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Etude préliminaire sur les quantités et les valeurs unitaires aux prix à la production des produits agricoles utilisées dans la comptabilité nationale en Afrique

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(1)

r*y

CO N S E

UNIES

£T SOCIAL OUE

ItLstr.

LIMIOJEE

E/CK.14/MC/35

15 septembre 1969 Original 1 FEANCAIS

OOMMISSEOi ECONOMISE POUR

Qyole d'^xudes sur lee statistigues

des prix It des quanta

i, 13 - 2X ootobre 1969

Copy

E0IJ1E JPRELIMHTAIIE 3JR LES QJANTIIES ET LES VALEaBS UHIOMBBS iDX PEEX A LA PBDIXJCEEON IES PBDHJITS AGHCOOLES

UKLISEBS M8S LA COMPTAHELITE NAOHONALE EN AFHICpE

M69-253O

(2)

PHE^lMIIfAIHE 3JB LES gXAHKTES ET IiES VALHJRS UNITAIHES

AjPEtx a la pibmcaaioBr des iioifitTB aghtooees ' : '"*■■

TtElXiSEES DAirs LA ODMPTABtLliE i

EUT'-AFHICJJE j U0ILI!EE IE L'EOUIE

PHEMIEEE PAKELE : SOORCES ET METHO13OLOGIE

Les source s

1. Le tableau par pays par produits

Les unites de me sure

1* L'Evaluation des quantitys les produits des cultures

les produits de l'elevage et de la peohe les produits de la sylviculture

2m LfEvaluation des valeurs unitaires aux prix a la production a) La production commercialised

b) L!autooonsommation

I&JXEEME PAREEE s ANALYSE STATE STKJJE

Leg limites des oomparaiaons dans 1'espace

!• Les oomparaisons en valeur absolue Les comparaisors en valeur relative

B. Les oomparaisons dans le temps BBS TAHLEJtfJX

I t Sources nationales concernant les donnees sur les quantites et les valeurs aux ^rix a la production,

ANNEXE II t Tableau 1 - Quantite et valeur aux prix a la production des produits agricoles dans certains pays africains aux environs de I960.

2 r- Valeurs unitaires aux prix a la production des produits agricoles dans certains pays africains utilisees dans les comptes economiques nationaux aux environs de I960*

Tableau 3 - Valeurs unitaires aux prix a la production des produits agricoles dans certains pays africains d'apres la publication de la PAO en 1962,

LISOE

(3)

Page 2

III t Evolution des Valeurs unitaires aux; p^x a; ~T^ production

^ ^uelques produits agripolee "dans.oertaine pays afrloaine

^ les soutobs:'nationalsa9 ' ;

.■ * .. i - ■■.. .

(4)

oes

INTBD^EJCTEON sUTTLIlE IE L'EHJEB

^'agriculture connait une place dominante dans l(e*oonomie des pays africkins. L'etude dee conditions economiques en Afrique l/ montre qu'en 1966 1'agriculture faisait vivre les 3/4 de la population, contra, buait pour 36 pour 100 du Produit Interieur Brut et procurait aux pays afrioains

en vo£e de developpement 60 pour 100 au moins des recettes totales d'expor-

tatiojio Ces chiffres montrent combien il est necessaire d'accorder une

im£or]fcance particuliere au secteur de 1'agriculture et par consequent de recueillir le plus grand nombre possible de renseignements tant sur les quant!-tes P^oduites que sur les prix a la production*

£'evaluation des produits agricoles en quantite est tres utile oar elle ;>ermettra df6-tablir les bilans alimentaires de la oonsoramation des et l'etude des perspectives de developpement. L'aggr^gation de ne pourra cependant se faire par la suite qu'en termes mon6- tairep drou l'utilite des statistiques des prix a la production. En fait, il sej?ait preferable de parler de valeur unitaire aux prix a la production

plut&i que de prix a la production car tout prix implique 1'existenoe d'un

march£, lieu de rencontre des niveaux de lroffre et de la demande a moins de sujposer que tout cout est lui-mdme un prix, ce qui est possible raais

non o^nforme aux principes de l'^conomie politique.

En juillet 1969, le Secretariat de la CEA a etabli un questionnaire sur 1$. production et les echanges des produits agricoles ainsi que sur les v^leurs et les prix qui s'v rapportent tels qu'ils sont utilises en

comptibflite nationale., Uous continuons de recevoir les reponses des pays afric^ins a ce questionnaire* La presente etude n'est pas une analyse de ces reponses mais plutdt des donnees de prix utilisees en comptabilite natioaale par les pays africains*

..■"/'la premiere partie ooncerne les sources utilisees et les unite's de mesur^_employees quant a 1'evaluation des quantites produites, et quant a I1 Evaluation des valeurs unitaires aux prix a la production. La deuxieme partis donne 1'analyse statistique des donnees, et spepialement les compa- raisohs dans 1'espace et dans le temps chaque fois que cela est possible.

l/ E-|Jide des conditions economiques en Afrique, 1967, CHJA, E/CU. 14/409, it mai 1968« , ,

(5)

4

* jjg_s sources

deces•oomp.tee nous lee (example JWda :

( Kenya) ou

sr

"'•■ ^e tableau par pay

au, t

annees couvertes

et 64 pour 100

i aur 24 r

a production, 18 >ont des

ET

ff ,le8■ W^ns etatisti- ii danS l6S toai^s statist!-

dans SirS

au aid & Sahara du Sud, eto,0

2° Le tableau par .

