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Basket-ball : Règles

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Academic year: 2022

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2lfep spécialité BB T.Amayra

Basket-ball : Règles

Le basket-ballou basketballest un sport collectif de balle, qui se joue à la main. Le but est de marquer plus de points que l'équipe adverse en marquant des paniers, c'est-à-dire en faisant passer le ballon à travers un anneau placé à plusieurs mètres du sol.

Le ballon

Initialement, le basket-ball se pratiquait avec un ballon de football. Les premiers ballons utilisés spécifiquement pour le basket-ball étaient marron, et à la fin des années 1950, Tony Hinkle, souhaitant concevoir un ballon qui soit plus visible chez les joueurs et chez les spectateurs, introduisit le traditionnel ballon de couleur orange. Celui-ci mesure 24cm de diamètre et pèse entre 600 et 650 g.

Le terrain

Le basket-ball se joue généralement dans un endroit couvert, par exemple un gymnase, mais il peut aussi être pratiqué sur des aires de jeu en tant que loisir, sous sa variante la plus populaire : le streetball (« basket-ball de rue »).

Le terrain est doublement symétrique (en longueur et en largeur). Ses dimensions varient, selon les pays ou les normes internationales, de 22 à 29 mètres de long sur 13 à 15 mètres de large. Ainsi, un terrain aux normes de la FIBA (fédération internationale) ou aux normes NBA (Fédération nord-américaine).

Aux deux extrémités du terrain se trouve un panier, formé par un anneau (ou arceau) métallique situé à 3,05 m du sol, en-dessous duquel est attaché un filet ouvert en son centre.

L'arceau, de 75 à 78 cm, est fixé à un panneau rectangulaire vertical (la planche) sur lequel la balle peut rebondir lors d'un tir.

Sous chaque panier se trouve une zone rectangulaire appelée la raquette. Un arc de cercle situé à 6,75 m de chaque panier représente la ligne de tirs à trois points. Cette ligne a été introduite en 1984.

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Les principales règles

· Deux équipes de cinq joueurs sur le terrain (avec un maximum de 5 à 7 remplaçants suivant les pays et les championnats)

· Le but de chaque équipe est de marquer plus de points que son adversaire en marquant des paniers et en empêchant l'équipe adverse d'en faire de même.

· Un match se déroule en quatre périodes de dix minutes selon les règles FIBA. Le chronomètre est arrêté à chaque coup de sifflet de l'arbitre (en cas de faute ou de violation).

· Chaque équipe peut remplacer un ou plusieurs joueurs pendant les périodes de ballon mort (arrêts de jeu et les temps-morts).

· Au début du match, l'engagement est effectué par l'arbitre sous la forme d'un entre- deux. Pour cela, un joueur de chaque équipe (généralement celui qui saute le plus haut) se place face à son adversaire, derrière la ligne du milieu de terrain, en direction du panier où il doit attaquer ; l'arbitre lance alors la balle au-dessus des deux joueurs et ceux-ci doivent frapper le ballon dans sa phase descendante avec la main pour qu'un de leurs équipiers l'attrape. C'est à ce moment-là que le chronomètre est déclenché.

· Les joueurs doivent manipuler le ballon avec les mains. Le toucher avec une partie quelconque de la jambe de manière délibérée est interdit et constitue une violation.

· Le ballon est hors-jeu dès qu’il rebondit à la limite ou en dehors du terrain, ou lorsqu'il est touché par un joueur qui mord ou dépasse les limites du terrain. Contrairement au football, ce n’est pas la position absolue du joueur ou du ballon qui compte, mais le rebond ou l'appui (un joueur peut ainsi plonger en dehors du terrain et sauver la balle, du moment qu'il lâche la balle avant de faire un pas au-delà de la limite du terrain).

· Le temps de jeu étant effectif, il n'y a pas de temps additionnel comme au football ; une sonnerie retentit au moment où la dernière seconde de chaque période s'est écoulée, mais un tir réussi après la sonnerie peut être accordé si le joueur a lâché le ballon avant que la sonnerie ne retentisse.

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2lfep spécialité BB T.Amayra

· À l'issue de la rencontre, l'équipe qui a le plus de points remporte le match. En cas d'égalité, on joue alors 5 minutes de prolongation pour départager les deux équipes, et ce quelle que soit la compétition en cours. Si au terme de la prolongation il y a à nouveau égalité, on rejoue une autre prolongation. Il n'y a ainsi jamais de match nul au basket-ball.

Définition des postes au basket

- Lemeneur, ou poste 1, (en anglais :Point guard) :

Est le joueur qui dirige le jeu en attaque. C'est lui qui monte la balle à travers le terrain et annonce les différentes tactiques à mettre en place. Il sert de relai de l'entraîneur sur le terrain.

Les qualités requises pour jouer à ce poste sont donc une bonne intelligence de jeu et de la lucidité même lorsque l'équipe est menée au score.

- L'arrière(en anglais :shooting guard) ou poste 2 :

Les joueurs jouant à ce poste sont généralement plus petits et plus vifs que les ailiers, et a fortiorique les intérieurs. Le rôle des arrières est généralement de marquer des paniers par des tirs extérieurs, mais certains sont aussi chargés de monter la balle avec le meneur ou de faire quelques pénétrations.

