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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Les séances plénières de la Commission Lagarrigue (1971-1974), reflet des relations entre disciplines

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LES SÉANCES PLÉNIÈRES

DE LA COMMISSION LAGARRIGUE (1971-1974),

REFLET DES RELATIONS ENTRE DISCIPLINES

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Frédéric CHARLES, Joël LEBEAUME et Jean LAMOURE

UMR STEF ENS Cachan/INRP UniverSud Paris

MOTS-CLÉS : COMMISSION MINISTÉRIELLE - RÉFORME - ASSOCIATIONS DE

PROFESSEURS - DISCIPLINES SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

RÉSUMÉ : La recherche présentée analyse les comptes rendus des séances plénières de la

commission Lagarrigue, chargée de la rénovation de l’enseignement des sciences physiques et de la technologie dans l’enseignement secondaire entre 1970 et 1975. Dans un contexte de projets de réforme, cette analyse des discours met en évidence le rôle des acteurs collectifs dans l’organisation des différentes disciplines scientifiques.

ABSTRACT : This research focuses on the analysis of the reports of Lagarrigue committee

meetings. Its mission was to review the science education (in physics, chemistry and technology) in junior high school and in high school between 1970 and 1975. This content-analysis enlightens the role of different groups on the curriculum organization and shows the relationship between the school subjects in a context of reform plans in science and technology education.

1 Cette contribution s’inscrit dans la recherche collective « Réformer les disciplines scolaires : acteurs, contenus,

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1. INTRODUCTION

La construction du système éducatif à partir de la décision politique de prolongation de la scolarité obligatoire (1959) ainsi que les modifications radicales du travail, de la famille, de la société et de la culture liées aux mutations des sciences et des techniques à l’époque de la modernisation de la France ont été accompagnées d’une redéfinition des enseignements scolaires. Les travaux de plusieurs commissions ont ainsi contribué à la rénovation des contenus : commissions Rouchette (1963) pour le français du premier cycle, Emmanuel (1970) pour le français du second cycle, Lichnerowicz (1967) pour les mathématiques et enfin la commission ministérielle de réforme de l’enseignement des Sciences Physiques et de la Technologie dans l’enseignement secondaire, désignée par commission Lagarrigue (1970) du nom de son président, André Lagarrigue, professeur de physique à l’Université d’Orsay. Plusieurs travaux ou analyses didactiques de cette dernière commission indiquent son rôle de creuset d’innovation pour l’enseignement des sciences physiques et chimiques ou l’éducation scientifique et technologique au collège à partir de la réforme Haby (1975) ainsi que son rôle déterminant dans la genèse de la didactique des sciences (Lebeaume, 1996, 2003 ; Martinand, 1996). D’un point de vue socio-historique, Harlé (2003) examine l’insertion délicate de la culture technique au collège. Elle souligne dans les travaux de cette commission, l’opposition entre les catégories d’acteurs qui sélectionnent les contenus et les pratiques à enseigner (« physiciens et membres des grands corps de l'État, ingénieurs des Arts et Métiers et professeurs de l'enseignement technique ») tout en mentionnant que l’analyse précise de cette opposition reste à faire. La recherche présentée contribue à éclairer cette zone d’ombre à partir de l’analyse des comptes rendus des séances de travail de cette commission entre 1970 et 1975. Après la présentation de la commission Lagarrigue et de la méthodologie mise en œuvre, sont exposés les résultats les plus importants, ceux concernant les rapports de force entre les acteurs collectifs ainsi que les relations entre les disciplines en jeu.

2. LES ARCHIVES DE LA COMMISSION LAGARRIGUE : SOURCES ET ANALYSE 2.1. Les missions de la commission

La consultation des numéros de la revue hebdomadaire L’Éducation Nationale au cours des années 1960 indique les thèmes récurrents qui traduisent les préoccupations de l’époque : besoin important de scientifiques et de techniciens ainsi que d’enseignants de sciences, exigence d’une culture scientifique pour tous, nécessité d’une rénovation des contenus face à la fois au constat de l'état de fossilisation de l'enseignement de la physique depuis le début du siècle et des réformes engagées