Beux classifications sont util-is#es

S

Sud du Sahara

,/

publications ainsi que les

P°Pu^tion totals

!•■■ esti.atio.s

2^■ ^ PayS afric

Somalio, la Ehodesie

A

1 'agriculture 3o Afrique au tableaux connexes*

pour

(6)

. . f •■-

r-\ ''-■*',

- ?4-%■>.;■

Page 5

J.a production agrioalfi $st entendue au sens 6troit et ne

\ oompxend pas -les raataferes premieres (poste 3) oomme les ofuirs

et les peauz, lie 'coixm, la laine, ai les produits de premiere transformation (poste l) comme la viande, le poisson, le lait

et les oeufs.

,"*.•' Lrautre, oelle de 'li«3i; Vappll4u.e aui yayei afrioaifts au

du; &hafa et oompotte ■22^6upesV Cette biassifipation a

d'etre tasge; sur une dptixiU0 glbbale de /

Apies avbir essay€ dfe d^agrdget lecf troupes de produits d|ns les

nomenclatures J>our 4tablir^ leur oo??xespondance,' de« d©nsiddi«tion

^ nbus ont pousse a retenix U»f ola$sifibati6ii qii (:^'^ en;anne:ies)-V"' /."; ' -.'•

lies "Unites" de mesu:ce;

b* deVdnS specifier les unites da' mesuye^arita 1 ^a^^on^^es:

io»

et quant a: devaluation d&£ Va1.eUrs" -•■•'■ - --"—

1 production.

1, L'Evaluation des quantii<Ss: • '■■. ~ : " '

' ' ' a^ Les Droduits des cultures \ ... ; ... .,. -..-., -. ,.f. >;,;-...^:;. ..-,

l,es istimations relatives a la plupart des cultures rejose^t.soi Sea ;

»,j«0 inoertaines et split sujettes a une marge d'erreur bonsidurablej'

** et'dst airisi pour les cereales, les feculents, les legumes et les fruits*

Des snquetes indirectes plus ou moins scientifiques sont utUlsfos pour pgfervenir a une evaluation approohfe des quantites produitesi Dane de- nombreux oas, la "production!! est calculEe a partir des estimations de

la O9nsommation» _, . . ;

! Les oomptes economiques; na^ionaus; etant ,muets quant a la mithodplogie

suivke ppur les estimations des quaxititere, nous nous_ refirons dans oe qui

suitTauac notes eacplicatives de_la-;-SAO dans>eo;n etude prEcitEe* - ;

":- i En principe, les chiffres de la prodUGtion-soat.estimes'au moment de la ijeoolte et les unites de mesure utili^e^s Gorrespondent;rdans la me sure du possible a la fonne sous laquelle le .-produit quitte 1 'exploitation avant de jasser au premier stade identifiable de la transformation (ou do la ooacommation)• ■ . --■■"■ ■ w-;1 ■— "■ ' -fr:: '"""'' • ■ '■*';' :'y ' ,

""■ f Le riz est exprimeV en paddy, les autres oErEales en grains, les'.raoines

feovjltentes en poids brui; reoolte, les legumineuses en poids seo. Nous avon:

mis |dans oette rubrique les haricots et nieb&s ;ola#'ses. sous la rubrique

"SSckiients'1 dans lamdmehclatur^ Gouroier» \ ^-

tes.

Les legumes et les fruits, son* e^primes en poiSs;fi?ais tel que

Les arachides en coques telies que rdoplt^s. u'Les autres

(7)

ffraines oleagineuses en poids estime* de graines a la recolte. Nous avone

clafcse^ soils Wtte rubrique^le oopvah et le# am&ndes <i» kazsLte". Pour le -bopran, «n lvalue la pxoduciioft de noix de ooco en equivalent de ooprah

qui: «st de la itoix de coco, s<che"e ('GGtt&w&tivoij?*, Coraptes de la Nation*

/61) - "'/VK ' /

Le. coton non egxene.est estime" e;n op ton tel qua re"colte~ (graines et

fibres). La oanne 'Ik suore est exprime*e en canhes non transfoaaa^es telles JW^:^?^!"^8* le oaf^ est ezprxme en cerises vertee, le t»6 en feuille

seohe, le cacao en feve seohe, le tabac en feuille verte, la cola en noix, le caoutchpuo naturel est exprim^ eh poids seo du

1: r ?ar exqepijion, uhe partie dee^ prpduits est r^Qpltee^ dans^^ la fprfetj orest le oas par exemple des regimes de palmier a tuile r€oolteVdws les palmeraies sauvages. Oette production est daffioxie a mesurer^en teimes oomparables a celle des exploitations et des plantations. La 5!A0 nous donne la production des palmiers a huille en Equivalent d'huile contraire- ment aux .oomptes 6oonomiques des pays afrioains francopjionea qui scindent oette prod-uotion en oelle des palmisteg et exprim^s eh grains et ll des amandes de palme et exprimees en noix* -■-.

b) Les produits de lf61eva^re et de la

Lreffeotif du oheptel est th^.Qrictuement opnnu ^ partir des reoense- ments administratifs et des oampagnes de vacoination effectuees par le

Service de 1'Blevage. Oependant, dans un calcul de,^a production, il ne convient.pas de retenir la totality de ce oapital-b#tail comme ressouroe locale mais seuleiaent le rendement (Ju troupeau. Ce rerjdement est 6gal a

fi = Ao +-Anc + E - I + Us ■..,

oti R - ©st le rendemsnt du troupeau Ac les abattages contr&les

■-' Anc les abattages non oontrSles . . E les exportations de betail sur pied

I les importations de betail sur pied ...