- L'ailierouailier shooter(en anglais :Small forward) ou poste 3:

Les caractéristiques d'un ailier consistent en un compromis entre la taille et la puissances d'un intérieur ou d'un pivot, et l'agilité et la dextérité d'un meneur ou d'un arrière. C'est ce qui fait généralement des ailiers les joueurs les plus polyvalents, capables à la fois de tirer de loin et de jouer dans la raquette. Beaucoup d'ailiers sont aussi de bons défenseurs, c'est probablement le poste le plus défensif avec celui de pivot.

- L'ailier fortouintérieur(en anglais :power forward) ou poste 4 :

L'ailier fort est généralement moins grand mais aussi costaud que le pivot. Ils réalisent les mêmes actions (Rebonds, contres, tirs intérieurs) mais l'ailier fort joue plutôt face au panier, alors que le pivot joue dos au panier.

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- Lepivot(en anglais :center) ou poste 5 :

Est le joueur situé le plus près du panier quand le jeu est en place. C'est l'un des cinq postes traditionnels. Le pivot est généralement le joueur le plus grand et le plus lourd (mais aussi le plus lent) de son équipe.

Ce poste est appelé ainsi car, étant la plupart du temps placé très près du panier, il doit souvent pivoter après avoir reçu le ballon pour se retrouver en direction du panier. Son rôle est généralement d'utiliser sa taille et sa masse physique pour marquer des paniers à courte distance, et empêcher les joueurs de l'équipe adverse de s'approcher de son propre panier.

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Cours spécialité Basketball A.Tannoubi

REDIGER UN PLAN D’ENTRAINEMENT

La mise en place d’un programme directeur d’entraînement est indispensable et se fait sitôt le dernier match de la saison précédente terminé. C’est essentiellement un travail de rédaction qui vous est demandé : en fonction du potentiel de votre équipe et des conditions d’entraînement, vous vous fixez des priorités de fonctionnement pour l’organisation des contenus techniques, tactiques et physiques.

C’est grâce à ce support que vous vous engagez sur les rails d’une saison. Il vous permet d’une part de faire un inventaire des tâches à accomplir, il vous fixe une trajectoire et donc vous impose une certaine rigueur, il vous offre un moyen d’évaluation et vous permet ainsi une flexibilité cohérente.

QUELS SONT LES PARAMETRES A PRENDRE EN COMPTE ?

• Vos objectifs et la façon de les atteindre

• Votre groupe, son potentiel, ses motivations

• Vos moyens d’entraînement (disponibilité, durée de la saison) QUELS SONT LES OUTILS A DEVELOPPER ?

• Un programme directeur où seront identifiés vos choix de jeu, d’organisation, de contenus et d’évaluation

• Une programmation par cycles où, en fonction de la quantité d’entraînement, vous définirez les thèmes principaux et les priorités en fonction du moment de la saison

• Une programmation hebdomadaire où seront répartis les temps et les exercices consacrés aux différents accents de la semaine

Sur la longue route d’une saison sportive, vous ne pouvez pas vous permettre de piloter à vue, c’est pourquoi ces différents plans vous permettront d’ouvrir votre regard (d’une saison sur l’autre, d’un mois à l’autre) et vous donneront des indications sur le chemin parcouru et à parcourir. Ces référentiels auront aussi pour but de vous rendre plus consistant dans vos choix ; ils vous aideront sans que vous deveniez rigide à respecter vos orientations malgré les aléas.

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Exemples :

- La programmation par cycles peut se faire par mois, par trimestre ou en fonction des échéances (ex : championnat + play off).

- Au moment de planifier et avant de changer, prenez en considération le nombre

“d’anciens” qui restent et qui donneront de l’assise à votre programme.

- Pour les jeunes, consacrez 2/3 de temps aux fondamentaux et aux manœuvres à 2 et 3 joueurs, 1/3 à l’organisation collective.

- Tout en mettant autant l’accent sur l’un que sur l’autre, il faudra consacrer deux fois plus de temps à l’attaque qu’à la défense

- Le choix de la méthode d’entraînement (méthode partielle ----> méthode globale ou méthode globale ----> méthode partielle) peut être une conviction personnelle et donc ne jamais changer mais elle peut aussi fluctuer en fonction des moments de la saison.

- La définition d’un style de jeu doit permettre de répondre à quatre grands types de situations (transition, homme à homme, zone, combinée). Vous devez vous fixer des priorités dans le temps (d’un cycle à l’autre, d’une saison à l’autre ....) et en fonction de votre niveau (potentiel de votre équipe et valeur des adversaires).

- De la gamme générale des fondamentaux, votre choix de style de jeu vous amènera à en extraire les plus importants afin d’y consacrer plus de temps ou de précision.

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Cours spécialité Basketball 3LFEP A.Tannoubi Cours 2

PREPARER CHAQUE ENTRAINEMENT

Les meilleures intentions du monde ne peuvent pas grand chose contre la réalité : très peu de coaches ont la chance de bénéficier de conditions d’entraînement correctes. Arrivant péniblement à 2 ou 3 séances par semaine avec des effectifs fluctuants, ils sont conscients de faire plus de l’entretien que du perfectionnement.

