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La mise en pièces du Cid (Théâtre. fleurs (Théâtre de l'epée de bois). Léonide LA REVUE THÉÂTRALE

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Academic year: 2022

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L A R E V U E T H É Â T R A L E

La mise en pièces du Cid

( T h é â t r e M o n t p a r n a s s e ) .

— B e r t h o l d B r e c h t :

Tambours et Trompettes

( T h é - âtre d e l a V i l l e ) . — A r r a b a l :

Le Jardin des délices

( T h é â t r e A n t o i n e ) ;

Et ils passèrent des menottes aux fleurs

( T h é â t r e d e l ' E p é e d e b o i s ) . — L é o n i d e A n d r e i e v :

La valse des chiens

( T h é â t r e d u V i e u x - C o l o m b i e r ) .

M. Roger Planchon est venu pour un hiver dresser ses tréteaux à Paris, mais ce n'est pas, comme on aurait pu le croire, dans une maison de la culture, à Sartrouville ou à Gennevilliers, c'est dans le plus bourgeois des théâtres, au théâtre Montparnasse, rue de la Gaîté. Il y fait, il est vrai, une entrée fracassante, lançant sur la scène qui représentait, pour la circonstance, un décor de théâtre classique à colonnes et fronton (Odéon ou Palais Bourbon ?) une automobile de la belle époque comme on en voit dans les films de M . Autant-Lara. Le décor est éventré, les automobilistes arrivant de Villeurbanne paraissent éberlués, mais leur étonne- ment est au comble de se voir entourer d'acteurs jouant Le Cid en présence de Corneille lui-même. On pense à Helzapoppin lorsque des Indiens à cheval échappés d'un western faisaient irruption dans un salon. « Nous nous sommes trompés de film », s'écriaient-ils et ils repartaient à bride abattue. Au théâtre Montparnasse, les automobilistes ne se sont pas trompés de pièce, ils ne sortent pas, au reste, d'un film de M . Autant-Laura mais ils ont traversé les événements du mois de mai 1968 en lisant Le Nouvel Observateur. Ayant mis en miettes le décor du théâtre classique o ù ils se sont aventurés, il vont mettre en miettes la pièce qu'on y jouait, bonne occasion pour démolir, si c'est possible, la société.

Telle était, peut-être, du moins, l'intention de M . Roger Plan- chon. Mais les valeurs sur lesquelles se fonde le théâtre de Cor- neille n'ont plus cours aujourd'hui ; honneur, estime, devoir sont devenus des mots incompréhensibles à la plupart de nos contem- porains. A quoi bon s'acharner sur ces cadavres ? On a e m p o r t é très vite, aussi bien, celui de Pierre Corneille, membres épars, dans la poubelle o ù M . Beckett ramasse ses restes, puis on a changé d'époque et l'on est passé de la contestation avortée de la société tragique d'hier à la contestation réussie de la comédie que nous

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donne notre époque. Le dépeçage du Cid ne devait être que le prétexte d'un autre jeu de massacre ; la vraie cible de M . Planchon, c'était la société moderne, la société de consommation avec ses gadgets intellectuels, du freudisme au psychédélisme, du teilharde- chardinisme à l'œcuménisme et du révisionnisme au déviation- nisme en passant par le journalisme. On était venu contester Le Cid, sur la foi d'une affiche ; M . Planchon nous a donné a contester Le Nouvel Obs. L'entreprise, on le comprend, ne pouvait réussir que dans un théâtre bourgeois, devant un public bourgeois. « Où sont, ici, les ouvriers ? » demandait un acteur de la troupe. Fort heureusement, pour M . Planchon, il n'y en avait pas.

La contestation de Pierre Corneille ou la mise en pièces du Cid, est ainsi, en définitive, une satire de la culture moderne, une mise en boîte, au propre sens du terme, de cette culture, mais à l'usage seul du public qui la consomme. Inutile, aussi bien, d'ajouter qu'il ne s'agissait pas de troubler sa digestion. M . Plan- chon, m ê m e s'il brandit des oriflammes rouges et noires, a décidé de ne pas jouer à Paris le rôle de trouble-fête. Le spectacle qu'il a monté doit donner à rire plus qu'à penser. Il se déroule sur un rythme allègre, dans un grand luxe de décors et de costumes, faisant alterner les sketches, les projections, les bandes dessinées.