330 un terme correctif qui traduit' 1!augmentation ou la diminu

tion du cheptel* . :. . ' \ .

; ■ ■ ■ ■ . .■' '■ ■ -.].. .--.-.'■. ' ... ■■..■'■■" '

En general, le rendement reel d'un troupeau ne peut etre caloule aveo precision et les Services de 1'Elevage dans les pays africains francophones

se botneht a admettre un rendement th^orique de : 10 .pour 100 en moyenne. pour les bovins

10 pour 100 " l! -pour les asins> equins.

30 pour 100 " n pour les ovins-caprins 80^ pour 100^ v. ; " pour les porcins

'pour lOO.y^^c'S pour la yolaijle,

(8)

lie de viand*

son taui ficients

dans;

exprime" par

'page 7

$ ce s oomtete afc le. rendement

'da troupeau esi; «**""> j^- ,-,—." Or, pour exprimer *n tonaM

. il faut oomaitre le poi&^careaese inoyen pour cheque bete et d'exploitation* Malheureuseme^t^ nous ne trouvons- pagr oes ooef- de conversion dans'lei comptes ^oonotoiquOset. les coeffioxents

: '"' £l us trouvoiis dans'l'AnhUaire de la feroduotxon de la . p*e le pro"blfeme oar les donneBs ne s*e cor^^^"* ^

nous hfav6ns'd'autr© Qhoix que < de prehdre la viande en oaroas^es bu en iEOToeaux 'sansrpou

l oat^goTies de Viande distinctes* SLefe donnees su^ ,

^t sbnid>tenues a'parUr d'esticaation? de rendements moyens iu nbintrS estim^ des animaux en lactation*

La Production 4'oeufs ebt ottehu/V partir d'estimations |>6rtant sur ' le'nofl^d'oeufs par poule pondBu^e;et 6ur le poids moyen des oeufs*

a et

La'

,^« de lairie dprmee par la FAD et exprimee a partir du poids moyen des toisons et du donne que pour le Kenyao

production das cuirse^t des ^>eaux est generalemtot estim^e en

pourceniftge du poids oaroasse.'

La'production de poisson concerne les quantites daterquees et mises

-a' terre«|- . ... <■£.■ '..;£■;;.;_■

j p) Les produits de la sylviculture ,_ ..;...

du trai tement de g procjui ts de la

"bois*-

lie estimations i»ortant sur le boia de chauffage

oult6slpartioulieres. Bans certains oas elles sont e evaluations de la oonsommation par t&te d habitant.

des

(9)

E/OT.14/HAC/35

Page 8

2» Evaluation des valeurs unitalres aux prix a la production a).. La production oommercialisee

En general, lorsque la valeur a la production n'est pas oonnue, on a recours & la valeur du produit v.endu sur le marche le plus proche; or, celui-ci n'est pas a proprement parler un marche aussi Men pour les pro duits de subsistance que £our les produits d'exportation. Pour ces dernxers le -circuit de commercialisation peut etre bloque par des cas de monopole dans une region tandis qu'il ne l'est pas dans d'autres. Un prix moyen a l'eohelle nationale serait alors peu signifiestif. Si Ppur les products, de subsistance, les choses ne sont pas forcement differentes. Ainsi, par' exemple, pour le mil au Tchad, nous avons pour 1958 des valeurs unitaires a la production variant de 7 P, CFA le Kg dans le district de Oum Hadjer a 45 F.QFA le Kg 4ans le district de Bongor et ce pour une ineme campagne.

Une telle difference ne peut s'expliquer par des seules considerations"l * de couts$ il faut d'ailleurs remarquer que les eoarts entre valeurs uni taires sont parfois plus importants au sein d'un meme pays qu'entre.^diffe- rents pays. Ainsi pour le mil, lfecart entre la valeur maximum e.t la ! ' valeur minimum est de 13 cents US - Kenya, 17 cents US le Kg$ et Madagas- "

oar, Tchad, Cameroun, 4 cents US le Kg. Tant que les marches ne sont pas controles, les systemes de prix et le circuit de commercialisation ,analyses5 tout valeur moyenne a l'echelle nationale ne pourra nous donner qu »une : ' fausee image des conditions de production dans chaque pays.

b) L^utoconsommation

Dans le cadre d'une econbmie de subsistance, nombre d'operations

s'effectuent en circuit ferme etnon sous la forme d! exchanges sur uri marche et il n'est pas possible d'attribuer directement un prix a chaque produit.

Le probleme oonsistea trouver le moyen d'estimer la valeur de chaque pro duit afin de pouvoir integrer les operations d'autoconsommation dans la

description economique d'ensemble, . '

' ' -,

H'apres Michel Courcier dans son etude precitee, il y a deux solutions

a ce probleme 1

- Une premiere solution basee sur lfoptique "inputs oonsiste a.recons- truire des prix sur la base d'une certaine echelle de preference etablie h, partir des statistiques concernant les operations d'echange en nature (troc), on a aussi un ordre de grandeur des rapports de

valeur entre le mil, le poisson, la viande, etc..

-' Uiie deuxie*me solution basee sur l-foptique "output" consists a appli- quer aux'productions autooonsomm^es estimees en quantites, un systeme de prix analogue au voisin pour les biens produits et echanges sur - des marches multiples;.encore faudrait-il savoir dans ce cas s'il faut Ou. no'n incorporer une marge de commercialisation ou de frais de transport fictifs.