Chez les jeunes c’est encore pire, avec 1 ou 2 séances par semaine et tant de choses à apprendre, ils passent plus de temps à discipliner le groupe sans savoir s’il faut les laisser jouer ou tenter de les faire se concentrer sur un point bien précis.

Le risque est bien de se laisser emporter par un contexte défavorable et de proposer des séances “fourre-tout” où il n’y a pas de danger de se tromper tant il y a à faire.

Après avoir fortement insisté sur le besoin d’une programmation, si minime soit-elle, quel que soit le niveau, il reste que le plus important demeure la façon de construire et de conduire sa séance d’entraînement.

C’est à ce moment précis que tous les efforts doivent converger vers un seul but : rendre l’entraînement à la fois utile et plaisant.

La parfaite connaissance du jeu, la bonne maîtrise du groupe, la juste répartition des exercices en fonction des besoins sont autant de paramètres à contrôler. Il sera tout aussi important pour le coach d’être capable de faire passer ses idées comme pour le joueur de réussir à exécuter les fondamentaux enseignés.

D’un autre côté, l’intensité, l’enthousiasme, la recherche d’un certain plaisir, la volonté de rester simple sont les qualités de base à mettre en œuvre au cours de chaque séance.

Pour réaliser cette subtile alchimie, au delà d’une farouche détermination, certains outils seront à prendre obligatoirement en compte. Essayons de les passer en détails : LE DEROULEMENT DE LA SEANCE

Chaque minute d’entraînement doit être utilisée au mieux parce que le temps nous est souvent compté.

Même si chaque situation est différente (coincée entre deux séances, avec peu de temps avant ou après..) il faut savoir créer les conditions d’expression de trois moments forts :

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La pré séance :

Au minimum 10’ avant, pour donner au joueur la chance de se mettre dans le coup, de se concentrer sur des points de perfectionnement, de solliciter un entretien ou poser quelques questions. Une façon de se montrer autonome et de se mettre à la disposition du groupe.

Il faut limiter au maximum l’attitude “j’attends que ça commence” du type gigotement sans but, tirs sans conviction ou franche rigolade.

De petits ateliers peuvent se créer spontanément ou le coach peut avoir envie de prendre 1 ou 2 joueurs plus particulièrement.

Cette phase peut aider à imprimer un certain état d’esprit.

La séance :

Puisque la durée est fixée par le créneau horaire et la période de la saison, il faut se fixer un ou plusieurs thèmes, les expliquer clairement au début, agencer les exercices et leur minutage pour se donner une chance de parvenir à quelque chose, à un résultat.

• Ainsi, il est fréquent qu’un exercice ne se déroule pas aussi bien qu’espéré. Ne lui accordez pas plus de temps que prévu, vous risqueriez de finir la séance en queue de poisson. Vous pourrez le reprendre une autre fois.

• N’oubliez pas non plus d’inclure dans le temps de la séance les minutes d’échauffement et de récupération consacrées aux étirements.

• Vous insisterez auprès de vos joueurs pour que chaque exercice soit d’abord réalisé correctement et qu’ensuite ils recherchent son exécution à vitesse de match.

• Profitez de la fraîcheur de début de séance pour introduire des contenus nouveaux.

• Variez les exercices pour le même thème d’un jour sur l’autre afin d’éviter la monotonie.

En revanche ayez quelques exercices-types pour que leur répétition permette une recherche qualitative : travail de l’adresse, du rebond, des attitudes défensives. Les temps d’application, de mise en place et de rotations peuvent devenir nuisibles à l’efficacité. Il ne s’agit pas de tourner un exercice pour l’exercice.

• Plus la saison avancera, plus vous consacrerez de temps aux exercices collectifs sans jamais négliger le travail des fondamentaux individuels.

• Utilisez des groupes de 3 à 5 pour le perfectionnement des fondamentaux et le travail spécifique par postes de jeu. Si vous n’avez pas d’assistant, veillez à rester

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Cours spécialité Basketball 3LFEP A.Tannoubi Cours 2

• Combinez plusieurs fondamentaux même si vous portez votre attention sur 1 en particulier.

• Pour les phases jouées, compétitives ou contrôlées, utilisez votre 5 ou 6 majeur.

• Concentrez vous sur l’attaque un jour, sur la défense un autre.

L’après séance :

Elle peut se réaliser à deux niveaux : soit immédiatement après, soit sur un autre moment.

C’est l’idée de “l’effort plus” qu’il faut inciter ou parfois imposer. Cela peut être le moment de donner un peu plus d’attention à un joueur plus faible ou plus fort, cela doit aider les joueurs à prendre conscience qu’ils peuvent aller un pas plus loin.

On peut se limiter à 5 ou 10 minutes ou plus (une correction, 5 lancers francs réussis consécutivement, un effort physique ...).

Le coach peut profiter de cet instant pour faire une rapide évaluation de la séance et jeter quelques remarques par écrit.