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dans de nombreux pays étrangers. À partir de l’analyse des textes officiels, Leboutet (1970, p. 47) souligne également « le caractère vétuste d’un enseignement [de la physique] tant dans son contenu que dans sa finalité ». Ces thèmes sont également présents dans les articles de l’Union des Physiciens qui contestent la réduction des horaires en sciences physiques au lycée. Dans ce contexte, la création d’une commission chargée de la rénovation de l'enseignement des sciences physiques est demandée par un groupe de personnalités appartenant aux associations de scientifiques et d’enseignants : la Société Française de Physique (SFP), la Société Chimique de France (SCF) et l’Union des Physiciens (UdP). Olivier Guichard, ministre de l'Éducation Nationale, la crée pendant l'hiver 1970 et l’installe lors de la séance inaugurale en mai 1971 où il indique ses trois missions : préciser les buts de la technologie en 4e et en 3e et proposer des programmes pour ces deux niveaux ; établir de nouveaux programmes pour le lycée ; envisager la formation des maîtres correspondante. Dès cette date, l’une des principales activités de la commission est de concevoir, tester et évaluer des projets d’enseignement scientifique et technique ainsi que d’assurer, grâce aux expérimentations, la formation des enseignants : pour le lycée, conception de nouveaux programmes puis leur expérimentation ; pour le collège, conception et expérimentation de modules d’Initiation aux Sciences et Techniques (IST) pour les classes de 4e et de 3e. Ces propositions pour l’enseignement se situent en parallèle de trois projets de réforme successifs, chacun étant porté par un Ministre de l'Éducation Nationale : Olivier Guichard (jusqu'en juillet 1972), Joseph Fontanet (jusqu'en mai 1974) et enfin René Haby (à partir de mai 1974). Lagarrigue étant décédé en janvier 1975, la dernière réunion en sa présence se déroule en novembre 1974. La commission est reconduite à partir de juin 1975 par René Haby puis dissoute en septembre 1976.

Cette commission est composée d'une cinquantaine de membres avec des variations au fil du temps. Ce sont des universitaires, inspecteurs, enseignants du second degré et industriels. Bien qu’il soit souvent délicat d’affecter à chacun des membres la représentation majeure qu’il assure en raison de ses diverses responsabilités ou intérêts, l’analyse de la liste des membres selon leur fonction indique que la composition associe différentes disciplines de recherche ou d’enseignement : physique, chimie, technologie, mathématiques, biologie, psychologie. Du point de vue quantitatif, ces trois dernières sont faiblement représentées et les représentants des sciences physiques sont quatre fois plus nombreux que ceux de technologie.

2.2. Une analyse des archives de la commission

Le contenu de deux cartons entreposés au Centre des Archives Contemporaines de Fontainebleau (cotes F17 bis 93012–1 et F17 bis 93012–2) constitue les sources de l’enquête historique menée. Les documents archivés sont des textes de nature hétérogène : convocations, correspondances, listes d’émargement, comptes rendus dactylographiés des séances plénières, notes, avant-projets de

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programmes… Selon les orientations de la recherche, la constitution du corpus a privilégié la sélection des comptes rendus des séances plénières qui constituent un corpus homogène. Trente et un comptes rendus constituent ainsi la mémoire des discussions de cette commission lors de ces séances plénières.

L’analyse de ces documents textuels porte à la fois sur le contenu des discussions et sur les relations entre les membres. L’analyse thématique du contenu distingue le niveau abordé (collège, lycée, école primaire, formation des maîtres…) et les sujets des échanges (technologie, manuels…). L’analyse de la communication entre les membres repère les accords et les désaccords. Cette double analyse est conduite à partir du codage de chacun des comptes rendus et des prises de parole selon les thèmes développés et les expressions des membres. Le comptage d’une part et le repérage de la succession des prises de parole d’autre part permettent ensuite de reconstituer et d’interpréter les discussions de la commission réunie en séances plénières.

3. DES DISCOURS, DES ACTEURS, DES DISCIPLINES

3.1. Le poids des associations et des sociétés savantes sur la commission

Le comptage des prises de parole dans les séances plénières révèle qu’une douzaine de membres sont très loquaces. Parmi eux, la moitié est en relation avec au moins l’un des groupes qui avaient sollicité la création de cette commission en 1970. L’analyse complémentaire de la création de la commission permet de préciser le poids de ces acteurs collectifs. En effet, la demande initiale de mise en place de ce groupe a été relayée par l’Académie des Sciences avec un vœu adressé au Président de la République. En octobre 1970, la liste des personnes proposées pour la commission a été établie avec André Lagarrigue (représentant la Société Française de Physique), Georges Guinier (président de l’Union des Physiciens), Jacques Benard (vice-président de la Société Chimique de France) et Pierre Schwartz (Société Chimique de France). Sans réelle surprise, ces trois groupes fondateurs interviennent majoritairement dans les discussions. Sur les soixante-sept membres de la commission qui ont pris la parole dans les différentes réunions, vingt-six sont attachés à l’un de ces trois groupes.

