention et de prévention en matière de harcèlement 514 987-3000, poste 0886

Pour la liste des services offerts en matière de violence sexuelle à l’UQAM et à l’extérieur de l’UQAM : harcelement.uqam.ca CALACS Trêve pour Elles – point de services UQAM :

514 987-0348 calacs@uqam.ca trevepourelles.org

Service de soutien psychologique (Services à la vie étudiante) : 514 987-3185

Local DS-2110

Service de la prévention et de la sécurité : 514 987-3131

Politique no 44 d’accueil et de soutien des étudiantes, étudiants en situation de handicap

Par sa politique, l’Université reconnait, en toute égalité des chances, sans discrimination ni privilège, aux étudiantes, étudiants en situation de handicap, le droit de bénéficier de l’ensemble des ressources du campus et de la communauté universitaire, afin d’assurer la réussite de leurs projets d’études, et ce, dans les meilleures conditions possibles. L'exercice de ce droit est, par ailleurs, tributaire du cadre réglementaire régissant l'ensemble des activités de l'Université.

Il incombe aux étudiantes, étudiants en situation de handicap de rencontrer les intervenantes, intervenants (conseillères, conseillers à l’accueil et à l’intégration du Service d'accueil et de soutien des étudiantes, étudiants en situation de handicap, professeures, professeurs, chargées de cours, chargés de cours, direction de programmes, associations étudiantes concernées, etc.) qui pourront faciliter leur intégration à la communauté universitaire ou les assister et les soutenir dans la résolution de problèmes particuliers en lien avec les limitations entraînées par leur déficience.

Le Service d’accueil et de soutien aux étudiantes, étudiants en situation de handicap (SASESH) offre des mesures d’aménagement dont peuvent bénéficier certains étudiants. Nous vous recommandons fortement de vous prévaloir des services auxquels vous pourriez avoir droit afin de réussir vos études, sans discrimination. Pour plus d’information, visitez le site de ce service à l’adresse suivante : http://vie-etudiante.uqam.ca/etudiant-situation-handicap/nouvelles-ressources.html et celui de la politique institutionnelle d’accueil et de soutien aux étudiantes, étudiants en situation de handicap :

https://instances.uqam.ca/wp-content/uploads/sites/47/2018/05/Politique_no_44.pdf

Vous devez faire connaitre votre situation au SASESH le plus tôt possible : En personne : 1290, rue Saint-Denis, Pavillon Saint-Denis, local AB-2300 Par téléphone : 514 987-3148

Courriel : situation.handicap@uqam.ca En ligne : http://vie-etudiante.uqam.ca/

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