Vernerey J. (2000). Basket ball Coach tout un programme !, Dijon impression, p. 29-35

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L a p l a n i f i c a t i o n

La planification est l'établissement et la gestion des différentes phases à incorporer dans un plan global, pour atteindre un objectif fixé. Cette gestion se place dans une logique de progression et à ce titre ne doit exclure aucune des phases suivantes :

· Désignation du ou des objectifs,

· Analyse des déterminants,

· Choix et mise en place de tests et d'évaluations,

· Programmation de l'entraînement.

v Désignation d'objectifs

C'est le point de départ de toute planification. Le but sera d'atteindre l'objectif avec un maximum d'efficacité :

· Dans un temps donné de préparation,

· Pour une période compétitive déterminée.

Il est possible de maintenir un état de forme optimal sur une période donnée, mais probablement pas sur une saison complète. Il faut donc échelonner les objectifs par niveaux d'importance, avec un objectif principal et des objectifs secondaires. Ceux-ci peuvent être des bilans de fin de cycles de développement ou des compétitions secondaires, et permettent d'évaluer les progrès réalisés ou de réorienter la préparation.

Dans des sports individuels avec périodes compétitives annuelles ou biannuelles, le choix de priorisation est souvent implicite. Par contre en sport collectif, ce choix relèvera d’une prise de décision « subjective » et de la gestion globale de l’effectif.

v Analyse des déterminants Ø Le sportif :

La prise en compte du sportif amène à la notion d’individualisation de l’entraînement.

D’ailleurs comme le dit Frédérique AUBERT (INSEP), "l’entraînement individualisé est un pléonasme".

Chaque individu diffère en fonction de son âge*, sa maturité et son expérience sportive, son niveau de pratique** et ses qualités individuelles.

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3LFEP Basketball Cours n°01 : la Planification Mr : Amayra Tanoubi

*Critère de l’âge : Les objectifs de préparation doivent viser la coordination, la capacité aérobie, la souplesse, l'acquisition technique générale lors de l'enfance. Ils tendent ensuite vers l'acquisition des qualités spécifiques nécessaires à la discipline sportive pratiquée pour accéder à la performance.

**Niveau de pratique :Plus le niveau de pratique est élevé, plus la spécialisation doit être adoptée. La performance dépend de moins en moins des capacités non spécifiques à un haut niveau de pratique.

Ø Le sport et la discipline pratiquée :

Il s'agit de référencer les caractéristiques du sport visé : types d’efforts, groupes musculaires concernés, logique interne et calendrier compétitif annuel.

Ø Les principes d'entraînement et la connaissance des exigences de la performance :

Le processus d'entraînement est une construction méthodique qui s'appuie sur l'analyse de la performance et de la discipline concernée. Les différents secteurs d'intervention ainsi que leurs interactions sont gérés par l'entraîneur.

v Choix et mise en place de tests et évaluations : Les tests et des évaluations :

· Mettent en évidence le niveau individuel des sportifs dans les domaines physiques et spécifiques,

· Permettent de comparer ces niveaux de performance à divers moments clés de la saison,

· Permettent d'élaborer à partir ces résultats, un programme d'entraînement individualisé.

La planification de la saison :

La planification permet de coordonner et d’harmoniser les contenus d’entrainement ainsi que les exigences de la compétition (calendriers, matchs, etc…) pour la saison sportive.

Pour mieux exploiter les ressources dont ils disposent, l’entraineur se doit d’en faire l’inventaire avant de procéder à la planification détaillée.

L’inventaire prendra en considération plusieurs ressources à savoir :

- Des ressources humaines (le nombre des joueurs, le cadre technique…)

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- Des ressources temporelles (nombre des séances hebdomadaires, volume horaire de chaque séance, le calendrier, les dates des stages…)

- Les ressources matériels (ballons, plots, panneaux…) v Les différentes périodes de la saison sportive :

La saison sportive se compose de trois grandes périodes: la période de préparationdestinée à préparer le groupe et les joueurs au travail développé durant la période de compétition, la période compétitive dont le but est de développé les composantes d’entrainement (technique, tactiques et physique.), puisla période de transitionqui va permette au groupe de récupérer.

Période de préparation Période de compétition Période de transition

La succession des différentes périodes de la saison sportive

Les caractéristiques des différentes périodes de la saison sportive :

§ La période de préparation :

Cette période est fondamentale car c’est sur elle que repose l’élévation des performances durant la période de compétition et elle peut durer de 20 à 60 jours.

Elle comporte 2 phases, à savoir : la phase de préparation générale qui vise au développement des aptitudes fonctionnelles de l’organisme (force-vitesse-endurance), ainsi qu’a l’enrichissement des diverses techniques motrices, puis une phase de préparation spécifique dont le but est d’assurer une progression rapide vers la spécificité par l’amélioration continue et la maitrise complète des procédés techniques et tactiques utilisées lors des compétitions.

A la fin de la préparation spécifique, le niveau optimal de la condition physique doit être atteint afin de pouvoir consacrer la majeure partie du temps d’entrainement à la préparation des collectifs offensifs et défensifs.

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3LFEP Basketball Cours n°01 : la Planification Mr : Amayra Tanoubi

§ La période de compétition :

Durant cette période, les entrainements et les compétitions s’alternent. L’intensité des efforts fournis durant les compétitions stimule le développement et la stabilisation de la forme maximale.