(10)

i

Nous noua heuxtona ainai & de txes grandes diffioultes d'evaluation dei valeuxs umtaixes au stade de > production. Et quand nous pensons a 1 importance du seoteur de subsistance dana l'eoonomie des pays afri-

oains (45 pour 100 en valeur du PIB du Tchad en 1963) nous voyoL comMen

J-es statistiques que nous presentons en annexe sont peu suxes.

(11)

Page\iO

/

IMJXIEME PAHCTE t ANALYSE

£• Les limites des oomparaisons flans j'espace ->: ■■■.. , '.' ' ■"

"'!• Leg oom'paraisQns ,en valeur-absolue i .

Ces oomparaisons se heurtent a de grandes difficulty parmi lesquelles

on retiendra :

a) Les renseignements manquent pour de nombreux pays dont le Maroo,

lfAlge*rie, lrAfrique du Sud, la Somalie, etc., toute oomparaison

ne pourra ainsi etre que partielle,

b) Les ann6es retenues pour la oomparaison varient de 1958 a 1965

ce qui est genant pour une comparaison des produits agricoles.

M§me si on retenait une annee de base commune pour la oomparaison, les prix ne tiendraient pas compte du cycle agricole.

c) Les productions agricoles ne sont pas evaluees de la me"me maniere.

Certains pays donnent des productions brutes et d'autres donnent des productions nettes, c'est-a-dire, apres deduotion des semences, des pertes et du stockage.

d) On ne sait pas toujours comment a ete evalue"e la valeur de la

production. Certains pays comme lrEthiopie l'evaluent au ctout des facteurs, d'autres, probablement la majorite, l'evaluent au prix du marche, c!est-a-dire, y compris les impots indirects nets

de subvention*

e) Enfin, la comparaison en monnaie commune ($ des Etats Unis) est

peu satisfaisante car elle ne tient pas compte des structures des, prix et du pouvoir d'achat des monnaies africaines.

Les comparaisons en valeur relative

a) Le calcul des prix relatifs, de certains produits agriooles en

biene de oonsommation comme, par exemple, le sucre, ou en biens

de production comme, par exemple, le ciment ou les engrais, ne ^ nous donnent pas des resultats satisfaisants par suite du manque ;;*

de specificite des biens pris en consideration*

Tout calcul du pouvoir d'achat se heurterait a la meme objection, !:•;

■■I

b) En ce qui concerne les ecarts qui existent entre les valeurs |-

unitaires aux prix a la production des produits agricoles dans les !-.;

pays africains. Ceux-ci' sont en general faibles pour les grands ?;'- produits d'exportation (the, cacao, tabac, caoutchouc, coton, ■=;

sisal, palmiste, ooprah) et sensibles pour les produits vivriers,

notamment pour certains cereales, les fe"culents, le poisson, le ;,!

lait, les fruits et legumes* Plusieurs raisons peuvent expli- ii|

quer le premier facteur 2 des techniques de production )'l

(12)

Page 11

modernes egalisant les couts, _une politique economique de'libe're'e, 'des preseiQhs de mohopole ou de 1'appareil. d^'-.'dietJEi'teijblon et

indirectement des contraintes exercees par le^s prlx mondiauxo Potfr le second facteur, dee conditions de production difficiles*

notamment pour les pays se trouvant dans la frange saharienne comme la Li tore, la Mauritanie, le Niger, la Haute-Vblta, expli-* ..

quent les valeurs unitaires tres superieures a la moyenne des autres pays africains»

d) Pour juger de la oomp^titivite des produits agricoles africains, i il faudrait comparer les valeurs unitaires minimums des diffbrents

! produits agricoles en Afrique et dans le reste du mohde,;,. Prapi^6.

les donnees dont nous disposons, nous remarquons que pour "boil ..

nombre de produits agricoles, 1'Afrique dispose dfun avantftge relatif par rapport au reste du monde et que les pays de l'Afrique de l'Est se trouvent en bonne place pour la competitivite•'. de. bon....

nombre de produits d'exportationj cependant; nous ne tenons pas compte dans ces comparaisons de la qualite des produits, oe qui donne a ces comparaisons une. valeur limitative., Ainsi, par exemple, pour le oafe", les eoarts entre les valeurs unitaires -aux prix a la production sTexpliquent par 1'existence de deux :,

qualites "Bobusta" et "Arabica"* La premiere a une valeur uni- taire.plus fai-ble t 31 cents US par Kg pour la moyenne des grands

pays producteurs (C6te*-dflvoire, Ouganda, Madagascar) centre 44

oents US par Kg pour la moyenne des grands pays produisant de 1f "Axabioa11 (Ethiopie, Kenya, lanzanie) •

B. Lps oomparaisons dans le temps

N|otre comparaison dans le temps sera une analyse comparative au niveau des prj-x et des quantites entre les produits de subsistance et les produits d'expbirtation, Parmi ees derniers, nous considerons I'aracHide,, le oafe, le caoao, le coton et le sisal, les produits de subsistance representant I'ensejnble des cereales, racines feculentes et legumineuses. ;

lies indices sont relatifs a l'annee 196*5 e-fc ont comme base l'annee

i960 s&uf-indication contraire. Nous reproduisons le graphique des valeurs

unitaires a la page 14»

(13)

Pag« 12

Indioes des quantites produites: (q) et dee

auxi l di ()

auxpixx a la y|KJ s entretre

produits dfexportation dans ioain ts dexportation dans qu1965 1966 pays afrioains en 1965 aveo 1966 » 1QQ

