TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION : Une originalité en question - p. 1
PREMIÈRE PARTIE : Quel « premier Ratzinger » ? - p. 7
A. L’Église selon le « premier Ratzinger » - p. 16 1. Révélation, Écritures et Tradition - p. 24
1.a L’« Esprit qui enseigne à comprendre l’Écriture » - p. 30 1.b La critique de la thèse de Geiselmann - p. 34
1.c L’idée du message original ou le Jésus historique - p. 36 2. Le « peuple de Dieu » - p. 45
2.a Jésus et la fondation de l’Église - p. 48
2.b Le « corps du Dieu vivant » : sacrifice eucharistique et service - p. 57
2.c La signification du « peuple réuni autour de Christ » : l’« être avec lui » - p. 61 2.d Le cas spécifique : la confrontation avec la théologie de la libération - p. 68 B. Vatican II selon le « Ratzinger du concile » - p. 74
1. L’aggiornamento - p. 75 1.a La démythologisation - p. 78 1.b Déception et eschatologie - p. 84
1.c Weckruf, ou le réveil de la vérité qui secoue - p. 90 2. À la recherche du proprium du christianisme - p. 93
2.a Barth et les théologiens catholiques à l’aube de Vatican II - p. 99 3. L’évaluation du concile au lendemain de sa clôture - p. 105
DEUXIÈME PARTIE : La confrontation avec la « raison » moderne - p. 113
A. La « déshellénisation » - p. 117
1. La Réforme : la sola scriptura en tant que modèle moderne de la compréhension - p. 120 1.a La doctrine des « raisons séminales » et le modèle de la compréhension en tant que processus – p. 125
2. Le libéralisme théologique et sa ligne de fuite. Le Jésus « exemplaire » - p. 136
2.a Schleiermacher et son héritage. Entre mise à l’abri de la « foi » et quête de scientificité - p. 137 2.b Sens et héritage de la Kierkegaard-Renaissance - p. 148
2.c Les nouvelles perspectives sur l’inculturation du christianisme et la mise en question du vieux concept missionnaire - p. 152
2.d La confrontation avec K. Rahner - p. 157
3. Le pluralisme, ou la conviction fondamentale de « l’homme d’aujourd’hui » - p. 169 B. La religion sans « prétention » : une « exigence » des philosophes - p. 175 1. Varron et la « conscience moderne » - p. 176
1.a Interpretationschristentum. La théologie guettée par le primat du discours philosophique - p. 185 2. La religion rachetée en raison de son utilité publique - p. 189
2.a La confrontation avec J. Habermas - p. 190
2.b La confrontation avec les courants de l’« orthopraxisme » et de l’« éthique mondiale » - p. 197 3. La religion rachetée en raison de son utilité symbolique - p. 207
3.a La critique de l’actuel « retour du religieux » - p. 211
TROISIÈME PARTIE : Le rationalisme de Ratzinger. Une « démythologisation » de la raison ? - p. 219
A. La confrontation de Ratzinger avec la néoscolastique - p. 221
1. Les antécédents de la crise moderniste. La néoscolastique entre condamnation et assomption de la modernité - p. 224
1.a Le rôle de la néoscolastique au temps de Grégoire XVI et Pie IX - p. 224 1.b La consécration du néothomisme par Léon XIII - p. 231
2. Sagesse et philosophia christiana - p. 238 2.a La constitution dogmatique Dei Filius - p. 242 2.b La théologie hybride du premier Augustin - p. 246
B. La métaphysique. Entre présupposés et séduction de la « raison » - p. 257 1. Le Dieu de la foi et le Dieu des philosophes- p. 257
1.a L’ambiguïté du « rationalisme » ratzingerien - p. 264
1.b La thèse sur « l’absolu », ou sur « le caractère absolu » d’un principe - p. 270
1.c La rencontre entre « la foi biblique et le questionnement grec » entre nécessité et décision - p. 281 2. La corrélation - p. 292
2.a L’élément platonicien et l’autolimitation moderne de la raison - p. 296
2.b Les « décisions fondamentales » et la nature raisonnable du « faire confiance » - p. 305
2.c La « conscience ». Quadrature du cercle ? - p. 314
CONCLUSION - p. 323
BIBLIOGRAPHIE - p. 327