§ La période de transition :

C’est une période d’entrainement que relie la fin d’une saison avec le début de la suivante. Sa durée peut varier de 30 à 60 jours pour des équipes expertes et peut aller jusqu’à 3 à 4 mois pour des amateurs. C’est une période durant laquelle la forme régresse et caractérisée aussi par la diminution de l’intensité et le volume d’entrainement.

La pratique d’autres activités complémentaires est conseillée afin de réduire au minimum les périodes d’inactivité et de permettre une récupération active.

Les ressources sollicitées en Basketball : Le basketball sollicite des ressources :

-Perceptives et décisionnelles -Bioénergétiques

-Biomécaniques, dans une dimension relationnelle de coopération et d’opposition.

- Ressources affectives et sociale qui nécessitent la régulation des émotions.

1) Ressources cognitives et bio informationnelles :

En basketball, l’environnement dans lequel évoluent les joueurs est en perpétuel devenir. Il est créé instantanément à partir des réseaux d’action des partenaires et des adversaires. Ainsi le joueur sélectionne le plus rapidement possible les informations pertinentes pour répondre adéquatement aux exigences de la situation.

Face à ces informations variées, fluctuantes, il lui faut résoudre des problèmes ayant trait : -Au choix de l’information (judicieux)

-A sa bonne interprétation compte tenu de :

· Son expérience

· Son répertoire de réponses

· Sa rapidité d’analyse puisqu’elle est la base de la réussite de son action.

C’est uniquement la pratique (expérience de réussite) qui permet aux systèmes de traitement de l’information d’évoluer vers une sélection des indices pertinents pour chaque situation exemple :

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- Position des mobiles (le joueur, le ballon, les partenaires, les adversaires) et des éléments fixes (zones, cible)

-Postures / (orientation des appuis conduite ou tenue du ballon du regard orientation)

- Rapport de force, domination ou non, du temps donné (règlement, adversaire) du temps requis.

2) Ressources bioénergétiques : effort et récupération

Les filières énergétiques sollicitées lors d’un match de basketball (aérobie ; anaérobie alactique ; anaérobie lactique).

La déficience de l’une des trois filières influe sur la performance. Ce manque peut mettre en cause l’efficience motrice, l’adresse mais également les capacités d’identification de recueil d’information pertinentes,

· D’analyse

· De la prise de la décision

- L’énergie anaérobie alactique joue un rôle essentiel dans les accélérations brutales ; les démarrages ; les freinages et les changements de direction.

Proposer des situations qui prévoient des temps de récupération active et passive permettant la reconstitution des réserves nécessaires à la production de l’effort. Dans ce cas, l’effort est intermittent.

- La filière aérobie entre en jeu pour accroître la durée de l’effort à intensité moindre.

Les entraînements doivent prendre en considération l’intensité de la confrontation réelle et se doivent d’organiser une certaine pression temporelle.

- Le temps requis.

- Le temps donné (règlement, adversaires).

Proposer également des efforts courts et intenses entre coupés de temps de repos actifs (alternance d’effort intense et d’effort modéré).

Tout ce qui permet de restituer le type d’effort vécu dans le match et le bienvenu.

3.) Ressources biomécaniques :

La pratique du basketball sollicite des compétences de manipulation du ballon dans des espaces aériens et arrière de manière ambidextre (habile des deux mains), en conservant son équilibre postural pour respecter les règles du non contact et du marcher. Les ressources biomécaniques sont liées à la construction des postures adaptées à la réalisation d’habiletés complexes pour manipuler le ballon (telle que le tir, la passe, le dribble et la réception tout en se déplaçant.

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3LFEP Basketball Cours n°01 : la Planification Mr : Amayra Tanoubi

4.) Ressources affectives et sociales (sociologiques et psychologiques) :

Le basketball peut aider les jeunes joueurs, de futurs adultes, à acquérir des ressources psychologiques qui peuvent s’avérer très utiles, non seulement dans le domaine du basket mais aussi dans leur vie en général. Jouer au basket est aussi un excellent moyen pour apprendre à respecter les autres : les camarades, les adversaires, les entraîneurs, les spectateurs et les arbitres.

Les joueurs doivent apprendre à respecter les différences individuelles dans leur propre groupe, à accepter des équipiers qui, dans certains cas, peuvent appartenir à un groupe social différent, vivre avec eux bien qu’ils puissent avoir des idées ou des coutumes différentes.

Ils doivent respecter les différences qui se présentent à eux lorsqu’ils jouent au basket, parce que certains jouent sont mieux que d’autres, maîtrisent mieux que d’autres certains aspects, jouent plus longtemps, etc.

· L’entraîneur doit encourager par son comportement un respect mutuel et une attitude de solidarité dans le comportement des joueurs de l’équipe.

· L’entraîneur lui-même doit servir de modèle et respecter tous les joueurs malgré leurs différences.

· L’entraîneur doit encourager une relation étroite entre tous les joueurs car plus ces derniers se connaîtront, plus ils se respecteront.

· L’entraîneur doit aussi porter l’accent sur les normes de comportement qui encouragent le respect et la solidarité et éliminer celles qui poussent dans l’autre sens.

