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Photo de couverture:
contrôle des directions chez Autochoc.
Photo de bas de page:
Gaelle Conselin (CNPAj
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Lorsque le salon Pol/utec ouvrira ses portes aux tout premiers jours de décembre,
chaque intervenant de la filière VHUaura remis sa copie au ministère de l'écologie.
Objectif: ré-écrire une directive dont la première version sentait le lobbying à plein nez. Par on-ne-sait-quel-hasard, le texte avait surpris en mettant broyeurs et démolisseursà deux niveaux: les uns pouvant demander une participation de la part des constructeurs, et les autres non. Pourquoiet comment en est-on arrivé là? On ne le saura certainement jamais. Beaucoup d'intervenants ont changé dans les entreprises comme dans les ministères. Plus de coupable, plus de responsable.
Presque en continuité, une autre réglementation vient aggraver les choses: le SIv, le Nouveau système d'immatriculatIons, et ses péripéties liées aux cartes export.
Par faute de documents crédibles (et d'anticipation), les ventes de voitures accidentées à l'étranger sont au point mort depuis quelques semaines.
Aucune incidence pour les broyeurs. En revanche, les démolisseurs sont en première ligne sur le front du VHU.Il est de notoriété publique que les entreprises de démolition trouvent souvent leur équilibre financier dans les activités annexes:
réparation, dépannage, vente de pièces neuves, ou ventes d'accidentées.
C'est même une des forces des entreprises de démolition, de pouvoir réguler en interne et de n'avoir jamais eu besoin d'aides, de primes ou d'incitations.
Pourtant, la vente d'accidentées n'est pas si éloignée du recyclage. La directive européènne mentionne le recyclage comme la voie à privilégier, avec mention spéciale aux pièces et aux matières. Le véhicule dans son intégralité procède de la même logique: rrfl)~t.t,r:;r;."Ir m(Jtp e~t tivg.f(?Y/:).fntla base du recyclage. Par anticipation.
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REÇU
3 0 NUV.2009 Michel Roux