Le texte y est réduit au minimum. M . Planchon a collé les unes aux autres des citations de Corneille, du Nouvel Observateur, de l'Express, de Marie-Claire, de déclarations gouvernementales, de prospectus publicitaires, d'affiches philosophiques ; c'est la tech- nique déjà employée par M . Walter Lewino dans un roman dont on a parlé il y a deux ans, L'Eclat et la blancheur. Flaubert s'en serait amusé. Ce qui, dans ce texte, porte la marque de fabrique de la maison Planchon ne relève, autrement, que du calembour passe-partout du genre : « Dans culture, il y culte et dans culte, il y a cul... » Sommes-nous encore au théâtre, m ê m e de boulevard ? Nous sommes au cirque. On enterre Carnaval.

Les meilleurs artistes tiennent les cordons du poêle de ces funéraires burlesques. Il y a, en particulier, Mme Loleh Bellon en vamp de 1930 et Mme Colette Dompietrini qui s'est fait la voix d'Arletty ; il y a aussi M. Edgar Faure qui, surpris sur l'écran de projection, n'a pas eu le temps de se grimer.

La mise en pièce du Cid, c'est la récupération parfaitement réussie de M . Planchon par le théâtre bourgeois. M . Wolinski, s'il ne veut pas mourir idiot, n'a désormais qu'à bien se tenir ; le m ê m e sort le guette.

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Bertold

Brecht a tiré Tambours et trompettes d'une comédie écrite au xviir siècle par l'Irlandais Farghar. C'est une de ses dernières pièces ; elle a é t é créée en 1955 par l'Ensemble de Ber- lin ; traduite par Mme Geneviève Serreau, elle est représentée pour la première fois en France par la compagnie de M . Jean-Pierre Vincent au théâtre de la Ville.

Tambours et trompettes se passe en Angleterre à l'époque de la guerre de l'indépendance américaine. Le capitaine Plume dont la troupe a été durement étrillée par les insurgés vient, si je puis dire, se remplumer dans une petite ville d'Angleterre n o m m é e Schrewsbury. Il installe son bureau de recrutement sur la place publique et, avec l'aide de son sergent, il va tenter de débaucher par la séduction ou par la contrainte la jeunesse du pays. Le recrutement plus ou moins forcé au service du roi est ainsi le prétexte de cette pièce. Le but en est la mise à jour des contra- dictions de la classe dirigeante représentée par l'officier, le juge, les bourgeois et les dévots. La guerre d'Amérique qui coûte cher, n'est guère populaire, en effet, qu'auprès des domestiques qui soutiennent gratuitement, sans avoir à verser de contribu- tions, l'honneur de leurs maîtres. Les bourgeois, eux, renâclent a payer et les dévots, indignés par la conduite des soldats, font surprendre leur capitaine dans une maison accueillante. C'est le moment o ù , tant bien que mal, la troupe avait fini par être recrutée, mais il manque l'officier mis au cachot. Il appartiendra, bien entendu, au peuple de tirer la leçon de tout cela. A la fin de la pièce, il doit avoir compris qu'il a é t é invité à aller se faire tuer en Amérique pour une affaire qui ne le concerne aucu- nement. Sinon, Brecht aura prêché en vain.

Mais est-ce parce que la chaire de Brecht est, dans Tambours et trompettes, une estrade de foire ? La volonté de prêcher, s'efface, ici, devant le désir d'amuser. M . Jean-Pierre Vincent, le metteur en scène, aurait bien voulu, ainsi qu'il en a avoué le dessein, nous ramener à la leçon. Il n'a pas, cependant, le tempérament d'un pion et il n'a pu empêcher que la parade burlesque ne l'emporte.

L'héroïne en est Mme Hélène Vincent dans le rôle de la fille du juge amoureuse du capitaine et qui se déguise, pour le suivre, en sous-lieutenant. Ce petit bout de femme occupe à lui seul l'im- mense scène du théâtre de la Ville qu'il parcourt à longues en- jambées, en bombant le torse et en brandissant une cravache.

On a beaucoup applaudi ces mines de jeune fille de bonne famille anglaise, un peu rousse et osseuse, se posant, scrongneu- gneu, en apprenti soudard. Alors que M . Vincent aurait voulu souligner la leçon politique de la pièce, Mme Vincent s'est attachée

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à en exploiter avec succès les vertus comiques. Elle nous a, au sens pascalien du terme, divertis.

On a é t é diverti, mais s'est-on vraiment amusé ? Tambours et trompettes n'est qu'une farce o ù l'on rit franchement aux char- lottades de Mme Vincent. On passe aussi quelques bons moments, d'un comique d'ailleurs plus fin, avec M . André Valtier dans le rôle du valet de chambre patriote et respectueux. Mais la récréa- tion qu'à bien voulu nous octroyer le maître d'école Bretch, n'au- rait pas dû dépasser le temps d'une récréation, c'est-à-dire un quart d'heure. Etirée en douze tableaux, sur trois heures, cette farce un peu lourde d'où l'humour irlandais a sans doute é t é scrupuleusement écarté, tourne à la mauvaise plaisanterie.