Produits de subsi stance

Pi^duits

d'^acportation Araohid©

Oacao Caf6 Co ton Sisal

-* Niger

Q

121

124 135

no Q

118

16*4 115

109

Ghana

Q

180 67

C6te- d'lvbire

Q

116

155

W ■■! Q

116 j 91

8969. 165 126

103

84 10587

Tanzanie

Q

203 104

1/ 1964 par rapport a 1959;

VCT

106 91 90

faits apparaissent dans ce tableau : ,

■ ■ . ■ ■ ' .*' ■

le premier est que la production des produits drexportation a augmente avec un taux bien plus eleve que celui des biens de

subsistanQe, mais ceci a une signification tree relative.' s 1^ part de-ces derniers produits dans 1'agriculture etant plus importante que celle des produits d'exportation et surtout -oarce que notxe mdice est simple et rapporte l!anneel965 a celle de i960* oe qui diminue sa valeur yu que les pxoduits d-exportation qui. sont sounds a des techniques modernes drexploitation echappent mieux aux al^as olimatiques que les produits de subsistanceo Pour mieux situer la question, il aurait fallu disposer des productions et des valeurs

unitaires des arnses 1961 a ir''*

Le second fait est un corollairo du premier : la loi de l'offre et de la demande joue plus dan3 le domains de3 produits dfexporta- txon que dans celui des produits de subsistance pour lesquels le marche est moins transparento Pour ces demiers5 en effet, il

semble qu'indice des prix et indice des quantites evoluent paralle- lement et dans le memo sens, ce qui amSne quelques doutes sur les statistiques que nous possedons. En revanche, pour les produits des cultures modernes, plus la quantite est grande plus le prix est basj cette regie est cependant temperee par la politique des

"Marketing Boards"et a un niveau moindre, par les accords interna-

tionaux sur les produits; ces accords servent la stabilisation;,

(14)

"/ ' -'# • ^ ' * / -ij

Page 13*

'Cbieu'que v©rs le bas) des pxix au stad© de la oommeroiaU,satL6n t et non au stad© d© la production, Le gi^phique, 1© inontre^ oifti^^

ment partioulierement pour 1© oaf6. Pour les a\ititee prodiaita £j.

y a n4o©ssit4 d© voir d© plus pres la politique des pays oit^en matier© de prixj oelle-oi affect© consid^ralalement .1© niveau 4« : prix a la production; o'est la ralson pour laqtiell* tout© analjrse fitatique dans c© domain© est hasardeuse et thSti^

(15)

t ' i

Annex

//

I Annexe I

ANNEX I - ANNEXE I

CONCEDING DATA OK (JJANEEEEES AND VAIEE AT

.JSeS^aSSs CQNCEBKANT LES lONNEES 3JB LES CJJANTITES

ETLBS VALHJRS £DX PHEX A LA PBDUJCITON

OOOKTHEES/PiYS

Mauritania/

Mauritanie

sxe Coop tee 6conomiques

Estimates of OTP of Li*bya 1964-1966

Mali

Ivcucy Ooae;/1/

G&tdfli.re

Upper Voltt/

Haute-Voltf Dahomey

Siger

Sierra Leone

Togo

Came roon/i 3ame roun

Cadre du Plan quinquennal gEnEral .

1965 & Statistical Handbook 1952-1965 Analyse de I'Eoonomie de la Bepublique islamique de Mauritanie en 1959, SEIES

et comptes Economiques 1952, I960, 1964

Coraptes eoonomiques 1956, 1959, 1960-61-

62 & (^lestionnaire de la CEA, 1969 ,

Comptes Economiques 1956, 1959, 1964/65

Comptes economiques 1958 & Comptes de la Nation 1966/67 (provisoire)

Comptes Economiques 1956, 1964, 1965/66

Comptes Eoonomiques 1956, 1959 e* oomptes

nationaui du Dahomey 1962 et 1963

Comptes Economiques 1956, 1959, I960, 1961, 1963, 1964, 1966

La croissance des quantites globales en

Afrique de l'ouest de 1947 ^ 1964* IEIES,

Universite de Paris

National Accounts of Sierra Leone 1966, 1967 et Ifepport de M, Chalak 1968

Comptes Economiques 1956-57-58, 1959, 1963, 1964

Comptes economiques 1951-56-57-59, 1965-66

I960, 1965-1968 1964 ;;

1959/196O

1952, 1959, I960

i 1964

1956, 1956,

1958, i960, 1965^67 1956, 1964^-66

1956, 1959, 1963 1956, 1959-61, 1963-66

i960

1963-1966

1956-58, 1963, 1964

1959, 1963-65

(16)

" C t\

Annex I Annexe I- Page 2

OOOHTHTES/PAYS Cfaad/Stohad

Central African

Bapublic/ c

BSpublique oentrafri caine

Congo* (Brazza)t/

Rwanda Burundi

Madagascar

Comoro Islands/

TerBitoiiTQ.des Comores

Tanzania/ -

Tansanie Kenya

Ethiopia/

Ethiopia- ■ ' - ■

SOURCES - - -V—

Comptes <§conomiques 1956, 1958, 1961/62/63 Oomptes e'conomiques 1956; 1961

Comptes economiques 1956, i960, 1963 Comptes eoonomiques 1956, 1958

Bulletin statistique, Janvier 1968, Wo 16 Annuaia?e statistique 1966

Economie malgache, Evolution 1950-1960 Comptes Eoonomiques 1959, 1965, 1967

» ' ■". ■'i >. ■■ . -

Statistical Abstract i960 and,.1967 & The National Accounts of Tanganyika 1960-62