L’analyse des discussions permet également de mettre en évidence le rôle des associations de spécialistes dans cette commission qui comprend Mlle David, membre quasi-permanente et Présidente de l’Association des Professeurs de Biologie et de Géologie (l'APBG), Chirouze présent dès octobre 1974 et membre fondateur de l’Association des Professeurs d’Initiation Technologique (l’APIT) et Colmez, membre de l’Association des Professeurs de Mathématiques de l’Enseignement Public (l’APMEP). Toutefois, le poids de l'UDP sur la commission, par la voix de

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son président, Pierre Marck (le successeur de Georges Guinier) apparaît particulièrement fort. Quatrième membre le plus loquace de la commission, il aborde des thèmes très variés qui défendent deux grandes causes. La première est l’existence des sciences physiques dans toute la scolarité secondaire : il défend systématiquement les horaires de sa discipline ; il propose même un chantage dès 1972 repris par Lagarrigue : si les horaires en lycée diminuent, il faudra qu'il y ait des sciences physiques dans toute la scolarité du collège, ce que la réforme Haby installera. La seconde concerne les conditions de travail et la formation de ses collègues : Marck réclame notamment des instituts semblables aux Instituts de Recherche En Mathématiques (IREM). Ces discours soulignent, au sein des discussions, la revendication ferme de la défense du corps des professeurs de sciences physiques et l’affirmation de cette discipline et de ses spécificités.

3.2. Les relations entre les différentes disciplines d’enseignement

Des rapports courtois entre sciences physiques et biologie, discipline « alliée »

Bien que la commission ait en charge l’enseignement de physique, chimie et technologie, la biologie est représentée et est un sujet de discussion dans treize réunions. L'attente d'une commission spécifique équivalente est un leitmotiv (cette commission ne sera pas mise en place). L’analyse des discussions révèle une solidarité entre la biologie et les sciences physiques et des accords entre les représentants de ces disciplines. Cette solidarité sciences physiques et biologie se cristallise avec la proposition d’un bloc appelé « sciences expérimentales » pour le lycée, exprimée en 1971 par la commission. Cette alliance semble être une union nécessaire face aux mathématiques. La proposition de ce bloc « sciences expérimentales » pour les deux cycles ainsi que la demande d’un enseignement de sciences physiques en 6e et 5e (séance plénière du 15 décembre 1972) semblent exiger cette union de deux disciplines qui donne un poids plus important aux revendications.

Le complexe face aux mathématiques

Le Ministre Guichard dans son allocution inaugurale invite la commission à se questionner sur les rapports entretenus entre physique et mathématiques ce qui est une question d’actualité en raison des propositions de mathématiques modernes de la commission « Lichnerowicz » mise en place six ans plus tôt avec de forts investissements financiers de l'État et le projet de la création des IREM. Une contribution de la commission à ce sujet est la production d’un rapport lexical sur la liaison entre mathématiques et sciences physiques au second cycle et des articles parus dans le Bulletin de l'Union des Physiciens (travail dirigé par Roland Omnès). Malgré cette proposition, les positionnements respectifs de ces deux disciplines apparaissent tendus comme l’indiquent les

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discussions rapportées dans les comptes rendus des séances. Aux six réunions où Lichnerowicz est présent, les échanges sont de bon aloi. Ces discours se distinguent de l’ensemble des prises de parole qui indiquent une opposition à la suprématie des mathématiques : « Il faut réduire les maths en esclavage » déclare par exemple Picoux, Inspecteur Général de chimie, qui qualifie les mathématiques de « complexantes ». Les discours de la commission contestent le statut inférieur des sciences et alignent leur revendication sur les dispositifs acquis par les mathématiques : une commission de rénovation de l'enseignement, des programmes plus « modernes », des horaires conséquents grâce notamment au bloc « sciences expérimentales » formé avec la biologie, un budget et le développement de la recherche nécessaire pour l’enseignement des sciences (des Instituts de Recherche En Sciences Physiques sont réclamés, sur le modèle des IREM). Ces différents discours traduisent la volonté de légitimation de l’enseignement des sciences physiques qui traverse les travaux de la commission Lagarrigue.