M. Pierre Vernier, dans le rôle du capitaine Plume, s'y ennuie, aussi bien, fermement. Il se dandine sur ses longues jambes bottées en rajustant sans arrêt sa tunique et sa cravate, tout en essayant de se mettre au pas endiablé de Mme Vincent. Il n'y parvient jamais et semble prier, avec de grands gestes découragés, qu'on l'excuse. Il l'est !

Echappant pour une fois à la férule brechtienne, nous ne de- mandions pourtant qu'à faire, dans Tambours et trompettes, l'école buissonnière. Le décor frais et clair de Mme Christine Laurent, petites maisons anglaises avec un arrière-plan d'arbres et de rivière, nous y invitait.

M . Arrabal, dont le succès grandit, s'adresse-t-il à deux publics ? L'un bourgeois, celui de la rive droite qui lit Le Figaro mais que les mises en garde de M . Jean-Jacques Gautier au nom du bon goût et du bon sens ne font qu'allécher et qui se presse actuelle- ment au théâtre Antoine ; l'autre, celui d'une certaine rive gauche, anarchiste et chevelu, qui se faufile par la porte entrebâillée du théâtre de l'Epée de bois, dans l'antre obscur o ù il est guidé, par des mains invisibles, vers le lieu d'un culte révolutionnaire.

Le Jardin des Délices, ici, Et ils passèrent des menottes aux fleurs, là, déroulent cependant la m ê m e liturgie obessionnelle et phantasmatique. Dans Le Jardin des Délices, une artiste célèbre évoque, à l'occasion d'une interview télévisée, les images de son passé : le couvent, les sœurs tortionnaires, une fugue dans la forêt, la rencontre d'un homme sombre et balafré. L'amour et la haine emmêlent sous nos yeux leurs pas compliqués dans un ballet dont la figure finale est le supplice du prince des ténèbres, tandis qu'une bête velue se dandine lourdement dans une cage, attendant sa libération. La princesse charmante, délivrée de ses sortilèges, peut alors, en effet, lui offrir son â m e et c'est dans la boîte de confiture

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o ù elle était enfermée. Ne riez pas ! M . Roger Peyrefitte nous a appris que le dernier souffle de saint Joseph est conservé dans un bocal, dans une église de Rome. La Bête, en tout cas, s'en pourlé- che les babines. Mais, ô miracle ! elle se met à parler, elle déclare un amour longtemps muet à la Belle. Seulement, la Belle a perdu son â m e et elle devient Bête. Il ne lui a servi de rien de s'affran- chir des ténèbres. Ce conte de fées perfides peut receler, sans doute, d'autres significations. M . Arrabal, célébrant sa liturgie com- mémorative, est surtout préoccupé des rites par lesquels il veut exorciser les images qui le hantent. Cette messe se déroule selon un cérémonial convenu, mais pour exprimer un mystère qu'il ap- partient à chacun de déchiffrer.

Le cérémonial qui se déroule dans la crypte du théâtre de l'Epée de Bois est plus primitif, plus sauvage ; au lieu de susciter

les interprétations songeuses qu'encourage au théâtre Antoine, dans le confort de l'or et du velours, la voix riche en arrière-plans ombreux et un peu flous de Mme Delphine Seyrig, il s'impose dans sa nudité, au sens propre du terme, plus brutalement. Cependant, les rites en sont les m ê m e s . Que M . Arrabal évoque le passé d'une jeune femme interrogée dans son salon par des journalistes révé- rencieux, ou d'un militant révolutionnaire jugé par une cour mar- tiale dans une prison, l'offrande suprême est toujours, ici et là, celle d'un corps supplicié. M . Arrabal, par ce sacrifice renouvelé, veut toujours se libérer des m ê m e s hantises. Seulement, dans le cérémonial plus secret de la crypte de l'Epée de bois, les formules imprécatoires auxquelles il a recours, tout aussi grossières, sont plus violentes ; elles visent à faire surgir des cavernes où elles sont enchaînées, des forces plus profondes et plus bestiales. Il y avait dans Le Jardin des Délices qui ressemblait parfois à un kaléido- scope manœuvré par Méliès, une recherche nostalgique du para- dis perdu ; cette recherche a é t é vaine et il n'y a plus dans Et ils passèrent des menottes aux fleurs, peinte par un Goya de latrine, qu'une descente aux enfers. M . Arrabal en remontera-t-il, triom- phant, le troisième jour ?

Nous lui laissons le soin de nous apporter peut-être la réponse.