JOSEP Martin, FRANCIS Jordane, 150 situations d'entraînement, Editions Amphora, 1998 - 207 pages.

Fédération royale Marocaine de Basketball, ligue Tafilalet de Basketball Ballerachidia, planification des entrainements en Basketball, 2010

CHRISTOPHE Franck. La planification. Janvier 2006.

http://www.e-s-c.fr/planification.htm#Recuperation [page consultée le 22 janvier 2014]

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L e s t e c h n i q u e s d e d é f e n s e ( h o m m e à h o m m e )

Le comportement défensif du joueur de basket-ball est avant tout tactique. C'est en agissant collectivement avec ses partenaires que le défenseur individuel peut résoudre ses problèmes de protection. Pour cela il utilise des techniques comme le jeu de jambes et d'autres encore. De plus, certaines situations de jeu se répètent perpétuellement, dans lesquelles le défenseur peut et doit recourir à des techniques qu'il acquiert dans le jeu du 1 contre 1.

I. LA TECHNIQUE :

o La défense sur un dribbleur.

Le défenseur essaye d'écarter le dribbleur du panier, de l'arrêter ou d'intercepter le ballon. Il recule devant lui et tente, en se plaçant à côté de lui, de le pousser hors du couloir central du terrain.

o La défense sur un tireur.

Le comportement de défense à adopter sur un porteur de ballon dépend de la distance qui le sépare du panier, mais aussi du fait qu'il ait déjà dribblé ou non. S'il n'a pas encore dribblé, le défenseur ne se rapproche pas trop de lui, pour ne pas se faire contourner trop facilement. S'il s'apprête à tirer, le défenseur revient sur lui en petits pas glissés, mais en prenant garde encore à un possible dribble. Si le joueur tire, la main du défenseur accompagne la montée du ballon. Le défenseur n'essaie de bloquer la balle que lorsqu'elle quitte la main du tireur.

o La défense homme à homme.

Dans ce système de défense, chaque défenseur est responsable d'un adversaire direct.

Lors d'une défense normale, le défenseur est placé entre l'adversaire et le panier. Le porteur de balle est marqué de plus près que les joueurs sans ballon.

Si l'adversaire direct se trouve loin du ballon et ne semble pas en mesure de le recevoir en une seule passe, le défenseur recule vers le panier, pour mieux défendre la zone proche du panier. X4 et X5 illustrent ce comportement en défense. (Figure 1)

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La défense homme à homme Tanoubi.A

Chaque défenseur doit s'efforcer de toujours voir l'adversaire et la balle. Il y parvient grâce à son jeu de position. Dès qu'un adversaire direct est en mesure de la balle (à la passe suivante par exemple), le défenseur revient de très près. X3 illustre ce déplacement, après que 01 a passé le ballon à 02.

02 pourrait maintenant passer la balle à 03, c'est pourquoi X3 revient marquer ce dernier.

Les défenseurs qui vont marquer les joueurs susceptibles de recevoir la passe suivante peuvent encore améliorer cette action entre la balle et l'adversaire, pour compliquer une passe éventuelle.

(Figure 2)

Figure 2 II. LES DEFENSES HOMME A HOMME:

Quatre grandes étapes caractérisent l’évolution historique de la défense homme à homme, chacune d'elles fait apparaître certains principes.

Ø 1èreÉTAPE

La défense homme à homme se définit par le projet de limiter les actions de tirs à mi- distance, de limiter les déplacements, les remise en jeu et s'organise sur la base d'une prise en charge individualisée d'adversaire respectif, avec comme consigne principale de suivre son vis-à- vis dans tous ses déplacements.

1erprincipe : placement sur l'axe attaquant-panier

La position la plus favorable pour annihiler l'action de l'attaquant consistera pour le défenseur de se maintenir en permanence sur l'axe attaquant panier (fig. 1).

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Ø 2ème ÉTAPE

L'amélioration technique du joueur porteur du ballon ainsi que la multiplication des déplacements des joueurs attaquants ont abouti à souligner les limites d’une telle défense. Les joueurs non directement concernés par le ballon ont modifié leur position par rapport à leur vis à- vis et à l'axe attaquant panier. D'autres principes apparaissent alors :

2ème principe : contrôle simultané du ballon et de l'adversaire direct:

Le principe de l'alignement du défenseur sur la ligne adversaire panier induit le 2ème principe celui du contrôle visuel à la fois de son adversaire direct et du ballon. Ce double contrôle a pour objectif:

· D'éviter le départ par surprise, vers le panier, de l'adversaire direct non porteur du ballon

· De contrôler le ballon pour l'empêcher de parvenir à son vis-à-vis;

· De prévenir des écrans éventuels.

Pour réaliser ce double contrôle ballon adversaire direct, le défenseur devra orienter son regard de façon à inclure dans son champ visuel à la fois ballon et adversaire direct (vision périphérique (fig.2).

3èmeprincipe de la dénonciation de l'écran :

L'attaquant venant porter des écrans dans le dos de l'adversaire et principalement de celui ayant la charge du porteur du ballon, ce dernier ne voit pas venir le « bloqueur ». Les partenaires défenseurs et principalement le défenseur du joueur qui porte l'écran doit prévenir le joueur bloqué du côté où va se réaliser l'écran : «attention à gauche!».