Statistical abstract & Economic Survey

I960, 1967 :-

Estimates of National Accounts of Ethiopia

1961-1966 .: , v; -: s ■ )

tears/amebs 1956, 1958, 1963 V 1956, 1961

1959> 1966/6J-.-■^,v

i960

'■ 1959) 19^1966^ ■

1956-1967

1956-196.7 . ;■ ..,

1961-^963 .;. ; .-

(17)

/

Annex I Annexe I

I- ANNEXE I

_'-* -*■*•• -*v»*

300RCES CONCERNING MTA ON

'S PHICES/ ■ ««

BCES NATSONALES CONCEHNANT LES IONNEES SCJR LES LES VALKJRS &JX PHEX A LA PBOUJCTION

AND VAHJE AT

fftini eia/lun l sie

e

Mauritania/

Mali

Ivory Coas»/

Upper

Haute-Voltf

Dahomey

Comptes 6oonomiques 19^0,

Estimates of MB of Li"bya. 1964-1966

Cadre da Plan quinquennal general 1960-

1965 & Statistical Handbook 1952-1965

I960, 1965-1968 v

1964 ,; 7

1959/196O

t/Guijnee

Qainea

Sierra Leone

Togo

Cameroon/* Jameroun

Analyse de lTeoonomie de la islamique de Mauritanie en 1959r

et oomptes Economiques 1952, I960, 1964 Comptes economiques 1956, 1959, 1960-61-

62 & Questionnaire de la CM, 1969

Comptes economiques 1956, 1959, 1964/65

Comptes economiques 1958 & Comptes de la Nation 1966/67 (provisoire)

Comptes economiques 1956, 1964, 1965/66

Comptes eoonomiques 1956, 1959 et comptes nationaux du Dahomey 1962 et 19o3

Comptes economiques 1956, 1959, I960,

1961, 1963, 1964, 1966

La croissance des quantites globales en

Afrique de lrouest de 1947 ^ 1964* IEIES,

University de Paris

National Accounts of Sierra Leone 1966,

1967 et Bapport de M. Chalak i960

Comptes Economiques 1956-57-58, 1959,

1963, 1964

Comptes economiques 1951-5^-57-59,

1965-66

.1956, 1959-^1962,, 1964

1956, 1959, 1964/65

1958, I960, 1965-67 1956, 1964^ . \

1956, 1959, 1963

1956, 1959-61, 1963-66

i960

1963-1966

1956-58, 1963, 1964

1959, 1963-65

(18)

'• ->,'^»*X* ^^Wp^^fy 2

yI Annexe I Fag© 2

OttJHTKTES/PAYS

Chad/Tchad. "

Central African flapublio/

BSpublique

Congo (Brazza)

Rwanda

Barundi Madagascar

Comaro Islands/

Tarsi toitre- de s ,.Qomores - .

■ ■ ■*■ * - , -,"■'■-■. ,.

Tanzania/ .__.

Tarizanie'

Kenya :- .

Ethiopia7

Ethiopie

SOTRCES v:

Comptes ©conomiques i9569, 1958,1961/62/63

Gpniptesi^conomiqueg 1956; I96I . , '

]"Coinptrs'"economiques 1956, i960, 1963 n-.

.Cqmptes economiques 1956, 1958

Bulletin statistique, Janvier 1968, No 16 Annuaire statistique 1966

Economie malgache, Evolution I95O-I96O - Comptes eoonomiques 1959, 1965, 1967

Statistical Abstract i960 and 1967 & !Hie National^Accounts of Tanganyika 196O-62 '

Statistical abstraot & Economic Survey ■ . I960, 1967

Estimates of National Accounts of Ethiopia 1961-1966

1

1956, , 1956, 1959, 1965 :.■'. I960 1959,

1958^ 1-963

1961

1960,J-196i_

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1966/67

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1965, 1966 *

. 1956-1967 -

■:i ,1956-1967;^., . -y: '

(19)

ANNEXII-ANNEXEII Table1 QUANTITYANDVALUEATPRODUCER'SPRICESFORAGRICULTURALCQMI0DITIB3INSELECTEDAFRICANCOUNTRIESABOUNDi960 Tableau1 QUAHTITEETVALEURAUXPRIXALAPRODUCTIONDESPRODUITSAGRICOLESDANSCERTAINSPAYSAFRICAINSAUXENVIRONSDEi960 Quantity-Quantite-1000Hetr Value-Valeur-MillionUSS AgriculturalComodities ProduitsAgricoles

Libya Libya 1964 Tunisia- Tunisie I960

tUH- RAU 1959/60

Mauritania- Mauritanie I960 Senegal- SsngfiBliuali 1959 Ivory-Coast CSte-d'Ivoire I960