Une ignorance et un certain mépris vis-à-vis de la technologie

La technologie est une thématique non seulement beaucoup abordée (2e rang) mais aussi débattue (beaucoup de désaccords). Obligatoire à la rentrée 1970 dans toutes les classes de 4e, elle est présente sous l'étiquette « technologie-physique ». Les premières réunions de la commission sont le siège d'une première période de débats (mai à octobre 1971) qui voit la décision de mettre en place des modules d'IST en 4e et 3e. L’analyse des discours montre que les physiciens ne savent pas quoi faire de cette technologie. Guinier considère que « les sciences physiques sont associées à la technologie (…) et que cette association est un aspect très grave du problème ». Selon la tradition d’un enseignement de sciences et de ses applications, les spécificités d’une initiation technologique centrée sur l’analyse fonctionnelle d’objets ou de systèmes et son expression graphique est ignorée et contestée. Les propositions pour l’IST n’ont alors pas une forte coloration technologique. La faible représentation de l’enseignement technique au sein de la commission laisse peu de place à la prise en compte des orientations de cet enseignement initié en 1962 (Géminard participe à la commission) mais marqué par les propositions d’enseignement les plus récentes jugées obsolètes par rapport aux techniques de l’époque. La seconde période des débats se situe entre mars et septembre 1974 lorsque le ministère envisage de rendre obligatoire cet enseignement de la 6e à la 1re. La commission doit alors se repositionner compte tenu des orientations de la nouvelle politique éducative de Haby. Cette deuxième période de discussions est différente de la première. Les discussions sur les conditions de développement de l’enseignement scientifique semblent prévaloir sur les questions de fond. À cette date, la très faible proportion de prise de parole des représentants de l'enseignement technique s’explique par leur faible nombre mais aussi par leur présence discontinue qui semble être motivée à la fois par le refus de la commission d’entendre leur voix et

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par leur désaccord vis-à-vis des orientations de la commission que révèle parfois le contenu des prises de parole en séance ou dans des correspondances.

4. CONCLUSION

L'analyse des discours de la commission Lagarrigue permet de déceler et de débusquer les relations entre les disciplines représentées par leurs acteurs collectifs. Elle confirme les hypothèses interprétatives de Harlé (2003) et tend à indiquer que la commission a constitué, pour la communauté scientifique, un instrument légitime de promotion et de revendication de l’existence et du développement de la physique et de la chimie dans l’enseignement secondaire. Elle indique aussi les rapports de force en filigrane des réorganisations des enseignements qui impliquent des alliances et des évictions afin d’assurer leurs positionnements respectifs. Au plan méthodologique, la recherche présentée propose une grille d’analyse permettant de saisir le contenu dans ses dimensions épistémologiques et sociales. Elle est ainsi susceptible de contribuer à d’autres analyses des travaux de commissions ou de groupes d’experts chargés de rénovation d’enseignements. Il convient cependant de noter qu’une telle analyse ne donne qu’une version de cet épisode historique en raison de l’analyse des sources disponibles car archivées. La sélection des comptes rendus des séances plénières ne permet pas non plus de rendre compte de l’ensemble des relations entre les membres de cette petite communauté, avec leurs enjeux individuels et collectifs. Une telle analyse centrée sur un épisode nécessite par ailleurs sa mise en perspective diachronique avec les évolutions de l’ensemble de l’organisation des enseignements scolaires.

BIBLIOGRAPHIE

CHARLES, F. (2008). Les archives de la commission Lagarrigue. Mémoire inédit de Master 2 Recherche. ENS Cachan. 97 pages.

HARLE, I. (2003). L'introductiond'une culture technique au collège : une analyse socio-historique,

Revue française de pédagogie, 144, 95-103.

LEBEAUME, J. (1996), Une discipline à la recherche d’elle-même : trente ans de technologie pour l’école, Aster, 23, 9-42.

LEBEAUME, J. (2005). L’invention de la technologie au collège. In M. Goffard & A. Weil-Barais (Éds.), Enseigner et apprendre les sciences (pp. 93-114). Paris : Armand Colin.

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MARTINAND, J.-L. (1996). Un moment du développement de l'enseignement scientifique et technologique : les débats de la Commission Lagarrigue sur la technologie, In B. Belhoste, H. GISPERT & N. HULIN (Eds.), Les sciences au lycée. Un siècle de réformes des

mathématiques et de la physique en France et à l'étranger (pp. 218-227) Paris : INRP et

Vuibert.

SOURCES : cotes F17 bis 93012–1 et F17 bis 93012–2. Archives nationales : Centre des Archives

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