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La défense homme à homme Tanoubi.A 4èmeprincipe : placement du défenseur sur la bissectrice de l'angle adversaire- Panier ballon ou principe du flottement :

Pour venir en aide au partenaire B ayant en charge le porteur du ballon 2, les défenseurs E, D, A et C se placent sur la bissectrice de l'angle ballon panier adversaire direct (figure 3).

Cette démarche a pour objectifs, d'une part la dissuasion pour 2 d'entreprendre une action de pénétration vers le panier et d'autre part l'assistance au défenseur B.

5èmeprincipe : contrôle de la zone centrale:

Ce principe découle directement du dispositif engendré par le principe du flottement qui entraîne une concentration au niveau de la zone réservée.

Cette concentration dissuade toute pénétration et permet ainsi un contrôle de la zone centrale.

6èmeprincipe : orientation du porteur du ballon:

Cette concentration de la défense consécutive à l'application du principe du flottement s'enrichit d'une action d'orientation du dribbleur. Cette action varie en fonction de la position du dribbleur.

a) Le joueur 2 placé en position haute (loin de la ligne de fond) sera orienté vers l'une des touches (en principe du côté de sa « mauvaise main »). Donc si 2 est droitier il sera amené vers le côté gauche du terrain (figure 4). Nous remarquons que dans ce cas son adversaire direct B se décale par rapport à l'axe ballon panier incitant 2 à se diriger du côté libre,

b) Le joueur 2 se trouve près de la ligne de fond. Dans ce cas l'orientation de celui-ci se fera au contraire vers le centre du terrain. La consigne est donc donnée de «fermer la ligne de fond». La seule issue pour 2 d'aller au panier sera de se diriger vers une aire de jeu particulièrement encombrée (fig. 5).

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7èmeprincipe : contrôle par le défenseur de la distance attaquant défenseur:

1. Défense sur le porteur du ballon: Il ne faut jamais laisser libre un joueur porteur du ballon. La pression exercée sur cet attaquant sera d'autant plus forte que celui-ci sera plus près du panier (fig.6).

2. Défense sur un attaquant non porteur du ballon: Le défenseur contrôlera la distance qui le sépare de son vis-à-vis de telle façon à ce qu'il raccourcisse celle-ci au fur et à mesure que le ballon se rapproche de son adversaire direct (fig. 7). Comme le montre la figure ci-dessus, A réduit la distance qui le sépare de 2 à mesure que celui-ci se rapproche du ballon contrôlé par 1.

Ø 3èmeÉTAPE

8èmeprincipe : la reconquête du ballon:

A l'étape précédente, caractérisée par une agressivité sélective à l'égard du porteur du ballon, fait suite une nouvelle étape au cours de laquelle cette agressivité s'étend aux attaquants susceptibles de recevoir le ballon. Le but de la défense n'est plus seulement de gêner le tir, mais aussi de s'approprier le ballon au plus vite en tentant d'intercepter celui-ci.

(21)

La défense homme à homme Tanoubi.A

Des comportements, fondés sur des prises de risques fréquentes, se manifestent au cours de cette étape et se définissent par le principe de la reconquête du ballon (fig,8).

Ø 4èmeÉTAPE :

9èmeprincipe : le double marquage

Cette étape se distingue de la précédente par l'apparition du double marquage du porteur du ballon (B et C contre 2). De la position en interception, le défenseur C prend le grand risque de laisser son vis-à-vis 3 pour se porter en soutien actif sur le partenaire B, qui marque, le porteur du ballon (2) pouvant occasionner ainsi, la perte du ballon par ce dernier (fig.9).

10èmeprincipe : parer au plus pressé.

Dès l'instant que le double marquage n'a pas porté ses fruits et qu'un joueur, laissé libre entre en possession du ballon, ce joueur doit être pris en charge par le défenseur le plus proche de l'attaquant porteur du ballon, au risque de laisser libre l'adversaire dont il avait initialement la charge, La priorité est donnée a la neutralisation du danger représenté par le joueur qui est en possession du ballon.

(22)

III. LA DEFENSE HOMME A HOMME EN PRESSING TOUT TERRAIN

Comme toute défense homme à homme, le pressing tout terrain attribue à chaque défenseur un adversaire bien défini à contrôler. Cependant te singularité de cette défense, réside dans la consigne donnée à chaque défenseur d'empêcher son défenseur direct de recevoir le ballon.

Le jeu de la défense consiste en un harcèlement permanent de l'attaque pour obliger celle- ci à commettre des erreurs voire des mauvaises passes susceptibles d'être transformées en contre- attaque

Ce type de défense exige de l'ensemble de l'équipe le maintien d'une pression constante, effective et de même intensité sur chacun des attaquants adverses. Ceux-ci ne doivent avoir aucun instant de répit. Ce n'est qu'à ce prix qu'un pressing tout terrain peut être fiable.

Sur le plan tactique, il faut éviter d'utiliser ce système défensif avec des joueurs qui rechignent à l'effort; un tel choix serait inévitablement voué à l'échec.