Mais le culte célébré dans les catacombes du théâtre de l'Epée de bois, n'est qu'un culte initiateur aux affres de la perdition. Les damnés peuvent s'y livrer à des exhibitions provocantes et, au de- meurant, répugnantes, pour tenter d'intéresser à leur sort le Dieu qu'ils abreuvent de tous les outrages d'un amour dévoyé, il ne monte de cet abîme, déguisés en ricanements de dérision, que des appels désespérés.

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La Valse des chiens a été écrite par Léonide Andreiev en 1916.

Un an après, il quittait la Russie et il mourait en 1919. Cette pièce qui n'a jamais été encore jouée et qui est présentée pour la pre- mière fois au théâtre du Vieux Colombier par M . Laurent Terzieff peut paraître comme le testament d'Andreiev. Il y a livré le secret m ê m e de sa vie, puisque l'histoire qu'il y raconte, c'est, paraît-il, la sienne.

Un jeune homme n o m m é Henrick a bâti tout son avenir sur un projet de mariage. Il est déjà installé dans le futur appartement conjugal, il a désigné une place pour chaque objet, une chambre o ù la lumière pénètre à flots n'attend plus que les enfants à naître.

Le cadre de sa vie est, ainsi, prêt, mais il restera vide. Une lettre de celle qu'il croyait sa fiancée lui annonce qu'elle est obligée par ses parents d'épouser un autre homme. D'un coup, tout ce qu'il avait construit, tout ce dont il éprouvait, prématurément, la soli- dité, s'effondre ; la lumière se retire de la chambre o ù les enfants étaient attendus ; Henrick demeurera l'employé de banque ponc- tuel et précis qui était avide de certitudes et qui avait tablé sur le bonheur, mais il y a en lui, désormais, un homme qui a cessé de croire, comme l'écrivait Andreiev, au bien-fondé de l'exis- tence humaine ». Il ne professe plus envers l'humanité que du mépris et il a choisi, pour la tourner en dérision, un souffre-dou- leur dans la personne d'un de ses anciens camarades de collège, un pauvre secrétaire de police, ivrogne, hirsute et bafouillant, et il le fait danser sur l'air de la valse des chiens comme un animal grotesque qui n'attend pour récompense qu'un verre de cognac.

Mais humilier ne suffit pas à Henrick. Son âme absente de ce corps qu'il bafoue, est « trop grande », maintenant, pour cet apparte- ment où il avait voulu loger sa vie. Il rêve de s'évader, avec un million volé à sa banque. A la fin, il se tuera. Ainsi l'aspiration au suicide d'Andreiev a-t-elle été satisfaite, et il a réalisé dans sa der- nière pièce ce qu'à la suite des m ê m e s déboires qu'Henrick, il n'avait pas o s é .

Il y a cependant, dans cette pièce, qui n'est qu'un règlement de comptes avec la vie, autre chose que la plongée dans le néant qu'on est invité de prime abord à y voir. Henrick n'est qu'un mannequin qui s'agite dérisoirement et M . Laurent Terzieff lui a prêté son aspect de grand pantin désarticulé. Mais il y a, à côté d'Henrick, un homme que l'on traite de « lapin », que l'on humilie, que l'on offense et il revendique, dans un sursaut de colère, son droit à être un homme. Celui-là, tout boueux qu'il soit, croit dans la vie. Il éprouve du remords à abandonner son enfant qui a la rougeole pour aller traîner dans les cafés. Il essaye de résister

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à Henrick qui ne l'entraîne dans la débauche que pour se moquer de l'humanité. « Laissez mon â m e en paix », s'écrie-t-il. On peut penser que les outrages dont il a é t é abreuvé, n'auront pas é t é vains ; il sera racheté ; il aura le droit enfin d'être un homme.

C'est la seule certitude que l'on emporte de cette soirée. Grand merci à M. Marc Eyraud, dans le rôle de Feniouchka, d'avoir réussi à nous la donner.

La Valse des chiens n'en demeure pas moins, malgré cet éclair qui la déchire, une pièce couverte d'un épais brouillard o ù tous les projets se diluent, o ù tous les rêves s'estompent, o ù il ne sub- siste, peut-être, que le parfum oublié d'une femme et c'est très bien ainsi, puisque Andreiev a voulu nous faire éprouver le néant de la vie, mais les intentions de l'auteur y restent souvent par trop profondément enfouies. En outre, cette pièce se déroule sur plu- sieurs années et, à aucun moment, on ne se sent entraîné dans une durée. Le temps, dans le brouillard qui nous enveloppe et o ù M. Terzieff n'a pas su ménager des repères, reste figé. Quand a retenti le coup de feu final, on a été surpris. Rien, semblait-il n'avait commencé.

PHILIPPE SENART

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