UpperZolta Haute-Volta 1964 Crops-7-Culturesu Cereals-OSr6ales, Rice(paddy)-Riz(paddy) Wheat-BIS BarleyOrge. Milletandsorghum-Sorghoetmillet, Maize-Mats Others-Autres StarchyRoots-RanineeFSoulentes HaniooCassava, YamsIgnaroes.«....«....*...*.*.**•««.*#•. OthersAutres VegatablesLegumes Fruits-Fruits Bananasandmusaroots-Bananeaetplantains CitrusfruitsAgrumeb... Others-Autres Oilse GroundnutsArachidi Oilpalm-Palmierahulls Others-Autres FibrePlants-PIantesaFibre Sisal Others-Autres, SaochariferousPlants-PlantusSaoohailfarea.... SugaroaneCanne&aucre...*.*... Sugarbeet-Betteraveasucre Beveragesplanis-Tobacco-Planteaaboisaon-Tabac Coffee-Caf£ Tea-Tht§ CocoabeansCacao Tobacco-Tabac Kola-Cola MiscellaneousDivers NaturalrubberCaoutchoucnaturel Others-Autres LivestockProductsProduitt,del'Elevage Meatandoffpis-Viandeetabate Milk-Lait Wool-Laine Hideaandskins-Cuireetpeaux FisheriesProducts-ProduitsdelaPSohe ForestryProlucts-ProduitsdelaSylviculture... Firewood-Boisdechauffage \JFodderplantsnotincluded-Noncomprisculturesfourr; 2/CottonseednotincludedNoncomprisgrainesdecoton 3/Tripolitaniaonly-Tripolitaineseulement 4/In1000m3-Enmillieradew3 57Olives 6/Meatonly-Viandeseularaent

16 89 0 1

.2 .6 .1 .2

4. 16,.6 .0 0.01 0,.2 2.6 58.4 113-3 6.1 107.2

0.8 5-6 13.8 1.2 12.6

818.1 595.0 212.0 I" 7.6 34.0 310.0 530.5 178.0 178.0^/ 112.0 0.7 111.3

68.7 57.9 10.1 0.5 : 3.0 21.4 37-5 15-1 3.1 0.1 3.0 "•

5435.0 1486.0 1499.0 156.0 603.0 1691.0 : 407.0 3928.0 1059.0 58.0 34.0 24.0 2321.0 2268.0 53.o 4545-0 4545.0

360.4 77-2 116.9 9.6 40.6 116.1 36.0 93.1 65.6 9.6 5.4 4-3 396.5 394.8 0.9 27.8 27.8

71.0 65.O 6.0 2.0 2.0 5.0 15-0 15.0 _ -

3.7 3.4 0.3 0.1 0.1 0.4 1.8 1.8 _

467.7 79.2 325-0 27.8 35.7 207.4 177.9 29.5 14.3 90.0 45.9 788.3 769.6

, 18.7s7 - - -

27.5 5.8 19-7 1.4 0.6 8.6 7.2 1-4 0.9 8.7 4.2 59-9 58-y - - -

nous 182.0 0.8 800.0 100.0 19.0 160.0 90.0 10.0 60.0 10.0 J120.0 120.0 329.3 179-3 150.0 10.4 10.4 - -

53.4 9-2 0.06 38.9 4-3 0.9 4.1 2.2 0.4 1.5 0.5 7.9 16.4 13.4 3-0 1-3 1-3 146. 30. 100. 6. 4. 4.2,-

/ 8-* 0 3 3 8

42 24 7 6 2 2

,1 .0 .0 •9 .2 2152.013.1 1992.012.2 160.00.9

0.5 0.5 298.66/ 94-2i/ 12.6 23-3^ 35-6 18.4 18.4

19.51.7 0.9

169-56/ 40.4^ 125.0" 3.0 1.1 145.0

34-22.4V.4^ 9.1-1' 1.8 0.8 10.1

0.70.2 1.00.2 T.oia/0.2 150.0 2.0 0.4 1.4

23.46 12.1a 9-1 1.7 0.1 0.4 32.511.1 1353-of/,12.6 12.44-4f/0.2 1348.63/

364.0 160.0 52.0 147.0 5.0 1765.0 450.0 1150.0 165.0 12.0 607.9 578.0 29.9 326.4 23.8n 4^5 8.0 8.0

22.6 11.7 3.4 7.1 0.4 73.4 12.8 55-9 4.8 0.3 22.0 21.0 1.0 6.7 0^5 1-7 1-7 258.1 136.6 2.0 34-3

89-3 54.7 31.1 0.7 6.7

956.7 24.0 66.0 5-8 136.8

51.1 1.9 45-3 3.5 0.4 61.8^/4.5- 19.55.5 19.03.1 123.3 70.0 53.3 12.3 12.3

6.3 4.5 1.8 1.7 1-7 50.0 0.9 996.0 32.C,

4.1 0.9 14.0 0.8 13.2 1/Hilkproducts-P 8/Includes"hidepn 2/PalmKernels-Cn \2jInclude!

isdepalmi: ■abique ofpalninuta~Regimes

."produiteencu

(20)

ANNEXII-ANNEXEII Table1 QUANTITYAHDVALUEATPRODUCER'SPRICESFORAGRICULTURALCOMMODITIESINSELECTEDAFRICANCOUNTRIESAROUNDi960(cont'd) Tableau1 eUANTITEETVALEUHAUXPRIXALAPHODUCTIONDESPRODUITSAGRICOLESDAKSCERTAINSPATSAFHICAISSAUXENVIRONSDEi960(suite) Quantity-Quantite-1OOOT.N. Value-valour-MillionUSI AgrieultiiralConraoditiesDahomey 1959 av