(23)

La défense homme à homme Tanoubi.A

(24)

LA DEFENSE DE ZONE EN

BASKETBALL.

(25)

1. Les avantages de ce type de défense

• - Défense facile à comprendre car elle s'organise contre le ballon, et s'adapte

facilement aux différentes formes d'attaque,

• - Une bonne coordination permet des interceptions, gains de ballons faciles,

• - Rebond défensif organisé,

(26)

aisé et les couloirs déjà occupés,

• Protection de la raquette le plus souvent,

• Réduction des fautes personnelles,

• Plus difficile de jouer 1 à 1 contre une zone car l'aide est naturellement placée,

• Excellent secours si l'équipe manque de taille,

• Si les attaquants ne sont pas bons techniciens ou maladroits de loin (notamment à 3

• points) elle est plus efficace,

• Souvent si l'équipe est peu patiente et si ce bloc

n'est pas déstabilisé, elle est efficace

(27)

2. Les désavantages

• Défense qui subit souvent,

• Faible contre des bons tireurs extérieurs,

• Faible si l'équipe adverse est patiente et à une bonne circulation de ballon et de bonnes

variations de relations: Extérieur/ Intérieur et vice-versa.

• Des joueurs faibles (attaquants) peuvent jouer

contre une zone.

(28)

3. Pourquoi défendre en zone.

• Déstabiliser l’attaque adverse.

• Protéger les joueurs avec des fautes.

• Masquer une infériorité dans les duels.

• Contrer le jeu intérieur adverse.

• Parier sur la maladresse adverse.

(29)

4.Les principes généraux des défenses de zone (1).

• Chaque joueur a la responsabilité d’une zone.

• Les joueurs qui défendent sur les non-

porteurs doivent être ouvert à la balle et se placer sur les lignes de passe.

• Définir un alignement en fonction des points forts de son équipe et des points faibles adverses.

• Maîtriser les fondamentaux individuels et

(30)

(2).

• Définir des articulations rigoureuses par rapport au mouvement du ballon et des joueurs.

• Jamais deux joueurs sur la balle sauf sur des « trap » organisées.

• Jamais deux fois de suite le même joueur sur la balle.

Il faut alors utiliser des « tiroirs » et/ou des leurres défensifs.

• Communiquer.

• Forcer l’attaque adverse à amener la balle où vous le

désirez.

(31)

5.Les différents types de défense zone.

• Les différents alignements qui existent sont classés dans deux catégories distinctes, en fonction du nombre de défenseurs

constituants la 1° ligne défensive :

– Les zones paires ( 2-1-2, 2-3, 2-2-1 ).

– Les zone impaires ( 1-3-1, 1-2-2, 3-2 ).

(32)

• Points faibles :

– Gestion des « drive » dans le couloir central.

– Gestion des espaces à 45° et dans le corner.

– Les articulations sur les renversements.

• Points forts :

– Permet de fermer la raquette.

(33)

5.2/ ZONE 2-3.

Les zone 2-3 et 2-1-2 s’organisent de façon pratiquement similaire.

• Points forts :

– Pour contrer le poste bas, le corner et la ligne de fond.

– Permet de déclencher des « trap » ligne de fond.

– Défense assez

imperméable aux

• Points faibles :

– Gestion des « drive » dans le couloir central.

– Gestion du poste haut.

– Gestion du rebond défensif.

– Gestion des tirs

extérieurs à 45°.

(34)

• Points forts :

– Permet de fermer le couloir central ainsi que le poste haut.

– Défense rendant les tirs extérieurs et les pénétrations difficiles pour les adversaires.

– Permet d’effectuer des trappes à 45° et dans les corner.

• Points faibles :

– Gestion des espaces des 2° arrières.

– Gestion de la passe du 2° arrière au poste bas opposé.

– Gestion du poste bas et du corner.

– Gestion du rebond défensif.

(35)

Zone 1-3-1 avac trap dans le corner et rotation intérieur-intérieur.

• L’objectif est d’amener le ballon dans le corner pour trapper 3 avec les déf 3 et 4.

• Sur le renversement, les déf 4 et 5 changent leur position respectives.

• C’est donc le déf 5 qui va effectuer la 2° trap et

(36)

5.4/ ZONE 1-2-2.

• Points forts :

– Gestion du couloir central.

– Défense au poste bas.

– Défense agressive

permettant la mise en place de trappes.

• Points faibles :

– Gestion du poste haut.

– Gestion des rebonds longs.

– Gestion du corner et des

tirs extérieurs à 45°.

(37)

5.5/ ZONE 3-2.

• Points forts :

– Forte défense sur les extérieurs.

– Permet d’être

idéalement placé pour jouer la contre-attaque.

• Points faibles :

– Défense sur les joueurs intérieurs.

– Le rebond défensif.

– La gestion du corner.

– Si la 1° ligne défensive

est battue, la situation

devient périlleuse.

(38)

Conclusion.

• L’utilisation de la zone a le plus souvent un but stratégique qui doit permettre de perturber

l’attaque adverse.

• Malgré tout, les zones que l’on met en place doivent être actives et utilisées comme une force et non pas comme « une roue de

secours ».

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