Niger I960 4V

Gambia Gamble 1962 a

- V

Guinea Guinea 1960 a

- V

SierraLeone 1963 a

Ghana 1962 V

Togo 1959 aV

Nigeria- 1962 aV

Cameroon- Caneroun 1959 av Crops-'-Cultures-^ Cereals-Cereales296.011.5955-049-4714-5 Rice(paddy)-Riz(paddy)1.40.097.40.9281.9 Wheat-Ble--1.10.3 Killetandsorghum-Sorghokmillet72.03-6943-747.94.32.6 Maize-mals220.87-72.80.3 Otherti-Autres1.80.1-- StarohyRoots-Racine*Fepulsates1534-118-9120.58.160.2 Cassava-Manioc998.78.098.16.060.2 Yams-Ignunee5'6.110.1- Others-Autres19-10.422.42.1 Pulses-Ugumineuses9-91-141-52.51 Vege-tablss-Log-jaw-7.10.822.51.950.6 Fruits38.21.420.2 Bananasandmusaroots-Bananebetplantains....•...•■■--- CitrusfuitB-Agrumea-_--- Others-Autres...••••••2°-2 OilseedtM-Oleagineux^236.43-9150-59-8976.5 Groundnuts-Araohides32-9,y1-3-,/150.59-892 Oilpalm-Palmierahuil190.4*2-2*-3... OtherB-Autres13.10.4--2 FibrePlants-PlanteeaFibre...'-50.2 Unginnedcotton-Cotonnonigrene......'.40.5 Sisal-~ Others-Autres--°-1t SaccharifarouaPlants-PlantasSacchariferaa--- Sugarone-Canneasucre------ SugarbeetBetteravehsuore----- Beveragesplants-Tobacco-Planteaaboisaon-Tabao2.30.85.16.1 Coffee-Cafe1«•••___ Tea-The"---- Cocoab«ans-Cacao-----~ Tobacoo-Tabac...0.050.02 Kola-Cola1--5.06.1 Miscellaneous-Dlvero--0*60.2 Naturalrubber-Caoutchoucnaturel--~it~it Others-Autres--0.6-1/q.2U LivestockProduots-Produitadel'Elevage..."'a/'"&/•••1-1 Meatsandoffals-Yiandeetabats,-/...-/2.7="U^*20.9 Milk-LaltTTT3.O2/Q.l"300.024.320.1 Eggs-Oeufa1.00.8.........0.1 WoolLaine--~~~ HidesandSkins-CuirsetPaaui0.7...3.12.8 FisheriesProducts-ProduitsdelaPSohe48.09.73-51-390-7 ForestryProducts-ProduitsdelaSylvicultureI427.&/3-3•••••■17O6/°'6 Lumber-Boied'oeuvre29-V/°*7■••fi/•••20§7°*1 Firewood-BoiedeChauffage1398.o2/2.S1O64.o2/9.815O-'0.5

557 324 80 56 97 594 430 I64 60 197 60

38.8 27-2 4.2 2.7 4-7 24-3 17-6 6.7 4.9 13.6 1.4 ...

425-6 393.9 22.4 9.3 69.2 60.2 9.0 1.4 48.5 243.1 100.5 71-3 71.3 71.9 13.8ft/ 58.1^

35.5 34.0 1.1 0.4 3.0 2-5 0.5 0.1 5.7 18.7 7.8 5.0 5.9 5.9 15.2 4.6 3.8 6.8 6.7 6.7

4.7 1.7 1.4 1.6 0.8 0.8

379 31 174 174 3040 1170 1200 670 35 234 '095 145 41 10 94 44 44 460 3 428 49 40 4 4 1 58 021$ 2213^

30.9 3.4 15-7 11.8 2.5 15-2 6-7 0.6 0.6 179.1 1.1 175-5 0.3 2.2 0.4 0.4 18.8 15.5 0.3 2.6 0.4 57.0 44.9 12.1

175.310.2 89.O5.4 82.04.7 4.00.2 1214.224.8 596.27.3 609.517.3 8.40.2 17-3* 60.0 5.0 14.8 8.1 6.2 0.6

2-4 0.1 22 9 8 5.6 .3

, -0" .3

3 1 1 1

.0 .0 .0 5-8 3-3 2.5 0.02

7386 262 16 6067 1041

21049 7096 12921 IO32 762 800 600 600 2454 1303 530 621 128 128 204 204

468.O 21.2 2.0 382.4 26.4 91.0 52.0 33-0 33.0 218.8 16.1 16.1 2.0 2.0 187 12 64 60 4 732 339 321 53 19 75 36514^ 340002/

82.3 5.5 29.1 27.9 1.2 162.0 116.0 19-3 34.5 12.2 10.8 86.9 37.9 49.0

479.0 9.0 320.0 150.0 1100.5 500.0 100.0 500.0 15.0 13.4 100.0 90.0 i10.0 117i6 63.0B/ 52.6s/ 2.0 21.7 21.7 ::: 92.1 29.5 59.5 U5 0.2 0.2 3.5 0.8 36.0 8761.0^/ 461.o2/ 8300.0

20.6 0.5 13.0 7.3 34.6 10.0 5.7 18.8 3.0 5-9 7-4 3.3

{4.1 8.1 4.1- 0.2 2.7 2.7 4.0 4.0 42.1 16.4 23-7 0.8 1.2 0.04 0.04 o'.B 1.2 7-2 20.5 7-1 13-4

\JFodderplantsnotincluded-Donoomprisculturesfourrageres 2/CottonseedsnotincludedNoncompriegraineade00ton ^JPalmnuts-Amandesdepalme 4/Meatonly-Viandeseulement 5_/Milkproducts-ProduitsLaitiers 6/In1000mJ-EnmilliersdeaJ j/GumarabicGomnearabique 8/PalmKernels-Qrainesdepalmistes 9_/Includes"Voandzou"-Yoompris"Voandzou'1

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